The Multiversity

[Samara]

Samara était en train de guérir. Elle en aurait presque pleuré, si elle n’avait été… Samara. Elle jouit joyeusement dans le petit cul de Theorem, et ce dernier s’écroula sur le sol, la bouche et le cul pleins de foutre. Samara se désintéressa alors de lui, et caressa le torse d’Alastar, avant d’aller l’embrasser.

« Vas-y, Alastar… Baise-moi… Baise-moi, et ne t’arrête pas, même si je te l’ordonne… »

Alastar, qui avait été très excité par la fellation de Theorem, sourit, et posa ses mains sur les fesses de la femme, avant de la soulever, appuyant bien fermement sur ses fesses.

« Ma foi, je ne saurais refuser une telle offre, ma belle… »

Pendant ce temps, Theorem se retrouva entre Edessa et Inazia. Edessa s’était joyeusement masturbée sous le spectacle de Theorem se faisant sodomiser. Elle aimait beaucoup le sexe, et on pouvait l’entendre gémir et couiner, pendant que sa cyprine coulait le long de ses cuisses, et tombait sur le sol. Des cris délicieux, tendres et forts. Elle avait une voix très douce, très féminine, magnifique. Oui, l’entendre hurler ainsi, c’était vraiment très agréable. Comme subjugué par elle, Theorem l’observait… Et se retourna quand Inazia se rapprocha.

Pour seule réponse à sa demande, celle-ci jeta alors sur sa tête une tenue, qu’elle venait de récupérer dans l’un des meubles, sourire malicieux sur les lèvres.

« Commence par enfiler ça, petit chien… Et dépêche-toi !
-  Haaaaaaaa… !! »

Edessa venait de jouir, et se relâcha contre son fauteuil, avant de soupirer longuement. Elle s’affaissa sur ce dernier, le souffle précipité, les joues rougies par l’effort. Theorem, de son côté, avait une belle tenue blanche et noire en latex, et l’enfila lentement. Edessa, qui était maintenant apaisée, sourit alors en voyant le résultat final, se pinçant les lèvres.

« Ça lui va bien, non ? lui demanda Inazia.
-  Hihi… Oui, plutôt, en effet ! »

Sous leurs yeux ravis, Theorem venait d’enfiler une superbe tenue de nonne. La tenue laissait ses seins à l’air libre, et il portait même un couvre-chef. Edessa sourit, et gloussa à nouveau.

« Sœur Theorem… Avez-vous fait vœu de chasteté, ma sœur ? » se moqua Edessa.

L’humiliation de Theorem ne pouvait que se poursuivre…

[Theorem von Nacht]

Theorem n'eut comme réponse qu'un tas de vêtements jetés à son visage. Le pauvre récupéra les pièces avant de calmement les enfiler. Le latex lui demanda de mettre un peu de lubrifiant sur sa peau mais il parvint à tout mettre relativement vite alors que la pièce était inondée des cris de plaisir de Samara et d'Alastar. Les joues toutes rouges il finit par tout enfiler. Une tenue de nonne perverse ! Il n'y avait que des démons pour aimer cela, pour salir un peu plus le divin et Theorem en serait le vecteur. Si les dieux positifs comme Hunder voulaient encore de lui, il est clair qu'il allait être maudit pour ça et la déesse Yeenoga des hyène allait le garder pour lui pour encore très très très longtemps. Une fois enfilé, il se fit d'avantage humilié par les deux succubes qui lui faisaient tourner la tête. Puis... Quelque chose se brisa dans Theorem. A quoi bon lutter ? Il était en infériorité numérique, il était un esclave et il ne pouvait rien y faire. Il ne restait qu'une arme à Theorem, un ultime joker qui d'habitude laissait les adversaires un peu sur le cul. Et puis bon... pourquoi ne pas en profiter ? Au lieux de rougir bêtement et de rester intimidé, il joignit soudainement ses mains en signe de prières, à genoux devant Inazia et Edessa. Il était face à leurs longues jambes gainées de latex.

"P... Punissez-moi car j'ai péché ! Je ne suis qu'un vile sodomite, un travelo, une poubelle à foutre ! Je baise avec des verges depuis si longtemps que je ne me souviens plus de rien d'autre ! L'ange de la Luxure, Sya, m'a retiré toute mon expérience sexuelle avec les femmes ! Je ne suis plus qu'une tapette, une pédale ! Je suis indigne de vos belles fentes sacrées !"

Il se jeta aux pieds des deux succubes, léchant leurs bottes de cuir brillant, les faisant encore plus luire avec sa salive. Theorem se donnait à fond, il abandonnait. Tant pis ! Autant profiter du sexe ! Il leva les yeux pleins d'envie vers les deux succubes, désespéré d'en avoir plus.

"J'abandonne ! Bénissez-moi de votre eau bénite dorée ! Je renonce à mes bénédictions et me conforte dans l'obscurité ! Je ne suis plus un chien, un fier chevalier Inu. Je suis une hyène ! Une hyène rieuse et perverse ! Je suis une bête de la nuit, une goule ! Bénissez-moi, divines succubes du monde d'en dessous !"

Et bordel ce que ce fut bon de s'abandonner !

[Samara]

Pervertir le sacré, le « divin », c’était effectivement une chose que les démons comme Inazia adoraient faire. Les clans de Luxure adoraient coucher avec les prêtres et avec les nonnes. Le fait est que, sous les couverts de sainteté, l’Ordre Immaculé recelait de pervers. Que ce soit les cardinaux organisant des orgies somptueuses depuis leurs palais ou les prêtres de bas étage cédant progressivement à des envies pédophiles, la Luxure s’exprimait de bien des manières. Pouvait-on blâmer les succubes et les incubes de détourner les prêtres de leurs vœux de chasteté ? Au moins épargnaient-ils les jeunes enfants de leur paroisse… Et le fait est qu’Inazia avait, parmi ses amants, un prêtre. Depuis qu’il faisait régulièrement l’amour avec elle, il était même plus à même d’assumer ses fonctions. La jeune succube devait régulièrement revenir s’occuper de lui, notamment pour noyer ses doutes en l’embrassant et en le masturbant.

Elle était donc ravie de voir Theorem en tenue de nonne… Tout comme Edessa. La jeune succube avait passé plusieurs années loin du harem, menant une quête initiatique pour améliorer ses performances sexuelles et magiques, afin de mieux servir sa Maîtresse. Et, si elle était tombée sur des amants exceptionnels, elle était aussi tombée sur des fanatiques. L’Ordre Immaculé étendait son influence à l’ouest du continent, loin d’Ashnard. Là, elle avait été attaquée par des prêtres, mais avait pu se rendre dans des couvents, où elle avait pu constater que bien des filles n’étaient guère chastes et vertueuses. Edessa avait donc acquis, elle aussi, une forme de détestation du sacré, et aimait bien ramener à la réalité tous ces gens qui se croyaient détachés de leurs pulsions sexuelles. À sa manière, Theorem mélangeaient donc le sacré et le stupre dans un mélange blasphématoire qui ne manquait pas de les exciter.

Face aux deux femmes, Theorem se lança donc dans une prière très originale. Il expliqua même que Sya s’était occupée de le rendre davantage homosexuel, et termina en baisant leurs pieds. Les deux femmes le regardaient, silencieuses… Mais, pendant qu’il avait parlé, leurs queues s’étaient mutuellement dressées, se durcissant, trahissant l’excitation que ces deux femmes ressentaient en entendant le jeune homme, de sa voix si douce, tire tant d’insanités.

« Oui, Sœur Theorem, tu es très pervers…
-  Quand tu mourras, il n’y aura nul Paradis céleste pour toi. Tu finiras en Enfer, dans mon palais, où tu seras sodomisé tous les jours par des dizaines et des dizaines d’esclaves, avec ta petite queue coincée dans ta cage de chasteté… Voilà le destin éternel qui t’attend…
-  Et tu nous regarderas nous faire baiser par des mâles bien plus musclés et bien plus membrés que toi… »

Edessa doutait franchement qu’on puisse avoir enlevé de la mémoire de Theorem toutes les fois où il avait pénétré des femmes. Et, même si on arrivait à le faire, son corps, lui, devait encore se rappeler des sentiments qu’il ressentait, du plaisir pervers et immense qui s’emparait d’un homme quand il pénétrait une femme. Et c’était bien un élément avec lequel ces perverses succubes comptaient jouer au mieux pour le manipuler et l’humilier davantage.

« Mais nous allons te bénir… Relève la tête, petit chien… Pardon… Petite hyène ! »

Theorem obtempéra, et on lui demanda d’ouvrir la bouche, puis Inazia fourra sa queue en lui, la plaçant bien au fond, et serra avec ses doigts les cheveux de l’homme.

« Réjouis-toi, Sœur Theorem, car tes Déesses ont entendu tes vœux, et ont décidé d’y faire droit ! À partir de maintenant, Sœur Theorem, tu serviras un culte qui ne prône nulle abstinence, ni nul diktat moral… Tu serviras la Luxure, le Stupre, en étant le Grand Sodomite… Et c’est avec l’Eau-Jaune que nous allons t’honorer de notre bénédiction, Sainte-Pute ! »

Inazia se concentra alors, et urina joyeusement dans la bouche de Theorem. Et, dès qu’elle aurait fini, Edessa viendrait à son tour lui pisser dans la bouche.

Une manière claire et irrévocable de marquer pour de bon son nouveau statut et sa profonde déchéance…

[Theorem von Nacht]

Le Grand Sodomite ? Voila qu'il venait de recevoir un titre humiliant au sein des démons. Il allait vraiment être un jouet sexuel de ces femmes une fois trépassé ? Cela allait-il arriver un jour vu sa nature bio-mécanique ? Il ne savait le dire, mais il savait néanmoins qu'il était profondément excité de voir ces deux superbes femmes faire émerger des verges de leurs sous-vêtements. Le bas de bikini rouge d'Inazia se gonfla avant de voir sortir de l'élastique de latex une puissante verge à la peau aussi bronzée qu'elle... Puis ce fut le tour d'Edessa dont le vêtement noir partiel qu'elle portait tel un harnais habillé se retrouva vite gonflé d'une verge à son tour, sortant par le côté de sa "culotte", ou du moins de la partie cachant son sexe féminin précédemment baisé par ce beau démon à la peau rouge. Prenant soudainement la verge d'Inazia au plus profond de sa gorge et sentant les mains gantées de latex rouge de cette dernière, il se sentit prit au piège. Ses mains se posèrent machinalement sur le haut des genoux de la démone alors que le liquide doré envahissa sa gorge. Il fut forcé d'avaler un grande gorgée ce liquide impie qui, mine de rien, allait le modifier. Son estomac déjà bien remplit de sperme se retrouva occupé par de la pisse de succube avant qu'il ne soit enfin relâché... Theorem toussa brutalement, le goût âpre et puissant de l'urine inondant sa bouche.

"Kof kof... Par les couilles de Yeenoga je..."

Mais il fut interrompu par la bite puissante d'Edessa qui s'enfila dans sa gorge, sentant les mains de la succube serrer ses cheveux en lui provoquant une douleur vive mais concrète, le genre de douleur qui occupe l'esprit mais dont l'esprit s'accommode  au bout d'un moment. Il avait les yeux mi-clos alors que la même invasion de fluide commença dans sa gorge. Il était devenu un urinoir à démons et il sentait bien son ventre plein de ce fluide chaud et odorant. Edessa... cette magnifique succube dont il avait rêvé de faire l'amour tout le temps de son séjour au harem de Mélinda... Il s'était imaginer doucement lui faire un cunni en la faisant gémir de sa belle voix cristalline... Puis doucement grimper sur elle et glisser sa verge dans son sexe avide et trempé... Han elle aurait serré ses jambes douces autour de ses hanches pendant qu'il la besognait... Mais tout ceci était hors de portée désormais... Même lui était indigne d'une salope comme Edessa... Une fois terminé, il tomba sur le cul, toussant encore alors qu'il se sentait bien remplit. Une bave épaisse pendant de son menton alors qu'il s'essuya sur son avant-bras couvert de latex. Il leva ensuite les yeux sur les succubes, tremblant... Si avec ça la déesse Yeenoga, celle des Haiena, ne le considérait pas comme le pire des sextoy... Mais là il était pire qu'un onahole... Il était un urinoir.

"Je... Merci... magnifiques créatures... Je vous envie tellement..."

[Samara]

Le Grand-Sodomite devint pour l’heure le Saint-Urinoir. Dès qu’il s’agissait de blasphèmes, de parjures, et de moqueries, les démons étaient redoutables, a fortiori les succubes. Par leur nature de luxure, elles étaient souvent les cibles de religions très moralisatrices. Autant dire que, dès qu’elles avaient l’occasion de tourner en ridicule la morale sexuelle religieuse, elles n’hésitaient pas à le faire. Theorem était donc leur Grand-Sodomite, titre inventé sur le moment. Le pauvre n’était pas encore au bout de ses peines face à de telles femmes. Edessa avait beau être douce, et avoir été très gentille avec lui auparavant, elle pouvait aussi se montrer très dominatrice, surtout quand elle était en compagnie des Magoa.

Rapidement, les deux urinèrent donc dans la bouche de Theorem, enfonçant leurs grosses queues bien profondément dans sa gorge, avant d’uriner joyeusement. Elles balancèrent d’épais chapelets d’urine en lui, cherchant à ne rien négliger. Et l’urine des démones était assez particulier. C’était de l’urine chaude, et chacune urina suffisamment longuement pour laisser le temps à Theorem de s’habituer à ce contact. Elles se retirèrent donc ensuite, l’une après l’autre, et gloussèrent en le voyant à terre, gêné, et admiratif.

« Tu entends ça ? Le petit nous admire...
-  Oui... C’est à croire qu’il aime être notre vide-couilles. N’as tu donc aucune fierté, Theorem ? »

Edessa, qui était celui le connaissant le mieux, se rapprocha de lui, et posa sa main sur ses cheveux, tirant un peu dessus, relevant son visage vers le sien. Avec son autre main, elle caressa son visage, ses doigts glissant le long de ses lèvres.

« Maîtresse m’a dit que tu étais un grand chevalier jadis... Un puissant guerrier, noble et valeureux. Et maintenant ? Que reste-t-il de ce fier chevalier ? Que reste-t-il de ta fierté ?
-  Plus rien... Tout ce que Theorem veut, maintenant, c’est qu’on le baise.
-  Depuis combien de temps est-ce que ta queue n’a pas servi, hum ? Je suis sûre que tu y rêves encore... D’enfoncer ton membre dans un con... »

Elle se redressa alors, et fourra ses doigts dans sa chatte, exhibant sa vulve luisante sous les yeux de Theorem, sa chatte apparaissant sous sa belle queue, des gouttes de cyprine tombant sur la tête de Theorem, qui était assis entre ses cuisses.

« Dans le mien, notamment... Quand tu étais au harem, je sais que tu en rêvais. Tu aurais même pu le faire, si Ishtar ne t’avait pas repris. En fait... Ça s’est joué à un jour près. Je t’avais mis sur mon emploi du temps, j’avais tout préparé, même des drogues et des stimulants pour toi. Tu aurais pris cette belle chatte que tu vois là pendant des heures, tu aurais senti mes parois se resserrer contre ta bite, tu aurais senti ma mouille éclater sur ton sexe, et tu aurais joui en moi, joui tant et tant de fois... »

Tout en décrivant la scène, elle se masturbait, provoquant des petits claquements spongieux, faisant sortir davantage de mouille. Inazia se rapprocha alors, et remplaça les doigts d’Edessa par les siens, la masturbant alors d’une main, l’autre caressant sa belle verge.

« Oui, Theorem... Crois-moi, tu ne sais pas ce que tu as loupé. Edessa a entraîné sa chatte, elle a goûté à des centaines de verges, mais elle continue à user de sa magie pour la rendre bien serrée à chaque fois. Plonger en elle, aucun homme n’y a résisté. Des dizaines et des dizaines d’orgasmes, tu aurais eu, jusqu’à tomber dans le coma.
-  Haaaa...
-  Mais maintenant... Maintenant, ta queue ne te sert plus à rien. Tu ne l’utilises tellement plus qu’elle a rapetissé. C’est comme un muscle, tu sais, il faut l’entretenir... Ta petite bite ne mérite pas la chatte d’Edessa, elle te sera à jamais refusée. Lèche sa queue maintenant, Grand-Sodomite, lèche sa grosse queue, constate combien elle est dure, combien elle est grosse par rapport à la tienne, et souffre du fait de savoir que jamais ta petite bite ne rentrera dans sa chatte. »

Les deux succubes n’y allaient vraiment pas par le dos de la cuiller, torturant psychologiquement Theorem, le poussant à bout... Afin de voir jusqu’à quel point il leur était vraiment soumis.

[Theorem von Nacht]

Theorem pouvait voir, sentir, presque goûter à cette superbe fente qui l'avait fait fantasmer tant et tant de fois. Et en plus ça s'était joué de peu ! Quelle déception... Si Ishtar ne l'avait acheté qu'un seul jour plus tard, Edessa l'aurait grimpé dans l'intimité d'une chambre. Il aurait sûrement eut les meilleurs drogues et stimulants, ça aurait été grandiose. Sa petite bite se serait glissé dans la douce et agréable chatte de la démone, pour lui faire connaître le summum, le nec plus ultra de la relation hétérosexuelle... Mais étrangement, même s'il repensait à tout cela en matant et en écoutant les bruits obscènes de cette masturbation juste devant lui, il ne pouvait quitter ses yeux de cette grosse verge la surmontant. La bouche ouverte, à prendre quelques gouttes de cyprine de ce sexe devant lui, Theorem n'imaginait plus voir sa modeste virilité se glisser dans la féminité de cette créature de rêve... Non, il s'imaginait chevaucher cette grosse queue comme la pire des salopes. Quand vint le feu vert d'Inazia qui doigtait cette fente lisse, imberbe et brillante, le twink ne se fit pas prier outre mesure.

"Bien Maîtresse Inazia !"

Ouvrant grand la bouche, il fit doucement entrer le gland turgescent dans sa bouche. Il prit appuis sur sa langue avant de doucement glisser, centimètres par centimètres. Theorem ouvrit plus grand les yeux à mesure que ce sexe entrait dans sa gorge mais il ne quitta pas Inazia des yeux malgré les larmes d'effort perlant aux coins de ses yeux bridés. Arrivé à la moitié alors que le gland tapa sa gorge, le jeune Haiena inclina un peu son corps pour avaler d'avantage cette queue. Son regard se plissa un peu plus alors qu'il avalait cette hampe de chair. Une larme d'effort coula mais il parvint à l'avaler au complet. Theorem trembla de tout son être un instant avant de recracher cette grosse queue pour se sentir replaqué à nouveau à sa place initiale. Il toussa de façon étouffée sur ce pénis imposant, lâchant plusieurs filets de salive épaisse avant de sentir la pression sur la main dans ses cheveux se baisser, lui permettant de reculer. Mais à peine arriva-t-il au gland que cela recommença, encore et encore, de plus en plus vite. La gorge de Theorem n'était plus qu'un trou de plus à fourrer, ne lui donnant cependant pas de plaisir sexuel, mais une forte excitation qui fit pointer ses tétons et mouiller sa cage de chasteté !

[Samara]

Elles continuaient à l’humilier, à se moquer de lui, à remettre continuellement en cause tout ce qui pouvait faire de lui un homme... Sa virilité, sa fierté, le plaisir qu’il ressentait en glissant sa queue dans des corps... L’anecdote sur Edessa était un coup dur, car Edessa avait que Theorem l’avait beaucoup aimé... Et qu’il l’aimait visiblement toujours. Qui sait ? Peut-être qu’avant qu’Ishtar ne le reprenne, Theorem s’était imaginé vivre avec elle ? Devenir son amant ? Mener une belle vie faite de stupre et de sexe, où il aurait enfin pu devenir un homme fort et puissant ? Le destin en avait décidé autrement, et il était désormais trop tard pour faire marche arrière. Devant lui, Edessa souriait, exhibant une puissante verge, et l’enfonça dans la bouche de l’homme. Et, vu la manière dont il se mit à la sucer, et dont le plaisir sembla se diluer dans son corps, Edessa n’avait aucun remords à se faire. Cette vie qu’on lui avait imposé... Elle correspondait aussi à ce qu’il voulait.

« Hmmmm... Haaaaa... Voilà... Suce-moi bien, petite lopette... »

Les onctueux gémissements d’Edessa emplissaient la pièce, pendant que ses mains se crispèrent sur son haut de nonne, agrippant également ses cheveux. Sa queue filait d’avant en arrière, semblant durcir encore. Edessa gémit à nouveau, ses joues se couvrant de rouge. Samara, proche du duo, observait cette scène avec un appétit évident, sa bouche semblant s’assécher sur place. Voyant cela, Inazia sourit, et caressa l’épaule de l’Archimage, avant d’aller tendrement l’embrasser. Les mains de Samara se posèrent sur ses hanches, et elle répondit au baiser de la jeune femme. Elles avaient toutes choisi de faire sortir leurs appendices masculins, et Samara frémit en sentant son chibre se heurter au sien.

Samara ferma les yeux pendant quelques secondes, profitant de ce moment.

« Alors ? Que penses-tu de notre fête ?
-  Je dois bien admettre que je n’étais pas très partante au début... »

Peu de gens savaient que Samara avait peur des hommes, mais l’Archimage avait foi dans les personnes présentes ici pour garder son secret. C’était d’ailleurs pour ça qu’elles avaient organisé cette scène. La main d’Inazia fila naturellement sur le sexe de Samara, la masturbant tendrement.

« C’est une scène qui t’excite, Samara... Tu comprends ? Ta peur des hommes... Elle n’est qu’un mauvais fantôme dont tu dois te débarrasser. Comment pourrais-tu avoir peur d’une petite pute comme Sœur Theorem ? »

Samara ne put que sourire.

« Oui... Sur ce point, tu as raison. »

Impossible de le nier, Samara n’avait pas peur de Theorem, et elle arrivait même à être excitée par ce qu’elle voyait ! Les deux femmes se rapprochèrent donc d’Edessa, et se mirent à sourire, en voyant les minutes défiler.

« Eh bien... Tu oublies encore de jouir, Edessa ?
-  Mmmm... Mais j’aime tellement sa bouche, haaaa... !! »

Samara et Inazia sourirent.

« Mais tu as encore tes mains, Theorem... Occupe-toi aussi de nous, petite pute ! »