« Hmmm… Ouais, tra Maîtresse, tâ… Tâche de t’en souvenir, haaaaaa… »
Mélinda se pencha alors vers Mélissandre, et murmura :
« Elles vont jouir toutes les deux. »
Et, effectivement, elles jouirent. Allison gémit, et ses muscles se contractèrent. Le concert de crissements et de claquements se mua en une apothéose finale, et les deux femmes se mirent à jouir. Allison en eut les yeux vagues, et ses queues vinrent remplir Lissandre. Mélinda adorait ce moment, celui de l’orgasme, quand les deux corps se tendaient au maximum, et qu’elles jouissaient ensemble. Un spectacle magnifique, le summum du plaisir, celui où les corps se figeaient. Elle visualisait les spermatozoïdes d’Allison filer par vagues. Ce fut un puissant orgasme, assurément. Les deux corps se crispèrent, tandis que la « Déesse-Allison » jouissait longuement. Elle gicla pendant une bonne minute, avant de soupirer.
En sueur, Allison se retira ensuite, tandis que ses verges se rétractèrent. Elle se coucha sur le dos, respirant longuement, en reprenant peu à peu ses esprits.
« Pfffiouh… Je dois bien admettre que tu es à la hauteur de ta réputation, Lissandre. Je comprends pourquoi Shii t’idolâtre autant. »
Mélinda gloussa, et embrassa Mélissandre sur la joue :
« On dirait que ta Maman s’est fait une nouvelle fan. Maintenant, dis-moi, Mélissandre, que dirais-tu d’un peu de sucreries ? Je dois bien avoir un ou deux gâteaux pour toi, et je pense que ta mère a besoin de repos… Pendant que je cherche dans quelle partie du manoir Fönn est partie… »