Chengzu était assez surpris. Bhouta était loin d’être un simple fermier à la recherche d’amantes occasionnelles. Il était suffisamment endurant pour tenir plusieurs heures de sexe avec une diablesse comme Alice, qui, malgré son minois faussement innocent, avait une endurance qui lui permettait de rivaliser avec Ishtar. Fort heureusement, elle avait un profil plutôt soumis, Chengzu n’osait imaginer ce que donnerait une Alice plutôt dominante ! Quoi qu’il en soit, Bhouta n’avait pas qu’une simple ferme, mais aussi toute une usine, qui lui rappela le laboratoire souterrain d’Ishtar. Il avait bon nombre d’esclaves qu’il ramenait depuis les autres plans. À Volony, les humains étaient vus comme des animaux de compagnie, on pouvait donc librement les asservir… Ou n’importe qui d’autre. Bhouta faisait dans le commerce d’esclaves. Contrairement à Mélinda Warren, il ne gardait pas ses esclaves, mais les vendait ensuite. Il les formait, les dressait, et se servait aussi d’esclaves comme cobayes pour en faire des Furrys.
« C’est ce que vous avez fait à Akimbo, alors ?
- Non. J’ignore encore comment il est devenu Suida, et a changé de race. C’est l’œuvre de Moccus, assurément. »
Ils avaient laissé Alice s’amuser. Chengzu avait rejoint le duo, et avait naturellement participé. Alice avait pu constater qu’il était très excité. Puis Bhouta avait décidé de retrouver Suida… Ou Erona. Il avait glissé à Alice qu’il pouvait désormais la féconder, car il avait trouvé son « Porcinet », cet esclave de luxe qui était nécessaire pour qu’il se reproduise. Un avenir radieux s’offrait à lui, et il était curieux de voir comment Suida allait supporter ce traitement dans le sarcophage sexuel où elle avait été enfermée. Bhouta fut donc rassuré et sourit en voyant Suida se ruer sur sa queue, pour la pomper. Suida… Ou Erona. Car, à ce stade, c’était bien la sensuelle Erona qui se tenait là, totalement soumise à Bhouta. Chengzu sentit une vive érection le traverser. Il n’avait plus aucun doute sur le fait que Erona avait jadis été Akimbo, et sa verge s’élança joyeusement en voyant Erona le sucer.
La pièce dans laquelle ils étaient était intégralement recouverte de latex noirâtre. Des néons violets au sol permettaient de donner un minimum d’éclairage. Il y avait aussi divers instruments de plaisir et un lit en forme de cœur. Chengzu se serait presque cru de retour à Nachtheim ! Une ventilation mécanique interne soufflait au plafond pour rafraîchir un peu cette pièce cloisonnée, qui n’avait aucune ouverture naturelle. Erona écarta les bras, comme pour inviter son Maître à frotter sa queue contre ses aisselles. Bhouta n’en fit cependant rien, approchant son énorme ventre d’Erona. Lui et Chengzu s’embrassèrent alors, la grosse main de Bhouta venant appuyer sur l’une de ses fesses du bel éphèbe. Erona put sentir la main de Chengzu se crisper sur ses cheveux, puis il jouit à son tour en elle.
« Hmmm… Que c’est bon ! »
Tout ce qu’Erona demanda fut qu’on la possède. Bhouta sourit, et souleva Erona, puis la coucha sur une sorte de gros pouf, couchée sur le dos. Erona put ensuite sentir la verge de Bhouta s’enfoncer violemment dans son cul, Bhouta relevant ses jambes. La tête en bas, elle put voir la verge de Chengzu, trempée, se poser sur sa tête.
« Ouvre la bouche, salope, retourne me sucer…
- Je suis ton Maître, Erona, mais, ce soir, Chengzu est aussi le tien, héhé ! Montre-lui de quoi tu es capable, que Chengzu voie en toi la magnifique pute qu’il n’aura jamais, haha !! »
Chengzu frémit, et s’enfonça dans un soupir dans la bouche d’Erona, tandis que le corps massif de Bhouta se pressait contre elle, sa solide verge venant lui ramoner le cul avec force…
« C’est ce que vous avez fait à Akimbo, alors ?
- Non. J’ignore encore comment il est devenu Suida, et a changé de race. C’est l’œuvre de Moccus, assurément. »
Ils avaient laissé Alice s’amuser. Chengzu avait rejoint le duo, et avait naturellement participé. Alice avait pu constater qu’il était très excité. Puis Bhouta avait décidé de retrouver Suida… Ou Erona. Il avait glissé à Alice qu’il pouvait désormais la féconder, car il avait trouvé son « Porcinet », cet esclave de luxe qui était nécessaire pour qu’il se reproduise. Un avenir radieux s’offrait à lui, et il était curieux de voir comment Suida allait supporter ce traitement dans le sarcophage sexuel où elle avait été enfermée. Bhouta fut donc rassuré et sourit en voyant Suida se ruer sur sa queue, pour la pomper. Suida… Ou Erona. Car, à ce stade, c’était bien la sensuelle Erona qui se tenait là, totalement soumise à Bhouta. Chengzu sentit une vive érection le traverser. Il n’avait plus aucun doute sur le fait que Erona avait jadis été Akimbo, et sa verge s’élança joyeusement en voyant Erona le sucer.
La pièce dans laquelle ils étaient était intégralement recouverte de latex noirâtre. Des néons violets au sol permettaient de donner un minimum d’éclairage. Il y avait aussi divers instruments de plaisir et un lit en forme de cœur. Chengzu se serait presque cru de retour à Nachtheim ! Une ventilation mécanique interne soufflait au plafond pour rafraîchir un peu cette pièce cloisonnée, qui n’avait aucune ouverture naturelle. Erona écarta les bras, comme pour inviter son Maître à frotter sa queue contre ses aisselles. Bhouta n’en fit cependant rien, approchant son énorme ventre d’Erona. Lui et Chengzu s’embrassèrent alors, la grosse main de Bhouta venant appuyer sur l’une de ses fesses du bel éphèbe. Erona put sentir la main de Chengzu se crisper sur ses cheveux, puis il jouit à son tour en elle.
« Hmmm… Que c’est bon ! »
Tout ce qu’Erona demanda fut qu’on la possède. Bhouta sourit, et souleva Erona, puis la coucha sur une sorte de gros pouf, couchée sur le dos. Erona put ensuite sentir la verge de Bhouta s’enfoncer violemment dans son cul, Bhouta relevant ses jambes. La tête en bas, elle put voir la verge de Chengzu, trempée, se poser sur sa tête.
« Ouvre la bouche, salope, retourne me sucer…
- Je suis ton Maître, Erona, mais, ce soir, Chengzu est aussi le tien, héhé ! Montre-lui de quoi tu es capable, que Chengzu voie en toi la magnifique pute qu’il n’aura jamais, haha !! »
Chengzu frémit, et s’enfonça dans un soupir dans la bouche d’Erona, tandis que le corps massif de Bhouta se pressait contre elle, sa solide verge venant lui ramoner le cul avec force…