Re: Odieux chantage [PV Suki Tetsuhiko]
Posté : 01 sept. 2024 18:54
Heureuse, amusée et fière, voilà trois mots qui pouvaient aisément décrire dans quel état Mélinda se trouvait, alors que les deux Celkhanes étaient en train de lui laver les pieds. Deux beautés dans des tenues sexy, se tenant à ses pieds, prostrées et vaincues, ravalant amèrement leur fierté et leur orgueil. Suki avait misé, et avait perdu. Elle avait choisi de compter uniquement sur elle-même pour arrêter une vampire mijakienne. Mélinda n’était pas spécialement forte ni endurcie, par rapport à d’autres vampires, mais elle savait agir vite. Dès qu’elle avait vu Suki, elle avait fantasmé sur l’idée de voir cette Celkhane fière, belle et arrogante à ses pieds. Son plan bancal avait eu bien des chances d’échouer, mais tout s’était bien passé. Suki et Kairi étaient maintenant en train de lécher ses pieds, et Mélinda se permit un long soupir. Suki venait d’arriver, et était plus résistante que Kairi. Mélinda n’était pas dans la tête de la Celkhane, mais elle se disait que Kairi n’était pas totalement contre l’idée d’embrasser Mélinda, après tous les baisers et les caresses qu’elle avait reçus. La beauté de Mélinda était une arme fatale, et très efficace. Elle ne doutait pas que Suki finirait aussi par succomber à son charme.
« Là, mes belles, les encourageait-elle, occupez-vous bien de mes jolis pieds, embrassez et léchez ma belle peau… Là, oui, hum… »
Elle remuait légèrement ses doigts de pied, Suki restant à hauteur de son pied, Kairi commençant à se déplacer. Mélinda ne chercha pas à l’en empêcher, savourant le contact de la langue de Kairi et de ses lèvres. Mélinda était volontiers fétichiste. Elle aimait bien qu’on lèche, qu’on suçote ses pieds. C’était le plus beau geste de soumission qui soit, mais, outre cela, son esprit pervers arrivait même parfois à y trouver une espèce d’étrange et inexplicable fascination sexuelle. Après tout, le sexe était justement intéressant parce qu’il ne répondait pas à la logique. Chacun avait ses petits fantasmes, et Mélinda laissa les minutes passer, caressant avec ses ongles les lèvres de Suki, amenant cette dernière à devoir gober entre ses lèvres ses doigts de pied.
Oh, elle n’avait nul besoin de voir le visage de Suki pour savoir que cette dernière bouillonnait de rage et de frustration. Suki était une passionnée, une lieutenante celkhane intimement convaincue de la justesse de sa cause, terriblement persuadée qu’il fallait tuer tous les esclavagistes, et que les hommes étaient des animaux sans intérêt, à supprimer. Elle était une femme pleine de vie, autoritaire et sûre d’elle, et devait ici se soumettre. Oui, elle devait assurément être furieuse. Qu’on lui donne une arme, et elle éclaterait sûrement la tête de Mélinda sans le moindre remords. Mélinda continuait donc à les laisser faire, jusqu’à ce que ces dernières en eussent assez. La vampire, pour être honnête, aurait bien continué ainsi pendant des heures.
« Très bien, mes chéries. Si vous en avez assez des pieds de votre Maîtresse… »
Elle se redressa, posant ses pieds sur le sol, et tendit ses mains, caressant vigoureusement les cheveux des deux Celkhanes pendant de longues minutes, glissant ses mains sur leurs têtes pour les amener à se mettre accroupies, avant de continuer à caresser et à gratter leurs visages. Elle glissa ensuite un majeur dans chacune des bouches des Celkhanes.
« Tenez, mes beautés, sucez donc… Vous pouvez mordiller, si vous le voulez… »
Mélinda remua ses doigts, tout en regardant ses esclaves. Les hommes se dandinaient sur place, leurs virilités jaillissant, formant des bosses sur leurs caleçons rouges en cuir. Les pauvres avaient follement envie de pénétrer les deux Celkhanes, un désir terrible et puissant. La vampire pouvait sentir le sang qui influait dans leurs membres, leurs regards vicieux, et elle retira ses mains.
« Regardez, mes chéries, regardez… Regardez donc dans quel état vous mettez mes pauvres esclaves… »
Mélinda se rapprocha d’un des hommes, et se mit à caresser son membre, frottant sa culotte, caressant avec ses griffes sa virilité, l’empoignant. Son membre était bien tendu, et elle entendit l’esclave cagoulé gémir et soupirer. Mélinda alla l’embrasser tendrement, continuant à jouer avec son sexe.
« Même une Futanari, c’est différent… Vous avez tort de rejeter à ce point le contact masculin, mes petites esclaves… C’est pourtant agréable comme jouet, un homme… Hein ? Oh oui, mon mignon, je le sens bien, que tu aimes ça… Là, là, oui, oui, profite, pro… Ah bah, je crois que tu as bien profité ! »
Dans un soupir, l’esclave avait joui, et une tâche se formait très légèrement sur sa culotte. Souriant, Mélinda se désintéressa de lui, retournant vers les deux Celkhanes, et les força à se mettre l’une en face de l’autre, caressant leurs cheveux.
« Bien, mes chéries… Maintenant, vous allez vous embrasser, car vous n’êtes plus une lieutenante et son subordonnée, mais deux petites esclaves qui ont besoin de mutuellement se connaître avant de faire un GROS câlin à leur Maîtresse adorée. Allez, allez, mes petites, embrassez-vous, ne soyez pas timides ! Je veux un beau baiser ! »
« Là, mes belles, les encourageait-elle, occupez-vous bien de mes jolis pieds, embrassez et léchez ma belle peau… Là, oui, hum… »
Elle remuait légèrement ses doigts de pied, Suki restant à hauteur de son pied, Kairi commençant à se déplacer. Mélinda ne chercha pas à l’en empêcher, savourant le contact de la langue de Kairi et de ses lèvres. Mélinda était volontiers fétichiste. Elle aimait bien qu’on lèche, qu’on suçote ses pieds. C’était le plus beau geste de soumission qui soit, mais, outre cela, son esprit pervers arrivait même parfois à y trouver une espèce d’étrange et inexplicable fascination sexuelle. Après tout, le sexe était justement intéressant parce qu’il ne répondait pas à la logique. Chacun avait ses petits fantasmes, et Mélinda laissa les minutes passer, caressant avec ses ongles les lèvres de Suki, amenant cette dernière à devoir gober entre ses lèvres ses doigts de pied.
Oh, elle n’avait nul besoin de voir le visage de Suki pour savoir que cette dernière bouillonnait de rage et de frustration. Suki était une passionnée, une lieutenante celkhane intimement convaincue de la justesse de sa cause, terriblement persuadée qu’il fallait tuer tous les esclavagistes, et que les hommes étaient des animaux sans intérêt, à supprimer. Elle était une femme pleine de vie, autoritaire et sûre d’elle, et devait ici se soumettre. Oui, elle devait assurément être furieuse. Qu’on lui donne une arme, et elle éclaterait sûrement la tête de Mélinda sans le moindre remords. Mélinda continuait donc à les laisser faire, jusqu’à ce que ces dernières en eussent assez. La vampire, pour être honnête, aurait bien continué ainsi pendant des heures.
« Très bien, mes chéries. Si vous en avez assez des pieds de votre Maîtresse… »
Elle se redressa, posant ses pieds sur le sol, et tendit ses mains, caressant vigoureusement les cheveux des deux Celkhanes pendant de longues minutes, glissant ses mains sur leurs têtes pour les amener à se mettre accroupies, avant de continuer à caresser et à gratter leurs visages. Elle glissa ensuite un majeur dans chacune des bouches des Celkhanes.
« Tenez, mes beautés, sucez donc… Vous pouvez mordiller, si vous le voulez… »
Mélinda remua ses doigts, tout en regardant ses esclaves. Les hommes se dandinaient sur place, leurs virilités jaillissant, formant des bosses sur leurs caleçons rouges en cuir. Les pauvres avaient follement envie de pénétrer les deux Celkhanes, un désir terrible et puissant. La vampire pouvait sentir le sang qui influait dans leurs membres, leurs regards vicieux, et elle retira ses mains.
« Regardez, mes chéries, regardez… Regardez donc dans quel état vous mettez mes pauvres esclaves… »
Mélinda se rapprocha d’un des hommes, et se mit à caresser son membre, frottant sa culotte, caressant avec ses griffes sa virilité, l’empoignant. Son membre était bien tendu, et elle entendit l’esclave cagoulé gémir et soupirer. Mélinda alla l’embrasser tendrement, continuant à jouer avec son sexe.
« Même une Futanari, c’est différent… Vous avez tort de rejeter à ce point le contact masculin, mes petites esclaves… C’est pourtant agréable comme jouet, un homme… Hein ? Oh oui, mon mignon, je le sens bien, que tu aimes ça… Là, là, oui, oui, profite, pro… Ah bah, je crois que tu as bien profité ! »
Dans un soupir, l’esclave avait joui, et une tâche se formait très légèrement sur sa culotte. Souriant, Mélinda se désintéressa de lui, retournant vers les deux Celkhanes, et les força à se mettre l’une en face de l’autre, caressant leurs cheveux.
« Bien, mes chéries… Maintenant, vous allez vous embrasser, car vous n’êtes plus une lieutenante et son subordonnée, mais deux petites esclaves qui ont besoin de mutuellement se connaître avant de faire un GROS câlin à leur Maîtresse adorée. Allez, allez, mes petites, embrassez-vous, ne soyez pas timides ! Je veux un beau baiser ! »