Ah. Ils ne se sont pas compris. Mais Camille ne trouve pas la force de lui répondre qu’il attendait qu’elle le « condamne » à faire une action. Au lieu de quoi, il se retrouve à observer Emmy en professionnelle de l’acrobatie. C’est incroyable. C’est impossible ! Sa mâchoire s’ouvre naturellement et il la regarde avec de grands yeux ronds de surprise.
Après le petit moment de surprise, il ne peut pas s’empêcher de sourire et de clapper dans ses mains pour complimenter la performance ! Et puis, la façon qu’elle a de le surnommer « petit champion »… Ca lui fait quelque chose. Du renforcement positif. Comme s’ils étaient amis tous les deux. Quelque chose comme ça. Et voilà qu’elle lui dit qu’il a de « beaux yeux ». Ca le perturbe. Il détourne la tête un peu embarrassée.
Et soudain la « vérité » claque de surprise. Emmy veut connaître son passé. Après tout, c’est normal. Mais ça le gêne soudainement. Il se souvient qu’il a le droit de ne pas répondre s’il veut. Qu’il n’aura pas de gage. Alors dans un premier temps, il se referme sur lui. Autant ses pensées que son corps. Avec une tête qui vient se rapprocher de son torse et ses épaules qui se resserrent. C’est dans cette position qu’il commence à lui répondre, sans la regarder dans les yeux.
« Probablement Eris. C’était ma petite-amie. Enfin, j’étais plutôt son petit-ami à elle. Elle était du genre garçon manqué. Sportive. Très énergique. Très aimé de tous. En fait, nous étions le jour et la nuit. Tu l’aurais probablement bien aimé. C’était… elle était impressionnante. Elle avait des abdos dessinés, tu vois… »
Pourtant, ce n’est pas de la joie qui ressort de l’intonation de Camille. Mais il finit tout de même par ré-émerger de son cocon pour retrouver le regard d’Emmy. Et sa bouille toujours joviale. Dans le fond, les deux femmes ont des points communs. Elles sont toutes les deux très sociales par exemple. Quoiqu’Eris, avec ses cheveux courts et noirs, paraissait plus mature qu’Emmy.
« Voilà voilà. J’espère que, euh, ça répond assez à ta « Vérité ». Je ne sais pas trop quoi ajouter. Et puis, je n’ai pas trop envie d’ajouter autre chose. »
Surtout que ça va être à son tour de demander « Action ou Vérité » à Emmy. Et la démonstration sportive auquel il a assisté a fait naître une question. Mais il n’ose pas la poser. Ils ne se connaissent pas beaucoup. Ils ne sont pas assez familiers pour avoir ce genre de conversation et en plaisanter. Pourtant, une sorte de force le pousse à l’interroger. Il repense au « petit champion », à ses « beaux yeux » et d’autres petits détails. Comme celui d’avoir pressé son corps quand ils étaient à moto.
« Je, j-j’aimerais te poser une question Vérité. Disons que c’est une façon de te faire remarquer, euh, quelque chose en utilisant le jeu. Pas que je sois un pervers ou quoi que ce soit, hein ! »
C’est un début de panique. Et aussi une montée de rouge à ses joues. Sans compter ses doigts, nerveux, qui s’emberlificotent les uns dans les autres.
« Est-ce que, euh, par hasard, tu n’aurais pas oublié de mettre des sous-vêtements ? Je veux dire, euh, un soutien-gorge. Parce que, euh… tout à l’heure. Quand tu as fait ce saut incroyable. Euh… »
Après le petit moment de surprise, il ne peut pas s’empêcher de sourire et de clapper dans ses mains pour complimenter la performance ! Et puis, la façon qu’elle a de le surnommer « petit champion »… Ca lui fait quelque chose. Du renforcement positif. Comme s’ils étaient amis tous les deux. Quelque chose comme ça. Et voilà qu’elle lui dit qu’il a de « beaux yeux ». Ca le perturbe. Il détourne la tête un peu embarrassée.
Et soudain la « vérité » claque de surprise. Emmy veut connaître son passé. Après tout, c’est normal. Mais ça le gêne soudainement. Il se souvient qu’il a le droit de ne pas répondre s’il veut. Qu’il n’aura pas de gage. Alors dans un premier temps, il se referme sur lui. Autant ses pensées que son corps. Avec une tête qui vient se rapprocher de son torse et ses épaules qui se resserrent. C’est dans cette position qu’il commence à lui répondre, sans la regarder dans les yeux.
« Probablement Eris. C’était ma petite-amie. Enfin, j’étais plutôt son petit-ami à elle. Elle était du genre garçon manqué. Sportive. Très énergique. Très aimé de tous. En fait, nous étions le jour et la nuit. Tu l’aurais probablement bien aimé. C’était… elle était impressionnante. Elle avait des abdos dessinés, tu vois… »
Pourtant, ce n’est pas de la joie qui ressort de l’intonation de Camille. Mais il finit tout de même par ré-émerger de son cocon pour retrouver le regard d’Emmy. Et sa bouille toujours joviale. Dans le fond, les deux femmes ont des points communs. Elles sont toutes les deux très sociales par exemple. Quoiqu’Eris, avec ses cheveux courts et noirs, paraissait plus mature qu’Emmy.
« Voilà voilà. J’espère que, euh, ça répond assez à ta « Vérité ». Je ne sais pas trop quoi ajouter. Et puis, je n’ai pas trop envie d’ajouter autre chose. »
Surtout que ça va être à son tour de demander « Action ou Vérité » à Emmy. Et la démonstration sportive auquel il a assisté a fait naître une question. Mais il n’ose pas la poser. Ils ne se connaissent pas beaucoup. Ils ne sont pas assez familiers pour avoir ce genre de conversation et en plaisanter. Pourtant, une sorte de force le pousse à l’interroger. Il repense au « petit champion », à ses « beaux yeux » et d’autres petits détails. Comme celui d’avoir pressé son corps quand ils étaient à moto.
« Je, j-j’aimerais te poser une question Vérité. Disons que c’est une façon de te faire remarquer, euh, quelque chose en utilisant le jeu. Pas que je sois un pervers ou quoi que ce soit, hein ! »
C’est un début de panique. Et aussi une montée de rouge à ses joues. Sans compter ses doigts, nerveux, qui s’emberlificotent les uns dans les autres.
« Est-ce que, euh, par hasard, tu n’aurais pas oublié de mettre des sous-vêtements ? Je veux dire, euh, un soutien-gorge. Parce que, euh… tout à l’heure. Quand tu as fait ce saut incroyable. Euh… »