Oh, cette petite Marisa était réellement un cadeau divin ! Quelle perverse ! Bhouta n’aurait jamais cru trouver une telle perle ici. Comme quoi, le hasard faisait bien les choses ! Sa solide verge s’enfonçait dans la chatte de la jeune femme, qui en redemandait encore. Il ricana doucement, tout en continuant à la prendre, son corps massif et ventripotent se dressant au beau milieu du lit. Sa verge s’enfonçait avec force dans sa chatte, se perdant profondément en elle. Elle filait d’avant en arrière, et l’homme-porc soufflait et grognait, sa main caressant les cheveux de Marisa. Il tirait dessus, redressant son visage, grognant encore contre elle. Bhouta se laissait aller. Quand Marisa feignait de basculer en avant, sa solide main attrapait ses cheveux, les tirant en arrière, ce qui avait pour effet de la redresser. Et, grognant et soufflant encore, l’homme-porc poursuivait son office, s’enfonçant dans la chatte de Marisa, faisant claquer ses bourses contre elle.
« Hmmmm… Gnnnnn… Haaaaa… »
Gémissant à son tour, de sa délicieuse petite voix fluette, Marisa en réclama davantage, elle demanda à « Monsieur Bhouta » de s’immiscer dans son petit chaudron. Bhouta sourit, et la vit se pencher en avant, glissant ses mains pour écarter ses fesses, la tête de Marisa s’enfonçant dans la couverture du lit. Le message était finalement très clair, et Bhouta grogna lentement. Il humidifia son pouce, et palpa les fesses de la jeune femme.
« G-Gourgandine, hmmm… Ma grosse queue ne te suffit pas, hein ? Tu veux que je te baise jusqu’à ce que tu en oublies comment tu t’appelles ?! »
Pour lui proposer spontanément ses fesses, il fallait que la Fleur des Champs n’ait pas froid aux yeux, qu’elle soit téméraire, et assurément endurante. Et ça, ça ne pouvait que lui plaire ! Bhouta enfonça ainsi son pouce dans le petit cul de Marisa, et continua à grogner contre elle. Il remua son pouce, décrivant des cercles avec, lubrifiant et préparant la zone. Bhouta avait toujours sa verge nichée en elle, baignant dans la mouille de la jeune femme. Il sentit les parois intimes de la jeune Fleur se contracter au contact de sa queue, ce qui ne put que le faire ricaner.
« Hihi, on dirait vraiment que tu es une grosse sodomite, au fond ! Pour être honnête avec toi, j’adore aussi défoncer des culs… »
Bhouta retira sa main. Il n’était pas qu’un simple fermier, Bhouta était aussi un dévot de la Déesse Moccus. Il généra avec un sort de magie rose une téléportation, et, dans le creux de sa main, un vibromasseur rose arriva. À l’extrémité, il y avait un socle rose avec une tête de cochon. Il glissa l’objet dans le fondement de la jeune femme, l’enfonçant jusqu’à la garde. L’objet se positionna ensuite, et se mit à vibrer dans le cul de Marisa.
Bhouta retourna ensuite Marisa. Il la coucha sur le dos, et attrapa ses jambes entre les mains. Celles-ci étaient en l’air, les mains de Bhouta s’agrippant à ses chevilles. Il donna des coups de reins encore plus forts, car le bassin de Marisa rebondissait contre son ventre monstrueux. Elle filait sur la couverture humide, trempée par sa sueur, et Bhouta ricanait en la besognant ainsi, donnant des coups de reins particulièrement forts, sa queue glissant presque hors du corps de Marisa, avant qu’il n’inspire, rentrant son ventre, ramenant Marisa sur sa queue, puis la refaisant ensuite partir.
« Quand je t’aurai pris sur le devant… C’est ton cul que je vais éclater, ma belle petite salope… Rrrrooonn… !! »
« Hmmmm… Gnnnnn… Haaaaa… »
Gémissant à son tour, de sa délicieuse petite voix fluette, Marisa en réclama davantage, elle demanda à « Monsieur Bhouta » de s’immiscer dans son petit chaudron. Bhouta sourit, et la vit se pencher en avant, glissant ses mains pour écarter ses fesses, la tête de Marisa s’enfonçant dans la couverture du lit. Le message était finalement très clair, et Bhouta grogna lentement. Il humidifia son pouce, et palpa les fesses de la jeune femme.
« G-Gourgandine, hmmm… Ma grosse queue ne te suffit pas, hein ? Tu veux que je te baise jusqu’à ce que tu en oublies comment tu t’appelles ?! »
Pour lui proposer spontanément ses fesses, il fallait que la Fleur des Champs n’ait pas froid aux yeux, qu’elle soit téméraire, et assurément endurante. Et ça, ça ne pouvait que lui plaire ! Bhouta enfonça ainsi son pouce dans le petit cul de Marisa, et continua à grogner contre elle. Il remua son pouce, décrivant des cercles avec, lubrifiant et préparant la zone. Bhouta avait toujours sa verge nichée en elle, baignant dans la mouille de la jeune femme. Il sentit les parois intimes de la jeune Fleur se contracter au contact de sa queue, ce qui ne put que le faire ricaner.
« Hihi, on dirait vraiment que tu es une grosse sodomite, au fond ! Pour être honnête avec toi, j’adore aussi défoncer des culs… »
Bhouta retira sa main. Il n’était pas qu’un simple fermier, Bhouta était aussi un dévot de la Déesse Moccus. Il généra avec un sort de magie rose une téléportation, et, dans le creux de sa main, un vibromasseur rose arriva. À l’extrémité, il y avait un socle rose avec une tête de cochon. Il glissa l’objet dans le fondement de la jeune femme, l’enfonçant jusqu’à la garde. L’objet se positionna ensuite, et se mit à vibrer dans le cul de Marisa.
Bhouta retourna ensuite Marisa. Il la coucha sur le dos, et attrapa ses jambes entre les mains. Celles-ci étaient en l’air, les mains de Bhouta s’agrippant à ses chevilles. Il donna des coups de reins encore plus forts, car le bassin de Marisa rebondissait contre son ventre monstrueux. Elle filait sur la couverture humide, trempée par sa sueur, et Bhouta ricanait en la besognant ainsi, donnant des coups de reins particulièrement forts, sa queue glissant presque hors du corps de Marisa, avant qu’il n’inspire, rentrant son ventre, ramenant Marisa sur sa queue, puis la refaisant ensuite partir.
« Quand je t’aurai pris sur le devant… C’est ton cul que je vais éclater, ma belle petite salope… Rrrrooonn… !! »