Elle était devenue son jouet. Sa poupée de chair brûlante qu'il s'amusait à retourner pour mieux la pénétrer. Marisa salivait. Sa jambe haut levée facilitait le passage de son gros amant, qui attaquait son corps à d'autres endroits en même temps. La Fleur des Champs n'avait clairement pas affaire à un amateur. Cette montagne de graisse et de muscles était sans contexte un baiseur expérimenté, tout à fait capable de la faire suer, elle, la petite prostituée par intérim. Sans sa propre expérience dans le milieu, Marisa Territ aurait eu vite fait de rendre les armes sous le coup de l'épuisement et de la folie sexuelle.
Mais elle était une dure à cuire !
La jeune fermière et l'énorme porc partageaient un point commun qui les rendait tous les deux heureux.
En l'embrassant, Bhouta faisait peser ses kilos en trop sur sa mince silhouette encastrée sur sa verge chaude. Pyra poussa un gémissement étouffé pour ces deux raisons. Sa demande folle et douloureuse ne l'empêcha point de répondre au baiser, et même de promener sa petite langue baveuse sur le groin sensible du vigoureux Buta.
- Aaaaah-... Aoutch ! ♥
Entre ses fesses, le godemichet faisait toujours son petit effet. Marisa tremblait et grimaçait à chaque fois que son amant le lui remboitait. Aucun autre homme avant lui n'avait eu le culot de jouer ainsi avec son fondement. C'était plutôt douloureux, mais pas désagréable pour autant. Marisa s'acclimatait assez vite. Probablement grâce à sa nature de demi-pyrône et au mandrin logé dans son vag-
- Outch ! Haaaaaannn !! ♥
Encore une fois, Bhouta avait modifié sa prise. Le dos de Marisa avait percuté le mur. Pliée comme un ressort, elle se faisait besogner en profondeur contre ladite paroi. La rouquine avait les cuisses grandes ouvertes. Elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle-même pour avoir invité pareil monstre à pénétrer dans sa chambre... et à la pénétrer tout court, d'ailleurs.
Alors qu'elle s'était cramponnée au cou du cochon, son petit ventre accusait le choc. Ou plutôt les chocs, en se déformant selon la grosse courbe qui se dessinait en son sein.
- Oui ! Ouiii !!! Vous êtes si fort, M'sieur Bhouta ! Si... Si... Hnnuuuuh~... si bon ♥
L'étage entier paraissait protester. Marisa s'en fichait de risquer d'atterrir au rez-de-chaussée. Elle n'arrêterait ce pilonnage pour rien au monde !
Ce fut donc Bhouta qui sauva les meubles (façon de parler!) en les faisant réintégrer le lit souillé par leur sueur.
Le jouet obscène descendit encore. La fermière se mordit les lèvres avant de libérer d'adorables petits cris féminins lorsque le Buta le repoussa dans son antre ténébreuse. Alors qu'il continuait à la prendre sur les draps avec énergie, les cheveux de la jolie rousse s'étaient mis à remuer de plus belle.
- HOoo ! Ou-iiiih ! Fai-faites de moi... Uhnmmm... Votre porcinette~
Dans son extase, Marisa ne brûla pas sa chambre. Son feu était concentré à l'intérieur. Autour de sa matrice, que Bhouta aspergeait à trop gros jets pour que rien n'en puisse sortir ! Son "amour" intense repeignit d'abord l'intégralité de sa chambre de vie, avant d'inonder son couloir et d'éclabousser ses testicules roses qu'elle avait mordillés tout à l'heure.
Un juste retour des choses pour la Fleur des Champs qui se vida par petits jets alors que son ventre, au contraire, gagnait en volume.
- Bourkh !
Elle accusa un haut-le-coeur au beau milieu des spasmes de plaisir. Cambrée au possible, Marisa tendit le cou, ferma ses yeux larmoyants et porta une main pudique à sa bouche trop bruyante.
Bhouta n'avait pas menti en disant qu'il allait la remplir ! Le bougre l'avait si bien travaillée que son accessoire phallique était rapidement ressorti. Le godemichet reposait sur les draps trempés et odorants. Entre les jambes du géant rose. Non loin de l'anus dilaté de la Fleur butinée.
Celle-ci respirait fort, sa petite poitrine luisante se gonflant et se dégonflant comme après un marathon. L'air conquise, elle contemplait vaguement le plafond sous lequel le Buta avait fait des ravages. Il lui fallut tout de même un peu de temps pour s'en remettre. Pour que sa vulve dégoulinante de semence cesse d'en vomir - et encore ! -, et qu'elle récupère ses repères.
En se servant de sa main pour s'essuyer la bouche, Marisa déglutit aussi discrètement que possible. Autrement dit : pas du tout, en ces éprouvantes circonstances.
Un sourire se dessina sur ses lèvres inlassablement humides.
- Il vous reste... encore un peu de lait ?~
Une lueur lubrique éclairait son regard de gourgandine.
Marisa, malgré son état, osa alors utiliser son pouvoir télékinétique sur le grand cochon. Celui-ci se sentit repoussé en arrière par une force invisible. Cette énergie ne le fit néanmoins pas choir du lit - très robuste, au vu de ce qu'il a encaissé ! -, mais de toute façon ce n'était pas là l'objectif de la fermière. Elle put donc se retourner en toute sérénité, provisoirement hors de portée de ses gros doigts boudinés.
- Aoufh... J'ai réussi ! poussa-t-elle, son visage en sueur et ses cheveux emmêlés.
Vaillant minois que la belle tourna à demi vers le Buta interloqué.
La Fleur des Champs avait descendu ses deux mains de chaque côté de ses fesses imprégnées de foutre. Son anus s'ouvrait comme la bouche d'un poisson. C'était une nouvelle invitation à la débauche.
- Vous êtes encore... hh... assez en forme pour... viser juste ? ♥
N'avait-il pas prévu de lui "éclater son cul de belle petite salope" ?
Marisa n'avait pas peur qu'il l'élargisse à jamais. Elle était prête à braver le danger et-
- Oh, nom d'une catin vermoulue ! Elle a recommencé pendant que j'avais le dos tourné ?! gueula une voix derrière la porte.
Voix que Marisa connaissait très bien. Porte familière qui s'ouvrit à la volée... sur une Actaïa enragée !
De l'eau jaillit de ses mains écartées, percutant le dos du rustre porcin. Bhouta se découvrit presque aussi trempé que l'étaient les cuisses de Marisa. Avec la chaleur en moins, puisque le liquide froid l'avait refroidi, lui...
- Je vous somme d'arrêter TOUT DE SUITE les frais et de M'EXPLIQUER.... ce qu'IL se PASSE... ICI !!!
D'un geste accusateur, la Fille de l'Eau exhiba la culotte de son amie qu'elle avait récupéré sur la poignée de la porte.
- MARISA ! Je t'ai déjà explique CENT FOIS, pour ton PROPRE BIEN, que tu ne dois PAS T'OFFRIR à n'importe QUI ! Tu ne peux décemment pas-
Elle s'interrompit, fit quelques pas dans la pièce, s'inclina de côté et, les yeux ronds comme des soucoupes, lâcha :
- Mais... c'est du sperme, tout ça ?!
Même Aqua n'en revenait pas. Elle affichait un visage d'écœurement.
Cela eut au moins le mérite de faire glousser Marisa, qui au départ n'avait pas pipé mot en raison de cette intervention surprise.
- Faux, souffla-t-elle en remuant doucement les fesses.
C'est du bon lait de M'sieur Bhouta ♥