The Multiversity

[Reine Alice Korvander]

Bobbie était chaudement excitée par tout ce qui se passait ici. Frémissant sur place, elle s’était rapprochée à quatre pattes de sa femme. Elle pouvait effectivement constater combien le sexe changeait la personnalité de sa femme. Mais cela marchait aussi pour Bobbie. Sans son phallus, elle se sentait beaucoup plus soumise, elle soupirait à chaque fois que Joana l’insultait, et sentit ses parois intimes se contracter. Sa femme venait de la baiser, et tout ce à quoi Bobbie aspirait, c’était de se faire baiser à nouveau. Elle enroula ses seins autour de la verge de sa femme, et commença à la masturber. Joana savait très bien le faire, mais Bobbie n’était pas en reste. Sa belle queue tendue durcit à nouveau, et se dressa contre les seins de Bobbie, remontant jusqu’à ses lèvres. Elle baisa tendrement sa pointe, déposant ses lèvres dessus, donnant des coups de langue, sentant de petits jets de foutre jaillir, qu’elle avalait doucement.

« Hum, ta queue est déjà si dure, tu as vraiment l’air d’aimer ça, ma chérie… Me remplir avec ta grosse queue, me faire couiner comme une salope… »

C’était comme ça que Joana l’avait appelé, il était donc logique que Bobbie enchaîne sur cette remarque. Regardant sa femme malaxer sa verge avec ses seins, Joana fit ensuite signe à Charity d’approcher. La belle infirmière rougit, et rejoignit le duo.

« Han Maîtresse… » gémit Charity en sentant la main de Joana explorer sans vergogne son corps.

Elle frémit à cet attouchement. Pue farouche, Charity ne masquait nullement l’attrait qu’elle ressentait pour ce duo. Alors, quand Joana lui demanda de se cambrer, Charity, qui était souple, ne se pria pas de le faire. Elle écarta ses jambes, et se pencha en avant, bombant ses fesses vers Joana, qui put voir les lanières de ses porte-jarretelles quand elle se pencha outrageusement en avant. Une vue exquise qui ne manqua pas de dresser et de durcir la verge de Joana.

« Co-Comme ça, Maîtresse… ? M-Me trouvez-vous à votre goût ?
- Toi, tu as envie de te la faire, ma chérie… Hihi… Heureusement que cette chienne a plusieurs ouvertures, hein ? »

La subtilité n’était pas au rendez-vous, c’était du sexe, pur et dur. Bobbie sentit alors Joana se mettre à jouir. Elle soupira ne sentant la crème de sa femme jaillir sur son visage, éclaboussant aussi ses gros seins et son torse. Elle avait regardé sa femme fondre sur place, soupirant longuement tout en jouissant, orgasmant avec force.

« Oh, tu as balancé une sacrée giclée, ma chérie… Charity, sois une gentille petite esclave, nettoie-moi avec ta langue… Et embrasse-moi, je veux sentir le foutre de ma femme dans ta bouche de petite suceuse… »

Charity déglutit, et se mit à genoux, se dépêchant d’obéir à un ordre qui tenait davantage pour elle du fantasme absolu que d’autre chose…

[Shykarka]

Entre le plaisir de se faire sucer par Bobbie et le bon cul dodu de Charity qu’elle pelotait, Joana ne tarda pas à jouir. Dans un couinement de plaisir elle sentit sa verge se contracter puis cracher sa semence gluante, se déversant dans la bouche de sa femme et éclaboussant son visage et son torse.

« Aaahhh… ooouuuiii… »

Joana venait de vivre sa première fellation en étant de ce côté-ci du pieu et ça lui avait fait un bien fou. Etalée dans son fauteuil elle regarda avec délice la façon dont Bobbie fit approcher Charity, l’autorité dont elle fit preuve quand elle lui ordonna de la nettoyer puis de l’embrasser… sa femme était vraiment bandante. Elle posa sa main sur sa queue à demi-molle et la caressa lentement en regardant Charity lécher le corps de sa femme, ramassant la moindre trace de foutre sur sa peau avant de venir coller sa jolie bouche de suceuse contre la sienne dans un baiser visqueux où elles se partageaient le foutre de leur maîtresse. Cette dernière se pinçait les lèvres de joie en admirant ce spectacle, ces deux belles femmes qui s’en donnaient à cœur joie et dont elle allait pouvoir profiter selon son bon vouloir.

Hhhmmm… j’aimerais pouvoir me dédoubler… pour les baiser toutes les deux en même temps.

Une fois leur baiser terminé Joana se leva pour venir se mettre entre elles. Avec ses caresses elle avait retrouvé une belle érection et sa verge se dressa devant les deux femmes, qui la regardaient avec appétit. Elle posa une main sur chaque paire de fesses et les pelota avec bonheur tout en souriant à ses amantes.

« Vous êtes vraiment deux belles salopes toutes les deux. Et ce que tu as dit tout à l’heure… comme quoi Charity avait une belle bouche de suceuse… oouuhh… je vais peut-être vérifier. »

Mais pas tout de suite. Elle venait juste de se faire sucer, elle voulait une autre expérience. Elle mit une claque sur le cul de Charity.

« Déshabille-toi… qu’on puisse t’admirer complètement. »

L’infirmière n’eut pas besoin de se faire prier pour enlever ses vêtements. Une fois nue elle était encore plus désirable, ce qui était un sacré exploit vu comme elle était sexy de base. Joana passa ses bras autour d’elle, plaqua sa poitrine contre la sienne et l’embrassa, faisant tourner sa langue énergiquement avec la sienne. Le baiser ne dura que quelques secondes, une simple mise en bouche pour exciter la jeune femme, puis la ménagère lui mit une claque sur le cul avant de retourner s’asseoir dans son fauteuil.

« Alors… laquelle d’entre vous veut venir masser ma queue entre ses seins ? »

[Reine Alice Korvander]

Sous les yeux de Joana, Bobbie et Charity partagèrent entre elles un baiser très aqueux, sale et savoureux. C’était poisseux, bruyant et gluant. Le sperme se mélangeait entre leurs lèvres, entre leurs bouches affamées. La verge de Joana durcit lentement, ce que Bobbie pouvait sentir. Quand les deux femmes eurent fini de se chauffer devant sa femme, Bobbie et Charity se relevèrent. L’infirmière rougissait benoîtement, et couina même quand la main de Joana s’abattit sur ses fesses. Elle se mordilla les lèvres, et gémit en sentant la main ferme de Joana lui malaxer le cul. Bobbie sourit également, et embrassa sa femme. Joana demanda ensuite à Charity de se déshabiller. L’infirmière acquiesça rapidement.

« O-Oui, Maîtresse…
- Garde tes jarretelles, par contre… Je veux qu’on te baise avec. »

Charity rougit encore, et, sous le regard libidineux des Eberhart, retira sa blouse. Elle défit sa ceinture blanche, puis déboutonna sa blouse. Dessous, elle était toute nue, n’ayant plus que ses jarretelles et son porte-jarretelles blanc. Un sexe parfaitement imbibé, sans doute suite à une opération au laser. Bobbie, qui tenait alors la main de Joana, laissa sa femme rejoindre Charity, l’enlacer, et l’embrasser langoureusement. Bobbie sentit un fourmillement autour de son clitoris. Elle serra les poings, sentant que, sous l’effet du désir, sous l’envie furieuse de baiser Charity, sa verge avait envie de se déployer. Bobbie devait se concentrer, même s’il était à ce stade inévitable que Charity ait l’immense honneur d’être la première femme à se faire prendre par le couple Eberhart.

Quand Joana demanda à ce qu’on lui fasse une cravate de notaire, Bobbie se positionna. Si elle voyait Charity faire ça, il était sûr qu’elle déploierait sa verge ! Et elle voulait que Joana puisse en profiter. Avoir sa femme en dominante l’excitait follement, Bobbie n’avait pas envie que la situation puise s’inverser.

« Cet honneur me revient, ma chérie… »

Bobbie s’agenouilla donc devant Joana, et avança ses seins. Elle masturba avec ces derniers l’élégante verge de Joana, et sourit en voyant le regard nimbé de désir de sa femme.

« Tu la sens ainsi ? Cette force ? Cette puissance… Ce goût pour la domination… Tu es tellement belle, Joana… Ma Maîtresse… »

Bobbie embrassa la pointe de sa queue, qui ressortait entre ses gros seins, et continua ensuite à la masturber, sentant l’épaisseur de ce membre, cette rigidité exquise… Un régal, oui, un régal !

[Shykarka]

Joana savait que les choses allaient être différentes avec une verge entre les cuisses mais elle s’attendait seulement à des changements dans ses sensations physiques, elle ne pensait pas que son nouveau sexe allait aussi affecter sa mentalité. Elle se sentait plus puissante, plus dominante, elle prenait plaisir à voir Bobbie et Charity obéir à ses ordres, désirer sa bite, tendre leurs seins et leurs fesses pour se faire peloter, tomber à genoux devant elle pour la sucer… En plus les deux femmes étaient de belles perverses, elles ne cachaient pas leur excitation et étaient heureuses de pouvoir satisfaire ses envies.

Joana s’installa sur un fauteuil et ordonna à ses amantes que l’une d’elles vienne masser sa verge avec ses seins. Bobbie se mit aussitôt en place et la ménagère sourit en voyant combien sa femme était motivée. Elle la regarda placer ses seins sur sa lance puis les refermer autour, entamant une délicieuse cravate de notaire qui remplit bien vite les yeux de la futa d’excitation. Et mieux encore, pour la première fois sa femme l’appela ’’Maîtresse’’, un mot qui lui fit lâcher un râle de satisfaction.

« Aaahhh… oui ma chérie… je suis ta maîtresse… et toi tu es ma magnifique femme… ma servante… ooohhh… ma pute. »

Depuis leur arrivée à Stepford Joana n’avait eu de cesse d’écarter les cuisses pour sa femme, pour Jessica, pour d’autres habitantes… maintenant la tendance allait s’inverser, les hommes et les femmes de Stepford allaient tous écarter les cuisses pour elle, la luxure allait inonder les rues et elle serait au centre de ce tourbillon d’extase, elle serait leur maîtresse à tous.

« Ooouuuhhh… alors c’est ça que tu ressens… quand tu es une futa ? Cette sensation de puissance… cette envie de dominer les autres… ce besoin intense de les baiser… aaahhh ! J’espère que tu seras… à la hauteur… ma salope. »

Avec un désir aussi puissant il n’était pas étonnant que sa femme soit devenue une telle folle du sexe après sa transformation, maintenant ça allait être elle qui allait s’en donner à cœur joie et elle ne comptait pas s’arrêter à sa femme ou aux ménagères du voisinage. Elle commença à s’imaginer les hommes soumis qu’elle allait créer avec sa femme et leurs alliés dans leur grand projet de transformation de Stepford, ces hommes autrefois si fiers et forts qui allaient tomber à genoux devant elle pour lui sucer la bite ou se mettre à quatre pattes pour se faire sodomiser comme des chiens.

Oui… je vais fourrer ces petits cochons… baiser leurs femmes et leurs mères sous leurs yeux… ils vont comprendre qui est le chef ici.

Dale et ‘’Carla’’ Downstar seraient de bons premiers candidats, mais à terme elle comptait bien se farcir toute la ville.

Le regard lubrique de Joana se détourna de sa femme pour se poser sur Charity. L’infirmière quasi-nue, à l’exception de son porte-jarretelles et de ses bas, observait la scène avec les yeux brillants de désir, se pinçant les lèvres et se tortillant sur place, frottant ses cuisses l’une contre l’autre pour essayer d’apaiser un peu le feu entre ses cuisses. La futa se lécha les babines.

« Hhhmmm… ça te plait hein ? Tu aimes voir ma femme me masser la bite avec ses gros seins… et m’embrasser le gland avec ses belles lèvres ? Ooohhh… tu es une belle salope toi aussi. »

Tant mieux, Joana aimait ça. Elle fit signe à l’infirmière d’approcher et de se tourner pour lui tendre son cul, sur lequel elle mit une bonne claque avant de se mettre à le palper. La jeune femme avait vraiment des belles fesses, rondes et dodues, la futa prenait beaucoup de plaisir à les regarder et à sentir leur chair sous ses doigts. Elle savait déjà qu’elle baiserait ces belles fesses tôt ou tard, et il y avait des chances que Bobbie se joigne à elle à ce moment-là, mais pour le moment Charity était juste un plaisir de second plan qui venait s’ajouter au plaisir donné par sa femme. Sentir la chair moelleuse de ses seins autour de sa lance, cette vallée des plaisirs bien chaude qui lui donnait tant de plaisir, voir les yeux luisants de désir de sa chère et tendre moitié… comment ne pas être sous le charme d’une telle beauté ?

« Aaahhh… oui ma belle… continue… ça vient… ooouuuiii ! »

Joana arriva à l’orgasme et son sperme gicla, éclaboussant généreusement le visage et la poitrine de Bobbie. Une fois son éjaculation passée elle ne laissa même pas le temps à sa femme de réagir, elle la fit monter sur ses genoux et l’installa au-dessus de sa verge toujours érigée malgré le fait qu’elle venait juste de jouir.

« Maintenant on passe au rodéo, ma salope. Empale-toi sur ma bite… et danse. Je veux te voir prendre ton pied… avec ta face de pute et tes gros seins pleins de foutre. »

Oui elle avait interdiction de se nettoyer pour le moment, la ménagère voulait profiter de la vue de sa chérie maculée de semence comme la dernière des traînées qui viendrait de se prendre une faciale. Les mains bien posées sur ses hanches, elle allait lui laisser donner le rythme au début mais ensuite elle prendrait les commandes pour bien la baiser.

[Reine Alice Korvander]

Joana était en train de découvrir la force du sexe masculin, du fait de porter une verge. Elle sentait cette énergie en elle, cette force vigoureuse, cette soif de domination. Bobbie n’était pas télépathe, mais elle n’avait pas besoin de ça pour le sentir. Sans sa verge, elle aussi se sentait différente, plus soumise. Elle frissonnait quand sa femme lui parlait fort, lui donnait des ordres. Bobbie en sentait des frissons parcourir tout son corps. Elle s’en mordillait les lèvres, et remuait nerveusement sur place, tout en continuant à branler la verge de Joana. Elle fit signe à Charity de tendre ses fesses vers elle. L’infirmière rougit en obtempérant, et se reçut une bonne fessée.

« Haaaa… !! »

Charity se mordilla les lèvres, tandis que Bobbie pouvait sentir la verge de Joana durcir entre ses lourds seins. Elle s’appliquait plutôt bien, tout en se demandant si Joana ressentait la même chose qu’elle quand Bobbie avait sa queue nichée entre ses seins. Joana se tortilla sur place, et finit par jouir. Bobbie sentit sa queue tressauter sur place, et juter entre ses seins. Le sperme remonta jusqu’à son visage, et Joana se mit à jouir généreusement. Bobbie s’écarta ensuite, sentant ce sperme chaud sur elle. Sans lui laisser le temps de souffler, Joana lui donna alors son prochain ordre : grimper sur elle, et s’empaler sur sa queue. Bobbie sourit, et se redressa alors. Charity était toujours à proximité, et Bobbie la regarda.

« Filme-nous, Charity, je veux pouvoir immortaliser ça. »

Bobbie lui donna le code de déverrouillage de son téléphone portable, puis elle grimpa sur le fauteuil de Joana. Elle sourit en enfonçant ses genoux à gauche et à droite du corps de Joana, et déplaça sa main pour empoigner sa verge tendue, et trempée. Bobbie se mordilla les lèvres en croisant le regard de Joana.

« Tu aimes ça, hein ? Tu aimes me voir me dandiner sur toi et sur ta grosse queue ? Oh, ma chérie, je serai ta pute si tu le veux… »

Soupirant lentement, Bobbie s’empala alors sur la queue de sa femme, et se mordilla les lèvres. Elle posa ses deux mains sur le dossier du fauteuil, et se mit donc à remuer, de haut en bas. Elle sentait la grosse queue de son amante s’enfoncer en elle, et Bobbie gémit encore, soupirant en se tortillant sur place, de haut en bas. Elle sentait cette grosse verge enfler en elle, et la pièce s’emplit des gémissements de Bobbie.

« Tu-Tu aimes ça ? Je m’inspire de toi, tu sais… Serais-je aussi salope que toi, ma chérie ? Tu es un bel exemple dans ce domaine, tu sais, hihi... ♥ ! »

[Shykarka]

Joana n’avait pas mis longtemps à trouver un bon rythme pour manier son nouvel engin, pour le plus grand bonheur de sa femme. Cette dernière venait de lui faire une belle cravate de notaire et maintenant elle allait s’empaler sur sa queue, et ça lui fit tellement plaisir qu’elle demanda à Charity de filmer la scène avec son téléphone. La ménagère regarda sa femme grimper sur le fauteuil, placer ses genoux de part et d’autre de son corps et déplacer sa main pour attraper sa verge tendue, se mordillant les lèvres en croisant son regard et en lui promettant qu’elle serait sa pute si elle le désirait.

« Aaahhh… »

Joana sentit sa verge s’enfoncer dans la chatte de Bobbie et elle soupira de plaisir lors de toute sa progression, puis les soupirs se changèrent en couinements quand sa moitié commença à bouger de haut en bas. Ses mains fermement posées sur ses hanches accompagnaient ses mouvements et elle se régalait autant de la sensation de sa queue serrée par ses parois vaginales que des mots qui sortaient de sa bouche, quand elle disait qu’elle s’inspirait de sa chérie qui était une belle salope.

« Ooohhh… je suis sûre que toi aussi… tu seras une belle salope. »

Après tout sa chérie était une fana de sexe, avec ou sans sa verge, et elle aurait non seulement sa femme mais aussi leurs amies pour s’exercer et reprendre l’habitude d’avoir une vulve entre les cuisses.

« Aaahhh… quand on sera rentrées à la maison… on réfléchira à comment faire de toi… une parfaite salope… comme moi. »

Ce changement allait peut-être nécessiter un petit temps d’adaptation, Joana n’allait probablement pas aborder le fait d’être une futa de la même façon que Bobbie, mais au final le couple retrouverait son intimité et s’amuserait exactement comme quand les rôles étaient inversés. En plus le fait qu’elles puissent maintenant faire des combinaisons femme-femme et futa-futa allait leur ouvrir de nouvelles possibilités avec leurs amis stepfordiens.

« Je m’imagine déjà… oouuhh… quand je rentrerai du travail, ce sera toi qui me feras une pipe de bienvenue. Hhhmmm… je te baiserai sous la douche… et une fois les filles couchées on continuera partout dans la maison. Le salon… la cuisine… la chambre… ooohhh… on s’en donnera à cœur joie. »

Petit à petit Joana accompagnait les mouvements de bassin de Bobbie avec ses mains et ses hanches, enfonçant ainsi sa verge toujours plus profondément dans sa chatte. Elle progressait dans l’utilisation de sa verge et elle était sûre que sa femme apprécierait.

[Reine Alice Korvander]

Il était fascinant de voir comment le simple fait d’avoir une tige entre les cuisses changeait totalement les rapports de force ! Bobbie se sentait plus soumise, et Joana plus dominante. C’était un rôle que les deux femmes acceptaient mutuellement. Le docteur Khymeira aurait sans doute eu des explications tout à fait scientifiques sur ce phénomène, en parlant de testostérone, ou de toutes les hormones que les testicules produisaient dans le corps. La finalité n’en restait pas moins que Joana la dominait, et que Bobbie, habituellement si dominatrice, acceptait volontiers cette situation. On aurait même pu dire que l’inverse l’aurait vexé, que l’idée que Joana reste soumise aurait été insupportable avec un tel manche ! Bobbie rougissait donc, et s’empala sur le corps de sa femme. Elle gémit, et le fauteuil, non pensé pour supporter deux nymphomanes en rut, se mit à couiner, à gémir, les pieds avant ayant tendance à se redresser, avant de retomber, au fur et à mesure que Bobbie dansait sur sa femme.

Elle s’était empalée sur elle, posant ses mains sur ses épaules en appui, et dansait de haut en bas. Une danse finalement simple à saisir, agréable et intense, où la chair claquait contre la chair. Il y avait si longtemps que Bobbie n’avait pas été pénétrée ainsi, qu’elle n’avait pas senti sa chatte se faire remplir… Depuis son arrivée à Stepford, elle avait baisé de nombreuses chattes, celle de Joana étant naturellement sa préférée. Elle se mit donc à soupirer, à gémir, ressentant encore mieux ce que les autres devaient éprouver quand Bobbie les pénétrait. C’était si similaire à ce qu’elle ressentait quand elle portait une verge, et en même temps si différent… Une sensation difficile à définir, un sentiment de remplissage qui était jouissif ! Ici, elle ne ressentait pas l’envie de se vider, mais bien de se remplir. Elle était donc dans un rôle plus attentiste, même si, du fait de sa position, c’était elle qui avait pris l’initiative. Ses mains étaient posées sur les épaules de sa femme, et Joana dansait sur elle, faisant claquer la chair.

« Haaaa… Haaaaaa… »

Leurs seins se frottaient également mutuellement, tandis que, petit à petit, la verge de Joana disparaissait de plus en plus dans le con de Bobbie, jusqu’à être pleinement nichée en elle. Filmant la scène, la belle Charity tremblait d’excitation et de frustration. Bien sûr, elle aura droit à sa récompense, mais l’amour entre épouses avant tout ! Les mains de Joana vinrent peloter les fesses de Bobbie, et elle lui confia désormais ce qu’elle envisageait de faire au quotidien. Bobbie en frémit, se mordillant les lèvres. Sans doute les deux allaient procéder par roulements, une semaine l’une, et une semaine l’autre.

« O-Oui, ma chérie, je ferai tout ce que tu attends de moi, hmmm… Tout ce qu’il y a à attendre d’une femme-salope, d’une femme qui se languit de ta puissante queue, hooo… »

Bobbie mouillait férocement, et sentit l’orgasme la saisir. Elle n’était pas aussi résistante que quand elle portait une verge ! Bobbie gémit en serrant ses mains sur les épaules de Joana, et se mit à jouir, en poussant de longs et langoureux soupirs…

[Shykarka]

Joana et Bobbie avaient finalement réussi à s’adapter assez vite à leur changement d’organes génitaux, et maintenant elles en profitaient. Bobbie montait Joana tranquillement installée sur un fauteuil et Joana se faisait plaisir en palpant et fessant le délicieux cul de Bobbie, le tout filmé par Charity qui semblait avoir de plus en plus de mal à retenir sa frustration. Comment lui en vouloir, n’importe qui d’autre serait frustré et excité devant le spectacle de ces deux amantes qui s’en donnaient à cœur joie. Joana s’imaginait déjà leur future routine avec elle en futa et Bobbie avec une chatte, et cette dernière s’en réjouissait d’avance.

« Aaahhh… oui, tu seras une parfaite salope… toujours prête à te mettre à genoux ou à écarter les cuisses pour avoir ma queue… ooohhh… et on jouira tellement fort ensemble. »

La ménagère comptait bien faire l’amour à sa femme de toutes les façons possibles et dans tous les coins de leur maison. La cuisine, la baignoire, la chambre, leur donjon à la cave… elle débordait d’idées coquines, les prochains jours allaient être bien remplis.

Ce moment de luxure délicieuse culmina dans un double orgasme, le couple couinant de joie alors que chacune jouissait.

« Ooouuuiii ! »

La semence de Joana se déchargea dans le con de Bobbie, la femme couinant tout le long du processus en serrant ses doigts sur les fesses moelleuses de son amante. Une fois le choc de l’orgasme passé, la ménagère embrassa goulument sa femme, sa langue dansant avec la sienne dans un ballet humide et excitant pendant une bonne minute avant de la relâcher.

« Hhhmmm… je t’aime Bobbie… ma merveilleuse femme… ma délicieuse salope. »

Après ça elle finit signe à l’infirmière derrière sa caméra.

« Charity, viens un peu par ici. »

Elle voyait bien que la jeune femme était en manque et elle se dit qu’il était peut-être temps de lui donner de quoi combler sa soif, au moins un peu.

« J’aimerais savoir une chose : est-ce que tu es une infirmière mandatée par le Dr Ronson pour nous surveiller et prendre des notes… ou une belle salope qui cherche juste une occasion de se faire baiser par deux belles femmes ? »

[Reine Alice Korvander]

Bobbie aurait pu s’agacer de ce changement de situation, de l’inversion des rôles… De voir Joana devenir plus autoritaire. Mais le changement de sexe modifiait aussi sa personnalité. Bobbie soupçonna que cela devait être une histoire d’hormones et de neurotransmetteurs. Mais, dans tous les cas de figure, elles prenaient son pied. Joana finit ainsi par jouir en elle, et, fort heureusement, le fauteuil sur lequel elles dansaient tint bon. Il grinça comme jamais, mais les deux femmes atteignirent un nouvel orgasme. Oh, que c’était bon ! Elle sourit à sa femme, et se lova contre elle.

« Han, ma chérie, je t’aime… Je serai ta Maîtresse, ta femme, et ta salope… Tout ce que tu veux… »

Elle l’embrassa dans le creux du cou, un sourire ravi sur les lèvres. Joana se retourna alors vers Charity. Celle-ci avait les joues bien rougies. Comme Joana le soupçonna, elle était très excitée par tout ça, et se rapprocha donc du duo, en reposant son téléphone portable.

« Je… Les deux, Maîtresse… Le docteur Ronson souhaitait s’assurer que vos appareils génitaux soient fonctionnels. Je… Pour être honnête, c’est moi qui vous avais sucé, Maîtresse Bobbie, quand vous aviez votre verge…
- Oh… Je ne m’en souviens pas…
- C’est normal, vous étiez encore sous morphine… Nous vous en avons mis moins. »

Bobbie se redressa un peu, et se retourna vers Charity.

« Je crois que tu as récupéré assez de données, non ?
- Je… O-Oui, mais… »

Bobbie sourit. Si sa Joana hermaphrodite stimulait sa soumission, dès qu’il s’agissait d’une autre femme, Bobbie retrouvait sa mentalité plus aventureuse. Elle se releva donc, et se rapprocha de Charity. Elle se nicha dans son dos, et caressa ses épaules. Bobbie se concentra ensuite, et un petit cri aigu s’échappa des lèvres de Charity quand elle sentit la verge de Bobbie heurter ses fesses, faisant se relever sa robe.

« Mon amour, je te propose que nous baisions ensemble cette salope… Tu travailles peut-être pour le docteur Ronson, mais, à partir de maintenant, tu seras notre esclave… Notre chienne accroc de nos queues… »

Cette idée coupa le souffle de l’infirmière, qui se mit à mouiller encore plus fortement…

[Shykarka]

Après avoir bien baisée Bobbie, Joana s’intéressa un peu plus à Charity. Le Dr Ronson lui avait demandé de s’assurer que les nouveaux organes génitaux des deux femmes étaient fonctionnels, elle avoua aussi qu’elle avait été l’infirmière qui avait testé la verge de Bobbie après sa transformation. Sa femme ne s’en souvenait pas à cause de la morphine mais rien que d’en reparler elle était encore bien excitée. Elle se rapprocha de l’infirmière, passa dans son dos pour caresser ses épaules puis, après un bref moment de concentration, déploya sa verge. Charity couina en la sentant taper contre ses fesses puis Bobbie proposa à Joana qu’elles baisent ensemble cette salope, déclarant à l’infirmière qu’elle avait récupérée assez de données et que maintenant elle allait être leur esclave, leur chienne accroc à leurs bites, une idée qui ne semblait pas la déranger.

« C’est une excellent idée mon amour. »

Baiser la même femme à deux, voilà qui promettait d’être très plaisant. Joana se leva de son fauteuil et avança vers Charity, plantant son regard dans le sien. Les deux femmes faisaient la même taille et pourtant Joana en imposait naturellement face à l’infirmière, qu’elle sentait déjà fébrile à l’idée de se retrouver entre elle et Bobbie. Elle se colla tout près d’elle, frottant sa verge contre son ventre, caressant son visage et glissant son pouce dans sa bouche pour la voir le sucer. Elle était fébrile, son excitation était presque palpable.

« Tu as donc été la première à nous sucer, ma femme et moi. Ça fait de toi quelqu’un de spécial, en plus d’une très bonne suceuse. »

En y regardant de plus près Charity avait de sacrés atouts : un visage harmonieux dans ses proportions, une taille finement taillée mise en valeur par sa généreuse poitrine, deux beaux obus de chair qui n’avaient rien à envier à ses fesses tout aussi généreuses. Ça allait être un bonheur de lui faire l’amour avec Bobbie. Elle retira son pouce et embrassa l’infirmière, appuyant fermement ses lèvres contre les siennes, ses seins pressant contre les siens, ses mains allant trouver celles de sa femme.

« Hhhmmm… »

Dans ce baiser elle sentit tout l’appétit et la frustration de la jeune femme, qui gémissait de plaisir et faisait remuer frénétiquement sa langue avec la sienne. Pas de doute elle était bien chaude, mais serait-elle assez endurant pour tenir deux futas ? Il allait être temps de vérifier.

Joana rompit le baiser et posa ses mains sur la poitrine de Charity, massant ses seins. Ces derniers étaient déjà bien raidis par le plaisir et ses tétons pointaient fortement sous sa blouse, que la ménagère ne tarda pas à ouvrir mais sans la retirer pour autant. Sous cette blouse elle découvrit que l’infirmière ne portait pas de soutien-gorge, laissant ainsi ses obus à l’air libre, et en bas elle portait un string blanc déjà bien humide à l’entrejambe ainsi qu’un porte-jarretelles et des bas blancs. La ménagère se lécha les babines d’avance.

« Hhhmmm… on a mis la main sur une salope bien foutue, ma chérie. »

Elle planta à nouveau son regard dans celui de l’infirmière pour lui faire ressentir tout le poids de son autorité.

« Pour l’instant tu peux rester comme ça. Ta tenue est bien sexy, elle te met en valeur, et ça me fait bander de te voir comme ça. »

Elle appuya sur ses épaules pour la mettre à genoux devant elle puis elle invita sa femme à venir se mettre près d’elle. Charity se retrouva avec les verges des deux femmes juste devant son visage.

« Puisque tu aimes tant sucer des bites, en voilà deux pour toi. Occupe-toi de ça… ensuite on te baisera comme tu le mérites. »