Re: L'étrange soirée d'Harigato-senseï [Nanami Seikyo]
Posté : 14 sept. 2024 00:46
Hikari avait tout simplement perdu le contrôle. Toute forme de contrôle. Toute notion de retenue. Elle avait bu l’urine de sa Maîtresse... Est-ce qu’elle l’avait vraiment faire ? C’était sans doute le genre d’épisodes sur lequel elle allait revenir ensuite, espérant pouvoir l’oublier... Si ce n’est qu’il n’y avait pas qu’elle et Nanami, mais aussi Alice, qui avait immortalisé cette scène en la filmant. Hikari ne l’avait pas encore vu... Ou n’y avait pas prêté attention, tant elle était absorbée par cette scène. Nanami se décida finalement à récompenser la fidélité d’Hikari, qui sentit son cœur bondir doucement de joie à cette idée. Elle s’en pinça les lèvres, frémissant sur place.
Alice récupéra une belle culotte noire en latex surmontée de trois vibromasseurs, deux orientés vers l’intérieur, et un autre vers l’extérieur. Voir cet instrument ne manqua pas d’exciter la professeur, qui vit Alice enfiler la culotte à Nanami, veillant à glisser chaque vibromasseur dans les parties intimes de Nanami. Restée silencieuse et spectatrice pendant tout ce temps, Nanami était prête à la récompenser.
« Maîtresse... » ne put que soupirer Hikari.
Elle pouvait sentir son cœur bondir doucement dans sa poitrine, et resta à quatre pattes. Alice s’écarta ensuite, et attrapa une télécommande située à proximité d’elle. Elle appuya sur la fonction vibrante des vibromasseurs, qui s’enclenchèrent dans un agréable ronronnement. Ainsi prête, Nanami se rapprocha d’Hikari, et posa ses mains sur ses hanches, prête à passer aux choses sérieuses... Et la pénétra brusquement. Hikari en aurait presque joui tant elle avait attendu ce moment. Certes, Alice avait été une partenaire exquise, et il avait été particulièrement jouissif de la torturer, mais... Nanami restait sa Maîtresse ! Preuve de sa déchéance, de sa décrépitude, elle sentit une onde de joie immense la traverser tandis que le gode de Nanami s’enfonça dans sa chatte trempée.
Qui aurait cru qu’elle puisse encore tenir ? Cette soirée avait été folle, elle l’avait poussé jusque dans ses ultimes retranchements. Rien ne lui avait été épargné ce soir, mais la seule idée de coucher avec sa Maîtresse suffisait à la stimuler encore plus. Ses mains se crispèrent sur le sol, et elle se mit à gémir, sentant, dans son dos, les coups de reins de Nanami s’accentuer joyeusement, la pénétrant puissamment et violemment.
« Ooooh, Maî-Maîtresse, haaann... ! Ouuuiii, baisez votre chienne, haaa... !! »
Elle ne pouvait que gémir, encore et encore, au fur et à mesure que Nanami la pénétrait. Et, de nouveau, Alice filmait la scène. Elle avait récupéré une caméra, et tournait autour des deux femmes, n’hésitant pas à zoomer sur le visage transi de bonheur d’Hikari, ou à zoomer sur la pénétration de sa Maîtresse. Terminant son tour, elle se retrouva à côté de Nanami, et alla l’embrasser sur les lèvres, l’interrompant un peu dans sa séance, dans ce coït brutal qu’elle était en train d’infliger à son esclave.
« Allez-y, Maîtresse, c’est si bon de vous voir ainsi... » l’encouragea Alice.
La belle Hikari était en ce moment aux anges !
Alice récupéra une belle culotte noire en latex surmontée de trois vibromasseurs, deux orientés vers l’intérieur, et un autre vers l’extérieur. Voir cet instrument ne manqua pas d’exciter la professeur, qui vit Alice enfiler la culotte à Nanami, veillant à glisser chaque vibromasseur dans les parties intimes de Nanami. Restée silencieuse et spectatrice pendant tout ce temps, Nanami était prête à la récompenser.
« Maîtresse... » ne put que soupirer Hikari.
Elle pouvait sentir son cœur bondir doucement dans sa poitrine, et resta à quatre pattes. Alice s’écarta ensuite, et attrapa une télécommande située à proximité d’elle. Elle appuya sur la fonction vibrante des vibromasseurs, qui s’enclenchèrent dans un agréable ronronnement. Ainsi prête, Nanami se rapprocha d’Hikari, et posa ses mains sur ses hanches, prête à passer aux choses sérieuses... Et la pénétra brusquement. Hikari en aurait presque joui tant elle avait attendu ce moment. Certes, Alice avait été une partenaire exquise, et il avait été particulièrement jouissif de la torturer, mais... Nanami restait sa Maîtresse ! Preuve de sa déchéance, de sa décrépitude, elle sentit une onde de joie immense la traverser tandis que le gode de Nanami s’enfonça dans sa chatte trempée.
Qui aurait cru qu’elle puisse encore tenir ? Cette soirée avait été folle, elle l’avait poussé jusque dans ses ultimes retranchements. Rien ne lui avait été épargné ce soir, mais la seule idée de coucher avec sa Maîtresse suffisait à la stimuler encore plus. Ses mains se crispèrent sur le sol, et elle se mit à gémir, sentant, dans son dos, les coups de reins de Nanami s’accentuer joyeusement, la pénétrant puissamment et violemment.
« Ooooh, Maî-Maîtresse, haaann... ! Ouuuiii, baisez votre chienne, haaa... !! »
Elle ne pouvait que gémir, encore et encore, au fur et à mesure que Nanami la pénétrait. Et, de nouveau, Alice filmait la scène. Elle avait récupéré une caméra, et tournait autour des deux femmes, n’hésitant pas à zoomer sur le visage transi de bonheur d’Hikari, ou à zoomer sur la pénétration de sa Maîtresse. Terminant son tour, elle se retrouva à côté de Nanami, et alla l’embrasser sur les lèvres, l’interrompant un peu dans sa séance, dans ce coït brutal qu’elle était en train d’infliger à son esclave.
« Allez-y, Maîtresse, c’est si bon de vous voir ainsi... » l’encouragea Alice.
La belle Hikari était en ce moment aux anges !