The Multiversity

[Suida ''Erona'' Trogia]

Drunem la nuit... Depuis la purification de son Oasis par Shad et Akimbo, cet endroit avait vu arriver tout doucement des membres du clan Buta. Les humains porcins étaient guidé par des prêtres de Moccus qui avait reçut le signal de leur dieu l'endroit avait été aseptisé et purifié. L'eau pure avait doucement vu croître une flore luxuriante et généreuse. Des arbres fruitiers en tout genre venait de cercler cet endroit. Propre aux enseignements des dogmes de Moccus, les Buta commencèrent à déblayer les alentours, ériger des fortifications avec les parois métalliques et les charpentes des ruines alentours. Rapidement, un Oppidum fut construit avec toutes la récupération alentours. Isolés de la désolation du Rust World, organisant des rondes et des tours de gardes, ceux qui proches de la terre commencèrent à cultiver et purifier les terres. Les plantes croissaient à une vitesse folle, favorisant l'élevage du bétail, des Daeodons et permettant aussi une profusion folle de nourriture. Drunem devint par la suite autonome.

De toiles de tentes et de constructions primaires, Drunem se vit rapidement doter de maisons de fortunes et de bâtiments plus durables, fait avec la récupération alentour. Rapidement, Drunem passa d'un camp fortifié à une ville aux allures de bidonville confortable. Suida, reconnut par les prêtres comme l'une des sauveurs de l'oasis fut élevée au rang de championne. On organisa un banquet fastueux à son arrivée et rapidement, parmi les siens, Suida se sentit totalement intégrée. Comme tout le monde se connaissait, on pouvait même dire que Suida devint presque un visage dans toute la foule et elle se mit à connaître la plupart des habitants. Des fois on se référait à elle pour quelques propositions, elle parlait au conseil de la ville, mais les Buta n'étaient pas prise de tête et ne s'inquiétait pas de ne pas faire les choses parfaitement tant qu'ils se sentaient en sécurité et avec une opulence de boustifaille. Pour le reste, ils faisaient avec ce qu'ils avaient.

Suida eut le droit de s'installer où elle voulait et ce fut une maison faite avec des matériaux de récupération. Une maison constitués d'un amas de vieux conteneurs et de morceaux de véhicules. De quoi accueillir son Maître Bhouta et lui faire découvrir cette ville de Buta animée et prête à défendre ce coin de paradis nouvellement acquis. Mais aussi, ce soir était spécial, c'était la Craspouillade, jour férié des Buta. Une fois dans l'année, ils s'offraient un jour de banquet opulent sous toutes ses formes. Et le soir, quand les enfants étaient couchés, on s'appliquait à en avoir d'autres. Parmi ces lieux, on retrouvait la Porcherie. Nightclub construit dans une vieille cave voûtée retrouvée en retournant les ruines alentours, une maison ordinaire avait été construite au dessus et son accès réservé à une clientèle sélectionnée. Ici, on oubliait le nom des autres. On devenait le temps d'une soirée un corps anonyme ou couvert d'un sobriquet pour s'abandonner au plaisir corporel sous toutes ces formes. Suida s'apprêta dans sa maison pour se rendre à la Porcherie. Maquillage exubérant, robe provoquante cachée sous son manteau, parfum puissant et orifices préparés. Dans les rues, Suida traversa les allées pour arriver devant l'entrée souterraine de la Porcherie. Le videur fit un pas de côté et désigna l'entrée sans un bruit avec un sourire complice. Le secret serait bien gardé... En descendant les marches, Elle ouvrit son manteau, passant de Suida à Erona. Déposant ce dernier au vestiaire, elle se regarda dans le miroir pour ajuster sa robe et quelques touches de maquillages avant de remarquer la présence de Chengzu. Elle hésita un moment avant de le rejoindre.

"S. Salut ! Maître t'as invité ? Tu sais... On a pas encore eut trop le temps de parler depuis... Depuis la dernière fois. Même si j'ai cette apparence, j'ai encore... le coeur d'Akimbo. On a été amis alors... Je me demandait si..."

Un peu maladroit pour une entrée en la matière oui... Mais difficile de voir leur relation ainsi altérée.

[Chengzu von Nacht]

Les von Nacht avaient reçu une invitation de la part de Bhouta. Si Ishtar l’avait rejeté d’emblée, trouvant cet homme toujours aussi affreux (au grand désespoir de ce dernier), Chengzu l’avait accepté. Suida, la nouvelle identité d’Akimbo, avait réussi à fonder une colonie de Butas au Rustworld, une ville nommée Drunem. Les von Nacht avaient accepté de commercer avec Drunem, d’aider à son développement, d’investir en son sein. Le monde détruit qu’était le Rustworld offrait parfois des opportunités qu’il fallait saisir. Bhouta organisait une fête pour célébrer l’ouverture officielle de Drunem, une soirée à la Porcherie, un night club sexuel offrant de multiples prestations et divertissements. Cela avait confirmé que la famille avait fait le bon choix en cédant Akimbo à Bhouta. Si Alice aurait bien aimé venir, Ishtar n’avait pas envie de se trouver seule, et Alice resta donc au manoir Naviento, ce qui serait aussi lo’ccasion pour elle de s’amuser avec Malaurie, tandis que Chengzu et Theorem se rendraient à Drunem. Audacieux, et espérant sans doute que cela aurait pu motiver Ishtar à venir, Bhouta avait signalé dans sa lettre qu’un concours aurait lieu entre l’égérie de Nachtheim, Theorem, et l’égérie de Drunem, Erona. Le plan de Bhouta amusa Chengzu, qui y voyait surtout l’occasion de confronter Theorem à celui qui fut son amant, Akimbo… Désormais devenue une séduisante femme.

Chengzu et Theorem partirent à bord d’un solide navire infernois, convoyant des marchandises pour Drunem. Il y avait essentiellement des minerais, mais aussi du matériel de luxe, notamment des tenues en latex confectionnés par Chengzu. Chengzu partit après une nuit orgasmique avec Malaurie, où Alice les rejoignit. Theorem et Chengzu prirent ensuite la voie des mers. Un voyage assez habituel au Rustworld, où ils furent attaqués par des monstres marins. La Marine d’Infernis savait y faire face, mais Theorem était aussi un rude guerrier, qui s’illustra à chaque fois, et avait droit à des nuits agitées en compagnie de Chengzu.

Ils arrivèrent ensuite à Drunem. Bhouta fut heureux de les voir. Une ambiance assez paisible régnait à Drunem, avec des lanternes, des guirlandes, et un grand banquet installé sur la place centrale sous des tentes. Bhouta se chargeait de la nourriture et de la b oisson, préparant des saucisses, des sushis, et offrait aux convives de jeunes éphèbes ou prostituées allongés nus sur les tables, et sur lesquels on venait se servir.

« En attendant que le banquet soit prêt, je vous invite à aller à la Porcherie ! »

Bhouta avait aussi quelque chose à prouver aux von Nacht. Il n’oubliait pas qu’il avait été en un sens éconduit par Theorem. Alors, l’idée de leur rabattre le caquet avec Erona le motivait. Bhouta attendait Erona, qui se changeait. Chengzu laissa Theorem sous les regards lubriques des convives, et alla aux toilettes. Ceux-ci étaient à proximité des toilettes, ce qui fit qu’il perçut l’aura d’Erona. Chengzu ouvrit donc la porte des vestiaires, et aperçut Erona, qui portait une robe bodycon rose en latex. Chengzu la reconnut, c’était l’une des robes qu’il avait conçus. Il avait encore son sexe en l’air libre, et, sans dire un mot, la laissa se rapprocher.

Il sourit quand elle indiqua qu’ils avaient été « amis ». Il posa sa main sur la joue d’Erona, caresse ses lèvres… Puis la poussa ensuite contre le lavabo des toilettes. Il l’amena à se retourner, releva sa robe, et s’enfonça alors sans ménagement dans son cul, écartant le plug anal dans la foulée.

« Hum… Tu as surtout été… Celui pour qui mon Theorem a hésité, haaaa… Ce soir, il va te foutre la misère, et c’est tout ce qu’une pute comme toi mérite, Erona… »

Chengzu continua donc à la besogner, tirant sur les cheveux d’Erona, et gifla l’une de ses fesses.

« Tu aimes cette robe de salope ? Bhouta me l’a demandé pour toi, je l’ai fait quand je t’ai baisé au ranch… Est-ce que tu te fais bien sauter ici ? Je sens tellement d’odeurs sur toi… À croire que tu as fondé Drunem juste pour en être la pute principale ! »