The Multiversity

Après l'avoir rencontrée, j'avais toujours cru que Peach était amoureuse de Mario, sans penser une seule seconde qu'elle serait déjà amoureuse de moi. En tout cas, je l'aime, et c'est certain pour moi. Je pensais souvent à Peach, sauf pendant les ébats avec Luigi. Celui-ci était mon numéro 2, et donc si je n'avais pas rencontré Peach, je serais amoureuse de Luigi, au lieu de Mario. Là, j'aime Peach de tout mon cœur, et quand je termine les ébats avec Luigi, je m'étais mise à m'imaginer avec Peach au lieu de Luigi, bien que je pensais que c'était impossible, pensant qu'elle était amoureuse de Mario.

Je pensais alors que c'était depuis son exil que Peach... enfin Bowsette est tombée amoureuse de moi. Là, je sais qu'elle m'aime, et qu'elle est prête à tout pour que je reste près d'elle. Mais je ne sais pas que Peach était amoureuse de moi quand elle était encore Peach. En tout cas, je profite du moment que Bowsette m'offre, et que Peach n'a pas pu m'offrir, car elle était beaucoup plus réservée à ce sujet. Bowsette est beaucoup plus affirmée, perverse et même assoiffée de sexe, ce qui me plait beaucoup plus que quand elle était encore Peach. Je l'aime encore plus que quand elle était Peach.

Je profite du baiser avec Bowsette, longuement, et le baiser devant langoureux, nos langues jouant ensemble, alors que je commence à sentir mes seins se faire pincer, me faisant soupirer de plaisir pendant que la queue de Bowsette commence à s'enrouler autour de ma jambe, le remontant, alors que je me laisse faire. Cette queue qui a des piques, mais aux pointes arrondies, et donc tout ce qui peut se planter dans ma peau, et encore, c'est les écailles de la queue de Bowsette. Je finis par sentir la queue sur ma fente, me faisant soupirer doucement, pendant que Bowsette rompt le baiser. Je me mets à la regarder dans les yeux, en l'écoutant.

Je la laisse me donner un avant-goût. Je sens la queue remonter en moi, me faisant gémir, surtout lorsque cette queue se frotte contre mes parois intimes, fermant les yeux pour profiter, pendant qu'elle pince mes seins. Cet avant-goût me donne envie de continuer avec elle. C'est différent de la pénétration avec un membre, mais ça ne reste pas moins agréable. Mes gémissements se font plus intenses au fur et à mesure des attentions que Bowsette me fait, en plus du fait que je commence à mouiller.

Des mots qui sont délicieusement crus, montrant la perversité de Bowsette, qui a remplacé la prudence de Peach. Je pense que mon excitation est si grande que je peux mettre de côté toute la bienséance que j'ai en tant que princesse. Mon corps se colle encore plus au corps de la reine que j'aime plus que tout au monde. Pour preuve, j'ai abandonné Sarasaland juste pour elle. Bowsette veut m'épouser, et depuis ma rencontre avec Peach, j'ai toujours voulu qu'elle soit ma femme. Alors, je ne voudrais pas refuser sa proposition, même en ayant le choix.

"Depuis que je t'ai rencontrée, j'ai toujours voulu être ta femme ! Alors c'est avec joie que j'accepte !"

Même sans qu'elle me l'ordonne, je ne peux plus tenir. Je finis par jouir sur la queue de Bowsette, penchant ma tête vers l'arrière tout en serrant mes mains sur ses hanches. Je finis de jouir sur elle, et je l'embrasse à nouveau. Ce baiser est ardent, passionné et amoureux, en plus d'être long. On sent que j'ai toujours envie de baiser avec elle. J'ai hâte qu'elle m'encule. Je veux sentir sa verge dans mon cul. Je vais attendre d'être dans notre lit pour ça, mais j'ai vraiment hâte.

Daisy semblait peu à peu réaliser à quel point tout cela était sérieux. Peut-être que Bowsette se sentait à elle-même, qu’elle réécrivait le passé à l’aune de ses émotions d’aujourd’hui, mais… Qui, en sincérité, s’en serait plaint en ce moment ? Le fait est que, là, actuellement, elle était sûre de ce qu’elle voulait, sûre de vouloir faire de Daisy sa Princesse, de l’épouser, et qu’elle l’aide à gouverner et à faire prospérer le royaume. Daisy avait toutes les qualités requises pour cela, et, tandis qu’elle avoua vouloir l’épouser, Bowsette se pinça les lèvres. Sa queue caudale se pressa davantage, et vint frotter contre la fente intime de Daisy. Lentement, elle titillait son bourgeon, et, avec la pointe très sensible de sa queue, Bowsette sentit la délicate mouille de Daisy. Elle continua à la frotter, une main caressant sa nuque et ses cheveux. Son autre main était essentiellement occupée à malaxer ses fesses, à presser son postérieur. Elle jouait avec son délicieux cul, tout en sentant sa propre intimité la démanger. À ce moment, Bowsette n’avait envie que d’une chose, c’était de la baiser, de la prendre sèchement, de la faire hurler, de fesser son cul en la défonçant…

…Ce qui amena Daisy à jouir rapidement. Car, ce désir, Bowsette le sentait aussi dans le regard de Daisy. Oui, elle n’était pas une petite Princesse en porcelaine, elle voulait se faire puissamment prendre, elle voulait que Bowsette la baise avec force et vigueur, que la Reine koopa la traite comme telle ! Bowsette sourit alors, et se pinça ensuite les lèvres, puis embrassa fougueusement Daisy. Un long baiser sensuel et appuyé, où sa langue s’enfonça dans la bouche de la jeune femme, jouant avec la sienne. Elle se pressa sensuellement à elle, et l’embrassa pendant une bonne minute ainsi, si ce n’est plus.

« Hmmm… ! »

Derrière ce baiser plein d’énergie, on sentait toute la soif de Bowsette. Elle rompit ensuite le contact, et lui sourit lentement.

« Bon, on va dire que tu es propre, maintenant ! Mais, avant de te baiser, rappelle-toi, je veux te voir dans ta belle robe ! »

Les deux filles sortirent donc du bain. Bowsette disposait de plusieurs serviettes, et elle se nettoya donc, tout en laissant Daisy se nettoyer. Étant encore la Reine d'un royaume naissant, Bowsette n’avait pas de servantes pour habiller Daisy, et, tout en s’habillant elle aussi, elle aida Daisy à enfiler sa magnifique robe orange, avec une paire de gants, un petit collier orange, et se chargea de la coiffer. Il y avait là de quoi replonger un peu en enfance, car, quand Peach venait de Sarasaland, Peach jouait avec elle, caressant ses chjeveux, s’amusant à la coiffer.

Dos face à elle, Bowsette termina donc par la coiffer et la parfumer, puis pressa son corps dans son dos, avant d’embrasser le creux de son cou.

« Je vais te baiser dans ta robe, Daisy… Pour commencer ! »

Sous la robe, Daisy portait un élégant corset orange, ainsi que des jarretelles. Autant dire qu’elle n’allait pas finir nue si vite ! Bowsette, de son côté, avait opté pour sa tunique noire avec une robe noire fendue sur le devant, s’ouvrant facilement pour révéler ses longues jambes, recouvertes par de longs collants noirs. Une fois qu’elles étaient prêtes, Bowsette embrassa à nouveau Daisy, plus fougueusement, et l’attrapa par la main. Enfin, la Reine avait aussi de longs gants noirs en cuir, et le cuir caressa le doux coton de Daisy.

Bowsette lui sourit encore, et elles sortirent de la salle de bains, rejoignant rapidement sa chambre. Celle-ci n’était pas très éloignée, puisqu’elles étaient dans les quartiers de Bowsette. Elles traversèrent la pièce centrale, son salon, et poursuivirent leur progression. Le fort de Bowsette étant à l’origine un fort nain, l’architecture était assez tortueuse, mais elles rejoignirent une belle suite nuptiale, avec un grand lit rouge. Un balcon donnait sur l’extérieur, mais, en l’état, une seule vue intéressait Bowsette.

Quand elles rejoignirent la chambre, Bowsette se retourna contre Daisy, et, dès que celle-ci eût refermé la porte, elle se rua sur elle, venant la plaquer contre la porte en bois, et l’embrassa longuement, ardemment. Outre sa langue partant à l’assaut de la cavité buccale de Daisy, elle mordillait sa lèvre inférieure, tirait dessus… Et, pendant toute la durée de son baiser, son corps se serrait contre celui de Daisy, qui pourrait alors sentir... Une agréable pointe se former contre elle, une masse qui remontait entre les jambes de Bowsette, formant, sous sa robe, une bien belle bosse.

C’était sa verge !

Je n'ai jamais été une Princesse en porcelaine, et je n'avais que prétendu et uniquement la première fois que je suis allée au Royaume Champignon. Sinon, je me montrais comme étant une fille qui ne se laisse absolument pas faire, et ça ne cache rien. Je ne cache pas une faiblesse au fond, et c'est d'ailleurs pour ça que c'était la seule fois que je m'étais faite capturer, car pour le reste, j'ai pu rester digne et j'ai pu m'échapper des mauvaises situations. Alors si on me prend puissamment, ça me plait. Après que j'aie joui, ma Reine m'embrasse fougueusement, et je la serre donc dans mes bras en appuyant ma tête à mon tour sur le sien, me laissant toujours emporter par le baiser qu'elle m'offre, laissant sa langue entrer dans ma bouche et la caressant avec la mienne. Je sens bien qu'elle a une énorme envie de profiter de mon corps, et moi aussi.

Ma Reine finit par rompre le baiser en disant que je suis propre. Bon, plus ou moins, mais par rapport à avant de retrouver Bowsette, oui, largement. Plus de terre ne de sable sur moi ou ma robe, plus aucune trace de sang... oui, en comparaison, je suis propre. Donc du coup, Peach souhaite me voir sous ma robe fétiche, celle qui me caractérise. Après tout, je ne dirai jamais non à ce que je porte ma robe qu'elle a faite pour moi bien avant que je n'arrive.

Je la laisse donc me sécher avec ses serviettes. Dommage que le royaume soit naissant, on aurait pu avoir des servants qui s'en occupent tout comme les Toads dans le Royaume Champignon et Sarasaland. Mais bon, on aura des servants et des servantes quand notre Royaume grandira et prendra de l'ampleur. Mais ce n'est pas grave, tant que notre royaume grandira. Je laisse Bowsette m'habiller de ma robe fétiche, de mes gants de velours et de mon collier en forme de marguerite, et me coiffer. Ses doigts de fée, alors qu'elle a une belle carrure de Reine... jamais je ne me lasserai de ce contact dans mes cheveux ou ma peau.

Une fois qu'elle m'ait préparé et mise au parfum, je sens ses seins se coller à mon dos, puis tout son corps se presser. Mes mains gantés se posent dans sur les hanches et je profite en levant ma tête et en soupirant, ses lèvres embrassant le creux de mon cou, me faisant encore soupirer. Elle va me baiser dans ma robe pour commencer. Elle veut qu'on couche ensemble habillées d'abord, donc. Comme elle veut, je n'ai rien contre. De toute façon, si ma robe se salit, elle sera lavée, je ne m'inquiète surtout pas. Bowsette me fait pencher ma tête pour m'embrasser plus fougueusement, et là je prolonge le baiser avec encore plus de passion pour elle. Je la laisse m'attraper par la main et on sort de la salle de bains, rejoignant rapidement une chambre, sûrement celle de la Reine.

Une fois qu'on ait rejoint la chambre et que j'aie fermé la porte, je vois Peach se jeter contre moi et me plaquer contre la porte pour m'embrasser longuement et ardemment, et je donne plus d'énergie au baiser qui devient langoureux. Nos langues jouent ensemble, tournoyant rapidement dans ma bouche, et ses dents mordillent ma lèvre inférieure. Je gémis de plaisir suite à tout ça pendant que son corps se serre contre moi, alors qu'une des mains caresse son cou et l'autre se pose sur sa hanche. C'est d'ailleurs là que je commence à sentir une bosse contre moi, sur le ventre, qui remontre d'entre les jambes de ma future femme. Ce doit être sa verge, celle que je réclame.

Alors, je m'embrasse de manière encore plus ardente alors que ma main qui s'est mise sur la hanche se glisse sous la fente de la robe pour commencer à sentir son pénis sur mon gant. Ce n'est pas une blague. Sa verge est particulière, remplis de picots assez arrondis pour ne pas faire saigner l'orifice de manière inquiétante. Je ne peux pas m'empêcher de le prendre en main pendant le baiser et de caresser cette verge de la paume et les picots du bout de mes doigts. Elle est grosse, plus grosse que celle de Luigi, c'est sûr.

C’est suite à sa transformation en Bowsette que la jeune fmeme avait réalisé qu’elle pouvait… Se membrer. Elle s’était souvent demandée si cette mutation était liée au fait que les différences sexuelles entre Koopas étaient très superficielles. Un mélange réussi, mais qui avait toujours fait paniquer un peu Bowser. Bowsette avait pris l’habitude de sortir ce membre veineux. Il avait la particularité d’avoir des picots le long de sa verge. Ces pointes n’étaient pas douloureuses en soi, mais elles facilitaient la pénétration, tout en rendant aussi sa verge un peu plus grosse. Mais ça, Daisy allait avoir rapidement l’occasion de le constater.

Dans la chambre, les deux femmes allaient passer aux choses sérieuses ! Bien décidée, Bowsette l’embrassa avec appétit, et sentit sa verge pointer, perlant doucement sous sa robe noire. La main gantée de Daisy, après avoir caressé le visage de Bowsette, glissa entre ses jambes, et Bowsette ressentit le frémissement de sa partenaire au contact de cette hampe de chair. Son vit assoiffé se faisait désirer là-dessous, et Bowsette sourit doucement, croisant le regard de Daisy.

« Je te l’avais promise, non ? »

Et Bowsette, somme toute, tenait toujours sa parole ! Elle dégrafa sa robe, qui tomba sur le sol, révélant ses magnifiques cuisses, mais aussi son membre, qui se dressait joyeusement. Un membre veineux et assoiffé, désireux d’aller se plonger dans le corps de Daisy. Après tout, pour la Reine koopa aussi, toute cette attente, toute cette stimulation, avait été longue ! Là, dans la baignoire, elle avait dû se retenir, faire appel à toute sa concentration, pour ne pas prendre vigoureusement Daisy sur place. Mais, là, Bowsette avait bien du mal à se retenir. Toute cette frustration menaçait d’éclater, et se matérialisait autour de ce membre en érection, cette queue puissante qui n’attendait plus qu’un signal pour se plonger dans le corps de sa partenaire.

Du regard, Bowsette invita Daisy à s’agenouiller, tout en s’écartant un petit peu. Ce faisant, elle laissa Daisy respirer, et frémit en sentant son souffle sur son membre.

« Hum… Avec la magie rose, je peux faire partir les picots, haaa… Mais je me disais… Que tu voulais voir ma verge koopa, Dai-Daisy… »

Son ton devenait un peu plus haché, un peu moins assuré. Elle tremblait nerveusement, sous l’effet du désir. L’excitation sexuelle, une force terrible qui se répandait en elle ! En tout cas, Daisy n’avait sans doute jamais vu une queue aussi grosse. La verge de Bowsette se déployait joyeusement, mandrin de chair assoiffé de sexe. Elle sourit doucement, et sa main glissa sur les cheveux de Daisy, les caressant doucement. C’était ses beaux cheveux soyeux, celle qu’elle adorait coiffer quand elle était Peach… Et, même si Bowsette ne conservait plus grand-chose de Peach, elle avait visiblement gardé ses attirances pour la belle et forte Daisy.

*Oui, toi seule méritais d’être mon épouse* songea-t-elle silencieusement.

Bowsette se pinça brièvement les lèvres, avant de donner ses instructions :

« Vas-y, approprie-toi ma queue, Daisy… Lèche-là, embrasse-là, frotte-toi dessus, renifle-là, hmmm… Constate qu’elle n’attend plus que toi, mon amour… »

Elle m'avait promise qu'elle allait me pénétrer avec un membre qu'elle a obtenu et qu'on ne pourrait jamais penser avoir si elle était encore Peach. J'avais dit ça pendant qu'elle était Peach, elle aurait fortement rougi et crié. Je ne pourrais dire ça que pour aimer sa réaction qui est de rougir de gêne. C'était déjà trop demandé pour Peach de penser à coucher avec Mario, alors j'imagine même pas quand on parle d'utiliser des gode-ceinture. Maintenant qu'elle est Bowsette, elle ne rougit même pas quand on parle de harem, car c'est ce qu'elle veut faire elle-même. Ca peut sembler surprenant si je cherchais Peach et que je trouvais Bowsette, mais là, je savais que Peach est devenue Bowsette et qu'elle devait être complètement différente de Peach.

Afin de mieux explorer la verge de la Reine, j'ai glissé les mains dessus, voulant explorer les textures, à quoi peuvent ressembles les piques, et à quel point elle est grosse. Je regarde toujours ma Reine avec le sourire passionné et envieux. Oui, elle me l'a bien promis, et elle l'a bien tenu. Elle ne dirait pas ça juste pour m'exciter encore plus. Elle sait qu'elle n'a pas besoin de ça pour le faire. Rien que la revoir de nouveau et comprendre à quel point elle a changé m'excitent. Alors si elle le dit, c'est parce que c'est vrai.

"Oh oui ! Et même sans les piques, elle est plus grosse que celle de Luigi !"

Je laisse Bowsette faire tomber sa robe, me laissant regarder à nouveau son corps nu, tellement magnifique, je pense qu'à chaque fois que je la verrai nue, c'est presque inévitable qu'on finirait par coucher ensemble. Ma main continue de caresser la verge qu'elle m'offre, et la Reine m'invite à m'agenouiller, tout en s'écartant, me laissant admirer cette verge veineuse et piquante. Je prends doucement ce membre en main tout en continuant de le caresser, avec un sourire lubrique, mon visage assez proche de ce membre pour qu'il sente mon souffle.

Ma Reine a l'air moins assurée quand elle dit qu'elle peut retirer ses picots sur la verge avec la magie rose, que je ne sais pas ce que c'est, mais elle se disait que je veux voir sa verge Koopa. Personnellement, les deux verges me vont parfaitement. Je fais un petit bisou sur le gland tout en continuant de la caresser avant de regarder Bowsette avec un sourire lubrique et plus assuré. C'est la première fois que je suis plus assurée que Bowsette, mais ça ne m'étonne pas tant que ça car je connaissais Peach bien moins assurée que ça.

"J'aime les deux, Bowsette. Tu n'as plus besoin de te poser la question."

Je me mets à sentir sa main dans mes cheveux, pendant que je baisse à nouveau les yeux pour continuer à regarder sa verge piquante, qui se dresse pour mon plaisir, tout prêt d'entrer dans un orifice avec impatience. Elle me donne des instructions qu'il ne faudra pas dire deux fois tant j'aurais l'intention de le faire. Pour l'heure, cette queue est à moi, et rien qu'à moi. Elle le partagera après.

"Tu n'auras pas besoin de le dire deux fois, mon amour."

Je ferme les yeux et je commence à le lécher délicatement, tout en continuant de caresser le membre. Ma langue explore à son tour toute la verge, constatant à quel point les picots ne font que faciliter la pénétration sans la moindre douleur. Mon envie fait que je lèche plus rapidement, savourant son goût, et profitant pour se frotter près des lèvres avant que je ne l'embrasse. Ma main accélère les vas et viens et commence vraiment à la masturber pendant que je lui fais tout ça. Je finis par mettre rapidement la verge dans ma bouche, tout en continuant  de la branler, commençant à bouger ma tête vigoureusement, avec ma respiration qui se renforce. Sa bite ressent encore plus mon souffle pendant cette fellation.

Oui, encore une fois, je mets de côté la bienséance tant mon désir s'accumule. Ma langue se met à nouveau à lécher le gland pendant la fellation, mais tout aussi vigoureusement. Bowsette peut se rendre compte à quel point je sais faire avec les fellations. J'en fais à chaque fois que je baisais Luigi, et pas qu'une seule fois dans l'acte. C'est la première fois que je couche avec une femme, avec celle que j'ai toujours aimé, qui plus est, mais le fait qu'elle m'ait offert un phallus rend cette première fois plus plaisante. Mes vas et viens se font de plus en plus vigoureux, autant pour ma tête que pour ma main, en l'attente de son foutre qui a l'air aussi chaud que ses flammes qu'elle est capable de cracher depuis qu'elle est Bowsette. J'ai vraiment hâte qu'elle me remplisse pour la première fois.

Bowsette soupira lentement. Sa verge koopa était douloureuse, puissante, un sacré bracquemart. Elle avait progressivement réalisé que sa mutation en Bowsette lui avait permis d’avoir ça. Elle ignorait comment cela était possible, mais soupçonnait que les gènes koopa implantées en elle avaient eu des effets indésirables. Portant encore son bustier, elle soupirait doucement, crispant ses doigts sur les cheveux de Daisy, qui se retrouva devant ce vit épais et assoiffé. Ce membre tendu et épais se reçut la langue de Daisy, qui glissa dessus. Bowsette soupira devant ce contact légèrement intense, électrifié. Elle se pinça les lèvres, et ferma les yeux quand une langue glissa sur un picot. Ils étaient doux, légers, et clairement pas destinés à faire souffrir.

« Oh, Daisy, hmmm… Je vais tellement te baiser, ma chérie… »

Cette fois-ci, Bowsette avait cessé de tourner autour du pot, et elle parlait crument… Très crument, même. Elle grognait encore, et, quand Daisy commença à ouvrir la bouche, Bowsette s’enfonça en elle. Elle agissait toutefois peu, laissant le soin à Daisy d’agir comme elle le voulait. La femme koopa soupira encore, et remua d’avant en arrière, puis soupira… Et, au fur et à mesure que l’excitation croissait en elle, les picots… Les picots se mirent à vibrer. Ils remuèrent doucement, et elle soupira à nouveau, un peu surprise. En même temps, Bowsette devait bien admettre qu’elle ne savait pas trop comment cette verge spéciale fonctionnait, car elle avait rarement été aussi excitée qu’en ce moment !

Elle devait cette excitation à la beauté de Daisy, mais aussi aux restes de Peach en elle… Cette Peach qui avait été très impressionnée par Daisy, cette Peach qui était très impressionnée par la mentalité très entreprenante de Daisy. Bowsette grogna encore, gémissant une nouvelle fois, sa queue continuant à doucement et à chaudement vibrer dans la bouche de sa partenaire.

« Haann… Ouuuii… »

Sa queue caudale remua sur place, et fouetta le sol. Les vibrations étaient loin d’être douloureuses, elles faisaient au contraire ronronner sa verge. Daisy allait se régaler, mais Bowsette, après plusieurs minutes, continua à s’enfoncer. Elle opta pour une belle gorge profonde, et sa queue vibra encore dans la gorge de Daisy, qui gémit et déglutit.

« Hmmm… »

Bowsette se recula ensuite, laissant Daisy respirer à nouveau, et retourna en avant, grognant tendrement. Ses seins se tendaient et ses tétons se durcissaient. Elle grogna encore, gémit, souhaitant faire durer le plaisir…

…Avant de jouir énergiquement dans sa bouche !

Bowsette sait forcément mieux ses mutations en koopa que moi, puisque je suis toujours aussi humaine. En étant près de Bowsette, je fais de découverte en découverte, et si ça a influé sur les sentiments que je ressens pour la Reine, ce n'est qu'en bien. Je l'aime encore plus que quand elle était Peach. Si j'avais le choix entre la Princesse Peach et la Reine Bowsette, j'aurais sans hésité choisi la Reine Bowsette. Je n'ai jamais vu un tel pénis, et ce n'est pas pour me déplaire. Je profite donc de ce membre pas si piquant, le goûtant, le masturbant et l'embrassant. J'aime mieux cette verge que celle de Luigi, c'est certain.

"Je profite de ta bite avec plaisir, ma Reine."

Quitte entendre la Reine être crue, autant l'être jusqu'au bout. Toute ma politesse dont je vais faire preuve devant un noble, je le mets de côté pour mieux profiter de l'acte. La politesse, je me forçais à le faire car je suis une Princesse, mais sinon, si je peux être dans la vulgarité, je n'hésite surtout pas à en profiter. Je n'ai jamais aimé mesurer mes mots, et Luigi s'en est rendu compte : quand on n'est que tous les deux, ou avec Mario, je parle sans le moindre filtre, mais quand quelqu'un d'autre arrive, surtout Peach, je commence à mesurer mes mots. Là, Bowsette est crue, alors je me permets de l'être.

Il n'a pas fallu longtemps pour Bowsette pour mettre directement sa bite dans ma bouche une fois que j'ouvre la bouche assez grand pour qu'elle puisse y entrer, alors je commence à le sucer vigoureusement, en gémissant de plaisir pendant que me tête se secoue pour que la bite se mette à s'y coulisser, alors que ma main continue de la branler. Bowsette m'aide dans la fellation en se remuant d'avant en arrière, et je prends soin de fermer les yeux pour mieux en profiter, surtout avec les picots qui font quelque chose que je n'ai jamais eu, et c'est normal, et qui me donne encore plus envie de sucer : les vibrations dans ma bouche. Mon autre main en profite pour le mettre sur son cul, le massant au passage.

"Hmmmmm !"

Bowsette finit par m'enfoncer encore plus, me faisant lâcher la bite, et donc je pose cette main lâchée sur le cul, continuant toujours de secouer ma tête alors que la bite vibre non seulement la bouche, mais aussi la gorge. Je continue de gémir, mais en déglutissant également, la gorge étant prise d'assaut par la bite piquante de Bowsette. Elle se retire un peu pour que je puisse respirer, mais ça ne me fait pas arrêter de la sucer vigoureusement. Bowsette reprend l'assaut dans ma gorge, me donnant plus de plaisir.

Au bout de plusieurs longues minutes de plaisir, je finis par sentir dans ma gorge le fameux foutre chaud, arrêtant de bouger ma tête, mais continuant mes sucions tout en avalant ce foutre. Je la laisse continuer de jouir dans ma gorge, avant de ne plus sentir le foutre en sortir. Je me retire doucement donc, tout en ratant le moins possible de ce nectar. Je rouvre les yeux pour regarder ma femme, et je me relève pour l'embrasser fougueusement, avec une passion que je ne fais que montrer. Une de mes mains se remet sur la bite de Bowsette pour la branler à nouveau pendant que j'intensifie de plus en plus le baiser.

Je finis par baisser ma tête pour sortir un de ses seins de sa tunique noire, le mettant directement dans la bouche tout en regardant la Reine, et tout en la branlant, accélérant cette masturbation. L'autre main se met sous le sein pour le relever pour que je puisse mieux le sucer, et je me mets à baver dessus. Je finis par retirer le sein de ma bouche, mais pas pour l'embrasser, mais pour parler de manière crue.

"Baise-moi dans ma robe, ma Reine !"

Je lui donne cette ordre, mais elle n'a pas besoin de bouger d'elle-même, car je relève directement ma jambe pour que le genou se pose sur sa hanche, ce qui fait que la robe est bien ouverte, je mets directement la bite sous ma robe, et plus précisément dans ma chatte, et je bouge énergiquement mon bassin pour que la bite bouge mieux dans ma chatte. Je me remets à sucer le sein que j'ai sorti, le léchant vigoureusement en gémissant fortement, alors que mon autre main se remet à masser son cul. Après un petit moment, je relève la tête pour lui embrasser ardemment le cou, puis je l'embrasse avec une grande passion, tout en l'embrassant passionnément. Les vibrations dans ma chatte accentuent fortement le plaisir que je ressens en baisant ma Reine.

"Oh mon dieu ! Je savais que j'aurais plus de plaisir à te baiser plutôt qu'à baiser Luigi, mais pas à ce point !"

Bowsette frémissait sur place. Elle était très excitée, ce qui l’amena rapidement à jouir. C’ne était presque dommage, car elle avait envie de se montrer à la hauteur de sa Daisy, de lui faire l’amour avec une énergie longue et fulgurante, de la faire hurler comme une folle en suppliant de sentir sa jouissance. Mais Daisy était si belle, et Bowsette sentait un tel frisson la parcourir. L’entendre parler crument déchaînait ses passions. Car, si Peach était devenue Bowsette, Bowsette avait conservé des traces de la personnalité de Peach, et notamment ce profond respect pour Daisy, ce respect qui avait mué en un amour fort et vibrant. Peut-être l’avait-elle toujours aimé, en effet, mais elle ne le réalisait que maintenant. Bowsette se mit donc à jouir puissamment en elle, crachant sa magnifique semence ! Son corps se tendit donc sur place, et elle se calma ensuite progressivement, crachant son jus pendant de nombreuses secondes, giclant joyeusement dans la bouche de sa partenaire.

« Hmmmmmmm… !! »

Oh, comme c’était bon ! Elle reprit lentement ses esprits, tandis que Daisy se retira. Elle resta silencieuse pendant quelques instants. La queue de Bowsette avait légèrement dégrossi, mais le désir était encore là. Elle se crispait sur place. Sa nature de Koopa hermaphrodite la rendait vraiment insatiable, très endurante, et elle entendit avec plaisir Daisy déglutir, avalant lentement son sperme. Une gorgée après l’autre, puis elle se redressa, et son regard croisa celui de Bowsette.

Sans rien dire, les deux femmes retournèrent s’embrasser. Bowsette fourra sa langue dans sa bouche, et nettoya ses dents, puis sa langue. Elle gémit, et posa une main sur ses cheveux, crispant ses doigts sur sa chevelure, l’autre caressant ses hanches, filant sous sa robe. Elle serra ses doigts sur sa culotte à dentelles, et tira dessus. La culotte glissa ainsi le long des jambes de Daisy, tandis que Bowsette poursuivit le baiser, et récupéra la culotte avec sa queue caudale, puis enroula sa queue autour de sa jambe, et serra joyeusement dessus.

Le baiser rompu, Daisy écarta son corset, et s’attaqua à son sein à l’aide de l’une de ses mains, l’autre allant titiller sa verge, la masturbant doucement.

« Dai-Daisy, hmmm… »

Bowsette la laissa faire, et la pointe de sa queue remonta encore. La pointe titilla le bourgeon de Daisy, et elle caressa son sexe, tandis que sa propre queue se durcit rapidement, et se mit à enfler. Soupirant à nouveau, Bowsette cligna des yeux, jusqu’à ce que Daisy ne s’écarte. Ses doigts gantés étaient un régal, ses dents mordillant son téton l’étaient tout autant. Excitée, sa Princesse s’assit sur une table, et écarta ses jambes, relevant sa robe, et maintint Bowsette contre elle en enserrant sa taille contre ses jambes.

Cette fois, on pouvait lire le désir dans les yeux de la femme.

« Oh, Daisy… Je vais tellement te défoncer, ma chérie… »

Adieu, la subtilité ! Sa verge s’enfonça d’un coup sec en elle, et Daisy hurla sur place, ses muscles se crispant sur place. Bowsette poussa en avant, la laissant s’écrouler sur la table, puis se releva ensuite, tout en sentant les jambes sur ses hanches. Bowsette frissonna sur place, et enfonça donc sa verge, sentant son membre coulisser profondément, jusqu’à ce que la pointe heurte son col de l’utérus. La Reine koopa gémit alors fortement, et commença à remuer, remuant toujours sa queue caudale, et commença à la prendre. Elle se redressa pour prendre de la hauteur, et posa ses mains sur les hanches de sa partenaire, filant sous sa robe pour caresser sa chair, et accéléra à nouveau.

« Hmmm, tu es si chaude là-dedans, si… Si humide ! Han, ma chérie !! »

Elle allait vraiment prendre son pied à la baiser ainsi !

Bowsette profite bien du baiser pour nettoyer mes dents et ma langue avec sa langue fourchue de Koopa. J'en profite même pour jouer avec, en rendant ce baiser encore plus ardent et empli de passion, serrant même sa tête contre la mienne pour mieux appuyer ce baiser. Elle a énormément changé, mais pour le mieux pour moi. Je sens ses doigts tirer sur ma culotte en dentelles pour me mettre cul nu sous ma robe, ce qui ne me déplait pas. Je sens ensuite sa queue caudale se serrer autour de ma jambe, et je laisse encore une fois faire, avant que je ne commence à m'occuper d'un sein et de la bite de la Reine.

Sa queue caudale commence à caresser ma chatte, me faisant gémir dans le baiser, et je finis par m'écarter pour me poser sur une table en relevant sa robe, mettant mes jambes sur ses hanches. J'ai vraiment envie qu'elle me baise la chatte, et de manière fort, comme elle est devenue depuis qu'elle est devenue Bowsette. Cette fois, elle va vraiment me montrer sa force quand elle me baise. Sa bite va bien goûter à d'autres lèvres que celles de ma bouche.

"Oh oui ! Vas-y, défonce-moi ! AAAAAAAH !!!"

Quand elle baise, elle n'a pas du tout l'air de le faire à moitié. Elle le fait vraiment d'un coup sec. Tellement fort que j'ai hurlé d'un plaisir intense, mais aussi de douleur pour être honnête. Mais c'est de la douleur sexuelle, agréable. Je la sens s'allonger sur moi, me faisant écrouler sur la table, et j'en profite pour l'embrasser sauvagement, avant de la voir se relever, pendant que je pose mes mains sur ses hanches, et qu'elle s'éloigne un peu pour prendre de l'élan avant de s'enfoncer en moi, me faisant encore hurler de plaisir. Je commence à mouiller, et elle commence à le sentir. C'est là qu'elle commence vraiment à me baiser la chatte de manière forte, et ma respiration est devenue différente : j'inspire fortement pour crier à chaque expiration. Mais ça n'empêche pas que j'aime vraiment sa façon de me baiser. Luigi n'aurait jamais osé faire ça, non pas parce qu'il pense que je suis une princesse délicate, bien au contraire, mais juste parce qu'il n'ose tout simplement pas. Quand il en a envie, je le ressens, mais il a très facilement peur. Bowsette, elle, a vite remarqué que même quand on baise il ne faut pas hésiter à y aller fort.

Si elle savait à quel point j'aime comment elle me baise comme ça. Je n'aurais jamais cru qu'elle me donnerait autant de plaisir. Autant je savais d'office que c'est mieux qu'avec Luigi, autant ça dépassait largement mes attentes. Je prends vraiment mon pied en me baisant baiser par Bowsette, non seulement par cette force du coït, mais aussi par les vibrations de ces piquants. Je crispe de plus en plus mes mains sur ses hanches pendant que je continue mes cris de plaisir.

"Oh oui, ma Reine ! Je suis encore plus humide pour toi ! Haaan !!!"

Je mouille de plus en plus, à mesure qu'elle continue de me prendre. Je peux pas me passer de ce plaisir qu'elle m'offre en me baisant la chatte avec cette bite avec des picots vibrants. Ces vibrations qui ne font que monter le plaisir encore plus vite. Je pensais que j'allais autant aimer avec ou sans picots, mais je pense que je préfère avec les picots. Bien sûr, je pense sincèrement que je vais aimer sans, car ça appartient toujours à ma Reine, mais si on baise toutes les deux, ce sera avec ses picots, dans tous les orifices.

Bowsette était une femme puissante, très énergique, ce qu’elle démontra très rapidement à Daisy. Elle l’avait prise contre la table, et se déplaça ensuite. Les deux femmes faisaient l’amour debout, et Bowsette la plaqua contre le mur. Le corps de Daisy heurta le mur, et elle gémit fortement ne sentant le membre de Bowsette s’enfoncer en elle. Un long frisson de plaisir traversa les lèvres de la Reine koopa en sentant sa queue s’enfoncer profondément en elle, remuant dans sa chatte trempée. Le contact était absolument exquis ! Oh, Bowsette sentait bien qu’elle allait adorer coucher avec Daisy. Plus que jamais, elle sut qu’elle allait se marier avec elle, que les deux femmes ne formeraient qu’un seul couple, énergique et passionné. Son vit gonflé continuait à remuer profondément dans le con ruisselant de Daisy, qui hurla encore, serrant les épaules et la nuque de sa Reine.

La Reine koopa se pencha vers elle, et l’embrassa dans le creux du cou, mordillant sa peau, pour le seul plaisir de l’entendre davantage hurler. Ses cris déclenchaient sur elle de légers frissons, formant des à-coups sur sa verge. Son membre se redressait alors, se comprimant dsans la chatte de Daisy. Ses parois intimes devaient se décoller lentement, heurtant les picots sur la queue de Bowsette. Ceux-ci permettaient de faire vibrer son gourdin de chair, amenant Daisy à gémir encore, semblant même perdre pendant quelques instants tout raisonnement logique. Le désir la submergea, et Bowsette observa ce spectacle avec appétit.

« Han, ma chérie, tu es si belle, hmm… Si belle, si perverse… »

Bowsette se blottit contre elle, remuant encore sa queue, qui s’enfonça jusqu’à la garde. Daisy en aurait eu le souffle coupé. Bowsette attrapa ses cheveux, serrant sa nuque, son autre main s’appuyant sur ses jambes. Les jambes de Daisy, elles, s’étaient enroulées autour de sa taille, et Bowsette remua encore, plus lentement, mais aussi plus profondément.

« Je vais te fourrer longuement, ma Daisy… Je vais te baiser comme si tu étais ma la reine des salopes, ma chérie, tu vas voir… Hmmm… À quel point la Reine koopa est endurante ! »

Il fallait bien admettre qu’il était aussi très amusant de voir à quel point sa précieuse Daisy, si belle et si mignonne, pouvait se transformer en une véritable nymphomane. Bowsette l’embrassa à nouveau, énergiquement. Elle aurait pu lui retirer sa robe, mais elle voulait encore profiter un peu de ce corps véritablement princier, ce à quoi la robe de Daisy contribuait beaucoup. Bowsette, plutôt que de retirer la robe de sa partenaire, la déplaça alors, et la coucha sur le lit, et la prit en missionnaire.

Elle s’étala sur elle, et recommença à la pénétrer, s’écrasant sur son corps, au beau milieu du lit.

« Je vais te baiser partout, Daisy… Hummm… Crois-moi, haaaa… Tes séances de sexe avec Luigi te sembleront bien fades quand j’en aurai fini avec toi ! Tu vas être ma salope, hmmm… Une nympho’ qui va devenir accroc à ma queue ! »

Même Bowsette faisait preuve de mots que Peach n’aurait jamais osé prononcer ! Mais il allait falloir s’y habituer, car c’était tout simplement comme ça que Bowsette fonctionnait !

Pendant un moment,, j'étais sur ma table, me baisant avec une telle force que dès le premier coup de rein, j'ai hurlé de plaisir, et je suppose que c'est tout à fait normal dans tout ce Royaume, avec la nymphomanie de la Reine. Je n'arrête pas de crier fort à chaque coup de rein qu'elle m'offre, fermant les yeux pour bien profiter. Je me fais relever par la simple force de la femme-Koopa, me baisant debout ou presque, avec mes jambes qui la tiennent par le haut de son dos, et je la regarde passionnément, la bouche grande ouverte et les yeux s'ouvrant légèrement pour la regarder. Je finis par être plaquée contre le mur, toujours en me faisant baiser. Mes bras se mettent autour de la Reine pour la serrer contre moi, les épaules se serrant contre moi, pendant qu'elle continue de me baiser la chatte.

La Reine finit par embrasser le creux de mon cou, transformant mes cris en hurlements de plaisir. Mes bras se serrent de plus en plus sur ma Reine, alors que je lève ma tête vers les ciel, mes yeux se mettant à se révulser, de la salive sortant de ma bouche. Me baiser au point de me faire hurler de plaisir, c'était ce qui me fallait. Luigi me baisait avec peur et timidité, alors que je l'encourageais à y aller plus fort. Là, Bowsette me baisait fort alors que je n'avais pas demandé d'y aller fort. Elle le fait d'elle-même, et j'aime vraiment ça. Mes hurlements se font de plus en plus forts, et j'en perds toute la raison.

"Oh oui ma Reine !!! Aaah !!! AAAH !!!"

Je sens d'un coup mes cheveux se faire attraper, me faisant baisser la tête, la regardant dans les yeux pendant que je continue mes hurlements de plaisir. Mes lèvres sont toujours grands ouvertes pour laisser passer les grands flux d'air que j'ai besoin pour hurler et respirer. Ma tête est très proche de celle de ma Reine. Mes hurlements s'affaiblissent avec les coups de reins qui se font plus lents, mais tout aussi profonds. Oh oui ! Ses paroles sont tellement agréables à l'oreille.

"Oh ouais !! Fourre-moi !! Baise-moi !!! Jusqu'à ce que je ne... tienne plus !!!"

Elle m'embrasse énergiquement, étouffant mes hurlements, et je lui réponds tout aussi énergiquement avant de retirer mes lèvres des siennes sans que ma langue ne se décolle de la sienne, pour qu'elles continuent de jouer vigoureusement, et ça en est même baveux. Lorsque le baiser se termine, un long filet de bave nous lie encore, finissant par rompre quand je lève encore ma tête tout en continuant de regarder la femme que j'ai toujours aimé.

Je me sens encore déplacée jusqu'à ce que je sois allongée sur notre lit de noces, les jambes bien écartées, et ma Reine se met sur moi, me laissant le temps de la regarder dans les yeux jusqu'à ce qu'elle recommence à me pénétrer, tout aussi énergiquement et profondément, me faisant encore une fois crier de plaisir, pendant que j'entends ses paroles.

"J'ai hâte d'être accro à ta grosse queue remplie de picots, Bowsette !!! Haaa !!! Luigi ne m'avait baisé qu'avec timidité, mais toi, tu n'hésites pas à y aller avec toute la force que tu as eu avec la mutation !!! Haaaan !!!"

Ce sont des mots que Peach n'aurait jamais, mais au grand jamais dit, mais sa transformation en Bowsette a été une véritable libération, comme si le corps de Princesse n'était que des chaînes qui l'empêchent d'accepter ses pulsions. Je continue de hurler, et j'en profite pour sortir ma langue pour jouer avec celle de ma Reine, toujours de façon énergique et passionnée.

Bowsette baisait Daisy avec force et puissance, et, effectivement, jamais Peach n’aurait pu en faire autant. Elle n’aurait jamais pu avoir l’énergie de Bowsette, son engouement, sa force de caractère… Ou son endurance. Car cette endurance venait de sa mutation, de ses gènes améliorés. Le Professeur Tastroff avait clairement du bon boulot avec elle, lui injectant dans le corps des gènes de Koopa, confirmant ainsi l’une de ses théories farfelues sur le fait que Koopas et Humains du Royaume Champignon avaient un ancêtre commun. Peach était devenue Bowsette, et avait conservé cette vieille admiration pour Daisy, leur ancienne amitié se muant en un amour féroce et puissant l’une pour l’autre. Groghnant sur place, Bowsette était allongée sur Daisy, la baisant sur le lit, et sourit donc quand Daisy, complètement transformée, la félicita, lui assurant qu’elle la baisait bien mieux que Luigi l’aurait fait.

« Hmmm… Ça, haaaa… C’est parce que tu le mérites ! »

La Reine koopa sourit longuement, et banda ses muscles, continuant à la prendre, à la baiser furieusement. Bowsette grognait encore, et embrassa Daisy dans le creux du cou, mordillant sa chair. Elle lui fit un délicieux suçon, et poursuivit son office, sa queue dure et tendue s’enfonçant dans sa chatte. Daisy se tortillait sur place, semblant vaguement prendre conscience que cette séance serait longue. Pour l’heure, Bowsette la baisait avec sa robe, souillant la Princesse, mais elle voulait aussi sentir le corps de Daisy, sa peau nue et chaude, couverte de sueur… Ce qui viendrait en temps utile ! Pour l’heure, Bowsette continuait à la pilonner, s’allongeant sur elle, et finit par alterner la position.

En soupirant longuement, Bowsette se redressa, et amena Daisy à se retourner. Elle la prit par l’arrière, en levrette, relevant sa robe pour cela. De fait, la robe de Daisy était progressivement en train de se défaire, glissant le long de ses épaules, et Bowsette défit les cordes avec sa main, les dénouant dans le dos de sa future femme. La robe tomba ainsi tandis que Bowsette la prenait par l’arrière, et gifla son délicieux cul.

« Hmmm, tu es si belle, ma Daisy ! »

Sa Daisy, oui, car il ne pourrait en être autrement, quoi qu’il en soit ! Bowsette la gifla d’ailleurs encore, et continua son office, observant le corps nu de sa promise, ce corps que Peach avait si souvent aimé. Elles dormaient ensemble quand elles étaient petites, et Daisy avait toujours été là pour Peach, pour la consoler, pour l’encourager, pour lui dire d’être plus ferme. Finalement, ce n’était que justice que Bowsette vienne lui rendre la pareille ! Et si, au passage, les deux femmes pouvaient y prendre leur pied, alors cela se faisait avec un plaisir immense !

Si j'avais su qu'il faudrait que Peach soit mutée pour qu'elle soit plus ferme, j'aurais demandé directement à Bowser s'il y avait moyen pour qu'elle mute en Koopa. En attendant, j'aimais Peach, sa beauté et son caractère, mais pas autant que quand elle est devenue Bowsette. Quand j'étais avec Luigi, limite je m'ennuyais dans cette baise. Mais là, Bowsette, rien qu'avec sa bite, elle m'a rendu folle. Allongée sur moi, me baisant avec une telle force que j'en ai un peu mal, mais ça me fait vraiment plaisir.

Je le mérite, oui, après plusieurs mois pour venir la chercher, j'ai bien mérité quelque chose qui fait que je vais encore plus aimer la Reine qu'avant. Je me suis salie, épuisée, battue pendant des mois pour retrouver Bowsette, et je suis récompensée par quelque chose qui me plait énormément.

"Oh ouais ! J'aime vraiment ce que tu m'offres, Bowsette ! Je vais vraiment devenir folle de toi !"

J'arrive pas à suivre le rythme, mais c'est si plaisant, ma chatte est en feu. Cette bite remplie de picots qui vibrent dans ma chatte, me faisant toujours hurler de plaisir intense que je n'avais jamais ressenti avant. Hurlement qui s'exprime librement et ne fait que s'intensifier quand Bowsette se met à embrasser mon cou.

Bowsette finit par enlever sa bite de ma chatte qui est bien mouillée. Je reprends mon souffle pendant que Bowsette me retourne, me mettant en levrette pour baiser mon cul ensuite après avoir relevé ma robe, me faisant hurler à nouveau, avec toute la puissance que ma future femme m'offre. J'ai pas envie que ça s'arrête, j'aime vraiment ce qu'elle me fait. Pendant qu'elle me baise le cul, ma robe se met à glisser pour se faire enlever, et je sens la cordelette se défaire, ce qui fait que ma robe est défaite, me mettant nue avec mon corset et mon porte-jarretelles. Je couine en sentant que je me fais fesser.

"Oh putain, toi aussi, ma Bowsette d'amour ! Tu es tellement bonne, je veux que ça s'arrête jamais !"

Elle me fesse encore, me faisant encore couiner. Je continue de hurler de plaisir, pendant que mon cul commence un peu à s'enflammer aussi, je mouille de plus en plus de plaisir. Je sais qu'elle ne va pas arrêter de me baiser mon cul après que je jouisse, qu'elle va se contenter de me donner énormément de plaisir.

"Mon dieu ! J'aime de plus en plus ta bite, mon cœur ! Baise-moi jusqu'à ce que je sois épuisée, mon cœur ! T'arrête jamais tant que je suis encore consciente !"

Je dis ça, je sais qu'elle va le faire sans que je ne le dise. Pour l'instant, ma respiration est de plus en plus forte, et je prends une énorme inspiration bruyante entre chaque hurlement. J'aime vraiment ça. Luigi n'a jamais su me satisfaire complètement, mais Bowsette le fait aisément.

Qui aurait cru que Bowsette puisse se montrer si énergique ? Et, réciproquement, que Daisy puisse tenir la candece aussi longtemps ? Quand Peach était devenue Bowsette, elle avait gagné une endurance incroyable, ce qui avait beaucoup plu à Bowser. Après tout, elle devait satisfaire l’appétit sexuel d’un immense Koopa surpuissant. Chaque fois que Bowsette et Bowser faisaient l’amour, ils brisaient une fois sur deux les lits, et il avait fallu refaire la chambre conjugale à plusieurs reprises, ceux-ci alternant de chambres en attendant. Le fait est que l’appétit sexuel de Bowsette était disproportionné, et Bowser n’avait fait que l’encourager en ce sens. Depuis qu’elle avait été répudiée par Bowser, cette soif sexuelle l’élançait toujours. Les mâles usuels de Terra pouvaient à peine la satisfaire, et Bowsette estimait que c’était comme ça qu’elle avait fini par devenir hermaphrodite, comme si cette frustration avait brisé un blocage inconscient en elle.

« Ooohh, ma Daisy… ! »

Chaque fois que Daisy lui semblait un peu trop calme, elle la giflait fortement, pour le plaisir de l’entendre gémir. Sa belle robe fut jetée au sol. Celle-là, Bowsette ne l’avait pas déchiré ! Mais cela risquait de venir ensuite ! Elle observa en souriant Daisy avec son corset et ses sous-vêtements affriolants, ses beaux gants et ses porte-jarretelles ! Son cul serré se crispait autour de sa verge, et les picots vibrants aidaient beaucoup Bowsette à dilater ses parois anales. La Reine koopa grogna encore, heureuse de voir combien sa promise aimait ça. Elles allaient se marier vite, oh ça oui ! Bowsette ne voulait plus perdre une seule seconde !

De la bave s’écoulait des lèvres de Daisy, et Bowsette attrapa ses cheveux d’une main ferme, relevant son visage. Elle l’aida à se maintenir, sans trop chercher à lui faire mal, tout en sachant aussi qu’une sodomie était, par définition, une expérience de la douleur.

« Oh, ma Daisy, hmmm… j’aime… J’aime tellement te baiser, ma chérie… Mais ne me donne pas d’ordres, petite catin ! »

Elle la gifla encore, et continua à la prendre, faisant s’écouler les minutes. Elle avait pris un lit très résistant, et continua à sodomiser Daisy tandis que le lit commençait à grincer. Très endurante, Bowsette mit bien un bon quart d’heure avant de finalement jouir. Sa semence chaude explosa dans le cul de Daisy, venant la remplir avec appétit. Elle s’y abandonna avec délice, jouissant férocement, sentant ses cuisses se recouvrir de la mouille de Daisy, et relâcha enfin la pression. Daisy tomba sur le lit, et Bowsette soupira longuement en la regardant.

Bowsette se rapprocha alors, et écarta d’une main une mèche de cheveux collée sur le visage de Daisy, et l’embrassa sur la joue. Sa queue ne tarda pas à retrouver de sa dureté, frottant le corps de Daisy.

« Tu es encore consciente, ma Daisy ? Car je compte bien inonder ta chatte aussi… »

Mais, avant ça, elle attrapa un plug anal qui traînait sure sa table de chevet avec sa queue caudale, et l’enfonça doucement dans le fondement de Daisy, autant pour l’exciter que pour retenir tout le foutre qu’elle avait répandu en elle.

« Ne t’endors pas trop vite, ma chérie, il faut que je te montre à quel point je t’aime… »

Un sourire malicieux éclaira encore les lèvres de Bowsette…

Je me surprends moi-même de tenir le rythme de ma Reine alors que je suis épuisée à force de la rechercher. Pendant des minutes je me fais bien enculer, fesser fortement à chaque fois que mes hurlements se sont transformés en simple cris. Luigi n'oserait même pas m'enculer de peur de me faire mal. Mais j'ai trouvé une autre bite, avec des picots vibrants, qui n'hésite pas à me prendre de manière très forte, quitte à me faire mal, et c'est celle de Bowsette. Ça me fait plaisir au point de me faire baver et de me révulser mes yeux, ce que Bowsette ne peut pas voir.

D'un coup, je ressens mes cheveux pris, et ma tête se faire relever par la simple force de sa main. Elle m'encule tellement fort que mon souffle a de plus en plus de mal à suivre, peu à peu. Elle me fait remarquer que je devrais mieux de ne pas lui donner d'ordre, avant de me fesser encore, me faisant encore couiner. Elle continue à m'enculer bien à sec, pendant très longtemps, jusqu'à ce qu'elle finisse par jouir dans mon cul, me faisant hurler de plaisir, plus longuement. Je sens encore un peu de son foutre couler de mon cul, alors que cette bite n'en est toujours pas sorti.

Elle finit par relâcher la pression, et je finis par tomber, reprenant péniblement ma respiration. Mais je ne suis pas encore complètement épuisée. Juste essoufflée, j'ai besoin d'encore un peu de temps. Je transpire beaucoup, et j'ai bavé pendant ce temps. Bowsette écarte une mèche de cheveux collée sur mon visage avant d'embrasser ma joue. Je sens encore sa queue piquante, encore dure, se frotter à mon corps, pendant que je continue de reprendre mon souffle. Pour montrer que je suis encore consciente, je serre mes doigts sur les draps de notre lit.

Soudain, je commence à ressentir un plug entrer dans mon cul, me faisant gémir un peu d'excitation, le temps que le plug y entre. Puis je tourne péniblement mon visage vers celui de Bowsette. Elle n'a pas du tout l'air d'être épuisée. Je sens qu'elle peut tenir des heures et des heures entiers, sans s'arrêter. Je l'embrasse à nouveau, tendrement, avant de me retourner pour me mettre sur le dos, et d'ouvrir mes cuisses, pour lui laisser l'accès à ma chatte, sans problème. En attendant, je lui caresse déjà les hanches en regardant la Reine dans les yeux. Je ne peux plus vraiment parler parce que je reprends encore un peu mon souffle avant de me faire bien baiser la chatte, mais je lui montre que je suis toujours prête à me faire baiser. Après tout, elle me baise tant que je suis encore consciente.

Bowsette sourit doucement quand Daisy commença à ré »agir, se couchant sur le dos. La Reine koopa était en sueur, une sensation assez délicieuse. Elles auraient pu s’arrêter là, mais Bowsette n’en avait pas encore fini avec elle. Daisy était tout simplement irrésistible, bien trop belle pour qu’on se permette de la négliger. La Reine se rapprocha donc à nouveau d’elle. Elle venait de jouir dans le fondement de sa Daisy, et, si sa verge avait légèrement dégonflé, il n’allait pas falloir longtemps avant qu’elle retrouve de sa superbe. Bowsette soupira doucement en sentant les mains de Daisy glisser sur ses hanches, et elle vint la rejoindre. Sa future femme n’avait pas besoin de parler, son seul regard était suffisant. Bowsette y voyait le regard d’une femme comblée, satisfaite, mais désireuse de se faire encore prendre, désirant davantage de sexe. Bowsette sourit donc, et sa verge se rapprocha encore.

Elle se pencha vers sa femme, et s’allongea contre elle, venant l’embrasser chaudement. Sa main se serra sur les cheveux de Daisy. Elle pouvait sentir la fatigue de sa femme, et, pendant ce temps, elle déplaça son autre main pour attraper sa queue, et se tortilla un peu pour trouver le passage. Son membre glissa contre la peau de Daisy, descendit un peu, puis remonta, et…

« Hmmm… »

La Reine mordilla la lèvre inférieure de Daisy quand sa verge rentra en elle. Elle soupira en sentant ce contact, et rompit le baiser, soupirant faiblement, et commença ensuite à remuer. Les parois vaginales de Daisy se dilataient bien plus facilement que son fondement, et ce d’autant que Daisy avait déjà bien mouillé. Les parois étaient donc prêtes, mais, même en tenant compte de cela, il fallait tout de même s’enfoncer en elle. Et c’était ça, après tout, le moteur du sexe, cette sensation jouissive de douleur entraînant une bouffée d’adrénaline qui vous noyait peu à peu toute forme de réflexion. Bowsette grogna en commençant à accélérer, multipliant les coups de reins, faisant craquer le lit, écrasant Daisy sous son corps massif et voluptueux. Ses muscles se serraient, et sa sueur se mélangeait à celle de Daisy, étouffant celle-ci.

Elle posa sa main sur l’épaule de Daisy, en appui, et crispa ses doigts dessus, avant de préférer serrer la couverture que de maltraiter ses épaules.

« Hmmm… Bo-Bordel, haaaa… Ça fait longtemps qu’on t’a-t’avait pas baisé par là, h-hein… ?! »

C’était une chose que Bowsette pouvait ressentir, et elle grogna encore, continuant son office en soupirant longuement !

Je pense que c'est la dernière fois qu'elle va me pénétrer avant que je ne sois complètement épuisée, incapable de baiser avec ma Reine. Je m'arrêtais quand Luigi n'en avait plus envie, même en en voulant encore. Il ne pouvait pas complètement me combler, c'était impossible pour lui. Alors que Bowsette, je me rends compte qu'elle ne peut pas être comblée, qu'il faudrait vraiment un être beaucoup plus expérimenté pour la combler entièrement. Mais justement, ça change beaucoup de Luigi.

Quand je suis sur le dos, elle s'allonge sur moi pour m'embrasser chaudement, alors que mes mains se glissent sur son corps pour se mettre sur le dos, alors que l'une des siennes s'accroche encore à mes cheveux, et je sens sa bite se glisser entre mes cuisses, près de ma chatte pour finir par entrer dedans.

"Haaaaan !"

Sa bite commence donc à coulisser dans ma chatte, me faisant couiner à chaque coup de reins, un coup de rein toujours aussi puissant, mais je sens encore plus que d'habitude, avec cette douleur. Je me laisse complètement faire, sentant encore plus son poids que d'habitude, mes jambes se mettant sur ses hanches. J'entends le lit craquer, mais je n'ai pas peur qu'il casse. Pendant que je continue mes couinements, je tends ma langue pour la faire valser avec celle de la Reine.

La Reine commence à sentir que ça fait longtemps que je me suis pas fait baiser la chatte. C'est vrai que j'ai eu quelques baises entretemps, des baises sans lendemain juste parce qu'il y a des mecs qui tenaient vraiment à me baiser, et c'était souvent des sodomies ou des fellations, parce qu'ils ne veulent pas de gosse avec une inconnue. Mais je ne peux pas le dire, juste hocher la tête pour dire que c'est le cas. Ça fait longtemps que ma chatte n'a pas eu d'attention, et si jamais Bowsette veut que je fasse une Bowsette Junior, ça ne fera que me plaire plus qu'autre chose.

Mes forces m'abandonnent peu à peu, mais ça me fait plaisir de baiser avec la Reine. Je commence à crier de plaisir, ma sensibilité est de plus en plus élevée, sans que je ne me sente violée. Mes yeux sont fermés en permanence, jusqu'à ce que je commence à entrouvrir mes yeux pour regarder Bowsette dans les yeux.

"Ma... ma Reine !"

C’est d’un simple hochement de tête que Daisy confirma qu’elle n’avait pas été pénétrée par là depuis longtemps. Bowsette sourit encore. Depuis sa transformation, Bowsette était, sexuellement parlant, très endurante. Peut-être même l’avait-elle toujours été, y compris sous Peach, mais elle n’était alors pas aussi libre et aussi déterminée. Bowsette savait toutefois qu’elle avait un appétit sexuel féroce, comme Bowser en son temps. Elle en tirait volontiers profit, et aimait ce sentiment d’épuiser ses amants et amantes. Daisy allait devoir s’habituer à ce sexe intensif. Bowsette gloussa brièvement, et l’embrassa dans le creux du cou, léchant sa peau avec sa longue langue reptilienne.

« Être ma femme… C’est épuisant, hmmm… Je vais devoir t’entraîner, Daisy… Ce monde est ma-Magnifique, il y a… Haaaa… Il y a même une religion autour du sexe ! »

Bowsette en avait entendu parler. Elle était suffisamment intelligente pour savoir que, dans ce monde, pour pouvoir se développer, il fallait une divinité protectrice, un culte. C’était un outil fédérateur, et elle avait entendu parler de la Déesse Lust, du culte de la Luxure. Elle risquait de s’y intéresser davantage, afin de former Daisy, et que sa femme puisse tenir avec elle au lit. Bowsette pouvait en effet faire l’amour pendant plusieurs heures d’affilée, et c’était aussi pour ça qu’elle avait fait renforcer les lits. Elle avait toujours tendance à briser les premiers. Même malgré sa silhouette fine, Bowsette n’en restait pas moins athlétique et forte, et, après plusieurs heures de coups de reins, les lits avaient tendance à s’effondrer sur place !

La Reine koopa gémissait de plaisir, continuant à prendre sa partenaire avec envie. Sa verge la pilonnait joyeusement, même si Bowsette commença à ralentir un peu le rythme, pour mieux sentir l’intimité de sa partenaire. Ses picots vibraient dans sa chatte, s’aspergeant joyeusement de sa mouille. Bowsette sourit doucement, les joues rouges, ses cheveux légèrement défaits, et l’embrassa à nouveau.

« Oui, Daisy, c’est… C’est bien moi, hmmm… Ta Reine qui te baise ! »

Bowsette soupira longuement, sa salive coulant parfois de ses lèvres. Elle avait vu que Daisy avait fermé les yeux, et attrapa l’une de ses mains, la plaquant sur le lit, croisant encore son regard.

« Je… Je t’interdis de fermer les yeux, Dai-Daisy… Oh non, hmmm… Je veux que tu me regardes… Je veux que nos yeux se croisent… Je veux que tu me voies jouir en toi, que tu vois tout le bonheur que je ressens ! Je suis ta Reine, mais… Hmmm… Là, je suis surtout ta femme ! »

C’était comme ça que Bowsette voulait que ça se termine : ensemble, yeux dans les yeux !

Je n'avais jamais pensé qu'elle pourrait me satisfaire autant. Elle est tellement différente d'avant que je m'attendais à tant de choses, et malgré ça, elle m'a réservé beaucoup de surprise que je n'aurait pas soupçonné. Le mieux, c'est qu'aucune de ses surprises ne me déplait, même un petit peu. Alors, je ne peux que profiter jusqu'à épuisement, sans la moindre volonté de vouloir lutter ou m'arrêter. Je dois m'y habituer, et je ne sais pas ce qui pourrait m'aider pour ça.

Son visage se pose sur mon cou pour l'embrasser et le lécher, et je me mets à lui embrasser aussi le cou, pendant que je crie moins fort parce que la Reine a ralenti sa cadence. Oui, c'est épuisant, et je pense que je suis une énième preuve. Une religion autour du sexe ? Ça m'intéresse beaucoup. Est-ce que je pourrais en être une représentante ? En attendant, je ne peux pas lui poser la question, étant trop épuisée pour parler.

La Reine reprend de plus belle, me faisant encore crier de plaisir intense, et je ne veux pas que ça s'arrête. Le lit a l'air bien renforcé pour résister aisément aux puissants coups de reins de la Reine. Je me laisse embrasser par la Reine, jouant avec sa langue reptilienne pendant le baiser. Je fais des efforts pour la regarder dans les yeux, ouvrant péniblement les miens. Elle m'épuise tellement que c'est difficile, mais je le fais jusqu'à vraiment m'évanouir.

Je sens ma main se faire plaquer sur le lit, et mes doigts serrent comme ils peuvent la main de la Reine. Je l'aime vraiment, et j'ai réellement hâte d'être sa femme. C'est ce que je désire, et je ne veux pas la décevoir. La Reine veut que je garde les yeux ouverts, que je la voie jouir en moi.

"O... oui !"

Je n'arrive pas à répondre plus, et j'aimerais, pourtant. Je me fais déjà violence pour garder les yeux ouverts. Je ne suis pas encore évanouie, alors je peux encore la regarder dans les yeux, pendant que je continuer de crier de plaisir. Je continue de garder les yeux ouverts, pour ma Reine, pour ma femme.

Bowsette ne faisait désormais plus qu’un avec Daisy. Sa belle Daisy se tortillait sous elle, convaincue et subjuguée par sa Reine. Mais Bowsette ne voyait pas en elle que sa Princesse, ou une amante épisodique. Elle était sa Daisy, la femme que Bowsette aimait sincèrement, et, pour ça, il avait fallu que Daisy revienne dans sa vie. Ce seul geste avait suffi pour que tout revienne en mémoire. La Peach qu’elle avait été avait toujours apprécié Daisy, et, sous Bowsette, cette affection se transformait en un amour sincère… Ou peut-être que cela avait toujours été le cas, mais qu’elle ne l’avait jamais réalisé auparavant. La Reine koopa n’en savait pas grand-chose, mais, dans tous les cas, elle appréciait fortement ce coït.

Sa verge s’enfonçait avec appétit dans l’intimité de Daisy, qui couinait et gémissait sous elle en se tortillant sur place. La jeune Daisy était totalement ravie, comblée, extatique. Un sourire ravi éclaira les lèvres de Bowsette, qui continua donc à la prendre, s’enfonçant plus profondément en elle, tapant son col de l’utérus en grognant de plaisir.

« Hmmm… Oh, ma Daisy, tu es si bonne, hmmm… ! »

Les minutes passaient, s’égrenant au fur et à mesure que la femme la prenait avec force et vigueur. C’était de plus en plus intense. La chair claquait contre la chair, les corps se serraient l’un contre l’autre. Bowsette grognait joyeusement, et embrassa encore la jeune femme. Sa main se serra sur ses cheveux, et elle enfonça sa langue dans sa bouche, jouant avec elle, ondulant de haut en bas. Les corps se frottaient, se pressaient, la chair claquait, le lit craquait sous elle. La Reine koopa grognait encore, et ferma les yeux, se pinçant les lèvres. Le plaisir croissait encore, et, après de nombreuses minutes, elle gémit en jouissant.

Sa queue trembla nerveusement, et elle cracha alors d’épais filaments de foutre, venant remplir avec appétit la chatte de Daisy. Elle jouit abondamment en elle, et cracha son sperme, relâchant la pression dans tout son corps, et soupira ensuite longuement. Elle jouit pendant une bonne minute, environ, envoyant des filaments de foutre régulièrement, et sembla ensuite enfin se calmer. Frissonnant lentement, elle s’allongea contre le corps de Daisy, et la caressa doucement.

« Hmmm… Daisy, je t’aime, ma chérie… »

La tension sexuelle redescendant, Bowsette pouvait désormais avouer bien plus librement ses sentiments à l’égard de sa magnifique partenaire.