La nuit tombait doucement sur le campement. Autour du feu, quelques voyageurs riaient encore, partageant du pain et du vin. Rosie, elle, restait un peu à l'écart. Assise sur une souche, elle triait des herbes qu'elle avait cueillies plus tôt dans la journée. L'odeur de menthe et de terre humide lui rappelait un peu son village natal. C'était la première fois depuis longtemps qu'elle se sentait presque tranquille.
Ici, personne ne savait qui elle était vraiment. Les autres la voyaient comme une simple herboriste, une fille discrète et un peu timide. Ça lui convenait très bien. Après tout ce qu'elle avait vécu, tout ce qu'elle voulait c'était du calme, sans qu'on la questionne de trop et des visages amicaux autour d'elle.
Pourtant, au fond, elle restait sur ses gardes. Il fallait qu'elle mette plus de kilomètres entre elle et le château. Pas que sa vie de fille de cuisine compte beaucoup, mais le seigneur avait cette manie possessive et n'acceptait pas que ses jouets s'évanouissent dans la nature. Chaque bruit un peu fort la faisait sursauter. Chaque cavalier aperçu au loin faisait remuer son coeur dans sa poitrine. Et si le seigneur avait envoyé quelqu'un à sa recherche ? L'idée lui traversait souvent l'esprit, même si elle essayait de ne pas y penser.
Elle releva les yeux vers le ciel. Les étoiles perçaient à travers les nuages éparses. Le feu crépitait doucement. Le menton posé contre la paume de sa main, Rosie restait songeuse. A tel point qu'elle n'avait pas vu ses camarades de soirée regagner leurs tentes respectives. Ca faisait combien de temps qu'elle était dans les nuages comme ça ?
Rosie frotta ses mains pleines de terre, n'yant pas encore eu le temps de les nettoyer avec l'eau du ruisseau environnant. Puis elle se redressa. En marchant doucement vers les autres, elle avait une impression étrange : comme si quelqu'un quelque part dans la nuit, savait qu'elle était ici. Elle chasse cette pensée d'un mouvement de tête. C'était juste la fatigue qui la rendait parano.
Comme convenu plus tôt, Rosie rejoignit dans la couchette d'un jeune vagabond qui l'avait aidée à réparer le chariot. Il lui avait promis quelques pièces pour la baiser, et une promesse de lui organiser un départ en charrette qui allait plus au sud. Ses yeux luisaient de cette envie que les phéromones de l'elfe déclenchaient et qu'elle reconnaissait dans le regard de quiconque. Sous la couverture râpeuse, leurs corps nus étaient collés dans l'espace étroit. La main calleuse du jeune homme plongea direct sous sa tunique, agrippant sa cuisse avant de remonter jusqu'à son entrejambe, grognant qu'elle était trop bandante pour se retenir.
La scène, elle l'avait vécue des milliers de fois, bien qu'elle n'aille pas toujours jusqu'au bout. Elle en avait renvoyé plus d'un. Mais ça lui faisait toujours ce petit quelque chose d'entendre ces mots. Rosie sentit ses joues s'enflammer, son souffle devenait court. Est-ce que c'était lui qui en avait envie ou est-ce que c'était ce foutu effet que son pouvoir faisait qui parlait à sa place ? Il la plaqua contre le matelas, sa bouche bavant sur son cou pendant que ses doigts s'enfonçaient en elle, humides et brutaux.
- Han !
Elle lâcha un gémissement, tiraillée entre la honte et la chaleur qui pulsait dans son bas-ventre, ses ongles s'enfonçant dans ses épaules alors qu'il la pénétrait des ses doigts de coups secs, les quelques piécettes éparpillées sur le matelas tombant sur le sol à chaque acoup.
Ici, personne ne savait qui elle était vraiment. Les autres la voyaient comme une simple herboriste, une fille discrète et un peu timide. Ça lui convenait très bien. Après tout ce qu'elle avait vécu, tout ce qu'elle voulait c'était du calme, sans qu'on la questionne de trop et des visages amicaux autour d'elle.
Pourtant, au fond, elle restait sur ses gardes. Il fallait qu'elle mette plus de kilomètres entre elle et le château. Pas que sa vie de fille de cuisine compte beaucoup, mais le seigneur avait cette manie possessive et n'acceptait pas que ses jouets s'évanouissent dans la nature. Chaque bruit un peu fort la faisait sursauter. Chaque cavalier aperçu au loin faisait remuer son coeur dans sa poitrine. Et si le seigneur avait envoyé quelqu'un à sa recherche ? L'idée lui traversait souvent l'esprit, même si elle essayait de ne pas y penser.
Elle releva les yeux vers le ciel. Les étoiles perçaient à travers les nuages éparses. Le feu crépitait doucement. Le menton posé contre la paume de sa main, Rosie restait songeuse. A tel point qu'elle n'avait pas vu ses camarades de soirée regagner leurs tentes respectives. Ca faisait combien de temps qu'elle était dans les nuages comme ça ?
Rosie frotta ses mains pleines de terre, n'yant pas encore eu le temps de les nettoyer avec l'eau du ruisseau environnant. Puis elle se redressa. En marchant doucement vers les autres, elle avait une impression étrange : comme si quelqu'un quelque part dans la nuit, savait qu'elle était ici. Elle chasse cette pensée d'un mouvement de tête. C'était juste la fatigue qui la rendait parano.
Comme convenu plus tôt, Rosie rejoignit dans la couchette d'un jeune vagabond qui l'avait aidée à réparer le chariot. Il lui avait promis quelques pièces pour la baiser, et une promesse de lui organiser un départ en charrette qui allait plus au sud. Ses yeux luisaient de cette envie que les phéromones de l'elfe déclenchaient et qu'elle reconnaissait dans le regard de quiconque. Sous la couverture râpeuse, leurs corps nus étaient collés dans l'espace étroit. La main calleuse du jeune homme plongea direct sous sa tunique, agrippant sa cuisse avant de remonter jusqu'à son entrejambe, grognant qu'elle était trop bandante pour se retenir.
La scène, elle l'avait vécue des milliers de fois, bien qu'elle n'aille pas toujours jusqu'au bout. Elle en avait renvoyé plus d'un. Mais ça lui faisait toujours ce petit quelque chose d'entendre ces mots. Rosie sentit ses joues s'enflammer, son souffle devenait court. Est-ce que c'était lui qui en avait envie ou est-ce que c'était ce foutu effet que son pouvoir faisait qui parlait à sa place ? Il la plaqua contre le matelas, sa bouche bavant sur son cou pendant que ses doigts s'enfonçaient en elle, humides et brutaux.
- Han !
Elle lâcha un gémissement, tiraillée entre la honte et la chaleur qui pulsait dans son bas-ventre, ses ongles s'enfonçant dans ses épaules alors qu'il la pénétrait des ses doigts de coups secs, les quelques piécettes éparpillées sur le matelas tombant sur le sol à chaque acoup.
Retrouver l’elfette n’a pas été une partie de plaisir, même à cheval. La jeune femme semble se déplacer au hasard. S’agit-il d’une manière de couvrir ses traces, ou une manifestation de l’indécision veule de son caractère ? Lucius se déplace seul ; la mission dont son frère aîné l’a chargé est confidentielle, même si le petit personnel de la maisonnée n’est probablement pas dupe. Le goût immodéré du duc pour la petite herboriste n’est pas passé inaperçu et il se murmure même que le Maître de maison aurait dans l’idée d’épouser sa petite souillon… Balivernes, naturellement. Quoiqu’il en soit, Lucius est officiellement en voyage d’affaire et ce, depuis plusieurs semaines. Après avoir perdu la piste de Rosie quelques temps plus tôt, un aubergiste bavard et libidineux, encore frustré d’avoir été éconduit par la jeune femme lui a indiqué qu’une femme correspondant à la description donnée par Lucius semblait se déplacer avec quelques saisonniers.
Grossière erreur.
« S’appelle Rosie ? J’savons pas. C’une bonne petite, vous lui voulez quoi ? »
Le garde – un paysan armé d’une fourche rouillée - l’observe avec un mélange de circonspection et de crainte, lorgnant sans se cacher sur les cornes grises de l’hybride, mais il suffit à Lucius de fourrer quelques pièces d’or entre ses doigts terreux pour que le pouilleux se montre bien plus loquace, lui donne du messire et lui montre du doigt le dortoir collectif dans lequel il devrait pouvoir la trouver. « Z’allez pas nous la zigouiller, non ? » Des scrupules après l’avoir vendue sans l’ombre d’une hésitation. Lucius esquisse une grimace méprisante avant de s’éloigner d’un pas chaloupé. Il estime ne pas avoir à menacer le vieil homme, l’épée sur son flanc droit est un avertissement suffisant.
Le jour est tombé depuis un long moment, mais quelques saisonniers se sont attardés autour du feu de camps pour s’enivrer en plaisantant. L’ambiance est chaleureuse, la nuit claire. La population est bigarrée et à la lueur des flammes, il distingue quelques hybrides, d’espèces différentes de la sienne. Étonnant. Il s’esquive au milieu d’une rangée de tentes, en direction du dortoir, une tente plus haute et plus large faite de toile rapiécée. Il grimace. La tente est susceptible d’accueillir une dizaine de personne et il n’a pas envie de passer son temps à…
Brusquement, il se fige, droit comme un piquet. C’est elle. Dix mètres plus loin, malgré l’obscurité, il reconnaît parfaitement la chevelure cendrée de la domestique qui, à petit pas, se rapproche d’un air hésitant du dortoir. Le cœur de l’hybride s’emballe, un sourire de satisfaction étire ses lèvres pleines. La fièvre de la traque l’envahit. Quelques secondes après qu’elle se soit glissée à l’intérieure en soulevant un large pan de toile crasseuse, Lucius se rapproche avec une lenteur calculée, savourant l’odeur du délicat parfum de l’elfette qui subsiste à l’entrée du dortoir. A son tour, il soulève la toile et se glisse à l’intérieur. Le noir y est presque complet, mais les yeux mordorés de l’hybride s’y habituent immédiatement. Il y voit presque comme en plein jour. Une dizaine de couchettes, séparées les unes des autres par des tentures afin de préserver l’intimité de chacun. Indisposé, il fronce les sourcils. Le dortoir pue la transpiration et le renfermé. Il lui faut quelques secondes pour retrouver l’odeur de Rosie. Des quelques voyageurs allongés, aucun ne fait vraiment attention à lui, mais Lucius se concentre tout de même pour effacer au mieux sa présence, s’enveloppe d’ombre pour presque disparaître aux yeux du monde.
La sale petite vicieuse.
Rosie est là, au fond, il sent l’odeur de son corps tiède, celles de ses phéromones qui irradient la tente. Mais elle n’est pas seule. Un homme se presse contre elle, l’écrase de son poids. L’elfette échevelée soupire, se tortille, étouffe des gémissements obscènes. Interdit l’espace de quelques secondes, Lucius observe le couple de circonstances, croise le regard brumeux de l’elfette qui ne peut le voir. La chatte de la petite chienne doit dégouliner de jus poisseux, à en croire les petits clapotis mouillés que produisent les doigts qui la fouillent. Engoncé dans son pourpoint brun et or et son pantalon bleu marine, le combattant frissonne. Le sang afflue vers sa grosse queue, qui ne tarde pas à distendre le tissu de ses chausses. Il étouffe un grognement, avise un rondin de bois non loin du matelas, sur lequel il finit par s’asseoir, partagé entre une jalousie viscérale et la satisfaction de son voyeurisme dépravé. Car ce n’est pas la première fois qu’il l’observe en pareille situation, oh, non... Au mouvement qu’il devine sous la couverture de bure, l’homme perd patience, se redresse pour faire glisser ses chausses sur ses cuisses, avant d’écraser ses lèvres avides sur les lèvres entrouvertes de la jeune femme. Oui. Il va la lui mettre. Maladroit et pressé, l’homme grogne d’impatience. Probablement frotte-il son sexe contre la vulve poisseuse de l’elfette, cherchant l’entrée pour y fourrer son gland. Au soupir de soulagement qu’elle finit par pousser, il parvient finalement à la pénétrer, non sans fourrer ses doigts souillés de jus dans sa jolie petite bouche pour étouffer ses gémissements, alors que son bassin commence à s’agiter nerveusement. La couverture glisse de ses épaules jusque sur ses reins, dévoilant également les longues cuisses pâles et fuselées de Rosie, parsemées de petites tâches de rousseur.
Regarde-moi, Rosie,lui ordonne-il, mentalement. Il n'a pas ce genre de pouvoir mais pourtant...
A sa grande surprise, Rosie semble effectivement diriger son attention dans sa direction, alors que l’autre la besogne. Est-elle capable de le voir ? Impossible, pourtant… Non. Elle finit par détourner le regard, le déporter sur son amant du soir. Lucius serre les dents, alors que la jalousie embrase ses sens. Être ignoré lui est désormais insupportable. Regarde-moi, petite pute, songe-il encore. D’un clignement de paupières, Lucius se dévoile ; l’enveloppe brumeuse qui l’enveloppait s’évanouit peu à peu. Si Rosie regarde de nouveau dans sa direction, elle apercevra la silhouette massive qui les observe, les angles durs du visage qui la scrute, la lueur surnaturelle de ses yeux dorés, l’imperceptible mouvement de sa grosse main calleuse qui frotte la hampe de sa verge à travers le tissu de ses chausses. Et si jamais en effet elle le voit, il la fusillera du regard, avant de dresser un index impérieux devant ses lèvres closes pour lui intimer le silence.
Grossière erreur.
« S’appelle Rosie ? J’savons pas. C’une bonne petite, vous lui voulez quoi ? »
Le garde – un paysan armé d’une fourche rouillée - l’observe avec un mélange de circonspection et de crainte, lorgnant sans se cacher sur les cornes grises de l’hybride, mais il suffit à Lucius de fourrer quelques pièces d’or entre ses doigts terreux pour que le pouilleux se montre bien plus loquace, lui donne du messire et lui montre du doigt le dortoir collectif dans lequel il devrait pouvoir la trouver. « Z’allez pas nous la zigouiller, non ? » Des scrupules après l’avoir vendue sans l’ombre d’une hésitation. Lucius esquisse une grimace méprisante avant de s’éloigner d’un pas chaloupé. Il estime ne pas avoir à menacer le vieil homme, l’épée sur son flanc droit est un avertissement suffisant.
Le jour est tombé depuis un long moment, mais quelques saisonniers se sont attardés autour du feu de camps pour s’enivrer en plaisantant. L’ambiance est chaleureuse, la nuit claire. La population est bigarrée et à la lueur des flammes, il distingue quelques hybrides, d’espèces différentes de la sienne. Étonnant. Il s’esquive au milieu d’une rangée de tentes, en direction du dortoir, une tente plus haute et plus large faite de toile rapiécée. Il grimace. La tente est susceptible d’accueillir une dizaine de personne et il n’a pas envie de passer son temps à…
Brusquement, il se fige, droit comme un piquet. C’est elle. Dix mètres plus loin, malgré l’obscurité, il reconnaît parfaitement la chevelure cendrée de la domestique qui, à petit pas, se rapproche d’un air hésitant du dortoir. Le cœur de l’hybride s’emballe, un sourire de satisfaction étire ses lèvres pleines. La fièvre de la traque l’envahit. Quelques secondes après qu’elle se soit glissée à l’intérieure en soulevant un large pan de toile crasseuse, Lucius se rapproche avec une lenteur calculée, savourant l’odeur du délicat parfum de l’elfette qui subsiste à l’entrée du dortoir. A son tour, il soulève la toile et se glisse à l’intérieur. Le noir y est presque complet, mais les yeux mordorés de l’hybride s’y habituent immédiatement. Il y voit presque comme en plein jour. Une dizaine de couchettes, séparées les unes des autres par des tentures afin de préserver l’intimité de chacun. Indisposé, il fronce les sourcils. Le dortoir pue la transpiration et le renfermé. Il lui faut quelques secondes pour retrouver l’odeur de Rosie. Des quelques voyageurs allongés, aucun ne fait vraiment attention à lui, mais Lucius se concentre tout de même pour effacer au mieux sa présence, s’enveloppe d’ombre pour presque disparaître aux yeux du monde.
La sale petite vicieuse.
Rosie est là, au fond, il sent l’odeur de son corps tiède, celles de ses phéromones qui irradient la tente. Mais elle n’est pas seule. Un homme se presse contre elle, l’écrase de son poids. L’elfette échevelée soupire, se tortille, étouffe des gémissements obscènes. Interdit l’espace de quelques secondes, Lucius observe le couple de circonstances, croise le regard brumeux de l’elfette qui ne peut le voir. La chatte de la petite chienne doit dégouliner de jus poisseux, à en croire les petits clapotis mouillés que produisent les doigts qui la fouillent. Engoncé dans son pourpoint brun et or et son pantalon bleu marine, le combattant frissonne. Le sang afflue vers sa grosse queue, qui ne tarde pas à distendre le tissu de ses chausses. Il étouffe un grognement, avise un rondin de bois non loin du matelas, sur lequel il finit par s’asseoir, partagé entre une jalousie viscérale et la satisfaction de son voyeurisme dépravé. Car ce n’est pas la première fois qu’il l’observe en pareille situation, oh, non... Au mouvement qu’il devine sous la couverture de bure, l’homme perd patience, se redresse pour faire glisser ses chausses sur ses cuisses, avant d’écraser ses lèvres avides sur les lèvres entrouvertes de la jeune femme. Oui. Il va la lui mettre. Maladroit et pressé, l’homme grogne d’impatience. Probablement frotte-il son sexe contre la vulve poisseuse de l’elfette, cherchant l’entrée pour y fourrer son gland. Au soupir de soulagement qu’elle finit par pousser, il parvient finalement à la pénétrer, non sans fourrer ses doigts souillés de jus dans sa jolie petite bouche pour étouffer ses gémissements, alors que son bassin commence à s’agiter nerveusement. La couverture glisse de ses épaules jusque sur ses reins, dévoilant également les longues cuisses pâles et fuselées de Rosie, parsemées de petites tâches de rousseur.
Regarde-moi, Rosie,lui ordonne-il, mentalement. Il n'a pas ce genre de pouvoir mais pourtant...
A sa grande surprise, Rosie semble effectivement diriger son attention dans sa direction, alors que l’autre la besogne. Est-elle capable de le voir ? Impossible, pourtant… Non. Elle finit par détourner le regard, le déporter sur son amant du soir. Lucius serre les dents, alors que la jalousie embrase ses sens. Être ignoré lui est désormais insupportable. Regarde-moi, petite pute, songe-il encore. D’un clignement de paupières, Lucius se dévoile ; l’enveloppe brumeuse qui l’enveloppait s’évanouit peu à peu. Si Rosie regarde de nouveau dans sa direction, elle apercevra la silhouette massive qui les observe, les angles durs du visage qui la scrute, la lueur surnaturelle de ses yeux dorés, l’imperceptible mouvement de sa grosse main calleuse qui frotte la hampe de sa verge à travers le tissu de ses chausses. Et si jamais en effet elle le voit, il la fusillera du regard, avant de dresser un index impérieux devant ses lèvres closes pour lui intimer le silence.
Le vagabond persistait à la fouiller de ses doigts, plongeant dans son intimité ruisselante, chaque va-et-vient provoquant des bruits moites. Rosie se cambrait sous lui, ses jambes tremblant tandis que ses phéromones saturaient l'air d'un truc lascif. Le vagabond, pressé, la pénétra d'un coup sec, son sexe raide s'enfonçant dans sa chatte humide avec un grognement avide mêlé au gémissement satisfait de l'elfe, étouffé par les doigts poisseux de l'homme dans sa bouche entre-ouverte. Il fallait pas faire de bruit, mais c'était si dur...
Rosie sentait le poids maladroit du vagabond l'écraser contre le matelas pourri, son corps svelte gigotant. Il s'agitait frénétiquement, son sexe dur mais inexpérimenté cognant en elle avec des à-coups irréguliers, frottant parfois contre ses parois humides sans rythme précis.
" Putain, t'es serrée comme une vierge ", grognait-il entre deux halètements.
Elle mordait sa lèvre pour étouffer un gémissement, ses cuisses tremblant autour de ses hanches osseuses. Mais au milieu de ces ébats, ses yeux s'accrochèrent à cette lueur jaune qui brillait dans l'ombre, comme deux braises dans la nuit. Lucius, le frère cadet de son Seigneur. Son cœur s'emballa, une vague de peur lui noua les tripes : il l'avait retrouvée, fidèle chien de son frère haï. Elle devrait hurler, alerter le camp, mais qui la croirait ? Une fugitive qui crie au loup dans le noir, pendant qu'elle se fait baiser pour quelques pièces ? On la prendrait pour une folle ou mieux, ou pour une fille de petite vertu parano qui invente pour se faire remarquer. Non, elle ne pouvait rien dire, rien faire d'autre que continuer, feindre l'ignorance, tout en sentant son regard la percer comme une lame.
Pourtant, cette peur se mélangeait à une excitation vicieuse et brûlante, qui faisait pulser son clito. Être vue comme ça, cuisses écartées, chatte dégoulinante de mouille autour de la bite maladroite de ce type, par Lucius... Ça l'allumait, étrangement. Elle adorait ce frisson sadique de se faire mater en pleine dépravation. Sa main glissa instinctivement vers son bas-ventre, ses doigts effleurant son bouton rose et enflé, frottant en cercles rapides pendant que l'autre la pilonnait.
– Mmmh... oui continue, murmura-t-elle au vagabond, mais ses yeux restaient rivés sur ces prunelles dorées et son visage à moitié révélé.
La chaleur montait, ses phéromones s'emballant, rendant l'air encore plus lourd de désir. Le vagabond accéléra, ses couilles claquant contre son cul moite, mais Rosie se touchait plus fort. Son orgasme approchait, un mélange de honte et d'extase, ses ongles griffant le dos du jeune homme tandis que son doigt tournoyait sur son clito trempé. Elle gémit plus fort.
– Han ! Plus profond !
Rosie sentait le poids maladroit du vagabond l'écraser contre le matelas pourri, son corps svelte gigotant. Il s'agitait frénétiquement, son sexe dur mais inexpérimenté cognant en elle avec des à-coups irréguliers, frottant parfois contre ses parois humides sans rythme précis.
" Putain, t'es serrée comme une vierge ", grognait-il entre deux halètements.
Elle mordait sa lèvre pour étouffer un gémissement, ses cuisses tremblant autour de ses hanches osseuses. Mais au milieu de ces ébats, ses yeux s'accrochèrent à cette lueur jaune qui brillait dans l'ombre, comme deux braises dans la nuit. Lucius, le frère cadet de son Seigneur. Son cœur s'emballa, une vague de peur lui noua les tripes : il l'avait retrouvée, fidèle chien de son frère haï. Elle devrait hurler, alerter le camp, mais qui la croirait ? Une fugitive qui crie au loup dans le noir, pendant qu'elle se fait baiser pour quelques pièces ? On la prendrait pour une folle ou mieux, ou pour une fille de petite vertu parano qui invente pour se faire remarquer. Non, elle ne pouvait rien dire, rien faire d'autre que continuer, feindre l'ignorance, tout en sentant son regard la percer comme une lame.
Pourtant, cette peur se mélangeait à une excitation vicieuse et brûlante, qui faisait pulser son clito. Être vue comme ça, cuisses écartées, chatte dégoulinante de mouille autour de la bite maladroite de ce type, par Lucius... Ça l'allumait, étrangement. Elle adorait ce frisson sadique de se faire mater en pleine dépravation. Sa main glissa instinctivement vers son bas-ventre, ses doigts effleurant son bouton rose et enflé, frottant en cercles rapides pendant que l'autre la pilonnait.
– Mmmh... oui continue, murmura-t-elle au vagabond, mais ses yeux restaient rivés sur ces prunelles dorées et son visage à moitié révélé.
La chaleur montait, ses phéromones s'emballant, rendant l'air encore plus lourd de désir. Le vagabond accéléra, ses couilles claquant contre son cul moite, mais Rosie se touchait plus fort. Son orgasme approchait, un mélange de honte et d'extase, ses ongles griffant le dos du jeune homme tandis que son doigt tournoyait sur son clito trempé. Elle gémit plus fort.
– Han ! Plus profond !
Tapis dans l’ombre, Lucius inspire, expire avec lenteur, mais ne cherche plus à se dissimuler des yeux embués de stupre de l’elfette depuis qu’elle l’a remarqué. Il y a entre eux un pacte tacite de silence, qu’aucun des deux ne souhaite rompre. De la pulpe de ses doigts calleux, il caresse la hampe de sa grosse queue, écartant suffisamment ses jambes pour pouvoir empoigner ses couilles pleines, les masser avec application. Il crève d’envie de fourrer cette petite traînée, mais trouve un plaisir malsain et vertigineux à se nourrir de la frustration de l’observer en train de se faire remplir par un inconnu, d’autant que Rosie ne boude pas son plaisir. La remarque obscène de l’inconnu le fait frissonner. Serrée… Avec sa trique à lui, il la défoncerait… Comme pour sceller définitivement leur accord silencieux, il lui adresse un sourire carnassier, avant de défaire avec lenteur, les boutons de ses chausses.
Au bout de ses doigts de sa main libre, s’allume une petite lueur chatoyante jaune orange qui éclaire ses cuisses et son abdomen, alors qu’il plonge l’autre dans son pantalon, pour en faire jaillir une queue massive, surmontée d’un gros gland poisseux de jus. Mais outre les dimension de cette grosse trique, ce qui étonnera peut-être davantage la jeune femme, qui a glissé une petite main entre ses cuisses - probablement pour se branler - c’est les nombreux picots lisses sous l’épiderme de son sexe, lui donnant une apparence monstrueuse. Branle-toi, petite pute, lui ordonne-il silencieusement, de son regard brûlant de stupre. Ses doigts s’enroulent autour de sa verge, juste au-dessous du gland, pour lui donner le change et se masturber avec lenteur, des filaments de son foutre tièdes s’insinuant entre ses doigts serrés.
Le phéromones que l’elfette exsude sont entêtantes, galvanisantes, même, aussi bien pour Lucius, dont le poignet s’agite de plus en plus brusquement, que pour le jeune homme, qui fourre désormais sa victime avec hargne, galvanisé par ses encouragements. Il s’effondre sur elle en grognant, agitant brutalement son bassin à un rythme erratique. “Sale chienne…” marmonna-il, en ahanant. Lucius quant à lui, voyant le corps mince et diaphane se raidir sous les coups de butoir, encourage l’elfette, hochant la tête pour l’inviter, l’enjoindre même, à jouir. Toutefois, c’est au faîte de son plaisir que le pouilleux tourne son visage crasseux vers le demi-démon, avant de se raidir, les yeux écarquillés.
“NON.” Impérieux, les dents serrées, Lucius se redresse de toute sa stature, sa grosse queue bien raide, accusatrice, pointée en direction du couple de circonstance. “Continue.” Sa main n’a pas cessé de s’agiter sur sa trique. “Remplis cette pute.” Sidéré, mais trop proche de l’orgasme pour s’interrompre, l’autre a déjà repris son pilonnage furieux. “Là… “ Le scélérat se laisse glisser au sol ses genoux au niveau du visage de l’elfette. “Ouvre ta bouche, toi.” Le ton est précipité, agressif ; le gros gland ne tarde pas à s’écraser lourdement sur le joli minois, sur ses lèvres, ses joues, son petit nez mutin, les souillant de son liquide pré-séminal tiède. “Pu-tain…” Incapable de jouer davantage, Lucius se crispe, hoquète, se courbe vers l’avant, répète son ordre. "Ouvre… Tire ta lan…gue… HMMM !"
Il éructe, alors que de belles salves de jus brûlant gicle de son vit, arrosant copieusement la jolie petite gueule de l’elfette d’un sperme épais et poisseux pendant de longues secondes. Son orgasme précipite celui du saisonnier, qui à son tour, se vide en gémissant dans sa petite chatte malmenée, avant de s'efforcer de se redresser en repoussant le sol de ses mains, alors que Lucius, qui agite encore sa belle queue au dessus du visage comblé de Rosie pour achever de se vider le fusille du regard. "La politesse, manant." L'autre l'observe, partagé entre la crainte et l'incompréhension. "Embrasse-là, avant de partir." Et l'autre de ricaner nerveusement, supposant qu'il s'agit probablement là d'une plaisanterie de mauvais goût. Mais un regard vers le profil ciselé du démon et un autre vers la lame de l'épée qui pend à son flanc le persuade de se penche et, avec dégout, d'apposer ses lèvres contre celles, poisseuse de foutre, de l'elfette, ce qui ne manque pas de faire ricaner Lucius. "Allez, tire-toi maintenant, avant que je t'éventre."
Sitôt que l'importun a déguerpit, Lucius se penche sur la petite traînée, écartant de son visage quelques mèches collées par le sperme. "Faut qu'on cause, toi et moi." Il promène le gland sur ses lèvres souillées, le glisse entre ses lèvres si elle se laisse faire. Bien qu'à moitié débandée, sa queue déforme ses joues. "Nettoie." Puis, sur un ton plus conciliant : "Pourquoi t'es-tu enfuie, Rosie ? Tu devais pourtant savoir que je te retrouverai..."
Au bout de ses doigts de sa main libre, s’allume une petite lueur chatoyante jaune orange qui éclaire ses cuisses et son abdomen, alors qu’il plonge l’autre dans son pantalon, pour en faire jaillir une queue massive, surmontée d’un gros gland poisseux de jus. Mais outre les dimension de cette grosse trique, ce qui étonnera peut-être davantage la jeune femme, qui a glissé une petite main entre ses cuisses - probablement pour se branler - c’est les nombreux picots lisses sous l’épiderme de son sexe, lui donnant une apparence monstrueuse. Branle-toi, petite pute, lui ordonne-il silencieusement, de son regard brûlant de stupre. Ses doigts s’enroulent autour de sa verge, juste au-dessous du gland, pour lui donner le change et se masturber avec lenteur, des filaments de son foutre tièdes s’insinuant entre ses doigts serrés.
Le phéromones que l’elfette exsude sont entêtantes, galvanisantes, même, aussi bien pour Lucius, dont le poignet s’agite de plus en plus brusquement, que pour le jeune homme, qui fourre désormais sa victime avec hargne, galvanisé par ses encouragements. Il s’effondre sur elle en grognant, agitant brutalement son bassin à un rythme erratique. “Sale chienne…” marmonna-il, en ahanant. Lucius quant à lui, voyant le corps mince et diaphane se raidir sous les coups de butoir, encourage l’elfette, hochant la tête pour l’inviter, l’enjoindre même, à jouir. Toutefois, c’est au faîte de son plaisir que le pouilleux tourne son visage crasseux vers le demi-démon, avant de se raidir, les yeux écarquillés.
“NON.” Impérieux, les dents serrées, Lucius se redresse de toute sa stature, sa grosse queue bien raide, accusatrice, pointée en direction du couple de circonstance. “Continue.” Sa main n’a pas cessé de s’agiter sur sa trique. “Remplis cette pute.” Sidéré, mais trop proche de l’orgasme pour s’interrompre, l’autre a déjà repris son pilonnage furieux. “Là… “ Le scélérat se laisse glisser au sol ses genoux au niveau du visage de l’elfette. “Ouvre ta bouche, toi.” Le ton est précipité, agressif ; le gros gland ne tarde pas à s’écraser lourdement sur le joli minois, sur ses lèvres, ses joues, son petit nez mutin, les souillant de son liquide pré-séminal tiède. “Pu-tain…” Incapable de jouer davantage, Lucius se crispe, hoquète, se courbe vers l’avant, répète son ordre. "Ouvre… Tire ta lan…gue… HMMM !"
Il éructe, alors que de belles salves de jus brûlant gicle de son vit, arrosant copieusement la jolie petite gueule de l’elfette d’un sperme épais et poisseux pendant de longues secondes. Son orgasme précipite celui du saisonnier, qui à son tour, se vide en gémissant dans sa petite chatte malmenée, avant de s'efforcer de se redresser en repoussant le sol de ses mains, alors que Lucius, qui agite encore sa belle queue au dessus du visage comblé de Rosie pour achever de se vider le fusille du regard. "La politesse, manant." L'autre l'observe, partagé entre la crainte et l'incompréhension. "Embrasse-là, avant de partir." Et l'autre de ricaner nerveusement, supposant qu'il s'agit probablement là d'une plaisanterie de mauvais goût. Mais un regard vers le profil ciselé du démon et un autre vers la lame de l'épée qui pend à son flanc le persuade de se penche et, avec dégout, d'apposer ses lèvres contre celles, poisseuse de foutre, de l'elfette, ce qui ne manque pas de faire ricaner Lucius. "Allez, tire-toi maintenant, avant que je t'éventre."
Sitôt que l'importun a déguerpit, Lucius se penche sur la petite traînée, écartant de son visage quelques mèches collées par le sperme. "Faut qu'on cause, toi et moi." Il promène le gland sur ses lèvres souillées, le glisse entre ses lèvres si elle se laisse faire. Bien qu'à moitié débandée, sa queue déforme ses joues. "Nettoie." Puis, sur un ton plus conciliant : "Pourquoi t'es-tu enfuie, Rosie ? Tu devais pourtant savoir que je te retrouverai..."
Rosie haletait, la chatte palpitante autour de la bite maladroite du vagabond qui la pilonnait sans rythme, ses coups irréguliers la faisant gémir malgré elle. Puis, la lueur de la magie de Lucius illumina ses cuisses, révélant sa queue massive jaillissant de ses chausses : épaisse comme son poignet, veinée de pulsations sombres, surmontée d'un gland gonflé et luisant de jus pré-séminal, bardée de picots lisses qui promettaient une friction exquise... Rosie en frémit, son corps se contractant autour de la verge étrangère en elle, imaginant déjà cette trique la défoncer, ses picots raclant ses parois humides, la remplissant bien plus que ce pathétique inconnu. Pourquoi ça l'excitait autant ? Elle se surprit à baver mentalement, sa mouille coulant plus abondamment, trahissant son envie lubrique pour ce démon qui la matait.
Le vagabond accéléra, son rythme effréné transformant leurs ébats en baise sauvage : il la martelait comme un animal, son sexe cognant au fond de sa cavité dégoulinante. Rosie, perdue dans la débauche, frottait son clito enflé en cercles rapides. Ses doigts glissaient sur sa fente gonflée pendant qu'il la besognait. Ses phéromones saturaient l'air, rendant le pauvre type encore plus frénétique, ses poussées brutales la faisant rebondir sur le matelas pourri. Elle se masturbait avidement à l'ordre silencieux du demi-démon, la pulpe de son petit doigt éraflant son bouton rose, amplifiant les vagues de plaisir qui la traversaient, son corps se cambrant pour mieux encaisser les assauts.
Lucius s'approcha, sa queue raide comme une arme, et posa son gland lourd contre son visage rougi par le plaisir et la gêne. Rosie, soumise et chienne, ouvrit maladroitement la bouche, sa langue effleurant à peine le bout humide. Soudain, il gicla, desjets brûlants de sperme jaillissant sur sa jolie gueule, arrosant ses lèvres, ses joues et son menton d'un foutre épais et collant qui coulait en filets chauds. Le vagabond, lui, sidéré mais trop proche de l'orgasme, continua sous l'ordre impérieux de Lucius, se vidant enfin en elle avec un grognement, remplissant sa chatte de son jus tiède. Puis, sommé par le démon, il se pencha avec dégoût, apposant un bisou nerveux sur ses lèvres poisseuses de sperme, ricanant avant de détaler comme un rat.
Lucius se pencha, fourrant sa queue encore dure entre ses lèvres. Rosie hésita, sa langue frôlant à peine le foutre épais de Lucius, intimidée par les picots lisses de sa queue titanesque. C'était la première fois qu'il se faisait plaisir sur elle, et malgré ses ébats passés avec le seigneur et les domestiques du château, elle tremblait face à ce démon, sa soumission mêlée d'une crainte lubrique.. Naïve, elle s'était dit qu'elle échapperait aux griffes du seigneur, à celles de Lucius aussi… Mais là, bouche pleine de sa verge, sa main toujours sur sa fente qui avait arrêté de s'activer malgré l'approche de l'orgasme.
– Messire... murmura Rosie, gémissante, ses yeux implorants levés vers lui. Je voulais... ne plus être à lui...
Le vagabond accéléra, son rythme effréné transformant leurs ébats en baise sauvage : il la martelait comme un animal, son sexe cognant au fond de sa cavité dégoulinante. Rosie, perdue dans la débauche, frottait son clito enflé en cercles rapides. Ses doigts glissaient sur sa fente gonflée pendant qu'il la besognait. Ses phéromones saturaient l'air, rendant le pauvre type encore plus frénétique, ses poussées brutales la faisant rebondir sur le matelas pourri. Elle se masturbait avidement à l'ordre silencieux du demi-démon, la pulpe de son petit doigt éraflant son bouton rose, amplifiant les vagues de plaisir qui la traversaient, son corps se cambrant pour mieux encaisser les assauts.
Lucius s'approcha, sa queue raide comme une arme, et posa son gland lourd contre son visage rougi par le plaisir et la gêne. Rosie, soumise et chienne, ouvrit maladroitement la bouche, sa langue effleurant à peine le bout humide. Soudain, il gicla, desjets brûlants de sperme jaillissant sur sa jolie gueule, arrosant ses lèvres, ses joues et son menton d'un foutre épais et collant qui coulait en filets chauds. Le vagabond, lui, sidéré mais trop proche de l'orgasme, continua sous l'ordre impérieux de Lucius, se vidant enfin en elle avec un grognement, remplissant sa chatte de son jus tiède. Puis, sommé par le démon, il se pencha avec dégoût, apposant un bisou nerveux sur ses lèvres poisseuses de sperme, ricanant avant de détaler comme un rat.
Lucius se pencha, fourrant sa queue encore dure entre ses lèvres. Rosie hésita, sa langue frôlant à peine le foutre épais de Lucius, intimidée par les picots lisses de sa queue titanesque. C'était la première fois qu'il se faisait plaisir sur elle, et malgré ses ébats passés avec le seigneur et les domestiques du château, elle tremblait face à ce démon, sa soumission mêlée d'une crainte lubrique.. Naïve, elle s'était dit qu'elle échapperait aux griffes du seigneur, à celles de Lucius aussi… Mais là, bouche pleine de sa verge, sa main toujours sur sa fente qui avait arrêté de s'activer malgré l'approche de l'orgasme.
– Messire... murmura Rosie, gémissante, ses yeux implorants levés vers lui. Je voulais... ne plus être à lui...
Lucius fronce les sourcils, pour inciter l’elfette à s’exécuter ; malgré sa propre position subalterne, Lucius reste un noble et un militaire, habitué à se faire obéir. D’un geste agacé, il écarte complètement la couverture crasseuse pour dévoiler la petite fente souillée, dégoulinante de jus poisseux. « Continue, Rosie », lui intime-il d’une voix doucereuse, tant pour l’inciter à continuer à se branler qu’à s’occuper de sa grosse queue. Sans hâte, il ondule lentement du bassin entre les lèvres poisseuses de foutre de la jeune femme, mais lui laisse la liberté de la cajoler ou non. Dans un cas comme dans l’autre, l’énorme chibre ne tarde pas à retrouver sa vigueur et le gros gland déforme la petite bouche outragée de Rosie qui déborde de bave.
« Alors tu seras à moi », lui répond-il, d’un ton calme, mais résolu. Un éclat prédateur luit dans ses pupilles dorées, ce qui ne laisse aucun doute sur la fermeté de ses intentions. « A partir de maintenant Rosie, tu seras mon vide-couilles personnel. J’imagine que tu n’y vois pas d’objection hm ? » L’énorme chibre gicle d’entre ses lèvres pour glisser sur le visage souillé de l’elfette, étalant de nouveau son sperme encore tiède sur sa peau d’albâtre, alors qu’il glisse une main sous sa tunique pour venir s’emparer et malaxer tendrement l’une de ses grosse loches bien chaudes. S’il semble calme, le demi-démon jubile. Rosie, la petite préférée de son frère aîné, symbole de la prévalence de ce dernier sur Lucius est désormais à sa merci. Il compte en jouir, bien sûr, mais également l’utiliser contre le duc.
« Branle-moi », lui ordonne-il, si elle ne se dégourdit pas un peu, alors qu’il ôte rapidement son pourpoint puis ouvre sa chemise sur son torse massif. « Je te laisse le choix. Sois-tu reviens avec moi au domaine comme prisonnière… » Il lui retire sa queue, pour se débarrasser ensuite de son armée, de ses bottes et de ses chausses, avant se laisser tomber sur le matelas, entre les jambes opportunément écartes de la petite traînée. « Soit tu passes un accord avec moi. » Sans hésiter, il se penche pour écraser ses lèvres avides contre celles de la jeune femme. Peu dérangé par le goût de son propre foutre, il échange avec elle un baiser visqueux et salé, tout en écrasant son énorme chibre contre la vulve de Rosie pour la faire lentement coulisser contre sa petite chatte encore dilatée. « Je te couvrirais. J’inventerai une quelconque histoire de chantage pour justifier ta fuite. En échange… Mh… » Il lui vole de nouveau un baiser, remonte sa tunique pour dévoiler ses deux gros seins laiteux, vient titiller l’un de ses deux tétons entre son pouce et son majeur. « En échange tu seras officieusement à mon service. » Il se redresse, à genoux, pour l’observer de toute sa hauteur, sourcils froncés. Son gros chibre, gorgé de sang et de jus pulse, presque menaçant au-dessus de l’abdomen de Rosie ; quelques goute de son foutre brûlant s’écrasent même sur son nombril.
« Cet imbécile ne t’a pas fait jouir », énonce-il, d’un ton réprobateur. « Il se penche de nouveau sur elle, empoigne sa grosse queue d’une main, avec laquelle il vient giffler sa petite chatte avec un obscène bruit mouillé, avant de guider son gros gland humide dans les replis de sa vulve, sans toutefois la pénétrer ; il se contente de jouer avec son sexe, frottant ses lèvres et son clitoris avec gourmandise.
« Tu veux que je te fasse jouir, petite idiote ? »
De toute évidence, il est loin de lui avoir pardonné sa petite escapade.
« Alors tu seras à moi », lui répond-il, d’un ton calme, mais résolu. Un éclat prédateur luit dans ses pupilles dorées, ce qui ne laisse aucun doute sur la fermeté de ses intentions. « A partir de maintenant Rosie, tu seras mon vide-couilles personnel. J’imagine que tu n’y vois pas d’objection hm ? » L’énorme chibre gicle d’entre ses lèvres pour glisser sur le visage souillé de l’elfette, étalant de nouveau son sperme encore tiède sur sa peau d’albâtre, alors qu’il glisse une main sous sa tunique pour venir s’emparer et malaxer tendrement l’une de ses grosse loches bien chaudes. S’il semble calme, le demi-démon jubile. Rosie, la petite préférée de son frère aîné, symbole de la prévalence de ce dernier sur Lucius est désormais à sa merci. Il compte en jouir, bien sûr, mais également l’utiliser contre le duc.
« Branle-moi », lui ordonne-il, si elle ne se dégourdit pas un peu, alors qu’il ôte rapidement son pourpoint puis ouvre sa chemise sur son torse massif. « Je te laisse le choix. Sois-tu reviens avec moi au domaine comme prisonnière… » Il lui retire sa queue, pour se débarrasser ensuite de son armée, de ses bottes et de ses chausses, avant se laisser tomber sur le matelas, entre les jambes opportunément écartes de la petite traînée. « Soit tu passes un accord avec moi. » Sans hésiter, il se penche pour écraser ses lèvres avides contre celles de la jeune femme. Peu dérangé par le goût de son propre foutre, il échange avec elle un baiser visqueux et salé, tout en écrasant son énorme chibre contre la vulve de Rosie pour la faire lentement coulisser contre sa petite chatte encore dilatée. « Je te couvrirais. J’inventerai une quelconque histoire de chantage pour justifier ta fuite. En échange… Mh… » Il lui vole de nouveau un baiser, remonte sa tunique pour dévoiler ses deux gros seins laiteux, vient titiller l’un de ses deux tétons entre son pouce et son majeur. « En échange tu seras officieusement à mon service. » Il se redresse, à genoux, pour l’observer de toute sa hauteur, sourcils froncés. Son gros chibre, gorgé de sang et de jus pulse, presque menaçant au-dessus de l’abdomen de Rosie ; quelques goute de son foutre brûlant s’écrasent même sur son nombril.
« Cet imbécile ne t’a pas fait jouir », énonce-il, d’un ton réprobateur. « Il se penche de nouveau sur elle, empoigne sa grosse queue d’une main, avec laquelle il vient giffler sa petite chatte avec un obscène bruit mouillé, avant de guider son gros gland humide dans les replis de sa vulve, sans toutefois la pénétrer ; il se contente de jouer avec son sexe, frottant ses lèvres et son clitoris avec gourmandise.
« Tu veux que je te fasse jouir, petite idiote ? »
De toute évidence, il est loin de lui avoir pardonné sa petite escapade.
D'un mouvement sec, Lucius se retire. Le gland lourd claque contre sa lèvre inférieure, un filet de bave et de foutre reliant encore sa bouche à lui avant de rompre.Un poc sonore retentit dans les dortoirs. Rosie, le coeur battant, referma ses doigts fins autour de la queue monstrueuse de Lucius, encore luisante de sperme et de bave. Sa peau chaude pulsait sous sa paume, les picots lisses glissant comme des perles dures, frottant ses phalanges à chaque mouvement. Elle serra plus fort, intimidée par l'épaisseur qui débordait de sa main et entama un va-et-vient lent. Le gland gonflé crachait des filets tièdes qui coulaient sur son poignet, dégoulinant jusqu'à son avant-bras. Chaque frottement faisait claquer sa peau contre la sienne, un bruit humide et obscène, et elle haletait, ses yeux bleus rivés sur la verge qui enflait encore, comme si elle voulait la bouffer.
Lucius plaqua sa bouche contre la sienne avec une brutalité possessive et Rosie lâcha un gémissement rauque dans sa bouche, engloutie par le goût âcre de son foutre mêlé à sa salive. Sa langue, d'abord timide, se fit plus vorace, dansant contre la sienne dans un baiser gluant. La queue du demi-démon écrasée contre sa chatte frémissante, frottait ses lèvres intimes, les picots raclant son clito gonflé à chaque poussée. Douce torture. Rosie se cambra violemment, ses hanches roulant d'instinct pour pousser la friction, sa chatte encore dilatée suintant le sperme du vagabond et sa propre mouille. Ses seins blancs se pressaient contre le torse nu de Lucius quand il ne les malmenait pas, tandis qu'un filet de bave et de foutre coulait de leurs lèvres jointes, dégoulinant sur son menton. Quand il déclara qu'elle serait sa propriété, Rosie releva les yeux. Son regard brillait d'un mélange de peur et d'aplomb inassumé.
– Vous… vous seriez un homme mort, Messire. Si votre frère apprend tout cela, il vous tranchera la tête...
Et quel sort lui serait réservé à elle ensuite ? Elle déglutit, intimidée par sa première fois avec lui. Pourtant, l'idée qu'il la possède et qu'il défie le seigneur pour elle, faisait pulser sa fente plus fort. Lucius, à genoux, gifla sa chatte avec sa queue, le bruit mouillé résonnant. Rosie gémit, ses hanches se cambraient toujours plus malgré elle. Elle voulait jouir putain, elle crevait d'envie que cette trique la remplisse, que ses picots la ravagent. Mais une part d'elle, celle qui avait fui, se braqua.
– Oui… non... murmure Rosie, déchirée.
Ses doigts glissent instinctivement vers ses propres tétons qu'elle triturait par réelle envie ou par stress, on ne saurait pas trop dire. Elle aurait été en mesure de jouir avec son précédent amant si l'homme ne l'avait pas fait fuir. Et la voilà maintenant à la merci du frère du seigneur... Ses yeux embués de désir et de crainte se lèvent vers lui. Elle hoche lentement la tête dans un oui muet sans vraiment savoir à quelle sauce elle va être mangée. Ses lèvres s'entrouvrent mais aucun mot ne sort. Juste un soupir. Dans le dortoir, les ronflements lointains et le craquement des couchettes rappellent le danger de se faire surprendre. Un gémissement trop fort et tout le camp se réveillera.
Lucius plaqua sa bouche contre la sienne avec une brutalité possessive et Rosie lâcha un gémissement rauque dans sa bouche, engloutie par le goût âcre de son foutre mêlé à sa salive. Sa langue, d'abord timide, se fit plus vorace, dansant contre la sienne dans un baiser gluant. La queue du demi-démon écrasée contre sa chatte frémissante, frottait ses lèvres intimes, les picots raclant son clito gonflé à chaque poussée. Douce torture. Rosie se cambra violemment, ses hanches roulant d'instinct pour pousser la friction, sa chatte encore dilatée suintant le sperme du vagabond et sa propre mouille. Ses seins blancs se pressaient contre le torse nu de Lucius quand il ne les malmenait pas, tandis qu'un filet de bave et de foutre coulait de leurs lèvres jointes, dégoulinant sur son menton. Quand il déclara qu'elle serait sa propriété, Rosie releva les yeux. Son regard brillait d'un mélange de peur et d'aplomb inassumé.
– Vous… vous seriez un homme mort, Messire. Si votre frère apprend tout cela, il vous tranchera la tête...
Et quel sort lui serait réservé à elle ensuite ? Elle déglutit, intimidée par sa première fois avec lui. Pourtant, l'idée qu'il la possède et qu'il défie le seigneur pour elle, faisait pulser sa fente plus fort. Lucius, à genoux, gifla sa chatte avec sa queue, le bruit mouillé résonnant. Rosie gémit, ses hanches se cambraient toujours plus malgré elle. Elle voulait jouir putain, elle crevait d'envie que cette trique la remplisse, que ses picots la ravagent. Mais une part d'elle, celle qui avait fui, se braqua.
– Oui… non... murmure Rosie, déchirée.
Ses doigts glissent instinctivement vers ses propres tétons qu'elle triturait par réelle envie ou par stress, on ne saurait pas trop dire. Elle aurait été en mesure de jouir avec son précédent amant si l'homme ne l'avait pas fait fuir. Et la voilà maintenant à la merci du frère du seigneur... Ses yeux embués de désir et de crainte se lèvent vers lui. Elle hoche lentement la tête dans un oui muet sans vraiment savoir à quelle sauce elle va être mangée. Ses lèvres s'entrouvrent mais aucun mot ne sort. Juste un soupir. Dans le dortoir, les ronflements lointains et le craquement des couchettes rappellent le danger de se faire surprendre. Un gémissement trop fort et tout le camp se réveillera.
Lucius hausse un sourcil inquisiteur, sans cesser de fouiller négligemment les replis de sa petite chatte baveuse de foutre et de cyprine. Il tend l’une de ses grosses mains pour passer son pouce sur les lèvres humides et entrouvertes de Rosie afin d’y étaler avec application le mélange de sperme et de salive qui s’en échappe. La mise en garde de la jeune femme l'a surpris ; il s'attendait à ce qu'elle accepte son sort sans regimber davantage. Décidément, la petite Rosie est pleine de surprises.
“Tout va très bien se passer si tu fermes ta jolie petite bouche de suceuse, et que tu continues à ouvrir les cuisses pour lui de temps en temps”, murmure-il, en glissant son pouce sur sa langue, provoquant probablement un réflexe, volontaire ou non, de succion. “... Mais tu n’appartiendras plus qu’à moi”, achève-il, en se penchant une nouvelle fois pour lui dérober un bref baiser vorace. A vrai dire, il n'a que très vaguement réfléchi à la suite des évènement. S'il a tissé un réseau occulte et prévu de faire de Rosie l'instrument de sa vengeance, il lui reste à parfaire le détail de son plan. Fébrile, et impatient, il guide à l’aveugle sa grosse trique entre les cuisses d’une Rosie lascive, offerte, en dépit de la réserve qu’elle s’efforce d’observer. Le gros gland poisseux dérape une première fois, glisse sur la petite corolle de son anus, mais du plat de la main, il vient immobiliser la petite traînée sur son grabat. “Attends… ”, ricane-il. "Pressée ?" Il l’enculera bien assez tôt, mais il sait que la chose nécessitera une préparation appropriée. Pour l’heure, il a juste envie de se vider les couilles, alors…
“Là… Làààà… Pu…Tain…” Grogne-il, les dents serrées, alors qu’il la fourre enfin avec lenteur, non sans difficulté. Non seulement la queue du vagabond était de taille modeste mais par ailleurs, Rosie s’est un peu refermée, de telle sorte que l’étau brûlant de sa chatte compresse sa grosse queue. Heureusement, l'abondante lubrification, et l’extrême excitation de la petite traînée - cette pute exsude le cul par tous les pores de sa jolie peau d’albâtre - facilite l’intromission et, avec un râle étouffé, il ravage ses entrailles pour s’affaisser sur son corps en nage, jusqu’à la remplir entièrement de sa bite brûlante et difforme, jusqu’à ce que ses grosses bourses pleines ne s’écrasent enfin contre les lèvres de son sexe poisseux. Le souffle court, le regard fixe, vitreux, il tend l’avant bras pour venir enserrer sa gorge, se baisse pour rapprocher ses lèvres de son oreille. “C’est un bon vide-couilles, ça, hein… Elle est bonne, la grosse bite de Messire, hm ? ” persifle-il, en reculant légèrement le bassin pour se renfoncer sèchement en elle, faisant claquer ses couilles contre ses fesses, au risque de la faire gémir. Lorsqu’enfin, il consent à la limer, il ne tarde pas à déplacer les doigts de sa main sur la petite bouche entrouverte de l’elfette afin de ne pas éveiller le voisinage. Pour autant, sitôt qu’il la sent plus détendue, il ne tarde pas à accélérer le rythme. Loin de se soucier du plaisir de la pauvrette, il se concentre sur le sien et, les yeux mi-clos, se branle dans sa petite chatte humide avec une hargne de moins en moins contrôlée.
“Tout va très bien se passer si tu fermes ta jolie petite bouche de suceuse, et que tu continues à ouvrir les cuisses pour lui de temps en temps”, murmure-il, en glissant son pouce sur sa langue, provoquant probablement un réflexe, volontaire ou non, de succion. “... Mais tu n’appartiendras plus qu’à moi”, achève-il, en se penchant une nouvelle fois pour lui dérober un bref baiser vorace. A vrai dire, il n'a que très vaguement réfléchi à la suite des évènement. S'il a tissé un réseau occulte et prévu de faire de Rosie l'instrument de sa vengeance, il lui reste à parfaire le détail de son plan. Fébrile, et impatient, il guide à l’aveugle sa grosse trique entre les cuisses d’une Rosie lascive, offerte, en dépit de la réserve qu’elle s’efforce d’observer. Le gros gland poisseux dérape une première fois, glisse sur la petite corolle de son anus, mais du plat de la main, il vient immobiliser la petite traînée sur son grabat. “Attends… ”, ricane-il. "Pressée ?" Il l’enculera bien assez tôt, mais il sait que la chose nécessitera une préparation appropriée. Pour l’heure, il a juste envie de se vider les couilles, alors…
“Là… Làààà… Pu…Tain…” Grogne-il, les dents serrées, alors qu’il la fourre enfin avec lenteur, non sans difficulté. Non seulement la queue du vagabond était de taille modeste mais par ailleurs, Rosie s’est un peu refermée, de telle sorte que l’étau brûlant de sa chatte compresse sa grosse queue. Heureusement, l'abondante lubrification, et l’extrême excitation de la petite traînée - cette pute exsude le cul par tous les pores de sa jolie peau d’albâtre - facilite l’intromission et, avec un râle étouffé, il ravage ses entrailles pour s’affaisser sur son corps en nage, jusqu’à la remplir entièrement de sa bite brûlante et difforme, jusqu’à ce que ses grosses bourses pleines ne s’écrasent enfin contre les lèvres de son sexe poisseux. Le souffle court, le regard fixe, vitreux, il tend l’avant bras pour venir enserrer sa gorge, se baisse pour rapprocher ses lèvres de son oreille. “C’est un bon vide-couilles, ça, hein… Elle est bonne, la grosse bite de Messire, hm ? ” persifle-il, en reculant légèrement le bassin pour se renfoncer sèchement en elle, faisant claquer ses couilles contre ses fesses, au risque de la faire gémir. Lorsqu’enfin, il consent à la limer, il ne tarde pas à déplacer les doigts de sa main sur la petite bouche entrouverte de l’elfette afin de ne pas éveiller le voisinage. Pour autant, sitôt qu’il la sent plus détendue, il ne tarde pas à accélérer le rythme. Loin de se soucier du plaisir de la pauvrette, il se concentre sur le sien et, les yeux mi-clos, se branle dans sa petite chatte humide avec une hargne de moins en moins contrôlée.
Rosie sentit l'air se bloquer dans sa gorge quand le gland violacé força son entrée, écartant ses lèvres intimes avec une lenteur cruelle. Les picots lisses raclèrent l'intérieur de sa chatte comme des griffes de velours brûlant, chaque bosse frottant une zone sensible qu'aucune queue n'avait jamais touchée. Un frisson électrique remonta jusqu'à sa colonne, ses parois se contractant spasmodiquement autour de l'intrus, suçant la verge comme si elles refusaient de la lâcher.
Quand Lucius s'enfonça jusqu'à la garde, ses couilles lourdes s'écrasèrent contre son cul avec un claquement humide. Le bout de sa bite cognait son col, la faisant tressauter à chaque battement de cœur. La chaleur était insoutenable : une barre de fer vivant, palpitante, qui la remplissait jusqu'à la douleur exquise.
– Gnnh hmmmpf
Il serra sa gorge : elle sentit son pouls battre sous ses doigts, sa respiration se faire courte et saccadée. Ses seins se soulevaient frénétiquement, tétons si durs qu'ils en devenaient douloureux. Le moindre mouvement de bassin faisait grincer le grabat, le bois craquant comme un avertissement. Dans le dortoir, un ronflement lointain se brisa ; quelqu'un bougea dans son sommeil. Elle tenta de repousser Lucius d'une main tremblante mais ses hanches la trahirent, se soulevant pour avaler plus profondément la queue monstrueuse. Sa chatte claquait autour de lui, chaque retrait laissant un vide brûlant, chaque enfoncement un choc humide qui faisait gicler la mouille sur ses cuisses.
Rosie sentit la vérité la traverser plus profondément elle aussi : elle lui appartenait désormais, corps et âme, tout en restant la chose officielle de son frère légitime. Deux chaînes invisibles autour de sa gorge, deux maîtres pour une seule chatte. L'idée la fit trembler de honte et de plaisir pervers : être la pute secrète du bâtard tout en continuant à écarter les cuisses pour le seigneur quand il le voudrait. Un fantasme inavoué qu'elle n'osait même pas s'avouer dans ses nuits solitaires : se faire remplir par les deux frères, l'un en cachette, l'autre en public, jusqu'à ne plus savoir à qui appartenait la semence qui coulait entre ses jambes. Elle gémit contre la paume de Lucius, ses chairs se serraient autour de lui comme pour sceller ce pacte obscène : elle serait leur jouet partagé. L'orgasme montait, prêt à exploser.
Contre la paume qui étouffait ses cris, elle articula dans un souffle rauque, presque inaudible, les lèvres tremblantes :
– Oui… oui, Messire… je serai votre vide-couilles… Messire… ne me torturez pas plus ou je vais hurler…
Et elle serra sa queue de toutes ses forces, ses parois se contractant comme un étau brûlant, suppliant en silence qu’il la brise avant qu’elle ne gémisse trop fort, incapable de se contrôler. Son regard était suppliant, en bonne chienne.
Quand Lucius s'enfonça jusqu'à la garde, ses couilles lourdes s'écrasèrent contre son cul avec un claquement humide. Le bout de sa bite cognait son col, la faisant tressauter à chaque battement de cœur. La chaleur était insoutenable : une barre de fer vivant, palpitante, qui la remplissait jusqu'à la douleur exquise.
– Gnnh hmmmpf
Il serra sa gorge : elle sentit son pouls battre sous ses doigts, sa respiration se faire courte et saccadée. Ses seins se soulevaient frénétiquement, tétons si durs qu'ils en devenaient douloureux. Le moindre mouvement de bassin faisait grincer le grabat, le bois craquant comme un avertissement. Dans le dortoir, un ronflement lointain se brisa ; quelqu'un bougea dans son sommeil. Elle tenta de repousser Lucius d'une main tremblante mais ses hanches la trahirent, se soulevant pour avaler plus profondément la queue monstrueuse. Sa chatte claquait autour de lui, chaque retrait laissant un vide brûlant, chaque enfoncement un choc humide qui faisait gicler la mouille sur ses cuisses.
Rosie sentit la vérité la traverser plus profondément elle aussi : elle lui appartenait désormais, corps et âme, tout en restant la chose officielle de son frère légitime. Deux chaînes invisibles autour de sa gorge, deux maîtres pour une seule chatte. L'idée la fit trembler de honte et de plaisir pervers : être la pute secrète du bâtard tout en continuant à écarter les cuisses pour le seigneur quand il le voudrait. Un fantasme inavoué qu'elle n'osait même pas s'avouer dans ses nuits solitaires : se faire remplir par les deux frères, l'un en cachette, l'autre en public, jusqu'à ne plus savoir à qui appartenait la semence qui coulait entre ses jambes. Elle gémit contre la paume de Lucius, ses chairs se serraient autour de lui comme pour sceller ce pacte obscène : elle serait leur jouet partagé. L'orgasme montait, prêt à exploser.
Contre la paume qui étouffait ses cris, elle articula dans un souffle rauque, presque inaudible, les lèvres tremblantes :
– Oui… oui, Messire… je serai votre vide-couilles… Messire… ne me torturez pas plus ou je vais hurler…
Et elle serra sa queue de toutes ses forces, ses parois se contractant comme un étau brûlant, suppliant en silence qu’il la brise avant qu’elle ne gémisse trop fort, incapable de se contrôler. Son regard était suppliant, en bonne chienne.

