Re: L'étrange soirée d'Harigato-senseï [Nanami Seikyo]
Posté : 14 sept. 2024 00:53
Alice s’absorbait pleinement dans son office, semblant comme possédée par ce qu’elle faisait subir à Hikari. Le spectacle devait être très agréable pour Nanami, qui avait droit à une savoureuse vision. Sous l’effet de ses pouvoirs, Alice se mit à trembler, et, pendant quelques instants, sous cette surcharge de plaisir, ses pupilles eurent une lueur violette. Sur son pubis, une zone démarquée par sa combinaison noire moulante, une marque magique en forme de cœur violet se forma… C’était une marque bien connue des succubes, le « sceau de Lust », encore appelée « marque des succubes ». Une trace des aventures sexuelles de la jeune femme, qui renforçait son désir. Elle sourit alors, malicieusement, sentant cette décharge d’adrénaline remuer dans ses veines. Crispant ses muscles, elle alla gifler le cul d’Hikari, et remua plus profondément en elle, se retirant, avant de se renfoncer d’un coup sec, arrachant à sa partenaire un glapissement ténu.
La sodomie était un spectacle redoutable, et une sensation très intense. Une douleur exquise se répandait dans tout le corps de la jeune femme, qui contractait ses muscles, tout en bavant sur le sexe de sa Maîtresse. Elle se réfugiait là-dedans, constatant que le sexe se transformait en une sorte de fuite en avant où, pour résister à cette vague terrible qui l’envahissait et frappait tout son corps, Hikari n’avait d’autre choix que de se laisser aller, de s’absorber encore, de s’aliéner dans ce plaisir intense !
« Hmmm… !! »
Han, que c’était bon ! Voilà qu’Alice se remit à la gifler ! En l’état, Alice était trop enivrée pour réaliser ce que Nanami faisait, mais cela risquait de venir après, quand la jeune femme retrouverait son calme, et qu’elle serait davantage en mesure de réfléchir par elle-même. Pour l’heure, elle se contentait, comme Hikari, de laisser le plaisir l’envahir.
« Ouii, hmmm… Notre professeur perverse à nous ! »
La main d’Alice remonta alors pour se saisir de ses cheveux, et elle tira dessus brusquement, relevant la tête d’Hikari. Ses joues rubicondes, son visage en transe, et l’intense douleur capillaire la firent gémir encore.
« Avoue-le, sale chienne… Avoue !
- Haaaa… Maî-Maîtresse…
- AVOUE ! » gronda Alice.
Elle frappa son cul avec son autre main, une grosse claque qui résonna dans son bureau, ce lieu de pouvoir et de sécurité, son sanctuaire… Gémissant encore, Hikari hocha la tête.
« O-Oui, je… Haaann…
- Hmmm… !
- Je… J’aime ça, haaaa… Me… »
Nouvelle claque, une belle gifle qui la fit hurler. Elle se mordilla les lèvres en cherchant à retrouver vainement son calme, et ferma ensuite les yeux.
« JE SUIS VOTRE SALOPE, MAÎTRESSE !! » hurla-t-elle alors, morte de honte… Mais aussi d’excitation.
C’était là un savoureux et redoutable mélange !
La sodomie était un spectacle redoutable, et une sensation très intense. Une douleur exquise se répandait dans tout le corps de la jeune femme, qui contractait ses muscles, tout en bavant sur le sexe de sa Maîtresse. Elle se réfugiait là-dedans, constatant que le sexe se transformait en une sorte de fuite en avant où, pour résister à cette vague terrible qui l’envahissait et frappait tout son corps, Hikari n’avait d’autre choix que de se laisser aller, de s’absorber encore, de s’aliéner dans ce plaisir intense !
« Hmmm… !! »
Han, que c’était bon ! Voilà qu’Alice se remit à la gifler ! En l’état, Alice était trop enivrée pour réaliser ce que Nanami faisait, mais cela risquait de venir après, quand la jeune femme retrouverait son calme, et qu’elle serait davantage en mesure de réfléchir par elle-même. Pour l’heure, elle se contentait, comme Hikari, de laisser le plaisir l’envahir.
« Ouii, hmmm… Notre professeur perverse à nous ! »
La main d’Alice remonta alors pour se saisir de ses cheveux, et elle tira dessus brusquement, relevant la tête d’Hikari. Ses joues rubicondes, son visage en transe, et l’intense douleur capillaire la firent gémir encore.
« Avoue-le, sale chienne… Avoue !
- Haaaa… Maî-Maîtresse…
- AVOUE ! » gronda Alice.
Elle frappa son cul avec son autre main, une grosse claque qui résonna dans son bureau, ce lieu de pouvoir et de sécurité, son sanctuaire… Gémissant encore, Hikari hocha la tête.
« O-Oui, je… Haaann…
- Hmmm… !
- Je… J’aime ça, haaaa… Me… »
Nouvelle claque, une belle gifle qui la fit hurler. Elle se mordilla les lèvres en cherchant à retrouver vainement son calme, et ferma ensuite les yeux.
« JE SUIS VOTRE SALOPE, MAÎTRESSE !! » hurla-t-elle alors, morte de honte… Mais aussi d’excitation.
C’était là un savoureux et redoutable mélange !