The Multiversity

[Chloé Faure]

Daniel Garcia sifflait tout en marchant sous le Soleil pourtant brûlant de Beverly Hills, et se dirigeait vers un quartier résidentiel où...son "genre" ne se trouvait typiquement pas. Jeune homme très athlétique de 17 ans, il était rentré depuis quelques mois dans un prestigieux lycée de la baie de Beverly Hills grâce à une bourse de mérite. Si ce jeune homme, issu d'une famille latino assez modeste, avait des résultats scolaires plutôt corrects, c'était surtout pour ses performances au basketball qu'il avait été sélectionné pour cette bourse. Aux USA, les équipes sportives d'université étaient un monde à part, et être un excellent sportif pouvait aisément ouvrir une carrière lucrative, et des portes que seuls des résultats scolaires excellents ouvraient d'ordinaire.
Au bout de seulement quelques sessions d'entraînement, et d'un premier match couronné d'une victoire écrasante, Daniel avait été propulsé capitaine de l'équipe du lycée. En plus d'être un athlète qui n'avait rien à envier aux professionnels du milieu, c'était aussi un excellent meneur, avec un charisme naturel qui lui avait permis de dores et déjà former une équipe soudée, et dont les membres comptaient parmi ses meilleurs amis depuis qu'il avait déménagé ici. Malgré sa bourse toutefois, vivre dans les environs de Beverly Hills avait son lot de difficultés, souvent financières. Il payait cher le loyer de son petit studio, ses courses...tout en fait.
Ses origines modestes faisaient donc que, même après un bon trimestre de relation, il peinait encore des fois à comprendre comment la sublime Beth Brians avait bien pu décider de le choisir. Les deux avaient forcément fini par se fréquenter, lui qui était capitaine de l'équipe de basketball, et elle la capitaine de leur équipe de cheerleaders. Mais elle venait d'une famille vraiment, vraiment riche. Le père de Beth était un acteur célèbre, qu'elle ne voyait quasiment pas car il était tout le temps en tournage, et leur famille vivait dans une villa gigantesque et luxueuse de Beverly Hills, dans un quartier qui n'était même pas accessible sans montrer pate blanche. Mais les deux s'entendaient bien, très bien même, tellement qu'ils avaient fini par sortir ensemble, ce qui avait été (et continuait d'être) le sujet de ragots au lycée.
Les deux étaient...pour ainsi dire...sexuellement très, très actifs. Beth était vierge quand ils avaient commencé à sortir ensemble, et Daniel avait donc été sa première fois. Ce n'était pas sans fierté de sa part qu'il était parvenu à faire de la première fois de Beth une expérience agréable, et depuis, la fougue de la jeunesse aidant, ils baisaient souvent et longtemps ensemble.

Aujourd'hui, Daniel avait fini ses cours plus tôt que Beth, qui lui avait alors demandée d'aller à leur villa et de l'attendre là bas, ce qu'il avait, bien évidemment, accepté de faire. Beth avait toutefois encore cours tout l'après-midi, mais entre la piscine et la salle de sport, Daniel aurait aisément de quoi s'occuper en attendant la venue de sa dulcinée. Cela dit, alors qu'il était maintenant rentré dans le quartier, il se disait aussi qu'il aurait également le temps de...clarifier certaines choses avec la mère de Beth, Louise Brians. Cette dernière avait été méfiante envers lui dès le début de leur relation, et honnêtement, Daniel n'avait pu que comprendre son point de vue. Elle devait le soupçonner de ne sortir avec sa fille que pour son fric, ce qui était l'un des ragots qui traînaient aussi au lycée. Cela dit, depuis qu'il sortaient ensemble, pas une fois Daniel n'avait été infidèle, alors que pourtant, les occasions n'auraient vraiment pas manqué. Il était sincèrement amoureux de sa belle "B.B" comme il aimait l'appeler, elle qui était très intelligente, gentille, sans compter le sexe avec elle qui était juste d'un autre niveau tant elle s'était dévergondée.
Vu que leur relation commençait maintenant à durer sans heurts majeurs, Louise avait fini par quelque peu s'adoucir vis à vis de Daniel, qui était autorisé à venir dans leur gigantesque villa, à dîner, et même à dormir régulièrement ici. Cependant, il y a quelques jours de ça, alors qu'il s'était discrètement levé en plein milieu de la nuit pour aller se désaltérer, Daniel était tombé sur la porte entrouverte de la chambre de Louise, et il n'avait pas pu s'empêcher de la voir face à un écran d'ordinateur, en train de regarder un porno, tout en s'enfonçant un gode dans la chatte. Cela l'avait amusé au début, la pauvre, avec son mari tout le temps absent, il fallait bien se satisfaire sans risquer une relation adultère. Et puis...il n'avait pas pu s'empêcher de regarder un peu plus longtemps, discrètement, et de noter ce qu'était vraiment le film porno qu'elle regardait.

Ni plus ni moins, un enregistrement de Daniel et Beth qui étaient en train de copuler dans la chambre de cette dernière, avec une prise de vue en contre-plongée.
Il en avait été sonné au début, puis, comme par réflèxe, il avait alors sorti son portable de la poche de son short de nuit, et avait...filmé la scène, avec une attention particulière à bien capturer le fait que Louise était en train de se goder la chatte en matant sa fille se faire baiser. Puis, il s'était retiré, et avait continué de faire comme si de rien n'était. Le lendemain, après le quickie matinal avec Beth, il avait pu voir, bien dissimulé au dessus d'une étagère, l'objectif d'une petite caméra sans fil...

Il était alors arrivé à l'entrée principale de la villa, puis appuya sur la sonnette, et attendit qu'on vienne lui ouvrir, plus spécifiquement, que Louise vienne.

Hey Louise, bonjour. Le coach a annulé notre session d'entraînement cet après-midi car il ne se sens pas bien, et Beth a proposé que je vienne ici l'attendre qu'elle revienne. C'est...okay pour vous ?

[Reine Alice Korvander]

Beverly Hills. Enclave dorée adjacente à Los Angeles, cette ville était bien connue pour abriter une population très riche, liée à Hollywood. C’était le cas de la famille Brians. Clark Brians était un acteur très célèbre, à qui on prédisait une carrière d’homme politique par la suite. Il était donc marié à une parfaite Américaine, Louise Brians, une blonde phénoménale, et avait eu une fille avec elle, Beth Brians. Sur le papier, sa famille avait tout pour plaire. Régulièrement, Clark s’affichait en famille devant les paparazzis ou les médias, vantant la stabilité de sa famille, et l’amour indéfectible qui le liait à sa famille. Louise savait que Clark avait impérativement besoin de cette image idyllique pour lancer sa future carrière politique. Il ambitionnait de devenir le gouverneur de Californie, comme Arnold Schwarzenegger avant lui. Le fait est que Clark Brians était un acteur très populaire, qui tournait aussi bien dans des surproductions que dans des films d’auteur. C’était d’ailleurs comme ça qu’il avait rencontré Louise, lors d’un tournage à Paris il y a des années. Elle était l’une de ses fans, et Clark lui avait offert une session de dédicace dans sa chambre d’hôtel. Ils avaient fait l’amour, mais Clark avait commis l’erreur d’oublier son préservatif. Louise était tombée enceinte, et Clark avait donc accepté de l’épouser. Le fait est qu’elle n’était ni sa première ni sa dernière amante. Aujourd’hui encore, Louise savait que Clark profitait de ses voyages pour coucher avec des groupies, des stagiaires… Sa libido était à la hauteur de son impuissance. Lui et Louise ne s’aimaient pas, mais ne se haïssaient pas non plus. Le fait est qu’ils avaient chacun une chambre à part. Louise restait avec lui, car il lui offrait un train de vie confortable, et était de plus rarement là. Ses présences s’étaient encore raréfiées avec la préparation secrète de sa campagne. Membre du Parti républicain, Clark avait déjà annoncé qu’il était favorable au port des armes, et faisait partie de ces artistes revendiquant un soutien à Donald Trump. Louise ne pouvait pas nier que son mari avait toujours eu le nez creux, il avait senti la contre-révolution culturelle qui s’abattait sur les États-Unis, et qui avait culminé avec la réélection de Donald Trump.

Leur couple se structurait avant tout autour de Beth. Clark tenait aussi beaucoup à sa fille. Belle et rayonnante, elle était une fille très douée, qui travaillait dur. Alors, quand celle-ci avait annoncé à Louise être en couple avec un boursier au nom de famille mexicain, Louise avait évidemment été très méfiante au début. Elle avait employé un détective privé pour enquêter sur Daniel Garcia et ses parents, en cherchant s’il n’était pas possible de les expulser au Mexique. Le détective privé lui avait confirmé que la famille Garcia était en règle, qu’il n’y avait rien à tenter, et surtout que Daniel était un jeune prodige du basket-ball. Il avait bénéficié d’une bourse d’études pour rejoindre ce lycée privé, financé par la prestigieuse université Berkeley, qui souhaitait le recruter ensuite. Louise avait donc commencé à se dire que ce jeune homme irait finalement très bien dans le décor. Elle en avait parlé à son mari, qui, après avoir partagé ses doutes, s’était aussi dit que cela leur ferait une bonne image.

« Vu ma position, je suis constamment assailli de critiques sur les réseaux sociaux, des conneries d’accusation de racisme et autres… Alors, si Bébé sort avec un bronzé, et qu’il est populaire, c’est parfait ! »

Louise avait donc donné sa bénédiction, mais, comme il fallait toujours se méfier des étrangers, surtout mexicains, le détective privé avait installé dans la chambre de Beth plusieurs caméras. Beth, que ses parents surnommaient « Bébé » en raison de ses initiales, était de fait très amoureuse de Daniel, qui… Eh bien, qui la baisa dans son lit avec la force d’un gorille. Louise, qui ne s’attendait pas du tout à ça, en fut estomaquée. Et cette image hanta ensuite ses nuits, l’amenant à se masturber en rêvant des muscles saillants de Daniel. Elle savait que Daniel n’était pas une menace, mais elle avait systématiquement continué à les mater. Elle avait compris qu’ils faisaient fréquemment l’amour. Elle avait vu un visage plus mâture de sa fille, qui se faisait sodomiser en hurlant. Daniel la fessait, la pinçait, et l’insultait même, tout comme elle-même.

Après la sidération, Louise avait senti le désir en elle, puis la jalousie. Jamais son mari ne l’avait baisé avec autant de force.

La villa Brians se trouvait dans les hauteurs de la ville, Beth avait donné à Daniel un accès. Louise était alors occupée à se masturber dans la salle de projection de la villa, regardant Daniel prendre Beth dans la cabine de douche. Elle se releva précipitamment, et réajusta sa tenue, puis se dirigea vers le vestibule.

« Bonjour, Daniel ! Pas de soucis, voyons, tu es toujours le bienvenu ici ! Tu veux un jus de fruits ? »

Elle le guida jusqu’à la cuisine, qui comprenait aussi une table. De la chambre, Louise avait posé d’autres caméras cachées au sein de la maison. Daniel et Beth profitaient des absences de Louise pour forniquer dans la maison. Elle rougit doucement en rejoignant la cuisine. Beth avait été priser sur le plan de travail, par l’arrière, son corps s’étalant en plein milieu. Elle avait laissé Beth seule un week-end entier, prétextant devoir retrouver son mari. Beth avait invité Daniel, et ils avaient fait l’amour tout le week-end. Louise avait en réalité loué une chambre d’hôtel et les avait regardés baiser, constatant avec stupeur que Daniel semblait inépuisable !

Louise rejoignit donc le salon, et sortit un jus d’orange frais. Elle rougit un peu en constatant que Daniel avait dû venir en courant un peu, car il portait son maillot de sport, et pétait en sueur. Une perspective très alléchante ! Elle se racla la gorge.

« Tiens, Daniel. »

Elle resta à côté. Elle n’avait pas encore eu le temps de jouir, et elle n’avait même pas eu le temps de remettre sa culotte ! Elle serrait donc les cuisses pour que Daniel ne constate pas de fuites, même si sa coiffure était légèrement défaite, et que Louise avait encore les joues un peu rouges…

« Tout se passe bien avec Beth ? Elle tient énormément à toi, tu sais… »

[Chloé Faure]

Le temps que Daniel passa à attendre qu'on vienne lui ouvrir avait été consacré à réfléchir, encore, à comment il allait aborder ce sujet délicat. Sans doute aurait-il pu continuer à faire comme si de rien n'était, mais le fait de savoir qu'il y avait au moins une caméra dans la chambre de Beth...rien que ça était quelque chose d'inquiétant, mais en plus d'avoir surpris Louise en train de se masturber sur elle et lui en train de faire l'amour...non, ignorer ça n'était juste pas possible.
Il sortit de ses pensées, qui étaient semblables à un puissant Vortex, lorsqu'il entendit l'écho de talons claquant sur le sol, puis quand la porte s'ouvrit sur Louise.

Merci infiniment, je prendrais volontiers un jus de fruit oui.

Daniel pénétra à l'intérieur de la villa, et il ressentait comme à chaque fois cette sensation d'écrasement face à cette demeure qui aurait aisément pu acceuillir des dizaines de personnes supplémentaires. En restant derrière Louise tandis qu'elle marchait, David nota certains détails, des plis de sa tenue un peu mal pliés, ses cheveux qui étaient moins coiffés qu'à l'ordinaire, et une démarche un peu chancelante. Surtout, il ne pu s'empêcher de mater son cul moulé par cette jupe qu'elle portait.

*Non, non, calme.*

Il se sermonnait intérieurement, entre autres car vu qu'il portait un short, il lui serait pour ainsi dire impossible de dissimuler ne serais-ce qu'un début d'érection. La situation était pour le moins étrange, car même si cette invasion de leur vie privée avait vraiment de quoi le foutre en rogne, il ne pouvait pas non plus nier qu'une partie de lui trouvait excitant le fait que sa "belle mère" se masturbe en le regardant baiser sa fille.
Il fallait dire, pour sa "défense", que Louise était une Milf de compétition, et littéralement une version plus âgée de Beth.

Merci.

Restant debout dans le salon, il bu rapidement le verre qui lui avait été tendu. Un jus d'orange frais, après la course qu'il avait fait sous le Soleil, faisait du bien. Puis, Louise lui demanda en confidence comment ça allait dans son couple, ajoutant que Beth tenait énormément à lui.

Et bien, pour autant que je le sache, tout se passe bien. Je suis extrêmement chanceux d'avoir Beth dans ma vie, elle est intelligente, belle, et on a pas mal de passions en commun. J'espère que ça va durer bien, et longtemps pour être honnête, je vois pas Beth comme une simple aventure de lycéen.

Il poussa alors un long soupir, puis posa le verre vidé sur le rebord de la table.

Ce qui me fait penser, Louise...il faut que je vous parle de quelque chose d'important, juste vous et moi, à propos de ma relation avec Beth.

En se redressant, le jeune homme croisa les bras sur le bas de son torse.

Je sais que vous avez fait installer des caméras dans la chambre de votre fille, et je sais aussi que vous vous faites...du bien, devant les enregistrements, précisément des moments où elle et moi faisons l'amour. Essayez pas de nier, j'ai vu les caméras, et je vous ai vue aussi, il y a trois jours de ça, devant votre ordinateur. J'y croyais pas au début...et puis j'ai pris une vidéo, au cas où.

Le jeune homme sortit alors son portable, pianota quelques instants, puis présenta l'écran à Louise où elle pu voir indéniablement la vidéo très compromettante d'elle, en train de s'enfoncer un gros gode dans la chatte, tout en regardant une vidéo de Beth se faire prendre en levrette par Daniel. Il remit le portable dans sa poche, rapidement.

Avant que vous demandiez, ceci n'est pas un chantage ou quoi que ce soit du genre, car j'ai pas l'intention de raconter ça à qui que ce soit. Par contre, j'aimerai bien comprendre ce qui cloche chez vous et votre mari, Madame Brians. Je suis à peu près certain que Beth aurait deux ou trois choses à redire sur le fait d'avoir des caméras dans ""sa"" chambre. Si j'ai pris cette vidéo de vous, c'est avant tout pour me couvrir. Beth finira par le découvrir si je l'ai fait, et je n'aimerai pas qu'elle se fasse des idées, du genre que ça serait de mon fait.
J'ai bien conscience que vous avez du croire faire ça pour le bien être de votre fille, à surveiller que je ne lui fasse pas de mal, mais cette intrusion dans sa vie privée...suivi de...ça...vous avez de sérieuses explications à me fournir, Louise.

[Reine Alice Korvander]

Louise sentit son cœur manquer plusieurs battements quand Daniel lui annonça qu’il savait tout de son petit manège. Elle devint même blême quand il lui montra la vidéo qu’il avait prise d’elle. Elle ne l’avait même pas remarqué… Louise rougit en se pinçant les lèvres, partagée entre plusieurs choses. Si elle avait été dans un état normal, elle l’aurait sûrement giflé, et l’aurait menacé de ne rien dire… Mais Daniel l’avait interrompu alors qu’elle se masturbait. Elle resta donc silencieuse, et sentit ensuite un vertige la saisir. Louise tituba sur place, et alla s’asseoir sur une chaise.

« Je… Je ne savais pas que tu m’avais surpris, Daniel… »

Elle ferma les yeux pendant un certain temps, essayant de faire de l’ordre dans ses pensées.

« Quand Bébé t’a présenté à moi… Mon mari a immédiatement pensé que tu voulais profiter d’elle, en raison de tes origines mexicaines et de ta classe sociale. »

Autant simplifier les choses en évitant de dire à Daniel que Louise avait elle aussi eu les mêmes relents xénophobes et discriminatoires que son mari.

« Alors, on a installé des caméras. J’ai assez vite compris que tu ne souhaitais pas profiter de Beth, mais… »

Louise se mordilla les lèvres. Elle ferma encore les yeux. Elle était suffisamment grande pour le dire, maintenant.

« Quand j’ai vu la façon dont tu fais l’amour à ma fille… Je n’avais jamais ressenti une telle passion, pour être honnête avec toi. Moi et Clark, on forme un couple idéal pour les médias, mais cela fait des années que nous n’avons plus fait l’amour… Et, même quand on faisait l’amour, ce n’était guère passionnant. Mais toi… Je dois bien admettre que tu es un amant exceptionnel, Daniel. Donc, si j’ai continué à vous regarder, si je n’ai pas enlevé toutes ces caméras, c’est pour te voir… Quand j’ai laissé Beth seule tout un week-end, je lui ai raconté des bobards. J’espérais qu’elle t’invite, et j’ai joué une chambre d’hôtel pour vous regarder baiser. Ce gode que tu as vu, c’est à cause de toi que je l’ai acheté. C’est… C’est plus fort que moi, Daniel. Je me couche la nuit, et je t’imagine me baiser, je t’imagine m’insulter en me bourrant comme tu insultes Bébé, me serrer le cou tout en me prenant encore, en me baisant pendant des heures… »

Elle sentit la chaleur croître entre ses cuisses. Louise resserra ses cuisses en se pinçant les lèvres.

« Ce n’était pas très malin de ma part, je le reconnais… Je n’ai nullement l’intention de te piéger, Daniel. En fait… Je ne sais pas quoi faire. Je jalouse presque ma fille de t’avoir, tu sais… Enfin, je vais retirer ces caméras, bien sûr, mais… Ce n’est pas Beth que j’espionnais, tu sais, c’était toi… ERt, en ressentant ce que je ressens pour toi, je réalise que je n’ai jamais été vraiment amoureuse de mon mari… »

La jeune ménagère rougit encore plus…

[Chloé Faure]

Daniel ne resta pas inactif lorsqu'il constata que Louise était proche de faire un malaise. Cela, il l'avait anticipé, et dès qu'il l'avait vue commencer à tituber, le jeune homme s'était précipité vers elle pour la soutenir par les épaules.

Okay...doucement Louise...

Cette dernière aurait pour la première fois un vrai contact physique direct avec Daniel, qui la soutenait sans trop d'efforts de sa part, et avec une prise et une poigne qui étaient solides. Il l'aida à s'asseoir en sécurité sur une des chaises de la cuisine, tandis que lui même, après s'être assuré que ce "malaise" n'irait pas plus loin, prit place assise sur le rebord de la grande table. Louise eu besoin de quelques secondes pour se ressaisir, et la "question" de ses origines vint rapidement pour "expliquer" les raisons de ces caméras.

Ouais, ça je m'en étais "douté" le moment où j'ai posé un pied ici Louise.

Si il s'entendait parfaitement avec Beth, on ne pouvait clairement pas dire que c'était le cas avec le reste de sa famille. Il avait vu une fois le père de Beth, lorsqu'il avait été invité pour la première fois à la villa et...bordel, il avait du faire preuve d'un sang froid exceptionnel pour se retenir de le foutre à terre. Louise ça avait été...différent. Il ignorait si elle partageait les mêmes préjugés à son encontre que son mari, mais cette dernière au bout d'un moment avait tout de même fini par s'adoucir en sa présence, et ce de façon honnête pour autant qu'il avait pu en juger. Sur le principe, il ne pouvait pas vraiment en vouloir à des parents d'être méfiants quand aux relations de leur fille, mais le coup des caméras, ça, ça avait été trop loin.
Louise vida alors son sac, et tout en ayant le rouge qui lui montait aux joues, elle avoua directement qu'elle était malheureuse et frustrée dans son mariage, et qu'elle jalousait Beth d'avoir Daniel comme petit ami. Daniel fit de son mieux pour rester impassible, mais il était difficile de ne pas ressentir des choses, quand une milf comme Louise vous avouait directement fantasmer sur le fait de se faire baiser fort par lui. Cela semblait toutefois aller légèrement plus loin que ça, car elle termina par le fait qu'elle pensait "ressentir" des choses pour lui, qui l'avait fait réaliser qu'elle n'était pas amoureuse de son mari.

Okay...

Damn ça c'était une décharge d'info comme il en avait rarement eu, mais il y avait de quoi. Daniel se laissa alors glisser du rebord de table, pour finir à genoux devant Louise, et il prit une de ses mains dans la sienne. Louise pourrait assez vite constater que Daniel n'était pas énervé.

Je crois que je comprends. Loin de moi l'idée de dire que ce que vous avez fait est bien, mais je comprends pourquoi. J'vais pas mentir Louise, je suis accroc au sexe, au point où je pense pas que je pourrais m'en passer au même titre que si je prenais de la drogue, alors en être pour ainsi dire privé pendant des années...je peut qu'imaginer la souffrance.

Il marqua une pause, la regardant droit dans les yeux, même si il ne parvint clairement pas à un moment de s'empêcher de loucher rapidement sur les seins de Louise.

Puisque vous avez été honnête avec moi, je vais l'être aussi avec vous. C'est moins pour moi que j'étais énervé que pour Beth. Cette intrusion dans sa vie privée doit cesser, mais pour ma part je...et bien j'avais trouvé plutôt flatteur d'être le support de masturbation d'une Milf comme vous. Après tout vous êtes...littéralement une version plus âgée de Beth...
On en a déjà parlé vous savez, dans la catégorie des "fantasmes" qu'on oserait pas avouer car on se ferait juger, mais Beth et moi on s'est promis de jamais faire ça et...

Il glissa alors sa deuxième main sur l'une des cuisses de Louise, tout en serrant un peu plus fort sa main de l'autre.

Et l'idée que je baise sa mère en même temps qu'elle ne l'avait pas rebutée. Je pense que vous seriez surprise à quel point Beth est très ouverte sur certains sujets, et c'est également mon cas. Vous devez retirer les caméras de sa chambre, ça c'est non négociable, mais si la frustration vous pousse à faire ce genre de trucs...peut-être que je peut aider.

Il retira alors ses mains, battant de fait le chaud et le froid.

Ou pas, c'est votre choix Louise. Sachez juste que dans tous les cas, j'ai rien l'intention de dire, à qui que ce soit, et que j'aime Beth comme jamais j'ai aimé quelqu'un. Honnêtement, dès que je commencerai à faire de l'argent en tant que basketteur pro, je compte la demander en mariage. Mais les jeunes générations comme nous avons une vision moins étriquée de ce concept, alors, dites moi ce que vous avez envie. On peut ne plus en parler, et tenter d'oublier tout ça...ou je peut vous faire ce que je fais à Beth.

Daniel se trouvait toujours accroupi face à elle, en train de faire un squat depuis tout ce temps, et avec son short de sport, impossible de dissimuler le fait qu'il était en train de bander. Il semblait sérieux dans son approche, hors de question de faire un quelconque chantage, ce n'était pas de ce genre de relation qu'il voulait avec sa "belle-mère". Son offre, il ne tenait maintenant plus à Louise qu'a la refuser...ou l'accepter.

[Reine Alice Korvander]

Louise n’en menait pas large, elle était paniquée ! Mais elle avait dit tout ce qu’elle avait à dire. Maintenant, Daniel ferait ce qu’il voulait. Louise ne savait plus quoi en penser, mais, en un sens, elle se sentait soulagée. Elle avait crevé l’abcès, à tel point qu’on pouvait se demander si, inconsciemment, elle n’avait pas souhaité que Daniel la surprenne. Louise s’en voulait surtout par rapport à sa fille, tant son stratagème donnait l’image d’une mère tyrannique, possessive… Ce qui n’était en réalité pas du tout le cas ! Daniel se rapprocha alors d’elle, et la surprit en s’agenouillant. Puis il la surprit encore plus en indiquant que lui et Beth avaient déjà évoqué cette hypothèse. Louise en écarquilla les yeux.

*Mon bébé… Vraiment ? Elle serait si perverse au point de l’envisager ? Elle et moi…*

Le fait est que Louise avait eu Beth jeune, et qu’elle était donc elle-même assez jeune. Elle avait toujours été très proche de Beth, au point qu’elles avaient souvent pris leur douche ensemble, jusqu’à ce que Beth commence à devenir trop âgée. Alors, Daniel semblait être l’exemple parfait du gendre qui venait rompre une relation affectueuse, un cordon ombilical symbolique qui n’avait encore jamais vraiment rompu. Daniel lui laissa le choix, mais le choix était vite fait pour Louise.

« Oui, bien sûr que je vais enlever les caméras, Daniel… »

Louise frémit ensuite. Il avait clairement évoqué l’idée de baiser Beth et sa mère ensemble, et Louise avait senti un battement cardiaque tressauter en elle. Elle croisa encore le regard de Daniel, notant sa sueur. Il attendait sa proposition, sa réponse.

« Tu sais, je voulais te proposer de venir vivre chez nous… De façon permanente. Tu as le droit d’épouser Beth, Daniel, et je n’ai qu’une condition à cela… »

Elle la sentait en elle, cette bouffée de désir, cette vague qui l’écrasait, qui amplifiait sa respiration.

« Je… Je sais que c’est égoïste, Daniel, mais… Je veux que tu me fasses l’amour, à moi aussi… Qu-Que tu me baises… Comme tu baises Beth… »

Tout ce qu’elle avait envie de faire, c’était de lui sauter dessus, de l’embrasser, et de sentir sa queue tendue la prendre, qu’il la prenne là. Elle rougissait donc furieusement, et mouillait encore. Vu sa position, Daniel pourrait sans doute le voir, vu que Louise ne portait aucune culotte, et que ses fuites étaient donc visibles…

[Chloé Faure]

Rien que dans la cuisine où ils se trouvaient, Daniel voyait dores et déjà de multiples options pour baiser Louise. Il ne se faisait honnêtement guère de soucis sur le fait qu'elle allait, très probablement, accepter son offre. Il pouvait le voir et le sentir, cette femme avait atteint un degré de frustration sexuelle très élevé, ce qui était un comble pour une Milf de ce calibre. C'était d'autant plus un comble que Beth lui avait parlé de son père, et du fait qu'elle était presque certaine qu'il trompait sa mère depuis des années, et continuait à le faire en ce moment même, lui qui se posait en défenseur des "vraies valeurs" de l'Amérique...
Louise accepta sans discuter le fait qu'il fallait retirer les caméras de la chambre de Bébé, mais déclara aussi qu'elle souhaitait lui proposer de venir vivre ici, dans la villa, de façon permanente, tout en lui donnant directement sa bénédiction d'épouser sa fille, mais à une condition.

J'écoute...

Cette seule condition fût finalement très simple, et arracha un petit sourire à Daniel. Elle voulait se faire baiser par lui.

Okay.

Ce fût bien tout ce que Daniel lui répondit, avant de vivement se redresser. Dans la foulée, il avait glissé ses mains sous les aisselles de Louise pour la redresser avec lui, vivement, au point que la chaise sur laquelle elle était assise se renversa. Il la plaqua alors tout contre lui. Daniel devait baisser la tête, car il y avait tout de même une différence de hauteur d'une bonne tête entre lui et Louise, qu'il alla alors embrasser. Ce ne fût pas un baiser timide qu'il lui donna, mais directement un french kiss dans les règles de l'art, et surtout très passionné. Daniel "força" l'entrée des lèvres de sa "belle mère" pour aller fourrer sa langue dans sa bouche. Il posa alors une de ses puissantes mains à l'arrière du crâne de la femme pour la maintenir, et de l'autre, il alla donner une bonne claque sur son cul. Le bruit résonna dans la pièce, et même si Louise portait encore sa jupe qui allait absorber une partie du choc, elle ne pourrait que sentir la force dont était capable le jeune homme. Il entreprit alors de malaxer son divin boule, là aussi avec force, comme si il pétrissait une pâte à pain.
Clairement, Daniel aurait été capable d'être plus doux, et il arrivait de l'être avec Beth quand les deux se sentaient plutôt des envies romantiques. Mais Louise, lors de leur conversation, avait posée suffisamment d'indices sur le fait qu'elle souhaitait qu'il la prenne fort pour que Daniel prenne directement cette voie. En se serrant ainsi contre elle, Daniel faisait également sentir à Louise combien il bandait, afin de la faire un peu saliver. Il termina leur baiser au bout d'un long moment, puis, sans rien dire, il aida Louise à retirer son haut violet. Le jeune homme agissait un peu comme un animal à ce stade, car il sentait que c'était ce genre "d'énergie" que Louise voulait. Il lui retira donc son haut, puis loucha sur ses seins tout en dégrafant son soutien gorge, afin qu'ils se retrouvent à l'air libre. Il balança d'un geste vif les deux pièces de vêtement au loin, puis se rua comme un sauvage sur les seins de la Milf. Il reposa une main sur son cul, le claquant de nouveau avant de la peloter, tout en se baissant de façon à pouvoir aller prendre un de ses tétons en bouche, et malaxer l'autre sein avec sa deuxième main afin qu'il n'y aie "pas de jaloux". Il passa quelques instants à téter avec appétit ce sein, avant de passer à l'autre. Ce faisant, Daniel descendit alors sa main pour aller la glisser sous la jupe de Louise, entre ses cuisses, contre son intimité. Il frémit en sentant qu'elle n'avait pas de culotte, et mouillait déjà bien.
Les préliminaires allaient finalement être assez rapides. Daniel, vu qu'il était monté comme un taureau, prenait toujours soin que Beth soit bien chaude et lubrifiée avant de la bourrer, mais dans le cas de Louise, ça n'allait de toute évidence pas être nécessaire. Il retira alors rapidement ses mains, qu'il utilisa alors pour abaisser la jupe de Louise qui tomba le long de ses jambes.

Maintenant que Louise était nue, Daniel la fit s'asseoir sur le rebord de la table en bois grise de la cuisine, avant de légèrement s'éloigner d'elle.

D'ordinaire, je passe un peu plus de temps sur les préliminaires, mais je vois que vous vous êtes déjà chauffée toute seule Louise...vous étiez en train de mater un de nos films quand je suis arrivé c'est ça ?

Il retira son maillot, laissant à la Milf tout le spectacle de son torse musclé en sueur, luisant presque contre le Soleil de Californie avec sa peau brune, son torse glabre.

On a une poignée d'heures avant que Bébé n'arrive, à ce moment là il faudra que je m'occupe de ma future femme...mais en attendant, toute mon attention sera pour vous, ma future belle mère.

Putain ce qu'il pouvait kiffer ça ! C'était sans doute rendu encore meilleur par le fait que Louise était mariée à un connard qu'il détestait, et qu'il allait donc baiser sa femme. Daniel abaissa alors son short, se retrouvant lui aussi nu, puis s'approcha. Il bandait fort, puis il posa ses mains derrière les genoux de Louise pour la soulever, la faire basculer en arrière afin qu'elle s'étale sur la table, avec le rebord juste au niveau de ses fesses. Daniel s'approcha alors d'elle maintenant ses mains où elles étaient pour bien écarter les jambes de Louise, et il posa sa verge contre les lèvres intimes de la femme, remuant un peu pour frotter son mât de chair contre ses lèvres humides et son clitoris.
Puis, sans un mot, il se retira juste assez pour pouvoir aligner le bout de son gland avec l'entrée de son vagin, et s'enfonça d'un coup sec en elle. Il poussa un long soupir en sentant les parois étroites se sa chatte se comprimer autour de son sexe, qu'il glissa au plus profond d'elle. Daniel était si bien monté, qu'il tapait systématiquement "au fond" quand il pénétrait, et il commença à remuer en elle, avec un bon rythme et une bonne amplitude, qui faisait bouger et grincer la table.

[Reine Alice Korvander]

Louise avait perdu le contrôle. Elle frémissait, luttant entre son envie, son désir, et sa rationalité. En fait, à ce stade, la seule chose qui la retenait n’était pas tant sa fidélité envers son mari, qui lui était totalement indifférent, mais très clairement l’impression de trahir Beth. Elle tenait toujours à sa fille, bien plus qu’à elle-même, et c’était bien pour ça qu’elle avait envisagé que Daniel vienne vivre ici de manière permanente, même sans la perspective qu’il lui fasse l’amour. Louise avait laissé son imagination s’emballer, et elle se retrouvait maintenant prise avec ses propres contradictions, avec tous ces fantasmes dont elle avait honte, mais qu’elle n’arrivait pas à taire. Alors, Daniel prit sur lui de faire volets en éclats les doutes de Louise. Il se rapprocha d’elle, et, sans violence mais avec fermeté, amena Louise à se relever. Celle-ci rougit en gémissant, et constata, quand Daniel se leva, qu’il bandait fort… Comme un taureau ! Elle en fut naturellement impressionnée, mais le meilleur était à venir. Il se rua sur elle, et commença à la déshabiller sans ménagement, ponctuant cela de grosses fessées sur le cul de Louise.

« Haaaaa… !! »

Elle gémit à chaque fois que Daniel la fessait. Mais ce fut surtout leur baiser qui la stimula, et qui acheva de la sortir de sa torpeur. Elle rougit quand il posa ses lèvres sur les siennes, écarquilla ses yeux quand il fourra sa langue dans sa bouche… Et ce fut comme si une tension venait de se rompre. Ses mains se posèrent sur les épaules, initialement avec l’envie de le repousser. Puis ses mains se crispèrent sur son maillot. Il y eut un ensemble de raisons l’amenant à répondre à son baiser : sa verge monstrueuse qu’elle sentait se former contre son bassin, la fessée qu’il administra sur son cul, et le fait qu’il la déshabille sans ménagement. Il était insolent, provocateur, dominateur, ayant pour lui l’arrogance de la jeunesse… Et Louise était loin d’y être insensible. Elle répondit donc avec emphase à son baiser, et déplaça même ses mains, pour l’enlacer. Elle se pressa contre lui, et gémit contre ses lèvres, comprenant pourquoi sa Beth aimait tant Daniel. Sa vigueur, cette force… Oh, que c’était bon !

Louise aurait pu l’embrasser ainsi pendant des heures. Jamais Clark ne l’avait embrassé avec tant de vigueur, même la première fois. Il était à l’époque ivre de puissance, et savait qu’une midinette comme Louise serait émoustillée à l’idée de coucher avec son idole. Daniel ne fit toutefois pas durer les choses, il sentit l’excitation de Louise en palpant son intimité, et en constatant que Louise ruisselait. Celle-ci se cambra d’ailleurs un peu quand les doigts de Daniel titillèrent sa chatte. Il put aussi constater qu’elle était totalement épilée. Daniel acheva ensuite de la déshabiller, et Louise le laissa faire. En sentant les mains fermes de Daniel la déshabiller, elle sentait des bouffées de chaleur croître en elle. Ses tétons devenaient douloureux en durcissant, et tout son corps tremblait nerveusement.

Elle rougit ensuite quand Daniel lui demanda ce qu’elle faisait avant.

« On ne peut rien te cacher, hein ? Bien sûr que je te regardais… Je suis en retard sur toutes mes séries Netflix parce que je préfère passer mon temps libre à te mater, tu sais… »

Elle frémit quand il se déshabilla devant elle. Ce torse musclé, saillant, elle le voyait enfin devant elle, et pas à travers l’objectif d’une caméra. Elle voyait ses pectoraux, ce torse glabre, et la sueur qui s’égouttait lentement de son corps. Elle ne sut quoi dire quand il lui annonça qu’il allait la baiser pendant plusieurs heures. Elle savait qu’il pouvait le faire, mais, comme Clark avait toujours été incapable de tenir très longtemps avec elle…

« Je suis tout à toi, Daniel… » lâcha-t-elle.

Il allait falloir clarifier sa position dans la relation à trois qui s’instaurait. Louise n’avait nullement envie de concurrencer son Bébé. Elle savait toutefois déjà quoi proposer à Daniel, amis elle préférait attendre que Beth arrive pour ça. Les deux étaient désormais nus. Daniel se rapprocha d’elle, et la poussa sur la table de la cuisine. Il la fit basculer en arrière, et attrapa ses chevilles pour écarter ses jambes. Louise s’agrippa avec ses mains sur le rebord de la table, et frémit quand la verge de Daniel s’approcha de son sexe.

« Oooh, Da-Daniel, haaaa… »

L’homme ne se fit pas attendre, et la pénétra. Louise se pinça les lèvres, et sentit comme une vague la traverser. Sa tête bascula en arrière, et tout son corps s’agita nerveusement. Daniel put sans doute le constater en voyant la manière dont Louise agissait ; elle venait de jouir !

Louise gémit doucement, et releva le buste pour croiser le regard de Daniel.

« B-Baise-moi fort, comme si j’étais ta pute, Daniel… »

[Chloé Faure]

Daniel se tendit sur place lorsqu'il glissa sa queue dans la chatte de Louise, car bordel, qu'est-ce qu'elle était étroite !

Haaa putain !

Le jeune homme peinait à en revenir, on aurait presque dit une vierge, ce qui devait du coup sans doute être du au fait que Louise était négligée, à moins qu'elle ne se soit jamais prise une queue de cette taille ? Il le pensait, car un autre facteur qui le fit se crisper sur place,fut le fait que Louise le faisait aussi. La Milf joui aussitôt qu'il la pénétra, et Daniel sentit bien les parois internes de son vagin se contracter contre son sexe. Il la laissa donc jouir déjà copieusement, avant de sourire lorsqu'elle releva légèrement le buste pour le regarder, et lui demander de la baiser fort, comme "sa" pute, ce qui ne manqua pas de lui arracher un sourire.

Heh...c'est marrant...Beth me demande souvent la même chose...telle mère telle fille hein ?

Daniel se recula, pour ensuite s'enfoncer à nouveau, grognant légèrement au passage alors qu'il devait juste un peu le "forcer" pour pouvoir coulisser.

Hmmmf putain...t'es tellement serrée...personne t'a baisée encore comme tu le méritais hein ?

Oh il allait se faire une joie de corriger cette injustice. Placé comme il l'était, Daniel pouvait avoir une vision parfaite sur sa queue qu'il faisait rentrer et sortir de la chatte de Louise, alors qu'il commençait bien à accélérer le mouvement. Il maintenait ses mains au niveau des genoux de la femme pour l'aider à les maintenir en l'air, et écartées. Pour une raison qui lui échappait, Daniel...adorait se taper des femmes au teint de peau plus clair que le sien, il y avait quelque chose avec le contraste que produisait ainsi les deux corps faisant l'amour qui l'excitait. Là, c'était absolument pareil, il peinait à détacher son regard de sa bite disparaissant au plus profond de cette chatte qui lui faisait tant de bien. Rapidement, il parvenait à se frayer un chemin avec assez d'aisance pour qu'il puisse donner de bons coups de reins.

Ouais là...laisse toi aller Louise...laisse moi te baiser...te faire jouir...

Le bruits du mobilier se mêlaient aux leurs, la table était solide, mais elle tremblait sous les coups de butoir que Daniel donnait. Et à cela, se rajoutaient les bruits de claquement spongieux que leur copulation impliquait. Quand bien même Louise était serrée, elle mouillait généreusement ce qui lubrifiait assez sa chatte étroite pour que Daniel puisse la bourrer.
Au bout d'un moment, il se sentit assez à l'aise pour décider d'y aller encore plus franchement. Il posa les jambes de Louise sur chacune de ses épaules pour qu'elles puissent s'y reposer, ce qui lui permit alors de mettre ses mains sur les hanches de la femme. Cette prise supplémentaire allait être nécessaire pour que Louise ne se "barre" pas dans tous les sens, ainsi que la table en même temps. Daniel y allait maintenant sans vergogne, et sans retenue aucune. Baiser sa future belle mère était un fantasme qui lui avait traversé l'esprit dès le moment où il l'avait vu, mais jamais il n'aurait crû que ce fantasme se manifesterait pour de vrai.

Là...Ouais...p-putain...s-salope hein...t'aime ça que...que j'te baise fort...

Oh qu'elle lui parle, le stimule, cela ne l'exciterait que d'avantage, l'encouragerait à la bourrer. Son corps musclé venait claquer contre elle, et Louise avait une merveilleuse vue en contre plongée sur lui, qui suait fort, la martelait, lui labourait la chatte. Il ne semblait guère décidé à jouir, et pour cause, il kiffait de se retenir le plus longtemps possible, et c'était pour lui une question d'ego que de faire jouir sa partenaire beaucoup plus que lui.
Au bout d'un moment, Daniel, tout en conservant au mieux sa bite dans l'écrin délicieux de la chatte de Louise, décida de changer un peu de position. Il déplaça Louise de façon à l'allonger complètement sur la table, puis la suivi en s'allongeant auprès d'elle en position de l'enclume...pour ainsi dire comme si il avait l'intention de faire des séries de pompes.

Oh ouais...là ma belle...là tu va kiffer.

Il se mit alors instantanément à remuer, avec une position qui lui permettait plus d'amplitude, plus de force quand il se laissait retomber. Il la pénétrait au plus profond, tapant à chaque fois le col de l'utérus avec toute sa force de jeune athlète. La baiser...ouais la baiser, à lui en faire perdre la tête, pour qu'elle prenne pleinement conscience d'à quel point son cuck de mari était une brêle, alors que lui avait les moyens de la rendre heureuse, satisfaite. Tout juste fallait-il espérer que la table soit effectivement d'excellente qualité, car il comptait bien enchaîner cette position pendant un long moment...

[Reine Alice Korvander]

Louise rougit quand Daniel commenta qu’elle voulait se faire prendre de la même façon que sa fille. Telle mère, telle fille… Mais Louise craignait quand même de ne pas être à la hauteur. Elle était tout de même plus âgée que Beth, et se trouvait moins attirante que sa fille. Elle faisait certes attention à sa ligne, mais elle savait que la jeunesse pouvait être cruelle. Tous les jours, Louise faisait du sport, le manoir disposait d’une salle de sport pour elle et pour Beth. Elle s’était demandée initialement pourquoi Beth s’était mise au sport, et elle avait compris que sa fille cherchait à avoir l’endurance physique nécessaire pour coucher avec Daniel. Louise la jalousait, oui, comment aurait-il pu en être autrement ? À chaque fois que Daniel baisait sa fille, elle fantasmait à l’idée d’être à sa place, d’être prise ainsi, avec cette fougue, cette force incroyable… Elle voulait ressentir ça, elle aussi.

Son premier orgasme la surprit elle aussi, confirmant que son corps était dans un état de frustration avancée. Daniel s’en amusa, et commença à la bourrer, constatant néanmoins que les parois intimes de Louise se dilataient difficilement. Beth avait à coup sûr largement dépassé sa mère en terme d’expérience sexuelle. Jamais Louise ne s’était sentie dans un tel état d’excitation, frémissant sur place, frissonnant. Tout son corps était comme une cocotte-minute que Daniel portait à ébullition en la bourrant sans ménagement. Les cris de plaisir de Louise ne tardèrent pas à emplir la pièce, se répandant dans la cuisine. Elle s’appuyait encore contre le rebord de la table, voyant le regard transi de désir de Daniel glissant de son visage à sa chatte. Il la bourrait en grognant, et elle, elle, elle se sentait emportée. Elle frémit quand il l’insulta, et se força à lui répondre, entendant les claquements spongieux de la queue de Daniel tapant contre sa chatte trempée, sentant ce membre monstrueux l’ouvrir de l’intérieur, fondant en elle.

« O-Oh, oui, Da-Daniel, je… Je suis ta pute, haaaa… B-Baise moi encore, haaaannn… J-Je suis ta… Ta putain de salope, hnnnn… !! »

Les jurons fusèrent, au milieu des soupirs et des cris de Louise. Elle sentit qu’un nouvel orgasme l’envahit. Ce n’était pas si simple à évaluer, car elle était dans un état d’excitation profond, semi-orgasmique, avec des vagues au fur et à mesure que Daniel la pénétrait. Une chose était sûre : elle mouillait énormément ! Louise n’avait jamais autant mouillé, et elle inondait la table, puis le sol. Entre les cris, les soupirs, les bourrades, et les jurons, on pouvait entendre le cliquetis des gouttes de cyprine tombant sur le sol. Elle avait aussi du mal à retenir sa salive, faisant que ses seins, avec la sueur qui contribuait, devenaient plus luisants. Son corps tout entier chauffait sur place, provoquant de magnifiques contrastes avec sa peau pâle, et ce pour le plus grand plaisir de son amant.

Vorace, Daniel avait adopté un bon rythme. Louise n’en croyait pas ses yeux ! Quelle endurance ! Elle l’avait vu derrière les écrans, bien sûr, mais le sentir en vrai… Elle déglutit en prenant conscience qu’il semblait vraiment prendre son pied à la baiser, qu’il ne se forçait pas pour obtenir son silence. L’idée qu’il puisse devenir son amant provoqua en elle un trop-plein d’émotions. Des larmes coulèrent sur ses joues tandis qu’elle orgasmait encore, son corps se crispant sur place. Daniel poussa en avant au même moment, et releva encore les jambes de Louise, qui déglutit en sentant Daniel s’allonger sur la table. Elle releva ses mains pour caresser son torse, et lui sourit alors.

« J-Je suis tellement heureuse, Da-Daniel… Hmmm… T-Tu aimes v-vraiment… Me baiser, haaaaa… M-Moi qui… V-Vieille… Hmmm… Je te promets d’être… Ta sa-salope, ton esclave sexuelle… T-Tu pourras me baiser quand tu veux, o-où tu veux, haaaa… J-Je t’aime, Daniel, je t’aime, mon Maître ! »