Clara Aaron avait, au cours de ses six années d'études à Poudlard, vécue bien des choses pour une Serdaigle qui se focalisait sur ses études en général, et bon nombre de ces choses étaient dues à celle qui, dès la première année, avait choisie de faire d'elle sa souffre-douleur, Pansy Parkinson.
Tout avait commencé dès le premier cours de Transmutation que la Serdaigle et la Serpentarde avaient eu en commun, Pansy, qui avait alors développée une grande jalousie vis à vis de l'intelligence de Clara, l'avait prise à partie dès la sortie de classe pour l'humilier, et ça n'avait été que la première d'une très, très longue série.
Cela n'avait toutefois jamais handicapée Clara dans la poursuite de ses études, et on la comparait même à la brillante Hermione Granger, mais ces humiliations de la part de Pansy ne s'étaient jamais arrêtées, même alors qu'elles gagnaient toutes les deux en âge. Il y eut même un...tournant, en cinquième année. A cette période, pour une raison qui devait encore échapper à beaucoup de monde, Pansy était devenue Préfète de Serpentard. Clara aurait aisément pu aussi prétendre à cette position, mais n'avait pas vraiment l'envie ni le caractère pour asseoir son autorité, c'était même plutôt l'inverse. Une après-midi, Pansy était venue la "prendre" au détour d'un couloir, et, en agitant son autorité de Préfète avait...exigée que Clara lui donne un baiser sur les lèvres. La jeune Serdaigle avait été plus que surprise par cette exigence, ne s'exécutant initialement pas, jusqu'à ce que Pansy menace de retirer énormément de points à Serdaigle si elle ne le faisait pas. Leurs lèvres s'étaient alors brièvement touchées, à la surprise visible des deux parties concernées, et même si Pansy l'avait alors moquée et humiliée ensuite, pareille demande ne s'était pas reproduite par la suite. Cet évennement, toutefois, ne quitterait jamais l'esprit de Clara.
Un autre fait marquant de leur "relation" avait aussi eu lieu en cinquième année, lorsque, pour faire face à la tyrannie de Dolores Ombrage, Clara avait secrètement rejointe l'Armée de Dumbledore. Elle était absolument certaine que Pansy, qui elle avait partie de l'éphémère Inquisition, l'avait découvert, puisqu'elle le lui avait mentionnée à nouveau au détour d'un couloir. Sauf que Clara n'avait jamais été inquiétée, ce qui signifiait que Pansy, malgré tout, n'avait rien dit.
Tout ceci avait une grande importance actuellement, en début de septième année. Voldemort avait concrètement pris le contrôle à Poudlard, et tous les élèves ayant des parents Moldus étaient menacés...ce qui était le cas de Clara. Cette dernière savait que cette situation ne pouvait pas durer, que Potter viendrait défaire pour de bon le Seigneur des Ténèbres...mais quand ? Clara craignait pour sa vie et celle de ses parents, et voulait assurer leur sécurité le temps que les choses se résolvent. Alors, à peine quelques jours après le début de cette année scolaire pour le moins particulière, Clara fit quelque chose qu'elle n'avait jamais faite en six ans de scolarité ici, elle alla à l'encontre du règlement.
La jeune femme sortit du dortoir, discrètement, en pleine nuit, bravant le couvre-feu. Elle disposait dans son "attirail" de sorts d'une bonne maîtrise d'un sort d'invisibilité pour lui permettre d'atteindre les prémisces de la bibliothèque. Elle savait que ce soir, Pansy était en patrouille dans cette zone, et qu'elle le serait toute seule, ce qui était le moment idéal. La Serdaigle se faufila donc jusque dans les allées de la biliothèque, où Pansy grommelait de se trouver affectée à une tâche aussi ingrate, et à ce moment, Clara cessa son sort d'invisibilité.
Pansy...il faut qu'on parle toi et moi...
Clara tremblait sur place, du fait de sa première réelle entorse au règlement bien sûr mais aussi...aussi de ce qu'elle s'apprêtait à demander et à proposer à Pansy.
- Reine Alice Korvander
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- Demande de RP
Pansy Parkinson avait de quoi jubiler. Le rêve tant attendu de sa famille se mettait enfin en marche. Les Parkinson appartenaient aux 28 familles de pur-sang d’Angleterre. Pansy était donc une sorcière intégrale, sans aucune tare moldue dans sa lignée. Et, comme tous les sorciers dignes de ce nom, elle considérait avec mépris tous ces Moldus qui se prenaient pour meilleurs qu’eux. L’idée de vivre en secret, de ne pas pouvoir utiliser sa magie hors des réserves magiques, était insupportable pour la famille Parkinson. Comme les autres grands clans de sorcellerie, ils voyaient avec désespoir la faiblesse d’un monde gouverné par les Moldus, un monde qui allait droit à sa perte. La démocratie était pour eux le triomphe de la bêtise sur l’intelligence. Les lois génétiques étaient faites pour qu’on les respecte. Pansy avait toujours grandi avec cette philosophie, qui avait fait d’elle une Serpentard. Proche de Drago Malefo,y elle aurait pu devenir sa femme. Ce choix logique était naturellement bienvenu de leur clan respectif, mais Pansy avait pris conscience, au cours de ces derniers mois, qu’elle n’aimait pas vraiment Drago… Ou, plutôt, qu’une autre personne la stimulait.
Cette personne était une Serdaigle prétentieuse, Clara Aaron. C’était une métisse, issue d’une père sorcier et d’une mère moldue. Pansy l’avait détesté dès qu’elle l’avait vu. Hautaine, prétentieuse, une sorte de version bis de la Sang-de-Bourbe Hermione Granger, qui avait été elle aussi l’une des cibles récurrentes de Pansy. Malheureusement pour elle, Pansy n’était pas une élève très douée. Elle avait certes obtenu son BUSE, mais sans jamais briller dans ses études… Bien loin d’Hermione, ou de Clara. Pansy avait donc harcelé et humilié Clara au cours des années, comme en l’enfermant dans les vestiaires de la salle de bains, sans sa baguette, et en verrouillant la porte à l’aide de sa baguette magique. Et puis, en cinquième année, il s’était produit un incident. Pansy avait rejoint la Brigade Inquisitoriale fondée par Dolores Ombrage, et dont la fonction était de traquer les élèves qui répandaient de fausses informations sur le retour du Seigneur des Ténèbres. Pansy avait reçu pour ordre de traquer les membres féminins de l’Armée de Dumbledore, un mouvement de dissidence interne à Poudlard qui entendait contester les mensonges du Ministère de la Justice.
Pansy avait retrouvé Clara dans les toilettes. Elle avait participé à ce mouvement idiot. Pansy aurait pu la dénoncer, mais elle avait entendu des choses horribles sur ce que Dolores Ombrage faisait. Elle s’était mise à craindre que Clara ne soit envoyée à Azkaban, entre les mains des Détracteurs. Elle avait croisé le regard de Clara, et Pansy s’était figée sur place, incapable de dire quoi que ce soit. Elle avait vu le regard paniqué de Clara, et Pansy avait ensuite détourné le regard.
La Sixième Année de Pansy avait été décisive. Elle avait compris progressivement qu’elle désirait les femmes, ce qu’elle avait indiqué d’ailleurs dans le Poudlard Express en indiquant qu’elle trouvait Ginny Weasley jolie. Et puis, à la fin de l’année, Dumbledore avait été tué. Pansy savait que ses parents ne l’appréciaient pas, car il était proche des Moldus. Pour Pansy, cela avait été l’occasion de se poser des questions. Dumbledore était assurément un très grand sorcier, et sa mort était une perte pour le monde des sorciers. Elle avait ensuite vu la mise en place du Seigneur des Ténèbres sur le monde de la magie, et la volonté clairement affichée de s’emparer du monde. Pansy n’y était pas contre, car elle considérait elle aussi que les Moldus ne devaient pas être libres, et qu’ils leur étaient inférieurs.
En revenant à Poudlard, Pansy avait constaté les changements. Rogue était devenu le nouveau Directeur, et les châtiments corporels avaient été réintroduits, ainsi que l’utilisation des Sortilèges Impardonnables sur les élèves accusés d’être des terroristes. Pansy savait que la plupart des professeurs étaient des Mangemorts. Les élèves moldus étaient particulièrement mal vus, réduits à des tâches infamantes, ou torturés selon le bon vouloir des élèves Serpentard. On parlait déjà de dissoudre les maisons Poufsouffle et Gryffondor, connues pour tolérer trop de sorciers moldus ou bâtards.
Dans la bibliothèque, Pansy consultait des ouvrages. Elle était de nouveau Préfète, et était autorisée à ce titre à utiliser des Sortilèges Impardonnables sur les élèves récalcitrants. Les Serpentard s’amusaient beaucoup à utiliser l’Imperium sur les Gryffondor. Elle, elle avait notamment pour tâche de purger la littérature de Poudlard de tous les ouvrages impies, soit les livres évoquant les Moldus, ou écrits par des auteurs nés de parents moldus.
Tandis qu’elle s’appliquait, Pansy perçut du mouvement, et se retourna brusquement… Et fronça les sourcils en voyant Clara entrer. Pansy frémit, en essayant de réprimer l’élan dans sa poitrine.
« Clara Aaron… Tu as conscience que je pourrais utiliser Endoloris sur toi ? »
Le couvre-feu était strictement appliqué par les Mangemorts.
« Tu sais, les enfants sorciers nés de Moldus ne sont pas les pires que le Seigneur des Ténèbres déteste. Le pire, ce sont les métis, issus de traîtres à leur sang… Comme toi. »
Un sourire cruel orna les lèvres de Pansy.
« Même les sorciers qui se réfugient chez les Moldus ne sont plus à l’abri, maintenant… J’imagine que tu fais moins la fière, hein ? Toi et cette Sang-de-Bourbe de Miss Granger, vous avez toujours été des têtes à claques ! Des Miss Je-Sais-Tout qui prennent plaisir à humilier les autres… »
Pansy croisa les bras.
« Alors, dis-moi, que viens-tu faire ici ? »
Le père de Pansy était à chaque moment susceptible d’être jugé par le Ministère de la Magie, et condamné à rejoindre Azkaban. De manière curieuse, celui-ci n’avait pas encore été convoqué. La raison était que Pansy avait profité de sa présence dans les hautes sphères du ministère pour falsifier le dossier du père de Clara, en disant qu’il s’était marié avec une sorcière. Sauf à faire un contrôle précis, le dossier administratif n’avait donc pas éveillé la suspicion des comités chargés de superviser cela… Une chose que Clara aurait pu constater en consultant son propre dossier scolaire. On avait confié aux Préfets l’occasion de signaler les élèves issus de métis, et Clara était passée à la trappe, et son dossier avait été supervisé par Pansy Parkinson…
Cette personne était une Serdaigle prétentieuse, Clara Aaron. C’était une métisse, issue d’une père sorcier et d’une mère moldue. Pansy l’avait détesté dès qu’elle l’avait vu. Hautaine, prétentieuse, une sorte de version bis de la Sang-de-Bourbe Hermione Granger, qui avait été elle aussi l’une des cibles récurrentes de Pansy. Malheureusement pour elle, Pansy n’était pas une élève très douée. Elle avait certes obtenu son BUSE, mais sans jamais briller dans ses études… Bien loin d’Hermione, ou de Clara. Pansy avait donc harcelé et humilié Clara au cours des années, comme en l’enfermant dans les vestiaires de la salle de bains, sans sa baguette, et en verrouillant la porte à l’aide de sa baguette magique. Et puis, en cinquième année, il s’était produit un incident. Pansy avait rejoint la Brigade Inquisitoriale fondée par Dolores Ombrage, et dont la fonction était de traquer les élèves qui répandaient de fausses informations sur le retour du Seigneur des Ténèbres. Pansy avait reçu pour ordre de traquer les membres féminins de l’Armée de Dumbledore, un mouvement de dissidence interne à Poudlard qui entendait contester les mensonges du Ministère de la Justice.
Pansy avait retrouvé Clara dans les toilettes. Elle avait participé à ce mouvement idiot. Pansy aurait pu la dénoncer, mais elle avait entendu des choses horribles sur ce que Dolores Ombrage faisait. Elle s’était mise à craindre que Clara ne soit envoyée à Azkaban, entre les mains des Détracteurs. Elle avait croisé le regard de Clara, et Pansy s’était figée sur place, incapable de dire quoi que ce soit. Elle avait vu le regard paniqué de Clara, et Pansy avait ensuite détourné le regard.
La Sixième Année de Pansy avait été décisive. Elle avait compris progressivement qu’elle désirait les femmes, ce qu’elle avait indiqué d’ailleurs dans le Poudlard Express en indiquant qu’elle trouvait Ginny Weasley jolie. Et puis, à la fin de l’année, Dumbledore avait été tué. Pansy savait que ses parents ne l’appréciaient pas, car il était proche des Moldus. Pour Pansy, cela avait été l’occasion de se poser des questions. Dumbledore était assurément un très grand sorcier, et sa mort était une perte pour le monde des sorciers. Elle avait ensuite vu la mise en place du Seigneur des Ténèbres sur le monde de la magie, et la volonté clairement affichée de s’emparer du monde. Pansy n’y était pas contre, car elle considérait elle aussi que les Moldus ne devaient pas être libres, et qu’ils leur étaient inférieurs.
En revenant à Poudlard, Pansy avait constaté les changements. Rogue était devenu le nouveau Directeur, et les châtiments corporels avaient été réintroduits, ainsi que l’utilisation des Sortilèges Impardonnables sur les élèves accusés d’être des terroristes. Pansy savait que la plupart des professeurs étaient des Mangemorts. Les élèves moldus étaient particulièrement mal vus, réduits à des tâches infamantes, ou torturés selon le bon vouloir des élèves Serpentard. On parlait déjà de dissoudre les maisons Poufsouffle et Gryffondor, connues pour tolérer trop de sorciers moldus ou bâtards.
Dans la bibliothèque, Pansy consultait des ouvrages. Elle était de nouveau Préfète, et était autorisée à ce titre à utiliser des Sortilèges Impardonnables sur les élèves récalcitrants. Les Serpentard s’amusaient beaucoup à utiliser l’Imperium sur les Gryffondor. Elle, elle avait notamment pour tâche de purger la littérature de Poudlard de tous les ouvrages impies, soit les livres évoquant les Moldus, ou écrits par des auteurs nés de parents moldus.
Tandis qu’elle s’appliquait, Pansy perçut du mouvement, et se retourna brusquement… Et fronça les sourcils en voyant Clara entrer. Pansy frémit, en essayant de réprimer l’élan dans sa poitrine.
« Clara Aaron… Tu as conscience que je pourrais utiliser Endoloris sur toi ? »
Le couvre-feu était strictement appliqué par les Mangemorts.
« Tu sais, les enfants sorciers nés de Moldus ne sont pas les pires que le Seigneur des Ténèbres déteste. Le pire, ce sont les métis, issus de traîtres à leur sang… Comme toi. »
Un sourire cruel orna les lèvres de Pansy.
« Même les sorciers qui se réfugient chez les Moldus ne sont plus à l’abri, maintenant… J’imagine que tu fais moins la fière, hein ? Toi et cette Sang-de-Bourbe de Miss Granger, vous avez toujours été des têtes à claques ! Des Miss Je-Sais-Tout qui prennent plaisir à humilier les autres… »
Pansy croisa les bras.
« Alors, dis-moi, que viens-tu faire ici ? »
Le père de Pansy était à chaque moment susceptible d’être jugé par le Ministère de la Magie, et condamné à rejoindre Azkaban. De manière curieuse, celui-ci n’avait pas encore été convoqué. La raison était que Pansy avait profité de sa présence dans les hautes sphères du ministère pour falsifier le dossier du père de Clara, en disant qu’il s’était marié avec une sorcière. Sauf à faire un contrôle précis, le dossier administratif n’avait donc pas éveillé la suspicion des comités chargés de superviser cela… Une chose que Clara aurait pu constater en consultant son propre dossier scolaire. On avait confié aux Préfets l’occasion de signaler les élèves issus de métis, et Clara était passée à la trappe, et son dossier avait été supervisé par Pansy Parkinson…

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Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
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- Chloé Faure
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- Enregistré le : 15 août 2024 12:06
Ce que faisait Clara était particulièrement risqué, surtout sous la nouvelle direction de Poudlard, mais c'était le seul moyen qu'elle avait trouvée pour pouvoir vraiment approcher Pansy, en s'assurant d'être seule à seule. Il y avait encore une partie d'elle même qui lui hurlait que c'était une mauvaise idée, mais les indices qu'elle avait pu collecter jusque là ne pouvaient pas être une coïncidence.
Je sais Pansy...
Clara devait se contrôler pour conserver un rythme de respiration stable, ainsi que plus généralement, son clame. Le simple fait de se trouver dans la bibliothèque alors qu'elle était fermée la nuit était en soit suffisant pour la faire stresser, elle qui n'avait jamais eu la moindre réelle incartade au règlement jusque là...du moins si on enlevait la période de sa cinquième année où elle avait fait partie de l'Armée de Dumbledore.
Chaque fois qu'elle croisait Pansy, elle se souvenait de ce moment où les deux s'étaient croisées...et où la Serpentarde avait volontairement laissée filer l'opportunité de la dénoncer.
Pour autant que je me souvienne Pansy, c'est plutôt ton point fort ça, d'humilier les autres.
Qu'est-ce qu'elle venait faire ici ? Une bonne question
Cela étant dit, je ne pense pas que tu sois aussi mauvaise que ce que tu voudrais laisser paraître. J'ai consultée mon dossier scolaire il y a quelques jours de ça tu sais, en m'introduisant dans le bureau de Rogue, pour savoir où en étaient les investigations sur moi et ma famille. J'y ai vu que tu étais en charge de ce dossier, et que tu l'avais...falsifié.
Elle laissa quelques secondes de silence planer.
Que ce soit clair, je n'ai nullement l'intention de te dénoncer, ce qui serait contre mes intérêts, ni de te faire chanter Pansy...je...je suis venue ici pour te remercier, et parce que personne ne pourrait me voir le faire ici à cette heure...Et aussi parce que je...je dois t'avouer quelque chose.
Plus on se rapprochait de "ça" et plus Clara commençait à rougir sur place, tandis que ses paroles devenaient moins assurées.
Je ne sais pas si...si tu te souviens de cette fois où tu as exigée que je t'embrasse sur les lèvres...moi je n'ai jamais pu oublier Pansy. Depuis, à chaque fois que tu viens m'humilier je...j'espère que tu me le redemande.
Clara avait conscience qu'elle était en train de lâcher une bombe dans la mare.
Et...et juste pour que tu ne pense pas que je suis en train de te mentir...
Clara releva alors ses mains, puis entreprit de déboutonner sa longue et ample robe de sorcière portant les armoiries Serdaigles, et quand elle tomba au sol...Pansy pu directement, et indubitablement, voir que Clara était nue...et en train de rougir comme une tomate.
Je sais Pansy...
Clara devait se contrôler pour conserver un rythme de respiration stable, ainsi que plus généralement, son clame. Le simple fait de se trouver dans la bibliothèque alors qu'elle était fermée la nuit était en soit suffisant pour la faire stresser, elle qui n'avait jamais eu la moindre réelle incartade au règlement jusque là...du moins si on enlevait la période de sa cinquième année où elle avait fait partie de l'Armée de Dumbledore.
Chaque fois qu'elle croisait Pansy, elle se souvenait de ce moment où les deux s'étaient croisées...et où la Serpentarde avait volontairement laissée filer l'opportunité de la dénoncer.
Pour autant que je me souvienne Pansy, c'est plutôt ton point fort ça, d'humilier les autres.
Qu'est-ce qu'elle venait faire ici ? Une bonne question
Cela étant dit, je ne pense pas que tu sois aussi mauvaise que ce que tu voudrais laisser paraître. J'ai consultée mon dossier scolaire il y a quelques jours de ça tu sais, en m'introduisant dans le bureau de Rogue, pour savoir où en étaient les investigations sur moi et ma famille. J'y ai vu que tu étais en charge de ce dossier, et que tu l'avais...falsifié.
Elle laissa quelques secondes de silence planer.
Que ce soit clair, je n'ai nullement l'intention de te dénoncer, ce qui serait contre mes intérêts, ni de te faire chanter Pansy...je...je suis venue ici pour te remercier, et parce que personne ne pourrait me voir le faire ici à cette heure...Et aussi parce que je...je dois t'avouer quelque chose.
Plus on se rapprochait de "ça" et plus Clara commençait à rougir sur place, tandis que ses paroles devenaient moins assurées.
Je ne sais pas si...si tu te souviens de cette fois où tu as exigée que je t'embrasse sur les lèvres...moi je n'ai jamais pu oublier Pansy. Depuis, à chaque fois que tu viens m'humilier je...j'espère que tu me le redemande.
Clara avait conscience qu'elle était en train de lâcher une bombe dans la mare.
Et...et juste pour que tu ne pense pas que je suis en train de te mentir...
Clara releva alors ses mains, puis entreprit de déboutonner sa longue et ample robe de sorcière portant les armoiries Serdaigles, et quand elle tomba au sol...Pansy pu directement, et indubitablement, voir que Clara était nue...et en train de rougir comme une tomate.
- Reine Alice Korvander
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- Demande de RP
Pansy était naturellement sur la défensive. Elle ne savait pas trop à quoi s’attendre de la part de Clara. Elle fronça les sourcils quand celle-ci évoqua le fait qu’elle avait falsifié son dossier. La jeune femme se crispa, mais ne put empêcher ses joues de s’empourprer.
*Ouais, et je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça…*
Sur le coup, cela lui avait juste semblé logique. Il y avait tellement de sorciers que le Ministère de la Magie ne pouvait pas lancer des enquêtes. Pour cela, le Ministère faisait confiance à des sorciers à sang pur fiables comme Pansy. Elle devait donc remplir des fiches en indiquant si les élèves étaient de sang pur ou de sang mêlé. Pour cela, des examens étaient pratiqués, ainsi que des relevés généalogiques. Concernant Clara, Pansy savait pertinemment qu’elle était de sang mêlé, mais, si elle avait renseigné ça, Clara aurait fini dans des sections spéciales, mise au rebut, humiliée et torturée. Pansy se durcit encore quand Clara évoqua… Leur premier baiser.
Elles étaient alors en troisième année. Pansy avait de nouveau provoqué Clara, en menaçant de l’enfermer dans le placard du professeur Lupin avec son épouvantard. À cette période, Lupin était parti, et le professeur Rogue avait repris sa fonction de Défense contre les forces du Mal, et Pansy avait donc prétendu avoir accès au placard de l’épouvantard. Face à cette menace, elle avait exigé un baiser, et elles s’étaient… Embrassées. Pansy n’avait encore jamais embrassé une fille. Elle avait ricané en disant que Clara bavait comme un crapaud, mais, en réalité… Elle avait souvent repensé à ce baiser. Très souvent, même. Pansy cligna des yeux, déstabilisée, et vit ensuite Clara se déshabiller.
« Mais qu’est-ce que tu fous ?! » s’exclama Pansy en rougissant furieusement.
Clara se déshabilla. Sous sa robe, elle était nue. Pansy sentit sa gorge se dessécher, et son rythme cardiaque s’accélérer. Elle brandit sa baguette vers elle.
« Merde, mais t’es complètement givrée, ma parole ! Tu… À quoi tu joues, là ? Tu cherches à me piéger ?! »
Pansy recula nerveusement, mais heurta la bibliothèque.
« Tu… Tu comprends rien ! Tu crois que je t’ai pas dénoncé par bonté d’âme ? Ah, pauvre cloche ! Je préfère juste t’humilier moi-même ! Maintenant que l’autre Sang-de-Bourbe est partie, il faut bien que je me défoule sur quelqu’un ! »
Elle le disait comme si la première personne que Pansy cherchait à convaincre était elle-même. Elle observait ce corps parfait, et elle se devait bien d’admettre que Clara était magnifique. Pansy était si déstabilisée qu’elle s’était écartée de la table, ce qui permettait de voir un récipient en verre. C’était une Pensine. Clara pouvait voir la Pensine, et voir que les images flottant dedans étaient des rêves érotiques de Pansy… Avec elle-même. Le sang de Pansy ne fit qu’un tour.
« Evanesco ! »
Pansy fit disparaître la Pensine, ou essaya de la faire disparaître, mais, comme ses mains tremblaient, le sort fusa sur la table, et fit disparaître la table. La Pensine tomba au sol, et déversa un fantasme particulièrement intense… Un fantasme où Pansy avait utilisé un sortilège d’hermaphrodisme, et sodomisait une Clara à quatre pattes, en la fouettant, Clara étant dans une tenue très érotique, tandis que des chiens impatients tournaient autour d’elle…
« Ah, bordel ! Ne regarde pas !! »
Pansy se rapprocha de Clara et posa sa main sur son cou, pour l’empêcher de regarder. Elle la plaqua contre une bibliothèque, et croisa son regard, son visage si proche du sien… Quelque chose se brisa alors dans l’esprit de Pansy, qui fixa Clara avec des yeux intenses, mélange de haine et d’amour…
…Puis elle se rua sur ses lèvres, et l’embrassa fougueusement en se pressant contre elle.
*Ouais, et je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça…*
Sur le coup, cela lui avait juste semblé logique. Il y avait tellement de sorciers que le Ministère de la Magie ne pouvait pas lancer des enquêtes. Pour cela, le Ministère faisait confiance à des sorciers à sang pur fiables comme Pansy. Elle devait donc remplir des fiches en indiquant si les élèves étaient de sang pur ou de sang mêlé. Pour cela, des examens étaient pratiqués, ainsi que des relevés généalogiques. Concernant Clara, Pansy savait pertinemment qu’elle était de sang mêlé, mais, si elle avait renseigné ça, Clara aurait fini dans des sections spéciales, mise au rebut, humiliée et torturée. Pansy se durcit encore quand Clara évoqua… Leur premier baiser.
Elles étaient alors en troisième année. Pansy avait de nouveau provoqué Clara, en menaçant de l’enfermer dans le placard du professeur Lupin avec son épouvantard. À cette période, Lupin était parti, et le professeur Rogue avait repris sa fonction de Défense contre les forces du Mal, et Pansy avait donc prétendu avoir accès au placard de l’épouvantard. Face à cette menace, elle avait exigé un baiser, et elles s’étaient… Embrassées. Pansy n’avait encore jamais embrassé une fille. Elle avait ricané en disant que Clara bavait comme un crapaud, mais, en réalité… Elle avait souvent repensé à ce baiser. Très souvent, même. Pansy cligna des yeux, déstabilisée, et vit ensuite Clara se déshabiller.
« Mais qu’est-ce que tu fous ?! » s’exclama Pansy en rougissant furieusement.
Clara se déshabilla. Sous sa robe, elle était nue. Pansy sentit sa gorge se dessécher, et son rythme cardiaque s’accélérer. Elle brandit sa baguette vers elle.
« Merde, mais t’es complètement givrée, ma parole ! Tu… À quoi tu joues, là ? Tu cherches à me piéger ?! »
Pansy recula nerveusement, mais heurta la bibliothèque.
« Tu… Tu comprends rien ! Tu crois que je t’ai pas dénoncé par bonté d’âme ? Ah, pauvre cloche ! Je préfère juste t’humilier moi-même ! Maintenant que l’autre Sang-de-Bourbe est partie, il faut bien que je me défoule sur quelqu’un ! »
Elle le disait comme si la première personne que Pansy cherchait à convaincre était elle-même. Elle observait ce corps parfait, et elle se devait bien d’admettre que Clara était magnifique. Pansy était si déstabilisée qu’elle s’était écartée de la table, ce qui permettait de voir un récipient en verre. C’était une Pensine. Clara pouvait voir la Pensine, et voir que les images flottant dedans étaient des rêves érotiques de Pansy… Avec elle-même. Le sang de Pansy ne fit qu’un tour.
« Evanesco ! »
Pansy fit disparaître la Pensine, ou essaya de la faire disparaître, mais, comme ses mains tremblaient, le sort fusa sur la table, et fit disparaître la table. La Pensine tomba au sol, et déversa un fantasme particulièrement intense… Un fantasme où Pansy avait utilisé un sortilège d’hermaphrodisme, et sodomisait une Clara à quatre pattes, en la fouettant, Clara étant dans une tenue très érotique, tandis que des chiens impatients tournaient autour d’elle…
« Ah, bordel ! Ne regarde pas !! »
Pansy se rapprocha de Clara et posa sa main sur son cou, pour l’empêcher de regarder. Elle la plaqua contre une bibliothèque, et croisa son regard, son visage si proche du sien… Quelque chose se brisa alors dans l’esprit de Pansy, qui fixa Clara avec des yeux intenses, mélange de haine et d’amour…
…Puis elle se rua sur ses lèvres, et l’embrassa fougueusement en se pressant contre elle.

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- Chloé Faure
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Qu'est-ce qu'elle foutait ? Une partie de Clara se posait cette même question. La voilà qui se trouvait, pour la toute première fois, nue devant quelqu'un qui pouvait la regarder. Elle s'exposait pleinement, ses beaux seins qui, sans être d'une grosse taille, étaient tout de même suffisamment généreux, ainsi que son intimité ornée d'une petite touffe de poils pubiens blonds, tout en ayant les pourtours de ses lèvres intimes parfaitement épilés. Jamais, jamais Clara ne s'était ainsi montrée à quelqu'un, et elle rougissait d'autant plus sur place qu'elle était en train de le faire en plein milieu de la bibliothèque, sous les yeux de Pansy Parkinson, qui elle même semblait ne pas en croire ses yeux.
N-non je...
Clara se tendit tout de même sur place lorsque Pansy pointa sa baguette dans sa direction, elle semblait vraiment perdue, paniquée même, et Pansy n'était déjà pas de base quelqu'un à agir avec...raison.
Pansy, je t'en supplie je...je ne cherche pas à te piéger je...
Pansy ne la laissa pas en caser une toutefois, cherchant à dévier le tout sur le fait qu'elle n'avait pas fait ça par bonté d'âme, mais parce qu'elle ne voulait pas voir partir sa souffre douleur préférée...ce qui était...clairement une façon d'essayer de se voiler la face. Clara chercha comment calmer la situation lorsqu'elle suivit le regard de Pansy, qui avait été alors distrait par autre chose. Une Pensine se trouvait non loin d'elle, et présentement, agissait par rapport à la personne qui était la plus proche, à savoir Pansy. Cette dernière, maladroitement, tenta de faire disparaître l'objet, mais se loupa en visant la table à la place, ce qui fit que le bol tomba au sol, et répandit une flaque d'eau magique sur le sol...à la vue parfaite d'elles deux.
Clara ne pouvait pas, ne pas voir, et ce qu'elle vit...lui assécha la gorge. C'était clairement une pensée de Pansy, et plus particulièrement un fantasme qui la concernait. Clara se vit elle même, à quatre pattes, en train de porter une espèce de lingerie composée de lanières en cuir. Derrière elle, Pansy, qui s'était dotée, que ça soit par un sort ou une potion, d'une verge dont elle était en train de se servir pour...la sodomiser. Pendant ce temps, on voyait aussi deux chiens, des Doberman, leur tourner autour, visiblement eux aussi excités...
Pansy se rapprocha alors vivement d'elle, et la saisit alors par le cou, avant de la pousser, et de la plaquer contre une des rangées de la bibliothèque.
Gh ! P-Pansy...
Cela lui coupa le souffle, elle se mit à trembler...d'un mélange de peur et...et d'excitation. Elle sentit comme un courant électrique la traverser de part en part le moment où Pansy la plaqua, tout en ayant une de ses mains contre son cou. La tension était autant palpable qu'elle était intense, ses yeux bleus fixant ceux noisette de Pansy qui semblait hésiter quand à quoi faire avant de...avant de...
Hmmm...
Clara se crispa sur place quand, voracement, la Serpentarde rapprocha son visage du sien, et posa ses lèvres contre les siennes. Mais rapidement, Clara entrouvrit les siennes en poussant un long gémissement, dans une invitation qui ne pouvait être confondue pour autre chose. Ce fut donc toute tremblante qu'elle sentit la langue de Pansy aller se fourrer dans sa bouche, et qu'elle joignit la sienne pour un baiser qui se révéla être très intense. Pansy y allait assez brutalement, sans trop laisser le temps à Clara de vraiment reprendre de l'air, couplé au fait que la Serpentarde serrait contre sa gorge. La Serdaigle se trouvait donc au bord de l'étouffement et...et aimait ça, elle adora chaque seconde qui se passa durant ce baiser intense, avant que Pansy ne se retire.
J-je t'aime Pansy...depuis qu'on s'est embrassée je...je t'aime. C'est pour ça que je me suis tout le temps laissée faire quand tu venais m'humilier tu comprends ? Je...oui je...je dois être givrée comme tu dis, mais je ne peut pas m'en empêcher. T-tu crois que je vais te juger, ou me moquer de toi pour ce que j'ai vu dans la Pensine ? Pansy...j'ai le même genre de pensées en ce qui te concerne. D-depuis que tu m'a embrassée à...à chaque fois que tu viens pour m'humilier je...j'adore ça...et je me masturbe le soir en y repensant...en pensant à toi, et ça fait des années...que je n'ose pas te demander à ce que tu passe au niveau supérieur...
Clara respirait lourdement, laissant à Pansy quelques secondes de "répit" pour encaisser tout ce qu'elle était en train de dire.
Je n'aurais sans doute jamais osée le faire sans...tout ce qui se passe. Pour l'instant ce que tu as fait me protège...mais qui sait pour combien de temps Pansy ? Si je dois "partir" à un moment je...je refuse que ça soit en ayant ce genre de regrets...
Durant tout ce temps où elle avait parlée, Clara avait délicatement posée ses mains sur les cuisses de Pansy, les carressant, et sans rencontrer de résistance, avait doucement commencée à en glisser une le long de son aine, jusqu'à finalement arriver au tissu de sa culotte sous la jupe qu'elle portait.
Tu en as envie, et j'en ai envie alors...pitié Pansy...laisse moi être ta salope...ta pute...ton esclave...
Et, jouant le tout pour le tout, et pour essayer de libérer Pansy de toute cette tension qui était en elle, Clara glissa sa main délicate dans la culotte de la Serpentarde. Ses doigts glissèrent sur un mon de Vénus parfaitement lisse et épilé, jusqu'à ce que du bout des doigts, elle parvienne jusqu'à son clitoris qu'elle...commença à caresser du bout de son index et de son majeur.
N-non je...
Clara se tendit tout de même sur place lorsque Pansy pointa sa baguette dans sa direction, elle semblait vraiment perdue, paniquée même, et Pansy n'était déjà pas de base quelqu'un à agir avec...raison.
Pansy, je t'en supplie je...je ne cherche pas à te piéger je...
Pansy ne la laissa pas en caser une toutefois, cherchant à dévier le tout sur le fait qu'elle n'avait pas fait ça par bonté d'âme, mais parce qu'elle ne voulait pas voir partir sa souffre douleur préférée...ce qui était...clairement une façon d'essayer de se voiler la face. Clara chercha comment calmer la situation lorsqu'elle suivit le regard de Pansy, qui avait été alors distrait par autre chose. Une Pensine se trouvait non loin d'elle, et présentement, agissait par rapport à la personne qui était la plus proche, à savoir Pansy. Cette dernière, maladroitement, tenta de faire disparaître l'objet, mais se loupa en visant la table à la place, ce qui fit que le bol tomba au sol, et répandit une flaque d'eau magique sur le sol...à la vue parfaite d'elles deux.
Clara ne pouvait pas, ne pas voir, et ce qu'elle vit...lui assécha la gorge. C'était clairement une pensée de Pansy, et plus particulièrement un fantasme qui la concernait. Clara se vit elle même, à quatre pattes, en train de porter une espèce de lingerie composée de lanières en cuir. Derrière elle, Pansy, qui s'était dotée, que ça soit par un sort ou une potion, d'une verge dont elle était en train de se servir pour...la sodomiser. Pendant ce temps, on voyait aussi deux chiens, des Doberman, leur tourner autour, visiblement eux aussi excités...
Pansy se rapprocha alors vivement d'elle, et la saisit alors par le cou, avant de la pousser, et de la plaquer contre une des rangées de la bibliothèque.
Gh ! P-Pansy...
Cela lui coupa le souffle, elle se mit à trembler...d'un mélange de peur et...et d'excitation. Elle sentit comme un courant électrique la traverser de part en part le moment où Pansy la plaqua, tout en ayant une de ses mains contre son cou. La tension était autant palpable qu'elle était intense, ses yeux bleus fixant ceux noisette de Pansy qui semblait hésiter quand à quoi faire avant de...avant de...
Hmmm...
Clara se crispa sur place quand, voracement, la Serpentarde rapprocha son visage du sien, et posa ses lèvres contre les siennes. Mais rapidement, Clara entrouvrit les siennes en poussant un long gémissement, dans une invitation qui ne pouvait être confondue pour autre chose. Ce fut donc toute tremblante qu'elle sentit la langue de Pansy aller se fourrer dans sa bouche, et qu'elle joignit la sienne pour un baiser qui se révéla être très intense. Pansy y allait assez brutalement, sans trop laisser le temps à Clara de vraiment reprendre de l'air, couplé au fait que la Serpentarde serrait contre sa gorge. La Serdaigle se trouvait donc au bord de l'étouffement et...et aimait ça, elle adora chaque seconde qui se passa durant ce baiser intense, avant que Pansy ne se retire.
J-je t'aime Pansy...depuis qu'on s'est embrassée je...je t'aime. C'est pour ça que je me suis tout le temps laissée faire quand tu venais m'humilier tu comprends ? Je...oui je...je dois être givrée comme tu dis, mais je ne peut pas m'en empêcher. T-tu crois que je vais te juger, ou me moquer de toi pour ce que j'ai vu dans la Pensine ? Pansy...j'ai le même genre de pensées en ce qui te concerne. D-depuis que tu m'a embrassée à...à chaque fois que tu viens pour m'humilier je...j'adore ça...et je me masturbe le soir en y repensant...en pensant à toi, et ça fait des années...que je n'ose pas te demander à ce que tu passe au niveau supérieur...
Clara respirait lourdement, laissant à Pansy quelques secondes de "répit" pour encaisser tout ce qu'elle était en train de dire.
Je n'aurais sans doute jamais osée le faire sans...tout ce qui se passe. Pour l'instant ce que tu as fait me protège...mais qui sait pour combien de temps Pansy ? Si je dois "partir" à un moment je...je refuse que ça soit en ayant ce genre de regrets...
Durant tout ce temps où elle avait parlée, Clara avait délicatement posée ses mains sur les cuisses de Pansy, les carressant, et sans rencontrer de résistance, avait doucement commencée à en glisser une le long de son aine, jusqu'à finalement arriver au tissu de sa culotte sous la jupe qu'elle portait.
Tu en as envie, et j'en ai envie alors...pitié Pansy...laisse moi être ta salope...ta pute...ton esclave...
Et, jouant le tout pour le tout, et pour essayer de libérer Pansy de toute cette tension qui était en elle, Clara glissa sa main délicate dans la culotte de la Serpentarde. Ses doigts glissèrent sur un mon de Vénus parfaitement lisse et épilé, jusqu'à ce que du bout des doigts, elle parvienne jusqu'à son clitoris qu'elle...commença à caresser du bout de son index et de son majeur.
- Reine Alice Korvander
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- Enregistré le : 14 août 2024 13:01
- Fiche
- Demande de RP
Pansy perdit son sang-froid, et embrassa fiévreusement Clara, qui lui répondit. Tout cela lui échappa, et elles prolongèrent chacune le baiser. Clara lui confessa ensuite qu’elle avait toujours aimé ce que Pansy lui faisait, qu’elle avait besoin d’elle pour assurer sa protection, et qu’elle l’aimait. Autant dire que cela faisait beaucoup pour Pansy ! La jeune femme ne savait plus quoi faire ni même quoi penser. Cela dépassait ses rêves, et Pansy avait toujours été du genre à nier ses sentiments. Elle les manquait derrière sa méchanceté, ses provocations, car, si ses parents avaient su ce qu’elle pensait vraiment, ce qu’elle aimait vraiment, ils ne l’auraient jamais accepté. Pansy s’était forgée ce mur d’agressivité, à force de s’entendre dire qu’elle était idiote, qu’elle était stupide, qu’elle n’avait pas voix au chapitre. Elle embrassait donc avec passion Clara, dans une sorte de torpeur, de transe. Pansy rompit ensuite le baiser, et resta silencieuse, tandis que Clara, frissonnant contre elle, lui avouait qu’elle l’aimait.
La jeune Serpentarde fronça les sourcils, et, quand Clara commença à vouloir titiller son sexe, Pansy attrapa sa main, et la repoussa encore. Clara tomba sur les fesses.
« Tu t’imagines vraiment qu’on puisse être ensemble, toi et moi ? Une sang-mêlée avec moi ? Je suis destinée à épouser Drago Malefoy, tu sais, et à participer au nouvel ordre mondial que le Seigneur des Ténèbres met en place ! Et toi, tu voudrais me faire croire que tu m’aimes vraiment ? Qui me dit que tu ne cherches pas à me manipuler, hein ? Peut-être que tu m’as lancé un sortilège d’Imperium ! »
Clara allait encore dire quelque chose, mais Pansy remua sa baguette… Comme pour annoncer un sortilège qu’elle prévoyait de lancer.
« Tu sais, je ne suis pas aussi bête que vous semblez le croire, toi et les autres… Tu veux être ma chienne, tu dis ? Alors, on va pouvoir le vérifier… »
Ce sortilège ne figurait pas dans les recueils de Poudlard, Pansy l’avait trouvé dans le manoir des Parkinson, des recueils de magie noire et de magie rose. Elle fit remuer sa baguette, et de la magie en jaillit. Les vêtements de Pansy se mirent alors à évoluer, tandis que ses yeux prirent une teinte rose. Clara put ainsi voir la tenue de lycéenne de Pansy évoluer au fur et à mesure que sa baguette descendait sur son corps.
Quand Pansy eût fini, elle avait remplacé sa tenue de lycéenne par une tenue de dominatrice bien plus seyante. Sous son pubis, un inmon s’était illuminé, le sceau magique que Pansy utilisait pour réaliser cela.
N’ayant pas terminé son office, Pansy rapprocha sa baguette de son intimité, et lança un sortilège :
« Hermaphrodicus ! »
Peu de temps après, le clitoris de Pansy se transforma. L’intéressée se mit à soupirer, elle se mordilla les lèvres. Sa culotte noire s’ouvrit en deux, et libéra une épaisse verge qui se mit à jaillir. Pansy gémit, tandis que sa verge, entourée de mouille, se mit à pulser, quelques gouttes de cyprine venant tomber sur le visage de Clara.
« Ooooh… Celui-là, je suis sûre que tu ne l’as pas lu chez les bouquins des Serdaigle, hihi… Viens me prouver ta dévotion, sale chienne, viens lécher et baiser ma queue… ! »
La jeune Serpentarde fronça les sourcils, et, quand Clara commença à vouloir titiller son sexe, Pansy attrapa sa main, et la repoussa encore. Clara tomba sur les fesses.
« Tu t’imagines vraiment qu’on puisse être ensemble, toi et moi ? Une sang-mêlée avec moi ? Je suis destinée à épouser Drago Malefoy, tu sais, et à participer au nouvel ordre mondial que le Seigneur des Ténèbres met en place ! Et toi, tu voudrais me faire croire que tu m’aimes vraiment ? Qui me dit que tu ne cherches pas à me manipuler, hein ? Peut-être que tu m’as lancé un sortilège d’Imperium ! »
Clara allait encore dire quelque chose, mais Pansy remua sa baguette… Comme pour annoncer un sortilège qu’elle prévoyait de lancer.
« Tu sais, je ne suis pas aussi bête que vous semblez le croire, toi et les autres… Tu veux être ma chienne, tu dis ? Alors, on va pouvoir le vérifier… »
Ce sortilège ne figurait pas dans les recueils de Poudlard, Pansy l’avait trouvé dans le manoir des Parkinson, des recueils de magie noire et de magie rose. Elle fit remuer sa baguette, et de la magie en jaillit. Les vêtements de Pansy se mirent alors à évoluer, tandis que ses yeux prirent une teinte rose. Clara put ainsi voir la tenue de lycéenne de Pansy évoluer au fur et à mesure que sa baguette descendait sur son corps.
Quand Pansy eût fini, elle avait remplacé sa tenue de lycéenne par une tenue de dominatrice bien plus seyante. Sous son pubis, un inmon s’était illuminé, le sceau magique que Pansy utilisait pour réaliser cela.
N’ayant pas terminé son office, Pansy rapprocha sa baguette de son intimité, et lança un sortilège :
« Hermaphrodicus ! »
Peu de temps après, le clitoris de Pansy se transforma. L’intéressée se mit à soupirer, elle se mordilla les lèvres. Sa culotte noire s’ouvrit en deux, et libéra une épaisse verge qui se mit à jaillir. Pansy gémit, tandis que sa verge, entourée de mouille, se mit à pulser, quelques gouttes de cyprine venant tomber sur le visage de Clara.
« Ooooh… Celui-là, je suis sûre que tu ne l’as pas lu chez les bouquins des Serdaigle, hihi… Viens me prouver ta dévotion, sale chienne, viens lécher et baiser ma queue… ! »

DC de l'Observateur !
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Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !


