The Multiversity

[Ai Aihara]

Comme toujours, le sexe était bon sous le toit de Mélinda. Il y avait toujours autant de partenaires avec qui s'amuser, Ai vivait toujours de belles choses ici. Sa grande sœur avait rejoint Mélinda, elle vivait l'amour avec une de ses amies, Mitsuki Bakugo, une professeur arrivée il n'y a pas si longtemps. Il y avait beaucoup de mondes ici, au manoir comme au lycée et chaque petite nouvelle pouvait passer inaperçu parfois, tant il y avait de monde ici. Mais pour elle, ce n'était pas un souci, c'était amusant de voir de nouveaux visages et découvrir ce qu'elles aimaient, et de voir la surprise quand elles voyaient combien Ai pouvait jouir, en une seule fois.

Justement, ce matin, Ai avait fait l'amour avec sa grande sœur, Mitsuki étant absente pour aller faire une course, Fubuki avait tenu à passer un peu de temps avec sa petite sœur, l'occasion pour elle de lui montrer sa nouvelle lingerie. Elle ne rechignait pas à découvrir les nouveautés de sa petite sœur adorée. Ce fut une partie de sexe très plaisante et bruyante comme bien souvent, mais la discrétion dans le manoir, ce n'était pas un souci. Tant que la Main ne venait pas vous dire de baisser le volume, ça va. Il n'était pas si tôt le matin donc, aucun risque de réveiller une autre. Fubuki ayant pris son pied, elle partit prendre sa douche et Ai en fit autant en allant dans sa chambre, il ne fallait pas recommencer à remplir sa sœur de nouveau. Sauf qu'en sortant de la douche, elle avait une bonne idée... Celle d'offrir sa lingerie sale et usagée à sa Shii-chan. Elle allait aimer le cadeau, peut-être voudrait-elle la revoir dedans pour s'amuser avec ? Cela ne la dérangerait pas.

Mais en revenant dans la chambre de sa sœur, plus rien. Le lit était encore défait donc ce n'était pas les maids qui avaient pris ça. Fubuki était toujours sous la douche donc, pas elle non plus... Elle cherchait un peu, qui sait, dans le feu de l'action, ça a été jeté ailleurs ou tombé derrière un objet, mais rien de rien. Bizarre... Ai se renseigna auprès de Miku Nakano qui passait par hasard dans le coin, une des membres de la Main de Mélinda, elle avait peut-être vu quelque chose ? Mais non, rien. Cependant, elle semblait se souvenir que depuis peu, Maîtresse avait amener une nouvelle fille ici, qui aimait voler la lingerie. Elle n'avait pas tous les détails, car elle-même n'avait pas encore rencontré cette fille, mais c'est ainsi que Mélinda lui avait résumé sa rencontre avec elle. Une voleuse de petite culotte donc... Amusant, tout ça. En bonne enquêtrice – ou pas – Ai allait ouvrir chaque porte du manoir pour trouver cette mystérieuse petite voleuse. La seule chose qu'elle sait d'elle, si c'est elle la coupable, c'est qu'elle était nouvelle. C'est mince, mais ça ne l'empêchera pas de remettre la main sur sa précieuse lingerie.

Lingerie disparue

[Lyosinda]

Cela faisait peu de temps que Lyosinda avait été accueillit, invité à vivre au sein du Manoir Warren. De la Maitresse Vampire. Ainsi cette Étudiante aux couettes Jumelles ne c'était pas encore non plus bien familiarisé avec les tous Êtres Vivants recueillis ici, ni avec la façon de vivre et autre.
Lyosinda était un peu timide, réservé et peut être même sur une forme de défensive, après tout elle connaissait que très peu de personne en dehors de sa Maitresse dont elle semblait paradoxalement porter sans gêne son collier de soumission, mais aussi visiblement de son Enseignante référente du Lycée, Ember-sensei.

Toute fois, depuis son arrivé, des choses qui arrivaient au Lycée semblait commencer à se reproduire ici au Manoir. Coïncidence? Peut être pas. Hé oui! régulièrement, des porteuses de Lingerie, de sous vêtement travaillé, et autres de ce genre commençaient soit à se plaindre ou faire remarquer leurs disparition, pour ensuite un jour ou deux plus tard les retrouver, lavé, plier soigneusement et même rangé.

...

Lyosinda était dans sa Chambre, comme bien souvent quand sa Maitresse Mélinda-sama et Ember-sensei n'étaient pas la pour passer un peu de temps avec elle. Officiellement, elle laissait croire et entendre qu'elle cherchait à étudiante, à apprendre et que c'était pour ça qu'elle restait dans sa Chambre. Mais la réalité était toute autre. C'était pas rare qu'elle y soit plutôt à profiter d'autre chose... Souvent à l'heure du couchée, du Dodo...
Sa prise du moment, son trésor chapardé, souvent encore chaud de la présence de sa propriétaire originel, portant même encore son parfum et ses fragrances... S'offrant son "histoire" du soir, son imagination et ses sens créant une histoire, une rencontre, imaginant apprendre a connaitre la personne tout en faisant ruisseler son trésor intime jusqu'à faire couler son miel intime.

Et ce soir c'était avec un ensemble de Lingerie magnifique, à la fois d'un blanc pure, d'un tissage merveilleux comme des femmes marié pouvant porter sous leurs robe de mariage pour la nuit de noce. La pièce de tissu la plus intime porté a son visage, ses lèvres, son nez... Alors que de l'autre main usant de ses coquilles de tissu protectrice, comme l es ailes d'une ange, a frotter, câliner et éponger contre sa fleure intime.

Tellement elle était dans sa bulle, Lyosinda n'avait pas remarqué que sa porte était pas verrouillé, et encore moins remarqué le son de plusieurs porte s'ouvrant et se refermant a la suite semblait se rapprocher de sa chambre...

[Ai Aihara]

Qui avait volé, ses dessous ? Telle était la question. Ai pensait pas à mal, personne ici ne songerait à faire le mal. Ou bien, c'était une petite blague ou bien quelqu'un se faisait plaisir avec ses dessous. Ce ne serait pas si rare, il y a avait toutes sortes de fantasmes ici. Elle, par exemple aimait la lingerie, neuve ou usée, qu'importe, mais d'autres aimaient les gants, les tenues érotiques, ou au contraire très banal et bien habillée, bref, elle ne jugeait pas. Elle voulait juste retrouver sa lingerie, car elle comptait l'utiliser plus tard pour jouer avec Shii donc c'est embêtant. Une à une, elle ouvrait les portes, s'excusant de déranger si besoin, sinon elle en profitait pour regarder un peu... et revenir jouer un peu plus tard dans cette chambre. Ce n'était pas si simple, il y avait beaucoup de chambres et quand c'était fermé à clef, elle était obligée de s'annoncer et de vouloir jeter un œil. On savait ici qu'on ne plaisantait pas avec la lingerie, pour Ai. Donc si ça pouvait la rassurer et être tranquille, on la laissé venir.

Généralement, oui, il n'y avait rien, au mieux deux personnes ou plus qui s'amusait, mais hélas, elle n'avait pas le temps pour rester. Puis, arriva la chambre où se trouvait la coupable. Elle pénétra dedans, voyant une silhouette inconnue dans un coin, qui semblait se faire plaisir. Ce linge blanc, c'était elle ? Elle approcha en silence, car elle ne comptait pas punir ou faire une quelconque forme de procès, juste savoir pourquoi et récupérer son bien. Pourquoi ? Elle avait sûrement la raison sous les yeux... Cette jolie inconnue avait volé sa lingerie et se faisait bien plaisir... Elle observa, silencieusement en souriant avant d'approcher sa main pour la poser sur la sienne, entre ses cuisses. De quoi la surprendre, surement mais elle posa son index libre sur ses lèvres.

« Chuuuuuut.... ne crains rien, je ne fais que regarder et aider un petit peu... Alors, c'est toi, la mystérieuse voleuse de mes dessous ? Amusant... »

Ai prenait place à ses côtés en caressant sa main, approchant son visage du sien, pour parler avec elle à voix basse.

« Je ne te connais pas, tu es donc nouvelle... Je suis Aihara Ai, propriétaire de ces petites choses. Et toi, petite chapardeuse ? »

Sa bouche approcha de son oreille pour parler encore plus encore doucement.

« Est-ce que je sens bon au moins ? Et... j'ai bon goût ?~ »

[Lyosinda]

L'Etudiante n'avait pas prise conscience de l'intrusion dans sa Chambre, ni de la présence silencieuse, presque même imperceptible. En même temps, la visiteuse s'avait être discrète et même si elle l'était pas tant que ça, la Coupable du Vol de Lingerie assidument recherché par la propriétaire était surement trop plongée dans sa "bulle" de l'instant et de son fantasme, de son plaisir, avec l'objet qui la plongeait telle une droguée dans une sorte de Transe un peu étrange pour le commun des mortels.
Une jambe repliée avec le talon sur le rebord de la chaise, l'autre tendu et écarté sur le coté pour ouvrir la fourche des chemins de ses jambes vers le trésor féminin. Les yeux a demi fermé et a demi révulsé. Le Souffle fort, chaud, la poitrine gonflé, au rythme de la respiration et les Bourgeons rebelle dardant aux travers du chemisier.

Ce n'est qu'alors, après que Ai ait investit les lieux, se soit positionné aux coté de la "Coupable", puis observé et contre toute attente, au lieu de s'énerver comme toutes les autres Victimes de Lyosinda hors du "Monde" de la Dame Vampire auraient réagit, cela venant alors surprendre par le contact sur sa main basse, la faisant hoqueter de surprise et comme un Ballon éclatant au contact d'une aiguille, sortit de sa "bulle".

« Mais.... Mais.... Mais qu'est ce .... qui êtes vous? »

Commençait t elle a s'affoler, un peu craintive et surement que Ai s'en doutait un peu et le geste bien que non commun et anormal, avait empêché surement une dégringolade de la situation. La nouvelle étant juste alors au début, comme une proie, prise en faute, acculé et sans défense dans cet instant.

Tout en gardant fixé ses mains, tenant les différentes pièces de l'ensemble de lingerie en place, contre les parties de la Fautive. Répondant timidement, avec un ton nerveuse, inquiète et quand même prudente surement du à cet inhabituel calme de la part de cette nouvelle rencontre.

« Je.... Je suis désolée Mademoiselle.... Pardon... Je... Ce n'est pas ce que vous croyez... s'il vous plais... Je... Je vais tout arranger, je vais les nettoyer je vous le jure!! »

Tentait t elle alors de dire, de convaincre comme par réflexe de quelque chose qui n'allait pas arriver. C'était comme un automatisme surement acquis aux travers de ses méfais du passé, pour toutes les fois ou elle avait été prise la main dans le sac.
Puis tout en gardant contre elle, se recroquevillant un peu et usant de la lingerie pour cacher les différentes traces, de manifestations, du plaisir pris.

« Je suis... Oui... Je suis nouvelle... C'est Dame, Maitresse Warren qui m'a demandé, enfin invité de venir vivre ici plutôt que de rester à l'Orphelina proche du Lycée. »

Dit elle avec un ton tremblant et aussi asser formel, respectueuse et pas mal intentionné.

La Paralysie de peur, de crainte, semblait se muet peu à peu en une autre forme, une de celle d'un trouble d'une Amazone envers une Autre, presque comme une re découverte à la fois honteuse et plaisant. Comme si, malgré le travail déjà fournit par Mélinda-sama et Ember-sensei, une forme avec strict, dur et sévère était encore gravé de manière négative en cette Chapardeuse.

Avec un souffle chaude, par les lèvres, la peau rougissante, les yeux pétillants de surprise et son corps vibrant aux susurre de Ai.

« Moi c'est Lyo... Lyos... Lyosinda Adelfort je veux dire Mademoiselle Ai... Aihara »

Elle essayait de faire attention à la prononciation et essayant d'employer un ton respectueux. Elle savait depuis le temps, que même si elle avait un peu de mal encore avec l'emploi des mots San, Sama, Sensei et autre, le ton du respect était bien souvent accepté en guise de pardon de l'éventuel faute.

Ai pouvait clairement, lors de sa dernière Question, avoir même sans mot de la part de Lyosinda, connaitre la réponse à cela vu que cette dernière se recroquevilla en serrant encore plus les tissu, la lingerie, la culotte, le soutient gorge, les bas et le porte jarretelle contre elle, contre son visage pour cacher le sourire de joie, de plaisir dessiné sur son visage pour signifier que oui, le parfum lui plaisait. Puis surement que sa propre jupe et l'assise de la chaise se souviendront tant que pas nettoyé, de par l'écoulement de son doux nectar fuitant de sa fleure.

Osant poser une question, un peu étouffé par la Lingerie contre son visage, n'osant pas affronter le regard de Ai, mais son regard se baladant cacher derrière quelques petites mèches avant rebelle, sur le reste de sa visiteuse et propriétaire du bien volé.

« Pourquoi... vous êtes pas énervé?... Vous devriez pas être contente... Furieuse...! »

[Ai Aihara]

Ai avait fini par retrouver la coupable, cette dernière, inconnue pour le moment, ne se cachait pas, elle était dans son petit monde, profitant de son plaisir tandis que la petite tornade verte venait près d'elle, doucement. Elle n'était ni en colère, ni heureuse de pouvoir punir la fautive, elle observait, appréciant ce qu'elle voyait. Même si ça restait un vol, il y a moyen de s'amuser avec elle ? Surement ? Sortie de sa bulle, la demoiselle paniqua, cherchant à se racheter en proposant de lui laver ce qu'elle avait pris. Oh, elle l'avait déjà souillée avec sa grande sœur et si elle aurait pu aussi jouer de la sorte, il serait passé au lavage quand même. Shii était perverse, mais à moins de la surprendre avec sa lingerie actuelle, elle n'allait pas porter quelque chose déjà souillée... sauf si c'était le but.

La demoiselle se présentait, une nouvelle arrivante du manoir, Lyosinda Adelfort ? Elle n'était pas du coin. Enfin, non pas que ce soit étrange, ici, il y a même des filles qui viennent d'un autre monde alors des origines plus européennes vue le nom, c'était rien du tout. Moins nerveuse, elle s'étonnait de ne pas voir Ai s'énerver, ce qui la fit glousser en approchant son index de sa joue, qu'elle caressait doucement, entre deux morceaux de tissu.

« C'est ce que tu attendais en volant ça ? Que je sois furieuse ? Et que je réclame tes petites fesses à punir en guise de paiement ? »

Ai n'avait rien contre le SM, avec Mélinda, c'est monnaie courante, mais sans être une grande fan, elle pouvait s'en passer. Elle n'était pas contre une bonne fessée dans le feu de l'action, mais tendre les fesses pour se faire punir, ce n'est pas son but premier. Ni avec elle, ni avec les autres.

« Non, je cherchrais ce avec quoi, tu joues. Je comptais le laver pour bientôt allez m'amuser avec une bien belle fille du manoir~ »

Ai et Shii étaient... pas vraiment. Rien de concret, ni d'officiel, mais ça pouvait prêter à confusion quand on les voyait toutes les deux ensemble. Elle n'était pas du genre à s'étaler sur sa vie privée, elle était plus intriguée par cette nouvelle, dont elle n'avait pas encore analysé son tiroir à petites culottes.

« Donc, tu aimes, mon odeur ? Ou le tissu ? Sache que je ne suis pas la seule à avoir rendu cela possible, il y a mon odeur dessus... ma cyprine... ma queue qui étouffait dans ce petit morceau de tissu... peut-être un peu de foutre dans le tissu ? Ah, et aussi la cyprine de ma grande sœur. Hihi, j'ai essayé avec elle cette nouvelle pièce et, elle a adorée... Toi aussi, apparemment ? »

Elle restait proche d'elle, sa queue sentait l'excitation pointée le bout de son nez, rien d'encore bien visible, mais le moteur se mettait en marche tandis qu'elle observait les réactions de la voleuse de culotte, voir si elle était excitée par ses propos ou choquée ? Qui sait, ce serait bien le genre de Maîtresse d'accepter une petite prude pour la rendre aussi pervsese que celles qui étaient ici.

[Lyosinda]

Le Calme dont faisait preuve l'arrivante, une des Habitantes des lieux bien loin des Normes de la Société dite "Classique", venait bouleversait et accentuer l'effet qui traversait la petite Lyosinda.

« Je.... Je... Non! Non! C'est pas ce que vous croyez... Je... En fait vous... Je... Je ne voulais pas que ça se sache! Ne dites rien à Dame Warren s'i vous plait! Je... Je ne veux pas être forcé à retourner vivre à l'Orphelina s'il vous plait. »

L’Étudiante, la nouvelle Locataire ne percutait pas ou clairement pas les mœurs de ses lieux comme il fallait. Tellement pas habitué à ce que toutes ses choses, sentiments, désires, fantasmes et autre attrait à cette facette, l'amour, le plaisir, la luxure et autre soit si décomplexé, naturel et peut être même encouragé.

Elle avait beau avoir son petit "coté" coquin caché, qu'elle semblait avoir du mal à révéler. Sauf à Dame Warren et Ember-sensei qui avaient réussi à percer un peu cette coquille en la piégeant lors du dernier larcin au Lycée, elle restait encore un Livre avec beaucoup de page blanche, un bloc de pierre non taillé.

Quand la visiteuse à la Crinière aux couleurs des Forêts faisait mention de punissions, naturellement, novice qu'elle était, Lyosinda avait l'instinct naturel d'en avoir peur. Elle ne savait pas qu'il pouvait y avoir réellement tout une facette des "punitions" qui étaient lier aux plaisir et à des jeux intimes.
Lyosinda, elle, était plus dans la complicité, même le désire de faire passer le plaisir de l'autre ce qui lui procurait en cas de réussite bien plus de plaisir visiblement de ce qu'elle avait comprise, commencé à explorer avec sa Maitresse et sa Sensei.

« Pourquoi vous êtes.... pas furieuse si c'est à vous? Pourquoi vous hurlez pas? POURQUOI êtes si calme! »

C'était t elle un peu emporté!

« Pourquoi tout ici semble si différents de dehors? Pourquoi ne suis je plus une Monstre, une voleuse, une personne qu'on évite! »

Avec les yeux légèrement rougie.
Mais alors que Ai, toujours aussi calme et au ton gentil avec elle, lui faisant part de ses désirs avec cette pièce de tissu.

« Je... Je peux la laver pour vous... Mais s'il vous plait... Ne me balancez pas à Maitresse Warren... Je suis désolée d'avoir prise cette jolie... magnifique... délicate... Pétale Intime qui vous appartient. »

Elle ne relevait pas la tête toute de suite, tenant toujours l'objet de ses méfaits entre ses mains, dans le plit de sa jupe d’Étudiante, au niveau de son Jardin Secret.
Puis alors que la Propriétaire commençait à poser des questions, pour la première, Lyosinda hochait alors la tête de haut en bas, positivement, timidement.

« C'est... réellement la votre?... Elle est... Agréable, douce, chaleureuse.... »

Venait par la suite la Seconde question.

« En fait... J'aime les deux... la Symbiose... Enfin c'est ce que... je préfère a la lingerie propre ou le parfum seul... »

Le petit Récit qui suivit, couplé à l'imagination de Lyosinda, les images dans sa tête, une imagination honteusement débordante, imaginant alors deux Ai a faire des choses entre elles, incestueuses, en lingerie, dans des positions... Le Tout jouant sur les réactions du corps de la Demoiselle. Que ça soit ses petits et arrogants bourgeons qui se tendent plus en plus aux travers de son chemisier couvrant. Un jeu de danse et de frottement serré des cuisses pour cacher le grondement et la montait de la lave au sein du Volcan entre ses cuisses.
Et même sans mot, la simple vue de la réaction de Lyosinda et de son corps, Ai avait sa réponse, oui elle avait aimé et visiblement elle avait peut être un petit coté "petite souris", voyeuse.
Mais Ai pouvait aussi voir que la nouvelle était sa propre geollière de sa propre prison, que même si ici, les choses du plaisirs étaient bien loin d'être "mal vue", la nouvelle serait celle qui se mettrait des bâton dans les roues dans sa libération. Qu'elle n'y arriverait pas seule.