- Soeurs Lilianstar
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Antares espérait vraiment que Yuka serait assez mature pour accepter de porter un string, ne serait-ce que pour leurs moments intimes, mais elle trouvait ça vulgaire. Elle essaya même de se justifier en disant qu’elle ne portait que la tenue des maids du palais, mais il en fallait plus pour la berner.
« Bien tenté, mais les uniformes existent avec différentes formes de soutiens-gorges et de culottes, pour s’adapter à la morphologie de chaque maid. Donc ton excuse ne marche pas. Si tu ne veux pas porter de string, tu n’as qu’à le dire, tout simplement.
Et les strings ne sont pas vulgaires, ils subliment la beauté des fesses. Tu veux que j’en enfile un pour te montrer ? »
Elle garda l’idée en tête pour l’instant et se reconcentra sur les petites fesses de sa chérie, les léchant et les caressant avec amour. Chaque petit gémissement de la maid était un plaisir à entendre, ses oreilles et sa queue caudale frémissaient de joie. Finalement, elle accepta de passer à la suite.
« Hhhmmm... très bien. Mets-toi sur le dos... et écarte les jambes. »
Une fois Yuka en place, Antares approcha son visage de son entrejambe. Elle souffla sur l’avant de sa petite culotte, y déposa quelques baisers, puis quelques coups de langue. Sa chérie était déjà mouillée, mais elle voulait bien la préparer avant de venir goûter à son minou. Par contre, quand elle lui dit qu’elle lui ferait peut-être pareil après avoir joui, elle ne se sentit plus d’humeur à la faire mariner.
« Mmmrrraaawww... ça je m’en souviendrai. »
Antares fit lentement glisser la culotte de Yuka le long de ses cuisses jusqu’à la lui avoir retirée, la jeta hors du lit, puis elle commença à lécher la vulve de son amante, luisante d’humidité. Et la maid avait beau faire de son mieux pour retenir ses gémissements, la neko n’était pas dupe : elle aimait ça. Et elle allait lui faire aimer ça encore plus.
« Hhhmmm... »
Antares se lança dans un cunnilingus mêlant habilement assauts précis, sa langue appuyant sur son clitoris pour lui donner des pics de plaisir, et lapements frénétiques, dévorant son minou avec bonheur en remuant la tête. Avec ça, elle s’attendait à ce que Yuka lui éjacule sa mouille au visage.
De son côté, Pleione menait son investigation, mais ça devenait de plus en plus difficile pour elle de le faire sans éveiller de soupçons chez Yuko. Quand elle lui demanda s’il y avait une activité qu’elle aimerait pratiquer avec elle, elle pensait à quelque chose comme une activité physique ou un loisir quelconque. Elle ne s’attendait pas à ce que la maid lui propose de venir s’assurer qu’elle se couche dans de bonnes conditions. Elle était surprise, certes, mais pas déçue pour autant.
« Eh bien... oui pourquoi pas ? »
La neko ne l’avouerait jamais, mais elle adorait qu’on s’occupe d’elle comme si elle était encore enfant. Qu’on la chouchoute, qu’on la câline, qu’on la lave dans son bain, qu’on l’habille, qu’on la fasse manger... Cela la rendait toujours toute chose. Alors sa maid qui venait la border le soir, elle ne pouvait qu’apprécier.
J’aimerais vraiment ouvoir lui dire pour Antares et Yuka... mais j’ai promis de ne pas le faire.
Mentir à Yuko ne lui plaisait vraiment pas, mais elle se dit que c’était pour le mieux. De toute façon, Antares et Yuka seraient bien obligées de lui dire la vérité tôt ou tard.
« Et sinon, tu n’as pas de soucis dans tes autres missions dans le palais ? Personne ne te pose de problème ? Tu n’as besoin de rien ? Surtout n’hésite pas à me le dire. »
Pleione voulait que sa maid se sente le mieux possible dans le palais Lilianstar, malgré sa condition d’esclave. Elle n’avait pas choisie d’être ici, alors la neko voulait s’assurer qu’elle n’essaierait pas de s’enfuir avec sa sœur. Elle voulait la garder auprès d’elle, et la seule idée qu’elle puisse être séparée d’elle un jour lui faisait mal au cœur.
Mais pourquoi est-ce que je ressens ça ? J’ai déjà eu des maids personnelles, et je n’ai jamais eu aussi peur de les perdre.
Il fallait vraiment qu’elle comprenne ce qui lui arrivait.
« Bien tenté, mais les uniformes existent avec différentes formes de soutiens-gorges et de culottes, pour s’adapter à la morphologie de chaque maid. Donc ton excuse ne marche pas. Si tu ne veux pas porter de string, tu n’as qu’à le dire, tout simplement.
Et les strings ne sont pas vulgaires, ils subliment la beauté des fesses. Tu veux que j’en enfile un pour te montrer ? »
Elle garda l’idée en tête pour l’instant et se reconcentra sur les petites fesses de sa chérie, les léchant et les caressant avec amour. Chaque petit gémissement de la maid était un plaisir à entendre, ses oreilles et sa queue caudale frémissaient de joie. Finalement, elle accepta de passer à la suite.
« Hhhmmm... très bien. Mets-toi sur le dos... et écarte les jambes. »
Une fois Yuka en place, Antares approcha son visage de son entrejambe. Elle souffla sur l’avant de sa petite culotte, y déposa quelques baisers, puis quelques coups de langue. Sa chérie était déjà mouillée, mais elle voulait bien la préparer avant de venir goûter à son minou. Par contre, quand elle lui dit qu’elle lui ferait peut-être pareil après avoir joui, elle ne se sentit plus d’humeur à la faire mariner.
« Mmmrrraaawww... ça je m’en souviendrai. »
Antares fit lentement glisser la culotte de Yuka le long de ses cuisses jusqu’à la lui avoir retirée, la jeta hors du lit, puis elle commença à lécher la vulve de son amante, luisante d’humidité. Et la maid avait beau faire de son mieux pour retenir ses gémissements, la neko n’était pas dupe : elle aimait ça. Et elle allait lui faire aimer ça encore plus.
« Hhhmmm... »
Antares se lança dans un cunnilingus mêlant habilement assauts précis, sa langue appuyant sur son clitoris pour lui donner des pics de plaisir, et lapements frénétiques, dévorant son minou avec bonheur en remuant la tête. Avec ça, elle s’attendait à ce que Yuka lui éjacule sa mouille au visage.
De son côté, Pleione menait son investigation, mais ça devenait de plus en plus difficile pour elle de le faire sans éveiller de soupçons chez Yuko. Quand elle lui demanda s’il y avait une activité qu’elle aimerait pratiquer avec elle, elle pensait à quelque chose comme une activité physique ou un loisir quelconque. Elle ne s’attendait pas à ce que la maid lui propose de venir s’assurer qu’elle se couche dans de bonnes conditions. Elle était surprise, certes, mais pas déçue pour autant.
« Eh bien... oui pourquoi pas ? »
La neko ne l’avouerait jamais, mais elle adorait qu’on s’occupe d’elle comme si elle était encore enfant. Qu’on la chouchoute, qu’on la câline, qu’on la lave dans son bain, qu’on l’habille, qu’on la fasse manger... Cela la rendait toujours toute chose. Alors sa maid qui venait la border le soir, elle ne pouvait qu’apprécier.
J’aimerais vraiment ouvoir lui dire pour Antares et Yuka... mais j’ai promis de ne pas le faire.
Mentir à Yuko ne lui plaisait vraiment pas, mais elle se dit que c’était pour le mieux. De toute façon, Antares et Yuka seraient bien obligées de lui dire la vérité tôt ou tard.
« Et sinon, tu n’as pas de soucis dans tes autres missions dans le palais ? Personne ne te pose de problème ? Tu n’as besoin de rien ? Surtout n’hésite pas à me le dire. »
Pleione voulait que sa maid se sente le mieux possible dans le palais Lilianstar, malgré sa condition d’esclave. Elle n’avait pas choisie d’être ici, alors la neko voulait s’assurer qu’elle n’essaierait pas de s’enfuir avec sa sœur. Elle voulait la garder auprès d’elle, et la seule idée qu’elle puisse être séparée d’elle un jour lui faisait mal au cœur.
Mais pourquoi est-ce que je ressens ça ? J’ai déjà eu des maids personnelles, et je n’ai jamais eu aussi peur de les perdre.
Il fallait vraiment qu’elle comprenne ce qui lui arrivait.
DC de Shykarka. Merci de me contacter sur mon compte principal pour que je voie votre message rapidement.
- Yuko & Yuka Karistal
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Antares avait raison, il y avait différentes possibilités pour s’habiller en maid ici, mais bon, sans mentir, on leur a proposé la tenue de base. Ils ont dû simplement les prendre pour de jeunes servantes, pas besoin de leur faire porter des petites tenues, surtout qu'Antares s'excitait facilement. Mais Yuka annonça être prête pour la suite et la neko s'en approchait donc, soufflant entre ses cuisses, baisant sa culotte en laissant sa petite langue la titiller. Ce ne fut qu'une fois la possibilité de lui rendre la pareille que sa petite amie lâchait sa retenue. Elle lui retira sa petite culotte, venant la lécher à son endroit intime. Sa langue râpeuse la caressait pourtant avec douceur, glissant entre ses lèvres intimes, venant même titiller son bouton d'amour, tout cela la faisait évidemment gémir, même si Yuka se retenait doucement de le montrer. De un, un peu par fierté, et puis elle ne voulait pas prendre le risque qu'une oreille indiscrète écoute aux portes, ça... elle ne voulait pas que ça se sache. Autant avec sa sœur que les autres, elle ne saurait pas dire si c'était par fierté, car c'était une ancienne fille de noble et Antares une neko ou bien si c'était pour une autre raison, sûrement Yuko, mais, pour le moment, elle voulait garder leurs relations secrètes. Avouerait-elle qu'elle avait peur que les parents de sa petite amie désapprouver cela étant donné que Yuka était une domestique ? Il était difficile, autrement que par Yuko, de lui faire dire la vérité, elle se gardait bien de dire tout haut ce qu'elle pouvait ressentir.
« Mmmmh... »
Son corps vibrait, pris parfois d'un petit soubresaut, sentant ses orteils s'étirer parfois sous le plaisir, qu'elle tentait toujours de retenir en elle. Antares faisait là un excellent travail, elle ne pourrait pas dire le contraire, mais elle ne voulait pas jouir aussi vite. Il n'y avait aucune honte, mais une petite voix lui disait que si elle se relâchait tout de suite, elle risquait de la taquiner. Rien de méchant, mais Yuka avait parfois un caractère de cochon, et elle le savait donc elle préférait éviter ça. Puis jouir tout de suite, ça donnerait trop de satisfaction à sa neko alors elle préférait faire un petit effort pour se contenir. Mais peu importe ses efforts, elle n'échappait pas aux lois de la nature et dans un gémissement plus difficile à contenir, elle se relâchait, son corps se cambrant doucement en arrière, pieds bien à plat sur le lit, elle remonta un peu le bas de son corps, le petit jet de cyprine venant lui jaillir dessus.
« Haaaaaaaaaan ! »
Relâchant son corps, elle s'écrasait sur le lit, reprenant son souffle alors qu'elle fermait les yeux. Elle était moins habitué à ça que sa petite amie même si depuis leur situation de couple, elle avait bien jouis en sa compagnie, mais bon, face à l'expérience de sa neko, elle était encore une petite joueuse. Après l'orgasme, elle était une poupée de chiffon, aux mains de sa neko qui allait sûrement lui réclamer la même chose, même si pour le moment, Yuka devait reprendre un peu son souffle.
Pour Yuko, elle n'avait pas encore ce genre de soucis, dévoilant à sa maîtresse que si elle le voulait bien, elle viendrait s'occuper d'elle aussi lors de son coucher. Cela ne la dérangeait pas puis ainsi, elle était sûre d'avoir vraiment bien accompli sa mission de la journée. Certes, elle ne s'occupait ni de sa toilette, ni de l'habiller, mais il y avait d'autres domestiques pour l'aider et puis, elle ne peux pas faire ça et s'occuper de son petit déjeuné personnellement à la fois. Ça ne serait pas simple. Yuko continua de prendre le thé en silence, mais heureuse avant que la neko lui demande si elle n'avait besoin de rien ici, si les autres domestiques ne lui causaient pas de soucis ou autre ? Mais sur ce point-là, elle pouvait se rassurer.
« Non, tout va pour le mieux, Maîtresse. Certes, j'avais un peu peur au début, je n'ai jamais été domestique et avoir été abandonné par mes parents, ça me faisait de la peine... Mais désormais, je suis habitué et heureuse de vous servir. Je me fiche de ne plus être une noble, vous servir suffit à me rendre heureuse, peu importe que je vous sert du matin au soir, vous savoir heureuse suffit à recharger mes forces ! »
C'était une pseudo-déclaration, mine de rien. Mais Yuko était incapable de saisir des perches, tout comme elle ne se rendait pas compte qu'elle en tendait parfois. Mais oui, Yuko avait peu de demandes la concernant, même concernant son ancienne vie noble, il y avait bien certains plats qui lui manquait, les belles robes qu'elles pouvaient porter ou les longues journées à se prélasser, mais elle ne regrettait pas son travail actuel, sa maîtresse était bien assez gentille pour ne pas lui faire manquer de rien.
« Mais je peux vous renvoyer la question en partie, si vous me le permettez ? Y a-t-il des choses que vous aimeriez changer chez moi pour que je puisse mieux vous servir ? »
Le bonheur de sa maîtresse faisait son bonheur après tout, la domestique gardait constamment un léger sourire sur le visage, bien aimable envers Pleione. Elle aussi aimait la neko, mais cet amour se transmettait un peu via son travail donc elle n'avait pas ce même sentiment que la neko. De plus, il faudrait qu'elle puisse reconnaître déjà qu'elle était amoureuse, mais pour le moment, cet amour était sous forme de dévotion. L'amour du travail bien fait en quelque sorte. Mais cette dévotion n'expliquait pas pourquoi elle aimait renifler ses petites culottes usée déjà...
« Mais donc, Maîtresse, avez-vous certaines habitudes avant votre coucher ? Que je puisse être sûr de bien vous servir ? »
Boire un peu d'eau, être bordé, bercer, mine de rien, Yuko voulait bien faire, Pleione avait une occasion de profiter de son innocence.
« Mmmmh... »
Son corps vibrait, pris parfois d'un petit soubresaut, sentant ses orteils s'étirer parfois sous le plaisir, qu'elle tentait toujours de retenir en elle. Antares faisait là un excellent travail, elle ne pourrait pas dire le contraire, mais elle ne voulait pas jouir aussi vite. Il n'y avait aucune honte, mais une petite voix lui disait que si elle se relâchait tout de suite, elle risquait de la taquiner. Rien de méchant, mais Yuka avait parfois un caractère de cochon, et elle le savait donc elle préférait éviter ça. Puis jouir tout de suite, ça donnerait trop de satisfaction à sa neko alors elle préférait faire un petit effort pour se contenir. Mais peu importe ses efforts, elle n'échappait pas aux lois de la nature et dans un gémissement plus difficile à contenir, elle se relâchait, son corps se cambrant doucement en arrière, pieds bien à plat sur le lit, elle remonta un peu le bas de son corps, le petit jet de cyprine venant lui jaillir dessus.
« Haaaaaaaaaan ! »
Relâchant son corps, elle s'écrasait sur le lit, reprenant son souffle alors qu'elle fermait les yeux. Elle était moins habitué à ça que sa petite amie même si depuis leur situation de couple, elle avait bien jouis en sa compagnie, mais bon, face à l'expérience de sa neko, elle était encore une petite joueuse. Après l'orgasme, elle était une poupée de chiffon, aux mains de sa neko qui allait sûrement lui réclamer la même chose, même si pour le moment, Yuka devait reprendre un peu son souffle.
Pour Yuko, elle n'avait pas encore ce genre de soucis, dévoilant à sa maîtresse que si elle le voulait bien, elle viendrait s'occuper d'elle aussi lors de son coucher. Cela ne la dérangeait pas puis ainsi, elle était sûre d'avoir vraiment bien accompli sa mission de la journée. Certes, elle ne s'occupait ni de sa toilette, ni de l'habiller, mais il y avait d'autres domestiques pour l'aider et puis, elle ne peux pas faire ça et s'occuper de son petit déjeuné personnellement à la fois. Ça ne serait pas simple. Yuko continua de prendre le thé en silence, mais heureuse avant que la neko lui demande si elle n'avait besoin de rien ici, si les autres domestiques ne lui causaient pas de soucis ou autre ? Mais sur ce point-là, elle pouvait se rassurer.
« Non, tout va pour le mieux, Maîtresse. Certes, j'avais un peu peur au début, je n'ai jamais été domestique et avoir été abandonné par mes parents, ça me faisait de la peine... Mais désormais, je suis habitué et heureuse de vous servir. Je me fiche de ne plus être une noble, vous servir suffit à me rendre heureuse, peu importe que je vous sert du matin au soir, vous savoir heureuse suffit à recharger mes forces ! »
C'était une pseudo-déclaration, mine de rien. Mais Yuko était incapable de saisir des perches, tout comme elle ne se rendait pas compte qu'elle en tendait parfois. Mais oui, Yuko avait peu de demandes la concernant, même concernant son ancienne vie noble, il y avait bien certains plats qui lui manquait, les belles robes qu'elles pouvaient porter ou les longues journées à se prélasser, mais elle ne regrettait pas son travail actuel, sa maîtresse était bien assez gentille pour ne pas lui faire manquer de rien.
« Mais je peux vous renvoyer la question en partie, si vous me le permettez ? Y a-t-il des choses que vous aimeriez changer chez moi pour que je puisse mieux vous servir ? »
Le bonheur de sa maîtresse faisait son bonheur après tout, la domestique gardait constamment un léger sourire sur le visage, bien aimable envers Pleione. Elle aussi aimait la neko, mais cet amour se transmettait un peu via son travail donc elle n'avait pas ce même sentiment que la neko. De plus, il faudrait qu'elle puisse reconnaître déjà qu'elle était amoureuse, mais pour le moment, cet amour était sous forme de dévotion. L'amour du travail bien fait en quelque sorte. Mais cette dévotion n'expliquait pas pourquoi elle aimait renifler ses petites culottes usée déjà...
« Mais donc, Maîtresse, avez-vous certaines habitudes avant votre coucher ? Que je puisse être sûr de bien vous servir ? »
Boire un peu d'eau, être bordé, bercer, mine de rien, Yuko voulait bien faire, Pleione avait une occasion de profiter de son innocence.

- Soeurs Lilianstar
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- Enregistré le : 16 août 2024 16:48
Antares savait que Yuka n’était pas du genre à partager facilement. Qu’elle arrive à la faire gémir en lui faisant un cunni était déjà un bel exploit. Mais elle savait aussi que le sexe pouvait dérider même la plus rigide. Combien de fois avait-elle vu des demoiselles, d’abord réticentes face à ses avances, s’ouvrir à elle en voyant à quel point elle était une bonne amante. Et elle espérait bien faire la même chose avec sa petite amie, même si elle savait que ça ne serait pas facile. Mais elle ne renoncerait jamais.
Antares sentait le corps de Yuka vibrer et se tendre à mesure qu’elle la léchait et que le plaisir montait en elle. Et même si elle retenait ses gémissements, elle ne pouvait pas retenir sa cyprine, qui coulait de sa chatte pour être lapée avec bonheur par son amante.
Je pourrais lui dire que sa mouille est délicieuse, mais ensuite elle se mettrait à bouder.
La neko préféra rester silencieuse tandis qu’elle léchait l’entrejambe de sa servante, alternant entre les coups de langue langoureux et les assauts ciblés sur son clitoris, tout ça pour la faire grimper aux rideaux. Et quand elle finit finalement par jouir, sa maîtresse eut le plaisir de se recevoir un jet de mouille en plein sur le visage, mouille qu’elle ramassa aussitôt avec ses doigts et sa langue pour tout avaler. Ce jus intime était délicieux, d’autant plus qu’elle savait qu’elle l’avait pris à une jeune femme bien difficile à satisfaire.
Après l’orgasme, Yuka était toujours un peu secouée. Antares vint se coucher à côté d’elle, caressant son visage.
« Reprends ton souffle ma belle. Ensuite... ce sera à ton tour de me lécher. »
Plus elles couchaient ensembles, plus la neko sentait que sa petite amie s’améliorait. A leur première fois, elle savait à peine faire un cunnilingus. Et maintenant, elle maîtrisait mieux les zones érogènes de sa maîtresse et comment les stimuler pour un meilleur plaisir.
« Au fait, tu n’as pas répondu à ma question. Tu aimerais que j’aille enfiler un string pour que tu voies que ça n’a rien de vulgaire ? »
Pas la peine de lui demander d’en mettre un maintenant, jamais elle n’accepterait.
De son côté, Pleione se réjouissait de savoir que Yuko avait su s’adapter à sa nouvelle vie, bien que la peine d’avoir été abandonnée par ses parents était toujours présente. Mais désormais, elle était habituée et heureuse de la servir. Elle lui renvoya ensuite la question, lui demandant s’il y avait des choses qu’elle voulait changer ou améliorer chez elle.
« Oh non, pas du tout. Tu fais un très bon travail, et je suis ravie de t’avoir comme maid personnelle. Je ferai tout pour que tu te sentes bien dans ton travail et que tu sois heureuse. »
Ca aussi c’était une déclaration indirecte, même si Pleione ne s’en rendait pas compte. Elle n’avait même pas conscience qu’elle était amoureuse, alors l’avouer à Yuko... Quand cette dernière l’interrogea sur sa routine avant de se coucher, la neko fut tentée de lui dire qu’elle ne faisait rien de spécial, mais elle y vit plutôt l’occasion de se faire dorloter comme une princesse par sa servante.
« Eh bien normalement non, mais maintenant que c’est toi qui t’en occupes, j’aimerais instaurer de nouvelles règles.
A partir de ce soir, je compte sur toi. Tu arriveras juste après que je me sois changée et tu devras t’assurer que je me brosse bien les dents. Ensuite, tu me serviras un verre de lait chaud, tu me borderas dans mon lit et tu me berceras jusqu’à ce que je m’endorme. Je te laisserai même me faire un bisou sur le front si tu veux. »
Elle espérait qu’elle ne lui en demandait pas trop. Se faire chouchouter de la sorte, ça la rendait toute joyeuse, et encore plus parce qu’il s’agissait de Yuko. C’était la seule à qui elle pouvait demander ce genre de traitement sans craindre qu’elle la prenne pour une gamine. En même temps, se faire border et bercer à 16 ans, ça ne faisait pas très adulte.
« Tu es d’accord pour le faire ? »
Antares sentait le corps de Yuka vibrer et se tendre à mesure qu’elle la léchait et que le plaisir montait en elle. Et même si elle retenait ses gémissements, elle ne pouvait pas retenir sa cyprine, qui coulait de sa chatte pour être lapée avec bonheur par son amante.
Je pourrais lui dire que sa mouille est délicieuse, mais ensuite elle se mettrait à bouder.
La neko préféra rester silencieuse tandis qu’elle léchait l’entrejambe de sa servante, alternant entre les coups de langue langoureux et les assauts ciblés sur son clitoris, tout ça pour la faire grimper aux rideaux. Et quand elle finit finalement par jouir, sa maîtresse eut le plaisir de se recevoir un jet de mouille en plein sur le visage, mouille qu’elle ramassa aussitôt avec ses doigts et sa langue pour tout avaler. Ce jus intime était délicieux, d’autant plus qu’elle savait qu’elle l’avait pris à une jeune femme bien difficile à satisfaire.
Après l’orgasme, Yuka était toujours un peu secouée. Antares vint se coucher à côté d’elle, caressant son visage.
« Reprends ton souffle ma belle. Ensuite... ce sera à ton tour de me lécher. »
Plus elles couchaient ensembles, plus la neko sentait que sa petite amie s’améliorait. A leur première fois, elle savait à peine faire un cunnilingus. Et maintenant, elle maîtrisait mieux les zones érogènes de sa maîtresse et comment les stimuler pour un meilleur plaisir.
« Au fait, tu n’as pas répondu à ma question. Tu aimerais que j’aille enfiler un string pour que tu voies que ça n’a rien de vulgaire ? »
Pas la peine de lui demander d’en mettre un maintenant, jamais elle n’accepterait.
De son côté, Pleione se réjouissait de savoir que Yuko avait su s’adapter à sa nouvelle vie, bien que la peine d’avoir été abandonnée par ses parents était toujours présente. Mais désormais, elle était habituée et heureuse de la servir. Elle lui renvoya ensuite la question, lui demandant s’il y avait des choses qu’elle voulait changer ou améliorer chez elle.
« Oh non, pas du tout. Tu fais un très bon travail, et je suis ravie de t’avoir comme maid personnelle. Je ferai tout pour que tu te sentes bien dans ton travail et que tu sois heureuse. »
Ca aussi c’était une déclaration indirecte, même si Pleione ne s’en rendait pas compte. Elle n’avait même pas conscience qu’elle était amoureuse, alors l’avouer à Yuko... Quand cette dernière l’interrogea sur sa routine avant de se coucher, la neko fut tentée de lui dire qu’elle ne faisait rien de spécial, mais elle y vit plutôt l’occasion de se faire dorloter comme une princesse par sa servante.
« Eh bien normalement non, mais maintenant que c’est toi qui t’en occupes, j’aimerais instaurer de nouvelles règles.
A partir de ce soir, je compte sur toi. Tu arriveras juste après que je me sois changée et tu devras t’assurer que je me brosse bien les dents. Ensuite, tu me serviras un verre de lait chaud, tu me borderas dans mon lit et tu me berceras jusqu’à ce que je m’endorme. Je te laisserai même me faire un bisou sur le front si tu veux. »
Elle espérait qu’elle ne lui en demandait pas trop. Se faire chouchouter de la sorte, ça la rendait toute joyeuse, et encore plus parce qu’il s’agissait de Yuko. C’était la seule à qui elle pouvait demander ce genre de traitement sans craindre qu’elle la prenne pour une gamine. En même temps, se faire border et bercer à 16 ans, ça ne faisait pas très adulte.
« Tu es d’accord pour le faire ? »
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- Yuko & Yuka Karistal
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Yuka partageait un moment intime avec sa neko, même si elle ne dirait pas ouvertement aimée cela, il fallait bien reconnaître qu'elle n'était pas contre ce qui lui arrivait. Le sexe pouvait être agréable après tout, mais avec Yuka, c'était tout une organisation, elle ne laissait pas faire si facilement qu'Antares qui voulait s'amuser. Mais pour le moment, elle gémissait, se retenait comme elle pouvait, mais finissait malgré tout par jouir au visage de sa petite amie, avant de redescendre doucement sur terre, pendant qu'Antares prenait place à ses côtés, lui laissant bien un peu de temps pour souffler. Après, ce sera à elle de savourer ce plaisir. Mais dans ce petit moment de béatitude, Antares savait en profiter pour obtenir gain de cause. Elle ne cédait pas à tous ses caprices dans ce petit moment où elle était si détendue, mais elle était plus souple, acceptant plus facilement ses demandes, même si elle restait sur la défensif. Puis avec Yuka, même quand c'était oui, ce n'était jamais dit très clairement.
« Humph ! Même si je dirais non, tu irais en mettre un tôt ou tard pour exhiber tes fesses. Autant le faire maintenant plutôt qu'être dérangé en plein service. »
Un oui, entouré d'une excuse pour se donner bonne conscience. La domestique restait au lit, mais elle ne libéra pas Antares de suite pour qu'elle aille se dévergonder. Elle l'empêcha de quitter le lit de suite, venant se blottir contre elle. Ce n'était pas rare venant de sa part, après un orgasme, Yuka savait être câline, mais là encore, ce n'était pas le genre de chose qu'il fallait souligner à voix haute, sous peine de la faire bouder. C'est qu'elle avait son petit caractère. C'était peut-être ça qui plaisait à la neko ? De ne pas avoir une fille qui lui dit oui à tout et qui se montre romantique et fleur bleue pour un rien. Oh, Yuka saurait se montrer jalouse si jamais elle voyait Antares charmer une autre femme et la neko devait s'en douter qu'avec Yuka, elle ne lui fera vite remarquer, qu'elle soit sa maîtresse ou non. Après tout, la domestique daignait lui montrer son amour, alors qu'on s'essuie avec, ça pourrait très mal finir. Peut-être un jour serait-elle d'accord pour agrandir leur amour avec une troisième personne, mais vu le caractère de Yuka, si Antares lui ferait l'ombre d'une telle proposition, elle pourrait faire une croix sur la prochaine petite sauterie avec sa chérie. Jalouse, un poil possessif, aimer Yuka, c'était pour ses qualités, et ses défauts. Mais c'était dans ce genre de moment où elle se montrait douce et câline, qu'on pouvait apprécier le bout de femme qu'elle était. Quelque part, son comportement était digne de celui d'une chatte.
« Mmmmmh... »
Pas un mot, pas de phrase, juste un acte d'amour muet qui prouvait doucement son amour.
Auprès de sa maîtresse, Yuko était ravie que sa maîtresse accepte sa requête. Cette dernière la trouvait parfaite ainsi, pas besoin de changer quoi que ce soit chez elle, et cela la rendait heureuse ! Pleione l'amour comme tel, tant mieux ! Elle était si contente ! Et elle n'était pas au bout de ses surprises, car la neko lui donnait quelques consignes à retenir pour que cela commence ce soir. Désormais, elle devrait s'assurer que la neko se soit bien brosser les dents, lui servir un verre de lait chaud, la border dans son lit et la bercer. Elle n'avait rien contre ce dernier point, mais comment ça ? Elle devrait lui chanter une berceuse ? La bercer contre elle et ensuite la border ? En tout cas, elle osera sûrement baiser le front de la neko, elle trouvait pas que ça faisait trop, c'était même une bien belle récompense.
« Bien sûr maîtresse. Je me proposerais bien de vous peigner aussi avant de venir au lit, mais étant donné que vous avez les cheveux courts, contrairement à votre sœur, les nœuds sont bien moins présent. Cependant, j'aimerais une précision. Quand vous me demander de vous bercer, est-ce que cela implique que je doive vous chanter une berceuse ou bien, je dois vous bercer aussi contre moi, et ensuite vous border dans votre lit ? »
Une domestique si appliquée à sa tâche, ça forçait le respect quelque part, mais étant donné que Yuko était amoureuse de sa maîtresse, ses tâches étaient beaucoup plus simple, moins une corvée que pour les autres. Elle avait hâte d'être à ce soir, de s'occuper de sa maîtresse avant qu'elle ne s'endorme. Pourtant, avec Yuka, c'était elle qui avait plus souvent le rôle de la petite sœur, mais prendre soin de la neko ainsi, elle en était très heureuse !
« Oh, donc, si je comprends bien votre demande, cela m'autoriserais à vous faire un câlin pour vous bercer ? »
Il fallait s'assurer d'avoir bel et bien toutes les bonnes cartes en mains avant le grand soir, afin de servir sa maîtresse au mieux !
« Humph ! Même si je dirais non, tu irais en mettre un tôt ou tard pour exhiber tes fesses. Autant le faire maintenant plutôt qu'être dérangé en plein service. »
Un oui, entouré d'une excuse pour se donner bonne conscience. La domestique restait au lit, mais elle ne libéra pas Antares de suite pour qu'elle aille se dévergonder. Elle l'empêcha de quitter le lit de suite, venant se blottir contre elle. Ce n'était pas rare venant de sa part, après un orgasme, Yuka savait être câline, mais là encore, ce n'était pas le genre de chose qu'il fallait souligner à voix haute, sous peine de la faire bouder. C'est qu'elle avait son petit caractère. C'était peut-être ça qui plaisait à la neko ? De ne pas avoir une fille qui lui dit oui à tout et qui se montre romantique et fleur bleue pour un rien. Oh, Yuka saurait se montrer jalouse si jamais elle voyait Antares charmer une autre femme et la neko devait s'en douter qu'avec Yuka, elle ne lui fera vite remarquer, qu'elle soit sa maîtresse ou non. Après tout, la domestique daignait lui montrer son amour, alors qu'on s'essuie avec, ça pourrait très mal finir. Peut-être un jour serait-elle d'accord pour agrandir leur amour avec une troisième personne, mais vu le caractère de Yuka, si Antares lui ferait l'ombre d'une telle proposition, elle pourrait faire une croix sur la prochaine petite sauterie avec sa chérie. Jalouse, un poil possessif, aimer Yuka, c'était pour ses qualités, et ses défauts. Mais c'était dans ce genre de moment où elle se montrait douce et câline, qu'on pouvait apprécier le bout de femme qu'elle était. Quelque part, son comportement était digne de celui d'une chatte.
« Mmmmmh... »
Pas un mot, pas de phrase, juste un acte d'amour muet qui prouvait doucement son amour.
Auprès de sa maîtresse, Yuko était ravie que sa maîtresse accepte sa requête. Cette dernière la trouvait parfaite ainsi, pas besoin de changer quoi que ce soit chez elle, et cela la rendait heureuse ! Pleione l'amour comme tel, tant mieux ! Elle était si contente ! Et elle n'était pas au bout de ses surprises, car la neko lui donnait quelques consignes à retenir pour que cela commence ce soir. Désormais, elle devrait s'assurer que la neko se soit bien brosser les dents, lui servir un verre de lait chaud, la border dans son lit et la bercer. Elle n'avait rien contre ce dernier point, mais comment ça ? Elle devrait lui chanter une berceuse ? La bercer contre elle et ensuite la border ? En tout cas, elle osera sûrement baiser le front de la neko, elle trouvait pas que ça faisait trop, c'était même une bien belle récompense.
« Bien sûr maîtresse. Je me proposerais bien de vous peigner aussi avant de venir au lit, mais étant donné que vous avez les cheveux courts, contrairement à votre sœur, les nœuds sont bien moins présent. Cependant, j'aimerais une précision. Quand vous me demander de vous bercer, est-ce que cela implique que je doive vous chanter une berceuse ou bien, je dois vous bercer aussi contre moi, et ensuite vous border dans votre lit ? »
Une domestique si appliquée à sa tâche, ça forçait le respect quelque part, mais étant donné que Yuko était amoureuse de sa maîtresse, ses tâches étaient beaucoup plus simple, moins une corvée que pour les autres. Elle avait hâte d'être à ce soir, de s'occuper de sa maîtresse avant qu'elle ne s'endorme. Pourtant, avec Yuka, c'était elle qui avait plus souvent le rôle de la petite sœur, mais prendre soin de la neko ainsi, elle en était très heureuse !
« Oh, donc, si je comprends bien votre demande, cela m'autoriserais à vous faire un câlin pour vous bercer ? »
Il fallait s'assurer d'avoir bel et bien toutes les bonnes cartes en mains avant le grand soir, afin de servir sa maîtresse au mieux !

- Soeurs Lilianstar
- Messages : 806
- Enregistré le : 16 août 2024 16:48
Antares s’amusait avec Yuka, qui venait juste de jouir. Comme après chaque orgasme, la maid était bien détendue mais elle restait encore sur la défensive. Pour autant, elle accepta que sa chérie aille enfiler un string. Elle préférait voir ça maintenant plutôt qu’être dérangée dans son service plus tard. Un oui entouré d'une excuse pour se donner bonne conscience, comme à son habitude.
« Mmrraaww... merci Yuka. »
Mais Antares ne fut pas libérée immédiatement. Yuka la garda contre elle. Elle avait l’habitude de se montrer câline après un orgasme, et la neko aimait bien profiter de ces moments pour se frotter doucement contre elle en ronronnant. Mais bien sûr, il ne fallait surtout pas qu’elle en profite pour faire des remarques, sinon sa chérie allait se mettre à bouder. Et dieu sait que c’était difficile pour elle de se retenir, mais elle le faisait parce qu’elle aimait sa petite amie et qu’elle voulait qu’elle passe un bon moment.
« Mmmrrraaawww... j’ai le droit de t’embrasser, ma chérie ? »
Quelques baisers sur les joues, sur les lèvres et dans le cou, et voilà une jeune demoiselle comblée. Finalement, Yuka libéra Antares pour qu’elle puisse se rendre dans sa chambre récupérer un string. Elle remit vite sa robe, sans prendre la peine de remettre ses sous-vêtements.
« Je reviens tout de suite. Surtout tu ne t’en va pas d’accord ? »
Une fois dans le couloir, la neko se mit à siffloter de joie, heureuse de tout ce qu’elle avait déjà pu gagner. Sa chérie avait accepté de la voir en string, et ce soir elles allaient enfin pouvoir dormir ensemble.
De son côté, Pleione discutait avec Yuko de leur nouveau rituel du soir. La maid était d’accord pour tout, elle lui proposa même de la peigner avant si elle le voulait. Mais elle voulait clarifier un point : devait-elle bercer sa maîtresse contre elle, ou juste lui chanter une berceuse ?
« Quand je parlais de bercer, je voulais juste dire chanter une berceuse. Tu n’as pas besoin de... »
La neko s’arrêta au milieu de sa phrase pour réfléchir. Et pourquoi ne pas faire ce que sa servante lui proposait ? Ça semblait encore plus plaisant. Se faire chanter une berceuse par Yuko était plaisant à imaginer, mais se faire bercer contre elle l’était encore plus. Même si elle n’arrivait pas à se l’imaginer concrètement, le simple fait de se le dire dans sa tête suffisait à lui donner des papillons dans le ventre. Et quitte à être couchée comme une enfant, autant aller jusqu’au bout.
« Tu sais quoi ? On va faire autrement. Plutôt qu’une berceuse, tu me berceras contre toi avant de me border. Ce sera plus de travail pour toi, mais je suis sûre que tu en es capable. »
Pleione savait qu’elle mourrait de honte si quelqu’un au palais apprenait ce qu’elle avait demandé à Yuko, mais elle était si contente que sa maid ait accepté qu’elle s’en fichait. Rien ne pourrait venir gâcher la beauté de cet instant.
« J’ai hâte d’être à ce soir. »
Leur discussion fut interrompue quand quelqu’un frappa à la porte.
« Oui ? »
« Pleione, c’est moi. Je peux entrer ? »
« Oui bien sûr. »
Antares entra dans la chambre et se dirigea directement vers son dressing, dont elle ouvrit un tiroir pour en sortir un string noir. Ce n’était pas son plus sexy, mais elle voulait prendre le temps d’habituer Yuka à la voir avec ce genre de sous-vêtement. Elle l’enfila aussitôt, ce qui permit à Pleione et Yuko d’avoir un bref aperçu de ses fesses.
« Je ne vous dérange pas plus longtemps. A plus tard les filles. »
Une fois sa sœur repartie, Pleione vit que les joues de Yuko avaient un peu rougies, sans doute parce qu’elle avait pu entrevoir le beau derrière d’Antares. Comment lui en vouloir ? Sa sœur était d’une beauté incroyable.
« Ma sœur est très belle pas vrai ? Ne t’en fais pas, ce n’est pas grave que tu aies regardé. En fait ç’a sûrement dû la flatter. Elle adore se montrer. »
Pourtant, la neko sentit qu’elle avait un petit pincement au cœur.
Est-ce qu’elle rougirait de la même façon si elle voyait mes fesses ?
Dommage que sa timidité l’empêche d’essayer.
De retour dans la chambre, Antares fit tomber sa robe et remonta sur le lit avant de présenter ses fesses à Yuka, pour qu’elle voie bien comment le string entourait son bassin et dévoilait ses courbes.
« Alors tu vois ? Même si j’ai les fesses à l’air, je ne suis pas vulgaire. Je suis sexy. »
Et elle était à peu près sûre que sa petite amie appréciait la vue.
« Mmrraaww... merci Yuka. »
Mais Antares ne fut pas libérée immédiatement. Yuka la garda contre elle. Elle avait l’habitude de se montrer câline après un orgasme, et la neko aimait bien profiter de ces moments pour se frotter doucement contre elle en ronronnant. Mais bien sûr, il ne fallait surtout pas qu’elle en profite pour faire des remarques, sinon sa chérie allait se mettre à bouder. Et dieu sait que c’était difficile pour elle de se retenir, mais elle le faisait parce qu’elle aimait sa petite amie et qu’elle voulait qu’elle passe un bon moment.
« Mmmrrraaawww... j’ai le droit de t’embrasser, ma chérie ? »
Quelques baisers sur les joues, sur les lèvres et dans le cou, et voilà une jeune demoiselle comblée. Finalement, Yuka libéra Antares pour qu’elle puisse se rendre dans sa chambre récupérer un string. Elle remit vite sa robe, sans prendre la peine de remettre ses sous-vêtements.
« Je reviens tout de suite. Surtout tu ne t’en va pas d’accord ? »
Une fois dans le couloir, la neko se mit à siffloter de joie, heureuse de tout ce qu’elle avait déjà pu gagner. Sa chérie avait accepté de la voir en string, et ce soir elles allaient enfin pouvoir dormir ensemble.
De son côté, Pleione discutait avec Yuko de leur nouveau rituel du soir. La maid était d’accord pour tout, elle lui proposa même de la peigner avant si elle le voulait. Mais elle voulait clarifier un point : devait-elle bercer sa maîtresse contre elle, ou juste lui chanter une berceuse ?
« Quand je parlais de bercer, je voulais juste dire chanter une berceuse. Tu n’as pas besoin de... »
La neko s’arrêta au milieu de sa phrase pour réfléchir. Et pourquoi ne pas faire ce que sa servante lui proposait ? Ça semblait encore plus plaisant. Se faire chanter une berceuse par Yuko était plaisant à imaginer, mais se faire bercer contre elle l’était encore plus. Même si elle n’arrivait pas à se l’imaginer concrètement, le simple fait de se le dire dans sa tête suffisait à lui donner des papillons dans le ventre. Et quitte à être couchée comme une enfant, autant aller jusqu’au bout.
« Tu sais quoi ? On va faire autrement. Plutôt qu’une berceuse, tu me berceras contre toi avant de me border. Ce sera plus de travail pour toi, mais je suis sûre que tu en es capable. »
Pleione savait qu’elle mourrait de honte si quelqu’un au palais apprenait ce qu’elle avait demandé à Yuko, mais elle était si contente que sa maid ait accepté qu’elle s’en fichait. Rien ne pourrait venir gâcher la beauté de cet instant.
« J’ai hâte d’être à ce soir. »
Leur discussion fut interrompue quand quelqu’un frappa à la porte.
« Oui ? »
« Pleione, c’est moi. Je peux entrer ? »
« Oui bien sûr. »
Antares entra dans la chambre et se dirigea directement vers son dressing, dont elle ouvrit un tiroir pour en sortir un string noir. Ce n’était pas son plus sexy, mais elle voulait prendre le temps d’habituer Yuka à la voir avec ce genre de sous-vêtement. Elle l’enfila aussitôt, ce qui permit à Pleione et Yuko d’avoir un bref aperçu de ses fesses.
« Je ne vous dérange pas plus longtemps. A plus tard les filles. »
Une fois sa sœur repartie, Pleione vit que les joues de Yuko avaient un peu rougies, sans doute parce qu’elle avait pu entrevoir le beau derrière d’Antares. Comment lui en vouloir ? Sa sœur était d’une beauté incroyable.
« Ma sœur est très belle pas vrai ? Ne t’en fais pas, ce n’est pas grave que tu aies regardé. En fait ç’a sûrement dû la flatter. Elle adore se montrer. »
Pourtant, la neko sentit qu’elle avait un petit pincement au cœur.
Est-ce qu’elle rougirait de la même façon si elle voyait mes fesses ?
Dommage que sa timidité l’empêche d’essayer.
De retour dans la chambre, Antares fit tomber sa robe et remonta sur le lit avant de présenter ses fesses à Yuka, pour qu’elle voie bien comment le string entourait son bassin et dévoilait ses courbes.
« Alors tu vois ? Même si j’ai les fesses à l’air, je ne suis pas vulgaire. Je suis sexy. »
Et elle était à peu près sûre que sa petite amie appréciait la vue.
DC de Shykarka. Merci de me contacter sur mon compte principal pour que je voie votre message rapidement.
- Yuko & Yuka Karistal
- Messages : 923
- Enregistré le : 24 août 2024 13:58
Yuka venait d'avoir son orgasme et elle en était devenue tout câline, blottie contre le corps bien ferme de sa petite amie. Elle ne lui laissait pas vraiment le choix en étant accrochée à elle, il faut bien dire que la domestique n'était pas la plus simple des petites amies à vivre et supporter, mais elle rendait bien son amour, même si cela pouvait demander certains efforts pour y avoir le droit. Mais Antares y aura droit, sûrement ce soir, elle verra le fruit de ses efforts récompenser, c'était déjà un peu le cas dans les moments intimes, mais ce n'était que la partie immergée de l'iceberg. Pendant ce câlin, elle la laissait lui embrasser le visage, se contentant de se satisfaire dans ses bras. Elle ne l'avouerait pas si facilement, mais elle aimait ce câlin, plein de douceur, de calme, de sécurité aussi, elle était ravie de l'avoir en petite amie. Mais c'était une chose de le penser, une autre de le dire. Yuka était ainsi. Au moins, Antares semblait s'en être adapté, mais quand elle relâchait un peu la pression, la neko s'en dégageait doucement, prévoyant autre chose pour elle, mais quoi ? Elle remit sa robe, preuve qu'elle devait sortir même si, la connaissant, elle se serait sûrement baladé les fesses à l'air !
« D'accord, mais prévois rien de bizarre ! »
Méfiante, elle avait un peu peur que cette neko ait encore une idée aussi étrange que débile, selon les standards de la domestique. Enfin, bien qu'un peu inquiète, elle ne bougeait pas, restant dans la pièce, attendant le retour de la neko... de sa neko.
Auprès de Pleione, l'ambiance était toujours plus détendue, évoquant les nouvelles tâches de Yuko, qui avait quelque peu comprit de travers, mais au final, l'idée plaisait à sa maîtresse donc, elle devra la bercer dans ses bras le soir, avant de la bordée. Répondant par un petit signe de tête, elle restait souriante face à cela, même si on pouvait remarquer un sourire un peu plus prononcé cette fois. Elle était heureuse de servir un peu plus sa maîtresse, à moins qu’inconsciemment, ce soit l'idée de la serrer dans ses bras le soir avant de la bordée qui la rende si heureuse ?
« Tout ce que vous voulez, Maîtresse. Je suis heureuse de pouvoir vous être utile, d'être celle qui vient, vous réveillez et celle qui vous aide à passer une agréable nuit aussi, maintenant. »
Même si la maid partageait l'avis de sa maîtresse, elles furent dérangées un instant par Antares, qui venait juste chercher quelque chose dans sa chambre donc, rien les concernant. Même si pour l'occasion, elle venait prendre une chose et l'enfiler sous leurs yeux, soulevant sa robe, dévoilant sa nudité. Avait-elle passé la journée nue sous sa robe ? Elle avait oublié de mettre une culotte au réveil ? Yuko l'ignorait, elle ne s'occupait pas d'Antares, même si dans cette grande demeure, elle la croisait parfois, elle était aux ordres de Pleione et passait bien plus de son temps à servir sa maîtresse que seule dans les couloirs. Sauf en cas de travail, mais généralement, elle était avec sa maîtresse, ce qui la rassurait. Non pas qu'Antares lui faisait peur, mais son rentre-dedans, ce n'était pas une chose à laquelle elle était habituée donc, elle se bloquait quand ça lui arrivait... C'était peut-être aussi pour ça que l'ainée avait abandonné l'idée de se rapprocher d'elle... Là où Yuka répondait sans peur et la remettait à sa place.
Une fois partie, sa sœur venait la rassurer, soulignant bien le fait que sa sœur était ainsi. Même si Yuko rougissait face à ce manque de pudeur, elle n'était que domestique, ce n'était pas à elle de lui faire la morale...
« Votre sœur est belle, mais... je ne suis pas à l'aise avec elle. Elle est bien trop frivole à mon goût. »
C'était un demi-aveu de ce qu'elle avait pu endurer à son arrivée ici, mais bon, au moins, sa maîtresse n'était pas comme ça, Yuko n'avait pas à s'en faire. Mais si Pleione adoptait le comportement de sa sœur, est-ce qu'elle serait là aussi bloquée ou au contraire, elle aimerait ? Elle ne saurait pas le dire, mais pour le moment, elle continuait de se rassurer à se dire qu'au moins, Pleione n'agissait pas de la sorte.
« Et puis... je préfère les filles comme vous, Maîtresse... »
Et là, c'était une demi-déclaration. Bien qu'elle avait conscience que Pleione était son type de femme, elle ne soupçonnait pas son amour envers elle, voyant là juste une forme de respect. La peur de tomber sur des nekos tortionnaires avait bloqué l'amour dans un coin, remplaçant cela ensuite par du respect. Mais sous le respect, il y avait bien de l'amour.
Dans la chambre, Yuka vit le retour de sa petite amie qui ne mit guère longtemps à retirer sa robe, pour lui montrer ce qu'elle avait été cherchée. Un string. Elle était décidément bloquée sur cette idée. Lui tendant les fesses, elle voulait vraiment qu'elle lui dise que c'était bien ? Bien entendu, Yuka profitait de la vue, et c'était là de très belles fesses ! Mais le lui arracher ? C'était une autre histoire.
« Pour moi, c'est qu'une nouvelle excuse pour t’exhiber le plus possible, avec le moins de tissu possible. »
Toujours à vouloir le dernier mot, sans dire simplement ce qu'elle en pensait vraiment. Mais bon, sous ses gros yeux pourtant bien vue le fessier qu'elle exhibait, elle allait tenter de lui donner raison, d'un air faussement désintéressé.
« D'accord, tu as de belles fesses et tu es sexy, on peut passer à autre chose ?! »
Un aveu bien camouflé derrière son caractère de cochon. Et puis bon, ce string était inutile, si Yuka devait lui rendre la pareille.
« D'accord, mais prévois rien de bizarre ! »
Méfiante, elle avait un peu peur que cette neko ait encore une idée aussi étrange que débile, selon les standards de la domestique. Enfin, bien qu'un peu inquiète, elle ne bougeait pas, restant dans la pièce, attendant le retour de la neko... de sa neko.
Auprès de Pleione, l'ambiance était toujours plus détendue, évoquant les nouvelles tâches de Yuko, qui avait quelque peu comprit de travers, mais au final, l'idée plaisait à sa maîtresse donc, elle devra la bercer dans ses bras le soir, avant de la bordée. Répondant par un petit signe de tête, elle restait souriante face à cela, même si on pouvait remarquer un sourire un peu plus prononcé cette fois. Elle était heureuse de servir un peu plus sa maîtresse, à moins qu’inconsciemment, ce soit l'idée de la serrer dans ses bras le soir avant de la bordée qui la rende si heureuse ?
« Tout ce que vous voulez, Maîtresse. Je suis heureuse de pouvoir vous être utile, d'être celle qui vient, vous réveillez et celle qui vous aide à passer une agréable nuit aussi, maintenant. »
Même si la maid partageait l'avis de sa maîtresse, elles furent dérangées un instant par Antares, qui venait juste chercher quelque chose dans sa chambre donc, rien les concernant. Même si pour l'occasion, elle venait prendre une chose et l'enfiler sous leurs yeux, soulevant sa robe, dévoilant sa nudité. Avait-elle passé la journée nue sous sa robe ? Elle avait oublié de mettre une culotte au réveil ? Yuko l'ignorait, elle ne s'occupait pas d'Antares, même si dans cette grande demeure, elle la croisait parfois, elle était aux ordres de Pleione et passait bien plus de son temps à servir sa maîtresse que seule dans les couloirs. Sauf en cas de travail, mais généralement, elle était avec sa maîtresse, ce qui la rassurait. Non pas qu'Antares lui faisait peur, mais son rentre-dedans, ce n'était pas une chose à laquelle elle était habituée donc, elle se bloquait quand ça lui arrivait... C'était peut-être aussi pour ça que l'ainée avait abandonné l'idée de se rapprocher d'elle... Là où Yuka répondait sans peur et la remettait à sa place.
Une fois partie, sa sœur venait la rassurer, soulignant bien le fait que sa sœur était ainsi. Même si Yuko rougissait face à ce manque de pudeur, elle n'était que domestique, ce n'était pas à elle de lui faire la morale...
« Votre sœur est belle, mais... je ne suis pas à l'aise avec elle. Elle est bien trop frivole à mon goût. »
C'était un demi-aveu de ce qu'elle avait pu endurer à son arrivée ici, mais bon, au moins, sa maîtresse n'était pas comme ça, Yuko n'avait pas à s'en faire. Mais si Pleione adoptait le comportement de sa sœur, est-ce qu'elle serait là aussi bloquée ou au contraire, elle aimerait ? Elle ne saurait pas le dire, mais pour le moment, elle continuait de se rassurer à se dire qu'au moins, Pleione n'agissait pas de la sorte.
« Et puis... je préfère les filles comme vous, Maîtresse... »
Et là, c'était une demi-déclaration. Bien qu'elle avait conscience que Pleione était son type de femme, elle ne soupçonnait pas son amour envers elle, voyant là juste une forme de respect. La peur de tomber sur des nekos tortionnaires avait bloqué l'amour dans un coin, remplaçant cela ensuite par du respect. Mais sous le respect, il y avait bien de l'amour.
Dans la chambre, Yuka vit le retour de sa petite amie qui ne mit guère longtemps à retirer sa robe, pour lui montrer ce qu'elle avait été cherchée. Un string. Elle était décidément bloquée sur cette idée. Lui tendant les fesses, elle voulait vraiment qu'elle lui dise que c'était bien ? Bien entendu, Yuka profitait de la vue, et c'était là de très belles fesses ! Mais le lui arracher ? C'était une autre histoire.
« Pour moi, c'est qu'une nouvelle excuse pour t’exhiber le plus possible, avec le moins de tissu possible. »
Toujours à vouloir le dernier mot, sans dire simplement ce qu'elle en pensait vraiment. Mais bon, sous ses gros yeux pourtant bien vue le fessier qu'elle exhibait, elle allait tenter de lui donner raison, d'un air faussement désintéressé.
« D'accord, tu as de belles fesses et tu es sexy, on peut passer à autre chose ?! »
Un aveu bien camouflé derrière son caractère de cochon. Et puis bon, ce string était inutile, si Yuka devait lui rendre la pareille.

- Soeurs Lilianstar
- Messages : 806
- Enregistré le : 16 août 2024 16:48
Antares avait remporté une petite victoire avec Yuka en la convainquant de la voir en string. Une encore plus grande victoire aurait été de la convaincre d’en mettre un aussi, mais elle ne devait pas se montrer trop gourmande. Pour le moment, elle profitait de sa réussite. Dans un premier temps, la maid vit ça juste comme une excuse pour la neko de s’exhiber, mais ensuite, elle finit par reconnaître qu’Antares avait de belles fesses et était sexy. Il n’en fallut pas plus à cette dernière pour se réjouir.
« Youhou ! J’ai réussi. Maintenant que tu l’as dit, on peut passer à autre chose. »
Là encore, Yuka pouvait bien jouer les effarouchées, Antares savait comment l’amadouer. Elle se coucha à côté d’elle dans le lit et lui caressa la joue en la regardant droit dans les yeux.
« Tu veux bien venir me rendre la pareille ? »
La neko regarda sa chérie se déplacer, lui enlever son string, puis mettre sa tête entre ses jambes pour venir la lécher.
« Hhhmmm... oui... c’est bien ma belle... mmmyyyuuu... »
Yuka manquait d’expérience, et ses gestes étaient parfois hésitants, mais seul le résultat comptait pour Antares. Et là, pas de doute, elle prenait du plaisir. Chaque fois que la langue de sa petite amie caressait sa vulve, elle miaulait de plaisir et lui caressait la tête pour l’encourager. Elle aurait voulu qu’elle soit un peu plus audacieuse, qu’elle fasse entrer sa langue dans sa chatte ou qu’elle appuie plus sur son clitoris, mais elle ne pouvait pas trop en demander non plus.
« Aaahhh... continue... ggrroouu... je sens que ça vient... »
Le plaisir d’Antares fit aussi travailler son imagination. A défaut d’avoir une Yuka coquine et gourmande, elle pouvait toujours l’imaginer. Elle se visualisa dans sa chambre, avec sa petite amie vêtue d’une lingerie raffinée mais très légère, qui venait l’embrasser, la caresser, et lui murmurer des mots d’amour dans son oreille velue. Elles seraient parties pour une nuit d’amour torride et pleine d’audace, avec peut-être des plaisirs futa.
C’est beau... mais ce n’est pas Yuka.
La neko aimait sa petite amie comme elle était, et au fond, si elle changeait trop, cela la décevrait.
De son côté, Pleione était toute contente dans sa chambre maintenant qu’elle savait que Yuko allait venir s’occuper d’elle tous les soirs pour sa routine du coucher. Même l’arrivée surprenante de sa sœur qui était venue enfiler un string n’avait pas réussi à briser l’ambiance joyeuse de la chambre. La neko rassura sa servante en lui disant que ce n’était pas grave qu’elle ait regardé les fesses d’Antares, mais cette dernière lui répondit que même si elle trouvait sa sœur belle, elle la trouvait aussi trop frivole.
Si tu savais...
Elle alla même plus loin en lui avouant qu’elle préférait les filles comme elle, et en entendant ça, la neko sentit son cœur battre plus fort dans sa poitrine.
« Les... les filles comme moi ? »
Qu’est-ce qu’elle voulait dire par là ? Elle préférait les filles timides avec des courbes tout aussi timides ? Ou elle avait juste un problème avec les filles trop audacieuses ?
« Et... pourquoi tu préfères les... les filles comme moi ? »
Ce que Yuko percevait comme de la frivolité chez Antares, Pleione le voyait comme de la confiance en soi. Une confiance inébranlable qui allait de pair avec une détermination sans faille et un goût très prononcé pour les plaisirs de la vie. Bien qu’étant une aristocrate, sa sœur ne se laissait jamais enchaîner par les codes et la bienséance. Elle faisait ce qu’elle voulait quand elle le voulait, sans se soucier du regard des autres. Si c’était elle qui avait demandé à Yuko cette routine du coucher, elle n’aurait pas eu peur qu’on la découvre. Pleione lui enviait cette force de caractère et aurait voulu être capable d’en faire de même, ou du moins d’être capable de s’affirmer un peu. Elle en avait tellement assez d’être timide, et elle s’en voulait de ne pas pouvoir affirmer ses goûts et ses envies sans craindre qu’on la juge et qu’on se moque d’elle. Si ses parents entendaient parler de la routine du coucher qu’elle avait mise en place avec sa servante, ils l’auraient sûrement sermonnée pour l’en dissuader, comme quoi ce n’était pas le genre d’attitude que devait avoir une jeune fille de la haute société. Et elle leur aurait cédé, comme d’habitude.
« Tu sais... même si ma sœur peut paraître frivole parfois... quand elle tient à quelque chose... elle fait tout pour en prendre soin. »
L’exemple le plus marquant était sans aucun doute la relation qu’elle entretenait avec Yuka. Dommage que Yuko ne soit pas courant, elle aurait peut-être vu l’ainée de sa maîtresse sous un meilleur jour.
« Youhou ! J’ai réussi. Maintenant que tu l’as dit, on peut passer à autre chose. »
Là encore, Yuka pouvait bien jouer les effarouchées, Antares savait comment l’amadouer. Elle se coucha à côté d’elle dans le lit et lui caressa la joue en la regardant droit dans les yeux.
« Tu veux bien venir me rendre la pareille ? »
La neko regarda sa chérie se déplacer, lui enlever son string, puis mettre sa tête entre ses jambes pour venir la lécher.
« Hhhmmm... oui... c’est bien ma belle... mmmyyyuuu... »
Yuka manquait d’expérience, et ses gestes étaient parfois hésitants, mais seul le résultat comptait pour Antares. Et là, pas de doute, elle prenait du plaisir. Chaque fois que la langue de sa petite amie caressait sa vulve, elle miaulait de plaisir et lui caressait la tête pour l’encourager. Elle aurait voulu qu’elle soit un peu plus audacieuse, qu’elle fasse entrer sa langue dans sa chatte ou qu’elle appuie plus sur son clitoris, mais elle ne pouvait pas trop en demander non plus.
« Aaahhh... continue... ggrroouu... je sens que ça vient... »
Le plaisir d’Antares fit aussi travailler son imagination. A défaut d’avoir une Yuka coquine et gourmande, elle pouvait toujours l’imaginer. Elle se visualisa dans sa chambre, avec sa petite amie vêtue d’une lingerie raffinée mais très légère, qui venait l’embrasser, la caresser, et lui murmurer des mots d’amour dans son oreille velue. Elles seraient parties pour une nuit d’amour torride et pleine d’audace, avec peut-être des plaisirs futa.
C’est beau... mais ce n’est pas Yuka.
La neko aimait sa petite amie comme elle était, et au fond, si elle changeait trop, cela la décevrait.
De son côté, Pleione était toute contente dans sa chambre maintenant qu’elle savait que Yuko allait venir s’occuper d’elle tous les soirs pour sa routine du coucher. Même l’arrivée surprenante de sa sœur qui était venue enfiler un string n’avait pas réussi à briser l’ambiance joyeuse de la chambre. La neko rassura sa servante en lui disant que ce n’était pas grave qu’elle ait regardé les fesses d’Antares, mais cette dernière lui répondit que même si elle trouvait sa sœur belle, elle la trouvait aussi trop frivole.
Si tu savais...
Elle alla même plus loin en lui avouant qu’elle préférait les filles comme elle, et en entendant ça, la neko sentit son cœur battre plus fort dans sa poitrine.
« Les... les filles comme moi ? »
Qu’est-ce qu’elle voulait dire par là ? Elle préférait les filles timides avec des courbes tout aussi timides ? Ou elle avait juste un problème avec les filles trop audacieuses ?
« Et... pourquoi tu préfères les... les filles comme moi ? »
Ce que Yuko percevait comme de la frivolité chez Antares, Pleione le voyait comme de la confiance en soi. Une confiance inébranlable qui allait de pair avec une détermination sans faille et un goût très prononcé pour les plaisirs de la vie. Bien qu’étant une aristocrate, sa sœur ne se laissait jamais enchaîner par les codes et la bienséance. Elle faisait ce qu’elle voulait quand elle le voulait, sans se soucier du regard des autres. Si c’était elle qui avait demandé à Yuko cette routine du coucher, elle n’aurait pas eu peur qu’on la découvre. Pleione lui enviait cette force de caractère et aurait voulu être capable d’en faire de même, ou du moins d’être capable de s’affirmer un peu. Elle en avait tellement assez d’être timide, et elle s’en voulait de ne pas pouvoir affirmer ses goûts et ses envies sans craindre qu’on la juge et qu’on se moque d’elle. Si ses parents entendaient parler de la routine du coucher qu’elle avait mise en place avec sa servante, ils l’auraient sûrement sermonnée pour l’en dissuader, comme quoi ce n’était pas le genre d’attitude que devait avoir une jeune fille de la haute société. Et elle leur aurait cédé, comme d’habitude.
« Tu sais... même si ma sœur peut paraître frivole parfois... quand elle tient à quelque chose... elle fait tout pour en prendre soin. »
L’exemple le plus marquant était sans aucun doute la relation qu’elle entretenait avec Yuka. Dommage que Yuko ne soit pas courant, elle aurait peut-être vu l’ainée de sa maîtresse sous un meilleur jour.
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- Yuko & Yuka Karistal
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- Enregistré le : 24 août 2024 13:58
Yuka avait beau avoir un caractère de cochon et être très fière, elle mentait souvent à force de se plaindre du comportement d'Antares. Oui, elle aimait la voir aguicheuse, mais pas trop. Disons qu'elle aimait la voir l'aguicher elle, pas les autres déjà. Puis elle voulait un peu plus de reconnaissance, étant une maid, difficile pour elle d'être reconnue pour ce qu'elle était à l'origine. Une noble. Certes, partons loin, si elles étaient mariées, elle redeviendrait noble, mais elle ne voulait pas brusquer les choses puis avec sa fierté, elle se voyait mal accepté si soudainement une demande en mariage d'une neko, qui est sa « maîtresse » qui plus est. Quand on aime une personne, c'est autant pour ses qualités que ses défauts et si Antares aimait bien le fait que sa petite amie ne lui mange pas dans la main, elle était servie au moins de ce côté-là. Et puis bon, Antares avait ce défaut de toujours, ou du moins très souvent, être similaire à l'état de chaleur. Tout et n'importe quoi en venait au sexe. Certes, Yuka l'aimait aussi pour ce « défaut » mais elle avait une vision plus classique de l'amour, sans passer par les longs silences à se regarder dans le blanc des yeux à s'imaginer des choses, avoir une petite amie, c'était la connaître, ce genre de chose, mais avec la neko, il fallait absolument que parler se fasse nue, ou que ça aille dans ce chemin. Mais soit, elle l'aimait donc, cela viendra tôt ou tard où Antares la verra pour ce qu'elle était et parleras plus sincèrement avec elle plutôt qu'étaler ses fantasmes et ses envies. Leur longue nuit d'amour pourrait bien y avoir une partie plus calme, qui sait.
Toujours boudeuse, du moins en apparence, elle ne perdait pas le nord et Yuka se retrouva bien vite entre les cuisses chaudes de la chatte en chaleur, devant lui retirer en partie son string pour tenir parole et lui rendre la pareille, à peu de choses près. Peu expérimenté et un peu intimidé par ce vaste monde, Yuka était débutante, se contentant de lécher la peu de ses lèvres intimes, sans chercher à s'enfoncer en elle, comme avec un vrai baiser, ni même toucher à son clitoris. Le sexe passait par cette zone-là, mais elle n'était encore un peu, pas dégoûtée, mais peu envieuse de passer trop de temps à explorer cette zone où l'urine sortait. Oui, elle savait bien que ce n'était pas le même trou, mais... c'était très proche. Personne n'aurait envie d'embrasser quelqu'un après que ce dernier ai expulsé son dernier repas par la bouche, pour elle... c'était pas loin. Le fait qu'elle soit débutante devait aussi jouer en sa faveur, Antares pourrait la modeler comme elle le voudrait ou bien la laisser avancer par ses propres moyens ? Qui sait. En tout cas, elle la léchait, appréciait certes le goût étrange mais pas déplaisant de sa cyprine qui en coulait un peu, tout comme ses caresses sur sa tête. Une petite marque d'affection, pas sexualisée qui ne lui déplaisait pas. Elle aimait bien la simplicité parfois.
« Tu jouiras dans ma bouche ? »
Elle devait lui rendre la pareille donc, oui ? Après tout, Yuka a eut plus d'une fois un de ses orgasmes en plein visage, un peu par plaisir de recevoir ça en plein visage – bien qu'elle ne le dira pas si facilement – et un peu aussi pour y aller petit à petit. Mais voilà, c'était à petit pas, mais la domestique savait faire des efforts pour son aimé. Elle continua de lécher et quand la main de la neko se fit plus forte en pression, elle aspira jusqu'à recevoir son nectar directement en bouche. En soit, le goût était le même qu'elle léchait depuis tout à l'heure, mais c'était sa première fois comme ça. Elle fera des efforts pour Antares, mais pas trop du coup, ou bien, il faut que cela vienne directement de la domestique. Une fois sa maîtresse calmé, elle retourna se coller contre son corps voluptueux, sa petite poitrine s'écrasant sur la moelleuse poitrine, et, dans un élan, semi-timide, semi-fierté, elle demanda malgré tout.
« J'ai été performante ? »
Elle a jouit, ça ne voulait pas forcément dire oui, elle l'a peut-être eut à l'usure ?
Yuko, volontairement ou non, avait fait une demi-déclaration qui ne tomba pas dans l'oreille velue d'une sourde ! Bien entendu, même si elle n'allait pas laisser passer cette occasion, elle ne le fit pas directement, préférant le demander de façon détournée. Yuko ne voyait pas le problème, car, même si elle avait dit ça, un peu pour le physique, elle le disait aussi pour son côté mental. Finissant son thé, elle déposa délicatement la tasse en s'essuyant délicatement la bouche avant de répondre.
« Vous êtes une demoiselle calme et attentionné, gentille et bienveillante et j'apprécie cela. Non pas que votre sœur soit le contraire, mais disons que... ses approches lors de mon arrivée m'ont fait un peu peur... »
Que Yuko le lui dise en détail ou non, Pleione savait bien ce qu'elle sous-entendais, une invitation plus ou moins ouverte à partager sa couche ou une pièce pour s'y amuser ? Très peu pour elle !
« Ce que votre sœur m'a proposé m'a paralysée. Votre sœur est ce qu'elle est, je ne lui en veux pas, mais ce genre d'invitation si... peu permise au doute, je n'aime pas cela... Je ne suis pas du genre à apprécier un tel comportement... Si elle aurait été plus subtile et plus légère dans ses propositions... Peut-être que je l'aurais suivi ? »
Antares s'était approché d'elle sans cacher ses intentions, des mots doux ou salaces, des propositions indécente, et même que parfois, elle avait montré un peu plus de sa chair à la domestique pour chercher à l'attirer, mais elle ne récoltait que la fuite. Là où, même si sa sœur n'avait pas répondu positivement, la remettait à sa place. Donc oui, si Antares aurait fait dans la subtilité, la douceur et des propositions moins salace, elle aurait peut-être pu se vanter de goûter aux deux jumelles. Hélas pour elle, Yuko était tombée sous la charme de sa maîtresse. D'ailleurs...
« De plus, votre sœur est peut-être une belle jeune femme, mais je dois avouer que je préfère les filles comme vous, Maîtresse. »
Comme vous... Cela restait flou, mais elle n'en disait pas plus pour le moment, là encore, sans se douter que ses paroles pouvaient être prises autrement. Mais Yuko préférait une fille avec des formes moins généreuses, même si elle ne crachait pas sur la marchandise, le caractère plus calme et moins volage de la jeune neko n'était pas pour lui déplaire. C'était de l'amour, mine de rien, mais elle ne voyait pas plus loin que le bout de son nez aussi. Pleione cherchait à défendre sa sœur, c'était normal, Yuko aussi défendrait Yuka si besoin.
« C'est tout à son honneur, je respecte cela. Mais que ce soit passager ou qu'elle ait agis toujours ainsi, je trouve que votre sœur est un peu trop... libérée, je dirais ? À trop en montrer, je suis du genre à penser que le charme fini par se tarir. En montrer peu ou pas souvent, cela permet d'affiner l'affection et la beauté. »
Là encore, cela pouvait être lu entre les lignes. Yuko ne voyait pas sa maîtresse en petite tenue ou à la sortie de son bain, mais elle la voyait le matin ou tout au long de la journée, sans être vraiment dénudé, et elle aimait cela. La voir dans le plus simple appareil n'irait pas briser l'image qu'elle avait d'elle, car Pleione n'était pas comme sa grande sœur et puis, Yuko était amoureuse de sa maîtresse, là où elle n'était pas amoureuse d'Antares, cette petite différence causait un énorme écart entre les deux sœurs.
« Et en ce sens, vous êtes bien plus charmante que votre grande sœur. »
Dit-elle avec un petit sourire. Yuko ne se rendait pas compte de ses perches, ni même qu'elle pourrait être en train de lui donner les pièces pour comprendre qu'elle lui déclarait sa flamme. Là encore, elle ne se rendait compte de rien.
Toujours boudeuse, du moins en apparence, elle ne perdait pas le nord et Yuka se retrouva bien vite entre les cuisses chaudes de la chatte en chaleur, devant lui retirer en partie son string pour tenir parole et lui rendre la pareille, à peu de choses près. Peu expérimenté et un peu intimidé par ce vaste monde, Yuka était débutante, se contentant de lécher la peu de ses lèvres intimes, sans chercher à s'enfoncer en elle, comme avec un vrai baiser, ni même toucher à son clitoris. Le sexe passait par cette zone-là, mais elle n'était encore un peu, pas dégoûtée, mais peu envieuse de passer trop de temps à explorer cette zone où l'urine sortait. Oui, elle savait bien que ce n'était pas le même trou, mais... c'était très proche. Personne n'aurait envie d'embrasser quelqu'un après que ce dernier ai expulsé son dernier repas par la bouche, pour elle... c'était pas loin. Le fait qu'elle soit débutante devait aussi jouer en sa faveur, Antares pourrait la modeler comme elle le voudrait ou bien la laisser avancer par ses propres moyens ? Qui sait. En tout cas, elle la léchait, appréciait certes le goût étrange mais pas déplaisant de sa cyprine qui en coulait un peu, tout comme ses caresses sur sa tête. Une petite marque d'affection, pas sexualisée qui ne lui déplaisait pas. Elle aimait bien la simplicité parfois.
« Tu jouiras dans ma bouche ? »
Elle devait lui rendre la pareille donc, oui ? Après tout, Yuka a eut plus d'une fois un de ses orgasmes en plein visage, un peu par plaisir de recevoir ça en plein visage – bien qu'elle ne le dira pas si facilement – et un peu aussi pour y aller petit à petit. Mais voilà, c'était à petit pas, mais la domestique savait faire des efforts pour son aimé. Elle continua de lécher et quand la main de la neko se fit plus forte en pression, elle aspira jusqu'à recevoir son nectar directement en bouche. En soit, le goût était le même qu'elle léchait depuis tout à l'heure, mais c'était sa première fois comme ça. Elle fera des efforts pour Antares, mais pas trop du coup, ou bien, il faut que cela vienne directement de la domestique. Une fois sa maîtresse calmé, elle retourna se coller contre son corps voluptueux, sa petite poitrine s'écrasant sur la moelleuse poitrine, et, dans un élan, semi-timide, semi-fierté, elle demanda malgré tout.
« J'ai été performante ? »
Elle a jouit, ça ne voulait pas forcément dire oui, elle l'a peut-être eut à l'usure ?
Yuko, volontairement ou non, avait fait une demi-déclaration qui ne tomba pas dans l'oreille velue d'une sourde ! Bien entendu, même si elle n'allait pas laisser passer cette occasion, elle ne le fit pas directement, préférant le demander de façon détournée. Yuko ne voyait pas le problème, car, même si elle avait dit ça, un peu pour le physique, elle le disait aussi pour son côté mental. Finissant son thé, elle déposa délicatement la tasse en s'essuyant délicatement la bouche avant de répondre.
« Vous êtes une demoiselle calme et attentionné, gentille et bienveillante et j'apprécie cela. Non pas que votre sœur soit le contraire, mais disons que... ses approches lors de mon arrivée m'ont fait un peu peur... »
Que Yuko le lui dise en détail ou non, Pleione savait bien ce qu'elle sous-entendais, une invitation plus ou moins ouverte à partager sa couche ou une pièce pour s'y amuser ? Très peu pour elle !
« Ce que votre sœur m'a proposé m'a paralysée. Votre sœur est ce qu'elle est, je ne lui en veux pas, mais ce genre d'invitation si... peu permise au doute, je n'aime pas cela... Je ne suis pas du genre à apprécier un tel comportement... Si elle aurait été plus subtile et plus légère dans ses propositions... Peut-être que je l'aurais suivi ? »
Antares s'était approché d'elle sans cacher ses intentions, des mots doux ou salaces, des propositions indécente, et même que parfois, elle avait montré un peu plus de sa chair à la domestique pour chercher à l'attirer, mais elle ne récoltait que la fuite. Là où, même si sa sœur n'avait pas répondu positivement, la remettait à sa place. Donc oui, si Antares aurait fait dans la subtilité, la douceur et des propositions moins salace, elle aurait peut-être pu se vanter de goûter aux deux jumelles. Hélas pour elle, Yuko était tombée sous la charme de sa maîtresse. D'ailleurs...
« De plus, votre sœur est peut-être une belle jeune femme, mais je dois avouer que je préfère les filles comme vous, Maîtresse. »
Comme vous... Cela restait flou, mais elle n'en disait pas plus pour le moment, là encore, sans se douter que ses paroles pouvaient être prises autrement. Mais Yuko préférait une fille avec des formes moins généreuses, même si elle ne crachait pas sur la marchandise, le caractère plus calme et moins volage de la jeune neko n'était pas pour lui déplaire. C'était de l'amour, mine de rien, mais elle ne voyait pas plus loin que le bout de son nez aussi. Pleione cherchait à défendre sa sœur, c'était normal, Yuko aussi défendrait Yuka si besoin.
« C'est tout à son honneur, je respecte cela. Mais que ce soit passager ou qu'elle ait agis toujours ainsi, je trouve que votre sœur est un peu trop... libérée, je dirais ? À trop en montrer, je suis du genre à penser que le charme fini par se tarir. En montrer peu ou pas souvent, cela permet d'affiner l'affection et la beauté. »
Là encore, cela pouvait être lu entre les lignes. Yuko ne voyait pas sa maîtresse en petite tenue ou à la sortie de son bain, mais elle la voyait le matin ou tout au long de la journée, sans être vraiment dénudé, et elle aimait cela. La voir dans le plus simple appareil n'irait pas briser l'image qu'elle avait d'elle, car Pleione n'était pas comme sa grande sœur et puis, Yuko était amoureuse de sa maîtresse, là où elle n'était pas amoureuse d'Antares, cette petite différence causait un énorme écart entre les deux sœurs.
« Et en ce sens, vous êtes bien plus charmante que votre grande sœur. »
Dit-elle avec un petit sourire. Yuko ne se rendait pas compte de ses perches, ni même qu'elle pourrait être en train de lui donner les pièces pour comprendre qu'elle lui déclarait sa flamme. Là encore, elle ne se rendait compte de rien.

- Soeurs Lilianstar
- Messages : 806
- Enregistré le : 16 août 2024 16:48
Antares savourait pleinement le plaisir de ce moment, qu’elle espérait voir devenir plus fréquent. Yuka la léchait timidement mais plaisamment entre les cuisses, lui arrachant des soupirs et des miaulements d’extase, et elle l’encourageait en caressant ses cheveux. Et tout à coup, elle interrompit ce qu’elle faisait pour demander si elle allait jouir dans sa bouche.
« Nnnyyyaaa... si tu es d’accord. Sinon... ce sera sur le visage. »
La neko lui laissa le choix pour qu’elle se sente à l’aise et puisse agir comme bon lui semblait. Elle avait déjà reçu plus d’une fois ses orgasmes sur le visage, si elle avait envie de le recevoir dans sa bouche maintenant, libre à elle. La Lilianstar était même contente qu’elle le propose, cela prouvait qu’elle évoluait en tant qu’amante. Elle continua de profiter longuement de ce cunni, appuyant de plus en plus fort sur la tête de son amante à mesure que l’orgasme approchait, et finalement, il arriva.
« Ooouuuiii... ça arrive... MMMYYYUUU ! »
Le nectar d’Antares finit directement dans la bouche de Yuka, et même si elle ne le vit pas, la neko savoura son orgasme. Après ça, la maid retourna se coller contre son corps, appuyant sa modeste poitrine contre les melons de la neko, et lui demanda si elle avait été performante avec un ton timide mais teinté de fierté. La neko lui sourit.
« Bien sûr que tu l’as été. Le plaisir ne ment jamais. Si j’ai joui, c’est que j’ai aimé. Avec le temps et l’expérience, tu pourras affiner ta pratique, mais tu es déjà une bonne amante. »
Antares n’avait pas vraiment l’habitude de rassurer Yuka. Jusqu’à présent, sa petite amie avait toujours fait en sorte de garder une certaine distance entre elles et elle faisait tout ne pas montrer ses sentiments profonds. Là, elle s’ouvrait juste un peu plus, mais c’était déjà un signe pour la neko que les choses allaient dans le bon sens. Et bien sûr, elle décida de l’encourager.
« Tu veux qu’on en reste là ? Un orgasme chacune, on est à égalité. Et puis je ne voudrais pas te retarder dans ton travail. »
Normalement, la neko aurait dû encourager la maid à continuer, mais vu tout ce qu’elle lui avait déjà cédé en si peu de temps, elle se dit qu’elle pouvait bien la laisser tranquille pour le moment. Et si elle avait encore des envies à satisfaire, sa chambre ne manquait pas de sextoys.
De son côté, Pleione prenait la défense de sa sœur tout en essayant de comprendre ce que Yuko préférait chez elle plutôt que chez Antares. Sa servante lui répondit qu’elle la préférait parce qu’elle était calme, attentionnée, gentille et bienveillante, là où sa sœur était si provocatrice qu’elle l’avait paralysée avec ses avances. Elle préférait les propositions subtiles et légères.
« Oui je comprends. J’aurais pensé la même chose si je ne la connaissais pas si bien. »
En tout cas, la neko était ravie. Yuko semblait même préférer son physique à celui d’Antares, ce qui la rendit encore plus heureuse. Et pourtant, elle restait perturbée, car ce bonheur qu’elle ressentait... elle ne le comprenait pas. Jamais elle n’avait ressenti ce genre de fourmillement qui la remuait de la tête aux pieds et qui faisait battre son cœur. Mais qu’est-ce qui lui échappait ? En tout cas, elle était contente que la maid lui fasse des compliments.
« Elle ne te fait plus d’avances maintenant, n’est-ce pas ? Parce que si elle a recommencé, je peux aller la disputer pour qu’elle te laisse tranquille. »
De toute façon il y avait peu de chances, sa sœur avait arrêté de draguer à tout va depuis qu’elle s’était mise en couple avec Yuka. La neko cherchait juste un autre sujet de discussion pour réfréner son envie de danser et de chanter son bonheur à la Terre entière, même si elle ne le comprenait toujours pas. Malheureusement, elle avait un peu de mal à trouver de quoi parler maintenant
« Nnnyyyaaa... si tu es d’accord. Sinon... ce sera sur le visage. »
La neko lui laissa le choix pour qu’elle se sente à l’aise et puisse agir comme bon lui semblait. Elle avait déjà reçu plus d’une fois ses orgasmes sur le visage, si elle avait envie de le recevoir dans sa bouche maintenant, libre à elle. La Lilianstar était même contente qu’elle le propose, cela prouvait qu’elle évoluait en tant qu’amante. Elle continua de profiter longuement de ce cunni, appuyant de plus en plus fort sur la tête de son amante à mesure que l’orgasme approchait, et finalement, il arriva.
« Ooouuuiii... ça arrive... MMMYYYUUU ! »
Le nectar d’Antares finit directement dans la bouche de Yuka, et même si elle ne le vit pas, la neko savoura son orgasme. Après ça, la maid retourna se coller contre son corps, appuyant sa modeste poitrine contre les melons de la neko, et lui demanda si elle avait été performante avec un ton timide mais teinté de fierté. La neko lui sourit.
« Bien sûr que tu l’as été. Le plaisir ne ment jamais. Si j’ai joui, c’est que j’ai aimé. Avec le temps et l’expérience, tu pourras affiner ta pratique, mais tu es déjà une bonne amante. »
Antares n’avait pas vraiment l’habitude de rassurer Yuka. Jusqu’à présent, sa petite amie avait toujours fait en sorte de garder une certaine distance entre elles et elle faisait tout ne pas montrer ses sentiments profonds. Là, elle s’ouvrait juste un peu plus, mais c’était déjà un signe pour la neko que les choses allaient dans le bon sens. Et bien sûr, elle décida de l’encourager.
« Tu veux qu’on en reste là ? Un orgasme chacune, on est à égalité. Et puis je ne voudrais pas te retarder dans ton travail. »
Normalement, la neko aurait dû encourager la maid à continuer, mais vu tout ce qu’elle lui avait déjà cédé en si peu de temps, elle se dit qu’elle pouvait bien la laisser tranquille pour le moment. Et si elle avait encore des envies à satisfaire, sa chambre ne manquait pas de sextoys.
De son côté, Pleione prenait la défense de sa sœur tout en essayant de comprendre ce que Yuko préférait chez elle plutôt que chez Antares. Sa servante lui répondit qu’elle la préférait parce qu’elle était calme, attentionnée, gentille et bienveillante, là où sa sœur était si provocatrice qu’elle l’avait paralysée avec ses avances. Elle préférait les propositions subtiles et légères.
« Oui je comprends. J’aurais pensé la même chose si je ne la connaissais pas si bien. »
En tout cas, la neko était ravie. Yuko semblait même préférer son physique à celui d’Antares, ce qui la rendit encore plus heureuse. Et pourtant, elle restait perturbée, car ce bonheur qu’elle ressentait... elle ne le comprenait pas. Jamais elle n’avait ressenti ce genre de fourmillement qui la remuait de la tête aux pieds et qui faisait battre son cœur. Mais qu’est-ce qui lui échappait ? En tout cas, elle était contente que la maid lui fasse des compliments.
« Elle ne te fait plus d’avances maintenant, n’est-ce pas ? Parce que si elle a recommencé, je peux aller la disputer pour qu’elle te laisse tranquille. »
De toute façon il y avait peu de chances, sa sœur avait arrêté de draguer à tout va depuis qu’elle s’était mise en couple avec Yuka. La neko cherchait juste un autre sujet de discussion pour réfréner son envie de danser et de chanter son bonheur à la Terre entière, même si elle ne le comprenait toujours pas. Malheureusement, elle avait un peu de mal à trouver de quoi parler maintenant
DC de Shykarka. Merci de me contacter sur mon compte principal pour que je voie votre message rapidement.
- Yuko & Yuka Karistal
- Messages : 923
- Enregistré le : 24 août 2024 13:58
Yuka aura bien du mal à l'admettre, mais elle était complétement heureuse d'avoir léché Antares et d'avoir reçu son orgasme en pleine bouche. Enfin, heureuse, ça restait une nouveauté pour elle, mais cela n'était pas fait pour lui déplaire, il faudrait juste qu'elle puisse recommencer plus souvent pour s'en habituer. Mais elle le pensait, sans le dire à haute voix sinon, une certaine neko se ferait une joie de le faire plus souvent. En tout cas, bien que ce soit agréable, pour le moment Yuka ne courait pas derrière le sexe. C'était bien, elle comprenait les gens qui pratiquaient, mais de là à être comme Antares, toujours le feu aux fesses, ça non. Après, qui sait, la neko ira déteindre peut-être sur elle ou bien son caractère va l'empêcher de trop s'en imprégner ? Allez savoir, mais pour le moment, elle restait allongée avec elle, sur son corps chaud et moelleux, la neko pensait quand même à sa petite amie et à son sérieux, proposant un renouveau ou bien une pause. Mais Yuka pouvait marier les deux possibilités, sans forcément se défaire de suite. Toujours contre elle, ses doigts caressaient certaines mèches de ses cheveux noirs.
« Restons en là, pour le moment. Mais je veux continuer de rester un peu avec toi. »
Elle n'en rajoutait pas plus, même si le ton était moins sec que d'habitude, la domestique se montrait plus douce. Après un orgasme, forcément, ça calme. De plus, ce n'est pas comme si Antares essayait de jeter de l'huile sur le feu, alors, elle n'avait pas de raison de se montrer agressive. À force, elle commençait à savoir commencer fonctionnait Yuka. Oui, elle avait sa fierté et son petit caractère, mais quand tout va bien et qu'on ne l'embête pas, elle sait être agréable à vivre aussi. Elle avait bien conscience que son caractère pouvait en freiner plus d'un, mais changer du jour au lendemain, c'était impossible. Il fallait bien s'en accommoder donc pour le moment, mais bon, Yuka n'avait pas vraiment de soucis avec les autres. Certes, les autres domestiques évitaient de l'embêter quand elle travaillait, mais elle était comme ça avec tout le monde. C'était surtout Antares qui prenait un malin plaisir à la taquiner. Mais dans ce moment de flottement, de douceur, la jeune domestique ne se montrait pas inquiète, mais elle voulait quand même certaines réponses.
« Antares, qu'est-ce que tu aimes chez moi ? »
Elle ne précisait pas quoi, mais elle parlait tant du physique – ce qui pouvait être un piège – comme de son petit caractère. Yuka n'en demandait pas beaucoup, consciente qu'il fallait savourer un moment pareil et puis lui laisser le temps de répondre. Même si la neko n'avait d'yeux que pour elle maintenant, elle n'était pas du genre à aimer la voir observer les autres femmes. L'idée d'un plan à trois ou plus était donc un fantasme bien loin... pour le moment. Leur relation était bien jeune pour le moment après tout, inutile d'aller plus vite que la musique. Toujours allongée contre elle, elle continua de jouer avec une de ses mèches, restant sage et douce... ce qui changeait de sa façon à fusiller la neko du regard tout en répondant sèchement à ses propos. Cette Karistal ne se laissait pas marcher sur les pieds, c'est sûr.
De son côté, Yuko venait d'avouer à demi-mot une attirance pour sa maîtresse sans pour autant le dire très clairement, mais cela ne semblait pas faire réagir Pleione plus que ça. Du moins, elle devait bien cacher ce qu'elle ressentait après avoir entendu de telles choses. Cependant, elle s'inquiétait de sa grande sœur qui pouvait peut-être recommencer à l'embêter avec ses avances ? Yuko ignorait que désormais, elle avait Yuka pour assouvir ce genre de chose, elle agitait doucement la tête de façon à répondre simplement par la négative.
« Ne vous inquiétez pas, elle a vue que je répondais pas à ses avances et à donc abandonner. »
Si elle aurait été contre, ça aurait été comme une agression sexuelle. Reste à voir si cela était toléré sachant qu'elles appartenaient aux Lilianstar ou bien si ça serait quand même un crime ? Peu importe, comme elle a lâché l'affaire et qu'elle ne semble pas vouloir recommencer. Yuko termina sa tasse de thé, mais ce n'était pas encore le moment de partir retourner à ses tâches – sauf si Pleione avait une demande en particulier à lui faire avant – mais Yuko profita de ce petit laps de temps pour se permettre une nouvelle question envers sa maîtresse. Son regard se posa de nouveau sur elle, posant ses mains sur ses cuisses sous la table, elle reprenait avec sa voix calme habituelle.
« Maîtresse, si vous me le permettez, j'aimerais vous demander une chose encore. Juste, j'aimerais savoir quel serait votre avenir ? Sur le plan du travail. Étant donné que vous êtes deux sœurs, j'ignores si avec votre grande sœur, vous suivrez le commerce de votre famille ou si vous allez vous diriger vers une autre branche, plus ou moins en rapport avec le travail de votre famille ? »
Cela ne présentait aucune inquiétude ou autre sur leur avenir commun – de maîtresse à esclave – mais Yuko se posait cette question afin d'en apprendre plus sur sa maîtresse. Selon sa réponse, elle pourrait bien l'aider, ne sait-on jamais ? En tout cas après cela, elle pourrait continuer et retourner travailler, c'est qu'elle devait sûrement donner un coup de main en cuisine, et même si elles n'auraient pas besoin d'elle, elle avait tant de choses à faire pour sa maîtresse même si elle restait un tantinet impatiente que sa maîtresse prenne une douche ou un bain pour s'occuper de son linge sale... l'idée de sentir à nouveau une de ses petites culottes chaude qu'elle venait de retirer était un petit moment rien qu'à elle qu'elle adorait savourer chaque jour... Même si désormais, elle allait devoir s'occuper de Pleione le soir, peut-être cela deviendra-t-il son nouveau petit moment favori ? À voir. En tout cas, vivement l'heure du coucher.
« Restons en là, pour le moment. Mais je veux continuer de rester un peu avec toi. »
Elle n'en rajoutait pas plus, même si le ton était moins sec que d'habitude, la domestique se montrait plus douce. Après un orgasme, forcément, ça calme. De plus, ce n'est pas comme si Antares essayait de jeter de l'huile sur le feu, alors, elle n'avait pas de raison de se montrer agressive. À force, elle commençait à savoir commencer fonctionnait Yuka. Oui, elle avait sa fierté et son petit caractère, mais quand tout va bien et qu'on ne l'embête pas, elle sait être agréable à vivre aussi. Elle avait bien conscience que son caractère pouvait en freiner plus d'un, mais changer du jour au lendemain, c'était impossible. Il fallait bien s'en accommoder donc pour le moment, mais bon, Yuka n'avait pas vraiment de soucis avec les autres. Certes, les autres domestiques évitaient de l'embêter quand elle travaillait, mais elle était comme ça avec tout le monde. C'était surtout Antares qui prenait un malin plaisir à la taquiner. Mais dans ce moment de flottement, de douceur, la jeune domestique ne se montrait pas inquiète, mais elle voulait quand même certaines réponses.
« Antares, qu'est-ce que tu aimes chez moi ? »
Elle ne précisait pas quoi, mais elle parlait tant du physique – ce qui pouvait être un piège – comme de son petit caractère. Yuka n'en demandait pas beaucoup, consciente qu'il fallait savourer un moment pareil et puis lui laisser le temps de répondre. Même si la neko n'avait d'yeux que pour elle maintenant, elle n'était pas du genre à aimer la voir observer les autres femmes. L'idée d'un plan à trois ou plus était donc un fantasme bien loin... pour le moment. Leur relation était bien jeune pour le moment après tout, inutile d'aller plus vite que la musique. Toujours allongée contre elle, elle continua de jouer avec une de ses mèches, restant sage et douce... ce qui changeait de sa façon à fusiller la neko du regard tout en répondant sèchement à ses propos. Cette Karistal ne se laissait pas marcher sur les pieds, c'est sûr.
De son côté, Yuko venait d'avouer à demi-mot une attirance pour sa maîtresse sans pour autant le dire très clairement, mais cela ne semblait pas faire réagir Pleione plus que ça. Du moins, elle devait bien cacher ce qu'elle ressentait après avoir entendu de telles choses. Cependant, elle s'inquiétait de sa grande sœur qui pouvait peut-être recommencer à l'embêter avec ses avances ? Yuko ignorait que désormais, elle avait Yuka pour assouvir ce genre de chose, elle agitait doucement la tête de façon à répondre simplement par la négative.
« Ne vous inquiétez pas, elle a vue que je répondais pas à ses avances et à donc abandonner. »
Si elle aurait été contre, ça aurait été comme une agression sexuelle. Reste à voir si cela était toléré sachant qu'elles appartenaient aux Lilianstar ou bien si ça serait quand même un crime ? Peu importe, comme elle a lâché l'affaire et qu'elle ne semble pas vouloir recommencer. Yuko termina sa tasse de thé, mais ce n'était pas encore le moment de partir retourner à ses tâches – sauf si Pleione avait une demande en particulier à lui faire avant – mais Yuko profita de ce petit laps de temps pour se permettre une nouvelle question envers sa maîtresse. Son regard se posa de nouveau sur elle, posant ses mains sur ses cuisses sous la table, elle reprenait avec sa voix calme habituelle.
« Maîtresse, si vous me le permettez, j'aimerais vous demander une chose encore. Juste, j'aimerais savoir quel serait votre avenir ? Sur le plan du travail. Étant donné que vous êtes deux sœurs, j'ignores si avec votre grande sœur, vous suivrez le commerce de votre famille ou si vous allez vous diriger vers une autre branche, plus ou moins en rapport avec le travail de votre famille ? »
Cela ne présentait aucune inquiétude ou autre sur leur avenir commun – de maîtresse à esclave – mais Yuko se posait cette question afin d'en apprendre plus sur sa maîtresse. Selon sa réponse, elle pourrait bien l'aider, ne sait-on jamais ? En tout cas après cela, elle pourrait continuer et retourner travailler, c'est qu'elle devait sûrement donner un coup de main en cuisine, et même si elles n'auraient pas besoin d'elle, elle avait tant de choses à faire pour sa maîtresse même si elle restait un tantinet impatiente que sa maîtresse prenne une douche ou un bain pour s'occuper de son linge sale... l'idée de sentir à nouveau une de ses petites culottes chaude qu'elle venait de retirer était un petit moment rien qu'à elle qu'elle adorait savourer chaque jour... Même si désormais, elle allait devoir s'occuper de Pleione le soir, peut-être cela deviendra-t-il son nouveau petit moment favori ? À voir. En tout cas, vivement l'heure du coucher.

- Soeurs Lilianstar
- Messages : 806
- Enregistré le : 16 août 2024 16:48
Antares s’était bien amusée avec Yuka, et comme elle ne voulait pas abuser d’une situation déjà trop belle pour être vraie, elle lui proposa d’en rester là. La maid accepta, mais sans quitter la chambre tout de suite. Elle voulut rester un peu avec son amoureuse, et la neko rapprocha son corps du sien, multipliant les caresses douces dans des endroits pas trop sensibles comme les cheveux ou le haut du dos. Et là, de but en blanc, sa petite amie lui demanda ce qui lui plaisait chez elle. Une question légitime, mais qui pouvait quand même surprendre. Heureusement, la neko n’était pas du genre à se laisser surprendre facilement.
« Tu veux savoir pourquoi je reste avec toi, que je ne vais plus voir ailleurs et que je fais tout pour qu’on se rapprocher un peu plus chaque jour ? »
Elle avait beau la taquiner un peu, elle comprenait pourquoi sa petite amie l’interrogeait, et elle décida de lui répondre avec son cœur.
« Pour commencer, et je sais que ça va te paraître frivole, mais j’aime ton physique. Tu es une belle jeune femme, et je suis persuadée que tu vas devenir de plus en plus belle au fil des années qu’on passera ensemble. Mais je te rassure, il n’y a pas que ça. Je t’aime surtout et avant tout pour ton caractère. »
Ca pouvait sembler assez étrange vu que le caractère de la demoiselle empêchait la neko de faire plein de choses qu’elle aurait aimé faire avec elle, mais elle avait une explication.
« Avant que je te connaisse, je n’avais pas de mal à mettre n’importe quelle fille dans mon lit. Au bout d’un moment, ça devenait même trop facile. Je m’ennuyais de cette facilité. Et soudain, voilà que débarque une magnifique jeune femme aux cheveux roses qui m’annonce qu’elle va être ma nouvelle servante personnelle. Evidemment je me suis lancée à ta conquête en me disant que ce serait encore une partie de plaisir, mais voilà que tu me résistes. Pour la première fois depuis des années, je n’ai pas eu ce que je voulais. Au début ça me frustre, mais ensuite ça me fascine. J’ai envie d’en savoir plus sur toi. Je continue mes avances, tu continues à les repousser, et très vite, je n’arrive plus à penser à autre chose. Finalement, je me rends compte que je me porte préjudice à moi-même en te harcelant de la sorte. Alors j’essaie d’autres approches, plus douces, plus gentilles. Et chaque fois que je te vois sourire, mon cœur bat la chamade.
Et c’est pour ça que je t’ai demandée de devenir ma petite amie : parce que je voulais qu’il y ait plus de moments comme ceux-là. Des moments de sourire, de joie, de rire. Le fait que je doive batailler pour t’arracher le moindre compliment le rend encore plus délicieux. Alors surtout, continue de me faire la tête et de me refuser des choses. Qui sait, un jour tu pourrais me pousser à te demander en mariage. »
Antares le disait sur le ton de la plaisanterie pour l’instant, mais elle y pensait. Ayant déjà 20 ans, il allait bientôt être temps pour elle de travailler pour maintenir la grandeur de sa famille, ce qui allait forcément impliquer qu’elle se marie à un moment ou un autre. Mais contrairement à Pleione, elle avait beaucoup plus de marge de manœuvre, de par son talent déjà remarqué pour faire de la politique. Si elle la jouait correctement, elle pourrait se marier avec Yuka sans que ça lui soit trop reproché.
« Ce que j’aime aussi, c’est ton dévouement envers ta sœur. Même si vous avez tout perdu, vous ne vous êtes jamais laissées aller et vous vous êtes soutenues l’une l’autre, vous donnant du courage pour pouvoir tenir. Et je trouve ça magnifique.
Je pourrais aussi te parler de tes expressions boudeuses, de la façon dont tes joues brillent quand elles rougissent, ou même de ton balancement de hanches naturel quand tu marches... mais on y passerait la journée. Alors je conclurai en te disant que tu n’auras jamais à douter de mon amour, parce qu’à mes yeux, un seul sourire de toi vaut plus que dix greluches faciles. »
Antares espérait avoir réussi à convaincre Yuka à travers sa réponse, qui venait directement de son cœur, et qu’elle n’irait pas penser qu’elle avait dit tout ça juste pour l’amadouer.
« Mais je pourrais te retourner la question. Qu’est-ce que tu aimes chez moi ? »
Dans sa chambre, Pleione échangeait avec Yuko sur un nouveau sujet amenée par la maid. Cette dernière était curieuse de savoir quel destin attendait sa jeune maîtresse pour son avenir professionnel, vu qu’elle était la sœur cadette.
« Eh bien... à vrai dire je ne suis pas sûre moi-même. Concrètement, deux futurs s’offrent à moi. Si mes parents me trouvent un mari, je serai certainement limitée à une vie d’épouse et de mère. C’est moi qui dirigerai le foyer, mais je ne serai plus impliquée dans d’autres affaires. Et si je ne me marie pas, je me retrouverai sûrement à travailler avec je ne sais quelle famille noble pour je ne sais quelle intrigue politique.
En tant qu’aînée, c’est Antares qui prendra les commandes. Si je ne me marie pas, j’irai où elle me dira d’aller. »
La famille Lilianstar, en plus de gérer plusieurs commerces qui lui rapportaient beaucoup d’argent, était surtout très impliquée dans la vie politique de leur pays, que ce soit en interne ou en externe. Antares avait été préparée par ses parents et tout un tas de professeurs au monde redoutable de la politique, et elle s’était avérée plutôt douée au grand jeu de la diplomatie et de l’intrigue. Son avenir était tout tracé, mais celui de Pleione allait dépendre de sa future vie amoureuse.
« Mais ne t’en fais pas, on restera ensemble où que j’aille. »
Après avoir fini sa tasse de thé, Pleione réalisa que la matinée était déjà bien avancée et que l’heure du déjeuner approchait.
« Merci Yuko, tu peux débarrasser. J’ai des devoirs à faire, et je suppose que tu as d’autres tâches qui t’attendent.
Oh attends, juste une dernière chose... »
La neko passa rapidement dans sa salle de bains privée pour pouvoir retirer ses nouveaux sous-vêtements et alla ensuite les donner à sa maid.
« Je les ai essayés pour être sûr qu’ils m’allaient bien, mais vu qu’ils sont neufs, il faut les laver. Je peux te demander d’aller les mettre avec le reste de mon linge sale ? Merci. »
Une fois Yuko sortie, Pleione ne se mit pas tout de suite à son bureau pour s’occuper de ses devoirs. A la place, elle alla s’allonger sur son lit et enfouit sa tête dans son oreiller pour pouvoir miauler sans que personne ne l’entende.
Mmmyyyuuu... Yuko, Yuko, Yuko.
La neko battait des jambes et sa queue caudale gigotait frénétiquement. Elle était tellement contente d’avoir obtenue cette nouvelle routine du coucher, et son petite cœur était encore tout chamboulé après que sa servante lui ait dit qu’elle préférait les filles comme elle. Elle était tellement heureuse qu’elle devait miauler dans son coussin pour qu’on ne l’entende pas. Et très vite, ce bonheur se transforma en excitation quand elle commença à s’imaginer ce qui allait se passer une fois qu’elle irait se coucher. Elle s’imagina avec Yuko, qui s’occupait d’elle, la chouchoutait, la berçait et la bordait, et elle se mit même à fantasmer sur l’idée que, au lieu d’un verre de lait, la maid lui donnerait le sein. Rapidement, la température monta entre ses jambes, et vu qu’elle n’avait plus de culotte, ce fut facile pour elle de commencer à se masturber.
« Mmmhhh... aaahhh... »
Un petit moment de détente avant de se mettre au travail.
« Tu veux savoir pourquoi je reste avec toi, que je ne vais plus voir ailleurs et que je fais tout pour qu’on se rapprocher un peu plus chaque jour ? »
Elle avait beau la taquiner un peu, elle comprenait pourquoi sa petite amie l’interrogeait, et elle décida de lui répondre avec son cœur.
« Pour commencer, et je sais que ça va te paraître frivole, mais j’aime ton physique. Tu es une belle jeune femme, et je suis persuadée que tu vas devenir de plus en plus belle au fil des années qu’on passera ensemble. Mais je te rassure, il n’y a pas que ça. Je t’aime surtout et avant tout pour ton caractère. »
Ca pouvait sembler assez étrange vu que le caractère de la demoiselle empêchait la neko de faire plein de choses qu’elle aurait aimé faire avec elle, mais elle avait une explication.
« Avant que je te connaisse, je n’avais pas de mal à mettre n’importe quelle fille dans mon lit. Au bout d’un moment, ça devenait même trop facile. Je m’ennuyais de cette facilité. Et soudain, voilà que débarque une magnifique jeune femme aux cheveux roses qui m’annonce qu’elle va être ma nouvelle servante personnelle. Evidemment je me suis lancée à ta conquête en me disant que ce serait encore une partie de plaisir, mais voilà que tu me résistes. Pour la première fois depuis des années, je n’ai pas eu ce que je voulais. Au début ça me frustre, mais ensuite ça me fascine. J’ai envie d’en savoir plus sur toi. Je continue mes avances, tu continues à les repousser, et très vite, je n’arrive plus à penser à autre chose. Finalement, je me rends compte que je me porte préjudice à moi-même en te harcelant de la sorte. Alors j’essaie d’autres approches, plus douces, plus gentilles. Et chaque fois que je te vois sourire, mon cœur bat la chamade.
Et c’est pour ça que je t’ai demandée de devenir ma petite amie : parce que je voulais qu’il y ait plus de moments comme ceux-là. Des moments de sourire, de joie, de rire. Le fait que je doive batailler pour t’arracher le moindre compliment le rend encore plus délicieux. Alors surtout, continue de me faire la tête et de me refuser des choses. Qui sait, un jour tu pourrais me pousser à te demander en mariage. »
Antares le disait sur le ton de la plaisanterie pour l’instant, mais elle y pensait. Ayant déjà 20 ans, il allait bientôt être temps pour elle de travailler pour maintenir la grandeur de sa famille, ce qui allait forcément impliquer qu’elle se marie à un moment ou un autre. Mais contrairement à Pleione, elle avait beaucoup plus de marge de manœuvre, de par son talent déjà remarqué pour faire de la politique. Si elle la jouait correctement, elle pourrait se marier avec Yuka sans que ça lui soit trop reproché.
« Ce que j’aime aussi, c’est ton dévouement envers ta sœur. Même si vous avez tout perdu, vous ne vous êtes jamais laissées aller et vous vous êtes soutenues l’une l’autre, vous donnant du courage pour pouvoir tenir. Et je trouve ça magnifique.
Je pourrais aussi te parler de tes expressions boudeuses, de la façon dont tes joues brillent quand elles rougissent, ou même de ton balancement de hanches naturel quand tu marches... mais on y passerait la journée. Alors je conclurai en te disant que tu n’auras jamais à douter de mon amour, parce qu’à mes yeux, un seul sourire de toi vaut plus que dix greluches faciles. »
Antares espérait avoir réussi à convaincre Yuka à travers sa réponse, qui venait directement de son cœur, et qu’elle n’irait pas penser qu’elle avait dit tout ça juste pour l’amadouer.
« Mais je pourrais te retourner la question. Qu’est-ce que tu aimes chez moi ? »
Dans sa chambre, Pleione échangeait avec Yuko sur un nouveau sujet amenée par la maid. Cette dernière était curieuse de savoir quel destin attendait sa jeune maîtresse pour son avenir professionnel, vu qu’elle était la sœur cadette.
« Eh bien... à vrai dire je ne suis pas sûre moi-même. Concrètement, deux futurs s’offrent à moi. Si mes parents me trouvent un mari, je serai certainement limitée à une vie d’épouse et de mère. C’est moi qui dirigerai le foyer, mais je ne serai plus impliquée dans d’autres affaires. Et si je ne me marie pas, je me retrouverai sûrement à travailler avec je ne sais quelle famille noble pour je ne sais quelle intrigue politique.
En tant qu’aînée, c’est Antares qui prendra les commandes. Si je ne me marie pas, j’irai où elle me dira d’aller. »
La famille Lilianstar, en plus de gérer plusieurs commerces qui lui rapportaient beaucoup d’argent, était surtout très impliquée dans la vie politique de leur pays, que ce soit en interne ou en externe. Antares avait été préparée par ses parents et tout un tas de professeurs au monde redoutable de la politique, et elle s’était avérée plutôt douée au grand jeu de la diplomatie et de l’intrigue. Son avenir était tout tracé, mais celui de Pleione allait dépendre de sa future vie amoureuse.
« Mais ne t’en fais pas, on restera ensemble où que j’aille. »
Après avoir fini sa tasse de thé, Pleione réalisa que la matinée était déjà bien avancée et que l’heure du déjeuner approchait.
« Merci Yuko, tu peux débarrasser. J’ai des devoirs à faire, et je suppose que tu as d’autres tâches qui t’attendent.
Oh attends, juste une dernière chose... »
La neko passa rapidement dans sa salle de bains privée pour pouvoir retirer ses nouveaux sous-vêtements et alla ensuite les donner à sa maid.
« Je les ai essayés pour être sûr qu’ils m’allaient bien, mais vu qu’ils sont neufs, il faut les laver. Je peux te demander d’aller les mettre avec le reste de mon linge sale ? Merci. »
Une fois Yuko sortie, Pleione ne se mit pas tout de suite à son bureau pour s’occuper de ses devoirs. A la place, elle alla s’allonger sur son lit et enfouit sa tête dans son oreiller pour pouvoir miauler sans que personne ne l’entende.
Mmmyyyuuu... Yuko, Yuko, Yuko.
La neko battait des jambes et sa queue caudale gigotait frénétiquement. Elle était tellement contente d’avoir obtenue cette nouvelle routine du coucher, et son petite cœur était encore tout chamboulé après que sa servante lui ait dit qu’elle préférait les filles comme elle. Elle était tellement heureuse qu’elle devait miauler dans son coussin pour qu’on ne l’entende pas. Et très vite, ce bonheur se transforma en excitation quand elle commença à s’imaginer ce qui allait se passer une fois qu’elle irait se coucher. Elle s’imagina avec Yuko, qui s’occupait d’elle, la chouchoutait, la berçait et la bordait, et elle se mit même à fantasmer sur l’idée que, au lieu d’un verre de lait, la maid lui donnerait le sein. Rapidement, la température monta entre ses jambes, et vu qu’elle n’avait plus de culotte, ce fut facile pour elle de commencer à se masturber.
« Mmmhhh... aaahhh... »
Un petit moment de détente avant de se mettre au travail.
DC de Shykarka. Merci de me contacter sur mon compte principal pour que je voie votre message rapidement.
- Yuko & Yuka Karistal
- Messages : 923
- Enregistré le : 24 août 2024 13:58
Yuka était heureuse de cet orgasme, elle commençait à y prendre goût même si elle savait qu'un orgasme n'avait rien de douloureux, contrairement à perdre sa virginité parait-il ? Mais bon, elle et son honneur, c'était quelque chose. Accepter un orgasme avec une neko qui lui est supérieure, ça faisait beaucoup à cette demoiselle à avaler. Non pas qu'elle soit raciste ou autre, mais plus jeune, les rôles étaient inversés, elle avait tout ce qu'elle voulait et les domestiques, en majorité neko, lui devait une obéissance absolue ! Et là, inversé les rôles... Pour sûr qu'elle serrait les dents parfois. Elle était devenue pauvre, du moins, sa famille l'avait été, et la voilà maintenant à cette place. Adieux le prestige et le luxe, elle s'y faisait petit à petit, mais elle voulait retrouver cette grandeur. Étais-ce la raison de son amour envers cette neko ? Yuka n'était pas si superficielle quand même. Que voulez-vous, le cœur à ses raisons que la raison ignore, tout simplement. Face à sa question, Antares lui répondait simplement, vidant ce qu'elle avait sur le cœur, soulignant bien le caractère de Yuka qui s'obstinait à lui dire non, là où tous les autres acceptaient. Dans un sens, Yuko aussi avait refusé, mais elle, c'était plus par peur là où Yuka ne mâchait pas ses mots pour la remettre à sa place, maîtresse ou non.
Mais Antares l'aimait aussi pour ça et il faut bien reconnaître qu'elle savait choisir les bons mots pour l'émouvoir. Oh, elle n'allait pas verser sa petite larme pour si peu, mais Yuka était heureuse de savoir tout cela, elle se sentait même honoré dans un sens, que cette neko bataille autant pour lui arracher un sourire. Rares étaient les fois où Yuka lui souriait simplement. Certes, après l'amour, mais c'était l'euphorie du moment qui voulait ça aussi. La neko évoquait aussi l'amour avec sa sœur jumelle, mais pour elles, Yuko comme Yuka, leur amour était primordial, au-delà du fait qu'elles soient jumelles, elles avaient tout perdue, même leurs parents – vente par besoin ou pour leur offrir une meilleure vie, qu'importe pour elles, elles n'avaient plus de parents – alors entre elles, elles se soutenaient. Si dans la seconde, Yuko aurait besoin de son aide, car elle allait mal, Antares ou non, elle la lâcherait pour aider sa sœur, ça, aucune neko ne pourra y changer quelque chose. Les sœurs jumelles ne pouvaient vivre sans l'autre. Antares concluait avec certains détails qu'elle appréciait chez elle, mais là, même si c'était mignon, Yuka sentait une certaine taquinerie dans son ton, ce qui ne lui fit pas changer d'humeur, mais elle était moins câline. Sacrée Yuka... Car bien entendue, sa maîtresse lui renvoyait la question, mais Yuka ne répondit pas aussi vite qu'elle.
Car vraiment, qu'aimait-elle chez Antares ? Certes, elle était jolie, mais les filles avec de meilleures formes qu'elle avait tendance à l'agacer donc, ce ne pouvait pas vraiment être le physique ? Son caractère ? Non, le fait qu'elle insiste autant à chaque fois pour obtenir gain de cause lui courait sur le haricot ! Sa fortune ? Elle n'était pas cupide à ce point ! La réponse était peut-être évidente, mais pour Yuka, elle était bien cachée, car même dans ce moment de douceur, elle ne la connaissait pas...
« Sincèrement, je ne sais pas... Je n'ai pas tant de mots doux que toi à te lancer, mais je sais que dans ce genre de moment, j'apprécie que tu me tiennes compagnie, que tu te montres douce et câline, que tu cesses de penser un peu au sexe pour être plus... bien élevée ? »
Yuka n'avait rien contre le sexe, c'était une chose de son âge, mais depuis son arrivée ici, Antares lui donnait l'impression de ne penser qu'à cela. Elle avait beau eu se plaindre ce matin, au moins leur sortie n'avait rien eut d'érotique. Pas très passionnant d'espionner leurs sœurs, certes, mais pas désagréable non plus. Elle restait allongée sur elle, ignorant la raison ou elle se convainquait elle-même de cacher ses sentiments envers Antares, en tout cas, pour le moment, elle n'avait rien de mieux à lui dire. Mais quand on connaissait le caractère habituelle de la domestique, certes, ce n'était rien d'aussi beau que ce qu'elle venait de lui dire, mais c'était un grand pas pour elle. Mais à défaut d'avoir des mots doux à lui sortir, elle se montrait un peu plus franche sur un autre point, leur amour caché... Elle se redressa, juste assez pour que leur regard se croise.
« Tu sais, je ne veux pas que ma sœur sache pour nous, pour le moment. Je ne veux pas qu'elle pense qu'à cause de toi, je la délaisserais, ou qu'elle passera en second. Yuko sera toujours prioritaire pour moi, jamais je ne m'éloignerais de ma sœur jumelle. J'ai peur que le lui annoncer pour nous, risque de lui faire de la peine... »
Elles s'aimaient, elle ne l'abandonnait pas, mais Yuka connaissait mieux Yuko que n'importe qui ici, elle savait que le lui annoncé, risquerait de la chambouler, au-delà de sa joie qu'elle aurait pour sa sœur, quand même. Mais pour que Yuko ne soit pas en peine, il faudrait qu'elle aussi se trouve dans la même situation.
Yuko se montra de nouveau curieuse, comme souvent, et apprenait une chose qui ne lui fit pas spécialement plaisir. Déjà, que ses parents lui trouve un mari... Cette idée lui déplaisait plus que tout ! C'était à Pleione de choisir qui elle aimerait, homme ou femme ! Si elle serait encore noble, elle ne sait pas ce que ses parents auraient décidé pour elles, mais en tout cas, Yuko n'aurait pas accepté qu'on décide de ça pour elle. On ne parle pas de suivre certains cours en particulier ou de forcer à jouer d'un instrument, on parle d'une vie amoureuse qui doit mener à avoir des enfants, une famille ! Une lubie de noble qu'elle ne comprenait pas et n'acceptait pas non plus. Mais elle se retenait de dire son avis, supposant que, d'une façon ou d'une autre, son devoir de domestique l'obligeait à trouver une alternative qui saurait décider les parents à faire emprunter cette autre voie à leur fille et non suivre un garçon qu'elle ne connaissait pas, uniquement pour une idée politique ou de richesse...
Enfin, elle devait reprendre ses tâches, la neko lui confia ses nouveaux achats qu'elle devait mettre à laver étant donné qu'ils étaient nouveaux. Yuko accepta poliment en prenant le tout, le plateau et les tasses dans une main, le linge dans une autre main, et en bonne domestique qu'elle soit, elle quitta la chambre avec une petite révérence envers la neko avant de filer déposé le linge dans le panier, avant de déposer le service à thé, qu'elle nettoyait de suite. Yuko restait heureuse de ce petit moment avec sa maîtresse, obtenant de la border le soir, mais même sans ça, ces petits moments avec elle était toujours une source de plaisir pour elle. La domestique fit son travail, surtout basé sur des choses qui concernait Pleione – son linge, nettoyer sa chambre, prévoir son planning – et une fois la vaisselle fait, elle put s'occuper de son linge. Elle nettoyait chacun de ses vêtements à la main, un à un en prenant attention au tissu délicat. Elle était une ancienne noble, elle le sentait entre ses doigts quand c'était de la qualité ou juste un mouchoir de poche.
Évidemment seule, quand elle piocha enfin une de ses nouvelles culottes, elle la renifla doucement, fermant les yeux en humant cette odeur... Ce qui n'était pas terrible... Elle l'avait juste essayé, ça sentait le neuf... Certes, c'était beau, elle devait être très belle dedans, mais... bah, c'était insuffisant pour elle. Elle tomba sur sa petite culotte de la veille et là en revanche, elle s'extasiait en la reniflant. L'intérieur de sa culotte sur son nez, elle y sentait une odeur si particulière qui la laissait si relaxée. Elle sentait une certaine chaleur entre ses jambes, comme dans son cœur, mais elle ne doutait pas une seconde que l'amour parlait pour elle, lui envoyait des perches. Elle était juste heureuse, c'est tout. Cela dit, une fois sec, elle porterait bien sa nouvelle lingerie, pour voir si ça lui allait, mais, sans le savoir, pour se plaire à savoir que sa maîtresse portait quelque chose qu'elle avait elle aussi mis sur sa peau nue ! Cependant, inspirée par ses idées coquines ou non, Yuko eut une idée pour, éventuellement empêcher Pleione d'épouser un inconnu et suivre une vie qui ne lui plaisait pas... Et si Pleione avait un bébé ? Qu'elle portait ou qu'une autre femme le porte ? Ses parents seraient du genre à vouloir taire cela et le caché ou bien, assumeraient-ils ce choix ? Bonne question... Faute de meilleure idée, elle proposera cela à sa maîtresse quand elle en aura l'occasion. Si cela peut aider sa maîtresse, elle veux bien porter et élever son enfant ! Une preuve d'amour... que Yuko ne soupçonnait pas, juste qu'elle avait un grand respect pour sa maîtresse. Et pourtant, une telle décision... Pleione n'était pas une déesse, juste une neko.
Elle devrait peut-être voir avec Antares ? Elle, elle devrait savoir ce que ses parents décideraient si une telle chose arrivait... Mieux vaut demander à elle, non ? Plutôt que lui donner de fausses idées et de fausses pistes. Dans un sens... elle avait peur de demander cela à Antares... Elle avait beau avoir abandonné les avances, elle avait peur de rallumer la mèche avec une pareille question. Enfin, pour le moment, déjà, elle devait finir les tâches de sa maîtresse ! Finir de nettoyer son linge et ensuite, aider les autres maids en cuisine !
Mais Antares l'aimait aussi pour ça et il faut bien reconnaître qu'elle savait choisir les bons mots pour l'émouvoir. Oh, elle n'allait pas verser sa petite larme pour si peu, mais Yuka était heureuse de savoir tout cela, elle se sentait même honoré dans un sens, que cette neko bataille autant pour lui arracher un sourire. Rares étaient les fois où Yuka lui souriait simplement. Certes, après l'amour, mais c'était l'euphorie du moment qui voulait ça aussi. La neko évoquait aussi l'amour avec sa sœur jumelle, mais pour elles, Yuko comme Yuka, leur amour était primordial, au-delà du fait qu'elles soient jumelles, elles avaient tout perdue, même leurs parents – vente par besoin ou pour leur offrir une meilleure vie, qu'importe pour elles, elles n'avaient plus de parents – alors entre elles, elles se soutenaient. Si dans la seconde, Yuko aurait besoin de son aide, car elle allait mal, Antares ou non, elle la lâcherait pour aider sa sœur, ça, aucune neko ne pourra y changer quelque chose. Les sœurs jumelles ne pouvaient vivre sans l'autre. Antares concluait avec certains détails qu'elle appréciait chez elle, mais là, même si c'était mignon, Yuka sentait une certaine taquinerie dans son ton, ce qui ne lui fit pas changer d'humeur, mais elle était moins câline. Sacrée Yuka... Car bien entendue, sa maîtresse lui renvoyait la question, mais Yuka ne répondit pas aussi vite qu'elle.
Car vraiment, qu'aimait-elle chez Antares ? Certes, elle était jolie, mais les filles avec de meilleures formes qu'elle avait tendance à l'agacer donc, ce ne pouvait pas vraiment être le physique ? Son caractère ? Non, le fait qu'elle insiste autant à chaque fois pour obtenir gain de cause lui courait sur le haricot ! Sa fortune ? Elle n'était pas cupide à ce point ! La réponse était peut-être évidente, mais pour Yuka, elle était bien cachée, car même dans ce moment de douceur, elle ne la connaissait pas...
« Sincèrement, je ne sais pas... Je n'ai pas tant de mots doux que toi à te lancer, mais je sais que dans ce genre de moment, j'apprécie que tu me tiennes compagnie, que tu te montres douce et câline, que tu cesses de penser un peu au sexe pour être plus... bien élevée ? »
Yuka n'avait rien contre le sexe, c'était une chose de son âge, mais depuis son arrivée ici, Antares lui donnait l'impression de ne penser qu'à cela. Elle avait beau eu se plaindre ce matin, au moins leur sortie n'avait rien eut d'érotique. Pas très passionnant d'espionner leurs sœurs, certes, mais pas désagréable non plus. Elle restait allongée sur elle, ignorant la raison ou elle se convainquait elle-même de cacher ses sentiments envers Antares, en tout cas, pour le moment, elle n'avait rien de mieux à lui dire. Mais quand on connaissait le caractère habituelle de la domestique, certes, ce n'était rien d'aussi beau que ce qu'elle venait de lui dire, mais c'était un grand pas pour elle. Mais à défaut d'avoir des mots doux à lui sortir, elle se montrait un peu plus franche sur un autre point, leur amour caché... Elle se redressa, juste assez pour que leur regard se croise.
« Tu sais, je ne veux pas que ma sœur sache pour nous, pour le moment. Je ne veux pas qu'elle pense qu'à cause de toi, je la délaisserais, ou qu'elle passera en second. Yuko sera toujours prioritaire pour moi, jamais je ne m'éloignerais de ma sœur jumelle. J'ai peur que le lui annoncer pour nous, risque de lui faire de la peine... »
Elles s'aimaient, elle ne l'abandonnait pas, mais Yuka connaissait mieux Yuko que n'importe qui ici, elle savait que le lui annoncé, risquerait de la chambouler, au-delà de sa joie qu'elle aurait pour sa sœur, quand même. Mais pour que Yuko ne soit pas en peine, il faudrait qu'elle aussi se trouve dans la même situation.
Yuko se montra de nouveau curieuse, comme souvent, et apprenait une chose qui ne lui fit pas spécialement plaisir. Déjà, que ses parents lui trouve un mari... Cette idée lui déplaisait plus que tout ! C'était à Pleione de choisir qui elle aimerait, homme ou femme ! Si elle serait encore noble, elle ne sait pas ce que ses parents auraient décidé pour elles, mais en tout cas, Yuko n'aurait pas accepté qu'on décide de ça pour elle. On ne parle pas de suivre certains cours en particulier ou de forcer à jouer d'un instrument, on parle d'une vie amoureuse qui doit mener à avoir des enfants, une famille ! Une lubie de noble qu'elle ne comprenait pas et n'acceptait pas non plus. Mais elle se retenait de dire son avis, supposant que, d'une façon ou d'une autre, son devoir de domestique l'obligeait à trouver une alternative qui saurait décider les parents à faire emprunter cette autre voie à leur fille et non suivre un garçon qu'elle ne connaissait pas, uniquement pour une idée politique ou de richesse...
Enfin, elle devait reprendre ses tâches, la neko lui confia ses nouveaux achats qu'elle devait mettre à laver étant donné qu'ils étaient nouveaux. Yuko accepta poliment en prenant le tout, le plateau et les tasses dans une main, le linge dans une autre main, et en bonne domestique qu'elle soit, elle quitta la chambre avec une petite révérence envers la neko avant de filer déposé le linge dans le panier, avant de déposer le service à thé, qu'elle nettoyait de suite. Yuko restait heureuse de ce petit moment avec sa maîtresse, obtenant de la border le soir, mais même sans ça, ces petits moments avec elle était toujours une source de plaisir pour elle. La domestique fit son travail, surtout basé sur des choses qui concernait Pleione – son linge, nettoyer sa chambre, prévoir son planning – et une fois la vaisselle fait, elle put s'occuper de son linge. Elle nettoyait chacun de ses vêtements à la main, un à un en prenant attention au tissu délicat. Elle était une ancienne noble, elle le sentait entre ses doigts quand c'était de la qualité ou juste un mouchoir de poche.
Évidemment seule, quand elle piocha enfin une de ses nouvelles culottes, elle la renifla doucement, fermant les yeux en humant cette odeur... Ce qui n'était pas terrible... Elle l'avait juste essayé, ça sentait le neuf... Certes, c'était beau, elle devait être très belle dedans, mais... bah, c'était insuffisant pour elle. Elle tomba sur sa petite culotte de la veille et là en revanche, elle s'extasiait en la reniflant. L'intérieur de sa culotte sur son nez, elle y sentait une odeur si particulière qui la laissait si relaxée. Elle sentait une certaine chaleur entre ses jambes, comme dans son cœur, mais elle ne doutait pas une seconde que l'amour parlait pour elle, lui envoyait des perches. Elle était juste heureuse, c'est tout. Cela dit, une fois sec, elle porterait bien sa nouvelle lingerie, pour voir si ça lui allait, mais, sans le savoir, pour se plaire à savoir que sa maîtresse portait quelque chose qu'elle avait elle aussi mis sur sa peau nue ! Cependant, inspirée par ses idées coquines ou non, Yuko eut une idée pour, éventuellement empêcher Pleione d'épouser un inconnu et suivre une vie qui ne lui plaisait pas... Et si Pleione avait un bébé ? Qu'elle portait ou qu'une autre femme le porte ? Ses parents seraient du genre à vouloir taire cela et le caché ou bien, assumeraient-ils ce choix ? Bonne question... Faute de meilleure idée, elle proposera cela à sa maîtresse quand elle en aura l'occasion. Si cela peut aider sa maîtresse, elle veux bien porter et élever son enfant ! Une preuve d'amour... que Yuko ne soupçonnait pas, juste qu'elle avait un grand respect pour sa maîtresse. Et pourtant, une telle décision... Pleione n'était pas une déesse, juste une neko.
Elle devrait peut-être voir avec Antares ? Elle, elle devrait savoir ce que ses parents décideraient si une telle chose arrivait... Mieux vaut demander à elle, non ? Plutôt que lui donner de fausses idées et de fausses pistes. Dans un sens... elle avait peur de demander cela à Antares... Elle avait beau avoir abandonné les avances, elle avait peur de rallumer la mèche avec une pareille question. Enfin, pour le moment, déjà, elle devait finir les tâches de sa maîtresse ! Finir de nettoyer son linge et ensuite, aider les autres maids en cuisine !

- Soeurs Lilianstar
- Messages : 806
- Enregistré le : 16 août 2024 16:48
Antares avait répondu à Yuka dès qu’elle lui avait posé sa question, mais Yuka semblait avoir plus de mal à trouver les raisons pour lesquelles elle était amoureuse d’Antares. Elle répondit juste qu’elle aimait ces moments de tendresse après l’amour où la neko cessait de penser au sexe pour se montrer sous un meilleur jour.
Il y aurait plus de moments comme ça si on faisait l’amour plus souvent. Mais si je le dis, elle va se braquer.
La maid lui rappela aussi qu’elle ne voulait pas que sa sœur soit au courant pour leur relation, de crainte qu’elle ne se mette à penser que sa jumelle allait se mettre à la délaisser. Sa sœur était sa priorité, et elle n’en démordrait pas.
« C’est toi qui vois. Mais si ça peut te rassurer, jamais je n’essaierai de t’éloigner de ta sœur. Une relation fraternelle aussi belle que la vôtre doit être chérie et protégée. »
La neko caressa la chevelure de sa chérie tout en baisant son front. Elle avait très envie d’aller palper ses rondeurs, mais elle se retenait pour éviter de la vexer et lui donner une bonne raison de partir. Puisqu’elle n’avait plus de sexe, elle pouvait au moins avoir des câlins.
« Tu sais, ce n’est pas parce que je parle beaucoup de sexe que je ne pense qu’à ça, tout le temps. Je sais bien qu’on ne peut pas bâtir une relation uniquement sur le physique. Mais je n’y peux rien, j’aime faire l’amour. J’aime sentir le corps chaud et transpirant d’une femme contre le mien, l’entendre gémir de plaisir tandis que je lèche son minou et que je malaxe la chair moelleuse de ses... »
Evidemment, elle n’eut pas le temps de finir avant de se faire rappeler à l’ordre et de devoir revenir à son propos principal.
« Tout ça pour dire que, même si j’aime qu’on fasse l’amour, je ne te vois pas comme un simple bout de viande. Je veux qu’on ait une vraie relation de couple. »
Ce ne serait pas facile, mais elle y comptait bien.
Après quelques minutes de câlins tendres et de baisers doux, Yuka finit par se rhabiller et quitter la chambre. Elle avait du travail, surtout que le déjeuner approchait.
« Je vais aller voir Pleione pour lui demander si elle est d’accord pour dormir avec Yuko. Comme ça, toi et moi, on s’offrira une soirée entre amoureuses. »
La maid avait promis, et la neko comptait bien lui faire tenir parole.
Dans sa chambre, Pleione se faisait plaisir en s’imaginant la soirée qui l’attendait avec Yuko, et fantasmait sur les débordements qui pourraient arriver. Au lieu de l’attendre à la sortie de la douche, sa servante pourrait venir la rejoindre et la nettoyer. Puis elle la sécherait avec une serviette et l’habillerait avant de superviser son brossage de dents. Une fois dans son lit, elle lui donnerait le sein plutôt qu’une verre de lait. Et au matin, quand elle viendrait la réveiller, elle l’accompagnerait de nouveau pour sa douche matinale et lui choisirait ses vêtements pour la journée. Peut-être même qu’elle lui choisirait sa lingerie.
« Mmmrrraaawww... Yuko... ooohhh... »
Perdue dans ses fantasmes, la neko était si excitée qu’elle songea à aller prendre un des vibromasseurs d’Antares pour se finir, mais elle ne voulait pas se lever de son lit. Elle préféra se terminer avec ses doigts, appuyant sur son clitoris en s’imaginant dans son lit, avec sa servante veillant sur elle, jusqu’à ce qu’elle finisse par jouir.
« MMMYYYUUU ! »
Pleione se mit les doigts de sa main libre dans la bouche pour ne pas miauler trop fort, tandis que sa mouille éclaboussa les doigts de son autre main. Cet orgasme la retourna pas mal, et elle était encore à moitié sous le choc de la jouissance quand elle entendit frapper à la porte.
« Ah ? Euh... oui ? »
« Pleione, c’est moi. Je peux entrer ? »
« Euh... oui, oui Antares. »
L’aînée Lilianstar entra dans la chambre, rassurée de ne pas voir Yuko.
« Tu as une minute ? J’aimerais te parler. »
« Aahh... d’accord, vas-y. »
« Tu vas bien ? Tu as les joues toutes rouges ? »
« Oui... oui, ça va. J’ai juste un peu chaud. »
Pleione savait qu’elle n’aurait pas dû mentir, mais elle n’osait pas non plus dire la vérité à sa sœur. Malheureusement pour elle, Antares connaissait bien l’expression du plaisir, et entre ça et les sous-vêtements sur le sol, elle se fit vite une idée. Mais elle n’était pas là pour parler de ça.
« J’aimerais te demander un service. Yuka est d’accord pour dormir avec moi cette nuit, mais elle ne veut pas laisser Yuko toute seule. Est-ce que tu accepterais d’aller dormir avec elle. »
« Moi.. dormir avec Yuko ? Tu es sûre ? »
« Ca te pose un problème ? Il y a un souci entre toi et Yuko ? »
« Non, pas du tout, mais... c’est juste que... ça fait bizarre. »
« Du calme, je ne te demande pas de coucher avec elle, juste de passer la nuit avec elle dans le même lit. Imagine que tu fais une soirée pyjama. »
« J’ai plus 12 ans Antares. En plus on a jamais fait de soirée pyjama. »
« Justement, c’est l’occasion d’essayer.
Je t’en prie, je ne te le demanderai pas s’il y avait un autre moyen. C’est peut-être ma seule chance de pouvoir passer une nuit complète avec Yuko. »
« Moi ça ne me dérange pas... mais si Yuko n’est pas d’accord ? »
« T’en fais pas pour Yuko, c’est Yuka qui va lui demander. J’ai juste besoin de savoir si tu es d’accord pour le faire. »
Pleione n’y voyait pas vraiment d’inconvénient. De toute façon, les demoiselles devaient déjà se voir ce soir pour la routine du coucher. Et dans sa tête, dormir dans le même lit que sa servante n’avait pas forcément de lien avec une quelconque forme d’intimité ou de rapprochement.
« Bon... si c’est pour te rendre service, je veux bien. »
« Oohh ! Merci, merci, merci. »
L’aînée embrassa sa cadette sur le sommet du crâne, puis elle repartit aussitôt. Elle ne voulait pas annoncer la nouvelle à Yuka tout de suite, d’autant qu’elle l’avait déjà bien retenue, mais elle ne voulait pas rester dans la chambre au cas où sa sœur aurait eu besoin de finir ce qu’elle avait commencé.
Les minutes continuèrent de passer, puis la cloche du déjeuner sonna.
Il y aurait plus de moments comme ça si on faisait l’amour plus souvent. Mais si je le dis, elle va se braquer.
La maid lui rappela aussi qu’elle ne voulait pas que sa sœur soit au courant pour leur relation, de crainte qu’elle ne se mette à penser que sa jumelle allait se mettre à la délaisser. Sa sœur était sa priorité, et elle n’en démordrait pas.
« C’est toi qui vois. Mais si ça peut te rassurer, jamais je n’essaierai de t’éloigner de ta sœur. Une relation fraternelle aussi belle que la vôtre doit être chérie et protégée. »
La neko caressa la chevelure de sa chérie tout en baisant son front. Elle avait très envie d’aller palper ses rondeurs, mais elle se retenait pour éviter de la vexer et lui donner une bonne raison de partir. Puisqu’elle n’avait plus de sexe, elle pouvait au moins avoir des câlins.
« Tu sais, ce n’est pas parce que je parle beaucoup de sexe que je ne pense qu’à ça, tout le temps. Je sais bien qu’on ne peut pas bâtir une relation uniquement sur le physique. Mais je n’y peux rien, j’aime faire l’amour. J’aime sentir le corps chaud et transpirant d’une femme contre le mien, l’entendre gémir de plaisir tandis que je lèche son minou et que je malaxe la chair moelleuse de ses... »
Evidemment, elle n’eut pas le temps de finir avant de se faire rappeler à l’ordre et de devoir revenir à son propos principal.
« Tout ça pour dire que, même si j’aime qu’on fasse l’amour, je ne te vois pas comme un simple bout de viande. Je veux qu’on ait une vraie relation de couple. »
Ce ne serait pas facile, mais elle y comptait bien.
Après quelques minutes de câlins tendres et de baisers doux, Yuka finit par se rhabiller et quitter la chambre. Elle avait du travail, surtout que le déjeuner approchait.
« Je vais aller voir Pleione pour lui demander si elle est d’accord pour dormir avec Yuko. Comme ça, toi et moi, on s’offrira une soirée entre amoureuses. »
La maid avait promis, et la neko comptait bien lui faire tenir parole.
Dans sa chambre, Pleione se faisait plaisir en s’imaginant la soirée qui l’attendait avec Yuko, et fantasmait sur les débordements qui pourraient arriver. Au lieu de l’attendre à la sortie de la douche, sa servante pourrait venir la rejoindre et la nettoyer. Puis elle la sécherait avec une serviette et l’habillerait avant de superviser son brossage de dents. Une fois dans son lit, elle lui donnerait le sein plutôt qu’une verre de lait. Et au matin, quand elle viendrait la réveiller, elle l’accompagnerait de nouveau pour sa douche matinale et lui choisirait ses vêtements pour la journée. Peut-être même qu’elle lui choisirait sa lingerie.
« Mmmrrraaawww... Yuko... ooohhh... »
Perdue dans ses fantasmes, la neko était si excitée qu’elle songea à aller prendre un des vibromasseurs d’Antares pour se finir, mais elle ne voulait pas se lever de son lit. Elle préféra se terminer avec ses doigts, appuyant sur son clitoris en s’imaginant dans son lit, avec sa servante veillant sur elle, jusqu’à ce qu’elle finisse par jouir.
« MMMYYYUUU ! »
Pleione se mit les doigts de sa main libre dans la bouche pour ne pas miauler trop fort, tandis que sa mouille éclaboussa les doigts de son autre main. Cet orgasme la retourna pas mal, et elle était encore à moitié sous le choc de la jouissance quand elle entendit frapper à la porte.
« Ah ? Euh... oui ? »
« Pleione, c’est moi. Je peux entrer ? »
« Euh... oui, oui Antares. »
L’aînée Lilianstar entra dans la chambre, rassurée de ne pas voir Yuko.
« Tu as une minute ? J’aimerais te parler. »
« Aahh... d’accord, vas-y. »
« Tu vas bien ? Tu as les joues toutes rouges ? »
« Oui... oui, ça va. J’ai juste un peu chaud. »
Pleione savait qu’elle n’aurait pas dû mentir, mais elle n’osait pas non plus dire la vérité à sa sœur. Malheureusement pour elle, Antares connaissait bien l’expression du plaisir, et entre ça et les sous-vêtements sur le sol, elle se fit vite une idée. Mais elle n’était pas là pour parler de ça.
« J’aimerais te demander un service. Yuka est d’accord pour dormir avec moi cette nuit, mais elle ne veut pas laisser Yuko toute seule. Est-ce que tu accepterais d’aller dormir avec elle. »
« Moi.. dormir avec Yuko ? Tu es sûre ? »
« Ca te pose un problème ? Il y a un souci entre toi et Yuko ? »
« Non, pas du tout, mais... c’est juste que... ça fait bizarre. »
« Du calme, je ne te demande pas de coucher avec elle, juste de passer la nuit avec elle dans le même lit. Imagine que tu fais une soirée pyjama. »
« J’ai plus 12 ans Antares. En plus on a jamais fait de soirée pyjama. »
« Justement, c’est l’occasion d’essayer.
Je t’en prie, je ne te le demanderai pas s’il y avait un autre moyen. C’est peut-être ma seule chance de pouvoir passer une nuit complète avec Yuko. »
« Moi ça ne me dérange pas... mais si Yuko n’est pas d’accord ? »
« T’en fais pas pour Yuko, c’est Yuka qui va lui demander. J’ai juste besoin de savoir si tu es d’accord pour le faire. »
Pleione n’y voyait pas vraiment d’inconvénient. De toute façon, les demoiselles devaient déjà se voir ce soir pour la routine du coucher. Et dans sa tête, dormir dans le même lit que sa servante n’avait pas forcément de lien avec une quelconque forme d’intimité ou de rapprochement.
« Bon... si c’est pour te rendre service, je veux bien. »
« Oohh ! Merci, merci, merci. »
L’aînée embrassa sa cadette sur le sommet du crâne, puis elle repartit aussitôt. Elle ne voulait pas annoncer la nouvelle à Yuka tout de suite, d’autant qu’elle l’avait déjà bien retenue, mais elle ne voulait pas rester dans la chambre au cas où sa sœur aurait eu besoin de finir ce qu’elle avait commencé.
Les minutes continuèrent de passer, puis la cloche du déjeuner sonna.
DC de Shykarka. Merci de me contacter sur mon compte principal pour que je voie votre message rapidement.
- Yuko & Yuka Karistal
- Messages : 923
- Enregistré le : 24 août 2024 13:58
Pour Yuka, parler d'amour, c'était compliqué. Autant amour que sexe, Antares était la première à lui faire goûter cela alors en terme d'expérience déjà, elle ne pouvait comparer. Si elle aurait vécu plus longtemps dans le luxe, peut-être aurait-elle eu des partenaires et penser un peu plus au sexe, mais non, vivant assez rapidement dans la pauvreté, se nourrir, elle et sa famille, était plus une priorité que penser au sexe ! Antares ne lui en voulait pas au moins de ne pas avoir tant de mots doux à lui raconter, de même qu'elle ne tenterait rien pour les séparer. De toute façon, peu importe combien elle était amoureuse de la neko, sa sœur restait sa priorité, sa famille alors sur ça, Antares allait devoir comprendre que pour Yuka – et Yuko aussi – les liens familiaux étaient plus fort que le sexe. Même si la belle neko aux cheveux sombre aimait le sexe, avec Yuka, elle voulait quelque chose de solide, pas juste écarter les cuisses et prendre son pied, c'était même impératif, Yuka n'était pas le genre de fille à coucher pour coucher, il fallait qu'il y ai autre chose derrière et sans le moindre petit grain d'amour, elle aurait pu s'accrocher pour obtenir quelque chose de la domestique qui la servait. Après plusieurs minutes de douceur, Yuka se retira d'elle-même, certes, elle aurait pu rester encore un peu, mais les tâches n'allaient pas se faire toute seule. Elle avait beau râler et avoir son petit caractère, on ne pouvait pas dire qu'elle n'était pas sérieuse.
« Ne crie pas victoire trop vite, il faut que Yuko accepte aussi de son côté. Je tâcherais de lui en toucher deux mots dans l'après-midi, elle doit être occupé à ses tâches ou en cuisine actuellement ? »
De son côté, elle avait un peu de retard donc elle devait se bouger pour réussir à se rattraper. Ce n'est pas comme si elle ne commençait pas avoir l'habitude d'avoir un peu de retard sur son programme, avec une neko autant en chaleur à toujours lui tourner autour ! Yuka retourna donc travailler, tout comme Yuko de son côté qui en avait terminé avec la lessive de Pleione et son petit plaisir avant de commencer à donner un petit coup de main en cuisine. Ce fut là-dedans que les jumelles se retrouvèrent, mais pas le temps de parler, il était l'heure de servir et comme à leur habitude, à table, pas de préférences, elles servaient tout le monde, veillant à ce que tout soit impeccable, que rien ne manque et si besoin, elles étaient là pour aider et apporter ou corriger ce qui manquait. De même que les domestiques mangeaient elles dans la cuisine, un petit moment de repos et de travail, car si la cloche sonnait, elles devaient rappliquer illico. Servir, débarrasser, apporter la suite, elles étaient habituées, mais elles n'étaient pas les seules à servir donc, elles pouvaient se relayer et manger pendant que d'autres servaient ou inversement. Ce ne fut qu'une fois le repas de la famille fini que les jumelles avaient un peu de temps pour finir en paix et Yuka attendit la fin de leur repas pour aborder le sujet. Au calme, loin des autres domestiques, évidemment.
« Yuko, j'aurais une chose à te dire. »
« Oui ? »
« Ce soir, il est possible que je dorme avec Antares, sinon, elle risque de m'ennuyer encore bien longtemps et pour bosser, ça va devenir véritablement compliqué. »
Oui, Yuka ne voulait pas dire qu'elle lui avait tendue une perche, ce qui arrive ce soir, c'était évidemment à cause d'Antares. Cependant, suite à cela, elle vit de suite dans le regard de sa jumelle une forme de peur qu'elle tentait de lui éviter.
« Mais ne t'inquiète pas, tu n'auras qu'à passer la nuit avec Pleione, Antares lui a demander. Et si vraiment, tu n'y arrives pas, tu viendras frapper à sa porter et je dormirais avec toi, comme on l'a toujours fait. »
Yuko avait beau aimé sans le savoir Pleione, dormir loin de sa sœur, c'était encore une étape à franchir pour elle, depuis leur plus tendre enfance, elles ont dormi ensemble. Yuka venait l'enlacer pour la rassurer. Au moins, elle avait une carte de sortie si jamais elle ne supportait pas la séparation, mais elle pouvait faire l'effort d'essayer. Après tout, une petite part d'elle avait envie de dormir avec sa maîtresse. Après un petit câlin et quelques mots rassurant, elle se séparèrent à nouveau, finissant leurs corvées de leurs côtés. Yuko savait qu'elle aurait le thé à servir de nouveau vers seize heures, mais d'ici là, elles se contentaient des autres corvées qui lui restaient encore à faire, Yuka devait parfois servir le thé, mais avec Antares, c'était surtout une occasion de plus de tourner ça au sexe. Les commissions ont été faites pour Pleione ce matin, donc, ça ne risquait pas de retomber, sauf cas exceptionnelle. Bien que les domestiques soient aux ordres directs des filles Lilianstar, elles participaient comme chaque domestique aux tâches du manoir, ici et là. Nettoyant la bibliothèque ou le petit salon pour le thé, il y avait toujours du travail. Yuka s'occupait pour le moment de nettoyer une des nombreuses chambres d'amis, non loin de la chambre d'Antares, là où Yuko s'occupait de la chambre des parents de Pleione. Elle était toujours si admirative devant les photos des filles quand elles étaient jeunes... Enfin, surtout Pleione. Elle et ses petites mèches blanches, un adorable bébé chat !
« Ne crie pas victoire trop vite, il faut que Yuko accepte aussi de son côté. Je tâcherais de lui en toucher deux mots dans l'après-midi, elle doit être occupé à ses tâches ou en cuisine actuellement ? »
De son côté, elle avait un peu de retard donc elle devait se bouger pour réussir à se rattraper. Ce n'est pas comme si elle ne commençait pas avoir l'habitude d'avoir un peu de retard sur son programme, avec une neko autant en chaleur à toujours lui tourner autour ! Yuka retourna donc travailler, tout comme Yuko de son côté qui en avait terminé avec la lessive de Pleione et son petit plaisir avant de commencer à donner un petit coup de main en cuisine. Ce fut là-dedans que les jumelles se retrouvèrent, mais pas le temps de parler, il était l'heure de servir et comme à leur habitude, à table, pas de préférences, elles servaient tout le monde, veillant à ce que tout soit impeccable, que rien ne manque et si besoin, elles étaient là pour aider et apporter ou corriger ce qui manquait. De même que les domestiques mangeaient elles dans la cuisine, un petit moment de repos et de travail, car si la cloche sonnait, elles devaient rappliquer illico. Servir, débarrasser, apporter la suite, elles étaient habituées, mais elles n'étaient pas les seules à servir donc, elles pouvaient se relayer et manger pendant que d'autres servaient ou inversement. Ce ne fut qu'une fois le repas de la famille fini que les jumelles avaient un peu de temps pour finir en paix et Yuka attendit la fin de leur repas pour aborder le sujet. Au calme, loin des autres domestiques, évidemment.
« Yuko, j'aurais une chose à te dire. »
« Oui ? »
« Ce soir, il est possible que je dorme avec Antares, sinon, elle risque de m'ennuyer encore bien longtemps et pour bosser, ça va devenir véritablement compliqué. »
Oui, Yuka ne voulait pas dire qu'elle lui avait tendue une perche, ce qui arrive ce soir, c'était évidemment à cause d'Antares. Cependant, suite à cela, elle vit de suite dans le regard de sa jumelle une forme de peur qu'elle tentait de lui éviter.
« Mais ne t'inquiète pas, tu n'auras qu'à passer la nuit avec Pleione, Antares lui a demander. Et si vraiment, tu n'y arrives pas, tu viendras frapper à sa porter et je dormirais avec toi, comme on l'a toujours fait. »
Yuko avait beau aimé sans le savoir Pleione, dormir loin de sa sœur, c'était encore une étape à franchir pour elle, depuis leur plus tendre enfance, elles ont dormi ensemble. Yuka venait l'enlacer pour la rassurer. Au moins, elle avait une carte de sortie si jamais elle ne supportait pas la séparation, mais elle pouvait faire l'effort d'essayer. Après tout, une petite part d'elle avait envie de dormir avec sa maîtresse. Après un petit câlin et quelques mots rassurant, elle se séparèrent à nouveau, finissant leurs corvées de leurs côtés. Yuko savait qu'elle aurait le thé à servir de nouveau vers seize heures, mais d'ici là, elles se contentaient des autres corvées qui lui restaient encore à faire, Yuka devait parfois servir le thé, mais avec Antares, c'était surtout une occasion de plus de tourner ça au sexe. Les commissions ont été faites pour Pleione ce matin, donc, ça ne risquait pas de retomber, sauf cas exceptionnelle. Bien que les domestiques soient aux ordres directs des filles Lilianstar, elles participaient comme chaque domestique aux tâches du manoir, ici et là. Nettoyant la bibliothèque ou le petit salon pour le thé, il y avait toujours du travail. Yuka s'occupait pour le moment de nettoyer une des nombreuses chambres d'amis, non loin de la chambre d'Antares, là où Yuko s'occupait de la chambre des parents de Pleione. Elle était toujours si admirative devant les photos des filles quand elles étaient jeunes... Enfin, surtout Pleione. Elle et ses petites mèches blanches, un adorable bébé chat !

- Soeurs Lilianstar
- Messages : 806
- Enregistré le : 16 août 2024 16:48
A l’heure du déjeuner, Antares et Pleione retrouvèrent leurs parents pour manger. Elles savaient que Yuka et Yuko devaient donner un coup de main en cuisine, et elles les voyaient passer de temps en temps, mais les jumelles ne pouvaient pas leur accorder plus d’attention qu’à leurs parents. Les sœurs nekos mangèrent tranquillement en discutant avec leurs parents.
« Antares, tu as choisi un cavalier pour le bal de la maison Usin ce weekend ? »
« Je pensais à Toad Relbert. Son père désespère de lui trouver une cavalière pour le bal, ça l’apaisera un peu. Et ça aidera à faire passer la pilule quand on lui annoncera que son chantier va être annulé. »
« Bonne idée. Pleione, tu es sûre que tu ne veux pas y aller ? »
« Oui, j’en suis sûre. »
« C’est dommage, ce serait l’occasion pour toi de rencontrer de nouvelles personnes. Enfin, si tu ne veux pas, je ne vais pas te forcer. »
« Merci maman. »
« Au fait, il paraît que tu es allée faire des courses ce matin. Pourquoi tu n’as pas envoyée Yuko les faire ? »
« C’était des courses... euh... personnelles. Il fallait que je sois là. »
« C’est des trucs de fille, Papa. »
Les repas en famille étaient l’un des rares moments où les Lilianstar pouvaient se relâcher un peu sur l’étiquette et se comporter comme des gens normaux. C’était l’inconvénient d’avoir autant de pouvoir et d’influence : ils étaient scrutés de toute part. Ce genre de moment familial simple était précieux pour eux.
A la fin du repas, Antares et Pleione retournèrent à leurs activités respectives. Pleione s’occupa finalement des devoirs et des leçons qu’elle n’avait pas pu faire plus tôt, et Antares fit une petite sieste en s’imaginant sa future nuit avec Yuka. Beaucoup de sexe bien sûr, mais elle voulait aussi qu’il y ait du romantisme, que sa chérie se rappelle longtemps de cette soirée, au point qu’elle aurait envie de renouveler l’expérience très vite. Après sa sieste, elle commença même à organiser certains éléments de la soirée, en prenant bien en compte le fait qu’elle ne ferait peut-être pas toute la nuit avec sa chérie si jamais Yuko n’arrivait pas à dormir sans elle.
Vers 16 heures, Yuko vint servir le thé à Pleione, qui avait bien avancé dans ses devoirs et qui était contente de pouvoir prendre une petite pause. Et en plus du thé, elle avait aussi les gâteaux qu’elle était allée chercher ce matin. Mais aujourd’hui, contrairement aux autres fois où elle prenait le thé à l’heure du goûter, elle avait préparé une petite surprise.
« Viens t’asseoir Yuko. »
Une fois sa servante installée en face d’elle, la nekp sortit une petite boîte qu’elle reconnaîtrait sûrement. C’était la boîte contenant la broche en or rose en forme d’étoile filante qu’elle avait acheté ce matin.
« Tu te souviens que j’ai dit que ce bijou était un cadeau pour une amie ? Eh bien... l’amie en question, c’est toi.
Vas-y, ouvre-là. »
Yuko avait beau déjà savoir ce qu’il y avait dedans, Pleione était curieuse de voir quelle tête elle allait faire en ouvrant la boîte.
« Je pensais te l’offrir dans quelques jours pour qu’il y ait un peu de surprise, mais avec tout ce qu’on s’est dit ce matin, je voulais te montrer à quel point j’étais heureuse de t’avoir près de moi. En plus, vu qu’Antares va être avec ta sœur ce soir, je me suis dit que ça te ferait sourire. »
Pleione était heureuse de faire ce cadeau à Yuko. La voir sourire était un plaisir qui valait bien plus que le prix de cette broche.
« Même si ta sœur et toi êtes arrivées ici dans des circonstances vraiment terribles, je veux que tu saches que vous n’êtes pas des esclaves pour nous. Vous êtes nos amies, et nous ferons tout ce que nous pourrons pour que vous soyez heureuses de travailler ici. »
La neko attendait maintenant de voir comment la jeune fille allait réagir.
« Antares, tu as choisi un cavalier pour le bal de la maison Usin ce weekend ? »
« Je pensais à Toad Relbert. Son père désespère de lui trouver une cavalière pour le bal, ça l’apaisera un peu. Et ça aidera à faire passer la pilule quand on lui annoncera que son chantier va être annulé. »
« Bonne idée. Pleione, tu es sûre que tu ne veux pas y aller ? »
« Oui, j’en suis sûre. »
« C’est dommage, ce serait l’occasion pour toi de rencontrer de nouvelles personnes. Enfin, si tu ne veux pas, je ne vais pas te forcer. »
« Merci maman. »
« Au fait, il paraît que tu es allée faire des courses ce matin. Pourquoi tu n’as pas envoyée Yuko les faire ? »
« C’était des courses... euh... personnelles. Il fallait que je sois là. »
« C’est des trucs de fille, Papa. »
Les repas en famille étaient l’un des rares moments où les Lilianstar pouvaient se relâcher un peu sur l’étiquette et se comporter comme des gens normaux. C’était l’inconvénient d’avoir autant de pouvoir et d’influence : ils étaient scrutés de toute part. Ce genre de moment familial simple était précieux pour eux.
A la fin du repas, Antares et Pleione retournèrent à leurs activités respectives. Pleione s’occupa finalement des devoirs et des leçons qu’elle n’avait pas pu faire plus tôt, et Antares fit une petite sieste en s’imaginant sa future nuit avec Yuka. Beaucoup de sexe bien sûr, mais elle voulait aussi qu’il y ait du romantisme, que sa chérie se rappelle longtemps de cette soirée, au point qu’elle aurait envie de renouveler l’expérience très vite. Après sa sieste, elle commença même à organiser certains éléments de la soirée, en prenant bien en compte le fait qu’elle ne ferait peut-être pas toute la nuit avec sa chérie si jamais Yuko n’arrivait pas à dormir sans elle.
Vers 16 heures, Yuko vint servir le thé à Pleione, qui avait bien avancé dans ses devoirs et qui était contente de pouvoir prendre une petite pause. Et en plus du thé, elle avait aussi les gâteaux qu’elle était allée chercher ce matin. Mais aujourd’hui, contrairement aux autres fois où elle prenait le thé à l’heure du goûter, elle avait préparé une petite surprise.
« Viens t’asseoir Yuko. »
Une fois sa servante installée en face d’elle, la nekp sortit une petite boîte qu’elle reconnaîtrait sûrement. C’était la boîte contenant la broche en or rose en forme d’étoile filante qu’elle avait acheté ce matin.
« Tu te souviens que j’ai dit que ce bijou était un cadeau pour une amie ? Eh bien... l’amie en question, c’est toi.
Vas-y, ouvre-là. »
Yuko avait beau déjà savoir ce qu’il y avait dedans, Pleione était curieuse de voir quelle tête elle allait faire en ouvrant la boîte.
« Je pensais te l’offrir dans quelques jours pour qu’il y ait un peu de surprise, mais avec tout ce qu’on s’est dit ce matin, je voulais te montrer à quel point j’étais heureuse de t’avoir près de moi. En plus, vu qu’Antares va être avec ta sœur ce soir, je me suis dit que ça te ferait sourire. »
Pleione était heureuse de faire ce cadeau à Yuko. La voir sourire était un plaisir qui valait bien plus que le prix de cette broche.
« Même si ta sœur et toi êtes arrivées ici dans des circonstances vraiment terribles, je veux que tu saches que vous n’êtes pas des esclaves pour nous. Vous êtes nos amies, et nous ferons tout ce que nous pourrons pour que vous soyez heureuses de travailler ici. »
La neko attendait maintenant de voir comment la jeune fille allait réagir.
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- Yuko & Yuka Karistal
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Yuka avait bien des choses à faire, mais quand le calme régnait, elle pouvait au moins travailler tranquillement. Bien sûr qu'elle aimait sa neko et qu'elle était un peu impatiente de voir ce que donnerait cette soirée, mais pour une fois qu'elle avait la paix devant elle, elle en profitait. En général, elle ne peux pas finir une pièce ou en ouvrir une, sans que cette neko joue les aguicheuses ! Un peu de calme au moins. Comme pour Yuko, dans ses habitudes, elle venait servir le thé à sa maîtresse, apportant les gâteaux pour les déguster avec Pleione. Cette dernière venait d'ailleurs sortir le cadeau qu'elle avait acheté ce matin, la demoiselle savait bien ce qui était dedans, elle n'avait pas si mauvaise mémoire, mais elle ne pensait pas vraiment que ce cadeau était pour elle. Une autre personne, mais pas elle. Pleione enchaîna en expliquant qu'elle voulait lui prouver qu'elle était plus que sa domestique. Yuko était touchée, oui, bien au-delà, même. Elle devait se faire à cette idée de dormir avec elle ce soir, ça devrait aller ça, elle avait certes un peu peur, car ce sera sa première nuit sans sa sœur, mais en contrepartie, c'était avec sa maîtresse.
Mais elle observait cette broche qu'elle avait déjà vue ce matin, et malgré son sourire, les larmes coulaient et roulaient le long de ses joues. Elle sanglotait en tenant l apetite boite. Elle n'était pas triste, enfin, pas que, car elle gardait son sourrire, mais ça devenait compliqué de garder les yeux ouverts pour le moment.
« Je... p-pardon, maîtresse, c'est... je suis émue ! »
Yuko tentait de se calmer, d'essuyer ses larmes, mais rien n'y change, ça coulait tout seul. Ce n'était pas pour ce soir, ni le fait qu'elle lui ait fait un cadeau. Enfin, c'était un peu à cause de ça quand même, mais ce matin, quand son regard insistait lourdement dessus, ce n'était pas à cause d'une passion pour les étoiles, ça ne l'attirait pas plus que cela. C'est juste que tout cela faisait remonter en elle bien des souvenirs qu'elle allait partager avec sa maîtresse neko.
« Qu-quand j'étais petite... ma... ma mère, elle... snif... elle nous chantait une berceuse qui... qui parlait d'une étoile... ça... ça m'a rappellé ces moments-là... »
Seules ou non, les souvenirs de cette époque bénie ou elles n'avaient pas de soucis et où elles vivaient en famille étaient d'or. Qu'elles pardonnent ou non à leurs parents, à cette époque, tout était si simple et merveilleux. Peut-être lui chanterait-elle cela ce soir pour l'endormir, si les émotions lui ont passé ? Si cela pouvait aider sa maîtresse à dormir, elle en serait ravie de la lui chanter.
« Maîtresse... est-ce que... vous pouvez me la mettre ? »
A voir si elle va lui retirer ses cheveux qui cachait l'un de ses yeux ou juste remplacer son autre barrette ? En tout cas, Pleione avait visé juste, ce cadeau était tout simplement parfait.
Mais elle observait cette broche qu'elle avait déjà vue ce matin, et malgré son sourire, les larmes coulaient et roulaient le long de ses joues. Elle sanglotait en tenant l apetite boite. Elle n'était pas triste, enfin, pas que, car elle gardait son sourrire, mais ça devenait compliqué de garder les yeux ouverts pour le moment.
« Je... p-pardon, maîtresse, c'est... je suis émue ! »
Yuko tentait de se calmer, d'essuyer ses larmes, mais rien n'y change, ça coulait tout seul. Ce n'était pas pour ce soir, ni le fait qu'elle lui ait fait un cadeau. Enfin, c'était un peu à cause de ça quand même, mais ce matin, quand son regard insistait lourdement dessus, ce n'était pas à cause d'une passion pour les étoiles, ça ne l'attirait pas plus que cela. C'est juste que tout cela faisait remonter en elle bien des souvenirs qu'elle allait partager avec sa maîtresse neko.
« Qu-quand j'étais petite... ma... ma mère, elle... snif... elle nous chantait une berceuse qui... qui parlait d'une étoile... ça... ça m'a rappellé ces moments-là... »
Seules ou non, les souvenirs de cette époque bénie ou elles n'avaient pas de soucis et où elles vivaient en famille étaient d'or. Qu'elles pardonnent ou non à leurs parents, à cette époque, tout était si simple et merveilleux. Peut-être lui chanterait-elle cela ce soir pour l'endormir, si les émotions lui ont passé ? Si cela pouvait aider sa maîtresse à dormir, elle en serait ravie de la lui chanter.
« Maîtresse... est-ce que... vous pouvez me la mettre ? »
A voir si elle va lui retirer ses cheveux qui cachait l'un de ses yeux ou juste remplacer son autre barrette ? En tout cas, Pleione avait visé juste, ce cadeau était tout simplement parfait.

- Soeurs Lilianstar
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Pleione pensait que Yuko serait surprise, émue ou interrogative, mais elle ne s’attendait pas à la voir pleurer.
« Yuko ? Qu’est-ce qui ne va pas ? Elle ne te plaît pas ? »
En fait, voir cette broche rappelait à la maid des souvenirs de son enfance, quand sa mère lui chantait une berceuse qui parlait d’une étoile, à elle et à sa sœur. En entendant ça, la neko sentit aussi un peu d’humidité lui monter aux coins des yeux. Sa servante avait beau faire, elle n’arrivait pas à s’arrêter de pleurer, alors elle la prit dans ses bras et la serra fort contre elle.
« Je n’ose même pas imaginer combien vous avez dû souffrir, toi et ta sœur. Si mes parents m’abandonnaient de la sorte... je crois que je serais anéantie. Mais je te répète ce que j’ai déjà dit : tu auras toujours une place ici. On ne pourra jamais remplacer vos parents, mais Antares et moi ferons de notre mieux pour que vous vous sentiez ici comme chez vous. »
Quand Pleione arrêta son câlin avec Yuko, cette dernière lui demanda de lui enfiler la broche.
« Avec plaisir Yuko. »
La neko prit le bijou, ouvrit le fermoir et passa l’aiguille dans le col de sa robe de maid avant de refermer le tout.
« Comme je le pensais, elle te va parfaitement. »
Emue par les yeux encore humides de sa servante, la Lilianstar lui fit un autre câlin, toujours en lui promettant qu’elle ferait de son mieux pour qu’elle se sente heureuse au palais Lilianstar, même si elle y était maid.
« Allez, sèche vite tes larmes et prends une tasse de thé. Goûte aussi les gâteaux, ils sont vraiment délicieux. »
Pleione et Yuko prenaient le thé ensemble comme des amies, savourant le gout délicieux de ces gâteaux et la saveur délicate du thé. C’était dans ces moments-là que la neko était le plus reconnaissante d’être arrivée dans cette famille aisée.
« Dis-moi Yuko, est-ce qu’il y a quelque chose que je peux faire pour que tu sois moins nerveuse pour ce soir ? Après tout ce que tu m’as offert pour ma nouvelle routine du coucher, j’aimerais pouvoir te rendre la pareille. »
« Yuko ? Qu’est-ce qui ne va pas ? Elle ne te plaît pas ? »
En fait, voir cette broche rappelait à la maid des souvenirs de son enfance, quand sa mère lui chantait une berceuse qui parlait d’une étoile, à elle et à sa sœur. En entendant ça, la neko sentit aussi un peu d’humidité lui monter aux coins des yeux. Sa servante avait beau faire, elle n’arrivait pas à s’arrêter de pleurer, alors elle la prit dans ses bras et la serra fort contre elle.
« Je n’ose même pas imaginer combien vous avez dû souffrir, toi et ta sœur. Si mes parents m’abandonnaient de la sorte... je crois que je serais anéantie. Mais je te répète ce que j’ai déjà dit : tu auras toujours une place ici. On ne pourra jamais remplacer vos parents, mais Antares et moi ferons de notre mieux pour que vous vous sentiez ici comme chez vous. »
Quand Pleione arrêta son câlin avec Yuko, cette dernière lui demanda de lui enfiler la broche.
« Avec plaisir Yuko. »
La neko prit le bijou, ouvrit le fermoir et passa l’aiguille dans le col de sa robe de maid avant de refermer le tout.
« Comme je le pensais, elle te va parfaitement. »
Emue par les yeux encore humides de sa servante, la Lilianstar lui fit un autre câlin, toujours en lui promettant qu’elle ferait de son mieux pour qu’elle se sente heureuse au palais Lilianstar, même si elle y était maid.
« Allez, sèche vite tes larmes et prends une tasse de thé. Goûte aussi les gâteaux, ils sont vraiment délicieux. »
Pleione et Yuko prenaient le thé ensemble comme des amies, savourant le gout délicieux de ces gâteaux et la saveur délicate du thé. C’était dans ces moments-là que la neko était le plus reconnaissante d’être arrivée dans cette famille aisée.
« Dis-moi Yuko, est-ce qu’il y a quelque chose que je peux faire pour que tu sois moins nerveuse pour ce soir ? Après tout ce que tu m’as offert pour ma nouvelle routine du coucher, j’aimerais pouvoir te rendre la pareille. »
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- Yuko & Yuka Karistal
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Le cadeau lui plaisait, mais elle ne pouvait pas empêcher les souvenirs de lui remonter directement, cette époque où elle n'était qu'une petite fille avec sa sœur, dormant ensemble, côte à côte, avec leur mère qui leur caressait les cheveux en chantonnant cette petite mélodie. Peu importe le nombre de fois qu'elle la chantait, jamais elles ne s'en lassait. Elles avaient beau être adulte, Yuko et Yuka étaient sûr que si on la leur chantait, elles écouteraient et en seraient heureuse. Peut-être mélancolique, mais heureuse malgré tout. Prise dans les bras de sa maîtresse, elle était doucement réconfortée, aucune idée salace ne lui passait par l'esprit, la seule chose qu'elle voulait, c'était rester dans ses bras, en sécurité. Elle savourait son odeur délicieuse, doucement étreinte, comment ne pouvait-elle pas aller mieux ? Par la suite, elle prit le thé avec Pleione et savourait ces petits moments rien qu'à elles, dégustant tout autant les gâteaux qu'elles avaient été chercher ce matin. Certes, elle avait encore un petit goût de mélancolie dans la bouche, mais grâce à Pleione, elle allait quand même mieux.
Malgré tout, la maîtresse neko voulait tenter de rendre la pareille à Yuko pour tout ce qu'elle allait lui faire ce soir, avec ce nouveau rituel du coucher. Yuko n'avait pas besoin de plus, elle était très heureuse comme elle était avec Pleione, mais avec ce cadeau, il est vrai qu'elle avait envie d'un petit quelque chose en plus puisqu'elle le lui proposait. Elle termina sa bouchée, gardant quand même sa cuillère près de la bouche, tapotant ses lèvres avec avant de lui dire la possible « récompense » pour se faire renvoyer la pareille.
« Eh bien puisque vous le proposer, je pense que... Si je vous apprends ce soir, la berceuse que me chantait ma mère, vous pourriez me la chanter avant de nous endormir ? »
Yuko comptait la chanter pour Pleione, mais si elle voulait avoir la même chose de son côté, ça aurait été un petit plus pour elle.
« C'est court, un peu répétitif donc ça sera facile à apprendre, ne craigniez rien. Juste.... avec votre cadeau, j'ai envie de retrouver cette petite part de moi qui était heureuse, sans rien craindre du monde... »
Dit-elle en caressant la broche du bout des doigts. Elle était si belle et précieuse, un cadeau à chérir, pour sûr !
« Non pas que je crains quelque chose en votre présence, mais, quand j'étais une petite fille, peu de chose avait d'importance à mes yeux et mes seules peurs étaient enfantine, des choses que je ne crains plus aujourd'hui. Cependant, Maîtresse, si je dois dormir avec vous, je dois vous avertir d'un détail... outre le fait de toujours dormir avec ma sœur, pas toujours, mais très souvent, nous dormons en nous enlaçant l'une à l'autre.... Je ne voudrais pas abuser de votre générosité, mais... »
Elle n'osait pas aller plus loin, mais Pleione devait avoir compris sa demande. Dormir en l'enlaçant.
Malgré tout, la maîtresse neko voulait tenter de rendre la pareille à Yuko pour tout ce qu'elle allait lui faire ce soir, avec ce nouveau rituel du coucher. Yuko n'avait pas besoin de plus, elle était très heureuse comme elle était avec Pleione, mais avec ce cadeau, il est vrai qu'elle avait envie d'un petit quelque chose en plus puisqu'elle le lui proposait. Elle termina sa bouchée, gardant quand même sa cuillère près de la bouche, tapotant ses lèvres avec avant de lui dire la possible « récompense » pour se faire renvoyer la pareille.
« Eh bien puisque vous le proposer, je pense que... Si je vous apprends ce soir, la berceuse que me chantait ma mère, vous pourriez me la chanter avant de nous endormir ? »
Yuko comptait la chanter pour Pleione, mais si elle voulait avoir la même chose de son côté, ça aurait été un petit plus pour elle.
« C'est court, un peu répétitif donc ça sera facile à apprendre, ne craigniez rien. Juste.... avec votre cadeau, j'ai envie de retrouver cette petite part de moi qui était heureuse, sans rien craindre du monde... »
Dit-elle en caressant la broche du bout des doigts. Elle était si belle et précieuse, un cadeau à chérir, pour sûr !
« Non pas que je crains quelque chose en votre présence, mais, quand j'étais une petite fille, peu de chose avait d'importance à mes yeux et mes seules peurs étaient enfantine, des choses que je ne crains plus aujourd'hui. Cependant, Maîtresse, si je dois dormir avec vous, je dois vous avertir d'un détail... outre le fait de toujours dormir avec ma sœur, pas toujours, mais très souvent, nous dormons en nous enlaçant l'une à l'autre.... Je ne voudrais pas abuser de votre générosité, mais... »
Elle n'osait pas aller plus loin, mais Pleione devait avoir compris sa demande. Dormir en l'enlaçant.

- Soeurs Lilianstar
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- Enregistré le : 16 août 2024 16:48
Le cadeau de Pleione semblait avoir bien secoué Yuko, si bien que la neko lui demanda si elle pouvait faire quelque chose pour l’aider à se sentir moins nerveuse pour la soirée à venir. Sa servante lui demanda si elle était prête à apprendre la berceuse que sa mère lui chantait pour la lui chanter avant qu’elles ne s’endorment. Elle était courte et un peu répétitive, donc facile à apprendre.
« Eh bien... si ça peut t’aider à te sentir plus à l’aise... ce sera avec plaisir. »
La neko savait qu’elle ne pourrait jamais faire aussi bien que la mère de Yuko, surtout quand elle l’entendait parler de ses insouciances de petite fille, mais elle ferait de son mieux. Mais quand la maid lui précisa qu’elle avait l’habitude de dormir en se faisant enlacer, son cœur s’emballa.
« En... enlacés ? Tu... tu veux dire... en se prenant dans les bras... l’une de l’autre ? »
Pleione sentit le rouge lui monter aux joues. Non pas que le fait de devoir prendre Yuko dans ses bras avant de s’endormir la dérangeait, mais quand elle s’imaginait la scène... cela lui donnait chaud et envie de ronronner. Encore une fois, des sentiments nouveaux et étranges la gagnaient. Mais cette fois, elle ne se laissa pas gagner par la confusion ou l’incertitude. Sa servante avait besoin d’une réponse assurée, sinon leur soirée allait partir sur de mauvaises bases.
« Si ça peut te rassurer... alors oui, je le ferai. »
Il n’y avait aucune raison qu’elle refuse. Elle savait à quel point cette soirée était importante pour Antares, pour qu’elle puisse enfin avoir un peu de temps en amoureux avec Yuka, et elle ne voulait pas tout gâcher pour si peu. Ce n’était pas comme si elle lui avait demandé quelque chose de bizarre ou de trop intime.
« Mais puisqu’on en est là... moi aussi, il y a quelque chose que je voudrais te demander à rajouter... à notre routine de ce soir... si tu es d’accord.
J’aimerais bien avoir... mmrraaww... un bisou sur le front... avant de m’endormir. »
Ce n’était qu’un petit ajout à la routine qu’elles avaient déjà décidé, mais la neko avait vraiment envie que ce petit rituel soit aussi parfait que possible, au cas où elle ne pourrait en profiter qu’une seule fois. C’était une inquiétude qu’elle avait.
« Maintenant reprends une tasse de thé, ensuite tu pourras m’apprendre la berceuse de ta maman. »
« Eh bien... si ça peut t’aider à te sentir plus à l’aise... ce sera avec plaisir. »
La neko savait qu’elle ne pourrait jamais faire aussi bien que la mère de Yuko, surtout quand elle l’entendait parler de ses insouciances de petite fille, mais elle ferait de son mieux. Mais quand la maid lui précisa qu’elle avait l’habitude de dormir en se faisant enlacer, son cœur s’emballa.
« En... enlacés ? Tu... tu veux dire... en se prenant dans les bras... l’une de l’autre ? »
Pleione sentit le rouge lui monter aux joues. Non pas que le fait de devoir prendre Yuko dans ses bras avant de s’endormir la dérangeait, mais quand elle s’imaginait la scène... cela lui donnait chaud et envie de ronronner. Encore une fois, des sentiments nouveaux et étranges la gagnaient. Mais cette fois, elle ne se laissa pas gagner par la confusion ou l’incertitude. Sa servante avait besoin d’une réponse assurée, sinon leur soirée allait partir sur de mauvaises bases.
« Si ça peut te rassurer... alors oui, je le ferai. »
Il n’y avait aucune raison qu’elle refuse. Elle savait à quel point cette soirée était importante pour Antares, pour qu’elle puisse enfin avoir un peu de temps en amoureux avec Yuka, et elle ne voulait pas tout gâcher pour si peu. Ce n’était pas comme si elle lui avait demandé quelque chose de bizarre ou de trop intime.
« Mais puisqu’on en est là... moi aussi, il y a quelque chose que je voudrais te demander à rajouter... à notre routine de ce soir... si tu es d’accord.
J’aimerais bien avoir... mmrraaww... un bisou sur le front... avant de m’endormir. »
Ce n’était qu’un petit ajout à la routine qu’elles avaient déjà décidé, mais la neko avait vraiment envie que ce petit rituel soit aussi parfait que possible, au cas où elle ne pourrait en profiter qu’une seule fois. C’était une inquiétude qu’elle avait.
« Maintenant reprends une tasse de thé, ensuite tu pourras m’apprendre la berceuse de ta maman. »
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- Yuko & Yuka Karistal
- Messages : 923
- Enregistré le : 24 août 2024 13:58
Oui Yuko était chamboulée par tout cela, cela avait fait remonter en elle bien des souvenirs et pas forcément les plus horribles, mais, au final, une maman reste une maman alors oui, cette époque lui manquais, peut-être même que sa mère lui manque ? Enfin, cela est à prendre avec des pincettes puisque quelque part, ses parents se sont séparés d'elles donc... Yuko voulait donc que Pleione lui chante cette berceuse ce soir, avant de dormir, elle était sûre de pouvoir bien dormir enlacée dans les bras de sa maîtresse, sans même avoir essayé, elle était sûr d'y arriver. Et puis bon, si l'une n'enlace pas l'autre, elle risquait sûrement de mal dormir alors il fallait bien y ajouter cela si elle devait dormir avec elle. Yuko comprenait que cela puisse être étrange, quand on y est pas habituée, mais étant donné qu'elle dormait toujours ainsi avec sa sœur jumelle, aussi loin remontait ses souvenirs, forcément, ça, c'était essentiel. En contrepartie, la neko demanda à ce que dans le rituel du soir, elle ai un baiser sur le front. Là encore, c'était une chose que faisait sa mère une fois la berceuse chantée, mais ce n'était pas forcément ce qui lui manquait le plus donc, pas de nouvelle remontée de souvenir...
« Si c'est ce que vous souhaitiez, Maîtresse, je le ferais donc. »
Cette idée rendait Yuko heureuse, sans se douter de la nature de ce petit bond de joie en elle. La neko l'invitait à reprendre du thé avant de lui apprendre cette fameuse berceuse qui servira donc ce soir et qui sait, les prochains soirs aussi ? Peut-être sa maîtresse souhaiterait l'entendre aussi avant de s'endormir ? Comme Yuko l'avais précisé, c'était une mélodie assez courte, forcément pour une berceuse, de même que les phrases étaient souvent répétées donc, ça ne devrait pas être difficile à retenir. Au pire, elle l'écrit sur une feuille de papier. Le titre était simpleEtoile et moi, cela donnait déjà un indice de la soudaine monté de larme de Yuko en voyant l'étoile de la broche. C'était avec une petite voix pleine d'émotion que la domestique lui chantait la berceuse, gardant les yeux fermé en ayant les mains jointes sur sa poitrine. Une fois terminée, elle avait encore les yeux pétillants, mais elle ne pleurait pas, c'était un petit coup d'émotion, rien de plus... Malgré tout, parlez de tout cela, faire remonter tous ses souvenirs, elle n'était pas dans son état normal.
« Maîtresse, puis-je vous demander une faveur ? Je.... J'aimerais me blottir quelques instants contre vous... »
En résumé, elle avait besoin d'un câlin. Elles pouvaient aller sur le lit si cela serrait plus pratique pour elle, bien entendus. Mais actuellement, Yuko avait besoin de se blottir contre quelqu'un qui l'enlaçait. Elle pourrait bien demander à Yuka mais vu son état, elle risquait de se poser des questions et puis, autant être réconforté au plus vite, après tout. Un regard timide, plein de tendresse et de réconfort se posait sur Pleione. Les rôles étaient inversés, c'était elle le petit chaton tout seul dans une boite en pleine rue. Elle ne demandait qu'une chose... De l'amour.
« Si c'est ce que vous souhaitiez, Maîtresse, je le ferais donc. »
Cette idée rendait Yuko heureuse, sans se douter de la nature de ce petit bond de joie en elle. La neko l'invitait à reprendre du thé avant de lui apprendre cette fameuse berceuse qui servira donc ce soir et qui sait, les prochains soirs aussi ? Peut-être sa maîtresse souhaiterait l'entendre aussi avant de s'endormir ? Comme Yuko l'avais précisé, c'était une mélodie assez courte, forcément pour une berceuse, de même que les phrases étaient souvent répétées donc, ça ne devrait pas être difficile à retenir. Au pire, elle l'écrit sur une feuille de papier. Le titre était simpleEtoile et moi, cela donnait déjà un indice de la soudaine monté de larme de Yuko en voyant l'étoile de la broche. C'était avec une petite voix pleine d'émotion que la domestique lui chantait la berceuse, gardant les yeux fermé en ayant les mains jointes sur sa poitrine. Une fois terminée, elle avait encore les yeux pétillants, mais elle ne pleurait pas, c'était un petit coup d'émotion, rien de plus... Malgré tout, parlez de tout cela, faire remonter tous ses souvenirs, elle n'était pas dans son état normal.
« Maîtresse, puis-je vous demander une faveur ? Je.... J'aimerais me blottir quelques instants contre vous... »
En résumé, elle avait besoin d'un câlin. Elles pouvaient aller sur le lit si cela serrait plus pratique pour elle, bien entendus. Mais actuellement, Yuko avait besoin de se blottir contre quelqu'un qui l'enlaçait. Elle pourrait bien demander à Yuka mais vu son état, elle risquait de se poser des questions et puis, autant être réconforté au plus vite, après tout. Un regard timide, plein de tendresse et de réconfort se posait sur Pleione. Les rôles étaient inversés, c'était elle le petit chaton tout seul dans une boite en pleine rue. Elle ne demandait qu'une chose... De l'amour.
