Cela faisait maintenant plusieurs semaines que Mélinda avait participé au rituel divin de Lust dans son plan de luxure, Lusst’ghaa. Plusieurs semaines que Mélinda avait subi une véritable renaissance. Pour lui permettre de féconder, il avait fallu pratiquer un rituel complexe, l’amenant plus proche que jamais de la mort. Son corps avait été vidé de son sang, jusqu’à la plus petite dernière goutte, et ce sang avait été mélangé avec celui de la Déesse Aphrodite. Jamais pareille expérience n’avait été tentée. Il avait fallu que la Déesse et la vampire se fassent compulsivement et frénétiquement l’amour pour que leur sang rythme en harmonie. Un rituel expérimental, qui avait donné à Vanillia des nuits blanches. Le sang d’un vampire était-il vraiment compatible avec celui d’une Déesse ? Le sang avait été mélangé, tandis que Mélinda avait été placé en hypothermie. Sans aucune goutte de sang, le corps humain, y compris vampirique, ne pouvait survivre que quelques dizaines de minutes. Finalement, le sang de Mélinda lui avait été réinjecté, après avoir été mélangé avec celui d’Aphrodite.
Un miracle divin qui avait abouti à ce que Mélinda ait surmonté l’éternelle malédiction des vampires, l’incapacité à procréer. En revenant à la vie, elle avait à son tour offert son nouveau sang à Vanillia, puis avait laissé sa femme l’enfanter. Un bébé se développait désormais dans son ventre, et il ne se passait pas une journée sans que Vanillia ne mène des examens. Elle voulait s’assurer que tout allait bien. Mélinda, elle, était convaincue que tout irait bien. Des deux, Vanillia était toutefois celle qui était la plus inquiète… Ce qui était très paradoxal, car elle était aussi bien plus puissante que Mélinda, et bien plus érudite qu’elle.
Mélinda et elle se trouvaient ce soir au château, et Vanillia continuait à travailler tard dans le laboratoire, expérimentant sur les nouvelles propriétés de ce sang vampirique divin, recherchant dans les archives de sa famille les références à un sang de cette qualité. Elle s’était notamment intéressée aux textes concernant Kanchelsis, le Dieu des vampires, une figure mystique et mythique. Dieu ou plus puissant des vampires, la notion était floue. De plus, elle savait que son propre père avait toujours cherché à améliorer le sang des vampires, à devenir un « Vampire Ascendant », c’est-à-dire un vampire parfait, qui aurait toutes les qualités des plus puissants vampires, mais sans leurs faiblesses. Pour réaliser cela, il avait souhaité sacrifier sa propre fille. Mélinda savait que Vanillia se demandait si, à leur manière, ce bébé issu d’une union avec une Déesse n’était pas en passe de faire partie d’une nouvelle race de vampire.
Seulement, il ne fallait pas négliger Mélinda ! La vampire avait passé une partie de la soirée à faire l’amour avec plusieurs de ses esclaves. Depuis qu’elle était enceinte, ses hormones réagissaient étrangement. De base, Mélinda était déjà nymphomane, mais, maintenant qu’elle avait en elle un sang béni par Aphrodite, et une grossesse, elle avait du mal à rester calme. Ce soir, donc, plusieurs de ses esclaves étaient venus lui apporter une nouvelle collection de tenues érotiques. Mélinda leur avait donc fait l’amour, puis avait enfilé l’une de ces tenues. Elle attendait désormais, dans la chambre commune, que sa femme revienne du laboratoire.
*Je t’attends, mon amour…*
La pièce était plongée dans l’oibscurité. Quand Vanillia finit par arriver, elle entendit la porte s’ouvrir, puis les flammes s’allumèrent. Le corps de Mélinda apparut alors. Couchée sur le flanc, la pièce était encore nimbée d’une irrésistible aura de sexe. Mélinda portait un justaucorps noir moulant très court, avec un décolleté plongeant et vertigineux en forme de long losange, avec des chaînettes argentées et enchantées au milieu. Le justaucorps remontait jusqu’à son cou, et comprenait sur les côtés des résilles, ainsi que, pour finir, des collants en dentelles en bas se terminant par des cuissardes à talons. Le tout se terminait par une paire de gants opéra noirs.
Mélinda sourit en sentant le sang de Vanillia bouillonner à cette vue.
« Bonsoir, mon amour. Nous avons reçu la nouvelle gamme de tenues dont je t’ai parlé hier… Mais tu n’étais pas là, donc j’ai préféré ne pas te déranger, et j’en ai essayé une. Je dois toutefois t’avouer que j’ai un peu froid dedans… Et puis… »
Elle se retourna alors, se couchant sensuellement sur le ventre, donnant à Vanillia une vue plongeante sur son délicieux petit cul.
« …J’ai l’impression que cette tenue descend mal au niveau des fesses. Tu en penses quoi ? » demanda-t-elle en toute innocence.
Un miracle divin qui avait abouti à ce que Mélinda ait surmonté l’éternelle malédiction des vampires, l’incapacité à procréer. En revenant à la vie, elle avait à son tour offert son nouveau sang à Vanillia, puis avait laissé sa femme l’enfanter. Un bébé se développait désormais dans son ventre, et il ne se passait pas une journée sans que Vanillia ne mène des examens. Elle voulait s’assurer que tout allait bien. Mélinda, elle, était convaincue que tout irait bien. Des deux, Vanillia était toutefois celle qui était la plus inquiète… Ce qui était très paradoxal, car elle était aussi bien plus puissante que Mélinda, et bien plus érudite qu’elle.
Mélinda et elle se trouvaient ce soir au château, et Vanillia continuait à travailler tard dans le laboratoire, expérimentant sur les nouvelles propriétés de ce sang vampirique divin, recherchant dans les archives de sa famille les références à un sang de cette qualité. Elle s’était notamment intéressée aux textes concernant Kanchelsis, le Dieu des vampires, une figure mystique et mythique. Dieu ou plus puissant des vampires, la notion était floue. De plus, elle savait que son propre père avait toujours cherché à améliorer le sang des vampires, à devenir un « Vampire Ascendant », c’est-à-dire un vampire parfait, qui aurait toutes les qualités des plus puissants vampires, mais sans leurs faiblesses. Pour réaliser cela, il avait souhaité sacrifier sa propre fille. Mélinda savait que Vanillia se demandait si, à leur manière, ce bébé issu d’une union avec une Déesse n’était pas en passe de faire partie d’une nouvelle race de vampire.
Seulement, il ne fallait pas négliger Mélinda ! La vampire avait passé une partie de la soirée à faire l’amour avec plusieurs de ses esclaves. Depuis qu’elle était enceinte, ses hormones réagissaient étrangement. De base, Mélinda était déjà nymphomane, mais, maintenant qu’elle avait en elle un sang béni par Aphrodite, et une grossesse, elle avait du mal à rester calme. Ce soir, donc, plusieurs de ses esclaves étaient venus lui apporter une nouvelle collection de tenues érotiques. Mélinda leur avait donc fait l’amour, puis avait enfilé l’une de ces tenues. Elle attendait désormais, dans la chambre commune, que sa femme revienne du laboratoire.
*Je t’attends, mon amour…*
La pièce était plongée dans l’oibscurité. Quand Vanillia finit par arriver, elle entendit la porte s’ouvrir, puis les flammes s’allumèrent. Le corps de Mélinda apparut alors. Couchée sur le flanc, la pièce était encore nimbée d’une irrésistible aura de sexe. Mélinda portait un justaucorps noir moulant très court, avec un décolleté plongeant et vertigineux en forme de long losange, avec des chaînettes argentées et enchantées au milieu. Le justaucorps remontait jusqu’à son cou, et comprenait sur les côtés des résilles, ainsi que, pour finir, des collants en dentelles en bas se terminant par des cuissardes à talons. Le tout se terminait par une paire de gants opéra noirs.
Mélinda sourit en sentant le sang de Vanillia bouillonner à cette vue.
« Bonsoir, mon amour. Nous avons reçu la nouvelle gamme de tenues dont je t’ai parlé hier… Mais tu n’étais pas là, donc j’ai préféré ne pas te déranger, et j’en ai essayé une. Je dois toutefois t’avouer que j’ai un peu froid dedans… Et puis… »
Elle se retourna alors, se couchant sensuellement sur le ventre, donnant à Vanillia une vue plongeante sur son délicieux petit cul.
« …J’ai l’impression que cette tenue descend mal au niveau des fesses. Tu en penses quoi ? » demanda-t-elle en toute innocence.