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Reine Alice Korvander
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« Alice...j'ai envie que tu me prennes dans ta bouche. J'ai envie de ressentir tout ce dont une belle femme comme toi est capable. »

Oui, c’était un beau morceau, et la demande de Melendil fit sourire Alice. Il était très poli... C’était presque dommage, en un sens. Le voir devenir un peu vulgaire, ça l’aurait excité, mais il était un genre de prince charmant. On ne pouvait pas trop lui en demander. La Princesse lui sourit donc, observant sa grosse verge tendue. Une belle veine pulsait le long de cette dernière, et elle avait très envie de la sentir en elle. Rien qu’à cette idée, elle sentait un vide abyssal s’emparer d’elle. Elle voulait se faire remplir, pénétrer sauvagement, elle voulait sentir ce beau membre la défoncer, l’homme s’écraser sur elle, la faire hurler de douleur... Rien qu’à cette idée, la Princesse tremblait. Alice masturbait son sexe lentement, sentant cette queue chaude entre ses doigts, impatiente, ayant très envie de s’enfoncer quelque part.

Une main la tira de sa réflexion. Elle releva la tête, revenant à la réalité, en sentant la main du semi-elfe caresser sa joue et ses cheveux. Elle cligna lentement des yeux, alors que Melendil commençait à comprendre à quel point Alice était tout, sauf une petite femme chaste et innocente. Elle n’en avait que l’apparence. Alice le regarda, et sentit alors les doigts de l’elfe caresser ses lèvres. Sa langue vint brièvement les caresser, et elle entrouvrit les lèvres, espérant qu’il enfoncerait ses doigts en elle. Elle lui était volontiers soumise, et, si elle s’était amusée à l’exciter, c’était uniquement pour le rendre encore plus masculin, plus dominateur. Oh, comme ça l’excitait, un homme viril ! Un homme fort, beau, et romantique, qui la prendrait violemment !

« Mais peut-être que tu pourrais te positionner autrement ? proposa-t-il rapidement, suscitant la curiosité de la Princesse. Afin que nous en profitions tous les deux » rajouta-t-il, comme s’il avait peur de ne pas se faire comprendre.

Alice se mit à légèrement sourire.

« Oh, je vois... Hum... C’est une idée, oui. »

La Princesse libéra le sexe de l’homme, sa belle queue tendue, et se releva, avant de se mettre au-dessus de Melendil, se retournant lentement, se débrouillant pour placer ses cuisses au-dessus de sa tête. C’était une position qu’elle aimait bien faire avec sa femme. Et, de plus, Alice adorait les fellations. Généralement, elle aimait être assise sur le sol, entre les jambes d’un homme, afin de lui sucer longuement sa grosse queue, en entendant ce dernier gémir, et la gifler. Oh, rien que cette pensée la fit mouiller. Elle remuait ses cuisses de droite à gauche, les frottant l’une contre l’autre. Elle retourna au monde présent, et tendit sa main, la passant de l’autre côté de la verge, faisant remonter ses doigts, sentant cette queue dure se dresser.

« Mon pauvre petit elfe, tu as l’air d’être en manque... Je suis vraiment vilaine, de te faire souffrir ainsi... »

Alice pencha alors sa tête, et se décida à le satisfaire. Elle écarta ses lèvres, et enfonça ce sexe dans sa bouche, commençant par le gland, écartant bien ses lèvres, avant de les rabattre, sentant cette peau tendre et moelleuse contre ses lèvres. Sa queue était chaude et tendre, avec cette texture si particulière, propre au sexe masculin. Comment dire ? C’était à la fois, très dur, mais aussi mou. Elle se mit à enfoncer cette queue en elle, tout en abaissant ses cuisses, ses seins s’enfonçant contre le bas du ventre de l’homme. Le sexe continuait à s’enfoncer en elle, et elle s’arrêtait de temps en temps, ramenant sa tête en arrière, puis continuait à le sucer. Sa bouche remuait dessus, de haut en bas, alors qu’elle se mettait à gémir, yeux fermés. Sa main qui avait tenu sa verge vint titiller ses testicules, un doigt sur chacune d’entre elle, les soulevant. Sa bouche continuait à s’enfoncer, et elle se mit peu à peu à faire une fellation digne de ce nom, gémissant de bonheur en sentant Melendil jouer avec son intimité, remuant son bassin de haut en bas, pour mieux l’exciter.

Dans sa tête, elle imaginait cette grosse verge qui emplissait sa bouche la défoncer, la faisant mouiller. A chaque fois que le plaisir montait trop, elle mordillait un peu son sexe, et aspirait l’air entre ses lèvres, creusant ainsi ses joues, tout en remuant sa bouche, jusqu’à sentir son sexe taper dans sa gorge. Elle grogna, et ramena ensuite sa tête en arrière, puis à nouveau en avant, faisant baigner la queue du semi-elfe dans sa salive, sa langue la léchant longuement.

« Hummmmmm... »
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Melendil Korvander
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Melendil se trouvait au paradis tout juste après avoir passé un séjour en enfer, séjour dont il n'avait pas cru revenir un jour. C'était étrange comme la chance tournait, et parfois bien plus vite qu'on ne pouvait l'assimiler. Mais en l'état actuel des choses, l'elfe n'était pas en position de se poser des questions, de philosopher sur le destin ou le hasard, ce serait probablement pour une autre fois.
Non en l'état actuel des choses il se trouvait allongé dans un lit confortable, nu, et accompagné d'une très charmante femme nue également, et tous les deux s'apprêtaient à s'accoupler longuement. Melendil n'avait aucun doute désormais sur l'appétit sexuel de la Princesse Alice, son jugement avait été faussé par l'idée toute faite qu'il avait des Princesses, mais il se faisait à l'idée que celle ci avait des désirs tout ce qu'il y a de plus humains. Alice répondit favorablement à sa proposition, et très vite, cette dernière commença à se positionner de façon adéquate. La position communément appellée le 69, en référence à la forme que prenait les corps des amants durant cette étreinte. Melendil regarda les fesses de la Princesse se rapprocher de son visage, son entrejambe être à portée de ses lèvres à nouveau. Alice mouillait, il pouvait très aisément distinguer que ses lèvres intimes luisaient se cyprine, ce qui le fit sourire alors qu'il glissa sensuellement ses mains sur les fesses de la Princesse.

Tout était beau chez cette femme, mais en l'occurrence Melendil allait pour les minutes à venir focaliser son attention sur ce divin cul rebondi et ferme qui lui était offert, et qu'il prit le temps de découvrir. Ses mains le pétrirent avec attention, ses doigts s'enfonçaient dans cette chair et en éprouvait le mélange subtil de fermeté et de douceur. L'elfe savait qu'en ne s'attaquant pas tout de suite à l'intimité de la Princesse il faisait patienter celle-ci, mais c'était un juste retour des choses après qu'elle en aie fait de même. Le sexe de Melendil se dressait fièrement, il en avait presque mal tant il réclamait qu'on s'occupe de lui, et les quelques caresses du bout des doigts de la Princesse n'arrangeaient en rien son impatience croissante.
Quand enfin Alice se décida à prendre sa verge en bouche, Melendil poussa un long soupir et serra un peu plus fortement les fesses de sa partenaire entre ses mains. Il redressa alors légèrement afin d'approcher ses lèvres de l'intimité trempée de la Princesse, où sa langue allait faire son office. Il tira la langue, et suivit avec le tracé de la fente intime de la jeune femme, il se ballada ainsi sur ses lèvres et surtout sur son clitoris où il s'attardait plus particulièrement. Parler était en l'était une possibilité très limitée, et de toutes manières Melendil avait déjà bien trop de choses à gérer en même temps pour même songer à parler. Son visage fourré entre les cuisses de la Princesse, ses mains dont il se servait pour pétrir ses délicieuses fesses, et sa verge qui subissait les assauts fort bien menés d'Alice. Très excité, Melendil se mit à donner de légers coups de bassin pour faire aller et venir sa verge dans la bouche de la Princesse, trop légers pour la surprendre, mais l'elfe ressentais le besoin de remuer et d'augmenter les frottements sur sa verge.

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Reine Alice Korvander
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Melendil avait largement le potentiel de rehausser aux yeux d’Alice toute la beauté du peuple elfique. Que ce soit l’Omniprêtre, cet elfe borgne à l’air bourru, ou Tinuviel, cette elfe prétentieuse qui oscillait entre le rôle d’amie et de mère-poule, Alice n’avait pas vraiment eu une bonne opinion de la civilisation elfique, voyant ce peuple comme un regroupement d’individus arrogants, ancrés dans un temps passé, dans une époque où les elfes dominaient les sociétés, avant que les humains n’investissent les villes, ne développent l’urbanisme, l’État moderne, et ne finissent par chasser les elfes dans les forêts, dans leurs retranchements naturels. Melendil était différent, un pauvre elfe victime du racisme non-humain, que la Princesse méprisait cordialement. Un bel éphèbe, qui s’était offert à elle, et lui offrait la possibilité de satisfaire les fantasmes de la Princesse : coucher avec un homme beau, romantique, et dont le corps semblait empreint de douceur et de tendresse. Un genre de prince charmant, à cette différence près que le sang bleu ne coulait pas dans ses veines. Il n’était qu’un vagabond, un individu sans origine, quelqu’un avec qui Alice, normalement, n’aurait jamais du trainer. Mais la Princesse était ainsi, proche de la philosophie du Premier, Erwan Korvander, un fils de pêcheur qui avait su fonder un royaume, et qui avait toujours prodigué de ne pas faire de distinctions sociales fondées sur l’appartenance sociale. Alice appliquait ces principes, et sentait qu’elle aurait bien du mal à se séparer de Melendil. Elle voulait ce bellâtre avec elle, elle voulait sentir ses yeux charmeurs la dévorer du regard, elle voulait embrasser pendant des heures sa bouche, mordiller sa peau parfaite, son torse glabre, glisser ses mains sur ses pectoraux, et savourer sa virilité en elle. Rien qu’à y penser, elle continuait à mouiller.

Elle s’attaquait ainsi au morceau du roi, pour ainsi dire, engloutissant le sexe entre ses lèvres, étouffant ses gémissements. Plutôt que de s’attaquer à son intimité trempée, Melendil avait choisi de caresser vigoureusement ses fesses. Un choix qui ne l’étonnait guère. Tout le monde disait qu’Alice avait un « cul royal », et elle sentit clairement, quand elle prit ce sexe en bouche, toute la frustration de Melendil se libérer, partir comme neige fondant au soleil. Elle avait senti les vibrations de son corps, cette tension, cette tension qui se dilua à travers le soupir de soulagement de l’homme. C’était une constante que les femmes comme elle, généralement, aimaient bien pousser les hommes doux et calmes dans leurs retranchements, transformer l’ourson en un sauvage grizzly. Cependant, Alice n’avait pas la cruauté de faire à ce point souffrir son chevalier servant, qui l’avait sauvé. Elle avait envers lui une dette de vie, d’autant plus forte que sa rétribution pour son intervention avait été de se faire battre. Elle lui offrait son corps comme un acompte pour payer sa dette.

« Huuun-hunnnn... »

Les mains de Melendil frottaient vigoureusement ses fesses, les pressant. De belles petites fesses rondes et bosselées, qu’on prenait plaisir à caresser, à toucher, à apprécier leur fermeté, à écarter, à ramener. Sa langue finit par venir s’attaquer à la partie négligée du corps d’Alice : son intimité. Elle mouilla lentement, sa cyprine glissait sur les lèvres merveilleuses et enchanteresses de cet homme. Elle aurait presque pu confondre ce qu’elle ressentait avec de l’amour, et elle finit par poser ses deux mains gantées sur la couverture, de part et d’autre de son corps, pour enfoncer, toujours un peu plus, ce sexe en elle. S’appuyant sur sa grande expérience, elle ne retirait pas ses lèvres, respirant par le nez, insufflant longuement, essayant de ne pas perdre le fil, tout en remontant d’avant en arrière, répétant la même litanie avec plus d’insistance, sa langue jouant un rôle assez important. Elle essayait de jongleravec le bout de la verge, de le coincer entre ses dents supérieures et sa langue pour pousser dessus avec son organe rose. C’était ça qui la fascinait chez un sexe masculin : dur et mou. Comment l’expliquer ? La verge avait cette chose fascinante que le durétait mou. Comme une espèce de chienne, elle mordillait parfois légèrement le sexe, afin de le bloquer, et aspirait alors violemment avec sa bouche, creusant ses joues, sentant la queue de l’elfe vibrer entre ses lèvres closes. Ses mèches de cheveux glissaient le long de ses joues, et elle se forçait parfois à les rabattre.

Elle allait sans doute trop lentement, car elle sentait le corps de Melendil remuer parfois, sous l’effet d’un certain empressement. Ceci la faisait sourire. Pauvre homme... Il était solidement excité, et elle accrut donc le rythme, tout en remuant son bassin, lentement, de gauche à droite. On pouvait entendre la Princesse gémir, on pouvait entendre les bruits de succion de sa bouche sur son sexe, et elle frottait également son corps contre le sien, glissant ses seins sur sa peau nue. La jeune Princesse mouillait toujours un peu plus, au fur et à mesure que le sexe de l’homme, cette grosse sucette, s’enfonçait dans sa bouche. Finalement, elle glissa l’une de ses mains, et vint jouer avec les testicules, les titillant, tout en faisant des gorges profondes.

« Huuuuummm !!! » soupira-t-elle encore.
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Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

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Melendil Korvander
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Melendil commençait peu à peu à oublier ces longues heures passées dans la salle de torture du palais, pour peu, il aurait presque considéré ça comme un moindre mal en comparaison du fait de coucher avec une Princesse. Dans un sens en effet, on pouvait considérer qu'il ait été torturé avait facilité sa propulsion dans les bras d'Alice, qui se sentais hautement redevable envers lui.
Melendil avait toujours éprouvé une certaine attirance envers les filles de haute naissance, non pas qu'il n’ait d'yeux que pour elles, mais pour le vagabond, voleur, et roturier qu'il était, il y avait un plaisir certain à coucher avec une fille de noblesse, à la faire crier de plaisir. Que lui le moins que rien, arrive à offrir à ces dames ce que beaucoup de nobles manquaient à avoir, de la vigueur au lit.
C'était toutefois la première fois qu'il couchait avec une femme d'une telle stature sociale. Des Baronnes ou des Comtesses, il en avait quelques-unes à son tableau de chasse, mais une Princesse, c'était comme décrocher le jackpot, surtout que pour ne rien gâcher la Princesse en question n'avait rien d'une sainte nitouche. Il y avait cru pourtant, avec son air innocent et fragile, ses longs cheveux blonds, mais alors qu'Alice enchaînait les gorges profondes sur sa verge, il était persuadé et convaincu qu'il était loin d'être le premier homme à partager sa couche.

Ah...hum...

Melendil soupirait de temps en temps entre deux coups de langue qu'il donnait à l'intimité de la Princesse, il se devait bien de lui rendre la pareille car elle était en train de le sucer avec brio, son sexe dur allait et venait dans la bouche accueillante de sa partenaire, et il sentait qu'il n'allait pas tarder à venir. Melendil tenta de se concentrer un peu pour retarder l'échéance, à la fois pour ne pas jouir trop vite, et pour profiter encore un peu plus. Mais entre son intimité dont il léchait la cyprine et le clitoris, ses fesses qui étaient un délice sous ses mains, ses seins qui frottaient sur son ventre, et sa bouche qui accueillait son sexe, Melendil avait de nombreux facteurs contre lui.
Alice poussait de longs soupirs de plaisir, et le suçait de plus en plus vite, se retenir devenait douloureux. Le pire était sans doute les seins volumineux de la Princesse qui s'écrasaient sur son ventre, comme deux ballons de chair dont il sentait en plus les tétons durcis, elle remuait son corps de façon à le caresser contre le sien, cette femme était une séductrice redoutable. Le jeune elfe tint bon encore un peu, mais toute résistance finissait par atteindre son point critique, et quand il sentit le sperme venir, il donna un coup de bassin pour s'enfoncer bien profondément dans la bouche d'Alice tout en serrant ses fesses. Son sexe se mit à tressauter dans sa gorge, et il envoya plusieurs giclées de sperme chaud tout en continuant à remuer dans sa bouche. Melendil vint généreusement en elle, en poussant de longs râles de plaisir et de soulagement, et son corps se détendit quand il cracha ses dernières vagues de semence. C'est la respiration lourde qu'il continua à masser le cul de la Princesse, il était loin d'avoir terminé, mais avait besoin d'un léger moment de pause avant de reprendre la chevauchée.

Alors Princesse, cet avant-goût vous a-t-il plû ?

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Reine Alice Korvander
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Les apparences étaient parfois trompeuses, surtout avec Alice. La Princesse, en apparence, était une jeune femme candide et naïve, une sorte de princesse sortie tout droit d’un conte de fées. La princesse naïve et innocente que le prince charmant devait secourir d’un vilain dragon qui la retenait dans sa tour... Mais, à Sylvandell, les dragons étaient des gardiens, et les beaux parleurs étaient des individus qui finissaient souvent rôtis entre deux dents de dragon. Les Commandeurs n’étaient pas des princes charmants. Alors, tomber sur quelqu’un qui en avait l’apparence, c’était suffisamment exceptionnel pour qu’Alice s’y cramponne avec l’énergie d’une désespérée. Elle suçait ce sexe avec énergie et passion, retrouvant le plaisir simple de la fellation, où elle pouvait dominer, et imposer son rythme, un jeu où la femme, dans un certain sens, acquérait un pouvoir sur le partenaire masculin. Le mâle était soumis, vaincu, à ses pieds... Ou, plutôt, à ses lèvres. Elle savait qu’elle rythmait, et qu’il jouirait en premier. Malheureusement, les hommes pouvaient difficilement cacher ce genre de choses, et cette solide proéminence, cette queue de plus en plus dure, témoignait d’une chose simple : Melendil, son bellâtre, approchait du point de rupture. Il jouirait en elle, dans sa bouche, car elle le voulait ainsi. Elle agissait donc en conséquence, glissant le long de sa queue, enfonçant toujours un peu plus ses seins contre sa peau douce et ferme.

Et il vint. Elle sentit son sexe se braquer, avant de cracher cette substance visqueuse qui, la première fois, lui avait fait faire un bond effrayé en arrière, alors qu’elle avait manqué s’étouffer. Elle savait que la venue du sperme était violente, comme une espèce d’explosion blanche et gluante. Elle campa sur ses positions, comme la gardienne de but qui arrêtait une balle lancée à toute allure. Elle sentit le sperme venir, éclater sur ses lèvres, et recula légèrement sa tête, continuant à poser ses lèvres sur le sexe, un sexe trempé de salive, tandis que Melendil, par à-coups, libérait en elle une quantité de sperme impressionnante. Fallait-il croire ce que les prostituées disaient quand elles vantaient les capacités sexuelles des amants elfiques ? En tout cas, Melendil ferait honneur à cette réputation. Il se vida pendant de nombreuses secondes en elle, et elle ne dit rien, ni ne bougea plus, sentant ses joues grossir, au fur et à mesure que le sperme giclait en elle. Elle le retenait, s’empêchant de trop en avaler, afin de ne pas être étouffée, contrairement à ce qu’elle faisait jadis. Quelques filaments blanchâtres glissèrent ainsi le long de la verge de l’homme. Le sperme était plus collant que la mouille, et restait donc là. Quand Alice masturbait ses amants, elle s’amusait parfois à « tirer » sur le sperme, à le sentir se coller sur ses doigts. Il jouit, se déchargeant en elle, et la taille de son sexe décrut légèrement.

La Princesse finit lentement par se retirer, en s’aidant de ses bras, avalant le sperme, qui dégoulinait de ses lèvres.

« Alors Princesse, cet avant-goût vous a-t-il plû ? » lui demanda-t-il.

Avant-goût... Ainsi donc, il avait encore envie de s’amuser avec elle ? Alice l’espérait, car elle, après tout, n’avait pas joui. Elle s’était retirée, et se retourna lentement, avant de s’asseoir à califourchon sur l’homme. Ses mains se posèrent sur son torse, et elle lui fit un sourire ravissant. Un peu de sperme glissa le long de sa lèvre inférieure, et elle le sentit.

« Oups... Tu as du confondre ma bouche avec un autre trou de mon corps, mon bel elfe... »

La langue d’Alice jaillit, léchant sa peau, et elle avala ce sperme, avant de le sucer. Elle remua ensuite la tête, balayant ses cheveux, puis s’allongea sur l’homme, s’affalant sur lui, ses seins s’enfonçant dans son torse. Avec ses doigts, elle vint caresser ses lèvres.

« A ma table, j’ai des assassins, des meurtriers, des bourreaux, des repris de justice... Mais je n’ai encore aucun voleur. »

La conception de la noblesse sylvandine était typiquement mijakienne, en ce qu’elle accordait peu d’importance au statut social, mais bien plus aux faits d’armes. Un Commandeur bénéficiait d’une amnistie générale pour toutes les infractions commises, étant entendu que l’individu ayant commis des infractions trop lourdes, soit des infractions impériales, ne pouvait jamais bénéficier de ce statut. Elle continuait à rêveusement caresser les lèvres magnifiques, tellement envoûtantes, de Melendil, puis l’embrassa sur les lèvres, soupirant de plaisir dans sa bouche, se lovant contre lui. L’une de ses mains gantées s’attarda sur le téton droit de l’homme, et elle le pinça, tout en allongeant sa tête sur son torse.

*Il ferait un très bon oreiller...*

Elle ne tarda pas à enchaîner :

« Je suis une Princesse capricieuse... Et je crois que je vais avoir du mal à t’oublier, mon beau Melendil... Tout comme à te relâcher dans la nature... Alors, dis-moi... »

Et, tout en parlant, elle s’était redressée, l’embrassant dans le cou, près de ses longues oreilles, la main jouant avec son téton se glissant contre le sexe de l’homme, qu’elle caressait lentement, veillant à le relever, pour le plaquer contre sa peau :

« Être au service d’une Princesse, vivre dans un royaume situé dans un ancien sanctuaire elfique... Et baiser Sa Majesté bien fort te séduirait-il ? »
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Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

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Melendil Korvander
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Melendil reprenait peu à peu son souffle après cet orgasme libérateur, Alice avait bien jouée avec lui, avec ses désirs purement masculins, et jouir avait été un véritable plaisir autant que le signe annonciateur de la fin d'une souffrance réelle, même si elle n'avait été en rien comparable avec la torture qu'il avait subi plus tôt. La princesse n'avait pas bronché quand il s'était mis à cracher son sperme dans sa bouche, et l'entendre déglutir, avaler sa semence, le fit sourire un peu avant qu'elle ne se retourne, et ne vienne s'allonger sur lui.
Oui, Alice tranchait pas mal avec l'idée préconçue qu'il se faisait de certaines filles de la haute noblesse, c'était surtout sa perversion qui l'avait surpris, et qui continuait à le surprendre. Elle était même allée jusqu'à récupérer, avec sa langue, un fin filet de sperme qui dégoulinait de sa bouche, avant de ponctuer le tout d'une remarque bien salace.

Oups... Tu as du confondre ma bouche avec un autre trou de mon corps, mon bel elfe...

Absolument pas Princesse, je les traite tous avec l'égard qui leur est dû.

Alice était maintenant allongée sur lui, placée à califourchon, sa tête reposait sur son torse musclé et elle le caressait de diverses manières, le temps pour lui de reprendre un peu de forces pour se lancer dans un deuxième round. Il n'avait en effet pas encore fini, non seulement parce que sa partenaire n'avait pas encore joui, et que ce serait intolérable de finir dans de telles conditions, mais aussi parce que lui même avait encore envie.
L'elfe fronça néanmoins les sourcils à certaines des paroles d'Alice, il avait l'impression qu'elle tournait autour du pot durant un certain temps, jusqu'à ce qu'elle ne se décide à en venir au fait.

Être au service d’une Princesse, vivre dans un royaume situé dans un ancien sanctuaire elfique... Et baiser Sa Majesté bien fort te séduirait-il ?

La dite proposition avait été agrémentée d'un autre argument, celui de l'une des délicates mains de la princesse sur son sexe, qui reprenait du volume rapidement. Cela lui arracha un soupir, néanmoins il devait réfléchir à cette proposition. Il n'était guère plus qu'un voleur doué, mais de là à côtoyer la cour d'une grande maison noble, il y avait un grand pas à franchir, d'autant que Melendil était de nature vagabonde.
Néanmoins, c'était une proposition qui pouvait lui offrir des opportunités non négligeables, une certaine protection, ainsi que pourquoi pas la possibilité de revoir cette belle jeune femme. Il resta quelques secondes silencieux, le temps de peser le pour et le contre. Puis il balança son corps de façon à retourner Alice, l'allonger sur le dos avec lui au dessus.

C'est une proposition intéressante que je me verrais mal refuser, même si je dois avouer que je vois difficilement ce qui me vaudrait une telle place Alice. Je sais me défendre mais suis un piètre garde du corps, et pour être honnête, vos soldats me foutent la chair de poule.
Par contre, pour ce qui est de baiser sa majesté bien fort...là...


Ses mains commencèrent à remonter le long des cuisses d'Alice, tandis que sa verge désormais bien au garde à vous était très proche de l'intimité ouverte de sa partenaire. Il lui suffit d'avancer un peu son bassin pour se glisser sans aucune difficulté en elle.

Je peut faire des miracles. Hum vous êtes toute chaude Princesse.

Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

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Reine Alice Korvander
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Enlacés ainsi, avec son corps reposant sur le sien, Alice se fit l’idée de deux amants se remettant d’une longue étreinte, pour mieux recommencer. Si la Princesse avait fait l’amour avec beaucoup de personnes depuis que Cirillia l’avait, un peu brutalement, déflorée, il était rare qu’elle rencontre des amants qui l’excitent à ce point. A dire vrai, elle pouvait les compter sur les doigts de la main. Il y avait, certes, sa femme, mais aussi Ciri’, dont la seule vue de ses petites fesses dans son pantalon en cuir l’émoustillait follement, Sélène, l’Amazone à qui elle avait offert son corps lorsque les Amazones avaient demandé l’hospitalité de Sylvandell, et elle allait maintenant devoir rajouter, à cette liste aux frontières indistinctes, Melendil. Le bel elfe était aussi beau que fougueux, et sentir son sexe avait été un véritable délice, aussi fort que ses lèvres, ses merveilleuses lèvres. A Sylvandell, le brave risquait fort de passer bien plus de temps que d’autres soldats à faire les patrouilles dans les plaines. Alice savait que les hommes de Sylvandell n’étaient pas vraiment des Apollon. Soit il s’agissait de gros fermiers gras, soit de soldats musclés buvant de la bière, et ayant une haleine assez imbibée. Melendil avait pour lui un charme surréaliste, des yeux romantiques, des lèvres d’une douceur inégalable, et un corps ferme et mâture. Oui, Alice ne doutait pas qu’il aurait l’occasion de culbuter beaucoup de fermières et de servantes à Sylvandell. Son offre était sérieuse. Elle avait quantité de raisons de vouloir cet homme auprès de lui. Il lui avait sauvé la vie, et il était d’une beauté à en tomber par terre. Et elle était une Princesse, soit une femme qui aimait bien que ses désirs soient exaucés. Et, en l’état, elle voulait son Apollon avec elle, son bel éphèbe, qui la pénétrerait, et l’embrasserait pendant des heures.

Melendil réfléchit, et remua alors, retournant Alice, qui se retrouva sous lui. Une position également très confortable, et elle sentit des frissons remonter dans tout son corps, alors qu’elle fixait les lèvres maudites de cet homme, posant ses mains gantées sur ses épaules et sur ses joues. Il était tellement beau, Seigneur ! Par tous les dragons, comment un être aussi beau avait-il pu être torturé par ces primates qui surveillaient cette ville ? Elle fondait rien qu’à le voir, se sentant empreinte d’une curieuse vulnérabilité, qui l’amenait à être très conciliante avec lui. Elle aurait volontiers exaucé tous ses désirs dans la limite du possible. La beauté a tous les droits, disait-on. Voilà qui se confirmait. Réfléchissant donc à sa proposition, Melendil lui répondit, lui avouant qu’il était très intéressé, mais qu’il doutait de ses capacités à réussir à la défendre efficacement, ce qui la fit sourire. Il glissa alors ses mains le long des chaudes et douces cuisses de la Princesse, qui en frissonna, avant de relever ses jambes, et de les serrer autour de sa taille. Elle sentait le sexe de l’homme, emprisonné entre eux, glissant sur son ventre. Son érection allait probablement se réveiller sous peu.

« Je peux faire des miracles lâcha-t-il. Hum vous êtes toute chaude Princesse. »

L’intéressée sourit, et caressa la nuque de l’homme, avant de l’embrasser sur les lèvres, ses seins s’enfonçant contre sa poitrine.

« Rassure-toi, mon beau Melendil, mes gardes m’effraient aussi... C’est bien pour ça qu’avoir un garde qui ne m’effraie pas soit particulièrement intéressant. Sous ma protection, personne ne te battra comme ces idiots l’ont fait. Je ne le tolérerai pas. »

Elle l’embrassa encore. Décidément, il était difficile de se lasser de ses belles lèvres.

« Tu es tellement beau, Melendil... Comment pourrais-je ne pas avoir envie de te garder près de moi, de goûter encore à ton corps, à tes lèvres délicieuses ? »

Cette question n’appelait pas vraiment de réponse. Tout en parlant, l’autre main de la Princesse, celle qui ne caressait pas sa nuque, se glissa dans son dos, descendant le long de son corps, sur son dos, jusqu’à atteindre ses fesses. Elle les caressa lentement, avec un sourire sur les lèvres.

« Il y a deux choses que tu dois savoir, mon beau Melendil, sur les Princesses. Nous n’aimons pas qu’on nous contredise, et nous sommes très sceptiques. Tu as certes des lèvres magnifiques, mais, de là à te faire passer pour un faiseur de miracles... »

Elle esquissa un sourire, et termina :

« Il va falloir que tu me montres par toi-même cette vantardise, mon bel elfe... »
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Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

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Melendil Korvander
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Melendil observait la princesse, allongée juste sous lui, presque intégralement nue, collée contre son corps qui lui ne s'encombrait plus de vêtements. Ils étaient tous les deux allongés dans un large lit avec des matelas confortables et d'épaisses couvertures, nus l'un contre l'autre, Melendil avait le bonheur de sentir la peau douce de la jeune femme contre la sienne, et c'était une sensation des plus agréables, surtout quand on sort tout juste d'une salle de torture.
Peu à peu son sexe reprenait sa dureté, son ardeur lui revenait, il était impossible de rester de marbre face à une telle beauté. Ses longs cheveux blonds et ses yeux bleus, sa peau douce, ses seins vers lesquels Melendil ne pouvait s'empêcher de diriger son regard de temps à autres. Mais malgré toutes ces sources de distraction, l'elfe continuait de suivre le fil de leur discussion, et Alice était très sérieuse quand à sa proposition, elle voulait le garder auprès d'elle. Melendil aurait pu presque s'offusquer qu'on puisse le considérer comme une sorte d'objet, mais cela aurait été avec ironie dans le cas d'Alice, qui au contraire de pas mal de nobles n'avait pas cet orgueil les rendant invivables.

Tu es tellement beau, Melendil... Comment pourrais-je ne pas avoir envie de te garder près de moi, de goûter encore à ton corps, à tes lèvres délicieuses ?

Et bien. Melendil haussa un sourcil tout en gratifiant la princesse d'un sourire amusé, c'était un compliment et il le prenait comme tel, mais ne pouvait s'empêcher de trouver la situation amusante.

J'aurais pensé qu'une princesse de ton rang aurait un plus large choix de prétendants et d'amants, mais je suis flatté, et te renvoie le compliment.

Un frisson le parcouru quand Alice posa une de ses mains gantées sur ses fesses musclées. Vivre dans les rues et vagabonder lui avait forgé une musculature. Il n'était pas en position de rivaliser avec de grands guerriers légendaires, mais sa musculature était suffisante pour faire fondre le coeur de pas mal de dames, et il était même plutôt bien musclé pour un elfe, une race pourtant connue pour leur constitution moins élevée que les humains ou les nains. Puis, elle mis en doute les capacités de l'elfe à pouvoir faire des miracles dans le domaine qu'ils étaient en train d'explorer, afin sans nul doute de le pousser à agir. Melendil lui rendit son sourire, et sans un mot commença à se déplacer, amenant son visage entre les cuisses de la princesse, il se dirigea vers l'une d'entre elles, et se mit à embrasser sa peau à cet endroit. Melendil savait qu'Alice n'avait qu'une envie, qu'ils fassent l'amour, mais comme elle avait jouée avec lui, il n'était que justice qu'il lui rende la pareille, princesse ou pas. Ses mains habiles lui caressaient les hanches, son ventre, moulant les formes de son corps divin, tandis qu'il s'attaquait avec sa langue à tout sauf à l'endroit précieux de la jeune femme.
La sentir frémir, frustrée, sous ses caresses dosées et expertes, voilà aussi qui était une partie du plaisir qu'il ressentait. Oh bien sûr lui aussi avait envie de lui faire l'amour, et même sauvagement, car goûter à ce corps faisait renaître en lui un appétit dévorant, mais Melendil savait aussi se contrôler tandis qu'Alice, probablement plus habituée à ce qu'on réalise directement ses désirs, n'était probablement pas aussi experte en la matière.

Pressée dirait-on ? Navrée ma belle princesse, mais j'adore faire languir mes partenaires.

Ses lèvres se déplacèrent sur son bas ventre, juste au dessus de son intimité et de son clitoris. Il léchait, mordillait sa peau en s'approchant dangereusement de sa zone sensible, mais jamais il n'y allait véritablement. Ses mains elle se déplaçaient, pour pétrir ses deux seins qu'il sentait terriblement durcis sous ses paumes. Il jouait avec, les palpait avec plaisir et douceur, le bout de ses index dessinait le contour de ses têtons qui pointaient fièrement. Oh oui, tout indiquait qu'Alice avait très envie qu'on la prenne. Melendil voulait la faire languir pour que le moment où il se déciderait enfin à lui faire l'amour soit une délivrance, une extase, et ce moment se rapprochait. Le sexe de l'elfe était tendu, et au moment où les gémissements d'Alice commençaient à devenir plus pressants, il comprit qu'il serait cruel de la faire patienter d'avantage. Il retira ses lèvres, puis se déplaça pour se mettre au dessus d'Alice. Puis il avança son bassin, et sa verge coulissa toute seule dans le vagin de la belle princesse, en s'enfonçant entièrement en elle, il ne faisaient plus qu'un. Melendil vint l'embrasser précisément à cet instant, alors qu'il s'allongeait pleinement contre elle, collant son torse musclé contre sa poitrine agréable. Naturellement il commença à faire des va et viens, instinctivement même, le lit se mit à grincer alors que sous l'effet de l'excitation, et de l'envie de la princesse, Melendil accélérait rapidement le rythme.

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Reine Alice Korvander
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Dieu, que cet elfe était beau ! Oh, s’il était beau ! Alice comprenait mieux, maintenant, ces troubadours, ces chanteurs, ces conteurs itinérants vantant le « beau peuple », un peuple d’artistes, proches de la Nature, d’une beauté presque « céleste ». Cet homme n’avait rien à voir avec le seul elfe que, jusqu’alors, Alice connaissait : l’Omniprêtre. Et, même, il était à la fois semblable et différent des elfes traditionnels. Il était musclé comme un homme, comme un beau chevalier. Oui, voilà, c’était un chevalier elfique, un homme à la beauté terrifiante. Alice se sentait fondre sous le contact de cet homme, sous ce torse qui la heurtait. Elle avait vaguement conscience que la manière dont elle lui parlait pouvait être offensante, mais Alice parlait tout simplement avec l’honnêteté et l’innocence de son âme, d’une âme échaudée par le désir et le sexe. On aurait presque pu croire qu’elle était amoureuse de lui, vu la manière dont elle le couvait, dont elle avait envie de le caresser, de se blottir contre son corps... Et elle devait bien admettre que, dans une certaine mesure, elle était bel et bien amoureuse de ce corps, de cet elfe bon, propre, doux, au corps musclé. Elle était comme une espèce de groupie qui bavait devant sa star d’enfance, à quelques degrés près.

« J'aurais pensé qu'une princesse de ton rang aurait un plus large choix de prétendants et d'amants, mais je suis flatté, et te renvoie le compliment. »

Le compliment la fit sourire. Une Princesse de son rang... Le pauvre s’imaginait-il que Sylvandell était un royaume aussi grand que Lumen ? Elle n’était pas la Reine Ivory, et Sylvandell, en réalité, n’était pas très intéressant pour beaucoup de nobles. Le royaume était éloigné de tout, et les seuls prétendants qu’elle avait eu, avant d’épouser une esclave issue de nulle part, voulaient surtout avoir la puissance militaire de Sylvandell à disposition... Ce qui expliquait pourquoi ils avaient tous été congédiés. Les Sylvandins étaient des autochtones un peu rudes, des provinciaux qui ne supportaient pas que les gens venant du centre de l’Empire se permettent de leur marcher dessus, et de mésestimer leurs coutumes.

« Détrompe-toi, mon beau, mon cœur est encore suffisamment grand pour contenir quelques amants de ton gabarit... »

Et toc ! Pour une femme, il était toujours bon de malmener un peu l’ego des hommes, si prompts à se sentir fiers de plaire à une femme. Melendil, son bellâtre, se mit alors à descendre, et fit preuve de tout son talent en « torturant » cruellement la pauvre Princesse. Elle se mit à se tortiller sous le lit, gémissant et soupirant, ses mains gantées agrippant les longs cheveux de son amant, les empoignant, alors qu’il embrassait ses cuisses, tournant autour de la zone qu’il était supposé cibler.

« Haaan... Hum-hummm... Me… Melendiil !! »

Dans la voix d’Alice, dans son intonation, on pouvait entendre la supplique, le désir naissant, qui était lentement en train d’exploser dans son corps. Ses doigts glissaient sur les beaux cheveux de l’homme, et elle frissonna davantage quand elle sentit les mains de l’homme empoigner fermement ses seins, les malaxant. Elle pouvait sentir son talent, et, si elle savait que lui aussi devait être en train de souffrir, avec son membre qui devait le démanger, en l’état, elle souffrait aussi. Melendil avait pleinement raison : la Princesse n’avait pas l’habitude qu’on la fasse patienter ainsi. Sa première séance de sexe, avec Cirillia, avait été quelque chose d’assez forcée, et, depuis lors, Alice n’avait eu d’amants joueurs, de partenaires qui avaient cherché à la frustrer, exactement comme Melendil le faisait en ce moment.

Ses seins pointaient, ses tétons durcissaient, chauffant, et, tandis que l’une de ses mains restait en appui sur la tête de Melendil, glissant dans ses mèches, l’autre main attrapa le poignet d’une des mains du bel elfe, alors qu’elle continuait à partir.

« Pourquoi faut-il que... Haaa... Tous les beaux hommes soient... Si cruels ? »

D’une manière ou d’une autre, elle allait trouver un moyen de le faire payer ! Ses fesses remuaient de droite à gauche, alors que l’homme continuait à jouer. Au bout d’un temps qui lui semblait interminable, alors qu’elle mouillait, le lit se mit à rmeuer. Melendil se déplaça, elle eut un aperçu de son torse, et il s’écrasa ensuite sur lui. Elle retint son souffle, sentit son sexe glisser entre ses cuisses, avant de s’enfoncer en elle. Son intimité était alors bien lubrifiée, et, par conséquent, son membre put s’enfoncer fermement en elle. Son cri fut étouffé par le baiser de l’elfe, et elle posa ses mains autour du cou de l’homme, caressant ses cheveux, griffant ses omoplates, gémissant langoureusement dans sa bouche en sentant son épaisse virilité s’enfoncer en elle.

*La beauté naturelle d’un elfe, la musculature d’un humain... Et la vigueur d’un nain ?*

Les nains étaient tellement petits qu’on disait que, paradoxalement, leurs sexes apparaissaient comme disproportionnés... C’était fou, le genre d’anecdotes, qu’Alice apprenait lors des dîners à Sylvandell ! Un beau membre s’enfonçait en elle, et Melendil s’écrasait contre elle, dans un long baiser, terriblement romantique. Alice fourrait sa langue dans sa bouche, respirant lentement, lourdement, sa poitrine formant comme deux tisons de douceur heurtant les pectoraux solides de ce bel elfe.

Le baiser finit par se rompre. Alice haletait et gémissait, et fit glisser sa main, griffant le dos de l’homme en retournant vers ses fesses. Elle en pressa une, et donna une petite gifle... Comme si elle cherchait à se venger.

« Haaa... Maudit... Maudit elfe, hum... Tu… Tu as intérêt à bien me… Me baiser, aaaahhh… »

Encore une fois, les dîners royaux avec son père et tous ses Commandeurs, qui passaient un temps infini à raconter leurs aventures grivoises, continuaient à enrichir le vocabulaire de la Princesse. Elle savourait le contact de cette vigueur en elle, cette sensation d’être ouverte, d’être remplie, pleine. Cette douleur fulgurante en elle était libératrice, jouissive, comme si elle se sentait pleinement vivante. Et ce corps beau, musclé, tendu, chaud, qui la heurtait...

Existait-il plus belle sensation en ce bas-monde ?
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Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

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Melendil Korvander
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Ne faire qu'un avec le corps d'une superbe femme, existait-il meilleure sensation que celle là ? Ce moment où les deux ne font plus qu'un, dans une longue étreinte amoureuse. Après être passé par la case salle de torture, dont il allait conserver des marques indélébiles sur son corps, Melendil trouvait donc cela encore plus agréable qu'à l'accoutumée. Certes, le fait qu'Alice était une princesse avait aussi son charme, mais ce qui était plus intéressant dans le cas présent ce n'était pas son rang social, mais sa beauté, et aussi sa perversité.
Alice, malgré ses apparences, n'était en rien une princesse chaste, ce qui surprenait Melendil, mais pas dans le mauvais sens du terme. L'elfe n'était pas quelqu'un à juger les gens quand à leur vie sexuelle, chacun faisait bien ce qu'il voulait, et puis en l'occurence, tomber sur une belle femme avec un esprit aussi...ouvert, ce n'était pas pour lui déplaire.
Il s'unissaient à présent, Melendil avait pénétré Alice après l'avoir fait un peu patienter. Cela pouvait sembler cruel que de jouer ainsi avec les désirs d'une femme, mais ce n'était que pour faire monter la pression pour mieux la satisfaire par la suite. Melendil ne parlait pas, mais oui, il avait bien l'intention de la baiser fort comme elle le souhaitait.

Collé contre le corps de la princesse, Melendil ondulait lui pour faire aller et venir son sexe dans l'intimité chaude et humide de sa partenaire. Lui était intégralement dénudé, elle pas tout à fait. La majeure partie de son joli corps l'était, mais Alice portait encore des gants et des collants blancs, faits dans un tissu fin et doux, ce qui avait don de l'exciter d'avantage. Melendil aimait bien ce qui lui restait de vêtements, expliquer pourquoi était impossible, dans son état tout ce qu'il pouvait formuler comme pensée rationnelle, c'était que cet accoutrement bien que simpliste la rendait extrèmement sexy.
Le lit se mettait à grincer, le matelas sur lequel les deux amants se trouvaient remuait, bondissait, alors que Melendil accentuait tout naturellement le rythme de ses va et viens. Sa verge n'avait aucun mal à se frayer un chemin dans les parois internes de la princesse, qui ne simulait pas son plaisir. La moitié de sang humain qui coulait dans ses veines, avait au moins eu l'avantage de lui conférer une masculinité avec laquelle il se sentait confortable, mais Alice de son côté n'était pas pour rien dans l'ardeur qu'il mettait à lui faire l'amour. Se redressant en prenant appui sur ses bras, Melendil pouvait ainsi se laisser aller à des pénétrations plus intenses, mais aussi voir le visage d'Alice, qui appréciait ce qu'il lui faisait. La voir aimer ça était en soit une récompense, puis son regard fut vite capté par ses seins, opulents, qui se balançaient.
Il ne résista pas, et plongea son visage vers l'un de ses seins, et en goba le téton entre ses lèvres pour le sucer, et le coincer entre ses dents. Sa respiration, rapide, provenait du mélange de désir et d'effort physique qu'il devait fournir en ce moment. Ces seins, il en était amoureux, et peut-être même en était-il de même pour le reste aussi. Dire que cette princesse le laissait de marbre aurait été un honteux mensonge, mais il n'y avait pas que son corps qui lui plaisait, son âme aussi, Alice s'était montrée compréhensive, bienveillante, tout le contraire de beaucoup de nobles. Alice semblait quelqu'un de juste, et c'était aussi pour ça qu'il allait mettre un point d'honneur à la satisfaire, au contraire d'une gosse de riche capricieuse, elle méritait ça.

Melendil passa un long moment au niveau de la poitrine d'Alice, mais il fini par remonter à hauteur de son cou, embrassant sa peau à cet endroit tandis que son corps s'allongeait donc de nouveau sur celui de la princesse. Il avait accéléré progressivement ses va et viens pendant ce temps, et maintenant c'en était au stade où Alice s'enfonçait dans le matelas à chaque coup de rein qu'il donnait. Il aurait pu se montrer bien plus tendre, c'était d'ailleurs comme ça qu'il faisait la plupart du temps, mais Alice avait fait le vœu d'être prise de façon moins subtile, et ça aussi il pouvait le faire.

Alors majesté...mes compétences vous...conviennent-t-elles ?

Il souriait en ramenant son visage à sa hauteur, ses mains se posèrent de part et d'autres de son visage, et il caressa ses douces lèvres avec ses pouces.

Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

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Reine Alice Korvander
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Qui aurait pu croire qu’elle aurait passé cette journée entre les bras d’un des hommes les plus beaux en ce bas-monde ? Vif et énergique, Melendil était un elfe sur lequel elle fantasmerait volontiers, qui la pénétrait langoureusement, avec un indéniable talent, talent qui coïncidait avec une passion magnifique. Elle pouvait sentir que l’idée de coucher avec elle lui faisait plaisir. Il la pénétrait joyeusement, sans relâche, le lit grinçant sous leurs ébats. Son corps nu se frottait contre le sien, son torse glabre heurtait ses seins tendus, et elle gémissait à chaque fois que Melendil s’enfonçait dans son corps. Ses jambes frottaient contre les siennes. Yeux mi-clos, elle avait cette sensation magnifique d’être prise par un homme, d’être écrasée sous lui, de sentir sa rage et sa virilité en elle. Une sorte de pulsion passionnelle violente qui l’électrisait comme une pie. Ses mains gantées se crispaient sur la nuque et sur l’épaule de Melendil, alors qu’elle haletait et gémissait, prise dans une espèce de tourbillon fou, une sorte de cyclone rythmée par le chibre tendu et assoiffé de Melendil, un bâton de chair qui perforait son corps, s’enfonçant dans son corps, recueillant à chaque passage de plus en plus de son jus intime. Il flottait dans une sorte de puits rempli, si rempli qu’il en débordait. La sueur et la mouille d’Alice se mélangeaient sur les draps, formant des plaques liquides de plus en plus grosses.

« Haaann... Haaannn-haaaannnn-haaaaannnn... »

Il était difficile d’articuler plus. La Princesse était surprise par les élans fougueux de cet homme, qui l’avait savamment fait patienter, avant de, finalement, lui accorder sa récompense. Sentir ce sexe vigoureux en elle, voilà qui était un plaisir exquis. Intense et vibrant, le membre de Melendil la défonçait joyeusement, et sa main glissa de son épaule pour caresser le dos de l’homme, caressant, du bout des doigts, ses belles fesses. Elle sentait l’énergie de son amant, sa vigueur, au fur et à mesure que sa sueur glissait sur elle. Il s’attaqua à ses seins, et elle poussa, non pas un gémissement, mais un cri, se tortillant sur le lit, remuant frénétiquement ses jambes, basculant sa tête en arrière quand les dents et la langue de Melendil glissèrent sur sa poitrine, généreusement offerte. Elle entendait les râles et les soupirs profonds que l’homme poussait. Sa main, ne pouvant plus explorer ses fesses, retourna agripper ses cheveux. Sous le tissu de son gant, elle pouvait sentir ses mèches, légèrement humides, et veilla à presser sa tête contre son corps, tout en remuant les jambes, ses collants venant frotter le corps de l’homme, s’enroulant autour de sa taille, chacun de ses talons posés sur ses fesses.

« Me... Melenhaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaannn !! »

Incapable de prononcer son nom, elle gémissait, et laissait l’homme la prendre. Il dut bien rester plusieurs heures à hauteur de ses seins. La vitesse de ses pénétrations décroissait au fur et à mesure qu’il s’attaquait à ses seins, amenant la Princesse à gémir et à implorer par des halètements. Elle était en sueur, les joues rouges, et serrait ses jambes contre le bassin de Melendil quand elle trouvait l’elfe peu réactif, amenant alors ce dernier à donner de grands coups de reins. C’était un guerrier, musclé, bien bâti, qui pesait son poids. Des dizaines et des dizaines de kilos tombaient sur elle, l’aplatissant comme une délicieuse crêpe. Lui continuait à jouer avec ses seins, et elle à gémir, se laissant faire. Tout ça était bon, trop bon, comme une espèce de rêve éveillé. Elle en aurait presque pleuré de joie, tant cet homme était délicieux.

*Le laisser partir, lui ? Je me damnerai, plutôt que d’y songer !*

Comme Melendil, Alice le trouvait très bon, mais estimait aussi que Melendil, outre ses performances sexuelles remarquables, et sa beauté incroyable, avait aussi d’indéniables qualités morales. Il savait qu’il risquait d’être torturé en se mêlant d’une affaire qui ne le concernait pas, et, pourtant, il n’avait pas hésité à la sauver. De plus, il n’avait pas faut preuve, avec elle, de ce dédain dont les elfes manifestaient à l’égard des humains, des « dh’oines », ainsi qu’ils les appelaient. Poli et aimable, respectueux et serviable, c’était un véritable ange... Un ange qui lui labourerait le corps, qui l’aplatissait sous sa masse et ses muscles. Leurs chairs claquaient. Cette fusion... Oh, oh, c’était tellement, tellement bon ! Alice se crispait sur les cheveux de Melendil, évitant de le griffer douloureusement avec ses gants.

« HAAAAAAAAAAAA !! » hurla-t-elle en se tortillant.

Ses mèches de cheveux voletaient à droite et à gauche, alors que son excitation sexuelle s’accroissait. Melendil cessa alors de s’attaquer à ses seins, trempés, et remonta le long de son cou. Le corps de Melendil s’allongea à nouveau sur le corps d’Alice, qui ne put que libérer ses fesses, soulevant ses jambes, formant deux espèces de montagnes. Il continua à donner des coups de reins, forts, rapides, profonds. La vulve d’Alice était bien dilatée, ouverte. Sa fleur avait ouvert toutes ses pétales, et il était maintenant facile de s’y enfoncer. Le sommier et le matelas souffraient, et Alice pouvait sentir un creux se former.

Lorsque Melendil aventura ses mains sur ses joues, ses pouces glissant le long de ses lèvres, Alice gémissait silencieusement, couinant brièvement.

« Alors majesté...mes compétences vous...conviennent-t-elles ?
Haaa... Haaa... »

Elle répondit par un bel orgasme. Elle ferma les yeux, et suça les pouces de Melendil pendant quelques secondes, avant de se tendre, et de pousser plusieurs hurlements et longs soupirs, avant de jouir, balançant des chapelets de mouille, qui noyèrent le chibre de Melendil.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaa... »

Ses cris se calmèrent progressivement, au fur et à mesure que la vague s’écrasait contre Melendil. Elle s’était écrasée contre son corps, en sueur, et lui mordilla le cou, avant de l’embrasser sur les lèvres. Alice gémissait toujours. Un orgasme... Elle venait de jouir, et se sentait bien... tellement bien. Elle avait l’impression de flotter au Paradis, et, dans son esprit embrumé par les joies du sexe et du plaisir suprême, elle voyait presque Melendil comme un délicieux ange. Elle lui sourit.

« Oh oui, elles me conviennent... Mais votre examen n’est toujours pas... Hum... Fini... »

Alice se rapprocha de son oreille, et la lécha un peu, avant de susurrer délicieusement quelques mots suaves à l’intérieur :

« Je veux que vous continuiez à me défoncer... Que vous exploriez l’intégralité de mon corps, Melendil... »

Comme pour le titiller, elle avait à nouveau aventuré sa main le long de ses fesses, titillant cette partie douce et rebondie de son corps, avant de lui sourire, de manière espiègle, et de l’embrasser encore. Son autre main retourna s’appuyer sur sa nuque, et elle gémit dans sa bouche. Entre leurs corps, près de leurs sexes, elle sentait sa mouille, qui glissait lentement, le long de ses cuisses, pour venir se frotter contre ses jambes. Elle soupira, tout en continuant à titiller son fessier, à caresser son postérieur, ses doigts glissant près de sa croupe, effleurant de loin sa porte arrière.

Après tout, son cul était à la hauteur du reste de son corps.

À croquer.
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Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Message par Melendil Korvander »

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Melendil Korvander
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Alice donna à Melendil une réponse bien plus satisfaisante et sans équivoque qu'un simple "oui" à sa question, car elle était en train de jouir entre ses bras. Loin de ralentir, Melendil avait encore au contraire accéléré ses mouvements de bassin, il percutait littéralement la jeune princesse avec une fougue incroyable, et continua jusqu'à ce que ses cris de plaisir ne commence à se calmer. Il réduisit alors peu à peu la cadence, mais sans que son sexe ne quitte le doux écrin dans lequel il était fourré. Il regardait le visage de la Princesse, et souriait, cette expression de contentement sur son visage, la voir haleter avec ses joues rouges, c'était un spectacle qu'il ne se lassait pas de voir chez une femme quand il en était le responsable direct.
Il s'arrêtait de bouger maintenant, leurs souffles respectifs se mêlèrent l'un à l'autre pendant quelques secondes, avant que leurs lèvres ne s'attirent mutuellement à nouveau. Il s'embrassèrent, car c'était un domaine dans lequel Melendil excellait, et il l'embrassa avec passion, envie. Il n'en avait pas encore fini, et se trouva autant rassuré que comblé quand Alice lui avoua qu'elle en voulait encore, le tout en prommenant  ses mains finement gantées sur son fessier bien musclé par ses années dans la rue.

Ce contact failli déclencher chez lui un mouvement de défense. Car combien de fois dans ses plus jeunes années l'avait-il senti ce contact, contre son gré, à cause de sa belle gueule d'elfe ? Il masqua son trouble toutefois, ne souhaitant pas importuner Alice avec ça, et s'approcha de son oreille.

On dirait que je suis tombé sur une Princesse non seulement belle comme un coeur, mais en plus insatiable...

Il lui murmura cela d'un ton un peu moqueur, mais qui ne se voulait absolument pas insultant, ce qu'il lui prouva en retournant l'embrasser, de façon un peu plus douce cette fois, alors qu'il remua un peu son bassin en elle. Il était bien ainsi, contre le corps chaud d'une délicieuse femme, car pour le coup il était persuadé qu'Alice devait bien être une des femmes les plus belles qu'il avait du croiser. Certes les Nobles avaient le don de se mettre en valeur, mais leur beauté physique était presque systématiquement contrebalancée par un caractère haïssable, ce qui n'était pas le cas pour elle...alors forcément cela magnifiait l'opinion de l'elfe quand à sa partenaire, qu'il continuait d'embrasser, avant de se retirer délicatement.

Alors dans ce cas...poursuivons.

Encore une fois son sourire ravageur. Il en usait beaucoup, mais il avait remarqué à quel point son petit air de voleur malicieux était apprécié chez certaines femmes, et Alice en faisait partie, et il ne loupait jamais une occasion de se rendre séduisant auprès d'une jolie jeune femme. Il se retira alors délicatement d'elle, son sexe encore tendu ruissela un peu de cyprine sur le drap au passage, tandis qu'il se mit à genoux.

Si sa majesté veut bien avoir l'obligeance de se retourner...


Elle s'exécuta, et Melendil ne perdit pas une miette du spectacle de son cul se positionnant face à lui, Alice se mettant à quatre pattes sur le lit. Il s'approcha d'elle, en se courbant un peu, et fourra son visage entre la raie de ses fesses tandis que ses mains les lui malaxaient, les pétrissaient. Sa langue trouva vite l'entrée de son orifice, entrée interdite pour beaucoup de femme, mais il était évident que dans le cas d'Alice ce n'était pas le cas. Une intuition...quand au fait qu'elle réagissait favorablement à ses caresses à cet endroit, et quand au fait qu'elle lui avait suggérée implicitement de la prendre ainsi. Melendil ne proposait d'habitude pas aux femmes de les sodomiser, car lui même avait beaucoup subi et savait à quel point ce pouvait être une expérience...désagréable.
Mais avec une femme consentante, c'était une autre histoire, ce qui ne l'empêchait pas de préparer le terrain avec minutie en léchant, et en glissant un doigt pour servir de prélude à l'entrée de son sexe dans cet orifice bien plus étroit.

Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

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Reine Alice Korvander
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Confortablement installée sous le corps de ce magnifique elfe, Alice était aux anges. N’existait-il pas sensation plus merveilleuse, en effet, que celle d’être sous le corps d’un homme, après avoir joui ? De se sentir écrasée sous lui ? De sentir son corps former une sorte de douce et chaude couverture, contre laquelle on n’avait qu’une envie : se blottir pour dormir ? Cependant, Alice n’avait pas encore envie de se coucher, et la manière dont sa main jouait sur les belles fesses de l’elfe pouvait être interprétée de bien des manières. La jeune femme ne nota pas le trouble subit qui saisit l’elfe, car elle ne pouvait pas se douter qu’il avait été violé ici à plusieurs reprises. Elle se contentait juste de caresser ses fesses, comme pour inviter l’homme à venir s’y attaquer, maintenant qu’il l’avait pénétré. Est-ce qu’il avait joui ? Elle n’en avait pas le sentiment, car elle sentait toujours sa queue, bien dure, bien tendue. Restant contre lui, frottant son nez contre sa peau trempée et chaude, elle enfonçait un peu ses seins contre son torse, sa seconde main en appui sur l’une de ses épaules.

Il l’invita à poursuivre, en lui faisant un sourire chaleureux, un sourire de mauvais garçon... Le genre de sourires qui devaient rendre les femmes folles. Alice rougit légèrement, se demandant ce qu’il avait en tête, et elle cessa de toucher à son postérieur, remontant le long de son dos, caressant sa peau.

« Si sa majesté veut bien avoir l'obligeance de se retourner... » demanda alors l’elfe.

La Princesse cligna légèrement des yeux, avant de sourire poliment, et de l’embrasser sur les lèvres, lui caressant les cheveux.

« Oh, mais bien sûr… »

Elle savait très bien ce que son amant comptait faire. Il se retira de son corps, et elle soupira lentement. Cependant, avant qu’il ne se retire complètement, elle releva un peu ses jambes, et les serra autour de sa taille, l’immobilisant brièvement. Alice se hissa alors, et susurra, contre son oreille :

« Je vais me mettre en position de chienne... Rien que pour toi... »

Elle savait que c’était le genre de choses qui excitaient les hommes. Alice se retourna ensuite d’ne roulade, et resta ainsi pendant quelques secondes, tournant la tête de côté, ses mains glissées sous son corps, un sourire espiègle. Elle ressemblait alors presque à une petite fille en train de jouer, et remua ses fesses de droite à gauche. La Princesse posa ensuite ses mains sur la couverture, et se hissa un peu, finissant assez rapidement à quatre pattes. Elle creusa alors son dos, en faisant craquer ses articulations, rehaussant un peu son postérieur, le dressant devant le corps de Melendil. Elle se mordilla les lèvres, à l’idée de ce qui allait l’attendre. Une bonne grosse sodomie à l’ancienne, qui la ferait hurler de plaisir, et inonderait ses draps, déjà tachés par sa sueur et sa mouille.

Avant de la prendre, l’elfe prépara méticuleusement le terrain, approchant son visage, se frottant contre ses fesses, tout en léchant sa raie, glissant sur sa belle croupe, se rapprochant de sa languette rose, ce petit trou intime. La Princesse gémit en se pinçant les lèvres, se crispant un peu sur ce contact. Instinctivement, elle appréhendait un peu la douleur qui allait venir, mais c’était plus un réflexe naturel d’autodéfense qu’autre chose. L’envie de la Princesse ne faisait aucun doute, et alla en s’accroissant, au fur et à mesure que les mains de Melendil pétrissaient ses fesses. Petit à petit, Alice se mit à frissonner, à se tortiller... Mais sans sentir l’homme venir. Alice n’était pas encore assez excitée pour ne pas voir que l’homme se retenait, d’autant plus qu’il n’avait pas encore joui, et qu’il devait sentir son sexe commencer à le peser. L’anus d’Alice était bien dilaté, et elle était prête.

Elle sentit un doigt s’enfoncer en elle, et poussa un soupir, contribuant à dilater un peu son fondement. Elle remua alors ses fesses de gauche à droite, et tourna la tête, avec un léger sourire.

« Rassurez-vous, Melendil, cette partie de mon corps n’est pas vierge non plus... Venez en moi, venez, je veux vous sentir jouir dans mon cul... Vous sentir me défoncer et me faire hurler comme une folle... Venez, je vous en prie ! »
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Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Message par Melendil Korvander »

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Melendil Korvander
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Le moment où Alice l'avait retenu avant qu'il ne se relève, en l'entourant de ses jambes, et en faisant un commentaire bien salace sur cette position qu'elle allait prendre, avait vraiment eu le don d'exciter Melendil, qui commençait à considérer vraiment le fait de se montrer un peu plus ferme avec la princesse. Non pas qu'il allait se montrer violent, c'était contre sa nature de maltraiter une belle femme qui n'avait rien fait pour le mériter. Mais beaucoup de choses lui laissait à penser que Alice aimait ses ébats quand ils étaient vifs, même si Melendil pensait qu'elle pourrait prendre goût à un peu plus de romantisme et de douceur, elle devait être d'avantage habituée à des hommes plus...virils.
Mais Melendil pouvait composer avec ça, et il le faisait d'ailleurs. Quand il avait pénétré Alice, là allongé sur elle, il n'y était pas allé de main morte, ce qui avait ammené Alice à délicieusement jouir contre lui. Maintenant il allait explorer son joli cul, il avait son visage fourré dedans, sa langue jouait avec l'entrée de son petit trou dans lequel il allait très prochainement se fourrer. De ce que son index glissé dedans pouvait lui fournir comme sensations, elle était très étroite, rentrer serait probablement un peu difficile alors il devrait y aller en douceur...mais il anticipait déjà le délicieux étau dans lequel son sexe allait se trouver.

Assez rapidement Alice supplia Melendil de la prendre, il ne s'était donc bel et bien pas trompé. Alice voulait plus que simplement qu'il lui fasse l'amour, elle voulait être "baisée", y compris à cet endroit. Ainsi elle n'était plus vierge ici aussi ? A ce stade Melendil ne pouvait plus vraiment être surpris, il se doutait bien qu'Alice avait une vie sexuelle fortement remplie, mais au contraire d'autres il ne portait pas de jugement. Au contraire en fait, car cela signifiais plutôt qu'il était en train de coucher avec une femme ayant de l'expérience, et donc avec bien peu de tabous et d'interdits avec lesquels il fallait composer, ce qui en plein élan de désir pouvait être compliqué.
Melendil retira alors son doigt et se redressa, prenant son sexe dans une de ses mains tout en se rapprochant d'alice, et il posa alors sa verge entre les fesses de la Princesse. Il ne la pénétra pas encore, son sexe était simplement logé entre les deux fesses d'Alice, et il remua délicatement pour sentir le frottement de la peau ferme de la femme sur son membre.

Hum...rien que de songer à quel point ce doit être bon en toi Alice...majesté...quoique si tu le permet, en l'absence de tes suivants je vais me permettre de te tutoyer tu ne crois pas ? Après tout...maintenant que je vais être un de tes amants officiels, car oui j'accepte définitivement ta proposition, je me vois difficilement continuer à te vouvoyer en privé.

En public ce serait bien entendu une autre histoire. Elle était une Princesse et lui un simple garde du corps, alors les manières et l'étiquette seraient de mise. Il en était conscient et s'y plierait, si cela permettait de rester avec cette jolie demoiselle, alors c'était un prix à payer que de faire des courbettes, comme il l'appellait ainsi.
Mais en attendant, il dirigea le bout de son sexe vers la "porte de secours" d'Alice, et commença délicatement à s'enfoncer en elle. Il y alla doucement et avec moultes précautions, jaugeant aux réactions de la princesse quand il pouvait avancer, quand se stopper pour lui laisser le temps de s'y faire, car Melendil avait tout de même une verge dont il n'avait pas à rougir. Il prit alors tout son temps, en ayant l'occasion de pétrir les fesses de la belle, et au bout de quelques temps il s'enfonça complètement entre ses fesses.

Ah...

Melendil était assez avare pour sa part en commentaires lorsqu'il faisait l'amour, mais il laissait échapper des soupirs, et sa respiration lourde ne pouvait pas laisser de doutes, il adorait être fourré dans le cul d'Alice. Doucement il commença à se retirer en partie, et rentra à nouveau. Il répéta l'opération plusieurs fois, sentant peu à peu les parois internes d'Alice s'accommoder de sa présence, et il se mit à progressivement aller plus vite.

Hum...C'est...Oh c'est délicieux...

L'elfe se sentait de plus en plus poussé par son propre désir. Ses mains posées fermement sur les hanches de la princesse alors qu'il accélérait le rythme, pressé par une envie de jouir qu'il réprimait toutefois autant que possible, afin de faire durer le tout. Il se frustrait, et donc augmentait la cadence en conséquence pour arriver au moment où il 'en pourrait plus, et se libérerait.
Melendil prit un rythme de croisière convenable. Son bassin tapait contre le cul d'Alice, leurs peaux se mettaient à claquer l'une contre l'autre, et le lit grinçait. Melendil parcourait le corps d'Alice de ses mains, son dos surtout, il s'agrippait aussi à ses épaules, et parfois se baissait pour pouvoir parvenir à empoigner ses seins qui se balottaient au rythme de ses coups de rein. Le point de rupture commença alors à arriver, alors que Melendil en était au stade de bien pilonner les fesses d'Alice, il se sentit jouir en elle. Il s'enfonça alors entièrement en elle, et éjacula une bonne quantité de sperme chaud, pendant de longues secondes, soupirant de plaisir alors qu'il se libérait d'un vrai poids.

Aaaaaah....Ah....oh...

Trempé de sueur, le jeune elfe se retira doucement d'Alice, et s'allongea sur le lit.

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Reine Alice Korvander
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Demande de RP
Elle sentit Melendil se relever après un temps interminable, et frémit lorsqu’elle sentit le sexe tendu de l’homme glisser le long de ses jambes, brièvement, le bout de sa verge la frôlant. Elle soupira, avant de sentir la verge glisser sur ses fesses, comme une sorte de petite épée qui heurterait sa chair, se pressant contre son corps. Elle soupira en sentant ensuite le sexe glisser contre ses fesses, filant dans sa croupe, mais sans encore atteindre son anus. Sous la frustration, Alice lâcha un soupir de dépit, serrant ses poings gantés en remuant ses fesses de droite à gauche, et de bas en haut, comme pour inciter le membre de son partenaire à la pénétrer, à rentrer en elle. Melendil se mit alors à parler, lui indiquant qu’il acceptait l’idée de devenir son amant. Alice se mordilla les lèvres, les joues rosissant légèrement. Voilà au moins une chose de faite ! Elle allait avoir son premier amant masculin dans sa future Cour. N’était-elle pas prête pour être Reine, maintenant ?

« Hum... C’est très flatteur, Melendil... Alors, honore ton amante comme il se doit... Défonce-moi ! »

La patience n’était pas forcément l’art des Princesses, et Alice, dans ce genre de situations, ne l’était pas beaucoup. Elle sentait des frissons à hauteur de son fondement, une sorte de démangeaison, qui lui donnait envie de se frotter là. Depuis que Melendil avait glissé son doigt ici, elle rêvait d’être prise avec force, de sentir toute la virilité de cet homme la prendre, la remplir de l’intérieur. Melendil remonta son sexe, qui glissa lentement le long des fesses d’Alice, avant de heurter son anus. Ce petit trou étroit... La première fois qu’on l’avait sodomisé, Alice avait senti une douleur terrible dans tout son corps, et avait gesticulé dans tous les sens, pensant devenir folle. Elle n’avait alors jamais eu autant mal de sa vie, et se souvenait avoir pleuré, sous la douleur, suppliant qu’on arrête ce supplice... Le plaisir était progressivement venu, mais sans que la douleur ne parvienne vraiment à s’atténuer en elle-même, ne diminuant que parce qu’une sorte de plaisir masochiste montait. À force, Alice avait compris qu’il existait des femmes adorant les sodomies, comme Mélinda Warren, sa fameuse amie esclavagiste, et d’autres qui en avaient horreur, parce que ça faisait trop mal.

Quand le bout de la verge se rapprocha, et heurta sa peau, Alice grogna en serrant les dents, mais ne put retenir un cri bref, aigu, quand le sexe commença à s’avancer. La douleur monta d’un cran, explosant depuis ses fesses, et elle hurla à nouveau, sentant toute éventuelle forme de fatigue fondre comme neige au soleil, une sorte de frisson électrique traversant son corps de part en part. Elle poussa un nouveau hurlement, et remua son cul de gauche à droite, comme pour mieux enfoncer ce membre, avançant son bassin, se soutenant avec ses jambes. Elle grogna et soupira, de la sueur coulant le long de ses mèches de cheveux, ses joues devenues toutes rouges. L’elfe n’allait pas la ménager, et elle ferma les yeux en soupirant longuement, essayant de se visualiser la scène d’un point de vue extérieur. Elle, à quatre pattes, au milieu du lit... Lui, derrière elle, ses douces mains chaudes se crispant sur son corps, sa vigueur la pénétrant, son beau visage poussant des soupirs, son torse luisant de sueur, alors que son sexe, progressivement, s’enfonçait.

Le passage de la langue de Melendil, puis de son doigt, avaient permis de répandre un peu de sa live, ce qui, avec cette verge remplie de mouille, facilita la dilatation de ses parois, le sexe s’y adaptant. Contrairement à une intimité, où un sexe avait plus de place, un cul était extrêmement étroit, donnant l’impression qu’on vous étouffait à l’intérieur, qu’on vous comprimait dans une chair qui n’attendait qu’une chose : que vous disparaissiez pour reprendre ses droits. C’était une sorte de lutter perpétuelle, et c’était ça qui était particulièrement jouissif, particulièrement délectable, merveilleux et exquis. Petit à petit, le membre de Melendil s’enfonçait, de plus en plus loin, et le lit craquait sous les mouvements d’Alice. La Princesse gémissait, une main en appui, avançant lentement l’autre pour se caresser. Sous un nouveau coup de butoir, elle glissa, et sa tête s’écrasa contre l’oreiller, relevant davantage son cul. Elle frottait son intimité avec ses doigts, enfonçant deux doigts dans sa fleur pour appuyer sur le bourgeon, faisant venir le nectar, qui maculait ses gants, avant de toucher le lit. Elle retourna ensuite s’appuyer sur ses deux mains, se soutenant, expirant longuement.

« Ouuui... Ouuuuiiii-ooouuuuuiiii, haaaaaaaaaaannnn... Melendil, haaaaaannn ! Haaaaaaaaaaaannnn-HAAAAAAAAAAANNN !! »

Alice se mit à pousser des cris, cris qu’on aurait alors pu entendre de l’autre côté de la porte, si une oreille distraite avait daigné s’attarder. Elle ne pouvait pas retenir les hurlements. Autrement, elle exploserait sur place. C’était tellement intense ! Elle se sentait pleinement vivante, et remuait d’avant en arrière, ses cheveux voltigeant dans tous les sens, tandis que l’homme y allait de plus en plus vite, son sexe se plaisant dans ce corps, s’y installant bien confortablement.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!! »

La Princesse serrait les poings, et était tellement secouée qu’elle se mit à cracher par mégarde, n’arrivant plus à retenir sa salive. Un filet de bave coula le long de ses lèvres, et ses cris se transformèrent en petits couinements, puis en longs soupirs. Fermant les yeux, elle sentait le rythme s’accélérer... Et trembla quand elle le sentit jouir. Elle sentit quelque chose taper contre son corps, remontant jusqu’à son estomac, et porta instinctivement une main à ce dernier, espérant peut-être y sentir quelque chose... Lentement, les mouvements décrurent, et, dans un soupir, son bel amant termina sa sodomie, pour s’étaler sur le lit, dans un soupir.

Alice respirait également lourdement, et se redressa, utilisant ses genoux pour se soutenir. Elle tourna alors la tête vers Melendil, et esquissa un léger sourire, en voyant sa verge, qui avait plutôt bien décru. L’homme était en sueur, et Alice avait mal aux fesses. Maintenant que cette verge n’était plus là, elle sentait des frissons à hauteur de son cul, l’imaginant toute rouge, avec un beau trou à hauteur de sa croupe. Les sifflements de l’air la faisaient frissonner, et elle se mit à caresser le corps de l’homme, avant de se coucher sur lui, de flanc, à hauteur de son estomac.

« J’adore quand on jouit en moi, Melendil... Je dois admettre que tu es un amant plein de fougue et de vigueur... Tu satisferais pleinement n’importe quelle femme avec ta prestation... »

Tout en parlant, elle jouait avec l’une de ses mains. Sa respiration était lourde et précipitée, et elle remonta ses doigts pour titiller les lèvres de l’homme, les caressant, glissant dessus.

« ...Mais je suis une Princesse, mon beau. Et, à ce titre, mon rôle est de redonner de la force à mes hommes... Ou à mes amants. »

Elle embrassa sa peau, la léchant, puis se déplaça ainsi, tout en ramenant ses jambes. Elle descendit le long de son ventre, glissant sous le nombril, léchant sa peau, le mordillant brièvement, sentant son sexe à hauteur de son cou, puis en continuant sa chute, elle arriva au rebord du lit. Ses jambes se posèrent sur le sol, mais sa tête se trouvait à hauteur du sexe de l’homme, sexe qu’elle attrapa entre chacune de ses mains, le pétrissant. Il était maculé de sperme et de mouille, tout gluant.

« Alors, ton soldat est au repos ? Ne sait-il pas que, devant sa Princesse, il faut toujours se mettre au garde-à-vous ? Aurait-il pris froid ? On dit qu’une verge ne doit jamais rester à l’air libre, car elle est très frileuse... »

Elle parlait pour exciter Melendil, mais aussi pour que son rythme cardiaque redevienne normal. Mine de rien, se faire latter le cul, c’était tout de même crevant ! Elle commença à lécher le bout de ce sexe, remontant sur sa peau, tout en écartant ses mains, les abaissant. Elle glissa sa langue le long de cette hampe, et fila sous la verge, embrassant les testicules, suçotant délicatement les poils pubiens, léchant les poils, sans tirer, car elle savait que cette zone était sensible. Elle remonta ensuite, venant frotter ce sexe entre son nez et sa lèvre supérieure, le sentant peu à peu se tendre à nouveau. Elle l’attrapa ensuite, et le poussa en avant, lui permettant ainsi, tout en coinçant le bout de cette verge sous sa main, de lécher la partie inférieure, de l’embrasser, d’y déposer quelques suçons.

Elle relâcha ensuite cette verge, qui se releva.

« N’espère pas te reposer si facilement, Melendil... Tu ne dormiras que quand je suis rassasiée, et, bien que je sois une petite humaine chétive, le sang du Dragon coule dans mes veines... »

Alice entreprit ensuite de lui faire une fellation, enfournant ce membre dans sa bouche.
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Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Message par Melendil Korvander »

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Melendil Korvander
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Faire l'amour à une femme était aussi plaisant que fatiguant, surtout pour un homme sortant tout juste de plusieurs heures en salle de torture. Melendil appréciait d'autant plus la douceur d'une belle femme, après avoir vécu l'enfer dans les sous-sols de ce château, mais n'était paradoxalement pas au meilleur de sa forme non plus. Il s'était allongé par nécessité, celle de reprendre son souffle, après s'être copieusement vidé dans le cul de cette Princesse, qui indéniablement le rendait fou. Elle était belle, possédait un esprit bon, mais surtout à l'instant, était bien plus perverse que bon nombre de femmes qu'il avait pu connaître. Et puis bon, c'était une princesse tout de même, cela avait le mérite de gonfler son amour propre que d'avoir pu conquérir la couche d'une si noble demoiselle, lui un pauvre vagabond sans véritable statut.
Melendil était en sueur, allongé, mais rapidement Alice s'approcha de lui, posant son visage sur son corps, à hauteur de son ventre. Sentir la respiration forte et accélérée de la jeune femme sur son bas-ventre ne laissait pas l'elfe indifférent. Il était toutefois encore épuisé par la torture, certaines de ses nouvelles cicatrices étaient encore fraîches, mais malgré ça la princesse avait un don, le don de réveiller son désir malgré tout. Elle se mit à le caresser, avec ses mains fines et douces, et rien que le fait d'attarder son regard sur les courbes de son corps suffisaient à, peu à peu, raviver son feu intérieur.

Alice n'en avait pas encore fini avec lui, cela se confirma autant à ses paroles qu'à ses actes, et le bel elfe la regarda alors agir avec un léger sourire, et un air intrigué. Elle déposa de multiples baisers sur son torse, son ventre ensuite, en continuant de descendre de plus en plus bas. Puis, Alice se positionna sur le sol, juste au rebord du lit, à genoux. Melendil, bien conscient de ce qu'il convenait de faire, ne se fit pas prier pour lui s'asseoir sur le rebord, bien installé sur le Matelas, avec Alice agenouillée face à lui. Ses mains s'emparèrent de son sexe, faisant soupirer Melendil, qui prenait un plaisir non feint à regarder cette beauté masturber son sexe, encore tout chaud après avoir visité la Princesse de fond en comble, et il semblait bien que ce n'était pas terminé.

Je dois admettre, votre majesté, que votre corps est bien plus hospitalier que l'extérieur...mais je suis certain que vous saurez rappeler à ce soldat son devoir.

Alice s'en occupa en effet. Tout en le masturbant, elle vint lécher son sexe avec sa délicieuse petite langue, la faisant glisser tout le long de sa hampe de chair qui à force reprenait  sa dureté en une belle érection. Melendil lui ne resta pas sans rien faire, car positionné ainsi il avait un bel accès à plusieurs zones intéressantes du corps de la Princesse. Ses seins notamment, qu'il ne se priva pas d'aller malaxer avec l'une de ses mains, sentir sous ses paumes ces masses de chair chaudes était divin, et contribuait à lui redonner sa vigueur. De son autre main, il caressait les cheveux d'Alice, puis fila le long de son dos pour sentir sous ses doigts sa peau, avant de revenir à sa longue chevelure dorée.

Oh Alice...hum...

Puis, après avoir bien mis au clair le fait que leurs ébats étaient loin d'être terminés, la Princesse prit alors les choses en main...ou plutôt en bouche, sa merveilleuse petite bouche qui une nouvelle fois acceuillit son sexe. Sentir les lèvres se refermer sur son gland, les dents frotter légèrement contre son sexe, et la langue danser dessus, Melendil ne put pas sur le moment se retenir de donner un léger coup de bassin pour s'enfoncer légèrement plus. La chaleur de sa bouche, et la salive qui commençait à recouvrir son sexe tendu, achevaient de le rendre opérationnel.
Il se reposerait plus tard, car il avait une Princesse à contenter.

Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Message par Reine Alice Korvander »

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Reine Alice Korvander
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Alice ne comptait pas laisser ce bel et magnifique elfe se reposer trop vite... Oh que non ! Elle avait rarement vu un homme aussi beau... Et, de fait, elle se demandait même s’il n’était pas son plus bel amant masculin. De plus, Melendil n’était pas que beau, il était aussi charmant et très attentionné. Alice avait envie de lui faire l’amour, encore et encore, et le bel homme n’était pas au bout de ses peines avec elle. Son fier soldat n’allait pas retourner à la caserne tout de suite, et Alice le prit rapidement en bouche, à genoux devant l’homme. Elle comptait l’embrasser partout, elle comptait explorer tous les tréfonds de son corps, encore et encore, sans relâche. Sa bouche filait d’avant en arrière sur son sexe, et elle gémissait longuement, en goûtant à ce gros sexe.

Melendil avait un chibre très gros, qui se mit à enfler au fur et à mesure qu’elle jouait avec. Fermant fréquemment les yeux, et respirant par le nez, Alice se concentrait. La plupart du temps, elle le suçait, remuant sa tête d’avant en arrière, puis retirait ensuite sa bouche, et déposait de petits baisers sur tout le pourtour de son sexe. Elle remuait dessus, le léchait, le suçotait, et allait ensuite s’attaquer à ses testicules, déposant des baisers dessus, tout en évitant de trop tirer sur ses poils pubiens. Et, tandis qu’elle faisait ça, Alice s’empressait de masturber son bel amant, relevant les yeux pour le regarder, pour lire le plaisir s’exprimer sur son visage, pour voir ce corps magnifique, ce corps qui aurait pu faire tourner bien des têtes. Elle retournait ensuite le prendre en bouche, et s’enfonçait en lui, reprenant son souffle quand elle enfonçait ce membre turgescent aussi loin que possible.

« Hmmm... » gémit-elle, encore et encore.

Le membre de l’homme retrouva sa dureté naturelle au bout de quelques minutes, et Alice continua encore à le sucer... De fait, il y avait une sorte de plaisir ancestral à l’idée de sentir une aussi grosse queue en elle. Peut-être aurait-elle dû, vu sa nature de Princesse, trouver cette position choquante, mais, en réalité, seule dominait une sensation forte de plaisir. Elle le prenait encore et encore, tout en remuant ses doigts dans son intimité, et en gémissant tendrement. Elle mouillait ainsi, et finit finalement par relever sa tête, et par reprendre son souffle.

« Et bien, voilà qui est mieux, Melendil... »

Un gros chibre la regardait, et elle restait à genoux... Puis, toujours pour exciter l’homme, elle avança ses doigts enduits de mouille, et les suça sous ses yeux, enfonçant deux doigts dans sa bouche, sans que jamais son regard ne se détache de celui de l’homme. En souriant lentement, elle les retira ensuite, dans un claquement sonore, et caressa avec ses deux doigts le sexe de l’homme.

Qu’allait-elle faire ensuite ? La réponse à cette question vint immédiatement quand Alice se redressa, et posa chacune de ses mains sur ses seins. Elle se pinça les tétons, et se déplaça un peu, venant glisser le sexe de Melendil entre ses seins, et se débrouilla pour que son membre se redresse un peu, et se frotte entre ses seins. Un sourire sur le coin des lèvres, Alice expérimentait de nouvelles positions, des choses qu’elle avait vu faire chez les esclaves de Mélinda. Le gros vit de Melendil formait comme une chaude et gluante sucette, qui se frotta d’avant en arrière contre ses seins.

« Là... Hummm... »

Le bout de son sexe frottait contre son menton, et Alice entreprit de le lécher en sortant timidement sa langue, venant le caresser et le titiller.

Avec ses joues rouges, son plaisir était à son paroxysme, et elle espérait qu'il en serait de même pour ce bel elfe.
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Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Message par Melendil Korvander »

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Melendil Korvander
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Indéniablement, Melendil n'avait encore jamais eu l'occasion de croiser de jeune femme de haute lignée aussi portée sur le sexe qu'Alice. Il avait eu déjà l'occasion, quelques fois seulement, de coucher avec des nobles, et ce dans le plus grand secret, mais aucune n'avait manifesté un appétit comparable à celui de la belle princesse blonde qui lui suçait la queue. L'elfe, bien qu'encore marqué par les tortures qu'on lui avait infligé, avait réussi à retrouver sa vigueur sous le délicieux traitement de sa partenaire, et sa respiration lourde témoignait de la douleur et du plaisir qu'il ressentait en ce moment. Melendil se poussait un peu, car en l'état actuel des choses il aurait aimé se reposer mais...n'était-il pas désormais un serviteur de cette jeune femme après tout ? Alice désirait qu'il s'occupe encore d'elle, et elle le suçait tellement bien que malgré la fatigue, Melendil se sentait pour ainsi dire chargé de la satisfaire.

*Elle va très probablement m'achever pour ce soir mais...hum...*

Melendil adorait la façon qu'elle avait de sucer ses boules, tout en caressant le reste de son sexe couvert par sa salive, et son regard, comment ne pas fondre devant un regard qui vous dévorait littéralement ? Melendil lui n'en perdait pas une miette, dans sa position actuelle l'elfe avait un rôle passif, qui lui permettait de regarder complètement Alice à l'oeuvre. Il était particulièrement excitant de la voir sucer sa queue, en plus de la sensation en elle même bien sûr, il passait à l'occasion une main dans ses cheveux, suivant le rythme des va et viens contre son sexe. Ce dernier était redevenu très dur, et lui faisait même assez mal, mais le sexe était aussi une part de souffrance, tant qu'elle n'obscurcissait pas le reste. Et en l'état actuel des choses, Melendil adorait ce que la princesse lui faisait. Le corps en sueur, qui faisait légèrement luire son torse musclé à la lumière des bougies, et la respiration haletante, il semblait être tel un esclave scotché au bon vouloir de sa maîtresse, qui lui sussura que l'état de son sexe était désormais bien plus satisfaisant.

Tout soldat à de temps en temps besoin qu'on prenne soin de lui, et je dois admettre que tu sais très bien remonter le moral de tes troupes ma belle.

Nul besoin d'être formel, vu qu'ils n'étaient que tous les deux. Alice se redressa alors, et Melendil se sentit fondre quand il comprit ce qu'elle avait l'intention de faire. Il se retrouva vite avec sa queue prise entre les deux seins lourds et délicieux d'Alice, qui en se servant de ses mains les resserra contre, avant de se mettre à le masser ainsi.

A...Alice...Hmm...

Le sexe de l'elfe trempé de salive n'avait aucun mal à glisser contre ses deux masses de chairs chaudes qui l'enserraient, et Melendil se mit à remuer un peu son bassin tant le plaisir était à son paroxysme. Alors qu'il remuait de concert, il sentait la langue, timide, d'Alice titiller le bout de son sexe à chaque fois qu'il poussait, rajoutant encore un peu de plaisir à cet océan dans lequel il se trouvait. L'elfe ne tarda concrètement pas à sentir l'orgasme pointer le bout de son nez, il aurait pu prévenir Alice, mais l'envie soudaine de maculer son visage et ses seins avec son sperme se manifesta dans son esprit. Il se contenta alors d'accélérer le rythme, se servant de ses bras en appui sur le lit pour s'aider dans ses mouvements, puis il vint au bout de quelques minutes. Le bout de son sexe hors des seins de la princesse, il éjacula à plusieurs reprises contre son visage, sur ses joues, son nez et ses lèvres, avant de disparaitre dans le creux des seins d'Alice, et de finir à cet endroit.

Oooooh...hum...

Melendil resta ainsi un moment, son sexe trempant dans son propre sperme, puis il baissa son visage pour voir l'état dans lequel se trouvait Alice, et il se permit alors un sourire coquin.

Toutes mes excuses majesté, je n'ai pas sû me retenir face à votre doigté royal...mais si je puis me permettre, je te trouve magnifique ainsi.

Mâculée de sa semence, Melendil la trouvait attirante pour une raison qu'il ne s'expliquait pas trop, mais chercher à expliquer les fantasmes était en soit une perte de temps, il étaient tout simplement. Melendil approcha alors une de ses mains du visage d'Alice, et frotta délicatement son pouce de façon à récupérer son sperme qui commençait à couler le long de la peau de la princesse, avant de le porter aux lèvres de sa belle partenaire.

Permets-moi au moins de t'aider.

Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Message par Reine Alice Korvander »

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Reine Alice Korvander
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Fiche
Demande de RP
Entendre et voir Melendil sous l’effet du plaisir, voilà un délice dont Alice pensait bien ne jamais devoir se laisser. L’elfe était beau, si beau... Une beauté incroyable, qui était en train de la transporter. Elle regardait l’homme remuer lentement devant elle, soupirant faiblement, avec ses lèvres magnifiques. Depuis quand était-elle devenue si douée avec le sexe ? C’en était presque effrayant ! Alice était comme à la place de Mélinda en ce moment, excitant son amant, en lui montrant tout ce dont elle était capable. Il n’y avait que dans les contes que les nobles dames étaient des femmes dévergondées et ineptes au sexe. Dans les faits, Alice avait souvent été une exception... Mais, grâce, à l’entraînement de Mélinda, cette exception n’avait plus vraiment lieu d’être.

Elle remuait cette saucisse de chair entre ses seins, un membre tendu, érigé, un mât imposant. Une belle queue, fière et grande, élancée et impériale, qui finit, sous les multiples traitements d’Alice, â relâcher sa semence. Alice sentit cette queue remuer, puis, alors qu’elle en suçotait le bout, le sperme jaillit, fusant à toute allure, et vint inonder son visage pendant plusieurs secondes. Melendil juta plutôt bien, venant recouvrir le doux visage de la Princesse de sa liqueur blanche, recouvrant sa figure, allant jusqu’à rebondir contre quelques mèches de cheveux. Alice ne l’avait pas pris en bouche, se contentant juste de faire juter l’homme.

Quand il eût terminé, elle était avec du sperme sur son visage, ainsi que sur son torse, formant quelques lignes qui allaient se nicher entre ses seins, descendant lentement vers son ventre, la Princesse clignant des yeux à plusieurs reprises.

*Ça tient chaud...*

Aussi curieuse soit-elle, ce fut cette première réflexion qui s’imposa en elle. Melendil venait de jouir sur elle, et lui présenta ses excuses... Avec un sourire tel et une lueur telle dans les yeux qu’elle se doutait que ses excuses n’en étaient pas vraiment, et n’étaient qu’une façon de parler. L’homme approcha alors sa main, et elle frissonna en sentant son pouce venir récolter un peu de sperme.

« M’aider, hum... »

Alice sourit, puis alla sucer le pouce de l’homme, avant rapidement ce sperme. Elle entreprit alors d’en prendre à son tour avec ses doigts, et les lécha.

« Hmmm... Tu as vraiment très bon goût, Melendil... »

Elle sourit. Sensuellement. Puis elle opta pour une autre idée, en s’humectant les lèvres, le cœur battant tendrement la chamade :

« Pourquoi ne pas venir... Me lécher ? Tu sais combien je raffole de tes lèvres, mon beau... »
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Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Message par Melendil Korvander »

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Melendil Korvander
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La perversité dont cette jeune femme pouvait faire preuve au lit était, dans l'esprit de Melendil, un contraste très excitant par rapport à son statut social très haut. Elle ne rechigna pas lorsque l'elfe juta sur son visage, et entre ses seins, pas plus que lorsque Melendil, poussé par une inspiration subite, s'était mis à récupérer de son propre sperme avec son pouce pour ensuite l'ammener à la bouche de la princesse. Cette dernière n'avait alors pas hésité à sucer le pouce de Melendil, et à ainsi aspirer sa semence encore tout chaude. Melendil réitéra ce geste à deux reprises, allant nourrir Alice de son sperme, avant que cette dernière ne lui suggère d'achever de la nettoyer avec sa langue. L'elfe ne fût cette fois pas surpris, cela dit, pas cette fois et n'allait probablement plus tellement l'être, mais il trouvait à chaque fois de plus en plus excitant les idées coquines d'Alice, qui adorait jouer avec lui.

Ma foi, vos désirs sont des ordres, majesté...


Meledil lui adressa un sourire malicieux, puis délicatement passa ses mains sous ses épaules pour la soulever, et l'allonger sur le lit, où ils seraient installés bien plus confortablement. Positionné à ses côtés, allongé, le jeune elfe prit toutefois un moment pour la contempler un peu, avant de pencher son visage près de ses seins, là où restait la plus grosse partie de sa semence. D'une main, toutefois, l'elfe se permit d'aller explorer la douce peau d'une des cuisses de sa belle princesse, dont il caressa l'intérieur, et empoigna sa chair. Suivant les filets de sperme qui s'étaient dessinés le long de sa poitrine, Melendil lécha donc, à plusieurs reprises et doucement, en prenant bien son temps pour qu'Alice aie tout le temps de savourer sa langue parcourant sa belle peau. Puis, une fois qu'il en eu avalé assez, Melendil se redressa et approcha ses lèvres de celles d'Alice, pour ensuite aller l'embrasser. Il amenait ainsi à Alice tout le sperme qu'il récupérait ainsi, en l'embrassant brièvement, juste assez pour qu'elle puisse tout récupérer et avaler.
Melendil répéta l'opération à quelques reprises, tandis que pendant ce temps, il s'était mis à glisser deux doigts dans l'intimité chaude et humide d'Alice, et remuait à l'intérieur doucement, juste afin de la conserver dans un bon état d'excitation. Lui, allongé comme il l'était, et blotti contre le flan de la princesse, avait sa verge tendue blottie contre Alice.
Ainsi, une fois qu'il eu fini de partager ses baisers avec la princesse, le beau vagabond, joueur, continuait à la doigter, car il appréçiait cette sensation d'avoir, littéralement au bout des doigts, le plaisir qu'elle éprouvait.

A présent que sa majesté a été correctement nettoyée, désire-t-elle autre chose ? Comme je suis désormais votre garde du corps, il est de mon devoir de m'en occuper n'est-ce pas ?
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