The Multiversity

[Reine Alice Korvander]

Prisonnière de cette femme magnifique, Alice devait subir sa perversité. Solaris l’avait marqué, humilié, réduite au rang de chienne, et ce de la façon la plus littérale qui soit. Elle avait uriné sur Alice, elle avait senti les fantasmes les plus inavouables de la Reine, cette soif d’humiliation, de rabaissement. Comment expliquer cela ? Elle qui était la Reine de Sylvandell, une femme politique de premier plan, l’une des épouses de l’Impératrice, elle trouvait une joie viscérale et profonde à se faire rabaisser, soumettre… Un fantasme qui avait été immédiatement exaucé dès son entrée au Lys ! Maîtresse Solaris lui empoigna les cheveux, et fourra sa puissante queue dans sa bouche, optant pour d’épaisses gorges profondes, arrachant à Alice de longs couinements.

« Hmmmm… !! »

Elle sentait cette grosse queue veineuse remuer dans sa bouche, l’étouffant à moitié. Sa Maîtresse opta pour des gorges profondes successives. Alice maîtrisait assez la magie rose pour pouvoir lutter contre le phénomène de régurgitation, mais elle constata que ce sortilège était déjà à l’œuvre.

*Le Lys est vraiment un endroit magique…*

Alice sentait que toute la pièce vibrait en harmonie avec cette femme. Elle ignorait quelle était la place de Solaris au sein du Lys, mais elle sentait sa puissance. Rabaissée, réduite au rang d’objet sexuel, Alice lécha, renifla, quand on le lui demandait. Elle fila sous le sexe masculin de sa Maîtresse, et vit son intimité, sa fente humide. Elle la lécha, se régalant des soupirs de sa Maîtresse, frissonnant à l’idée de l’exciter. Elle-même sentait une vive chaleur entre ses cuisses. Quand sa Maîtresse la bifla, Alice ne put s’empêcher de se masturber, gémissant encore, sentant cette solide verge labourer son visage, la fouettant sans ménagement.

« Haaa, Maî-Maîtresse, v-vous êtes… Si cruelle, haaaa… » gémit Alice entre deux gorges profondes.

Elle agissait donc, frissonnant à chaque fois que sa Maîtresse l’insultait. Elle sentait cette chaleur bouillonner en elle, et se demandait surtout si sa Maîtresse allait jouir en elle ou sur elle. Elle pourrait faire ce qu’elle voulait, Alice lui appartenait, totalement soumise et dévouée !

[Le Lys]

Dans l’opulence étouffante de la pièce, Solaris savourait chaque instant de sa domination, son corps luisant sous la lumière tamisée des lustres d’or. Ses prunelles dorées brillaient d’une lueur cruelle, fixant Alice avec une intensité qui promettait davantage de tourment. La jeune esclave, à genoux devant elle, portait les traces humides de son asservissement, mouille et pré-sperme maculant son visage rougi. Solaris esquissa un rictus supérieur, sa verge veineuse palpitant dans sa main alors qu’elle la retirait des lèvres tremblantes d’Alice pour mieux la contempler, cette chienne soumise qui gémissait encore sous ses assauts. Une chaleur intense montait en elle, l’orgasme approchant inexorablement, son pré-sperme coulant en filets épais le long de son gland, tandis que sa fente dégoulinait de mouille abondante, trempant ses cuisses.

« Regarde-toi, sale petite pute, » cracha-t-elle, sa voix rauque résonnant comme un fouet dans l’air lourd. Elle empoigna la queue de cheval d’Alice avec une poigne de fer, tirant sa tête en arrière pour exposer son visage à son regard sadique. Sans prévenir, elle enfonça sa queue dans la gorge d’Alice, imposant des gorges profondes brutales, chaque coup faisant claquer sa peau contre les lèvres de l’esclave. Les bruits humides et étouffés emplissaient la pièce, ponctués par les couinements désespérés d’Alice, tandis que Solaris riait doucement, savourant la contraction de sa gorge autour de son membre. « T’es qu’un trou à remplir, une chienne indigne de mon plaisir, » grogna-t-elle, accentuant la profondeur jusqu’à ce que les yeux d’Alice s’emplissent de larmes, son propre plaisir croissant, le pré-sperme s’écoulant davantage sur le visage de sa soumise.

Mais Solaris n’en avait pas fini. D’un geste élégant de sa main libre, elle invoqua sa magie, des filaments dorés jaillissant de ses doigts pour tisser l’air. Des paddles en bois noir, luisants et ornés de motifs runiques, se matérialisèrent dans un éclat subtil, flottant autour d’elle comme des instruments de châtiment. Avec un rictus mauvais, elle leva Alice d’un mouvement magique, ses cuisses écartées par des lianes invisibles qui soulevèrent son corps, exposant ses fesses rondes et vulnérables à l’assaut imminent. « Mauvaise chienne, » siffla-t-elle, sa voix dégoulinant de mépris, son orgasme approchant encore, la mouille coulant en ruisseaux le long de ses jambes. « Tu crois pouvoir te masturber sans ma permission ? C’est ta punition, esclave indigne ! »

Les paddles s’animèrent, frappant les fesses d’Alice avec une précision cruelle, chaque coup résonnant dans le hall avec un claquement sec. Des marques rouges fleurirent sur sa peau, et Solaris ricana, observant les tremblements de sa proie, son propre corps frémissant sous l’intensité de son plaisir montant. « Prends ça, sale pute, » aboya-t-elle, un paddle s’abattant plus fort, laissant une empreinte brûlante, tandis que son pré-sperme gouttait abondamment sur le sol. Elle alternait les coups, certains doux pour torturer, d’autres violents pour marquer, tandis que sa magie maintenait Alice en l’air, impuissante. Entre deux claques, Solaris replongeait sa verge dans la bouche d’Alice, étouffant ses gémissements sous une nouvelle série de gorges profondes, son gland heurtant le fond de sa gorge avec une sauvagerie calculée, la mouille s’écoulant encore plus de sa fente excitée.

« T’es faite pour souffrir sous moi, esclave pathétique, » murmura-t-elle, sa main caressant les cheveux humides d’Alice avant de les tirer brutalement pour accentuer la pénétration, son orgasme si proche qu’elle sentait chaque nerf vibrer. Les paddles continuaient leur danse sadique, marquant les fesses d’Alice de lignes rouges, chaque impact arrachant un cri étouffé, tandis que son pré-sperme et sa mouille coulaient en abondance, témoignant de son excitation croissante. Solaris invoqua un troisième paddle, le faisant tournoyer avant de le faire claquer avec force, savourant la chair qui rougissait sous ses ordres magiques. « Punition méritée, chienne indigne, » gronda-t-elle, sa voix vibrante de plaisir alors qu’elle alternait entre domination orale et châtiment physique, déterminée à briser totalement sa soumise sous son joug impitoyable, son orgasme imminent amplifiant sa cruauté. L’air vibrait de son pouvoir, l’odeur musquée s’intensifiant, tandis que Solaris, reine sadique, prolongeait ce ballet de douleur et de soumission avec une délectation perverse.

[Reine Alice Korvander]

Il y avait quelque chose de profondément illogique et contre-intuitif dans ce ballet de souffrance, d’humiliation, et de plaisir. Cette femme qu’Alice connaissait à peine la baisait, la dominait, l’humiliait, comme peu de gens avaient osé le faire ! Elle enfonçait sa queue monstrueuse dans sa bouche. Mélange de sensualité et de sauvagerie, Maîtresse Solaris incarnait à la perfection les deux facettes du sexe, ce mélange de sophistication et de bestialité. Alice était sous le charme, complètement convaincue ! Comment repousser une telle femme ? Inlassablement, Maîtresse Solaris la manipulait, la besognait. Elle empoigna ses cheveux, et continua à la baiser, ses bourses claquant contre son menton. Alice avait beau inspirer par le nez, elle couinait et gémissait, sentant la queue de sa Maîtresse s’enfoncer dans sa gorge, tant et si bien qu’elle l’étouffait sur place. Alors, forcément, elle sentit des larmes humidifier ses yeux, un réflexe naturel à cet étouffement forcé.

« Hmmm… Hmmmm… !! »

Alice sentit l’air revenir quand sa Maîtresse la repoussa en arrière. Elle s’énerva qu’Alice ait osé se masturber toute seule. La jeune femme rougit, et commença à reprendre son souffle.

« J-Je… Pa-Pardonnez-moi, Maîtresse… »

Maîtresse Solaris ne chercha pas à dialoguer. Alice sentit des liens invisibles attraper ses chevilles et ses poignets, puis on la souleva. Elle gémit en voyant ensuite des paddles noires et dorés se former en l’air, tandis que ses jambes furent soulevées et écartées l’une de l’autre. Les paddles la frappèrent, et Alice gémit, se crispant sur place. Elle ne put hurler, car la verge de Maîtresse Solaris retourna s’enfoncer dans sa bouche. Alice continua à couiner, se tortillant sur place, sentant les paddles continuer à lui frapper violemment les fesses. Alice se mit à remuer d’avant en arrière, gémissant, couinant, sentant son esprit éclater. Solaris l’insultait vigoureusement, et généra un troisième paddle, qui frappa alors sa chatte. Alice sentit le paddle sur son clitoris, et couina furieusement en sentant l’orgasme approcher.

« Mmmmhhggnnn… !! »

Si l’objectif était de la faire jouir, cela allait arriver ! Tout le corps d’Alice se tendait sous ce plaisir sauvage, obscène, incompréhensible. Elle se faisait battre, torturer, elle sentait les mains gantées et griffues de Solaris s’enrouler autour de sa nuque après avoir tiré sur ses cheveux, elle voyait le regard acéré et vicieux de sa Maîtresse… Oh, oh, comme elle était belle ! Alice mouillait à chaque fois que le paddle la frappait. Elle papillonnait des yeux, n’arrivant même plus à réfléchir consciemment, ne pensant qu’à l’idée de baiser, d’orgasmer, et de recueillir sur elle le foutre de sa Maîtresse !