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Re: Un esclave en quête de liberté [Mélinda]

Posté : 20 avr. 2025 02:34
par Nowe
Kaiélion grogna, sentant les ongles de Melinda s'enfoncer dans sa poitrine, le mélange de plaisir et de douleur ne faisant qu'attiser son désir. Il lui gifla les fesses plus fort, laissant une empreinte rouge vif sur sa peau de porcelaine.

« Putain, tu veux être impressionnée, espèce de vampire nymphomane ? »

Il enfonça un deuxième doigt dans le petit trou du cul de Melinda, à côté du premier, les pompant brutalement tout en pressant et en pétrissant son sein. Kaiélion se pencha et mordit violemment le cou de Melinda, suçant un suçon noir dans sa peau. Il voulait la marquer, la revendiquer.

« Alors, impressionné, majesté ?! »

Kaiélion ponctuait ses paroles obscènes en enfonçant ses doigts aussi profondément que possible dans le trou du cul serré de Melinda. Il les frotta et les recourba, essayant de la faire gémir autant que possible, en trouvant le fameux point G (s’il existait) a l’intérieur de son fondement. Au meme moment, il se redressa et commença à savourer ses seins. Il n’y avait pas à dire, Mélinda était magnifique, le plaisir que procurait une partie de jambes en l’air avec la vampire dépassait toute entendement.

Et tandis qu’il pénétrait sa maitresse, Le corps de Kaiélion se tendit et frissonna, sentant les signes avant-coureurs de sa libération imminente. Avec un gémissement guttural, il enfonça ses doigts profondément dans le cul de Melinda, caressant cet endroit si spécial en elle tandis que sa queue palpitait et pulsait contre son ventre.

« Putain, je… je vais jouir », grogna Kaiélion, la voix tendue par l'effort qu'il faisait pour se retenir
D'un dernier coup de doigts brutal, le sexe de Kaiélion explosa, déposant d'épaisses couches de sperme brûlant a l’intérieur du vagin de sa maitresse. Il frissonna et se contracta en-dessous d'elle, une expression de béatitude agonisante se lisant sur son beau visage tandis que son orgasme le submergeait tel un raz-de-marée.

« Ahhhhhh…! » s'écria Kaiélion d'une voix rauque et brisée, tandis qu'il se laissait emporter par un plaisir intense, presque douloureux. Ses doigts continuaient de la pénétrer faiblement tandis que giclées de sperme jaillissaient de sa queue palpitante.
Finalement, avec un soupir rauque, Kaiélion s'effondra au sol, son corps musclé devenant mou et lourd. Il haletait bruyamment, sa poitrine gonflant et se dégonflant tandis qu'il luttait pour reprendre son souffle. Toute son énergie avait été vidée de son corps, le laissant complètement épuisé. Le visage remplie de sueur, il tenta de faire croire à Mélinda qu’il était toujours opérationnel, afin de garder un semblant de fierté :

« Je suppose que vos talents de maîtresse sont passables, pour un vampire. »

Mais il fallait se rendre à l’évidence : kaélion était épuisé, et Mélinda pouvait facilement punir son insolence en utilisant sa magie rose de toute a l’heure, ce qui transformerait le jeune homme littéralement en esclave sexuelle.

Re: Un esclave en quête de liberté [Mélinda]

Posté : 05 mai 2025 01:08
par Mélinda Warren
Oui, il allait sans doute falloir éduquer Kaélion. D’un autre côté, Mélinda lui avait dit de se lâcher. Cela faisait partie de sa stratégie. Elle ne voulait pas le castrer, elle voulait le soumettre en lui montrant qu’elle était plus forte que lui, plus endurante, sexuellement parlant. Il était fort, il était hargneux, énergique et plein de passion, mais elle, elle pouvait être plus que cela. Mélinda ne dominait pas par la peur ou par l’obéissance forcée, mais par l’exemple, par l’adoration. La domination, ce n’était pas qu’un rapport de puissance, c’était une question d’amour avant tout. La vampire était bien placée pour le savoir ; pour plaire à la personne qu’on aime, on était prêt à faire n’importe quoi, à renoncer à toutes ses convictions. S’il y avait bien une leçon à retenir de toute la littérature, c’était bien ça : le poids de l’amour. Ce sentiment dangereux, Mélinda le manipulait. Elle aimait que ses esclaves l’aiment, qu’ils l’adorent, ce qui pouvait aussi poser des soucis… Des soucis qu’elle anticipait déjà avec Kaélion. Alors, elle devait s’adapter, leur faire comprendre que ce qu’ils ressentaient pour elle n’était pas, et ne devait pas, être réciproque. Aimer Mélinda, c’était comme aimer un être qui était un mélange de votre amante, votre mère, et votre Déesse. Vous deviez l’aimer, l’idolâtrer, mais n’importe quel croyant savait très bien que la dévotion était désintéressée, et qu’il ne fallait pas attendre de contrepartie à l’acte de piété. Tout cela, c’était ce qu’elle enseignerait à Kaélion, et cela passait en grande partie par le rapport sexuel.

« Haaaa… »

Elle se mordilla les lèvres en sentant les doigts de ce dernier s’enfoncer dans son fondement. Ses griffes se crispèrent un peu plus sur son torse. Plus d’artifice en faisant l’amour, plus de construction sociale ou d’hypocrisie. Le rapport sexuel vous mettait à nu, il balayait tous les faux-semblants. Les violeurs et les pervers, au sens psychiatrique du terme, déballaient les masques. Ceux qui se croyaient dominateurs exprimaient leurs faiblesses, ceux qui étaient soumis se laissaient faire… Coucher, pour Mélinda, ce n’était pas qu’un acte de simple sauvagerie et de plaisir viscéral, c’était aussi une excellente lecture. Elle sentait toute la frustration de Kaélion, elle sentait toute sa soif de revanche, toute cette colère refoulée qu’il libérait dans le sexe, au fur et à mesure que ses inhibitions sautaient. Et cela, bien sûr, la vampire comptait l’utiliser à bon escient.

Mélinda sourit à nouveau quand il jouit en elle, et s’affaissa sur le sol. Il la provoqua encore, et le sourire de la vampire s’élargit. Son doigt glissa sur le nez de Kaélion, jouant avec lui.

« Tu as la langue bien pendue, mon petit Kaélion… Mais tes performances d’amant sont à vrai dire tout juste passables ! »

La vampire se releva alors, et Kaélion put voir les yeux de Mélinda virer au rouge. Ce fut alors comme si une force invisible animait son corps.

« Voyons voir si cela est passable… Je peux maîtriser ton corps comme si tu étais ma marionnette grâce à ton sang. »

C’était une sensation très inhabituelle. Si Kaélion tentait par exemple de bouger son bras droit, il verrait bien ce dernier se déplacer, mais revenir ensuite à sa position initiale. Il se releva alors, sans pouvoir contrôler son corps. Si elle le voulait, Mélinda pouvait même l’empêcher de parler.

« Petit cours d’anatomie vampirique, mon cher sauvage… Les muscles de ton corps fonctionnent grâce à ton sang. On appelle ça l’irrigation sanguine. Ce sang de toi que j’ai, et que je peux utiliser grâce à ses pouvoirs. Est-ce toujours passable pour toi ? »

Kaélion se retrouva alors à s’agenouiller devant Mélinda, qui gloussa alors. Elle remuait la main, mais c’était théâtral. Elle mimait le geste avec sa main, mais elle n’avait qu’à utiliser sa pensée. Elle pensait lire surtout de la peur dans les yeux de Kaélion. La sensation que votre corps ne vous appartienne pas avait quelque chose d’horrible… Du moins, pour la première fois. Kaélion put alors sentir un afflux sanguin autour de son sexe. Le pied de Mélinda se posa alors sur sa verge, et elle sentit sa queue gonfler doucement.

« L’érection est elle aussi un mécanisme lié à cette irrigation sanguine… Ce n’est rien de plus que ça. Tu dois être fier de pouvoir bander comme un taureau, non ? Si je le voulais, je pourrais gorger de sang ta queue, au point qu’elle serait rouge et grosse comme un mandrin… Et te tuerait probablement. »

Mélinda se déplaça alors, et se mit à quatre pattes sur le sol. Kaélion sentit encore son corps lui abandonner, et l’une de ses mains se posa sur les fesses de Mélinda, tandis que l’autre retourna la doigter.

« Mais ne t’inquiète pas, mon beau, si je voulais te tuer, je ne serais pas venue te sauver. Mais n’escompte pas te reposer si facilement. Quand on provoque sa Maîtresse, il faut assumer jusqu’au bout, surtout quand on commence à titiller mes fesses. Tu as commencé à fourrer tes doigts en moi avant de t’arrêter… »

Kaélion sentit alors la pression sanguine de la vampire cesser.

« Enfonce tes doigts en moi, Kaélion, et ta main… Puis continue. Offre-moi un fisting ! »

Re: Un esclave en quête de liberté [Mélinda]

Posté : 15 mai 2025 03:02
par Nowe
Ayant jouit une énième fois dans l’antre de sa maitresse, Kaiélion resta couché sur le sol, comme un guerrier qui venai de perdre une bataille, haletant comme un chien, suant comme un porc. Et il semblait que sa dernière remarque n’avait guère plu à Mélinda.
Les yeux de Kaiélion s'écarquillèrent de stupeur et de peur lorsqu'il sentit un étrange pourvoir parcourir ses veines, contrôlant son corps comme une marionnette. Il se retrouva d’ailleurs agenouillé devant le vampire, comme un homme agenouillé devant sa maitresse. Il tenta de se relever, mais rien ; son corps ne lui répondait plus.

« C'est quoi ce bordel ? » grogna Kaiélion, luttant contre les liens invisibles qui le retenaient. « Sors de ma tête, espèce de vampire ! »

Puis, Mélinda posa son pied sur la verge battue de notre héros, qui, en un instant, retrouva sa raideur. Encore un nouveau sortilège du vampire, qui lui fit regagner son érection en un rien de temps. Sauf que cette fois, l’afflux sanguin était trop important, son érection était plus dure que jamais, et il finit par gémir de douleur.

« AHH ! »

Se crispant, Kaiélion sentait que sa verge allait exploser, comme le disait Mélinda !

« Sale p - »


Kaiélion ne put terminer sa phrase, sa langue s’immobilisant à l’entente de l’insulte qu’il était sur le point de proliférer a l’encontre de sa maitresse.

*Qu’est ce qui se passe ?! Je ne peux plus parler ! *

Ainsi, cette sorcière pouvait aussi lui empêcher de parler, si elle le voulait ? Elle était décidément terrifiante ! plus redoutable que ce que notre héros avait anticipé.

Ses yeux s’écarquillèrent alors qu’elle se mit à quatre pattes devant lui, lui offrant une belle vue sur son généreux cul qui devait faire rêver bien des hommes. Il n’eut pas le temps de prononcer un homme que son poing s’inséra dans le fondement du vampire, à son insu.
Il tenta de dégager sa main de du fondement de Melinda, mais elle resta obstinément en place, pétrissant et pressant sa chair, taquinant ses parties les plus intimes.

« C'est ça, ta blague ? » cracha Kaiélion, la voix tendue, luttant contre le plaisir qui montait en lui. « Tu crois pouvoir me contrôler comme ça ? »

Par miracle, Kaiélion réussit à retrouver la parole, sans doute parce que Mélinda était trop concentré à se faire élargir le cul pour le faire taire.

Tandis qu'elle gémissait, Kaiélion sentait sa résistance s'effondrer, son corps trahir son désir tandis que son esprit s'y opposait. Il était pris entre l'assaut incessant des sensations et les derniers vestiges de sa fierté. C'était une sensation à la fois terrifiante et exaltante, de savoir que cette créature avait un tel contrôle sur lui-même.