Le fouet de Katarina claquait sans arrêt, maltraitant le corps de Yuko, formant une délicieuse litanie, un environnement jouissif de coups de fouet. Entendre les couinements de Yuko, cette belle poupée en latex, ainsi que le claquement sonore du fouet, voilà qui avait largement de quoi exciter n’importe qui. Katarina soupirait joyeusement, sentant ses seins se tendre, son intimité se mouiller, au fur et à mesure qu’elle la battait, qu’elle rougissait le corps de cette femme. Katarina ne comptait nullement s’arrêter, et était prise dans son élan, fouettant, fouettant encore, sans relâche... Jusqu’à ce que l’une des mains de Yuko ne l’attrapa au poignet. Katarina cligna alors des yeux, et réalisa qu’elle avait eu un orgasme, simplement en fouettant cette femme. Elle se mordilla les lèvres. Le regard de Yuko était ferme, voulant mettre fin aux coups de fouet. Katarina lui sourit, révélant ses belles dents de neko, et sa queue caudale se déplaça lentement, venant caresser le ventre de Yuko, à hauteur de son nombril. Elle remua lentement sur son corps, insistant dessus, comme pour lui montrer qu’elle allait s’arrêter là.
Yuko approcha ensuite ses lèvres de l’oreille Katarina, qui sentit un ronronnement la traverser quand la jeune femme lui expliqua qu’elle allait ensuite la lécher. D’une démarche sensuelle, terriblement provocante, en roulant des fesses, la Karistal s’avança vers Miki, et continua à la torturer, à sa manière. Miki ronronnait furieusement dans sa tenue en latex. Le gag ball était rempli de salive, cette dernière dégoulinant sur sa nuque, filant vers ses seins. Elle gémit lourdement quand Yuko se caressa, et hocha vigoureusement la tête, lorsque cette dernière lui affirma qu’elle n’avait qu’une seule envie : se faire fouetter. Oh oui, ça, c’était vrai ! Se faire fouetter, oh, la petite Miki n’attendait que ça ! La brave neko gémissait faiblement, se tortillant dans le système complexe de chaînes et de cordes qui la retenaient. Elle avait l’impression d’être prisonnière dans une espèce de toile d’araignée, se tortillant de gauche à droite. Elle mouillait abondamment, et, quand Yuko se rapprocha de son intimité, mais omit de la lécher, Miki soupira encore, sa langue heurtant son gag ball, ses dents le mordillant. C’était une boule solide, faite pour résister à Miki. Fermant les yeux, elle gémit plus intensivement quand Yuko s’écarta d’elle, allant vers sa sœur, puis porta un regard implorant vers Katarina. La pauvre petite faisait pitié à voir, ainsi. Elle soupirait longuement, se tortillant, mais Katarina ne se rapprocha pas.
Au lieu de ça, elle observait le corps de Yuko, rougi. Elle avait des plaies dans le dos, là où le fouet, à force de taper, avait ensanglanté sa peau. Le fouet n’était pas effilé. Si Yuko avait été battue avec un vrai fouet, un fouet tranchant, comme celui que les bourreaux ashnardiens auraient, elle aurait baigné avec son propre sang, son dos complètement massacré... Ça n’aurait plus rien eu de sexuel, et elle en serait probablement morte. La jumelle alla ensuite voir sa sœur, et lui défit le gag ball, avant de la battre.
*J’admire sa ténacité...*
Cette claque, délicieuse, fit gémir à nouveau Miki. La pauvre se demandait si elle avait été autant frustrée... Ce qui avait, jadis, été le cas. Il y a plusieurs mois, Miki avait passé cinq heures en étant accrochée à un lustre, assistant à une orgie, la tête penchée vers le bas, sa mouille descendant le long de son corps, formant comme une sorte de fontaine, qui éclairait le dos des clients. Elle avait été accrochée au plafond par un système de treuil, avec d’autres nekos, afin de satisfaire le fantasme sexuel très particulier d’un comte ashnardien. Elle avait ensuite eu une longue récompense en étant méchamment prise par le comte et sa femme. Elle s’en souvenait encore. Les deux amants étaient allongés sur le lit, et utilisaient des jouets et des appareils magiques pour exciter les nekos, faisant tomber sur eux la mouille. Depuis qu’elle était toute petite, Miki avait toujours été une soumise, et il était donc normal qu’elle continue à agir ainsi.
Yuka récupéra son gag ball sur les lèvres, puis Yuko retourna voir Katarina, pour qu’elles continuent à s’amuser ensemble. Cette femme était vraiment gourmande, et, tout en observant sa démarche sensuelle, outrageante, elle observa le corps de la jeune femme. Il était parfait, et elle adorait la manière dont le latex moulait son corps. L’une de ses mains caressa la joue grise de Katarina, qui planta son regard dans le sien, avant d’entendre sa réponse :
« Je veux que tu viennes lécher chaque endroit où ta langue m'a fait mal. Ensuite, on voit si on peut soulager ses deux petites catins. Pour l'heure, ton premier coup de fouet avait été ici, non ? »
Elle désigna son sein, et Katarina sourit, révélant toutes ses dents.
« En effet... Et je vais m’appliquer à le faire... J’aime sentir ces deux salopes gémir en nous regardant, et en piaffant d’impatience. »
L’intimité de Miki devait être toute dilatée, maintenant. Les deux femmes se placèrent de façon à ce que les deux soumises n’en loupèrent aucune miette. Katarina approcha ses lèvres, et écarta le sein de la lanière en latex de Yuko, venant ensuite le sucer, tendrement, sensuellement, le léchant avec amour, emprisonnant ce monceau de chair entre ses lèvres. Elle le suça joyeusement, tandis que sa queue retournait frotter le dos de la femme, filant le long de son string, claquant délicatement ses fesses. En mode koala, crispée contre elle, Katarina suça longuement son sein, ressemblant presque à une espèce de bébé qui, en gémissant, viendrait téter le lait maternel. Elle s’attaqua ensuite à l’autre sein, titillant le téton avec sa langue, aspirant le sein dans sa bouche, s’en délectant tendrement.
« À ton dos, maintenant... Tu devrais te mettre à quatre pattes, pour que je m’applique... »
Elle aida Yuko à se mettre en position, et lui lécha alors les fesses et le bas de son dos, déposant de tendres baisers, léchant, encore et encore, ses seins glissant sur ses fesses. Miki avait une belle vue sur le cul de Yuko, et, pendant une dizaine de minutes, Katarina s’appliqua exclusivement à le lécher, glissant sur ses jambes, tandis que sa queue caudale, continuant à jouer, avait glissé le long du torse de Yuko, mimant une cravate de notaire en frottant l’espace entre les seins de la femme. Tandis qu’elle continuait à s’appliquer, elle finit par glousser, faisant remonter le bout de sa queue pour que Yuko puisse le sucer.
« Miki est en train de bouillonner comme une chaudière... Cette salope adorerait te lécher le cul, hihi... Et je la comprends, ton corps est magnifique. Que ce soit pour le battre ou pour le lécher, j’en mouille à chaque fois comme la reine des putes... Miaaaww... » miaula-t-elle ensuite, sensuellement.