The Multiversity

[Urbosa]

Bien décidé à profiter pleinement, de sa petite princesse sans se montrer trop douce, puisque c'est ainsi qu'elle le voulait, Urbosa mettait une pointe de domination, en effaçant le lien affectif, du moins, il n'était pas si poussé entre elles. Elle était devenue son jouet et elle ne ferait que ce qui lui chante ! Si elle voulait de la douceur, c'était au bon vouloir de la cheffe des Gerudo. Rhian avait un peu plus de mal à parler à partir de maintenant, la position comme le rythme que la femme lui imposait. C'était elle qui voulait que cela se passe comme ça après tout donc, elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle-même bien qu'elle semblait être loin de trouver cela déplaisant. Urbosa enfonçait sa trique dans son petit cul, qui avait beau avoir de l'expérience, la grande femme avait une queue en rapport avec sa taille, plus grosse et plus grande que la normale. Elle aimait faire d'elle sa chose, même si elle préférait la faire couiner de douceur, se montrer un peu plus forte, ça ne lui déplaisait pas, elle asseyait sa domination sur elle.

« La princesse des putes, alors ! Haaaan ! Regarde-toi ! Mmmmhh haaaan, tu mouilles comme une rivière ! Tu dis non mais ton corps dit ouiiiiii ! Pense-le autant que tu veux... Bientôt... Tu me supplieras pour que je te remplisse ! »

C'était même déjà le cas très certainement. Mais pour l'instant, elle continuait de jouer le jeu, allant aussi loin que possible en elle, sa queue s'écrasant au fond de son utérus, ses bourses contre ses fesses avant de reculer et de recommencer. Dans combien que de coups, Rhian allait faire tomber le masque et montrer son vrai visage ? Urbosa pensait que ce ne serait pas si simple, mais elle se trompait peut-être ? Elle devait apprendre à lui résister un minimum, car si elle a prévu de passer ses nuits avec elle et Fallah, la pauvre princesse allait vite agiter le drapeau blanc prise entre elles. La grande et puissante femme ralentissait, mais ce n'était que pour mieux l'écraser, son long nez venait se frotter au sien tandis qu'elle léchait ses lèvres.

« Alors, Princesse ? Mmmmh, tu tiens le coup ? Je compte augmenter la dose, alors, han, accroche toi bien à moi. »

Glissant ses mains dans son dos, elle la soulevait, restant à genoux sur le lit, elle la tenait, ses mollets posé plus ou moins le long de ses seins, Urbosa remua un peu, donnant un coup de rein, puis un second, et le rythme s'emballait, la princesse devenant une belle accrocher à une raquette, obliger de s'éloigner pour revenir en force se cogner et rebondir de nouveau jusqu'à ce qu'on l'arrête.

« Haaaa ! Haaaaa ! Haaaaaa ! Encore, hein ? C'est çaaaaaa que tu diiiiiis ? À vos ordres ! »

Qu'elle le dise ou non, elle entendais ce qu'elle voulait, le plaisir dans la voix de la princesse, la suite, elle le lui faisait subir avec un certain délice !

[Rhian Thoris]

Avec Urbosa, il fallait s’attendre à ce que ce soit très intense… Et ça l’était ! Urbosa la narguait, lui répétant que, au fond, elle avait envie de porter son bébé, parlant d’une voix forte, marquée, écrasant son corps sous ses muscles. Urbosa était en effet plus lourde, plus musclée qu’elle. C’était une vraie masse qui s’abattait sur elle, lui coupant la respiration, faisant d’elle sa petite chose, une marionnette de chair, une poupée sexuelle qu’Urbosa baisait avec force. Rhian, entre plusieurs cris, la regardait. Ce beau visage basané qui se fronçait, les muscles de sa partenaire qui se tendaient au maximum. Elle voyait ses dents se crisper, ses lèvres s’entrouvrir, sa salive couler de ses lèvres… Ah, quelle magnifique vision ! Prise ainsi, Rhian était aux anges. Elle se laissait faire, bien évidemment. Elle n’avait rien d’autre à faire, et elle y prenait même un sacré pied !

« Hmmm-hmmmm… ! U-Urbosa, haaaa… En-Encore, hmmm… »

Rhian respirait fortement, tous ses sens en train d’exploser. Diable, quelle femme ! Urbosa la baisait sans ménagement, faisant grincer le lit, encore et encore !

« O-Ouiii… En-Encore, dé… Allez, salope, baise-moi ! Tu peux faire mieux que ça, non ?! »

Elle sentit les mains d’Urbosa sur son dos, la soulevant. Rhian se retrouva un peu en suspension, et sentit la verge d’Urbosa la pilonner avec force. Sans le contact des mains d’Urbosa, Rhian aurait glissé sur le lit. Au lieu de ça, si elle se faisait ramoner la chatte avec force. Quel pied ! Rhian mouillait fortement, peinant à retenir sa salive. Voilà qu’elle en salissait ses seins, crachant dessus. Contre elle, elle sentait les muscles d’Urbosa, elle sentait sa puissance, son désir incroyable…

…Et Rhian prenait sacrément son pied !

[Urbosa]

Prisonnière pendant un certain temps, Rhian aurait cependant un traitement royal ici. De prisonnière, elle n'en avait que le nom, et elle quittera cet endroit en même temps que ses soldats, le temps que ses filles récupèrent assez de semence, après quoi, elle et quelques Gerudo accompagneront le groupe à la capitale, où elles demanderont la main de la princesse, en échange de leur allégeance. Mais Urbosa n'était pas aveugle, elle savait que ce mariage, se fera à trois, au moins, dans le lit. Elle se souvenait des éclairs dans les yeux de Fallah, à voir la princesse un peu trop proche d'elle. Pas de soucis, elle n'était pas jalouse, du moment que Rhian lui offrait une fille pour perpétuer la tradition. Mais pour le moment, elle prenait de l'avance sur leur nuit de noces, profitant sans gêne du parfait corps de la princesse. Une si belle femme se devait d'être traitée avec honneur, cela ne voulait pas dire qu'elle était en sucre. C'était sa force sexuelle qui était la preuve de combien elle était honorée.

« Rhaaaa ! Oh ma chérie !!! Ma petite pute de princesse !!! Haaaaa !!!! Je vais l'élargir... Sa chatte, haaaaaaarrrrr !!!! Et ton utérus... Si tu dois... attendre deux bébés à la fois... Je prend de l'avance pour leur faire de la place ! »

Elle s'y habituera, même si rien n'existait pour soulager sa chatte, comme ce fut le cas avec sa bouche, la princesse était loin d'être pure et chaste, sans avoir déjà pris de telles choses entre les cuisses, ça ne lui faisait pas peur pour autant. Aux yeux d'Urbosa, Rhian était une petite femme, pas si fragile que ça, mais loin d'avoir une carrure si imposante qu'elle. C'était loin d'être un souci, elle ne voulait pas forcément une femme comme elle, les formes de la princesse l'attiraient et elle voulait faire d'elle la mère de ses enfants.

« Mmmmmmmh, mon petit vide couilles ! Haaaaaa, ouiiii, ta chatte si parfaite... Lubrifie ma queue, ma belle.... Ha, ça te sera bien utile... Car après... Je te prendrais aussi ton petit cul. »

Une chose à la fois, certes, mais la cheffe Gerudo n'allait pas lui faire de mauvaises surprises, Rhian devait s'habituer à cela. Comme la princesse semblait impatiente et gourmande, ce qui lui plaisait, elle allait lui obéir, non sans gifler son cul pour son insolence ! Mais oui, elle allait augmenter le rythme, si c'est ce qu'elle voulait.

« En avant, ma belle petite pute ! »

Elle la tenait bien alors que commençait un nouveau torrent de coup de rein contre le cul de Rhian, laissant sa puissante verge glisser en elle, ses couilles heurtant parfois la princesse, elle allait la faire couiner de plaisir, et la remplir comme il se devait ! On parlait d'une princesse après tout, destinée à porter son enfant.

[Rhian Thoris]

Rhian se faisait prendre avec force par Urbosa, et c’était… Très agréable ! Sacrément bon ! Au-dessus d’elle, Urbosa serrait les dents, soupirait, son regard croisant le sien. Rhian remuait d’avant en arrière, ses jambes relevées, et elle gémit encore, sentant les bourses d’Urbosa claquer sur ses fesses, heurtant sa peau en sueur. *FWAP ! FWAP !* On pouvait entendre les bruits de ses testicules heurtant sa peau, tandis que le lit grinçait, et que le corps massif d’Urbosa l’écrasait, s’appuyant sur ses jambes, continuant à plier le corps de Rhian. Heureusement que celle-ci était souple ! La position de l’enclume était éprouvante, et Rhian commençait à délirer, fantasmant à l’idée d’avoir Fallah et Urbosa dans le même lit, de jouer sur la jalousie de Fallah pour que Rhian se fasse puissamment baiser par les deux ! Bandant ses muscles, Urbosa imposait un rythme soutenu, confirmant son endurance exceptionnelle, son appétit sexuel démesuré…

« Haaaa… U-Urbosa, hmmm… Haaaaa… !! »

La Princesse ignorait si cette nuit suffirait à la rendre enceinte. Ce n’était pas une science exacte, ce genre de choses ! Le lit remuait également, grinçant furieusement, et Urbosa n’y allait pas de main morte, insultant copieusement la Princesse ! Rhian, elle, mouillait joyeusement, haletant et soupirant, et elle posa sa main sur la joue d’Urbosa, la caressant, et agrippa sa nuque. Urbosa comptait la sodomiser ensuite, et Rhian l’embrassa avec appétit, utilisant sa main sur la nuque de la Gerudo comme appui pour se hisser.

« Là, ouiii, c’est si bon, ta queue… Elle est si grosse, haaaa… »

Urbosa s’appuya d’une main sur son épaule, puis déplaça ensuite sa main, qu’elle posa sur la gorge de Rhian. Elle se mit à serrer, et Rhian gémit doucement, sentant le désir croître encore en elle. Elle savait qu’elle n’avait rien à craindre, que la Gerudo jouait avec elle… Et, à vrai dire, le traitement était plutôt efficace. Tandis que les minutes défilaient, qu’elles étaient rythmées par les puissants coups de reins de sa partenaire, Rhian sentit l’air revenir dans ses poumons, et elle succomba à un orgasme, son visage se contractant sous l’effet de la vague suprême. Elle ferma les yeux et gémit faiblement en laissant la jouissance l’envahir, et inonda la queue d’Urbosa, ainsi que ses cuisses, se tortillant en poussant de longs râles de plaisir…

[Urbosa]

Toujours avec force, Urbosa baisait Rhian, jouant le rôle de la tortionnaire si cela lui plaisait, mais le désir lui, était sincère. La belle Gerudo y allait avec force, ménageant quand même un peu la princesse, elle tâtera doucement le terrain pour voir où étaient les limites de son corps ? Pour l'instant, elle continuait d'y aller à fond dans sa limite, ce qui était déjà bien assez pour la princesse qui subissait tout ce plaisir, rien que pour elle. Son royal corps résistait à ça, mais pour combien de temps. Urbosa continuait de la baiser comme telle elle était sa pute le temps de cet orgasme au moins, à voir si après, elle voudrait plus être traitée comme son rang, comme son envie, bref, différemment. Mais pour l'heure, elle était sa chose. Son titre de princesse ne valait rien ici, les Gerudos n'étaient pas rattachées à la souveraineté pour le moment donc Urbosa se fichait des risques. Elle savourait juste sa chatte royale qui était sienne pendant que Rhian grimpait aux rideaux, ignorant quels fantasmes, quelles pensées traversaient sa partenaire qui profitait de cette lance de chair en elle. Elle remuait parfois une fois bien en elle, tel un serpent dans un terrier.

« Ouuuuh, ma belle petite pute royale~ Ma grosse bite est rien que pour toi... Haaa. »

Rhian était tout simplement merveilleuse quand elle était aux portes de l'orgasme comme ça. Comme beaucoup de femmes, certes, mais celle-ci était spéciale à ses yeux, c'était peut-être la mère de ses futures enfants ? Elle n’attendait pas d'elle qu'elle soit enceinte des demain, mais que son utérus lui appartienne, en partie de ce qu'elle a compris, mais c'est suffisant. Tant que sa progéniture peut y grandir, ça lui convient. Doucement, pour mieux l'approcher ou la freiner du plaisir – cela dépend des gens – elle serrait sa petite gorge, limitant l'air qui arrivait, sans la mettre en danger, elle savait ce qu'elle faisait. Son plaisir, comme sa vie, était dans le creux de sa main. Urbosa profitait de ce moment pour venir l'embrasser au creux des lèvres, observant la princesse dans le blanc des yeux. Et quand elle sentait son orgasme approcher, elle retira sa main, sentant la princesse jouir sur sa queue. Il ne fallut pas longtemps pour que la grande guerrière en fasse autant.

« Haaaaaaaaaaarrr ! »

Sa lance se vida en elle, remplissant sa chatte, elle se sentait de suite plus détendue en contemplant le visage déformé par le plaisir de sa petite princesse. Elle était si belle et si rayonnante. Son petit rayon de soleil dans cette nuit sombre et froide.

« Mmh, tu es si belle, ma princesse. »

Redevenue toute douce, elle l'embrassait avec douceur, son long nez se frottait au sien, veillant au bonheur de Rhian, elle la couvrait avec son corps, toujours planté en elle, elle voulait la garder près d'elle à jamais. Entre ses bras, elle ne craignait rien ici, elle allait veiller sur elle, toute la nuit. Elle pouvait prendre tout le temps qu'elle voulait avant de recommencer, comme elle le lui avait dit, elle était son invitée ici. Elle devait juste attendre que ses « filles » profitent assez de ses gardes pour ensuite les laisser repartir. Une femme au milieu de femmes qui attendait d'avoir un bébé, si elle n'était pas membrée, elle n'avait aucune réelle utilité. Sauf pour Urbosa qui attendait de trouver celle qui portera ses enfants. L'avait-elle trouvé ?

[Rhian Thoris]

Rhian continuait à se faire solidement baiser par Urbosa. La force incroyable de son amante était toujours aussi impressionnante, et elle transportait Rhian dans des firmaments de plaisir. Prise avec puissance par son amante, elle pouvait sentir sa verge ramoner sa chatte, s’enfonçant jusqu’à la garde en elle. Elle continuait donc à la prendre, sans relâche, amplifiant le rythme. Urbosa grognait, donnant à cette séance de baise un rythme soutenu. Rhian se laissait prendre, totalement, bavant et salivant sur place, sentant les coups de reins se poursuivre. Elle sentait Urbosa la remplir, la prendre pleinement… Jusqu’à atteindre l’orgasme. Rhian gémit longuement, et soupira, sentant la verge d’Urbosa la remplir. Des monceaux de sperme la remplirent, et Rhian gémit à son tour, laissant l’orgasme l’envahir également.

« Oooohh… »

La jeune Princesse gémit longuement, et glissa sur ses mains. Elle s’écroula sur le lit, couchée sur le ventre, sentant avec délectation le sperme de sa partenaire en elle. Elle se retourna ensuite, un sourire épanoui sur les lèvres, caressant doucement son ventre. Cela serait-il suffisant pour l’enfanter ? Cette idée semblait complètement folle… Mais Rhian savait désormais ce qu’elle voulait faire avec Urbosa. Urbosa se lova contre elle, et l’embrassa chaudement en l’enlaçant. Rhian se mit à frissonner, et la caressa en retour, venant l’embrasser également, se pressant contre elle au milieu du lit. Elle sentait ce solide et joli corps musclé contre elle, mais Rhian n’avait pas non plus oublié que Fallah attendait. Elle ne pouvait pas la laisser seule toute la nuit, amis elle devait aussi gérer la situation avec Urbosa.

La nuit promettait d’être longue, puisque les autres Gerudo faisaient l’amour avec ses gardes. Rhian profita de ce moment de répit pour parler encore, tout en frottant ses cuisses contre la verge de sa partenaire

« Toi, tu es très énergique, Urbosa… »

Rhian l’embrassa encore.

« Je suis prête à porter ton enfant, tu sais… Mais cela a un prix. Si tu veux que je porte ton enfant, tu devras devenir ma femme… Et choisir ce que tu feras de ta vie. Ma femme a sa place à mon Palais, et toi et tes guerrières, vous méritez aussi votre place. Mais aurais-tu envie de quitter ton village ? De passer du temps au Palais et au village ? Les Gerudos ne peuvent plus vivre loin du monde, tu sais… »

[Urbosa]

Ce petit instant de repos après l'orgasme, c'était très agréable, logique après tout mais après avoir remplis une femme comme Rhian, le bonheur était quand même un cran au-dessus. La princesse avait envie que tout cela aille plus loin, tant mieux si l'idée s'ancrait un peu mieux en elle même si elle savait que selon elle, il faudrait l'enfanter un jour, avec Fallah. Cela ne la dérangeait pas du tout, elle comprenait le lien qui les unissait, elle respectait cela. Du moment que la princesse l'aimait et portait ses enfants, c'était le principal.

« Je ne te cache pas que changer d'environnement sera bizarre pour moi, comme pour les autres. Mais je verrais cela demain plus en détail avec les autres. »

Urbosa était la cheffe, mais il y avait un minimum de démocratie, elle n'imposait pas son choix comme ça. L'idée de s’allier à Papua, ça semblait un peu bizarre, mais quitter cet endroit, changer cette méthode de vie pour une autre, c'était ça le plus gros défis. Elle veillait sur Rhian, caressant ses cheveux, sa peau cuivrée, toujours avec ce même sourire bienveillant.

« Je ferais mon possible pour gagner ton amour, Princesse, je parviendrais à les convaincre et quand tout sera accepté... Avec Fallah, nous te comblerons de bonheur chaque soir. »

Est-ce que Fallah faisait aussi bien l'amour qu'elle ? Si c'est le cas, la princesse va avoir des nuits très courtes ou des journées très longue tant la fatigue allait la bousculer. Elle ignorait si elle attendait déjà son enfant, ce serait trop beau, mais ce serait dommage pour Fallah puisque la princesse ne comptait pas faire de jalouse pour la première fois en tout cas, mais il faut être sincère, ça lui plairait bien de déjà voir son ventre grossir avec son bébé.

« Princesse... Tu connais le goût de ma bite et de mon foutre... Ta chatte est déjà remplie de foutre bien chaud... Mais si je trouve que tu es sublime, je dois avouer que ton insolent petit cul royal me fait envie... Sois franche... Tu aimes te faire enculer ? »

Peut-être, c'était le cas, mais comme les deux autres orifices, il faut s'habituer à avoir un tel colosse entre les fesses ! Urbosa laissait sa queue lentement se redresser, Rhian allait devoir s'habituer aussi à ça. Quand bien même elle ne risquait pas de tomber enceinte par-là, c'était un sacré plaisir à prendre pour elles.

[Rhian Thoris]

Couchée contre cette femme musclée et puissante, Rhian était heureuse, comblée. Elle sentait bien que ce n’était pas encore fini, que leur rodéo allait reprendre. Mais une pause, cela ne faisait pas de mal, elles pouvaient chacune reprendre son souffle, et constater ce qui avait déjà été fait. Rhian aurait-elle pu acquérir autre chose si elle n’avait pas fait l’amour avec Urbosa ? C’était peu probable. Comme quoi, la diplomatie se réduisait parfois à peu de choses. Urbosa devrait en parler avec les autres Gerudos. Tout en la laissant parler, Rhian caressait d’une main son torse, glissant sur ses muscles saillants, masturbant ensuite sa verge trempée. Elle la sentait encore bien dure, prête à cracher son foutre.

« Note qu’il ne s’agit pas de vous priver de vos terres, ma chérie… Mais, si tu veux ma main et me féconder, il me semble tout de même logique que tu passes du temps avec moi. Un enfant a besoin de ses deux parents. »

L’idée de partager Rhian avec Fallah ne dérangeait pas Urbosa. Au moins, cela éviterait des crises de jalousie ! Rhian en était soulagée. Elle aimait bien Fallah… Bien plus qu’elle était supposée l’aimer. Tandis qu’Urbosa se demandait si Fallah était similaire qu’elle au lit, Rhian, elle, se disait qu’il allait sans doute falloir qu’elle l’invite ce soir. Connaissant Fallah, elle devait se ronger les ongles d’inquiétude, et Rhian n’avait nullement envie que sa chère garde du corps soit jalouse. Urbosa revint alors à des préoccupations bien plus matérielles, et Rhian put le sentir à la manière dont la verge de l’intéressée se redressait, puisqu’elle avait ses doigts dessus.

Elle remua sa main sur sa longue queue, et se mordilla les lèvres quand Urbosa évoqua le fait de la prendre par l’arrière, avec des mots très crus. Cela la fit même sourire et rire un peu. Elle embrassa Urbosa sur les lèvres dans la foulée.

« Tu as un talent naturel pour parler aux Princesses, toi… »

S’étant un peu redressée pour l’embrasser, Rhian se mordilla ensuite les lèvres.

« Mais oui, j’aime ça… Et je suppose que ta question n’était pas totalement innocente… Cependant, avant de passer à la suite, une fois que tu m’auras prise par là aussi, je veux que Fallah nous rejoigne. Vous allez me baiser toutes les deux. »

On pouvait le dire, Rhian n’avait pas froid aux yeux, loin de là !

[Urbosa]

Couché près de sa princesse, Urbosa ne cachait pas son envie de flatter l'anus de sa petite princesse qui devait sûrement en avoir envie. Après avoir subit son assaut par-devant, il était normal de combler la princesse qu'elle était, dans tout les sens. Rhian amenait quand même de bon argument. Il serait simple pour elle d'en faire sa prisonnière et sa femme et mère pour ses enfants mais elle ne voulait pas d'une guerre. Une meilleure position sociale, elle s'en fichait royalement, mais jouer le rôle parents à ses côtés... La grande femme montrait un peu de douceur – non pas que ce soit une première – en la caressant, le bout de son long nez se frottant sur la joue de sa petite princesse, cherchant à l'embrasser. Devenir mamans... Sa fille sera une forte guerrière et une princesse, donc ? Cela pourrait se faire... Après elle ignorait encore comment leur arrangement de ménage à trois pourrait se faire, si leurs enfants auront ses deux statuts ou si l'un d'eux aura l'un des titres, et le second le second titre ? C'était des détails mais Urbosa caressait ce doux rêve de famille à ses côtés.

« Tu es gourmande ou bien audacieuse, Princesse ? Ou les deux ? Ta Fallah ne m'a pas l'air d'être le genre de partenaire très douce ? Tu saura supporter notre amour à toutes les deux, en même temps ? La vraie question... C'est de savoir si ta petite chatte saura nous supporter toutes les deux ? »

Une vraie question mais tôt ou tard, Rhian devra passer par là pour le rituel, à moins que cela puisse se faire à tour de rôle ? Urbosa l'ignorait mais pouvait s'en douter, Fallah était une grande guerrière et une amante passionnée avec sa Rhian, mais elle savait aussi faire preuve d'une grande douceur à son égard. En vérité, Fallah et Urbosa se ressemblaient sur beaucoup de points. Mais ça, elles le verront après, pour l'instant, elle avait un trou à combler.

« Bien. Il est donc temps de tenir parole et... t'enculer. Après, on sera deux à prendre soin de notre princesse. »

Urbosa allait donc profiter de cet instant encore en tête à tête. Elle se glissa dans son dos, laissant Rhian sur le côté, elle soulevait une de ses jambes, facilitant son insertion comme elle le pouvait, sa longue lance continuait son chemin dans sa grotte pas si étroite mais Urbosa était un sacré monstre aussi entre les cuisses. Elle ne finissait pas de s'insserrer, encore et encore, sa longue et épaisse verge arrivait enfin au bout, quand enfin elle sentait ses petites fesses s'écraser contre elle, ça allait pouvoir commencer.

« Ma princesse... Je bien précisé que... j'allais t'enculer... pas te prendre par-derrière donc... hum, je vais devoir te préparer à une vie nocturne très... mouvementé ! »

Il n'y a pas que la nuit que la princesse profitera de ses amantes mais ça allait surtout être leur rendez-vous commun. Elle l'avait prise sur le côté pour facilité son entré mais doucement, elle la coucha sur le ventre tandis qu'elle se tenait dans son dos. Et ainsi, commença l'assaut de cette puissante femme sur l'anus de la princesse. Le lit était solide mais il allait remuer et faire trembler les murs, certainement ! Urbosa évitait de l'écraser, elle posait ses mains sur le lit tandis que commençait l'enculage, faisant de la princesse une vulgaire pute subissant son envie. Elle s'en doutait mais toute princesse qu'elle était, elle devait aimé parfois être traitée comme une fille du peuple, voir même plus bas. Pour l'instant, elle allait la faire jouir par-derrière.

[Rhian Thoris]

Rhian était en très bonne compagnie avec Urbosa. Elle était vraiment prête à envisager de franchir enfin le pas, de porter son enfant, mais elle se devait aussi de porter celui de Fallah. Cela lui semblait normal, naturel. Fallah était sa garde du corps, mais aussi son amoureuse, quelqu’un qui profitait de chaque moment pour faire l’amour avec Rhian. Être enceinte de deux personnes différentes en même temps, c’était tout à fait possible, et cela portait même un nom : la superfécondation. Deux ovules fécondés par deux partenaires différents. Rhian envisageait donc naturellement cette possibilité, seul moyen de satisfaire les deux femmes. Elle sentit donc Urbosa se lover dans son dos. La Gerudo ironisa sur le fait que Rhian devait être très perverse pour vouloir coucher avec deux femmes aussi musclées… Et ce n’était pas faux ! Perverse, il fallait assurément l’être quand on voyait le calibre des chibres qui l’attendait ! Rhian assumait néanmoins pleinement, il aurait en réalité fallu être folle  pour ne pas profiter de cela ! Et puis, si elle ne faisait rien pour sa Fallah, celle-ci bouderait, Rhian la connaissait bien !

Elle était donc allongée sur le côté, et frémit en se mordillant les lèvres quand elle sentit la verge épaisse d’Urbosa heurter ses fesses.

« Hmmmm… Tu… Tu ne devrais pas me sous-estimer, ma belle… »

Elle soupira encore, et gémit à nouveau quand la verge d’Urbosa s’enfonça en elle. Urbosa souleva sa jambe pour faciliter le passage, et commença à donner des coups de reins, se pressant contre le corps de Rhian. La Princesse gémit encore. En soi, Urbosa n’avait pas tort sur un point, Rhian avait envie de se faire humilier, de se faire baiser encore. Elle sentait Urbosa la prendre avec force, et Rhian déplaça sa main en arrière, puis se crispa à la nuque de sa partenaire, pour se maintenir contre elle.

« Haaaa pu-Putain… »

Rhian se mordilla les lèvres, et gémit encore, soupirant, tandis que les coups de reins de sa partenaire se multipliaient, et elle se laissa aller :

« Ouiii, b-baise-moi fort, haaaa… C’est ça que j-je v-veux… Hmmmm… Défonce-moi la rondelle !! » s’exclama-t-elle alors, en se laissant aller.

[Urbosa]

Urbosa n'était pas jalouse, que Rhian ne fasse pas d'elle la première ou qu'elle ne soit pas sa femme exclusive, tant pis. Ce qui faisait fantasmer la belle Gerudo, c'étaient les hanches de la belle princesse, à ses yeux, elle sera parfaite pour porter ses enfants ! Alors si ça voulait dire chambouler un peu les habitudes de son peuple, elle peux bien voir où cela les guiderait ? En attendant, même s'il était encore un peu tôt pour planter sa petite graine, il n'était jamais trop tard pour préparer le terrain et autant dire que la princesse se faisait bien baiser ! Quand elle sera entourée de ses deux futures femmes, Rhian allait avoir besoin de beaucoup de choses pour retrouver la forme ! Pour l'instant, Urbosa la besognait, tenant une de ses jambes en l'air pendant qu'elle plantait sa lance en elle, aucun risque qu'elle tombe enceinte par-derrière, mais là aussi, elle devait s’entraîner. Les deux femmes n'allaient pas toujours la baiser ensemble par le même trou puis, c'était aussi bon pour l'une que pour l'autre. Elle la sentait fébrile en se faisant enculer, demandant toujours un peu plus. Inutile de penser au protocole ou autres, ici, il n'y avait pas de titre, elle pouvait être la pire des nympho, elle ne jugera pas la mère de ses futures enfants.

« Hum ! T'es une vraie petite salope, han ? Tant mieux... Attends de voir... Quand ta chère Fallah sera là... Tu seras remplie de foutre... han, par tout tes orifices ! »

Au moins les principaux, sa chatte, son cul, sa bouche. Cette pseudo-menace ne devait faire que l'aguicher plus encore ! Elle se penchait en avant, embrassant sa petite princesse comme elle le pouvait pendant que son bassin se chargeait de remplir son petit cul, elle qui semblait si impatiente, Urbosa y mettait du cœur à l'ouvrage. Chaque coup devenait de plus en plus fort, la puissante guerrière heurtait son royale petit cul pour revenir à la charge, son baiser de plus en plus sauvage !

« Imagine... han, quand on sera deux... à te baiser ! Hum haaaaan... par le même trou ? Tu vas hurler au monde han... tout ton plaisir ! »

Avec une femme comme Urbosa et une autre comme Fallah, il ne faudra pas attendre des années avant que cette idée ne leur vienne à l'idée en même temps. Rhian allait montrer toute sa puissance aussi pour résister à leur assaut plein d'amour, car ça ne risquait pas d'être des nuits de tout repos ! Mais pour l'instant, heureusement, elles n'étaient que deux, mais la guerrière se montrait de plus en plus investie dans ses mouvements si bien que sa queue se logeait tout au bout, son dos épousant le corps musclée de la cheffe Gerudo, tandis qu'elle vidait ses couilles en elle, inondant son petit cul couleur caramel, pour lui laisser par la suite une belle crème blanche s'écouler doucement.

« Haaaaaaaaaaaan ! Oh putain, ma belle petite putain ! »

Même si ça ne risquait pas, ayant relâché sa jambe, elle gardait une main sur son petit ventre, elle espérait bien tôt ou tard y sentir sa princesse guerrière grandir dedans.

[Rhian Thoris]

Peu à peu, l’idée folle s’insinuait dans son esprit, s’y instillait avec force. L’idée de porter le bébé de cette Gerudo, d’Urbosa, ainsi que de porter celui de Fallah. Pour elle, qui avait toujours été si farouche et si hostile à l’idée de porter un bébé, elle enchaînait les révolutions ! Non seulement un, mais même deux bébés, deux nourrissons à venir ! Et, si Rhian connaissait très bien Fallah, ce n’était pas le cas d’Urbosa, qu’elle ne connaissait somme toute que depuis très récemment. Pour autant, elle était sûre de son fait avec elle, sûre de vouloir porter son enfant, et d’ajouter ainsi la tribu des Gerudos au royaume de Papua. Prise ainsi par Urbosa, Rhian était peu à peu en train de perdre le contrôle, d’abandonner toute retenue. Elle sentait la grosse verge d’Urbosa s’en foncer dans son cul, tandis que la Gerudo maintenait ses jambes écartées, la prenant sur le flanc. Elle était restée debout, bénéficiant ainsi d’une forte amplitude pour donner des coups de reins puissants et intenses. Le lit de Rhian en tremblait sur place, grinçant au fur et à mesure que sa partenaire continuait à la besogner.

« Haaaa… U-URBOSA…. !! HAAAAANN… !! »

Faute de pouvoir parler, crachant sa salive à chaque coup de reins de sa partenaire, Rhian se tortillait sur place, sentant la puissante verge d’Urbosa remuer dans les profondeurs de son fondement. Elle griffait le lit, haletant encore, et se retourna vers Urbosa, croisant son regard enfiévré et dominateur. Rhian mouillait aussi le lit, que ce soit par sa sueur ou par sa cyprine, un mélange qui maintenait les deux femmes en osmose. Très excitée, la Princesse de Papua ne masquait pas le plaisir qu’elle prenait, à sentir ainsi Urbosa continuer à la labourer puissamment. Elle finit par sentir la femme jouir en elle. Les muscles d’Urbosa se crispèrent, et, dans un grand soupir, la Gerudo balança sa chaude semence. Rhian gémit encore, sentant les épaisses giclées de foutre fuser dans son cul élargi, ce fondement que Urbosa avait massacré avec sa queue, pour le plus grand plaisir de sa proie.

Soupirant, emportée par les élans fougueux d’Urbosa, par ses coups de reins, et par ce long orgasme, Rhian soupirait et continuait à gémir, poussant même des cris quand Urbosa s’enfonçait brusquement. Elle la regarda néanmoins jouir, et… Comme ça, elle était magnifique ! Tout le corps de sa partenaire se détendit tandis qu’elle balançait en elle ses giclées, jouissant généreusement et abondamment.

« Oh, eh ben… On peut dire que tu n’y vas pas de main morte, toi, ma belle… »

[Urbosa]

Faisant l'amour à la princesse Rhian, Urbosa profitait autant que possible de cela, car même si la princesse semblait ouverte à une suite, on était sûre de rien. Elle pouvait dire cela pour tenter de jouer la carte de la confiance après tout même si elle en doutait un peu, elle ne la connaissait pas vraiment. Mais aux yeux de la Gerudo, cette petite princesse était faite pour porter ses enfants. Cela n'avait rien à voir avec son rang, qu'elle soit princesse ou mandante, ça ne changeait rien à sa beauté pour elle. Elle voyait l'avenir se dessiner pour elles, et ainsi que Fallah dans le lot. Car même si épouser une princesse pouvait avoir des avantages liés à la souveraineté, elle ne voulait pas que ses filles – rappelons que les Gerudos étaient que des femmes – soient des princesses élevées dans le coton. Oh, elle n'aura rien contre leur offrir de l'amour et de la tendresse, mais en faire des princesses qui ne font rien, ça non, elle laissait cela pour les autres enfants qu'elle aura avec Fallah. Ses enfants sauront se défendre, un point c'est tout, les Gerudos étaient un peuple qui savait combattre.

« Hum ! Oh, ma princesse ! »

Urbosa savait être douce sans prendre Rhian pour une petite chose fragile, elle voulait sentir de l'amour, de la passion, elle va en avoir ! Et quand Fallah sera aussi dans le lit, la princesse risquait de rester un moment au septième ciel. Sa puissante verge explorait son fondement pour l'élargir, mais surtout pour finir par y déverser des chapelets de bonheurs qui faisaient vibrer son corps et celui de sa partenaire. Oh ça oui, elle était si belle, même par cette nuit, éclairée simplement à la bougie, son corps brillait de mille feux. La chaleur dégagée par leur effort ne faisait que la rendre plus belle, elle pouvait en penser autant de sa partenaire, mais Urbosa n'était pas du genre à flatter les autres pour ne pas les brusquer. Sans être trop direct, elle évitait les détours. Direct, avec un soupçon de politesse. La faible lumière associée à la sueur qui perlait sur son corps ne faisait que la rendre plus belle, ses muscles ressortaient mieux ainsi.

« Je fais ça aussi, car c'est ce que tu aimes, ma belle... Si tu serais le genre de fille à aimer que la pure douceur, je serais la plus douce de tes amantes... Mais comme ce n'est pas le cas. »

Elle souriait en se penchant sur elle, son nez se frottant au sien, elle la soulevait sans effort, une main sur une de ses fesses moelleuses, l'autre glissant dans son dos. Fallah était peut-être forte et bien formé, mais la puissante Gerudo était plus grande et plus imposante, non pas que cela laissait sa garde du corps en mauvaise posture, mais c'étaient deux femmes fortes, à différents niveaux.

« Lorsque tu seras mon épouse, et la mère de mes enfants, sache que rien ni personne ne pourra te faire du mal, ma Rhian. Ma puissance sera à ton service. »

Non pas que la princesse ai des envies de conquête, mais on ne sait jamais ce que l'avenir pourrait lui proposer sur son chemin, mais pour ce qui est de batailler, Urbosa n'avait pas peur du nombre ou de son adversaire en face d'elle. Sachant que Fallah devait avoir une vision similaire, mais plus réaliste, oui, Rhian n'avait pas besoin de savoir manier une épée, elle avait deux bras très armées qui l'aimait et qui ferait tout pour elle. Si Urbosa se défendait aussi bien qu'elle fait l'amour, Papua allait gagner beaucoup en puissance militaire sans gagner des milliers de soldates en plus.

[Rhian Thoris]

Urbosa avait bien cerné Rhian. Après cette lourde sodomie, la passion sauvage et débridée laissait place à un moment de creux, du calme. Rhian reprenait ainsi lentement ses esprits, tandis qu’Urubosa se lovait sur elle, son corps musclé et massif se pressant sensuellement contre le sien. Elle lui expliqua qu’elle était violente avec elle, car c’était ce que Rhian voulait. Celle-ci n’allait pas démentir, et sourit doucement. Elle caressa de sa main le visage d’Urbosa, et l’embrassa ensuite tendrement sur les lèvres. Urbosa lui expliqua ensuite qu’elle la protègerait de tout, que sa puissance serait à son service.

« Hum… Tu sais comment parler à une souveraine, toi. »

Rhian l’observa encore. Urbosa était belle, aussi belle que forte. Oui, elle devait être une guerrière aussi redoutable avec une lance qu’elle l’était à baiser Rhian. La Princesse restait donc contre elle, caressant ses épaules, frottant doucement sa peau contre la sienne. Elle frissonnait en savourant ce corps massif et en sueur qui s’écrasait doucement sur elle, cette douce chaleur réconfortante. Rhian l’enlaça, et l’embrassa à nouveau, plus longuement cette fois. Elle soupirait contre elle, et déplaça sa main sur le dos d’Urbosa, filant jusqu’à son solide cul musclé. Elle pressa l’une des fesses de la Gerudo, tout en prolongeant le baiser avec elle. Leur baiser dura un certain temps. Rhian soupirait lentement, sentant le désir. Il était toujours là, que ce soit chez elle ou chez Urbosa. Elle pouvait d’ailleurs le sentir à la tension qui s’exprimait contre ses cuisses, cette verge assoiffée qui n’attendait que de la prendre encore.

L’épouser… Rhian l’observa encore droit dans les yeux.

« Je suis prête à t’épouser et à porter ton enfant… Si Fallah accepte de me partager. Je pense qu’il est temps de la faire entrer… Elle doit s’impatienter. »

Qu’une décision aussi importante dépende de l’avis de Fallah illustrait la grande importance que sa garde du corps (et plus que ça) avait aux yeux de Rhian. Le choix final appartiendrait à Fallah… Même si Rhian allait tout faire pour la convaincre d’accepter !

[Urbosa]

Ce moment de douceur était agréable, un petit flottement entre deux sessions de sexe intense. Urbosa restait sincère dans ses propos, elle ne faisait pas ça uniquement pour que la princesse reste à ses côtés. Les Gerudo ne sont pas nombreuses en comparaison de l'armée de Papua, mais chaque Gerudo valait nombre des soldats du palais. Des femmes fortes, guerrières, qui n'avaient pas froid aux yeux. Sans un mot, on sentait que la moindre étincelle pouvait de nouveau faire de cette chambre un champ de bataille sexuel, leurs corps se frôlant, se frottant, la sueur parcourant leur corps pour refroidir leurs ardeurs, un rien pouvait mettre le feu. Sentant cela arrivée peut-être, Rhian se proposa de faire venir Fallah à leur petit jeu, sachant qu'avant de proposer cela, la princesse accepta ses avances, mais, avec l'accord de sa garde du corps. Urbosa voulait Rhian, oui. Mais elle ne voulait pas en faire un otage. Si l'amour régnait entre les deux femmes, sans qu'une troisième s’enserre, soit, elle laissera cet oiseau reprendre sa liberté, une fois que les Gerudo auront bien joué avec les gardes.

« Soit, tu peux aller la chercher. »

Fallah était ailleurs, « prisonnière » de sa petite sœur, un peu comme Rhian. Elle lui indiqua le chemin à suivre, ce qui n'était pas loin sans être la pièce à côté, en lui mettant un petit foulard orange au poignet. Le signe qu'elle se baladait librement et qu'elle ne cherchait pas à s'enfuir. Si elle croisait une Gerudo en patrouille en ville, elle ne serait pas attrapée. Lorsque la princesse arrivée à destination, la porte ne tardait pas à s'ouvrir une fois s'être fait entendre à la porte. Ce fut sa garde du corps qui ouvra, nue, verge tendue et la peau brillante sous ce clair de lune. Elle enlaça de suite Rhian, la pression était forte, mais avec tendresse. Cela dura bien une bonne dizaine de seconde avant qu'elle ne l'écrase un peu moins, observant son visage, la caressant. On pouvait même y voir l'émotion pétiller dans le regard de la belle Fallah.

« Ma chérie, tu m'as manquée, si manquée ! Elle ne t'a pas fait mal, tout va bien ? »

Pas de blessure ou de trace apparente, cela la rassurait un peu. Derrière Fallah, la sœur d'Urbosa était là, étalée dans le lit, jambes écartées, toute crémeuse... Elle aussi à du jouer le même scénario qu'elle et Urbosa en inversant les rôles, avec moins d'amour entre les deux protagonistes, mais une féroce envie de baiser en plus. Elle était comme assommé, ou bien remplis. Elle a taquiné Fallah, elle devait s'en mordre les doigts... ou elle en voudrait plus, si elle en aurait la force. Pas de mauvais traitement ici, même si elles et les soldats étaient retenus de forces, ce n'était que pour quelques jours, le temps que les Gerudo puissent tomber enceintes des soldats. Ensuite, ils seront de nouveau sur la route de Papua, la mémoire en moins de ces quelques jours, sauf pour Rhian et sûrement Fallah. Il fallait bien qu'elle parle de cette alliance et de ce mariage. Fallah était soulagée et heureuse de retrouver sa princesse et sa verge retrouvait un peu plus de vigueur aussi. Après tout, depuis leur arrivée ici, elles s'étaient peu croisé et surtout, aucun rapport depuis... L'envie de lui faire l'amour était puissante actuellement.

[Rhian Thoris]

Finalement, Fallah n’était pas restée à côté. Urbosa lui enfila un foulard orange au poignet, en lui expliquant que cela signifiait qu’elle n’aurait rien à craindre des Gerudos, puis lui indiqua où aller. Rhian s’était attendue à ce qu’Urbosa l’accompagne, mais la cheffe des Gerudos pouvait sans doute se dire que cela éviterait des complications. Rhian sortit donc de la chambre d’Urbosa. Elle eut un peu de mal à marcher au début, et suivit une garde qui la conduisit ailleurs. Elles retournèrent au village, et Rhian commença à se dire que chaque maison devait abriter des séances de sexe. Les Gerudos se reproduisaient ainsi, en capturant des hommes ou des femmes, et en couchant avec. Urbosa n’était sûrement pas la seule hermaphrodite de ce peuple, et Rhian commença même à se dire que cela devait être une bonne majorité. Elle se rapprocha d’une maison située à proximité de celle d’Urbosa, et toqua à la porte.

Quand celle-ci s’ouvrit, Rhian sourit en voyant sa belle Fallah. Elle était nue, avec sa verge luisante.

« Fallah… »

Rhian sauta à son cou, et se pressa contre elle. Elle nota ensuite la présence, derrière, d’une femme couchée sur un lit. Rhian sourit à Fallah, et l’embrassa sur les lèvres.

« Tu ne lui as laissé aucune chance, ma chérie… »

Fallah lui avait demandé si elle allait bien. Rhian s’écarta alors, tout en sentant la verge de Fallah durcir.

« Ça va, je pense que, comme toi et les autres membres de notre convoi, j’ai été bien occupée. J’étais avec Urbosa, la cheffe du village. Elle… Euh… »

Rhian se mordilla les lèvres, consciente de ce qu’elle allait dire.

« Elle souhaite m’épouser, et que je porte son enfant. »

Rhian poursuivit ensuite :

« Mais j’ai une condition pour ça, qu’elle a accepté… »

La Princesse posa sa main sur son ventre.

« Je… Je veux aussi porter ton enfant, Fallah. »

[Urbosa]

Revoir Rhian était une bonne chose, cela la rassurait, de la voir là, seule, en un seul morceau et à ses côtés. Fallah la gardait contre elle, la serrant dans ses bras, profitant de sa douce chaleur corporelle. L'avantage de Papua : les journées étaient chaudes, mais les nuits fraîches ; il y avait bien des façons de se réchauffer comme ça. Ses douces lèvres… c'était bien sa princesse. Elle l'aurait bien observée sous tous les angles pour s'assurer qu'elle allait bien, mais elle savait au fond que les Gerudos ne lui feraient pas de mal.

« Cette petite peste pensait pouvoir me dompter. Elle a eu tort. »

Elle croyait qu'elle pouvait faire d'elle une de ses filles faciles ? Ça non. Fallah lui a fait comprendre de quel bois elle se chauffe ! Même si c'était la petite sœur d'Urbosa, le fait qu'elle ne soit pas aussi grande que sa sœur avait bien arrangé Fallah, rendant ainsi la tâche plus simple. La princesse continua, annonçant ce qui était un peu une mauvaise nouvelle pour Fallah : Urbosa voulait l'épouser. Dans un sens, Fallah était coincée entre deux voies : assumer et demander la main de Rhian, ce qui pouvait être accepté ou même refusé, ou alors refermer cette possibilité et faire en sorte que son futur enfant protège la prochaine génération de Thoris. Les Amari servent la couronne de Papua, et leur famille protège les Thoris. Sans en être sûr, il n'est pas impossible que Fallah et Rhian soient plus ou moins cousines. Un précédent roi qui aurait profité de sa servante, ce n'est pas si rare. Mais Urbosa voulait aussi l'enfanter, chose logique si elle voulait l'épouser.

Fallah avait un léger sourire, heureuse pour sa princesse mais un peu triste aussi. Mais Rhian avait sa condition : celle de porter son enfant. Son sourire triste reprit un peu de couleur ; la main de Fallah caressa sa joue. Même si l'érection était là, elle n'était pas celle qui dictait la suite, pour le moment.

« Je pense n'avoir jamais entendu de phrase plus belle sortir de ta petite bouche, ma Princesse. »

Elle se collait à elle, contre la porte, en la soulevant pour l'embrasser. Un tendre et doux baiser.

« J'en rêvais même, depuis que nous avions rendu visite à tes cousines, à Edoras. »

Une visite « familiale » où la journée fut assez classique, bien qu'en présence de la reine de Lumen, mais une nuit mouvementée en amour et surtout en émotion. Elles ont assisté et même aidé à la naissance des trois enfants du couple. Pas une mince affaire.

« Je ne t'ai jamais vue plus belle que lorsque tu portais la petite Kokoro dans tes bras ce soir-là… Ma jolie princesse, ton sourire et ton regard ne sauraient égaler les étoiles qui brillent ce soir. Tu étais tout simplement magnifique… Et depuis cette nuit… je rêve que tu me demandes ça… je rêve de te voir enceinte… mais surtout, je rêve de te voir avec notre enfant, dans tes bras. »

Le nouveau baiser fut tout aussi intense et savoureux que le premier, tandis qu'elle l'écrasait un peu plus contre la porte. Sa verge tendue se frottait sur sa peau.

« Nul doute que tu seras la plus belle et la plus rayonnante de toutes les mamans de ce pays, ma chérie. »

Porter son enfant. Une idée plaisante. Même si Fallah ignorait encore comment tout ça pouvait se goupiller – surtout avec son idée de porter les deux bébés en même temps – elle pouvait accepter de ne pas être sa femme officielle, du moment qu'ensemble, elles avaient au moins un enfant.

« Je veux te voir encore plus belle que lors de cette nuit, princesse de mes nuits. »

Fallah allait lui voler un ultime baiser, qui pouvait mettre fin à cette parenthèse, comme venait de commencer à lui faire l'amour à côté de la Gerudo complètement assommée sur le lit. Ce n'était pas un problème, mais Rhian avait peut-être autre chose à proposer avant ça ? Ou après ça, la princesse était celle qui dictait les priorités.

[Rhian Thoris]

Se retrouver en compagnie de Fallah était toujours une bonne chose pour RHian. Elle était aussi heureuse que son amante de voir qu’elle allait bien. Les deux femmes s’embrassèrent donc, et Rhian frémit en ressentant sur Fallah les relents du sexe, de la sueur, du stupre. Elle avait fait l’amour avec la Gerudo, et, sans réelle surprise, Fallah l’avait épuisé. Ce n’était pas l’amante préférée de Rhian pour rien. Une bonne chose à tirer de leur séjour imprévu au village des Gerudos fut notamment pour elles l’occasion d’avouer leurs sentiments. Face à la perspective de porter l’enfant d’Urbosa, Rhian voulait aussi avoir celui de Fallah. Une condition sine qua non. Au fond, elle s’était toujours doutée que Fallah y serait favorable, mais l’entendre le dire ne manqua pas d’émouvoir Rhian, qui dut papillonner des yeux pour éviter que ses larmes ne soient trop apparentes.

« Oh, Fallah… »

Elle répondit avec passion aux baisers de Fallah, se retrouvant plaquée contre la porte. Rhian l’enlaça, enroulant ses bras autour de son cou, et se hissa sur la pointe des pieds. Elles s’embrassèrent longuement, le corps musclé de Fallah se pressant contre le sien, ; sa solide verge se redressant pour caresser son bas-ventre, s’appuyant sur sa peau. Tous ces baisers n’étaient qu’un prélude au fait de faire l’amour, mais Rhian ne comptait pas se relâcher ici. Elle sentait le désir de sa femme, et caressa sa verge du bout des doigts. Elle l’empoigna, et sentit les crispations musculaires de Fallah, le désir de se plonger en elle. La queue de Fallah avait instantanément durci.

Pour Rhian, il n’y avait qu’une seule certitude, qu’elle glissa à Fallah après leur énième baiser, où leurs langues se mélangèrent tendrement et énergiquement.

« Tu vas me baiser, oui… Mais pas tout de suite. Je veux que tu me prennes… Avec Urbosa. »

Deux femmes musclées prêtes à la besogner… Non seulement il le fallait, car Rhian devait s’assurer que les choses soient apaisées entre Urbosa et Fallah, mais elle ne pouvait pas nier que l’idée de se faire prendre par ces deux femmes musclées avait de quoi déclencher de profondes bouffées de chaleur chez elle ! Consciente que, plus elles passeraient de temps ici et plus les deux auraient envie de s’envoyer en l’air, Rhian attrapa la main de Fallah, et sortit ensuite de la chambre. Elles rejoignirent la rue. La nuit, le désert retrouvait sa froideur, et elles étaient toutes les deux nues. Rhian frémit doucement, et rejoignit tout aussi rapidement la maison d’Urbosa. Elle fit le chemin inverse de celui qu’elle avait emprunté pour retrouver Fallah, et, en peu de temps, Rhian et Fazllah se retrouvèrent dans la chambre d’Urbosa.

Urbosa était toujours là, et Rhian trembla nerveusement en étant face à elle, et en sentant dans son dos le corps de Fallah, son ossature musculeuse… Et sa verge qui tapait contre ses fesses.

« Urbosa, déclara Rhian, je suis prête à porter ton enfant, je suis prête à t’épouser… Si tu acceptes que je puisse aussi épouser Fallah, et que je porte vos enfants. »

Deux fortes têtes, un seul moyen d’empêcher une rivalité naissante : les unir toutes les trois… Au nom du sexe et de l’amour !

[Urbosa]

Fallah ne pouvait interdire cela à la princesse de Papua. C'était déjà une chance pour elle, qu'une Amari puisse s'unir à une Thoris, même si leurs arbres étaient peut-être lié de façon plus proche par le passé, cela faisait bien longtemps que leurs deux familles, avaient plus qu'un serment de protection. Fallah pouvait être jalouse ? Pas avec cette condition. Devenir sa seule épouse, ce serait trop beau pour elle, qu'elle soit épousée ou amante, qu'importe, du moment qu'elle vivait heureuse avec elle et surtout, qu'elle porte leur enfant. Oui, elle l'avait dit, mais le soir où les cousines de Rhian sont devenus maman, sa princesse était magnifique avec ce petit être entre les bras. Elle ne put s'empêcher d'imaginer sa Rhian maman, mère d'une adorable petite princesse qui pourrait faire son bonheur... Ce rêve sera peut-être bientôt à portée de bras.

Heureuse comme tout, Rhian avait hâte que tout cela prenne forme même si pour ça, elle devait encore que ses deux amantes se mettent d'accord et qu'ensemble, elles fécondent la princesse. Retrouvant bien vite la maison où elle avait passé de longues heureuses de plaisir, Urbosa était là, allongée dans le lit, à tourner les pages d'un livre. Son corps, grand, musclée, ne cachait en rien sa nudité. Sa lance Gerudo entre les cuisses, au repos, restait déjà impressionnante tandis qu'elle fit les présentations. Elles se connaissaient, un peu, mais elles ont un point commun, l'amour qu'elles portaient à la même personne.

Urbosa se redressa en entendant la demande, elle faisait facilement deux têtes de plus que Rhian, déjà Fallah en faisait environ une de plus, la princesse n'avait que son statut de reine pour se sentir grande entre elles. La grande Gerudo lui prit la main avec une infinie douceur en la portant à ses lèvres.

« Je me fiche du titre que tu puisses me donner à ton peuple ou à ton père, de l'image que j'aurais, tant que j'ai ton amour, et que tu puisses m'offrir de merveilleuses petites princesses guerrières. »

Fallah était dans le dos de sa belle princesse, tant pour la « protéger » que profiter de la douceur de sa peau, de la rondeur de ses fesses, pendant qu'elle sentait sa verge la caresser du bout de la queue. Le regard de la grande dame se portait sur l'amie de sa princesse.

« Puisse notre lien commun faire de nous de bonnes amies, Fallah ? »
« Nous allons voir ça, Urbosa. »

Elle n'avait pas froid aux yeux, elle avait combattu avec Hérébos des adversaires plus grands et redoutables, protéger la princesse, c'était un honneur, une joie, et même un luxe maintenant. Elle se doutait que le prince savait pour ses sentiments envers sa petite sœur. Il avait de moins en moins besoin d'elle pour ses campagnes et elle était souvent cataloguée à sa surveillance. Cela ne la dérangeait pas, elle avait de l'action parfois, quand il ne pouvait se passer de ses talents, sinon, ces derniers temps, elle a plus connue la chaleur de sa princesse que le sang des batailles.

La grande Gerudo ne le prenait pas mal, chez ce peuple, tenir tête aux puissants était une bonne chose et si vraiment elle voulait imposer sa vision des choses, elle pouvait l'affronter, mais en cas de victoire de sa part, elle ne devait plus remettre en question sa décision, sur ce point en tout cas.

« Bien, ma princesse... Es-tu sûr de vouloir faire cela maintenant ? Je pensais que tu aurais aimé attendre que cela soit plus officiel et protocolaire ? »

Urbosa se fichait de ce genre de détail, mais elle pensait que cela comptait ? Surtout pour une princesse. Que ce soit qu'une partie de plaisir ou les premiers pas vers celles qui seront ses épouses, Rhian allait devoir redoubler, voir triplée d'effort pour supporter leur amour. Fallah se faisait sentir dans son dos et Urbosa ne tarderait pas à avoir sa lance en main. Ces deux choses, dans le même trou... ça allait être sportif !