The Multiversity

[Yoan & Sanitas]

Au bout de plusieurs jours auprès de leurs Maîtres, Yoan et Sanitas avaient enfin le droit de sortir, mais ils avaient eu comme « mission » de recevoir une Déesse qui était de passage sur le monde. Leurs Maîtres respectivement leurs avaient dit de bien s’occuper d’elle et de répondre à la moindre de ses demandes. Cela leur avait parut bizarre, pour Yoan qui ne connaissait que le plaisir charnel avec Nergal il ne savait pas comment il pourrait satisfaire les besoins d’une Déesse et pour Sanitas il avait d’abord envoyé boulé Lucifer qui l’avait vite remit à sa place. Il était encore entrain de faire son dressage, mais cela était plus long qu’on ne pouvait le penser. Bah oui l’hybride chat n’allait pas se laisser faire aussi facilement. Il lui avait dit le premier jour qu’il l’avait acheté, le roi des cavaliers allait en avoir pour un long moment avant de le briser.

Une fois habillé d’un kimono Yoan attendait que Sanitas finisse de se préparer pour sa part il avait mit un jean troué et un haut noir et sa veste rouge à capuche. Pas qu’il faisait froid sur le continent, c’était une des choses qu’il chérissait. Quand les deux furent enfin prêt ils prirent le chemin du port afin d’y trouver la fameuse Déesse qu’ils devaient servir jusqu’à son départ.

Attendant sur le port, ils portaient chacun un collier autour du coup pour signifier que c’étaient des esclaves, ils n’avaient pas de panneaux pour indiquer à la femme qu’ils étaient là. Leurs Maîtres, leurs avaient juste dit à quoi ils ressemblaient pour que celle-ci puisse les reconnaître plus facilement.

Au bout de plusieurs minutes ou heures, un bateau accosta et une jolie femme en sortie, celle-ci se dirigeant directement vers eux. Yoan ayant étant bien élevé il s’inclina en face d’elle, voyant que Sanitas ne bougeait pas, il lui mit la main sur la tête pour que celui-ci s’incline aussi.

-Bienvenue Déesse Mélinda

-B’jour à vous.

On pouvait voir que les deux hommes avaient un caractère totalement différent et pourtant ils s’entendaient bien quand ils étaient chez leurs Maîtres. Alors pour ça que Yoan essayait de donner un peu de bienséance pour qu’il sache comment se comporter en dehors des murs. Même si cela échoué un peu plus qu’autre chose par moment.

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[Mélinda Warren]

Mélinda ne s’était encore jamais rendue à Lustoria. Elle avait entendu parler de cet archipel éloigné, mais sans jamais avoir l’occasion de s’y rendre. Mais, récemment, la Déesse Aphrodite s’y était rendue, et Alice Korvander, l’une des filles de la Déesse, et accessoirement la meilleure amie de Mélinda, s’y était elle aussi rendue. La Déesse s’était rapprochée de la souveraine de Lustoria, la reine Ruby, et la reine Ruby avait ensuite été adoptée par Aphrodite. La Déesse souhaitait désormais installer une partie de son culte à Lustoria, et y avait donc convié Mélinda, en lui demandant de venir avec des candidats potentiels pour remplir le temple dédié à Aphrodite.

La vampire avait donc embarqué dans un bateau pour rejoindre Lustoria. Étendre l’influence du culte d’Aphrodite n’était pas pour lui déplaire, ainsi que la perspective de renforcer sa propre influence. Si Mélinda avait pris du galon, elle restait de base une esclavagiste et propriétaire d’une maison close. Elle se voyait bien ouvrir une succursale à Lustoria, une autre maison close qui ferait les joies des clients et du personnel.

*Tant de possibilités…*

Après plusieurs jours d’un voyage somme toute paisible, le navire approcha de l’archipel. Le navire tout entier avait été réquisitionné par Mélinda, abritant son personnel.

« Cet archipel a l’air fabuleux !
- Maîtresse, vous pensez qu’on rencontrera la Déesse Aphrodite ? Ou la reine Ruby ? On dit qu’elle est magnifique ! »

Mélinda sourit, mais savait que la Reine ne les accueillerait pas en personne. On avait fait venir deux serviteurs pour elle, tandis que le reste du personnel allait rejoindre en calèche le Palais.

Quand Mélinda sortit, elle vit rapidement le duo. Un très bel homme aux cheveux blancs, et un autre, un Furry qui semblait plus retors.

« Bonjour, mes jolis. Je ne suis pas encore une Déesse, simplement une prêtresse… Mais c’est bien moi que vous devez accueillir. »

Elle leur sourit. Avec sa robe dorée, il était difficile de louper Mélinda. Sa main glissa sur la joue de Yoan.

« Toi, tu dois être Yoan… Moi, je suis Mélinda Warren. Vous êtes très mignons tous les deux… Vous êtes donc mes guides, si j’ai bien compris ? »

[Yoan & Sanitas]

Yoan et Sanitas avaient salué la bonne personne, la jeune femme était magnifique. Alors qu’ils l’avaient appelé Déesse, ils furent reprit par celle-ci qui était en faite une prêtresse. Commue la prêtresse Naamah qui s’occupait des Dieux de l’Aurore et du Crépuscule qui s’était installé à Lustoria. Ce fut l’humain qui prit la parole.

-Vous êtes comme Dame Naamah qui s’occupe des Dieux de l’Aurore et du Crépuscule. Sans vous comparer bien sûr.

Il faisait une petite comparaison sans manque de politesse, il avait juste entendu parlé d’elle, lorsqu’il se promenait dans les rues de toute façon Yoan ne se permettrait pas de critiquer ou de comparer deux prêtresse qui s’occupent de Dieux différents. Puis cela pouvait provoquer un conflit entre tout le monde, ce qu’il voulait éviter le plus possible. Il était aussi content de Sanitas ne fasse pas de réflexion et avait tenu sa langue pour une fois. Il le « félicitera » plus tard quand ils ne seront que tous les deux.

Yoan sentit une main caresser sa joue, il laissa la prêtresse faire, elle le reconnue immédiatement. De toute façon elle avait reçu une lettre qui expliquait à quoi ressemblait les deux esclaves afin qu’elle puisse les reconnaître facilement. Puis d’un côté physiquement Yoan et Sanitas se démarquaient un peu des autres et il y avait aussi une différence entre eux deux. Par la suite elle se présenta, s’appelant Mélinda Warren, rajoutant qu’elle les trouvait mignon. Ce compliment fit un peu rougir Yoan dû au compliment, alors Sanitas n’avait pas de réaction faciale. Mais sa queue de chat le trahissait car elle elle se secouait dans tous les sens, approuvant qu’il était content. La jeune femme demanda par confirmation qu’ils étaient bien ses guides. Cette fois ce fut Sanitas qui prit la parole.

-C’est bien ça M’dame. Nous sommes là tous les deux pour être vos guides , ainsi satisfaire toutes les demandes que vous avez. Nous sommes à votre services pour tout le temps que vous êtes à Lustoria.

Chose qui était vrai, ils avaient chacun reçu l’ordre de leurs maîtres respectifs leurs avaient ordonné de satisfaire la moindre demande que la prêtresse aurait. Elle devait trouver son séjour le plus agréable, sinon une punition les attendaient. Alors les deux ferraient tout pour satisfaire la prêtresse le plus possible.

-Par quoi voulez-vous commencer prêtresse ? Faire un tour de la chapelle, vous reposez quelque part ? Ou bien autre chose.

C’était Yoan qui avait prit la parole étant le mieux éduqué que l’hybride. Il décida de prendre les rênes pour propose des choses à la prêtresse, à moins que le chat aies aussi des idées.

[Mélinda Warren]

Il allait vite falloir qu’elle comprenne les différentes personnalités de ses deux guides. Instinctivement, elle aurait dit que Yoan était plutôt soumis, là où Sanitas plutôt dominateur. C’était un point de vue reposant essentiellement sur leur physique. Yoan et Sanitas avaient été mis à sa disposition par les Dieux de Lustoria, ainsi que par Aphrodite. Mélinda les trouvait en tout cas très charmants, et, quand Yoan lui demanda par où elle souhaitait commencer, la vampire sourit doucement. Elle était venue avec plusieurs de ses esclaves, dans le but d’animer le temple d’Aphrodite. Il fallait bien le remplir, et Aphrodite avait sollicité de Mélinda plusieurs prêtresses. Si la Déesse comptait trouver la prêtresse principale du temple à Lustoria, il fallait remplir son clergé, et Mélinda avait heureusement des profils idéaux. Elle ne connaissait toutefois rien de Lustoria, et était donc heureuse de pouvoir compter sur deux guides.

« Le temple serait une bonne chose, oui, pour commencer. C’est la première fois que je visite cet archipel, alors autant commencer par l’endroit où j’ai ma chambre. »

Mélinda comptait bien sûr explorer le reste de l’archipel. Elle se déplaça un peu, et huma l’air frais. Lustoria semblait très agréable.

« Par contre, évitez de m’appeler ‘‘prêtresse’’. C’est vrai que j’en suis une, mais je suis avant tout une esclavagiste. Donc… Vous pouvez m’appeler ‘‘Madame Warren’’, ou… ‘‘Maîtresse’’. »

Elle dit cela en croisant le regard de Yoan. Le simple fait de voir quel choix de mots ils allaient employer renseignerait déjà Mélinda sur ce qu’ils pensaient vraiment, et sur leurs comportements. Elle leur sourit encore.

« C’est mon titre… Mais je comprendrais que m’appeler ainsi puisse vous perturber. Alors, on va faire comme vous voulez, et je vous laisse me guider jusqu’au temple. »

[Yoan & Sanitas]

Yoan avait proposé par ce que voulez commencer la prêtresse, lui donnant plusieurs choix. Pour le moment Sanitas ne disait rien, chose que lui avait demandé l’humain avait de partir. Du moins il avait demandé de se contenir et de parler avec une politesse qu’il n’avait pas, car il jurait toujours comme un charretier. Du coup l’hybride chat faisait en sorte de se retenir pour ne pas irriter l’invité. Du coup la vampire demanda de commencer par le temps, car c’était la première fois qu’elle venait à Lustoria et elle voulait savoir où emme dormirait. Les deux esclaves se regardèrent, ils savaient où était le temple, mais ils n’étaient jamais rentré dedans. Vu qu’ils étaient les esclaves des cavaliers de l’Apocalypse. Car entre les cavaliers et les deux Dieux, ils n’étaient pas en très bon thermes à vrai dire. Tout simplement parce qu’ils étaient des démons avec des caractères assez contradictoires sur la façon de vivre à Lustoria, du coup le Dieu de l’Aurore et le Dieu du Crépuscule étaient là pour les « surveiller ». Mais ils connaissaient la prêtresse qui vivait là-bas, Naamah, ils la croissaient de temps en temps et l’aidaient lorsqu’elle avait besoin pour porter les achats qu’elle faisait en ville. Cela était très rare à vrai dire. Vu que c’était une demande, ils allaient la conduire là-bas, priant que leurs maîtres soient compréhensif si ils apprenaient qu’ils étaient allé chez leurs « ennemies ».

Avant qu’ils ne partent en direction du temple, la femme leur donna un ordre, ils ne devaient pas l’appeler « prêtresse », même si elle en était une. Elle expliqua qu’elle était une esclavagiste avant tout, donc ils avait deux choix soit « Madame Warren » ou « Maîtresse ».

-Vous appelez Maîtresse ne me dérange pas.

C’était Yoan qui venait de parler pour lui si son maître le confiait à quelqu’un, automatiquement il appellerait cette personne »Maîtresse » ou «Maître ».

-Pour moi, ça sera Madame Warren, il n’y a qu’une seule personne que j’appelle Maître et c’est celui qui m’a acheté.

Maintenant c’était Sanitas qui avait prit la parole. Pour lui, la seule personne qu’il appellerait « Maître », c’est son propriétaire, Lucifer. Déjà qu’il se rebellait souvent avec lui, que son maître essayait de le dresser, mais c’était lent et difficile, car il avait un sacré caractère. L’hybride chat était tout l’inverse de l’humain qui lui était docile. Bien qu’ils passaient souvent du temps ensemble, vu qu’ils vivaient ensemble dans le même endroit. Ils se parlaient et rencontraient souvent des « conflits » entre eux, vu qu’ils ne voyaient pas la même chose, de la même façon. Mais ils se considéraient tout de même ami.

-Suivez moi je vous pris Maîtresse.

Yoan prit la tête de la marche pour se rendre au temple, alors que Sanitas fermait la marche. Car l’humain lui avait fait signe discrètement de fermer la marche, il savait que rien arriverait. C’est juste que cela permettait d’être sûr que la prêtresse n’allait pas se perdre de cette façon. Un guide devant pour montrer là où ils devaient se rendre, pendant que le dernier surveillait que personne ne se perde.

[Mélinda Warren]

Ce que Mélinda voyait avec ce petit exercice de locution confirma ce qu’elle pensait : Yoan était plus soumis que Sanitas ! Elle avait déjà pu s’en douter à l’air revêche du neko, bien loin des stéréotypes du genre. Elle allait donc devoir gérer cela. Elle était curieuse de voir comment leur dynamique fonctionnait, qui avait véritablement l’ascendant sur l’autre. On aurait dit Sanitas à première vue, mais il ne reprit pas Yoan sur le fait d’appeler Mélinda « Maîtresse ». Or, si Sanitas avait un maître, c’était peut-être aussi le cas de Yoan. Mélinda conserva cela pour elle, tout en attrapant la main de Yoan lors de la marche vers le temple. Sanitas suivait derrière, comme pour sécuriser les lieux.

« On dit que Lustoria est plutôt sûr. »

L’idée était surtout d’éviter qu’elle ne se perde, car il y avait beaucoup de monde, et surtout beaucoup de touristes. L’ouverture de Lustoria au tourisme avait naturellement attiré beaucoup de Mijakiens, qui venaient profiter du charme de la ville. Il y avait des troubadours, des artistes itinérants, mais aussi des maisons closes. Le trio arriva ainsi sur une grande place avec une fontaine somptueuse au centre. On trouvait ici des peintres de rue, des mimes, et d’élégantes prostituées qui embrassaient les badauds, les guidant ensuite vers une maison close. Le Royaume des Étoiles de Merr était un havre de plaisir et d’arts. L’esclavage était au cœur de Lustoria. Les délinquants et les criminels devenaient automatiquement des esclaves, tout comme les pauvres. La Reine luttait contre la pauvreté. L’Empire de Mijak proposait aussi ce genre de pratiques. Les gens surendettés ou ayaqnt perdu leurs revenus devenaient temporairement des esclaves, remboursant ainsi leurs dettes.

Mélinda regarda la maison close. Les harems avaient pignon sur rue ici, ce qui était encore plus vrai depuis que la Déesse Aphrodite avait accordé sa bénédiction à l’île. La Déesse protégeait les prostituées, et, à Lustoria, elles étaient respectées. De fait, la plupart des criminels étaient ceux qui, dans le feu de la passion, s’en prenaient aux prostituées. Les maisons closes disposaient donc de gardes. S’attaquer à ces femmes était considéré comme une grave infraction.

« Dis-moi, Sanitas, avec tes muscles et ton corps d’athlète, est-ce que tu es employé pour protéger les prostituées ? »

Avant de lui laisser répondre, Mélinda caressa les longs cheveux soyeux de Yoan.

« Toi, par contre, mignon comme tu es, je pense que tu ferais un magnifique éphèbe… »

[Yoan & Sanitas]

Après avoir dit comment les deux aller l’appeler, ils prirent le chemin en direction du temps. Tout en marchant Yoan sentit qu’on prenait sa main, il ne disait rien, laissant la femme faire. Si elle voulait tenir sa main cela ne lui posait pas de problème d’un côté, il était sûr qu’elle le suivait. Bien que Sanitas fermait la marche comme un bon garde.

-Oui, Lustoria est sûr, la présence des quatre cavaliers de la luxure.

C’est quatre là étaient connu pour leurs présences qui avait du coup fait venir les Dieux de l’Aurore et du Crépuscule pour maintenir un certain équilibre. Du coup Yoan et Sanitas savaient qu’au fond d’eux que leurs maîtres respectives pourraient se mettre en colère. Mais ça ‘était leur problèmes donc aucun des deux n’en parla.

Il y avait beaucoup de monde autour d’eux, pleins de gens de toutes espèces étaient présente sur l’archipel. Vu qu’ils étaient au milieu de la place on voyait la grande fontaine qui attirait le regard. On trouvait aussi des maisons closes où les femmes étaient protégé depuis l’arrivé de la Déesse Aphrodite. Puis de toute façon, Lustoria n’avait pas beaucoup de criminalité, ceux qui avaient besoin d’argent se proposaient d’eux même comme esclave pour rembourser leurs dettes. Tout comme l’avait fait Yoan pour sauver ses parents de la ruine. Contrairement à Sanitas qui lui avait décidé de devenir esclave en arrivant ici, pour ne pas être à « la rue ». Certes cela était différent au niveau choix, mais les deux avaient trouvé un Maître sans problème.

Alors que l’hybride chat avançait derrière, avec son ouïe un peu plus aiguisé, il entendit la vampire lui poser une question.

-Nom Madame, je sers juste mon Maître qui n’est pas très partageur à vrai dire et il s’amuse à me dresser.

Chose qui était vrai, Lucifer prenait plaisir à dresser son chat rebelle. Alors il n’avait pas le temps à le partager ses sorties étaient rares, comme celle d’aujourd’hui. Si il n’avait pas reçu l’ordre d’accompagner une prêtresse et répondre à ses questions. Il serait dans la maison de son Maître à manger ou bien à faire autre chose.

Bien que Yoan tenait une des mains de Mélinda, il sentit une caresser dans ses longs cheveux blancs détaché. Elle disait que lui serai un beau jeune homme pour le plaisir. C’est ceux qui avait plus à Nergal quand il était venu à la boutique d’esclave. Il l’avait attiré avec sa façon de faire, ainsi que sa pureté perdu depuis un moment déjà.

-Je vous remercie du compliment Maîtresse, mon Maître aime que je prenne soin de moi.

Ils avaient tous les deux parlaient en avançant vers le temps où se trouvait la prêtresse Naamah qui allait sûrement les accueillir avec plaisir.

-J’ai ouïe dire que la prêtresse du temple serait enceinte alors j’aimerai juste qu’on évite de trop la brusquer s’il vous plaît. C’est une demande de la Déesse Aphrodite qu’elle porte son enfant, donc on évite juste qu’elle se surmène trop.

Pas que l’humain avait peur que la jeune femme fasse une faute, mais il préférait prévenir avant tout. Puis quand il pouvait, il venait tout seul pour lui tenir compagnie et l’aider à porter les objets lourds. Tout cela sans que son Maître ne s’en rendre compte pour ne pas recevoir de punition. Il s’était fait reprendre par Sanitas car il risquait d’être puni si cela se savait, mais l’hybride avait promit de ne rien dire.

[Mélinda Warren]

Mélinda les écoutait parler. De Lustoria, elle ne savait pas grand-chose, si ce n’est qu’elle était sans doute appelée à pouvoir y laisser sa marque. Alice le lui avait dit, la Reine de Lustoria souhaitait se rapprocher d’Aphrodite, et que Lustoria soit un lieu de culte également dédié à la Déesse de l’Amour. On disait même qu’Aphrodite comptait mettre enceinte sa future grande-prêtresse de Lustoria. Un statut qui aurait pu échoir à Mélinda, si elle n’était pas déjà une prêtresse dédiée au clergé de Mijak.

Répondant à sa question, Sanitas indiqua qu’il ne protégeait pas les dames, mais devait servir son Maître, et qu’il n’était pas très partageur.

« Oh… Pourtant, il t’a demandé de m’escorter, il doit aimer prendre des risques… »

Prendre des risques, oui, car, avec Mélinda, les choses restaient rarement apaisées ! Mélinda avait toutefois dans le creux de sa main la douce main de Yoan, qui l’appelait naturellement « Maîtresse » là où Sanitas se montrait plus réservé. Elle était curieuse de voir comment tout cela allait évoluer. Mélinda avait naturellement envie de leur faire l’amour à tous les deux. Yoan lui avoua que son Maître souhaitait qu’il soit le plus beau possible.

Cela fit sourire la vampire, qui hocha la tête.

« Voilà bien une chose que je comprends, tu es très joli, c’est normal de vouloir entretenir ta beauté. »

Yoan lui parla ensuite de cette prêtresse enceinte, et Mélinda hocha la tête.

« Il n’y a pas de problèmes, je conçois qu’elle doive se reposer, surtout si son enfant a été conçu avec la Déesse Aphrodite… Il va donc falloir qu’on s’amuse ensemble, les garçons ! »

La vampire ponctua cette phrase fort peu subtile avec un généreux sourire en les regardant tous les deux. Oui, si le Maître de Sanitas voulait le garder pour lui, il avait fait un mauvais choix en envoyant ce bel homme vers Mélinda ! Mélinda, elle, était au contraire du style très partageuse…

Leur souriant donc, elle caressa la joue de Yoan, et posa sa main sur le torse musclé de Sanitas.

« Alors, je vous propose de me conduire à ma chambre… »

[Yoan & Sanitas]

Sanitas avait savoir que son Maître n’était pas très partageur, mais la femme qu’il accompagnait disait que Lucifer aimait prendre des risques. Tout ça car il avait demandé de l’escorté, c’est vrai qu’elle n’avait pas tort sur ce point. Mais un ordre, était un ordre, alors il avait obéit sans discuter pour une fois.

Pour Yoan, il avait expliqué que son Maître avait demandé à ce qu’il prenne soin de son corps. La vampire disait qu’il était normal que Nergal voulait entretenir la beauté de l’humain. Après Nergal, cavalier de l’orgie lui autorisé d’avoir des relations autant que possible pour «s’améliorer » dans ce domaine. Mais c’était plus un ordre à vrai dire, car il avait eu sa virginité et que l’homme aux cheveux blancs devait apprendre plus sur les relations sexuelles.

Comme toujours c’est Yoan qui animait la conversation, expliquant que la prêtresse Naamah était enceinte. Mélinda lui disait qu’il n’y avait pas de problèmes, car elle comprenait que celle-ci devait se reposer. Surtout si elle portait l’enfant de la Déesse Aphrodite, mais du coup elle s’exclama en disant qu’ils devaient s’amusaient tous les trois. Elle leur souriait tout en les regardant. Ils ne dirent rien et attendait de savoir la suite. Elle lâcha la main de Yoan pour caresser sa joue et l’autre alla sur le torse musclé de Sanitas. Ils devaient la conduire à sa chambre.

-Bien sûr Maîtresse, de plus je sais où elle se situe dans le temple, elle me l’a montré. Peut-être qu’on va croiser Naamah qui porte l’enfant de la Déesse Aphrodite et d’un des Dieux qu’elle sert, nous ne savons juste pas lequel c’est des deux Dieux.

Pratiquement tout Lustoria savait pour la grossesse de la prêtresse, sachant les parents de l’enfant et de la mère qui le portait et allait l’elever. Sauf que tout le monde se posait la même question c’était de savoir qui était le père, car pour la mère les citadins savaient que c’était la Déesse Aphrodite.

Prenant l’initiative, Yoan prit la mais de a Maîtresse du jour pour la conduire jusqu’à dans sa chambre. Sanitas suivait en silence derrière sachant que quelque chose allait se passer. Du sexe, mais il voyait que son ami ne l’avait pas encore comprit à vrai dire. Il n’était pas long à la détente, mais juste un peu trop naïf sur ce sujet là. Vu qu’il le connaissait, il savait que le seul partenaire qu’avait eu l’humain c’était son Maître Nergal. Donc l’hybride aller devoir le guider pour satisfaire la femme.

L’humain les guida dans le temple, pour arriver face à une double porte. La chambre de Mélinda, il ouvrit les portes et se mit sur le côté pour la laisser rentrer en première.

-Je vous en prie Maîtresse.

[Mélinda Warren]

Avec Mélinda, il n’y avait généralement pas trop de doute sur ce qui allait se passer. Si le dieu de Sanitas espérait qu’elle ne profite pas de ce grand escogriffe ténébreux, il s’était bien trompé ! Mélinda allait peut-être provoquer un blasphème, mais elle s’en moquait bien. Ne pardonnait-on pas tout à la beauté ? Au pire, ce serait l’occasion d’ouvrir ses cuisses auprès des dieux de Lustoria… Elle savait qu’Alice avait goûté de très près à leur hospitalité. Alice disait tout à Mélinda. Si elle se permettait d’être si libidineuse, ce n’était pas pour rien, elle savait qu’elle ne risquait finalement pas grand-chose, tant les mœurs lustoriennes se rapprochaient des mœurs mijakiennes au niveau des relations sexuelles.

Conservant sa main dans le creux de celle de Yoan, Mélinda rejoignit donc le temple. C’était un grand temple, et, si elle pouvait voir dans les yeux de Yoan qu’il avait compris ce qui allait se passer, Sanitas semblait encore plus distant. Yoan lui précisa que Naamah portait en réalité deux enfants.

« Oh, une superfécondation… C’est assez rare, j’imagine que la Déesse n’y est pas pour rien. »

Une superfécondation désignait un cas où une femme était simultanément enceinte de deux rapports sexuels distincts, soit avec le même partenaire, soit avec un autre. Cela pouvait par exemple donner des jumeaux à la couleur de peau différente. Deux ovules distincts étaient fécondés. Ce n’était clairement pas fréquent, mais, en manipulant la magie, on pouvait améliorer les chances.

Le trio rejoignit l’une des chambres du temple, et Mélinda sourit à Yoan.

« Merci, mon joli. »

Elle posa chacune de ses mains sur ses joues, et l’embrassa alors. Un baiser qui dura quelques secondes, juste assez pour comprendre qu’il était le prologue d’autre chose.

La chambre était grande, haute de plafond, avec une statue massive d’Aphrodite en plein milieu. Des tableaux présentaient aussi la Reine Ruby, et un grand tableau, une tapisserie murale, montrait Aphrodite et Ruby ensemble, la main d’Aphrodite caressant le ventre arrondi de la Reine, tout en s’apprêtant à l’embrasser. La chambre comprenait un grand lit en forme de cœur, et une porte-fenêtres donnant sur un balcon. L’air de la mer s’insinua, des vents marins qui firent doucement frémir Mélinda.

La vampire se rapprocha du lit, et le caressa doucement, sentant la douceur et l’élégance des couvertures.

« Mes chers protecteurs, avez-vous inspecté le lit ? Sanitas, il arrive parfois que des assassins glissent des scorpions à l’intérieur. Pour ma propre sécurité, pourriez-vous vérifier que le lit est sûr ? » demanda-t-elle, sur un ton sensuel, et avec un sourire malicieux sur les lèvres.

[Yoan & Sanitas]

Après avoir dit que la prêtresse du temple était enceinte, Yoan conduisait sa Maîtresse du jour jusqu’à sa chambre, lui ouvrant les portes. Elle le remercia, avant de sentir ses mains sur ses joues et un baissé sur les lèvres qui dura quelques secondes. Cela le fit comprendre ce qui allait se passer par la suite, sauf que pour le moment, il n’avait connu que le plaisir charnel avec son Maître. Donc une femme serait une chose nouvelle pour lui, peut-être que Sanitas pour l’aiguillait à ce moment-là.

Pour Sanitas qui était à l’entrée de la chambre, il regarda la disposition de celle-ci et comment elle était décoré. Il ne connaissait pas le visage sur la statue et d’un côté il s’en moquait totalement. Comme les tableaux accroché au mur et le reste. Le lit est en forme de coeur et les fenêtres donnaient sur la mer, avec son vent marin qui avait trouvé une bonne place dans l’odorat sensible de l’hybride. Alors qu’il attendait, la Dame qu’il servait, se rapprocha du lit et tout en caressant les draps. Elle lui demandait si il pouvait inspecter le lit. Car des assassins pouvait y avoir glisser des scorpions dedans et pour sa sécurité il fallait qu’il regarde dedans. Il avait bien entendu lors de sa demande la voix sensuel que Mélinda avait utilisé ainsi que son sourire malicieux. Mais vu qu’il était comme un garde du corps aujourd’hui, il retira ses chaussures avant d’aller vers le lit. Il se mit sur l’un d’un côté et passa le haut de son corps en-dessous de la couette. Il n’avait pas peur des insectes, il avait vécu bien pire. Mais il ne trouva rien, on pouvait voir que sa queue touffu dépassait et se remuer. Une fois fini, il fit en sorte que la couette se retrouve plier au bord pour y sortir sa tête et le reste de son corps.

-Il n’y a rien Madame, et je doute que la personne que entretien les lieux, fasse ce genre de chose.

-Je confirme c’est dire que Naamah s’occupe du temple et la connaissant elle mettrait pas des choses dans le lit d’une personne surtout d’une prêtresse qui sert la Déesse Aphrodite. Elle sait que cela pourrait lui attirer la colère ce votre Déesse et elle ne le voudrait pas.

Yoan prenait la défense de la prêtresse car il la considérait comme une amie, alors il prenait toujours sa défense et l’aider comme il le pouvait. Maintenant l’hybride qui s’était assit sur le lit sans chaussures et l’humain juste derrière la femme. Ils attendaient de savoir comment aller se passer la suite.

[Mélinda Warren]

Elle se doutait bien qu’il n’y aurait aucune menace dans le lit. Mélinda n’était pas forcément très subtile, mais elle avait envie que ses deux hôtes se rapprochent du lit. Sanitas l’examina, et signala rapidement qu’il n’y avait rien dedans. Yoan expliqua que l’entretien était assuré par la prêtresse Naamah, et qu’il ne fallait donc pas s’attendre à ce genre de choses. Mélinda gloussa doucement en se rapprochant. Yoan s’était assis sur le lit, et Mélinda se rapprocha de lui. De ses deux hôtes, il lui semblait être le plus accessible. Elle posa sa main sur son épaule, et lui sourit doucement.

« Dans ce cas, nous avons un souci, Messieurs. Vous êtes chargés d’assurer ma sécurité, n’est-ce pas ? »

C’était bien sûr une question rhétorique. Mélinda s’écarta alors du lit, et déplaça un fauteuil pour le positionner face au lit. Elle s’assit ensuite dessus, face aux deux hommes, et se pinça les lèvres. Tout comme le scorpion n’était qu’un prétexte inventé par elle, Mélinda poursuivit, tout en croisant sensuellement les jambes :

« Vous savez, il existe des sortilèges très subtils, liés à la magie rose. Quand une personne commence à faire l’amour sur un lit, cela peut déclencher un poison. Évidemment, je n’accuse pas la prêtresse Naamah, mais certains ennemis de l’Empire ont des techniques très sournoises pour agir, et des espions partout. Je serai donc plus rassurée si… »

Elle se tut pendant quelques instants, les laissant imaginer ce qu’elle avait en tête. Elle avait cru comprendre qu’ils avaient plutôt l’habitude de coucher avec un homme, à savoir le dieu qu’ils servaient. Et, parmi tous les fantasmes et toutes les pulsions de Mélinda, le voyeurisme en faisait partie. Les deux hommes n’étaient pas au bout de leurs surprises avec elle ! Et Mélinda, quant à elle, n’avait clairement pas envie de les laisser partir si facilement.

« …Si vous vous déshabillez, et que vous commenciez à faire l’amour… Comme vous le faites avec votre dieu… »

À ce stade, les inspirations dans la voix de Mélinda illustraient clairement ses intentions réelles.

[Yoan & Sanitas]

Assis sur le lit, Yoan et Sanitas regardaient Mélinda, qui venait de leur poser une question rhétorique. Ils étaient là pour assurer sa sécurité, et, en guise de réponse, hochèrent simplement la tête d’un air affirmatif.
Elle posa alors une main sur l’épaule de Yoan, précisant qu’il y avait toutefois un autre problème. Les deux esclaves échangèrent un regard, ne comprenant pas pourquoi elle parlait de souci. La chambre était impeccable, le lit soigneusement préparé pour qu’elle puisse s’y reposer.

Mélinda se dirigea ensuite vers un fauteuil qu’elle plaça face au lit, avant de s’y asseoir et de croiser les jambes avec une grâce volontairement calculée. Le geste fit légèrement rougir Yoan, tandis que Sanitas demeurait impassible : il connaissait déjà ce genre de situation.

— Quel autre souci vous tracasse, Maîtresse ? demanda Yoan, désireux d’accomplir correctement sa tâche du jour.

Sanitas, lui, restait silencieux, attendant la suite. Mélinda leur expliqua alors qu’il existait des sortilèges très subtils liés à la magie rose — des enchantements pouvant être dissimulés dans des objets, voire dans un lit. Selon elle, certains de ces sorts pouvaient libérer un poison lorsqu’un couple s’y unissait.
Les deux hommes écoutaient attentivement, bien qu’ils doutassent de la véracité d’un tel sortilège. Aucun d’eux n’osa toutefois le dire. Mélinda précisa qu’elle ne soupçonnait pas la prêtresse Namaah, mais craignait plutôt une manœuvre d’ennemis de l’Empire. Yoan fut soulagé d’apprendre que son amie n’était pas visée, d’autant plus qu’elle était enceinte. Sanitas, quant à lui, avait du mal à croire à cette histoire, mais il ne pouvait se permettre de contredire la Dame. Il attendait donc ses ordres, prêt à obéir.

Les deux esclaves réfléchissaient encore à la manière de vérifier le lit lorsque Mélinda leur donna un ordre inattendu. Elle leur demanda de tester la présence du sort de manière « pratique », à leur façon, comme ils le feraient pour satisfaire leurs maîtres respectifs.
Sanitas ne sembla pas s’en offusquer, tandis que Yoan, lui, rougit vivement. Certes, son maître avait déjà participé à des cérémonies bien plus intenses, mais il ne s’attendait pas à une telle requête. Malgré tout, il devait obéir à la Maîtresse du jour.

— Bien, Maîtresse, répondit Sanitas calmement.

— À vos ordres, Madame, dit Yoan d’une voix un peu hésitante. Mais je vous préviens… nous n’avons jamais rien fait ensemble.

L’hybride esquissa un sourire, comprenant qu’il devrait prendre les devants. Tandis qu’ils s’exécutaient, Mélinda les observait, manifestement satisfaite du spectacle qu’elle s’était offert. Sanitas, plus lucide que son compagnon, avait compris depuis le début que cette « vérification » n’était qu’un prétexte pour divertir leur Maîtresse. Yoan, lui, demeurait trop candide pour s’en rendre compte.

[Mélinda Warren]

Le plus grand avait clairement compris, tandis que le plus petit, à rougir benoîtement, témoignait qu’il était plus candide, et plus soumis, que Sanitas. Mélinda en sourit à nouveau, une lueur malicieuse brûlant dans la prunelle de ses yeux. Elle était bisexuelle, appréciant autant les hommes que les femmes. Bien sûr, elle n’allait pas se contenter de seulement regarder, mais, dans un premier temps, elle était attirée par cette belle attraction. Yoan lui indiqua qu’ils n’avaient jamais rien fait ensemble, ce qui la fit sourire.

« Eh bien, il est temps pour tout. Votre Maître sera sûrement très heureux quand il reviendra, et que vous pourrez le satisfaire tous les deux… Car vous tenez à lui faire plaisir autant qu’à me faire plaisir, n’est-ce pas ? Après tout, en son absence, vous pouvez me considérer comme votre Maîtresse… »

Mélinda n’avait pas encore eu l’occasion de rencontrer leur Maître, Lucifer, mais elle savait qu’il était du style plutôt rentre-dedans. Il avait forniqué assez intensivement avec Alice. Mélinda les vit donc se positionner. Yoan était un peu perdu, alors ce fut Sanitas qui le guida. Ils s’embrassèrent sous les yeux de la vampire, qui soupira doucement. Quand ils rompirent leur baiser, elle se racla la gorge, et donna ses instructions.

« Assieds-toi contre Sanitas, Yoan, et embrasse-le encore… Et toi, Sanitas, retire-lui son haut, et palpe ses fesses… Prenez votre temps, embrassez-vous longuement… »

Mélinda sentait un frisson remonter en elle, un feu intense, celui du désir. Il bouillonnait dans son corps, la stimulant, tandis que les deux hommes, qu’elle pilotait avec aisance, obéissaient à ses fantasmes. Yoan se lova contre Sanitas, et l’embrassa alors. Le baiser fut assez long, tandis qu’il finit torse nu, exhibant son magnifique corps d’éphèbe à Mélinda.

Elle soupira doucement, remuant sur place. Le voyeurisme était quelque chose de puissant pour la stimuler, et ses ongles avaient du mal à rester calmes. Ils avaient ainsi tendance à se déployer, trahissant le désir de leur propriétaire.

« Allez, déshabillez-vous… Je vous veux tous les deux nus, et toi, Yoan, je veux ensuite que tu t’agenouilles, et que tu caresses son sexe… Tu as déjà pris un sexe en bouche ? Je veux que tu le renifles, que tu l’embrasses, que tu en sentes la dureté… »

La voix chargée de désir de la vampire continuait à guider cette superbe scène qui se déroulait sous ses yeux affamés…

[Yoan & Sanitas]

Au fait d'avoir rien fait Sanitas, ils avaient chacun leurs maîtres et celui de l'humain était le cavalier de l'orgie, chose qu'il avait déjà fait. Sauf sans lui il ne faisait rien sexuel, il restait et obéissait juste à son maître. Mélinda lui dit que cela fera plaisir à son maître et vu qu'aujourd'hui elle était sa maîtresse, il devait lui faire plaisir. D'un hochement de tête de la part de l'homme avant que l'hybride ne commence à l'embrasser.

Quand le baiser fut fini, ils entendirent un raclement de gorge avant d'avoir les instructions de ce qu'ils devaient faire. Yoan devait se coller à Sanitas qui devait le mettre nue et jouer avec ses fesses. Elle voulait qu'ils prennent leurs temps dans un long baiser.

Obéissant Yoan se colla à Sanitas tout en venant l'embrasser doucement avant que cela soit langoureux grâce à l'aide de son ami. Celui-ci retirait le reste du kimono de l'humain pour le mettre nue et commencer à caresser ses fesses doucement. Ils faisaient ce qu'on lui avait ordonné. Le baiser long fut finit lorsqu'ils reçurent un nouvel ordre de leurs maîtresse du jour. Ils devaient se mettre tous les deux nus avant de l'entendre dire ce que Yoan devait faire de nouvelle chose sur Sanitas qui se mettait nu tout seul. On voyait la différence de leurs corps un sans aucune trace, alors que l'autre était couvert de cicatrices. L'humain l'était déjà car son maître lui disait de ne pas porter de sous-vêtements.

Rouge voilà à quoi ressemblait le visage de Yoan, il était gêné de faire cela, bien qu'il ait participé à deux orgies pour le moment. C'est à quatre pattes qu'ils se mit entre les jambes de son ami, venant prendre son membre entre ses mains le caressant doucement. Avant de venir le prendre en bouche pour commencer de lent va et viens. Pendant que Sanitas poussait doucement des soupires de plaisir. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas eu les commandes, même si il recevait des ordres de la femme. Il espérait que cela satisferait la personne et que leurs plaisir contenteraient celle-ci.

[Mélinda Warren]

Pour Mélinda, c’était là un fascinant spectacle ! Voir ces deux beaux hommes nus ne manquait pas de l’exciter, enflammant son corps. Elle sentait cette énergie qui remontait en elle, ce désir qui ne demandait qu’à s’exprimer. Se pinçant doucement les lèvres, la vampire pouvait voir les deux beaux hommes, un bel éphèbe et… Un beau guerrier au torse bardé de cicatrices. Mélinda avait envie de l’interroger, de caresser, de lécher, et d’embrasser chacune de ses cicatrices, afin de découvrir leur histoire. Elle vit Yoan s’agenouiller devant Sanitas, gêné, les joues rougies, chaudement excité malgré tout. Il se laissait peu à peu aller, et, quand le jeune homme s’attaqua au sexe de Sanitas. Un traitement qui ne souhaita pas déplaire à cet homme plutôt silencieux, dont le visage inexpressif se fissura enfin, pour le plus grand plaisir de leur hôte.

Mélinda finit par se redresser. Impossible de rester insensible face à tout ce qui se passait sous son nez ! Elle tira sur le lacet noir de sa robe à hauteur de sa poitrine. Quand le nœud se défit, toute sa robe tomba, la partie supérieure s’ouvrant dans tous les sens comme les pétales d’une fleur, et faisant tomber le reste de la robe. Sous celle-ci, la vampire ne portait aucun sous-vêtement. Toute nue, elle se rapprocha du duo. Seul Sanitas pouvait la voir, car Yoan avait commencé à s’attaquer à sa verge. La main de Mélinda caressa alors les cheveux de Yoan, et elle s’assit ensuite sur le lit.

« C’est très bien, Yoan, Sanitas aime beaucoup ce que tu lui fais… Et, surtout, votre Maîtresse aime beaucoup ce que vous faites… »

Le ton langoureux de Mélinda ne mentait pas sur ce qu’elle ressentait en ce moment. Le désir perlait dans son corps, s’exprimant à travers sa voix. Sa main caressa les beaux cheveux de Yoan, et elle se rapprocha de Sanitas. Mélinda releva sa main pour caresser le torse musclé de l’homme.

« Tu es visiblement un solide guerrier, Sanitas… On dit que chaque cicatrice sur le corps d’un homme recèle une histoire… »

Mélinda sourit en glissant ses doigts sur l’une d’entre elles.

« Apprécies-tu les mains d’une femme pour panser tes plaies, Sanitas ? Ou mes baisers ? »

La vampire ponctua cette question par des baisers sur le torse du jeune homme, remontant lentement pour embrasser le creux de son cou, sa joue, et finalement ses lèvres, venant se presser contre lui. Elle se lova ainsi contre son corps, en s’appuyant sur le lit avec ses genoux, ce qui faisait que, concrètement, son bassin se trouvait juste au-dessus de la tête de Yoan, qui aurait une belle vue sur la croupe de sa Maîtresse en relevant les yeux…

[Yoan & Sanitas]

Yoan était entrain de s'occuper de la verge de Sanitas, il ne pouvait pas voir ce qu'il se passait. Pendant ce temps l'hybride regardait la femme retirer ses vêtement pour finir nue car elle ne portait rien en-dessous. Il en profita pour la reluquer sans vergogne pendant qu'il poussait de doux gémissement de plaisir. Le blond sentit une main sur ses cheveux pendait qu'il était félicité et lui expliquait qu'il procurait du plaisir à son amant du jour. Elle leurs gratifia qu'elle aimait beaucoup ce qu'ils faisaient, c'était leurs bute de la satisfaire.

Se laissant faire Sanitas la regarda caresser son torse où se trouvait quelques cicatrices. Elle le comparait à un solide guerrier et que ses cicatrices racontaient chacune une histoire.

-J'apprécie les deux M'adame.

Alors qu'ils la laissaient embrasser son corps pour remonter vers son visage pour une baiser. Il lui mordit une des lèvres pour qu'elle ouvre la bouche pour venir jouer avec sa langue pendant qu'elle escalader son corps.

Pendant ce temps Yoan continuait de faire de va et viens sur le membre de Sanitas pour lui donner le plus de plaisir possible. C'est en levant les yeux qu'il avait la vue sur la croupe de sa Maîtresse. Prenant un peu les initiatives pour une fois, il laissa une de ses mains venir caresser une de ses fesses. Tout en continuant de faire les ordres que lui avait donné Mélinda.

[Mélinda Warren]

Nue comme au premier jour, Mélinda se frottait contre Sanitas. Elle caressait ses cicatrices avec ses griffes, sans chercher à les rouvrir, mais en les palpant, comme si elle cherchait à deviner derrière chaque cicatrice leurs histoires. D’une manière ou d’une autre, Sanitas devra tout lui raconter, lui dire comment il a eu chaque cicatrice, et elle le fera jouir à chaque fois. Car qu’était le sexe, finalement, si ce n’est la célébration de la vie ? Une jouissance, voilà comment on définissait la vie ! Mélinda s’amusait donc, et sentit Sanitas répondre à son baiser, mordillant l’une de ses lèvres. Cela fit frémir la vampire, qui sentait les battements cardiaques de ses deux amants. Elle glissait sur lui, et sursauta en sentant la main de Yoan se relever pour s’appuyer sur sa croupe. Face à ce geste, Sanitas put sentir les ongles de Mélinda s’étirer un peu, griffant légèrement son corps musclé.

« Haaaa… »

Mélinda soupira, et remua sur place. La manière dont elle réagissait était très claire, témoignant de son attrait pour tout ce qui était lieu à l’anal.

« Oh, mon petit Yoan, tu as envie de faire plaisir à ta Maîtresse, hein ? Sanitas, écarte mes fesses avec tes puissantes mains, pour que Yoan puisse y glisser ses doigts… »

Quand les mains de Sanitas s’agitèrent, Mélinda gémit à nouveau. Elle se mordilla les lèvres, et l’embrassa dans le creux du cou, puis commença à remuer sur place. Elle gémit doucement quand les doigts de Yoan la titillèrent, et se promit que sa langue allait remuer en elle, et pas que sa langue… Ni même que ses doigts !

Mélinda soupirait donc, heureuse et excitée.

« Qu-Quand Sanitas se sera déchargé en t-toi, Yoan, n’avale pas… Tu viendras m’embrasser, et… Nous partagerons ensemble le jus de Sanitas… » soupira-t-elle.

Elle prenait son temps. Deux amants aussi beaux, après tout, cela se savourait !

[Yoan & Sanitas]

Alors que Sanitas se laissait caresser doucement par les ongles de Mélinda, Yoan continuait à donner du plaisir à celui-ci. Alors qu'il avait posé sa main sur la croupe de sa maîtresse du jour, celle-ci lui parla, mais il ne pouvait pas lui répondre ayant la bouche occupé à autre chose. L'hybride ayant reçu une nouvelle fois un ordre celui d'écarter les fesses avec ses mains afin que l'humain puisse venir glisser ses doigts dans sa petite entrée. Les deux obéir Sanitas agrippa donc les fesses de la femme pour les écarter avec une certaine force, pendant que Yoan en tâtant pour chercher l'entré qu'il titilla avant de faire rentré deux doigts en elle. Il y allait doucement pendant qu'un frisson parcourait le corps du chat sous le baiser au creux de son cou.

Les doigts u blond bougeait en elle alors qu'il allait plus rapidement sur la verge du chat qui gémissait, prêt à jouir même si il se retenait. Pour le moment il avait le contrôle contrairement à Yoan qui entendait encore des consignes de Mélinda. Il augmenta le rythme afin de faire jouir son ami, ce qui arriva vite, gardant la semence dans sa bouche, il n'arrêta pas de jouer avec l'anus de sa maîtresse. Sanitas avait laissé un long gémissement de plaisir passer lorsqu'il jouissa.

Afin de donner le baiser à la femme, l'humain se redressa et se positionna de façon à continuer de la doigter pour son plaisir, tout en venant l'embrasser sous les yeux de l'hybride qui lui avait attrapé sa poitrine pour la malaxer. Ils étaient deux à pouvoir lui donner du plaisir aujourd'hui et de répondre à chacune de ses demandes. Du coup Sanitas faisait rouler les pointes roses entre ses doigts pendant que Yoan partager un baiser où la salive se mélanger à la semence qu'il avait récolté, jouant avec sa langue pour prolonger le plaisir.

[Mélinda Warren]

Petit à petit, les prétextes avancés par Mélinda s’envolaient. La vampire devenait le centre d’attention des deux hommes. Elle n’aurait pas été contre les voir encore se faire l’amour, mais elle-même avait ses propres limites ! Les voir ainsi tous les deux avait fini par épuiser toutes ses limites. Sanitas malaxait ses fesses, approchant doucement de l’orgasme. Venant de faire jouir Sanitas, Yoan se redressa. Il conserva ses doigts dans le fondement de la vampire, et, tandis que Sanitas se penchait en la faisant basculer vers l’arrière pour embrasser les seins de Mélinda, Yoan se lova dans son dos. Mélinda tourna la tête, et l’embrassa. Le foutre de Sanitas se glissa dans la bouche de Mélinda, qui soupira sur place, et joua de sa langue avec celle de Yoan, partageant le jus intime de leur amant, dont la verge tendue ne tarda pas à se redresser de nouveau.

« Hmmm… »

Ah, que c’était bon ! Sa main se déplaça pour empoigner les cheveux de Yoan, l’empêchant ainsi de rompre ce baiser. Avec son autre main, Mélinda la déplaça pour empoigner le sexe déchargé de Sanitas. Ses doigts s’illuminèrent d’une lueur rose, ragaillardissant le sexe de l’homme. Usant de sa magie rose, Mélinda fit de nouveau se durcir la queue de son amant, et souleva sa queue. Elle en profita pour relever le bassin, et déplaça ainsi le sexe de l’homme sous elle, à hauteur de son propre sexe. Et, dans un grand soupir, elle s’abattit dessus. Le membre de l’homme disparut en elle, et Mélinda soupira. Sa langue continuait à recueillir le foutre de Sanitas, partageant avec Yoan un baiser savoureux et humide.

Mélinda prenait son pied, et, une fois ce baiser terminé, elle posa ses mains sur les épaules de Sanitas. Celui-ci s’était attaqué à ses seins, et put ensuite relever la tête. Mélinda lui sourit, et déplaça ensuite ses mains sur ses joues. Elle l’embrassa passionnément, tout en frottant ses fesses contre le sexe de Yoan.

« Hihi, vous avez de très belles lèvres, tous les deux, haaaa… Tes beaux doigts sont insuffisants, mon cher Yoan, utilise ta verge sur mes fesses… »