Le Palais du roi des cavaliers du plaisir , avec ses colonnes nacrées et ses rideaux ondoyants de soie pourpre, brillait sous le soleil fin d’après-midi comme un joyau lascif. Si l’endroit faisait rêver les nobles et trembler les apprentis, Ratiya, elle, avait le cœur noué.
Pas à cause du faste.
Mais à cause de l’homme qui l’attendait à l’intérieur. Ou plutôt, des deux hommes.
Le Roi des Cavaliers du Plaisir, maître de ce domaine de tentations et Sanitas, son cavalier le plus énigmatique.
En montant les marches polies du palais, son ventre se serra. Elle allait parler de Sanitas au roi. À voix haute. Officiellement.
Et tout Lustoria le savait, bien sûr. Depuis des mois, on murmurait dans les jardins suspendus, dans les allées de la Grand-Marché, dans les bains parfumés… que Sanitas, le cavalier impitoyable, passait beaucoup trop de temps ensemble.
Personne ne les avait surpris dans une étreinte, non. Mais tout le monde avait vu les regards. Les silences. Les absences partagées.
Et aujourd’hui, Ratiya, cette femme d’ombre et de soins, entrait dans le cœur du pouvoir pour poser une question qu’elle n’aurait jamais cru formuler :
Pouvoir partir avec lui.
La salle d’audience l’engloutit dans sa chaleur feutrée. Les murs baignés de lumière rouge sombre vibraient d’une musique à peine audible, une mélodie sensuelle et grave qui donnait l’impression d’entrer dans un rêve éveillé.
Sur son trône bas, le Roi, silhouette détendue mais impériale, la regardait approcher.
À sa droite, comme toujours… Sanitas.
Son cœur battait plus fort. Le roi la regardait déjà. Son visage fermé, grave, et pourtant elle le savait attentif. Il n’avait pas besoin de mots pour la rassurer. Il suffisait qu’il soit là.
Elle inspira, s’approcha encore… et s’inclina avec dignité.
— Majesté… merci de m’accueillir en ces murs. Je suis Ratiya , une fille du peuple , je suis Heurbologue de Lustoria. Je sais que je ne suis ni noble, ni stratège, ni courtisane. Mais je viens avec une demande sincère… portée depuis longtemps.
Le roi la fixa sans rien dire, curieux. Son regard ne la jugeait pas encore. Il attendait.
— Je souhaite me rendre à Mijak. Ce n’est pas un caprice. Les plantes que je cherche n’existent pas à Lustoria. Elles poussent sur les plateaux secs, dans les crevasses des gorges rouges. Des herbes oubliées, anciennes. Des racines aux vertus de guérison que j’ai étudiées longtemps, mais que je n’ai jamais pu toucher du doigt.
Sa voix trembla légèrement, mais elle continua.
— Mais Mijak n’est pas une terre de paix. Et moi… je ne suis pas une voyageuse aguerrie. Je suis herboriste. Je soigne. J’écoute. Je ne me bats pas.
Elle se tourna alors légèrement vers Sanitas. Ses mots se firent plus prudents. Plus intimes.
— J’ai appris, par des rumeurs… et des gens qui parlent plus qu’ils ne devraient… que Sanitas connaît bien Mijak. Les sentiers. Les vents. Les clans sauvages.
Un silence. Puis, plus bas :
— Et je le connais, moi aussi. Il est souvent venu chez moi. Pour des blessures, des douleurs… oui. Mais pas seulement. Avec le temps, nous avons construit une confiance rare. Profonde. Et je sais, je sens… que s’il m’accompagnait là-bas, je pourrais accomplir ce voyage sans peur. Je me sentirais en sécurité. En équilibre.
Un murmure passa dans la pièce, comme un courant d’air invisible. Mais Ratiya, déterminée, s’avança de quelques pas supplémentaires.
Puis, sans dire un mot de plus, elle posa un genou à terre, puis l’autre. Elle baissa humblement les yeux, les mains posées à plat sur le sol elle y posa sa tête.
Un silence total s’abattit dans la salle.
Elle s’inclinait, dans un geste d’humilité sincère mais non soumise.
Pas parce qu’elle se sentait inférieure. Parce qu’elle savait ce qu’elle demandait. Et qu’elle le demandait avec le cœur. Dans ce silence suspendu, elle entendit presque son sang battre dans ses tempes. Elle ne savait pas si le roi allait rire, s’irriter, ou simplement refuser. Mais elle savait une chose : elle n’avait jamais parlé avec autant de vérité et de sincérité. Elle sentait les regards sur elle. Et c’était tout ce dont elle avait besoin pour rester à genoux… sans honte, mais avec espoir.
- Yoan & Sanitas
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- Demande de RP
Sanitas se trouvait dans le palais du Roi des Cavaliers du plaisir, il s’était habitué au lieu. Il pourrait s’y retrouver dedans les yeux fermé tant le lieux était rentré dans sa tête. Mais aujourd’hui était un jour différent des autres, tout simplement car son amie Ratiya allait venir faire sa demande auprès de son Maître. Lucifer, le roi des cavaliers. Le temps que al jeune femme arrive, l’hybride chat se tenait au côté de son Maître, un collier en cuir autour du coup, ou se trouvait un anneau relier à une chaîne aujourd’hui qui elle était dans la main de son Maître et aussi accroché au sol. Mais cet anneau pouvait servir à accrocher autres choses selon l’humeur de l’homme qui l’avait acheté.
Son amie arriva, salua le Roi avant de s’incliner et de prendre la parole. Expliquant qu’elle voulait se rendre à Mijak pour y cueillir des plantes qu’on ne trouve que dans ces terres. Et pour ça, elle avait besoin de l’accompagnement de Sanitas, expliquant qu’il venait la voir lorsqu’il se blessait ou avait des douleurs…. Mais qu’entre eux un lien était né, une confiance rare, mais aussi profonde. Si il n’était pas maître de ses émotions le chat, on aurait pu voir une légère teinte rosé sur ses joues.
Son Maître était absorbé par la discussion, pesant le pour et le contre. Sanitas était sa propriété, il pouvait s’en passer quelques jours, mais il fallait que lui aussi y gagne quelque chose. De plus son esclave n’était pas un garde de base, mais sachant se battre il pouvait lui servir de garde et de guide dans le monde où il avait grandit. Alors qu’il regardait Ratiya s’agenouiller poliment en face du Roi. Sanitas fut tiré par sa chaîne, pour être attrapé par les cheveux par le démon qui prit la parole.
-Je veux bien qu’il t’accompagne, mais tu me devras un service lorsque j’en aurais besoin. De plus personne ne doit le toucher et inversement et je parle de relation sexuelle. Qu’il parle avec des connaissances si il veut, mais rien de plus j’espère être clair car il sera sous ta surveillance.
Il venait de donner son accord contre le service qu’il voudrait et les conditions qu’il mettait en place, vu qu’il le tenait toujours par les cheveux son Maître l’embrassa avec force lui faisant passer le message que si il désobéissait, il serait puni. Sa chaîne fut retirer par la suite, Sanitas alla aidé son amie à se relever du sol et prit sa main. Il la conduisit vers la sortit du palais, prenant le sac qu’il avait préparé en avance.
-C’est parti ma belle on va s’amuser !
---------------------------------------------------------Arrivé à Mijak----------------------------------------------------------
Arrivé à Mijak, Sanitas était prit entre deux sensations, celle d’être heureux de revenir sur la terre où il était né. Mais aussi par celle qu’il l’avait fait partit, mais c’était autre chose. Il se tourna vers l’humaine qui l’accompagnait.
-On va aller se trouver une auberge vu que dans peu de temps ça sera la nuit et que là où on doit se rendre il faut mieux y aller en journée. De plus le voyage à sûrement dû t’épuiser.
Sanitas prit la main de Ratiya car il ne voulait pas la perdre dans la foule du centre ville. Alors qu’il cherchait une auberge, les deux amies tombèrent sur deux démons. Des jumeaux qui se ressemblaient, sauf pour les cheveux, un les avait noir et l’autre blanc.
-Thamuz ! Amon ! Vous êtes en pleins travail encore ?
Son amie arriva, salua le Roi avant de s’incliner et de prendre la parole. Expliquant qu’elle voulait se rendre à Mijak pour y cueillir des plantes qu’on ne trouve que dans ces terres. Et pour ça, elle avait besoin de l’accompagnement de Sanitas, expliquant qu’il venait la voir lorsqu’il se blessait ou avait des douleurs…. Mais qu’entre eux un lien était né, une confiance rare, mais aussi profonde. Si il n’était pas maître de ses émotions le chat, on aurait pu voir une légère teinte rosé sur ses joues.
Son Maître était absorbé par la discussion, pesant le pour et le contre. Sanitas était sa propriété, il pouvait s’en passer quelques jours, mais il fallait que lui aussi y gagne quelque chose. De plus son esclave n’était pas un garde de base, mais sachant se battre il pouvait lui servir de garde et de guide dans le monde où il avait grandit. Alors qu’il regardait Ratiya s’agenouiller poliment en face du Roi. Sanitas fut tiré par sa chaîne, pour être attrapé par les cheveux par le démon qui prit la parole.
-Je veux bien qu’il t’accompagne, mais tu me devras un service lorsque j’en aurais besoin. De plus personne ne doit le toucher et inversement et je parle de relation sexuelle. Qu’il parle avec des connaissances si il veut, mais rien de plus j’espère être clair car il sera sous ta surveillance.
Il venait de donner son accord contre le service qu’il voudrait et les conditions qu’il mettait en place, vu qu’il le tenait toujours par les cheveux son Maître l’embrassa avec force lui faisant passer le message que si il désobéissait, il serait puni. Sa chaîne fut retirer par la suite, Sanitas alla aidé son amie à se relever du sol et prit sa main. Il la conduisit vers la sortit du palais, prenant le sac qu’il avait préparé en avance.
-C’est parti ma belle on va s’amuser !
---------------------------------------------------------Arrivé à Mijak----------------------------------------------------------
Arrivé à Mijak, Sanitas était prit entre deux sensations, celle d’être heureux de revenir sur la terre où il était né. Mais aussi par celle qu’il l’avait fait partit, mais c’était autre chose. Il se tourna vers l’humaine qui l’accompagnait.
-On va aller se trouver une auberge vu que dans peu de temps ça sera la nuit et que là où on doit se rendre il faut mieux y aller en journée. De plus le voyage à sûrement dû t’épuiser.
Sanitas prit la main de Ratiya car il ne voulait pas la perdre dans la foule du centre ville. Alors qu’il cherchait une auberge, les deux amies tombèrent sur deux démons. Des jumeaux qui se ressemblaient, sauf pour les cheveux, un les avait noir et l’autre blanc.
-Thamuz ! Amon ! Vous êtes en pleins travail encore ?

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Sanitas parle en 800040
Sanitas parle en 800040
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- Demande de RP
Amon, Thamuz, les jumeaux tieffelins, mi-inccube par leur mère et mi-démon par leur géniteur qui lui était inconnu au bataillon.Ils avaient hérité d’une force plus que surhumaine et une guérison total avec la chance de résister à la plus part des poisons. Mais pour cette dernière nuit de travail avant qu’ils ne soient en vacances plus que mérité. Entre le passage des Amazones et la rencontre de Persée avec qui les deux s’étaient bien entendu et la rébellion du Baron qui avait décidé de renverser le régime de l’Empereur. Ce qui fut un combat rude, mais vraiment sans gros problèmes car tout fut vite contrôlé par la force militaire et leurs présences. Bien qu’ils avaient été blessé à plusieurs reprises, mais cela leurs avaient valut juste une bonne bataille avec des ennemis à vaincre sans se retenir de leurs forces. Les deux avaient du sang sur les mains, comme on le dit, mais dans leur coeur l’Empire de Mijak, sous les ordres de l’Empereur passaient en priorité sauf lorsque cela concerné la famille. C’était une autre chose. Ils avaient trouvé leurs voies dans l’armée, un doué pour tout détruire sur son passage et l’autre qui faisait preuve de diplomatie. Un duo qui se complétait totalement.
Mais pour ce soir, ils faisaient le tour de port, du centre ville et des auberges, volant au-dessus des habitants et des voyageurs. Pas trop haut, n’y trop bas, juste assez pour voir si il n’y avait pas de problème. Afin d’être le plus léger possible, ils ne portaient par leurs armures lourdes de combats. Ils étaient habillé en tailleur noir, avec une chemise rouge, sur la pochette de leurs vestes se trouvaient les armoiries de l’Empereur en argent. C’étaient leurs vêtements de gardes, mais les couleurs étaient les mêmes que sur celles de leurs armures de combat, c’est jusque que là ils étaient de surveillance.
Toujours en volant au-dessus des citadins ainsi que les voyageurs, l’homme aux cheveux noires remarqua une personne. Un hybride chat accompagné d’une humain. C’était rare d’en voir dans la ville avec tous les démons qui existaient, il fit signe à son frère pour lui montrait les deux personnes. Ils se regardèrent, un hochement de tête avec un sourire, ils décidèrent de faire une courte de pause. Descendant pour que leurs pieds touchent le sol, arrêtant les deux personnes en se mettant devant eux. Thamuz attrapa l’hybride par l’oreille en souriant alors qu’Amon lui disait que oui ils étaient de travail ce soir.
-Sanitas ! Où es tu donc passé ? Cela fait des mois qu’on te cherche sur notre temps libre, on commençait à se poser des questions tu nous a pas dis que tu partais !
Amon attrapa la main de son frère pour qu’il lâche l’oreille de Sanitas avant de le blesser et de s’en vouloir après.
Mais pour ce soir, ils faisaient le tour de port, du centre ville et des auberges, volant au-dessus des habitants et des voyageurs. Pas trop haut, n’y trop bas, juste assez pour voir si il n’y avait pas de problème. Afin d’être le plus léger possible, ils ne portaient par leurs armures lourdes de combats. Ils étaient habillé en tailleur noir, avec une chemise rouge, sur la pochette de leurs vestes se trouvaient les armoiries de l’Empereur en argent. C’étaient leurs vêtements de gardes, mais les couleurs étaient les mêmes que sur celles de leurs armures de combat, c’est jusque que là ils étaient de surveillance.
Toujours en volant au-dessus des citadins ainsi que les voyageurs, l’homme aux cheveux noires remarqua une personne. Un hybride chat accompagné d’une humain. C’était rare d’en voir dans la ville avec tous les démons qui existaient, il fit signe à son frère pour lui montrait les deux personnes. Ils se regardèrent, un hochement de tête avec un sourire, ils décidèrent de faire une courte de pause. Descendant pour que leurs pieds touchent le sol, arrêtant les deux personnes en se mettant devant eux. Thamuz attrapa l’hybride par l’oreille en souriant alors qu’Amon lui disait que oui ils étaient de travail ce soir.
-Sanitas ! Où es tu donc passé ? Cela fait des mois qu’on te cherche sur notre temps libre, on commençait à se poser des questions tu nous a pas dis que tu partais !
Amon attrapa la main de son frère pour qu’il lâche l’oreille de Sanitas avant de le blesser et de s’en vouloir après.
Thamuz porte le surnom "Le tricheur noir" qui veut qu'il dire triche de manière sournoise ou de façon discrète et parle en 400000
Amon porte le surnom "Le sculpteur de mot" qui veut dire qu'il est d'une grande finesse d'expression verbale et une capacité à manipuler le langage de manière à avoir ce qu'il veut et parle en 000080
Amon porte le surnom "Le sculpteur de mot" qui veut dire qu'il est d'une grande finesse d'expression verbale et une capacité à manipuler le langage de manière à avoir ce qu'il veut et parle en 000080