Le marché aux esclave de Mijak a toujours été l’un des plus bruyants au monde, contrairement à celui de Lumen par exemple, qui fait preuve d’une certaine éthique à l’égard des esclaves comme des clients. Mais Mijak est un empire démoniaque et l’éthique y est souvent aussi absent qu’enfer, quand il s’agit d’esclavagisme, et plus particulièrement dans les commerces. Les esclaves y sont présentés denudé et souvent dans des poses embarrassantes et honteuse pour attirer le regard et attiser le désir.
Klizva n’y échappait pas. On pouvait même dire que personne ne s’en offusquerait la concernant. Les Gobelins ont toujours été considérés comme des nuisibles brutaux et stupides sur Terra. Les mâles servent de chaire à canon, quand ils ne pillent et violes en tribu. Quand aux femelles, ce ne sont souvent que des onahole bon marché qui servent plus ou moins une semaine avant d’en crever et servir de pâté pour molosses. Si notre gobeline n’était pas encore morte aujourd’hui, c’était seulement parce qu’elle était plus jolie et douce, sa voix comme son physique, que ses homologues, plus sales et gutturales.
Mais pour ce qui était de l’exposition, elle n’était pas mieux traitée. Nue, bras et jambes attachés ensembles et cuisses écartées, un jouet remuait furieusement dans son intimité grâce à la magie, et un anneau gardait sa bouche ouverte, d’où sa langue pendait, laissant entendre ses doux gémissements et laissant voir sa dentition, limée pour ne plus trancher. Dans cette pose humiliante en cage, elle jouissait régulièrement devant les gens, sans plus aucune retenue, et cela risquait de continuer encore longtemps jusqu’à ce que quelqu’un ne l’achète… Encore une fois.
Klizva n’y échappait pas. On pouvait même dire que personne ne s’en offusquerait la concernant. Les Gobelins ont toujours été considérés comme des nuisibles brutaux et stupides sur Terra. Les mâles servent de chaire à canon, quand ils ne pillent et violes en tribu. Quand aux femelles, ce ne sont souvent que des onahole bon marché qui servent plus ou moins une semaine avant d’en crever et servir de pâté pour molosses. Si notre gobeline n’était pas encore morte aujourd’hui, c’était seulement parce qu’elle était plus jolie et douce, sa voix comme son physique, que ses homologues, plus sales et gutturales.
Mais pour ce qui était de l’exposition, elle n’était pas mieux traitée. Nue, bras et jambes attachés ensembles et cuisses écartées, un jouet remuait furieusement dans son intimité grâce à la magie, et un anneau gardait sa bouche ouverte, d’où sa langue pendait, laissant entendre ses doux gémissements et laissant voir sa dentition, limée pour ne plus trancher. Dans cette pose humiliante en cage, elle jouissait régulièrement devant les gens, sans plus aucune retenue, et cela risquait de continuer encore longtemps jusqu’à ce que quelqu’un ne l’achète… Encore une fois.
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- Mélinda Warren
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Le marché aux esclaves de Mijak était toujours un moment intense. Il s’organisait dans un souk et autour de ce dernier. Une foire marchande et commerciale où des produits venaient des quatre coins de l’Empire. Les achats étaient nombreux, et la garde l’était tout autant. Elle l’était d’autant plus que Mélinda n’était plus une simple acheteuse, maintenant. Depuis son mariage avec l’Empereur, elle était l’Impératrice de Mijak, et elle devait insister pour ne pas venir avec toute une cohorte armée. Elle avait réussi à convaincre la sécurité de venir uniquement avec la capitaine de la Garde Impériale, Kiera Notton, une femme aussi belle que dangereuse.
C’est donc en sa compagnie que Mélinda remontait les allées du souk. Elle envoyait souvent ses propres esclaves pour en acheter d’autres. Tout le monde savait parmi les vendeurs que Mélinda était une bonne cliente, et, depuis qu’elle était au sommet du pouvoir, on avait également tendance à lui faire des prix. Elle examinait donc les produits, et finit ainsi par rejoindre le stand où se trouvait Klizva.
Elle s’arrêta en voyant cette petite gobeline. Des hommes hilares rigolaient autour d’elle.
« Hmmm…
- Majesté ? »
Ils étaient ivres, et profitaient du fait que la gobeline se trouve sur un stand un peu miteux, celui des invendus, pour la narguer.
« C’est une putain de Peau-Verte !
- Tu as perdu ta mine, salope ?
- On dit que les merdes dans votre genre boivent de la pisse… Tu veux vérifier ?! »
L’un d’eux abaissa sa braguette, et approcha son sexe ramolli de la bouche de la gobeline. Une main se posa alors sur son épaule.
« Hey, mais que… »
Il eut à peine le temps de se retourner que le genou puissant de Kiera se ficha contre son sexe. L’homme se plia en deux, son visage prenant une teinte bleuâtre, et s’écroula sur le sol en se tenant les parties. Surpris, les deux autres hésitèrent. L’un s’élança en hurlant, et se reçut un uppercut qui lui fractura le nez, et le fit tomber au sol. Le troisième déglutit, et prit la poudre d’escampette.
Les autres badauds s’écartèrent alors en reconnaissant la fine silhouette et la robe dorée de Mélinda, cette robe enchantée qui ne se salissait pas même en traînant sur le sol. Mélinda se rapprocha lentement de la gobeline, et ordonna qu’on lui retire l’anneau. Le vendeur, gêné, obtempéra rapidement.
« Oui, Majesté, bien sûr, Majesté ! »
Il ouvrit la cage en tremblant nerveusement, et retira l’anneau, puis le vibromasseur. Mélinda attrapa ensuite une gourde d’eau, tandis que la gobeline se retrouvait au sol, libérée de ses entraves. Elle tendit la gourde vers elle, en lui souriant.
« Je suppose que tu ne me comprends pas, hein ? C’est de l’eau… Bois-en, tu dois être asséchée. »
Kiera resta légèrement en retrait, tandis que Mélinda faisait le premier pas vers Klizva…
C’est donc en sa compagnie que Mélinda remontait les allées du souk. Elle envoyait souvent ses propres esclaves pour en acheter d’autres. Tout le monde savait parmi les vendeurs que Mélinda était une bonne cliente, et, depuis qu’elle était au sommet du pouvoir, on avait également tendance à lui faire des prix. Elle examinait donc les produits, et finit ainsi par rejoindre le stand où se trouvait Klizva.
Elle s’arrêta en voyant cette petite gobeline. Des hommes hilares rigolaient autour d’elle.
« Hmmm…
- Majesté ? »
Ils étaient ivres, et profitaient du fait que la gobeline se trouve sur un stand un peu miteux, celui des invendus, pour la narguer.
« C’est une putain de Peau-Verte !
- Tu as perdu ta mine, salope ?
- On dit que les merdes dans votre genre boivent de la pisse… Tu veux vérifier ?! »
L’un d’eux abaissa sa braguette, et approcha son sexe ramolli de la bouche de la gobeline. Une main se posa alors sur son épaule.
« Hey, mais que… »
Il eut à peine le temps de se retourner que le genou puissant de Kiera se ficha contre son sexe. L’homme se plia en deux, son visage prenant une teinte bleuâtre, et s’écroula sur le sol en se tenant les parties. Surpris, les deux autres hésitèrent. L’un s’élança en hurlant, et se reçut un uppercut qui lui fractura le nez, et le fit tomber au sol. Le troisième déglutit, et prit la poudre d’escampette.
Les autres badauds s’écartèrent alors en reconnaissant la fine silhouette et la robe dorée de Mélinda, cette robe enchantée qui ne se salissait pas même en traînant sur le sol. Mélinda se rapprocha lentement de la gobeline, et ordonna qu’on lui retire l’anneau. Le vendeur, gêné, obtempéra rapidement.
« Oui, Majesté, bien sûr, Majesté ! »
Il ouvrit la cage en tremblant nerveusement, et retira l’anneau, puis le vibromasseur. Mélinda attrapa ensuite une gourde d’eau, tandis que la gobeline se retrouvait au sol, libérée de ses entraves. Elle tendit la gourde vers elle, en lui souriant.
« Je suppose que tu ne me comprends pas, hein ? C’est de l’eau… Bois-en, tu dois être asséchée. »
Kiera resta légèrement en retrait, tandis que Mélinda faisait le premier pas vers Klizva…
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La gobeline observait les badauds sans vraiment faire attention à eux. Avant de finir esclave, elle était déjà traitée comme vide couilles par les siens, alors que les autres races la traitent de la même façon ne changeait rien. Et avec ce truc qui remuait en elle, c’était limite si elle avait envie de leur jouir dessus, seule réponse qu’elle pouvait leur faire en retour. En revanche, ce qui suivit la sortit de sa torpeur.
Voir les trois hommes qui se moquaient d’elle quelques secondes auparavant se faire latter la tronche sans prévenir la surprit totalement. Les yeux grands ouverts, elle regarda cette femme les mettre au tapis sans efforts, avant qu’une autre ne fasse des signes au vendeur, dans un échange incompréhensible à ses oreilles. Finalement, sa cage fut ouverte et Klizva
Fut détachée et libérée, remuant sa mâchoire endolorie pour atténuer la douleur.
– Je suppose que tu ne me comprends pas, hein ? C’est de l’eau… Bois-en, tu dois être asséchée.
Effectivement, Klizva ne comprenait pas, regardant avec méfiance cette femme qui lui tendait une gourde avec un grand sourire. Personne n’avait jamais été sympa avec elle dans cette vie, à cause de sa race. Pour quelle raison cela changerait-il ? Et puis il pouvait y avoir n’importe quoi dans cette gourde. Du poison, des somnifères, de l’urine, des trucs encore moins ragoûtants… Son organisme pouvait tout supporter sans tomber malade, mais ce n’était pas pour autant qu’elle aimait ça…
Bon, après, l’autre pouvait lui éclater la gueule si elle obtempérait pas, alors la gobeline finit par prendre la gourde, renifler le goulot et, ne sentant rien de particulier, commença à boire… la meilleure eau de sa vie… Si pure et si fraîche qu’elle en versa quelques larmes. Était-ce seulement réel ?
– Kh… Kerkgh…
Ce n’était qu’un simple remerciement, mais est ce que la combattante a coté n’allait pas l’interpréter comme une insulte ? Ce qui était sur, c’est que toutes deux avait pu entendre sa douce voix, en accord avec son physique… et tranchant franchement avec son espèce.
Voir les trois hommes qui se moquaient d’elle quelques secondes auparavant se faire latter la tronche sans prévenir la surprit totalement. Les yeux grands ouverts, elle regarda cette femme les mettre au tapis sans efforts, avant qu’une autre ne fasse des signes au vendeur, dans un échange incompréhensible à ses oreilles. Finalement, sa cage fut ouverte et Klizva
Fut détachée et libérée, remuant sa mâchoire endolorie pour atténuer la douleur.
– Je suppose que tu ne me comprends pas, hein ? C’est de l’eau… Bois-en, tu dois être asséchée.
Effectivement, Klizva ne comprenait pas, regardant avec méfiance cette femme qui lui tendait une gourde avec un grand sourire. Personne n’avait jamais été sympa avec elle dans cette vie, à cause de sa race. Pour quelle raison cela changerait-il ? Et puis il pouvait y avoir n’importe quoi dans cette gourde. Du poison, des somnifères, de l’urine, des trucs encore moins ragoûtants… Son organisme pouvait tout supporter sans tomber malade, mais ce n’était pas pour autant qu’elle aimait ça…
Bon, après, l’autre pouvait lui éclater la gueule si elle obtempérait pas, alors la gobeline finit par prendre la gourde, renifler le goulot et, ne sentant rien de particulier, commença à boire… la meilleure eau de sa vie… Si pure et si fraîche qu’elle en versa quelques larmes. Était-ce seulement réel ?
– Kh… Kerkgh…
Ce n’était qu’un simple remerciement, mais est ce que la combattante a coté n’allait pas l’interpréter comme une insulte ? Ce qui était sur, c’est que toutes deux avait pu entendre sa douce voix, en accord avec son physique… et tranchant franchement avec son espèce.
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- Mélinda Warren
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La gobeline considéra la gourde avec méfiance. Elle devait sûrement penser à du liquide empoisonné, alors Mélinda en versa un peu sur sa main, pour que la gobeline puisse voir que ce n’était que de l’eau. Elle allait ensuite envisager d’en boire elle-même, mais la gobeline s’empara finalement de la gourde, et la but. Mélinda put sentir le sang de la gobeline s’emballer. Pendant ce temps, Kiera attrapait les deux hommes qu’elle avait mis à terre pour les projeter plus loin. Quand la gobeline eut fini de boire, elle parla d’une voix lente, légèrement éreintée, pour dire… Eh bien, Mélinda ne savait pas trop. Elle ne parlait pas le gobelin, mais elle supposait que cela voulait dire « merci ». Elle lui sourit ensuite, et récupéra la gourde, puis tendit son autre main. Elle caressa la joue de la gobeline, sentant un moment de répulsion initiale.
« Très bien, je la prends. »
Essayant de reprendre contenance, le marchand se rapprocha.
« Je… Euh… Le prix d’acquisition pour elle est de…
- Où l’avez-vous eu ? le coupa brusquement Mélinda.
- Elle… Euh… Elle appartenait à une tribu de gobelins que des mercenaires ont éradiqué. C’était la seule gobeline, donc ils se sont dits qu’elle devrait intéresser des collectionneurs. Ils l’avaient déjà récupéré dans un bordel, vous savez… »
Mélinda se redressa, puis, estimant en avoir eu assez, alla verser ce que le marchand réclamait. Quand ils eurent terminé, ce qui ne prit que quelques minutes, Mélinda retourna près de Klizva. La vampire parlait beaucoup de langues, mais le gobelin n’en faisait pas partie. Il n’y avait pas vraiment de manuel pour parler cette langue hachée et gutturale. Elle se rapprocha donc de la gobeline, tandis que les badauds s’écartaient, et posa sa main sur sa poitrine.
« Mélinda Warren… Moi… Mélinda Warren. »
Ensuite, elle orienta sa main vers Klizva, pour voir si celle-ci la comprenait, et si elle pouvait, en retour, lui communiquer son nom.
« Très bien, je la prends. »
Essayant de reprendre contenance, le marchand se rapprocha.
« Je… Euh… Le prix d’acquisition pour elle est de…
- Où l’avez-vous eu ? le coupa brusquement Mélinda.
- Elle… Euh… Elle appartenait à une tribu de gobelins que des mercenaires ont éradiqué. C’était la seule gobeline, donc ils se sont dits qu’elle devrait intéresser des collectionneurs. Ils l’avaient déjà récupéré dans un bordel, vous savez… »
Mélinda se redressa, puis, estimant en avoir eu assez, alla verser ce que le marchand réclamait. Quand ils eurent terminé, ce qui ne prit que quelques minutes, Mélinda retourna près de Klizva. La vampire parlait beaucoup de langues, mais le gobelin n’en faisait pas partie. Il n’y avait pas vraiment de manuel pour parler cette langue hachée et gutturale. Elle se rapprocha donc de la gobeline, tandis que les badauds s’écartaient, et posa sa main sur sa poitrine.
« Mélinda Warren… Moi… Mélinda Warren. »
Ensuite, elle orienta sa main vers Klizva, pour voir si celle-ci la comprenait, et si elle pouvait, en retour, lui communiquer son nom.
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Même si la gobeline ne comprenait pas la langue commune de ce monde, elle cernait généralement assez vite les intentions des gens, qui voulaient généralement soit abuser d’elle comme d’un simple sextoy, soit se servir d’elle comme punching-ball, soit comme cobaye pour des expérimentations alchimiques, avec comme finalité sa mort. Mais grâce à la rune d’enchantement sur son ventre, personne n’y était jamais parvenu, ce qui au contraire renforçait son organisme. Alors on la ramenait au marché pour l’y abandonner au vendeur.
Mais cette femme là était trop sympa avec elle pour que cela ne cache pas quelque chose. Personne ne l’avait jamais été avec elle depuis sa réincarnation, que ce soit au sein de sa tribu ou après sa capture. Et il n’y avait aucune raison pour que cela change aussi soudainement, alors Klizva avait toutes les raisons du monde de rester méfiante.
Finalement la femme alla verser de l’argent après une brève conversation avec le marchand, qui lui avait sans doute raconté des bobards pour pouvoir la vendre. Elle revint ensuite et se présenta à elle. Cela, elle pouvait le comprendre au moins.
– … Klizva… Irgola…
Le premier mot était son prénom. Le second quant à lui, signifiait qu’elle la reconnaissait comme maître ou maîtresse, vu qu’elle l’avait achetée. Même sans parler le gobelin, c’était un mot qui avait souvent été prononcé par ceux appartenant à une armée de démons pour être compris. Un des rares.
A présent, il ne restait plus à la gobeline qu’à suivre sa nouvelle maîtresse dans sa nouvelle demeure temporaire, qui sera sans doute une cave ou, au mieux, un grenier. Klizva ne s’attendait à rien d’autre de toute façon, tout comme à rester nue, comme cela l’était depuis sa naissance. Enfin, vu que les mâles portait souvent un pagne en cuir humain ou elfique, c’était sans doute mieux ainsi. Dans tout les cas, le vendeur ne fournit rien pour la couvrir car rien n’était prévu pour cela dans sa boutique. Mais être nue ne dérangeait plus la gobeline depuis des lustres, et tout le monde trouvait cela normal.
Mais cette femme là était trop sympa avec elle pour que cela ne cache pas quelque chose. Personne ne l’avait jamais été avec elle depuis sa réincarnation, que ce soit au sein de sa tribu ou après sa capture. Et il n’y avait aucune raison pour que cela change aussi soudainement, alors Klizva avait toutes les raisons du monde de rester méfiante.
Finalement la femme alla verser de l’argent après une brève conversation avec le marchand, qui lui avait sans doute raconté des bobards pour pouvoir la vendre. Elle revint ensuite et se présenta à elle. Cela, elle pouvait le comprendre au moins.
– … Klizva… Irgola…
Le premier mot était son prénom. Le second quant à lui, signifiait qu’elle la reconnaissait comme maître ou maîtresse, vu qu’elle l’avait achetée. Même sans parler le gobelin, c’était un mot qui avait souvent été prononcé par ceux appartenant à une armée de démons pour être compris. Un des rares.
A présent, il ne restait plus à la gobeline qu’à suivre sa nouvelle maîtresse dans sa nouvelle demeure temporaire, qui sera sans doute une cave ou, au mieux, un grenier. Klizva ne s’attendait à rien d’autre de toute façon, tout comme à rester nue, comme cela l’était depuis sa naissance. Enfin, vu que les mâles portait souvent un pagne en cuir humain ou elfique, c’était sans doute mieux ainsi. Dans tout les cas, le vendeur ne fournit rien pour la couvrir car rien n’était prévu pour cela dans sa boutique. Mais être nue ne dérangeait plus la gobeline depuis des lustres, et tout le monde trouvait cela normal.
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De la culture gobeline, Mélinda ne savait pas grand-chose. D’ailleurs, le simple fait de parler de « culture gobeline » s’apparentait pour bien des sociologues à un oxymore. Les gobelins vivaient généralement dans des trous, dans des grottes, et, s’il existait plusieurs espèces de gobelins, ils avaient pour trait commun d’être désorganisés. On leur connaissait une vague affinité avec les Orcs, mais qui relevait plutôt de la domination naturelle. Les Orcs dominaient les gobelins, qui formaient une société très éclatée, intellectuellement limitée, et dominée par un patriarcat sans partage. Les gobelines étaient de ce fait peu connues, car elles vivaient généralement comme esclaves. Les Mijakiens avaient du mal à faire quoi que ce soit d’utile des gobelins, et rares étaient ceux capables d’intelligence. Ils pillaient, violaient, tuaient, formant de la chair à canon, et chevauchaient de redoutables Wargs, ayant avec ces créatures sauvages une affinité qui était pour l’heure inexpliquée. Le fait que cette gobeline soit encore en vie en disait beaucoup. Elle indiqua s’appeler Klizva, ce qui était aussi assez surprenant, et notait une intelligence supérieure pour une gobeline. Elle employa également le mot gobelin « irgola », soit un mot signifiant qu’elle reconnaissait Mélinda comme sa supérieure.
Pas de vêtement en revanche pour Klizva, qui était nue, comme toutes les gobelines, depuis la naissance. Seuls les mâles ayant un certain statut social ou partant se battre portaient des pagnes ou de modestes armures. Mélinda avait aussi le lourd collier de l’esclavagiste, bien plus disgracieux que ses colliers fins en cuir. Kiera lui en confia un. Mélinda se rapprocha ensuite de Klizva, et lui montra l’intérieur du collier, où son nom apparaissait, brodé sur une plaque en or : « MÉLINDA WARREN ».
« Si jamais tu te perds… Ce collier signifie que tu es à moi, et les gardes te ramèneront chez moi. Personne n’osera t’attaquer, tu es la propriété d’une Impératrice, après tout. »
Difficile de dire si Klizva l’avait compris. Mélinda pouvait sentir sa répulsion, mais elle lui mit tout de même le collier, puis tendit ensuite sa main vers elle. Elle attendit que Klizva la prenne, puis lui sourit, et commença à marcher.
« Kiera, il faudrait lui trouver des vêtements, et commencer par la laver.
- Je suis la capitaine de la Garde Impériale, Majesté, pas votre assistante » grogna Kiera.
Mélinda se contenta de hausser les épaules. Il fallait bien admettre que rester ainsi en captivité en plein air n’aidait pas forcément pour l’hygiène. Elles rejoignirent la calèche de Mélinda, et firent route vers le harem. Mélinda observait lentement la gobeline.
« Je suis quand même curieuse d’en savoir plus sur toi… »
Le vendeur n’avait pas su dire grand-chose, si ce n’est qu’il l’avait récupéré de la part d’une maison d’esclaves. Mélinda allait devoir remonter la filière, elle aimait connaître la provenance de ses esclaves.
Quand elles arrivèrent à sa villa, Mélinda confia Klizva aux bons soins d’autres esclaves. L’objectif était qu’elle soit lavée, nettoyée, et parfumée, puis qu’on la lui ramène ensuite, ce qui lui laisserait le temps de rédiger des lettres pour en savoir plus sur elle. En revanche, Klizva n’avait encore aucune tenue adaptée à sa taille, elle qui était plus petite que les adultes, et plus grande que les enfants. Autrement dit, elle allait se retrouver avec une serviette pour rejoindre le bureau de Mélinda, une fois son nettoyage intensif fait… Ce qui, sans la crasse et la poussière, la rendrait aussi plus belle qu’elle ne l’avait jamais été.
Pas de vêtement en revanche pour Klizva, qui était nue, comme toutes les gobelines, depuis la naissance. Seuls les mâles ayant un certain statut social ou partant se battre portaient des pagnes ou de modestes armures. Mélinda avait aussi le lourd collier de l’esclavagiste, bien plus disgracieux que ses colliers fins en cuir. Kiera lui en confia un. Mélinda se rapprocha ensuite de Klizva, et lui montra l’intérieur du collier, où son nom apparaissait, brodé sur une plaque en or : « MÉLINDA WARREN ».
« Si jamais tu te perds… Ce collier signifie que tu es à moi, et les gardes te ramèneront chez moi. Personne n’osera t’attaquer, tu es la propriété d’une Impératrice, après tout. »
Difficile de dire si Klizva l’avait compris. Mélinda pouvait sentir sa répulsion, mais elle lui mit tout de même le collier, puis tendit ensuite sa main vers elle. Elle attendit que Klizva la prenne, puis lui sourit, et commença à marcher.
« Kiera, il faudrait lui trouver des vêtements, et commencer par la laver.
- Je suis la capitaine de la Garde Impériale, Majesté, pas votre assistante » grogna Kiera.
Mélinda se contenta de hausser les épaules. Il fallait bien admettre que rester ainsi en captivité en plein air n’aidait pas forcément pour l’hygiène. Elles rejoignirent la calèche de Mélinda, et firent route vers le harem. Mélinda observait lentement la gobeline.
« Je suis quand même curieuse d’en savoir plus sur toi… »
Le vendeur n’avait pas su dire grand-chose, si ce n’est qu’il l’avait récupéré de la part d’une maison d’esclaves. Mélinda allait devoir remonter la filière, elle aimait connaître la provenance de ses esclaves.
Quand elles arrivèrent à sa villa, Mélinda confia Klizva aux bons soins d’autres esclaves. L’objectif était qu’elle soit lavée, nettoyée, et parfumée, puis qu’on la lui ramène ensuite, ce qui lui laisserait le temps de rédiger des lettres pour en savoir plus sur elle. En revanche, Klizva n’avait encore aucune tenue adaptée à sa taille, elle qui était plus petite que les adultes, et plus grande que les enfants. Autrement dit, elle allait se retrouver avec une serviette pour rejoindre le bureau de Mélinda, une fois son nettoyage intensif fait… Ce qui, sans la crasse et la poussière, la rendrait aussi plus belle qu’elle ne l’avait jamais été.
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Sa nouvelle maîtresse ne lui donna pas de vêtements, évidemment. Comment le pourrait-elle, ce n’était pas comme si elle se baladait avec un sac de fringues avec elle, et elle n’allait sans doute pas en acheter rien que pour ses beaux yeux. En revanche, elle lui attacha autour du cou un collier d’esclave en cuir, bien plus agréable qu’un énorme anneaux grossièrement forgé. Et si la gobeline ne comprenait pas la langue commune, elle connaissait les lettres en romanji, de part sa vie antérieure. C’était cela dit la première fois qu’elle avait l’occasion d’en voir depuis qu’elle était sur ce monde.
Sur le trajet jusqu’à la calèche, Klizva sentit bien les regards de dégoûts des passants sur sa personnes, mais aucun n’osa lui cracher ouvertement dessus en la présence des deux femmes. Si la gobeline ne comprenait pas le statut social de sa nouvelle maîtresse, elle se doutait que celui-ci devait être très élevé. Elle ne dit rien le temps du trajet, de toute façon, personne ne la comprenait, jusqu’à leur arrivé devant un manoir.
Elle fut confiée à d’autres esclaves, certaines d’entre elles ayant un léger mouvement de recul, mais elles obéirent à leur maîtresse et emmenèrent la gobeline dans une salle de bain. En toute honnêteté, Klizva fut surprise. Personne ne s’était jusqu’alors donné la peine de la décrasser en profondeur. Jusqu’à présent, elle avait toujours eu droit qu’à un jet d’eau glacé grand max. Jamais à du savon ou du shampoing. Et encore moins du parfum.
A la fin, même les esclaves qui la trouvaient répugnante eurent une exclamation de surprise et on la mit devant un miroir. Klizva ne se reconnaissait pas. Ou plutôt, elle reconnue l’apparence qu’elle avait autrefois en tant que japonaise. Hormis la peau verte, les yeux jaunes et la petite taille, elle était le portrait craché de sa précédente vie. Et elle ne se lâchait pas du regard pendant qu’une des esclaves la coiffait, lui faisant une coupe également plus japonaise.
Une fois le décrassage terminé, la gobeline fut conduite au bureau de Mélinda, munie seulement de sa serviette. Ce qui était mieux que d’être nue. L’esclave toqua à la porte et entra avec Klizva. Celle-ci détailla l’environnement. Un bureau en bois massif, des bibliothèques, une banquette et une table basse dans un coin, une étagère avec plein de bibelots dessus, un globe terrestre, sans doute celui de ce monde…
Son regard s’arrêta alors sur un objet qui avait l’air parfaitement incongru dans ce décors. Même dans ce monde, de ce que Klizva en avait vue jusqu’alors… Qu’est ce que foutait un smartphone sur ce bureau ? D’ailleurs, celui-ci était allumé et indiquait l’heure…
Sur le trajet jusqu’à la calèche, Klizva sentit bien les regards de dégoûts des passants sur sa personnes, mais aucun n’osa lui cracher ouvertement dessus en la présence des deux femmes. Si la gobeline ne comprenait pas le statut social de sa nouvelle maîtresse, elle se doutait que celui-ci devait être très élevé. Elle ne dit rien le temps du trajet, de toute façon, personne ne la comprenait, jusqu’à leur arrivé devant un manoir.
Elle fut confiée à d’autres esclaves, certaines d’entre elles ayant un léger mouvement de recul, mais elles obéirent à leur maîtresse et emmenèrent la gobeline dans une salle de bain. En toute honnêteté, Klizva fut surprise. Personne ne s’était jusqu’alors donné la peine de la décrasser en profondeur. Jusqu’à présent, elle avait toujours eu droit qu’à un jet d’eau glacé grand max. Jamais à du savon ou du shampoing. Et encore moins du parfum.
A la fin, même les esclaves qui la trouvaient répugnante eurent une exclamation de surprise et on la mit devant un miroir. Klizva ne se reconnaissait pas. Ou plutôt, elle reconnue l’apparence qu’elle avait autrefois en tant que japonaise. Hormis la peau verte, les yeux jaunes et la petite taille, elle était le portrait craché de sa précédente vie. Et elle ne se lâchait pas du regard pendant qu’une des esclaves la coiffait, lui faisant une coupe également plus japonaise.
Une fois le décrassage terminé, la gobeline fut conduite au bureau de Mélinda, munie seulement de sa serviette. Ce qui était mieux que d’être nue. L’esclave toqua à la porte et entra avec Klizva. Celle-ci détailla l’environnement. Un bureau en bois massif, des bibliothèques, une banquette et une table basse dans un coin, une étagère avec plein de bibelots dessus, un globe terrestre, sans doute celui de ce monde…
Son regard s’arrêta alors sur un objet qui avait l’air parfaitement incongru dans ce décors. Même dans ce monde, de ce que Klizva en avait vue jusqu’alors… Qu’est ce que foutait un smartphone sur ce bureau ? D’ailleurs, celui-ci était allumé et indiquait l’heure…
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- Demande de RP
En attendant la venue de sa gobeline, Mélinda s’occupa. Elle rejoignit donc son bureau, où l’attendait une pile de documents divers. Elle était une femme très occupée. Elle posa sur son bureau son téléphone portable. Il n’y avait pas de réseau sur Terra, mais le téléphone pouvait toujours être ouvert, et Mélinda avait stocké dessus quantité de photos et de vidéos, qu’elle s’amusait parfois à consulter. Elle le laissa donc sur le côté, tout en s’accompagnant d’une secrétaire pour retranscrire les réponses et les instructions qu’elle avait à faire.
On commença par lui remettre les parchemins et courriers à signer et à tamponner. Mélinda étant désormais à de hautes fonctions, elle avait quantité de documents venant de son cabinet impérial. L’Empereur lui faisait confiance pour gérer toute l’administration, portant généralement sur des nominations, des confirmations de rendez-vous, de visites officielles, de déplacements diplomatiques… Elle recevait aussi des notes d’information, émanant notamment de la région de la Calla. Cette région frontalière de l’Empire était en pleine ébullition. Le royaume de la Calla, une ancienne province eldoise, était en guerre civile face à la redoutable Bowsette, qui revendiquait les terres de la Calla pour y ériger le royaume d’Humpa. Les barons calloïtes s’opposaient à cette femme, qui avait entamé des pourparlers avec l’Empire par le truchement de Sylvandell. Un dossier sensible, car les barons de la Calla avaient nommé comme Roi Alexander Brennenburg, un ancien notable mijakien qui avait trahi l’Empire en s’acoquinant avec d’autres renégats comme les Hamleigh pour soutenir la cause de la Monarchie de la Rose.
Plongée dans ce dossier, Mélinda envoya ses instructions, et ne s’interrompit que quand on toqua à la porte. La gobeline était là.
« Faites-là entrer.
- Devons-nous remettre à plus tard les courriers que vous souhaitez que je rédige, Maîtresse ?
- Non, elle ne parle pas la langue, et je ne souhaite pas remettre ce sujet à plus tard. »
Annie, sa ravissante secrétaire, hocha la tête. L’Empereur l’avait détaché à sa service, et elle se faisait assez bien à son rôle.
La gobeline entra par la suite, et Mélinda sourit en la voyant.
« (b]Tu es vraiment magnifique… Comme quoi, il fallait bien te décrasser un peu. Je te présente Annie, c’est ma secrétaire. Enfin, je dis ça, mais tu ne dois pas comprendre ce que je dis… Bref, installe-toi.[/b] »
Mélinda désigna un fauteuil resté libre face à son bureau.
« Hum… S’agissant de votre nouvelle acquisition, j’ai consulté les données du vendeur. La gobeline s’appelle Klizva. Elle a été vendue à de nombreuses reprises, et est donc considérée comme un lot de dernière catégorie. Elle a été capturée par des mercenaires… Si je peux me permettre, Maîtresse, c’est un choix curieux, sa place était de finir dans une mine naine. »
Mélinda sourit.
« Des choix curieux, j’en fais souvent… »
Elle croisa le regard de Klizva, et vit que celle-ci fixait son téléphone portable. Mélinda attrapa alors l’objet.
« Ça t’intéresse ? J’ai oublié de le ranger, avec toute cette paperasse… »
Mélinda l’alluma. On pouvait voir sur le fond d’écran elle et Vanillia, fixant l’objectif en se tenant la main devant elles, joue contre joue. Sur l’écran de verrouillage, on voyait Akira (c’était elle qui lui avait offert le téléphone et l’avait formé) lui souffler un baiser de sa main.
Mélinda n’avait aucun moyen d’accéder à Internet, mais, comme le navigateur était hors ligne, un jeu se lançait à la place : celui du serpent.
Elle reposa le téléphone, et montra à Klizva l’écran.
« Tu n’y comprendras sûrement rien, mais il faut déplacer avec ta main le petit cube, là, pour manger d’autres cubes, tout en évitant les murs et les obstacles. »
Mélinda lui montra l’écran, et mit le téléphone entre les mains de Klizva. Elle se disait que cela devrait l’occuper le temps qu’elle finisse la paperasse avec Annie.
« Voilà, joue avec, ma jolie, et ne le casse pas ! »
On commença par lui remettre les parchemins et courriers à signer et à tamponner. Mélinda étant désormais à de hautes fonctions, elle avait quantité de documents venant de son cabinet impérial. L’Empereur lui faisait confiance pour gérer toute l’administration, portant généralement sur des nominations, des confirmations de rendez-vous, de visites officielles, de déplacements diplomatiques… Elle recevait aussi des notes d’information, émanant notamment de la région de la Calla. Cette région frontalière de l’Empire était en pleine ébullition. Le royaume de la Calla, une ancienne province eldoise, était en guerre civile face à la redoutable Bowsette, qui revendiquait les terres de la Calla pour y ériger le royaume d’Humpa. Les barons calloïtes s’opposaient à cette femme, qui avait entamé des pourparlers avec l’Empire par le truchement de Sylvandell. Un dossier sensible, car les barons de la Calla avaient nommé comme Roi Alexander Brennenburg, un ancien notable mijakien qui avait trahi l’Empire en s’acoquinant avec d’autres renégats comme les Hamleigh pour soutenir la cause de la Monarchie de la Rose.
Plongée dans ce dossier, Mélinda envoya ses instructions, et ne s’interrompit que quand on toqua à la porte. La gobeline était là.
« Faites-là entrer.
- Devons-nous remettre à plus tard les courriers que vous souhaitez que je rédige, Maîtresse ?
- Non, elle ne parle pas la langue, et je ne souhaite pas remettre ce sujet à plus tard. »
Annie, sa ravissante secrétaire, hocha la tête. L’Empereur l’avait détaché à sa service, et elle se faisait assez bien à son rôle.
La gobeline entra par la suite, et Mélinda sourit en la voyant.
« (b]Tu es vraiment magnifique… Comme quoi, il fallait bien te décrasser un peu. Je te présente Annie, c’est ma secrétaire. Enfin, je dis ça, mais tu ne dois pas comprendre ce que je dis… Bref, installe-toi.[/b] »
Mélinda désigna un fauteuil resté libre face à son bureau.
« Hum… S’agissant de votre nouvelle acquisition, j’ai consulté les données du vendeur. La gobeline s’appelle Klizva. Elle a été vendue à de nombreuses reprises, et est donc considérée comme un lot de dernière catégorie. Elle a été capturée par des mercenaires… Si je peux me permettre, Maîtresse, c’est un choix curieux, sa place était de finir dans une mine naine. »
Mélinda sourit.
« Des choix curieux, j’en fais souvent… »
Elle croisa le regard de Klizva, et vit que celle-ci fixait son téléphone portable. Mélinda attrapa alors l’objet.
« Ça t’intéresse ? J’ai oublié de le ranger, avec toute cette paperasse… »
Mélinda l’alluma. On pouvait voir sur le fond d’écran elle et Vanillia, fixant l’objectif en se tenant la main devant elles, joue contre joue. Sur l’écran de verrouillage, on voyait Akira (c’était elle qui lui avait offert le téléphone et l’avait formé) lui souffler un baiser de sa main.
Mélinda n’avait aucun moyen d’accéder à Internet, mais, comme le navigateur était hors ligne, un jeu se lançait à la place : celui du serpent.
Elle reposa le téléphone, et montra à Klizva l’écran.
« Tu n’y comprendras sûrement rien, mais il faut déplacer avec ta main le petit cube, là, pour manger d’autres cubes, tout en évitant les murs et les obstacles. »
Mélinda lui montra l’écran, et mit le téléphone entre les mains de Klizva. Elle se disait que cela devrait l’occuper le temps qu’elle finisse la paperasse avec Annie.
« Voilà, joue avec, ma jolie, et ne le casse pas ! »
DC de l'Observateur !
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