Ce n’était pas la première fois que Vanillia sodomisait Mélinda, loin s’en faut ! Ensemble, les deux vampires partageaient une relation très fusionnelle, intense, et très peu chaste ! Le sexe en faisait partie intégrante, il rythmait leur vie, et il était fréquent qu’elles fassent l’amour, soit juste seules, soit à plusieurs. De fait, pas une journée ne passait sans que les deux vampires ne s’unissent. Le lien conjugal qui les liait était particulièrement fort, car il résultait d’un mariage vampirique, une cérémonie où, ensemble, elles avaient mélangé leur sang. Vanillia avait dû s’opposer frontalement à sa famille, courroucée à l’idée que leur héritière aille se marier avec une Warren, un ancien clan vampirique puissant qui avait sombré dans la déchéance. Ce mariage s’était finalement avéré être une chose merveilleuse, et, à chaque jour qui passe, les deux femmes continuaient à se rapprocher, partageant la même perversité.
« Hmmm… »
Écrasée sur la table, Mélinda griffait celle-ci, laissant Vanillia la prendre avec énergie. C’était intense, terriblement jouissif, et elle sentait tout l’engouement de sa femme, qui avait posé ses mains sur ses fesses. Serrant fortement son cul, Vanillia le griffait parfois, grognant encore. Infiniment plus sensible à la magie que Mélinda, elle sentait toute l’âme de Luxure de sa future esclave… Même si, à vrai dire, le mot « future » semblait être ici totalement erroné. Esther la besognait avec force, et, tandis que la servante approchait de l’orgasme, Vanillia pouvait sentir cette deuxième âme qui bouillonnait en elle, cette Anna pleine d’énergie et de luxure qui était sortie pour prendre le contrôle du corps d’Esther. Vanillia l’embrassa donc, et frémit doucement, impatiente de pouvoir étudier plus en détail cette femme, et d’en savoir un peu plus sur le concept d’âme de Luxure.
Quoi qu’il en soit, la présence de cette femme suffisait à décupler l’endurance de Vanillia, qui frémissait à son contact, mordillant ses lèvres, tournant la tête pour pouvoir mieux l’embrasser.
« Haaa… »
C’était si bon ! Mélinda continuait à gémir, soupirant longuement, tandis que sa partenaire se mit à jouir. Anna eut un délicieux orgasme, et Vanillia soupira doucement en la sentant s’abandonner au plaisir suprême. Si elle-même ou Mélinda ne s’étaient pas formées à la magie, elles se seraient sans doute effondrées. Vanillia pinça sèchement le cul de Mélinda en se mettant à jouir à son tour, se relâchant frénétiquement dans le cul de sa femme.
Vanillia se retira ensuite, mais sa verge ne tarda pas à retrouver de sa superbe. Elle libéra le fondement de sa femme, qui avait également joui sur la table. Toutefois, quand Mélinda se retourna, elle aussi venait de déployer sa verge. Les deux Futanaris se dressèrent face à Anna, qui semblait ravie. Elles se regardèrent alors doucement en souriant, chacune venant se tenir la main.
« À nous de jouer, Anna… Tu m’as défoncé le cul, alors je vais te rendre la pareille.
- Ensuite, nous t’emmènerons chez nous, tu es désormais notre esclave, il me tarde de préparer ton collier, et d’y graver tes initiales dessus… »
Le collier, un signe de soumission par excellence, le signe que la personne qui le portait était bien une esclave ! En attendant, les deux vampires se déplacèrent, tournant autour d’Anna, comme deux prédatrices prêtes à fondre. Vanillia alla dans le dos d’Anna, et caressa doucement ses épaules, sa verge venant caresser ses fesses. Mélinda, elle, se positionna devant Anna, et caressa ses joues. Si Anna tâtait les fesses de la vampire, elle pourrait y sentir de fines lignes, les traces des griffures de Vanillia.
« Pour faire perdre aussi facilement que ça son contrôle à ma femme, tu dois vraiment être exceptionnelle, Anna… Te laisser ici serait cruel ! »
Mélinda l’embrassa alors, et les mains de Vanillia détachèrent lentement le strap-on de leur esclave, ce qui permit à la verge de Mélinda de caresser son bassin, glissant près du sexe de la jeune femme.
« On va te baiser toutes les deux, Anna… Comme un avant-goût de ce que tu vas désormais vivre avec nous ! » lui glissa Vanillia, comme une sorte de délicieuse promesse.