The Multiversity

[Mélinda Warren]

- Robe de Mélinda :



- Robe de Vanillia :

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Il y a un an, les Warren avaient célébré leur premier anniversaire de mariage de la façon la plus incongrue qui soit : dans un club de strip-tease appartenant au clan Warren. La deuxième année de mariage était désormais atteinte aujourd’hui, et Mélinda ne comptait évidemment pas rater l’occasion de célébrer ces nouvelles noces. À l’occasion de ces « noces de cuir », la vampire avait donc organisé une nouvelle cérémonie sur Terre. Elle avait laissé la surprise à sa femme, et, même si Vanillia pouvait à tout moment sonder son esprit, Mélinda avait appris à travailler sur leur lien, et à verrouiller son esprit quand le besoin s’en faisait sentir.

Depuis que Mélinda avait été bénie par la Déesse Lust, elle avait désormais une fille, heureuse et en bonne santé : Elizabeth. Conçue de manière particulière, il avait fallu le recours à une Déesse, Sha, et à une mère-porteuse, Sya, pour que Elizabeth voit le jour. Entre-temps, Mélinda s’était rapprochée de la Déesse Lust, et son sang avait été bénio par l’énergie divine de la Déesse. Désormais, Mélinda pouvait porter la vie, et elle rêvait désormais de sentir sa femme, Vanillia, la rendre enceinte. Hier, elles avaient passé une soirée ensemble avec leur fille, puis, ensuite, au petit matin, elles s’étaient séparées, non sans avoir fait compulsivement l’amour pendant une bonne partie de la nuit. Mélinda et Vanillia se reverraient à l’occasion de la cérémonie.

Dans sa loge, Mélinda terminait de s’habiller. Elle se mettait du rouge à lèvres, et finissait de se maquiller. La dernière chose à mettre était sa belle culotte blanche. Pour renouveler leurs vœux, Mélinda avait organisé une nouvelle cérémonie sur Terre, mais celle-ci avait un côté plus solennel… Car elle avait lieu dans une église ! Enfin, une ancienne église, que Mélinda louait régulièrement pour de petites orgies. De fait, l’église était remplie de ses esclaves, et ceux-ci avaient enfilé des tenues plus affriolantes les unes que les autres. Mélinda avait opté pour une parodie de mariage, une cérémonie destinée à renouveler leurs vœux au cœur de l’église. Ladite cérémonie aurait ensuite vocation à évoluer en jouissive orgie. Pour recueillir le renouvellement de leurs vœux, Mélinda avait fait appel à son témoin de mariage, sa meilleure amie : la Reine Alice Korvander ! Elle était venue avec sa traditionnelle robe chinoise, et l’envie certaine de participer à l’orgie qui aurait lieu ensuite.

Une fois prête, Mélinda attendit qu’on toque à sa porte, puis elle récupéra les fleurs qu’on lui tendait, des tulipes, et descendit. Pour l’occasion, les deux épouses se retrouveraient à l’entrée de l’église, et marcheraient ensemble sur un tapis rouge les menant jusqu’à l’autel. Le bouquet de tulipes symbolisait une union maritale de deux ans. Mélinda descendit l’escalier, et rejoignit l’entrée de l’église, où Vanillia put la voir dans sa robe. Mélinda sourit à son tour, et se rapprocha d’elle. Vanillia n’avait jamais essayé cette robe avant aujourd’hui, mais elle lui allait comme un gant. Mélinda connaissait ses mensurations par cœur.

« Je savais que cette robe tirait bien, mon amour. »

Mélinda se rapprocha encore, tenant le bouquet à deux mains, puis tendit ensuite l’une de ses mains. Elle invita Vanillia à la saisir, tandis que, depuis le chœur de l’église, les orgues s’élancèrent. Sans surprise, Mélinda avait opté pour le classique intemporel du genre, « La Marche Nuptiale » de Felix Mendelssohn. Elle attrapa la main de Vanillia, et marcha donc avec elle vers l’autel, sentant les vives pensées remuer dans l’esprit de sa femme…

[Vanillia Warren]

Voilà qui semblait être devenu une sorte de rituel pour la célébration de leur anniversaire de mariage, auquel Vanillia avait appris à se plier fort volontiers depuis la première fois mémorable, où Mélinda l'avait invitée dans un club de striptease, et où elles avaient baisé ensemble comme des bêtes tout au long de la nuit. Vanillia ne comprenait toujours pas complètement l'intérêt si particulier que la Terre incitait à sa chère et tendre, mais l'insistance avec laquelle Mélinda tenait à lui faire découvrir certaines de ces "coutumes" bien à sa sauce et bien...elle avait été conquise la première fois, alors autant retenter l'expérience !
La surprise était toutefois encore totale pour Vanillia, qui, pour des raisons de conserver la surprise, s'était vue fermé l'esprit de sa femme afin qu'elle ne puisse rien savoir de ce qui allait se dérouler, même si il semblait question d'une itération inédite de leurs noces, en raison de leur anniversaire de mariage.

*Ma foi ma belle, tout aussi mystérieux que cela soit, tes goûts pour m'habiller me conviennent toujours autant.*

Vanillia se regardait silencieusement dans un large miroir, après qu'une floppée de servantes l'aient aidée à s'habiller de cette robe élégante. La vampire n'était guère habituée à porter autre chose que des couleurs aux tonalités sombre, alors ce blanc sur sa peau mauve et ses longs cheveux verts "jurait" quelque peu avec ses goûts habituels. Elle ne pouvait toutefois s'empêcher de trouver la situation excitante, d'autant qu'elle était encore assez loin de se douter de ce qui allait vraiment se produire. Une cérémonie était le seul indice qu'on lui avait laissé entendre, mais pour Vanillia, qui se désintéressait des dieux et des rites de la foi, cela ne signifiait encore pas grand chose. A Mijak, et à plus forte raison lorsqu'il s'agissait de sa noblesse, les mariages étaient généralement des contrats signés légalement entre deux parties consentantes, il n'y avait en soit que très peu de fioritures autour, ou du moins rien qui n'en soit directement lié. Leur mariage vampirique, quand il avait eu lieu, avait été quelque chose de bien à part et propre à leur condition mutuelle de vampires. Elle n'avait donc que peu d'informations sur la signification de cette robe qu'elle portait, de cette bague qu'elle était censée mettre au doigt de son aimée, mais elle savait aussi qu'elle en aurait un aperçu quand Mélinda déciderait que le moment serait venu d'ouvrir à nouveau son esprit à elle. Alors, comme à son accoutumée depuis que Mélinda avait mise en place cette "tradition" au cours de leur anniversaire de mariage, la duchesse prenait donc son mal en patience.
Une chose semblait toutefois certaine, au vu de la robe que Mélinda lui avait choisie...elle allaient passer une cérémonie très, très chaude.

Une fois prête, habillée et maquillée proprement, Vanillia fût guidée jusqu'à l'entrée de ce bâtiment religieux que sa femme avait acquis pour les besoins de cette cérémonie, et sentit une bouffée de chaleur l'envahir quand son regard se posa enfin sur sa femme, qui elle aussi portait un ensemble blanc, bien d'avantage composé d'une forme de latex, là où la tenue de Vanillia était toute de dentelle. L'elfe ne manqua pas une miette du spectacle de Mélinda descendant l'escalier pour venir la rejoindre, en tenant un bouquet de tulipes dans les mains.

Et bien, comme à ton habitude, tu sais comment nous habiller pour tes surprises, ma Mélinda...

N'ayant pas vraiment les "codes", Vanillia se laissait toutefois volontiers guider par Mélinda, et était bien prête à découvrir un autre aspect culturel comme sa femme s'amusait à appeler leur prétexte à une chaude nuit de débauche. Vanillia se contrôlait bien entendu, mais Mélinda n'aurait aucun mal à la sentir bouillir sur place, surtout quand elle prendrait sa main.

Je n'ai toujours aucune idée de ce que tu manigance, et je n'ai pas cherchée à violer ce secret auquel tu semble tant tenir, alors...je te suis.

Délicatement et rapidement, Vanillia délaissa pour le moment la main de Mélinda, afin de pouvoir glisser la sienne sur les fesses de sa femme. Brièvement, car elles semblaient attendues à un endroit à l'intérieur de ce lieu religieux, mais Vanillia lui palpa néanmoins généreusement son beau petit cul.

Juste pour que tu sois parfaitement consciente de ce fait mon aimée, j'ai terriblement envie de toi, et je ne pourrais pas me retenir éternellement de te faire mienne...

Un petit "avertissement" dont elle était certaine que Mélinda allait s'amuser, juste avant qu'elle ne reprenne sa main, et que sous le chant de ces orgues dont elle découvrait la mélodie, Vanillia ne la suive dans cette "cérémonie".

[Mélinda Warren]

Mélinda et Vanillia s’étaient déjà mariées, vampiriquement parlant. Elles avaient alors fait une cérémonie tout à fait particulière, dans un bain de sang, les deux nues en se mordant mutuellement et en se faisant l’amour en même temps. Un rituel de plusieurs heures, où elles avaient chacune bu le sang de l’autre, au point de mélanger totalement ce sang, et ainsi d’avoir un seul et même sang qui battait en elles. Forcément, au-delà de ça, Vanillia avait une culture très mijakienne du mariage, vu comme un contrat, et non comme un sacrement. Cette culture terrienne était assez opaque à Vanillia, qui préférait les douces potions de son laboratoire. Cependant, Mélinda savait se montrer convaincante, et elle pouvait faire preuve d’un romantisme qui jurait avec le matérialisme scientifique de sa femme. Pour leurs noces de coton, Vanillia avait eu droit à une séance de strip-tease qui l’avait mise dans un état second. Cette fois, Mélinda avait décidé d’opter pour un symbolisme plus fort, pour une parodie du mariage religieux humain.

En la voyant ainsi, Mélinda se mordilla les lèvres. Vanillia était somptueuse ! Pour elle qui préférait les tenues plus gothiques, ce blanc innocent et virginal avait de quoi surprendre, mais qui s’en plaindrait ? Son atelier de couture avait fait des merveilles ! Elle avait une magnifique collerette brodée, qui rappelait sa nature aristocratique. Mélinda, elle, avait une robe avec des accessoires beaucoup plus moulants, confirmant sa nature fétichiste. Des robes similaires, donc, mais avec de subtiles différences qui mettaient en valeur leurs quelques différences. Elle sourit donc quand Vanillia fit observer que Mélinda savait comment les habiller.

« Il faut bien que je te rappelle de temps en temps pourquoi je suis ta femme, et pourquoi j’arrive toujours à te surprendre… »

Mélinda l’attrapa donc par la main, mais leurs démarches furent un peu ralenties, et elle se rapprocha un peu plus de sa femme, souriant et se mordillant les lèvres quand Vanillia relâcha sa main gantée pour aller palper ses fesses.  Cela n’avait rien de difficile, car ses fesses étaient accessibles sous la traîne de la robe. Mélinda gloussa, et caressa alors la joue de Vanillia, glissant son pouce contre ses lèvres.

« À dire vrai, je compte un peu là-dessus… Mais, cette fois, tu n’auras pas à attendre que je te fasse une petite danse. »

Elles rejoignirent rapidement l’autel. La musique se termina, et Alice les regarda lentement, toutes les deux, une lueur de désir dans les yeux, louchant sans guère de subtilité sur leurs généreuses poitrines, mises en avant par le bustier de leurs robes.

« Hem… Nous sommes réunies ici pour célébrer le renouvellement de l’union des deux personnes ici présentes. Je suppose qu’il n’y a pas besoin de les présenter, puisque, si je ne m’abuse, vous avez toutes les deux couché avec la totalité des personnes qui sont dans cette pièce. »

Mélinda sourit, et sentit la pression de la main de Vanillia s’accentuer sur ses fesses. Si calme, si sage… Sa femme était un volcan en ébullition qui s’efforçait de conserver son calme sous un masque d’indifférence… Et Mélinda prenait toujours un malin plaisir à craqueler ce visage, à révéler la perversité qui se dissimulait dessous.

« Deux années, c’est une goutte d’eau pour deux vampires, mais le lien qui vous unit est si particulier qu’on ne peut qu’être admiratifs de la facilité avec laquelle vous continuez à vivre ensemble, de votre harmonie, et de votre amour. Aussi, ne puis-je que vous encourager à renouveler dès à présent vos vœux de mariage ! »

Mélinda se pencha vers Vanillia, et l’embrassa chaudement sur les lèvres.

« Je t’aime, ma chérie… Et au cas où tu ne l’aurais pas compris, j’ai recouvert cet autel d’un drap dans la perspective que tu me baises dessus… »

Comment renouveler autrement leur mariage que par une séance de baise intense ? C’était la meilleure manière de le faire !

[Vanillia Warren]

Il était difficile pour Vanillia de cacher son excitation. Oh bien entendu elle parvenait à maintenir les apparences, et même très bien, mais le contexte de cet anniversaire de mariage rendait étrangement les choses plus compliquées. Le précédent, le tout premier, avait été une expérience aussi unique qu'inoubliable pour Vanillia, et il n'y avait aucun doute dans son esprit que cette fois ne serait guère différente...surtout qu'elle même avait en quelque sorte une "surprise" à proposer à Mélinda. Pour le moment, les deux marchaient en procession le long du hall de cet édifice religieux. Il y avait beaucoup d'invités ici, et beaucoup de leurs serviteurs dans ces rangs pour contribuer à l'orgie qui n'allait sans doute pas tarder. Vanillia n'était de fait pas la seule à pelotter les fesses d'une partenaire, mais elle y allait de plus en plus franchement à mesure qu'elles avançaient jusqu'à l'autel, où Alice Korvander se trouvait.

Je dois t'avouer que présentement, l'idée de ne pas attendre me tente beaucoup...

Elles parvinrent jusqu'à l'autel, où Alice, qui était dans son élégante robe noire qu'elle aimait beaucoup sortir à bien des occasions, fit en quelque sorte office de prêtresse improvisée pour les inviter à renouveler leurs vœux de mariage. Bien entendu il s'agissait là d'un travestissement d'une cérémonie normale, mais la régente de Sylvandell étant une descendante d'une déesse de l'amour et du sexe, tout ceci était moins "inapproprié" qu'on ne pourrait croire aux premiers abords. Alice était certes belle, mais aux yeux de Vanillia, cette dernière ne pourrait hélas jamais atteindre ne serait-ce que la cheville du désir que Mélinda lui faisait éprouver. Lorsque cette dernière se tourna dans sa direction pour déposer un chaud baiser sur ses lèvres, juste avant de lui faire noter que l'autel était recouvert d'un drap assez épais pour permettre qu'elles baisent dessus, Vanillia répondit en l'embrassant à nouveau de façon un peu plus...féroce. La vampire poussa sa femme en direction de l'autel, de sorte que Mélinda s'y heurte le dos, glissant une main dans ses longs cheveux blonds bouclés, une autre à toujours lui malaxer les fesses, Vanillia "goûta" à sa femme pendant un moment avant de se retirer, mais en ayant son corps solidement plaqué contre le sien.

Oh je vais te baiser mon amour mais...pas que...tu n'es pas la seule cette fois à proposer une surprise pour notre anniversaire de mariage.

Mélinda n'était de toute évidence pas la seule à avoir travaillée son esprit de façon à pouvoir garder quelques parcelles secrètes, et cela valait le coup ne serais-ce que pour l'expression de surprise et de curiosité qui allait animer le visage de Mélinda à cet instant. Vanillia venait aussi de prendre un ton sérieux, et si l'on pouvait argumenter sur le fait que Vanillia était toujours sérieuse, Mélinda serait bien capable là de faire la différence. L'elfe-démone posa ses deux mains sur les joues de sa belle pour entourer son visage d'un délicat cocon composé de ses doigts fins, et son regard d'améthyste se posa dans le sien.

Je crois que toi et moi, nous avons suffisamment attendues pour savoir si la bénédiction de Lust marchait...

Le mois dernier, Mélinda avait en effet pu expérimenter un cycle menstruel pour la première fois depuis une éternité, ce qui avait été le signe, tout aussi désagréable soit-il, que cette partie de son métabolisme avait été guérie de sa condition vampirique. Surtout, Mélinda n'allait sans doute vraiment pas avoir de difficulté à comprendre où Vanillia voulait en venir, d'autant qu'elle ouvrit son esprit à cette idée qui, elle pourrait également le voir, la travaillait depuis un moment et qu'elle voulait garder secrète pour lui en faire la surprise à ce moment très précis. Voilà donc que Vanillia, avec son esprit pragmatique et analytique, s'essayait au romantisme à son tour.

Si tu es toujours d'accord pour ça, ma Mélinda chérie, au vu du fait que ton cycle d'ovulation est présentement au meilleur moment pour ça je...je souhaiterai profiter de cet anniversaire, non seulement pour renouveler mes voeux à ton encontre, mais aussi pour te donner ce que tu as longtemps attendue...une petite fille...

Elles avaient évidemment déjà Elizabeth, qui était inconditionnellement leur fille, mais Vanillia sentait aussi que le fait de n'avoir pas pu à l'époque la porter dans son ventre lui manquait...et elle voulait lui offrir cela.

[Mélinda Warren]

Depuis toujours, Mélinda était ambitieuse. Si elle avait de grands projets politiques, et l’envie indéniable de devenir une figure de proue au sein de Terra, Mélinda avait un autre rêve, pour lequel elle avait déjà dépensé énormément d’argent, de temps, et d’effort : devenir féconde. Une chose impossible pour les vampires. Depuis des siècles, elle essayait. Samara avait mené moult recherches, essayé bien des élixirs, mais sans parvenir à briser cette malédiction. Mélinda était tout simplement inféconde. Quiconque la connaissait savait que c’était là son plus grand désir bafoué, et la raison pour laquelle elle ne souhaitait pas vampiriser ses plus fidèles esclaves : le prix à payer était trop lourd. Mélinda n’avait cependant jamais totalement abandonné,e t elle avait réussi, il y a deux ans, à avoir une première fille. Elizabeth était au sens le plus littéral le fruit d’un miracle, car, pour la concevoir, il avait fallu l’aide de la Déesse Sha. La Déesse de la Magie et des Sorcières avait réalisé un rituel complexe et avait utilisé une mère-porteuse, Sya. L’Ange du Désir était une femme extrêmement féconde, un don qu’elle recevait de la Déesse Aphrodite. Pour aller à l’encontre d’un obstacle naturel, il fallait un miracle divin. Mélinda et Vanillia avaient participé à un étonnant rituel consistant à mélanger leurs spermatozoïdes avec ceux de la Déesse. Une sorte de fusion microscopique au moment de féconder Sya. Lors d’un orgasme, il y avait des millions de spermatozoïdes qui partaient. Sur ces millions, il avait fallu que la Déesse parvienne à identifier le spermatozoïde précis qui allait se mélanger avec le sien, puis avec celui de Vanillia, et qui féconderait ensuite un ovule de Sya. Une telle tâche était tout simplement impossible, même pour une mage comme Samara. Il fallait un tel niveau de concentration magique que personne de sérieux n’aurait jamais osé le faire.

Mais Sha était une Déesse, et elle avait réussi. L’expérience avait été longue, il avait fallu la renouveler beaucoup de fois, mais, au bout d’un moment, Sha avait réussi à saisir le bon spermatozoïde. Sya était tombée enceinte. Cependant, si cette solution était satisfaisante, elle n’était qu’un contournement du problème. Oh, Elizabeth était assurément la fille de Mélinda, et il suffisait de voir comment Mélinda se comportait avec sa fille pour constater combien son amour pour elle était sincère… Mais elle n’était pas tombée enceinte. Il y a environ un an, lorsqu’Alice s’était mariée avec Melendil, elle avait appris qu’elle était la fille de la Déesse Aphrodite. Et le cas de Mélinda était finalement remonté aux oreilles de la Déesse, ainsi que l’expérience de Sha. Mélinda avait alors participé à un rituel unique en son genre, qui avait lieu dans la dimension sexuelle de la Déesse, à Lusst’ghaa.  Le rituel avait abouti, et le sang de Mélinda avait été bonifié, béni par la Déesse. Depuis lors, Mélinda était capable d’enfanter. Pour autant, elle n’avait toujours pas franchi le cap avec Vanillia… Comme si, inconsciemment, elle avait peur que cela ne marche pas, ou qu’elle accouche d’un bébé mort-né. Aphrodite lui avait dit qu’elle n’avait jamais essayé auparavant ce rituel, mais qu’elle était très confiante. Mélinda pouvait certes porter la vie, mais la perspective d’une fausse couche lui serait insupportable.

Alors, quand Vanillia lui annonça qu’il était temps, Mélinda déglutit, rougit… Et ses yeux s’embuèrent alors. Mélinda toucha naturellement son ventre, et elle se pinça les lèvres, papillonnant des yeux pour essayer de refouler ses larmes.

« Oh, ma chérie… »

Mélinda avait découvert les joies de la menstruation, et, effectivement, elle était dans une période favorable. Elle se pinça les lèvres, puis se blottit alors contre Vanillia, et l’embrassa ensuite sur les lèvres, avant de relever ses jambes pour les enrouler autour de son bassin.

« C’est d’accord ! Je veux porter ton bébé, ma chérie… »

Il était rare de voir Mélinda perdre ses moyens. Alice était sans doute avec Vanillia l’une des seules personnes au monde qui savait de quoi Mélinda avait peur. Une peur qu’Alice avait elle-même partagé en apprenant qu’elle avait eu ses jumeaux. Elle pensait que toute mère avait peur pour ses enfants, car elle-même avait peur tous les jours pour ses enfants. Mélinda sourit donc, se serrant contre sa femme.

« Je t’aime, ma petite Vanillia… »

Et elle alla l’embrasser encore, avec appétit…

[Vanillia Warren]

En tant que vampires ayant toutes les deux évoluées dans le nid de crabes que pouvait être la haute société mijakienne, autant Mélinda que Vanillia avaient appris par nécessité à contrôler et à dissimuler leurs véritables émotions. Se laisser aller ainsi à un tel niveau confiance, au point de pouvoir se montrer comme étant elle même, c'était quelque chose que Vanillia ne s'autorisait qu'en la présence de sa chère Mélinda, et seulement lorsque les circonstances lui semblaient...adéquates. Vanillia sentit donc une vague remonter en elle lorsque, avec son visage aussi proche de celui de sa femme, elle vit cette dernière presque perdre toute contenance, mais aussi le sentir du fait de leur lien si proche. C'était presque assez pour la surcharger, les émotions de Mélinda étaient d'une certaine façon les siennes, et l'elfe démone pu ressentir à quel point ce qu'elle venait de dire comptait pour son épouse, les craintes qu'elle devait surpasser, et l'espoir que celà lui insulfait également.

Mélinda...

Cette dernière la coupa en plein milieu d'une phrase dont elle n'avait de toutes façons pas été sûre de la tournure qu'elle allait lui donner, et l'embrassa, avant de "sauter" sur elle pour enrouler ses jambes autour de son bassin. Vanillia soupira, tout en posant alors instinctivement ses deux mains sur les fesses de sa femme pour la soutenir dans cette position...qu'elle adorait tout particulièrement. Mélinda donna explicitement son accord pour qu'elles tentent là, tout de suite, d'avoir un enfant, le tout en se serrant bien fort contre elle, et en disant qu'elle l'aimait elle, sa "petite" Vanillia. Le baiser qui s'en suivit fut très tendre, Vanillia ne manquait jamais de rougir lorsque Mélinda ajoutait de petits adjectifs mignons avant de prononcer son nom, mais elle sentait aussi son désir grimper présentement en flèche. Les cuisses et les jambes de Mélinda se serraient bien autour de son bassin, son corps bouillonnant était tout contre le sien, et la perspective qu'elles allaient essayer d'avoir un enfant...

Hmmm...

Vanillia serra fermement ses mains sur les fesses de Mélinda, tout en la déplaçant en direction de l'autel, et elle termina en la déposant sur le rebord. Pouvant ainsi libérer ses mains du délicieux cul de sa femme, Vanillia pu les faire glisser sur d'autres zones de son corps auparavant délaissées. Malgré la présence d'au moins une centaine de participants, Vanillia était en réalité enfermée dans une bulle, où seule sa femme comptait, ainsi que le plaisir qu'elle comptait bien lui faire ressentir. Cela se traduisit entre autres par un baiser particulièrement long, Vanillia enfonçant avec gourmandise sa langue dans la bouche de sa femme pour aller danser un long ballet, chaud et fiévreux, tandis que ses mains se balladaient tout le long de son corps. Elle cherchait surtout particulièrement à s'occuper de ses seins, qu'elle malaxait alternativement tout en pinçant occasionnellement ses tétons au travers de son soutien gorge, mais aussi de son sexe avec l'autre. Enfin, il ne fallait pas oublier un élément essentiel du physique particulier de Vanillia, cet héritage qu'elle tenait de feu son père démon, et qu'elle avait tenue pour le moment dissimulée sous les longs pans de sa "robe": sa longue queue caudale. Vanillia la fit remonter depuis son dos jusqu'à se glisser le long du flanc droit de sa chérie, pour faire avec deux tours de son ventre, avant que la pointe ne remonte pour se fourrer entre ses seins. A ce moment précis, Vanillia cessa son baiser qui avait du durer au moins deux bonnes minutes sans interruptions, et désigna du regard le bout de sa queue.

Je te laisse ceci pour t'occuper pendant que je vais...descendre, ma belle.

Joignant le geste à la parole, Vanillia plia les genoux de façon à ce que son visage se retrouve à hauteur du sexe de sa chérie...puis elle usa de ses deux mains, avec ses ongles aiguisés comme des rasoirs, pour déchirer cette vilaine culotte qui l'empêchait d'accéder pleinement à la chatte de Mélinda...avant d'aller fourrer ses lèvres contre celles, intimes, de sa partenaire pour entamer un cunnilingus passionné.

[Mélinda Warren]

Il y avait au moins une centaine de personnes qui les observaient, et de nombreuses caméras. Mélinda voulait immortaliser ce moment, elle voulait filmer chacun de leurs anniversaires de mariage, et a fortiori si cela devait aboutir sur la conception d’Alicia. Au fur et à mesure qu’elle embrassait Vanillia, qu’elle se pressait fermement contre elle, qu’elle serrait sa main dans ses cheveux, Mélinda sentait une froide et puissante détermination l’envahir, la résolution inébranlable qu’elle allait porter la vie, et que tout irait bien ! Elle n’avait aucune raison de paniquer. Alicia naîtrait du fruit de l’amour entre elle et Vanillia. Elle embrassa donc sa femme avec appétit, et frissonna en sentant les deux mains de sa femme se poser sur ses fesses. Sans aucune retenue, Vanillia crispa ses doigts sur son postérieur, griffant sa peau. Mélinda gémit, et entrouvrit les lèvres, sentant la langue de Vanillia partir à l’assaut de sa bouche.

« Hmmm… !! »

Les deux femmes continuèrent à s’embrasser avec passion, et Vanillia déplaça Mélinda sur l’autel. Ses fesses heurtèrent le rebord de l’autel, puis elle gémit quand Vanillia la posa dessus rapidement. Leurs lèvres se décollèrent légèrement, puis Mélinda crispa sa main sur les cheveux verts de sa femme, retournant l’embrasser avec force. Elles avaient déjà pu passer une heure à s’embrasser ainsi, tandis que Vanillia la pénétrait contre le mur. Elle était plus fermée que Mélinda, mais, dès qu’on perçait un peu la carapace, Vanillia s’offrait sous toute sa douceur. Mélinda sentait la langue de Vanillia jouer avec la sienne, longuement, elle sentait le désir exploser dans tout le corps de sa femme, dans la manière dont ses mains la pelotaient, glissant sur ses hanches, ses bras, puis pétrissant ses seins. Elle les serra à travers son soutien-gorge blanc, sentant les tétons durcis, la soif irrépressible d’une vampire affamée.

Mélinda soupira alors en sentant un appendice caudal bien connu frotter sa jambe, remontant le long de son collant, jusqu’à atteindre sa cuisse. La queue caudale de Vanillia heurta sa culotte, tirant sur la lanière, filant dessous. Mélinda soupira, sentant sa chatte s’humidifier doucement, et mordilla la lèvre inférieure de Vanillia quand sa femme retira brusquement sa queue après avoir étiré l’élastique de la culotte, qui claqua contre son bassin. La queue remonta ensuite, filant sur son petit bustier, puis sous la manière de son soutien-gorge. Transformée en tentacule, la queue de Vanillia se mit à pulser, vibrant chaudement, et, tandis que sa femme lui arracha sa culotte, le tentacule poussa, et déchira également son soutien-gorge.

« Haaa… »

Mélinda savait que Vanillia avait franchi le point de non-retour. Contrairement à Mélinda, qui jouait toujours sur une passion dévorante, Vanillia était plus dans la retenue… Alors, quand le désir l’envahissait, on ne pouvait plus l’arrêter ! Mélinda griffa l’autel avec ses mains, puis écarta les jambes, et rapprocha ses mains de ses seins. Elle baissa la tête, et lécha la pointe phallique du tentacule, tout en frottant nerveusement la queue de Vanillia avec ses seins. Elle remuait les jambes également, les écartant, puis les resserra autour de la tête de sa femme, jusqu’à envelopper sa tête contre ses cuisses chaudes et douces.

« Hhmmm… Ma chérie, quel manque de retenue, hmmm… Tu te transformes en vraie sauvage, hmmm… Ma pauvre petite culotte n’avait pas mérité ça, hmmm… Et ta queue vibre si fort entre mes seins. Je ne savais pas que tu étais une telle perverse, hihi ♥ ! »

[Vanillia Warren]

Il y avait indéniablement quelque chose de différent cette fois-ci. A ce stade de leur relation, Vanillia aurait bien été incapable de comptabiliser combien de fois elle et Mélinda avaient fait l'amour, que ce soit juste elles ou bien accompagnées de divers autres partenaires, mais cette fois-ci était...vraiment différente de toutes. De par leur lien fusionnel, de par ses sens vampiriques, et de par le fait qu'elle était une magicienne érudite, Vanillia pouvait pleinement le sentir alors qu'elle fourrait avidement sa langue dans la petite chatte de Mélinda...elle était prête à être enceinte. C'était bien la première fois que Vanillia sentait chez son épouse ce sentiment délicieux qu'elle était présentement prête à porter la vie, et que cette fois leur union n'allait pas "juste" être une longue session de sexe et de débauche, mais que ensemble, elles allaient créer une fille, leur petite fille. C'était un long rêve de Mélinda que de pouvoir porter la vie, avoir une "véritable" fille qu'elle pourrait porter dans son ventre et à qui elle donnerait naissance, et elles avaient enfin pu trouver le moyen de le faire après tant de recherches, et de tentatives infructueuses.
Alors, forcément, la retenue dont faisait habituellement preuve Vanillia fondait à une vitesse bien plus rapide qu'à la normale. De par leur lien, et de par leur amour, Vanillia était tout autant excitée que Mélinda à l'idée qu'elle soit enfin enceinte, et le contexte de cet anniversaire de mariage n'était que le prétexte parfait pour enfin réaliser leur rêve depuis si longtemps. La belle hybride elfe-démone était donc littéralement en train de "dévorer" la chatte de son épouse, et sa queue caudale glissait tout aussi avidement entre les seins de Mélinda, qui lui prodiguait une succulente cravate de notaire tout en léchant le bout sensible, et ce bien évidemment, en ne manquant pas de commenter à sa manière les agissements de Vanillia.
Cette dernière resta tout de même un petit moment entre les cuisses de Mélinda, qui les resserra d'ailleurs autour de sa tête. Elle léchait, titillant de sa langue le petit bouton d'amour qu'était son clitoris, et était comme à son habitude diablement efficace pour ça.

Hmmmm...

Elle allait continuer, en serrant ses mains fermement sur les fesses de sa belle, et ce jusqu'à ce que cette dernière ne jouisse contre sa bouche. A la suite de ça, Vanillia ne manquerait pas de se relever, pour ensuite aller embrasser Mélinda en ayant encore dans sa bouche un peu de sa propre mouille.

Oh si ma puce...ta culotte avait pleinement méritée ce qui lui est arrivée, car elle m'empêchait d'accéder à ta délicieuse petite chatte...

Elle déplaça ses baisers dans le creux du cou de Mélinda, venant la taquiner là avec sa langue, mais aussi avec ses canines qu'elle frottait sur sa peau sans toutefois encore chercher à la mordre? Elle respirait fortement contre son cou, et se lovait tout contre elle, tellement que leurs bassins se collèrent l'un contre l'autre, et Mélinda pourrait alors sentir que sous la culotte que portait Vanillia, cette dernière avait fait émerger sa verge.

Et comment pourrais-je faire autrement que de vouloir te faire l'amour hum ? Tout ce que je peux sentir, c'est ton envie que je te prenne sur cet autel...et qu'on puisse enfin avoir un enfant...

Une envie qui était plus que partagée, la voix de Vanillia en tremblait même légèrement. La vampire déchira alors d'elle même sa propre culotte pour faire enfin sortir sa belle verge tendue, qui alla se frotter contre les lèvres intimes humides de Mélinda. Sur l'instant, Vanillia en oubliait même qu'elles étaient filmées, et qu'une bonne centaine de personnes assistaient à la scène. La totalité de son attention était exclusivement tournée vers Mélinda, "sa" Mélinda présentement. Elle remonta ses lèvres vers l'une des oreilles de son épouse, et lui susurra avec un ton de voix très chaud et sensuel:

Je vais te baiser comme jamais on a baisé mon amour...pour qu'on puisse dire plus tard à notre choupette à quel point ses mamans se sont aimées pour la concevoir...

Et ce faisant, Vanillia donna un solide coup de bassin en avant pour glisser sa verge dans la chatte humide de Mélinda, et tout en commençant rapidement à faire des va et viens en elle, elle glissa à nouveau ses lèvres sur le cou de Mélinda pour aller la mordre et boire son sang.

[Mélinda Warren]

Quand Vanillia basculait dans l’envie de coucher avec sa femme, elle devenait encore plus têtue que Mélinda ! Alors, la vampire savait très bien que sa femme allait la baiser bien fort ! Et, comme souvent, les tissus y passaient ! Vanillia les déchirait très souvent, et Mélinda ne pouvait pas le lui reprocher, elle-même avait déjà lacéré son lot de sous-vêtements, de pantalons, de chemises, d’uniformes… Sa culotte fut donc jetée au sol, et, étalée sur l’autel, Mélinda soupira en s’étalant sensuellement. Elle savait que tout un auditoire les observait, et que, à l’issue de leur séance, leur cérémonie allait se transformer en une torride orgie. Mais, pour l’heure, leurs esclaves observaient ce duo avec passion. Tout le monde savait combien Mélinda désirait être enceinte, et tout le monde savait que, maintenant que son sang avait été guéri, et que ses ovules étaient désormais capables de recevoir des spermatozoïdes, elle pouvait procréer ! Et Mélinda avait tout fait pour être aujourd’hui en période d’ovulation. La magie rose et certains élixirs très sophistiqués permettaient de réguler les cycles de menstruation, de les modifier. C’était à utiliser avec parcimonie, mais Mélinda était prudente. Elle et Vanillia le sentaient, c’était l’heure.

« Hmmm… »

La langue de Vanillia partait à l’assaut de sa chatte, léchant les parois, titillant son bourgeon, remontant pour s’attaquer à son clitoris. La mouille filait, et Mélinda resserra ses jambes autour du cou de Vanillia, l’étouffant doucement, sans pour autant l’étrangler. Elle remuait sur l’autel en soupirant. Savoir que de nombreuses personnes la regardaient ne contribuait tout au plus qu’à l’exciter, mais, en ce moment, elle était reliée à Vanillia, synchronisée à elle. Deux cœurs qui battaient de la même manière ! La relation entre les deux femmes était si particulière qu’on ne pouvait la définir ou la comprendre de façon classique. Elle sentit la langue de Vanillia filer, elle sentit ses dents. Vanillai effleurait avec ses canines son sexe, et Mélinda, dans un soupir, s’abandonna. Elle se mit à jouir, et s’étala sur l’autel, griffant ce dernier avec ses griffes, lacérant le linge délicat posé dessus, effleurant le bois. Vanillia se redressa ensuite, et les deux femmes s’embrassèrent avec frénésie, Mélinda décroisant les jambes pour les recroiser, une main sur les cheveux de Vanillia, les serrant contre ses doigts.

Ce fut un baiser intense, langoureux, où le corps de Mélinda se redressa pour s’étaler à nouveau sur l’autel. Vanillia faisait naturellement durer le plaisir, et Mélinda frissonnait. Les mains de Vanillia, qui s’étaient appuyées sur ses fesses pendant sa succion, se déplacèrent encore, et elle sentit la verge de Vanillia durcir et gonfler sous sa culotte. Finalement, Vanillia déchira sa propre culotte, et Mélinda frémit quand sa femme évoqua le fait d’avoir un enfant… Leur enfant.

« Oui, ma belle, notre enfant… Le fruit de notre amour… »

Elle soupirait, puis gémit quand Vanillia susurra dans le creux de l’oreille son intention de la baiser comme jamais… Puis elle redressa son bassin, et fit glisser sa verge, et donna un coup de reins. Mélinda gémit dans l’oreille de sa femme, et retomba contre l’autel, sentant sa longue verge s’enfoncer en elle, dans sa chatte humide. Vanillia se dressait au-dessus d’elle, leurs deux corps se blottissant ensemble, mélange de blanc et de sueur. Une vision paradisiaque tandis que la main de Mélinda filait sous l’élégante traîne de Vanillia, et pinçait l’une de ses fesses. Elle la griffa même quand Vanillia la mordilla. Mélinda déplaça son autre main pour empoigner les cheveux de Vanillia, sentant la bouche de celle-ci contre le creux de son cou, la suçant, ce qui fit rapidement durcir encore sa verge, la gonflant même.

« Ohh… Oh, ma chérie, haaaa… S-Suce-moi, hmmm… J-Je t’aime, mon amour… Haaaa… »