The Multiversity

Il y a encore quelques temps, la seule idée que Yasushi puisse évoquer Aiko-chan aurait brisé quelque chose en Helena. Elle était la perfection, sa Aiko ! Elle était sa fille de substitution, elle était celle sur qui Helena avait convoyé tout son instinct maternel, au point de parfois, dans des moments de solitude, réfléchir très sérieusement à une adoption. Alors, quand Yasushi évoqua cela, Helena soupira, et gémit. Est-ce qu’il le sentit ? Est-ce qu’il perçut la chatte d’Helena se contracter autour de sa queue ?

« Oh, M-Maître… Je… Haaaaaa… !! »

Helena n’arriva pas à répondre. Ses yeux se révulsèrent, son visage se figea dans une expression grotesque, et elle crispa ses doigts sur le rebord de la table, sentant un nouvel orgasme l’envahir. Elle se mit à jouir avec force, sentant un nouvel orgasme l’envahir, précisément à l’idée de dormir avec Yasushi et Aiko, entre eux… Formant la famille heureuse et aimante que Helena avait toujours envisagé. Et puis, auprès de qui d’autre que Yasushi pouvait-elle offrir Aiko ? Quel autre homme que lui serait digne de la baiser avec force ? Oui, oui, elle le voulait, bien sûr qu’elle le voulait ! Elle fantasmait déjà furieusement à cette idée, et sentit Yasushi la redresser.

La jeune professeure ne put donc en l’état lui confirmer, car il continuait à la bourrer sèchement. Il parvint à se mettre à genoux sur le bureau. Elle était initialement couchée de biais, et s’étala ensuite de tout son long sur le bureau, Yasushi venant la tourner sur place. Fort heureusement, c’était un bureau très solide, alors il pouvait sans problème les supporter. Helena écarta de la main son clavier. Celui-ci tomba sur le sol, et Yasushi écarta également une pile de copies, des devoirs qu’elle devait corriger. Les devoirs s’envolèrent au sol, et elle le vit se dresser au-dessus d’elle. Ses jambes se relevèrent pour s’appuyer contre sa nuque. Helena s’appuya sur l’une des cuisses moites de Yasushi, et sentit la chaleur croître en elle, remonter à nouveau.

« Haaaa… M-Maître, baisez-moi encore… !! Ouuuiii, je suis votre puuutee, haaaa, votre chienne, votre sac à foutre. Ooooh… C’est… V-Votre bite en moi, c’est si bon… !! »

Il lui demanda ensuite où il devait jouir, et Helena répondit pour le coup sans aucun doute :

« S-Sur moi, Maître, pitié… Je… Je veux sentir votre foutre sur moi, je veux marcher avec votre sperme sous mes vêtements, et sentir votre odeur sur moi, partout, tout le temps… Maître, pitié, marquez-moi, je suis votre chienne, il faut me marquer comme une chienne… Moi, et Aiko-chan aussi, haaaa… ! »

Tout était dit avec cette dernière révélation, qu’une Helena aux joues rougissantes avait lâché avec la plus grande sincérité du monde !

Chez Helena, quelque chose s’était définitivement brisé au contact de Yasushi. Toute retenue avait sombré, elle était désormais une femme… Bien plus heureuse, indéniablement. Elle ne s’était jamais imaginée pouvoir être aussi perverse, et, s’il fallait bien admettre une chose, c’est qu’elle prenait son pied. Très clairement ! Elle adorait que Yasushi la baise, qu’il l’humilie sexuellement. La digue avait cédé, et Helena libérait des années de frustration. Son Maître la baisait avec force, et suivant sa demande, se retira d’elle, puis se masturba frénétiquement.

Helena se masturba alors, et se mit à jouir. Un puissant orgasme, qui l’amena à éclabousser le corps de Yasushi, sa mouille fusant sur son bassin, sur sa queue, tandis que lui se mit à jouir copieusement sur elle. Il zébra son corps, son foutre chaud et gluant fusant sur son ventre, sur ses seins, sur son visage. Sa queue massive tressautait sur place, et il continua à jouir, se relâchant avec force. Oh, oh, que c’était bon ! Helena sentait ce foutre sur elle, et malaxa ses seins, sentant le sperme s’y coller. Elle souriait béatement, chaudement excitée par ce que son amant venait de faire. Helena papillonna des yeux, en réalisant ce qu’elle avait fait. Aucun doute ne vint toutefois la saisir. Elle se redressa un peu, et s’amusa à lécher ses doigts, goûtant le foutre de son amant, observant ses doigts nimbés de blanc.

*C’est ça que j’ai dans le ventre… C’est ça qui va me rendre enceinte…*

Elle s’en mordilla les lèvres, et se redressa ensuite. Yasushi n’était pas encore rassasié, et elle rougit doucement quand il lui demanda de se mettre en position de chienne. Helena nettoya ses lunettes, puis les remit sur son nez, et descendit de son bureau.

« Oui, mon Maître… »

Plus aucun doute dans sa voix, ni dans ses yeux, qui témoignaient d’une passion féroce. Son bureau comprenait un tapis au sol. Elle se rapprocha toutefois avant de Yasushi, et l’embrassa sur les lèvres, puis lécha sa queue.

« Permettez que je nettoie votre divine queue, mon Maître… »

Elle en profitait surtout pour avaler son foutre, puis Helena se mit ensuite à quatre pattes, et bomba ses fesses vers l’arrière. Elle tourna la tête en se mordillant les lèvres, et commença à glisser un doigt dans ses fesses, se doigtant devant son Maître.

« Il est vrai que vous ne m’avez pas encore baisé comme une chienne, mon Maître… Mon corps vous appartient, marquez-moi… Marquez-moi comme la pute que je suis pour vous, mon Maître… »

Si on le lui avait dit, jamais Helena n’aurait cru un jour qu’elle se retrouverait là, à fourrer son doigt dans son cul, et à saliver à l’idée que Yasushi la sodomise. Et pourtant… La métamorphose d’Helena était complète ! La digue avait sauté, et c’était un océan de frustrations et de luxure qui déferlait, emportant tout sur son passage. Il fallait assurément l’appétit sexuel débonnaire de Yasushi pour canaliser Helena. Mais, à ce stade, il était difficile de voir jusqu’où la luxure de Helena s’étirait. Même quand Yasushi avait évoqué le point de non-retour, à savoir Aiko-chan, Helena avait été particulièrement enthousiaste à cette idée. Elle frémit donc quand il s’agenouilla, comme à chaque fois qu’il l’insultait. Il comptait la préparer, et s’agenouilla donc. Elle gémit quand les mains de Yasushi palpèrent ses fesses, et soupira quand sa langue se glissa en elle. Helena se mordilla les lèvres, sentant ses tétons durcir, sentant tout son corps qui tremblait, et sa chatte qui se serrait encore, qui s’humidifiait.

« Han Maître, ouii, haaaa… Pr-Préparez le cul de votre chienne, haaaa… »

Yasushi pouvait aussi constater que Helena raffolait du fait qu’il l’insulte, qu’il la dégrade, qu’il l’humilie… Pour elle qui avait une si haute opinion d’elle-même, ce contraste était absolument saisissant ! Il trahissait en tout cas toute la passion d’Helena, une passion dévorante qui pulsait à chaque fois, et qui s’exprimait au fur et à mesure qu’il la léchait, qu’il s’emparait d’elle, et qu’il se répandait. C’était son Maître, son amant, un homme d’exception ! Alors, elle s’offrait à lui, et, plus il la baisait, et plus elle en redemandait, ses fantasmes éclatant. Avec lui, elle sentait qu’elle pourrait accomplir tout ce qui lui avait toujours semblé inatteignable ! Elle avait donc envie qu’il continue, et c’était précisément ce qu’il faisait. Sa langue s’enfonçait en elle, explorant son fondement, cette porte arrière étroite. Elle gémit encore, se mordillant les lèvres, son corps remuant de droite à gauche. Sa langue jouait en elle, insidieuse, vive, et il en profitait pour pétrir ses fesses.

Elle se mordilla les lèvres, puis il se redressa. Après avoir bien humidifié la zone, Yasushi glissa un pouce, puis commença à remuer ses doigts en elle, arrachant à Helena de nouveaux soupirs. Il commenta à nouveau l’étroitesse de son fondement, et l’intéressée se mit à gémir, crispant ses doigts sur le sol.

« Oui, Maître, je… Je veux que vous me marquiez, que vous me défonciez le cul, haaaa… V-Votre grosse queue, je veux la sentir en moi, Maître ! »

Au fur et à mesure qu’il glissait ses doigts, Helena pouvait sentir la douleur, le frisson, une vague de plaisir qui se mélangeait à la douleur. Il jouait avec ses pouces, dilatant et écartant petit à petit ses parois anales. Et, quand ses deux pouces tirèrent, et que la peau s’écarta, que la rondelle se dilata, Helena gémit en glissant, sentant un frisson la traverser de part en part.

« Haaaaa… !! »

Elle déglutit, puis il se retira, et elle gémit en sentant les courants d’air caresser son trou élargi. Ses doigts se crispèrent, elle soupira en sentant ensuite son mandrin. Sa grosse queue se glissa contre elle, titillant son fondement.

« F-Faites-moi mal, Maître… Je veux que vous me baisiez comme si j’étais la dernière des pûtes que vous baisez… ! »

Ce fut ce qu’elle dit, puis elle sentit la verge heurter son fondement… Helena écarquilla les yeux, et sentit la douleur exploser en elle. Tout son corps se crispa, et elle poussa un long gémissement.

« Haaaaaaaa… !! »

Helena serra ensuite les dents. Elle sentait une douleur comme elle n’en avait jamais senti, comme si un char d’assaut défonçait tout en elle.

« Dé-Défoncez-moi, Maître !! Haaaaa !! J-Je suis v-votre PUUUTEEUUH-HAAAAA… !! »

C’était.. Intense. Sacrément intense, à vrai dire ! Qui aurait cru que Helena pourrait basculer à ce point ? On aurait sûrement pu la croire droguée, ou sous hypnose, mais… Ce n’était pas le cas. Yasushi l’avait tout simplement fait flancher, il avait réveillé une personnalité de Helena qui avait été longtemps enfouie. Il avait fait découvrir à la professeure un plaisir inouï, et elle en redemandait ! Il la sodomisait désormais au milieu de son bureau, et elle devait s’efforcer de ne pas hurler. Que c’était dur, ceci dit ! Et ce dans tous les sens du terme… Yasushi la baisait avec une force rare, une énergie phénoménale, une force qui ne pouvait laisser Helena de marbre. Ah, quel pied ! Une exquise douleur déferlait en elle au fur et à mesure qu’il lui pilonnait l’arrière-train. C’était une sodomie rude et forte, déclenchant chez Helena une myriade de sensations indéfinissables. La douleur était exquise, et elle avait beau se retenir, à chaque fois que Yasushi la fessait ou tirait sur ses cheveux, la belle en hurlait !

« Haaa… Haaaa… A-Arrête, n-ne sois pas si… Haaaa… B-Brutal… ! »

Elle disait cela tout en souhaitant l’inverse, tout en désirant qu’il la baise encore plus fort ! Et, sur ce point, elle n’était pas déçue. Jouer la fausse prude le stimulait, et, à chaque fois qu’il l’insultait, Helena avait comme des fourmillements dans tout le corps.

« O-Oui, oui, je… Je suis ta puteuuuh, haaaa… U-Une s-sale ch-chienne, hmmmm… !! »

Helena mouillait, et crut bien avoir un orgasme. Elle mouillait joyeusement, et Yasushi pouvait commencer à réaliser que Helena aimait beaucoup le sexe anal ! Cette douleur volcanique était si jouissive, si bonne… Helena en perdait le fil du temps, mais, tout comme Yasushi, elle entendit la sonnerie. Les cours se terminaient, et Helena soupira. Elle se crispa sur place, et, pour éviter qu’on ne l’entende, Yasushi la plaqua sur le tapis. Helena gémit, et, quand il se demande si elle n’était pas excitée à l’idée de le faire en public, de se faire baiser en public, Helena rougit, et sentit l’orgasme l’envahir. Incapable de parler, elle fut donc dans l’impossibilité de mentir en lui affirmant que ce n’était pas le cas.

La jeune femme se mit à jouir, se tortillant sur place, tandis que les élèves sortaient et s’accumulaient dehors. Elle sentit Yasushi se mettre à jouir en elle, et elle-même inonda le sol, ses mains glissant devant elle. Elle sentit Yasushi s’abandonner encore en elle, jouissant longuement.

« Haaaa… »

Quand il se retira, Helena resta inerte pendant un certain moment, devant reprendre son souffle, elle aussi. Ce qu’il avait dit avant de jouir, les scènes qu’il avait envisagé… Helena avait joui en imaginant cela. Elle soupira donc.

« C’était… M-Merci, Maître… » soupira-t-elle alors.