The Multiversity

Avec l'aide du Professeur K. Tastroff, je pars de la dimension pour de bon, disant au revoir aux quatre royaumes réunis en un : Sarasaland, mon ancien royaume, Végésia, le Royaume Champignon et le Royaume Koopa. Ça me rend triste, mais aujourd'hui, je n'ai plus grand-chose à perdre, et tout à gagner... enfin, une seule chose à gagner : Peach, devenue Bowsette à cause du mutagène que K. Tastroff avait imposé pour qu'elle soit amoureuse de Bowser. J'ai refusé de devenir la femme de Bowser car c'est Peach que j'aime, jamais Bowser. J'ai préféré partir, avec l'aide de Bowser et du scientifique pour retrouver Peach, pour ne plus jamais jamais retourner à la dimension où j'avais pu dirigé Sarasaland, qui appartient désormais à Bowser. Le portail s'active. C'est un portail à sens unique et je n'en aurai aucun autre qui me permettrait d'aller dans ce Royaume. Je me tourne vers K. Tastroff et Bowser et leur dis, avec un sourire triste :

"Merci. Adieu."

Je me retourne à nouveau et je franchis le portail. Après Mario, Luigi et Peach, c'est désormais moi qui m'en vais. Le voyage interdimensionnel est particulièrement long, du moins c'est une impression. Après un voyage qui semble durer une éternité, je me trouve désormais dans un autre monde que je ne connais pas du tout, mais dont K. Tastroff m'a dit qu'il s'agit exactement de la dimension où il a emmené Peach. J'espère vraiment la retrouver maintenant que je suis dans cette dimension.

Plusieurs années plus tôt...

Je suis la Princesse Daisy de Sarasaland, et je vais vous raconter mon histoire dans la dimension où je vis. Je suis née et j'ai grandi dans ce Royaume, et malgré des parents qui me forçaient à être aussi douce que ma mère la Reine de Sarasaland, je ne me laissais pas du tout faire. Je ne dirigeais pas le Royaume d'une main de fer après la mort de mes parents, mais je détonnais du reste du monde avec mon énergie et avec le fait que je ne me laisse pas faire, et que je ne fais appel à quelqu'un d'autre qu'en dernier recours.

Un jour, alors que je m'y attendais pas, je me faisais attaquer par un extraterrestre du nom de Tatanga et quand j'étais assez affaiblie pour que je ne sache plus me défendre, il en profita pour me capturer pour que je sois sa Reine. Je ne voulais pas être la Reine de quelqu'un d'autre. Je voulais bien être la Reine, mais seulement de mon royaume, je ne voulais être mariée qu'avec mon royaume ! Cependant, Tatanga ne l'entendait pas de cette oreille. Alors, pour éviter que le drame ne se produise, sachant que mes sujets sont hypnotisés pour être à la solde de l'extraterrestre, j'appelais en renfort les autres royaumes. Il y en avait trois : le Royaume Champignon, le Royaume Koopa et le Royaume de Végésia. J'appelais les trois et seul le Royaume Champignon répondait à l'aide, envoyant leur meilleur sauveur : Mario.

En effet, Tatanga n'aurait pas dû le sous-estimer car Mario était particulièrement fort. D'ailleurs, pour être honnête, pendant un moment plutôt court, je tombais amoureuse de lui, et je ne savais pas s'il aimait quelqu'un ou non. En fait, je ne l'ai jamais su et je ne le saurai jamais, maintenant. Le temps que l'hypnose prenne fin, il m'emmena au Royaume Champignon, me faisant rencontrer la Princesse Peach. Autant vous dire qu'elle ne me laissait pas du tout indifférente : tellement belle, tellement charmante, avec une grande politesse. Une grande douceur, mais avec une tête assez forte. C'était le coup de foudre pour moi, mais pas vraiment pour elle. Je l'aimais, et je l'aime encore.

Cependant, elle semblait être plus amoureuse de Mario que de moi, et de toute manière, je pensais que ce ne serait pas trop possible elle et moi. Pas à cause du fait que j'étais amoureuse d'une Princesse, elle est aimée de tous, mais parce que Mario passe souvent son temps à vaincre Bowser à chaque fois que ce dernier capture la Princesse Peach. A chacune de ses captures, je voulais aider Mario dans sa quête, mais à chaque fois, ce dernier refusait en me disant que c'est dans son devoir et pas le mien. Honnêtement, je l'aimais bien, Mario, malgré le fait que je n'étais plus du tout amoureuse de lui. Il était tellement chevaleresque et charismatique. On est donc devenus des amis, et petit à petit, on se nouait d'amitié particulièrement forte. On était même de meilleures amies.

Un jour, après que Mario soit parti sauver Peach pour la énième fois, je rencontrais Luigi, le petit frère de Mario à grande taille. Je l'aimais beaucoup plus que Mario, mais pas autant que Peach. On se côtoyait souvent à chaque fois que j'étais contrainte de rester à Sarasaland, et elle me rendait visite de temps en temps. Petit à petit, Luigi est tombé amoureux de moi. Mon cœur est plus orienté vers Peach, mais Luigi dégage un charisme qui ne peut pas me laisser indifférente, malgré sa sensibilité vraiment énorme. Il me déclara sa flamme, mais malgré mon amour pour Peach, seulement pour éviter qu'il ne déprime pour un refus, je décidais d'accepter, et c'est ça qui a fait que Sarasaland devient souverain du Royaume Champignon.

D'ailleurs, des compétitions se déroulaient dans le Royaume Champignon et j'y participais souvent. Très souvent. C'était même des trêves entre les différents royaumes. Je ne manquais aucune occasion d'y participer, et on avait même invité le Royaume d'Hyrule pour une compétition spéciale de course. Il n'y avait que Link pour y participer, mais on s'en fichait.

Cependant, la boucle où Mario sauvait Peach des griffes de Bowser se brisa alors qu'on ne le savait pas. Peach se faisait capturer, Mario vient la secourir en refusant que j'aille l'aider, mais le chaînon qui est censé suivre est brisé sans qu'on ne le sache. Ayant un mauvais pressentiment, je décidais, malgré les refus incessants de Mario, de courir en direction du Royaume Koopa, avec ma robe orange que je n'abandonne que pour les sports où les robes gênaient vraiment. Cependant, alors que j'arrivais devant le Royaume, je voyais Bowser particulièrement fier avec Mario sur le dos, très affaibli et ne pouvant plus bouger. Mario me voit et me lance un regard d'adieu. Je ne pouvais rien faire car le pont était monté, et je ne savais pas sauter aussi haut que Mario, alors j'assistais à la scène, où Bowser lance Mario dans la lave.

"Mario !"

Je voyais Mario tomber et plonger dans la lave. Il ne remontera pas car il n'a plus rien pour le sauver. C'était ma première perte, et je commençais à pleurer sa mort brutale mais attendue. Le Royaume Champignon a perdu leur sauveur, et moi un ami sans qui je ne serais qu'une soumise au service de Tatanga.

"MA Peach, désormais ! Peach aimer Bowser !

Peach, t'aimer !? Comment elle aimerait une brute comme toi !?"

A force de le voir capturer et s'acharner sur Peach, je m'en étais venue à le détester. Voir Peach tomber amoureuse de Bowser ne serait pas un problème si Bowser n'arrêtait pas de la prendre par la force et d'user de sa ruse pour ça.

"Peach !

Oui, Bowser ?"

Je pensais halluciner en entendant Peach près de la double-porte du château. Je regardais dans sa direction et je vois la douce Peach, la princesse dont j'étais vraiment amoureuse, sortir de ce château et faire un câlin à Bowser en l'embrassant. Je pensais rêver : Peach amoureuse de Bowser ? Je pourrais le croire s'il ne la capturait pas autant de fois, mais là... je n'avais pas les mots.

"Daisy voir nouvelle, maintenant ?! Bowser épouser Peach demain et Royaume Champignon, Sarasaland et Végésia à moi ! Et Princesse Peach à moi, bien sûr !"

J'étais particulièrement surprise de savoir la nouvelle. Je retournais au Royaume Champignon pour annoncer publiquement et officiellement la nouvelle : Peach et Bowser vont se marier le lendemain et Mario a été tué par Bowser. Tout le Royaume Champignon était en proie à une grosse panique à bord, sauf Wario et Waluigi qui en profitaient joyeusement. Luigi, en entendant la nouvelle, se jetait sur moi alors que je descendais des gradins après la nouvelle.

"Mama mia ! Daisy, dis-moi que tu es en train de mentir pour prendre le pouvoir, je t'en prie ! Mario n'est pas mort, non ?! Il devait revenir avec la Princesse Peach, dis-moi !

J'aimerais vraiment que ce soit un mensonge de ma part, mais malheureusement, quand j'étais devant le Royaume Koopa, j'avais vu Bowser jeter Mario dans la lave, et Peach prendre Bowser dans ses bras en l'embrassant, avec l'intention de se marier.

Non ! Tu mens, je ne veux pas le croire ! Mario ! Peach !"

Luigi partit en direction du Royaume Koopa, pour savoir si tout ce que j'ai dit était vrai. Plusieurs heures plus tard, il revenait dans le Royaume de Sarasaland, où je m'y trouvais pour pleurer la mort de Mario, et Luigi n'était pas arrivé heureux. Il me prenait dans ses bras pour pleurer toutes ses larmes de son corps. Il savait désormais que je ne mentais pas : Mario est mort. La personne qui l'a vu grandir n'est plus que des reliques au fond du lac de lave qui entourait le Royaume Koopa.

Il m'avait fallu trois jours, après que le mariage ait lieu, pour que je tourne la page, mais Luigi n'y parvenait pas. Il déprimait, et c'était trop tard pour l'en empêcher. Cependant, j'avais tout fait pour le guérir de cette dépression, en tentant de l'emmener faire du sport, faire du karting, aller dans l'espace pour lui faire comprendre qu'il n'y a pas que Mario dans sa vie, et que je j'étais là pour lui, mais tout ce que je tentais lui faisait à nouveau penser à Mario. Il faisait du sport avec Mario, il conduisait avec Mario, c'était lui qui l'avait sauvé de l'espace... il avait fait sortir Mario d'un manoir hanté... c'était peine perdue, mais je gardais espoir, n'hésitant pas à l'engueuler pour ça.

Cependant, j'avais échoué, je racontais tous mes échecs à Peach, dont je voyais sa transformation, et son changement de caractère. Mes sentiments pour elle, cachés au plus profond de moi, restaient inchangés, donc je faisais comme si de rien n'était. Au passage, j'avais fini par mieux considérer Bowser, ne le considérant non plus comme un véritable tyran, mais comme un Koopa plutôt sensible et maladroit, un peu comme Luigi, en fait, mais en plus modéré. Mais un jour, alors que je retournais à Sarasaland pour aller voir Luigi, c'était le drame : je voyais Luigi, inconscient, une corde attachée au plafond et à son cou, une chaise tombée très près de ses pieds, et le corps bougeant légèrement. Paniquée, je relevais la chaise, montais dessus et détachais la corde du cou de Luigi, le portais et l'allongeais sur le sol en le secouant pour qu'il se réveille.

"Luigi, non ! Pas toi ! Réveille-toi, je t'en prie !"

J'appelais les Toad secouristes et juste après je les voyais entrer dans Sarasaland pour sentir les doigts sur le pouls de Luigi. Alors qu'ils courraient pour tenter de sauver Luigi, ils baissèrent la tête avant de me regarder.

"Princesse Daisy... il est mort."

Mon petit-ami... est mort ? Je m'écroulais face à son cadavre, pleurant sa mort. Luigi n'a jamais pu supporter la mort de son grand frère, alors il avait décidé de mettre fin à ses jours. Ma tentative avait duré plusieurs années. Les Toad étaient des créatures honnêtes, alors je pouvais parfaitement croire à la mort de Luigi, surtout que c'était complètement crédible. Il m'avait fallu cinq jours pour que je m'y remette. J'avais presque tout perdu : mon royaume, mon sauveur et mon petit-ami. Il ne restait plus que celle que j'aime.

Deux ans plus tard, alors que je voulais aller voir Peach devenue Bowsette, devenue une femme d'ambition qui dirigait le Royaume Koopa d'une main de fer, Bowser m'annonce qu'elle n'est plus là. Alors que je m'étais mise à penser à un assassinat, ce que Bowser n'aurait jamais fait, le Professeur K. Tastroff, son professeur, m'annonça que non, Bowsette n'est pas morte. Ils l'ont envoyée dans une autre dimension. Je n'ai pas tout perdu, il me reste plus que ma meilleure amie et la femme que j'aime. Alors, je demande sans hésiter à Bowser et à K. Tastroff de m'y envoyer. Bowser voulait refuser et me propose de devenir sa femme, mais non, je ne veux absolument pas, en l'annonçant par le coup de la colère que je suis amoureuse d'elle. Bowser finit par respecter ce choix et ordonne à K. Tastroff de m'emmener à son laboratoire.

Alors, avec l'aide du Professeur K. Tastroff, je pars de la dimension pour de bon, disant au revoir aux quatre royaumes réunis en un : Sarasaland, mon royaume, Végésia, le Royaume Champignon et le Royaume Koopa. Ça me rend triste, mais aujourd'hui, je n'ai plus grand-chose à perdre, et tout à gagner... enfin, une seule chose à gagner : Peach. J'ai préféré partir pour ne plus jamais jamais retourner à la dimension où j'avais pu dirigé Sarasaland. Le portail s'active. C'est un portail à sens unique et je n'en aurai aucun autre qui me permettrait d'aller dans ce Royaume. Je me tourne vers K. Tastroff et Bowser et leur dis, avec un sourire triste :

"Merci. Adieu."

Je me retourne à nouveau et je franchis le portail. Après Mario, Luigi et Peach, c'est désormais moi qui m'en vais. Le voyage interdimensionnel est particulièrement long, du moins c'est une impression. Après un voyage qui semble durer une éternité, je me trouve désormais dans un autre monde que je ne connais pas du tout, mais dont K. Tastroff m'a dit qu'il s'agit exactement de la dimension où il a emmené Peach. J'espère vraiment la retrouver maintenant que je suis dans cette dimension.

Alors, pour aller chercher Peach, j'allais me renseigner envers ceux que je n'ai jamais connu. Evidemment, pour leur donner une idée, je l'appelle toujours par Bowsette. Ces recherches ont duré plusieurs mois, avant que ma persévérance ait payé. Il s'est avéré que l'un des habitants est souverain de Bowsette, et il accepte de me guider vers son nouveau royaume.

Je me trouve donc devant un Château, et dont il s'agit, d'après ses dires, de celle de Bowsette. Je reste devant le pont-levis, après avoir appelé pour dire que c'est Daisy. J'attends donc, attendant que Bowsette m'ouvre les portes, pour qu'on se voie à nouveau, après plusieurs mois de séparation.

En finissant exilée sur Terra, Bowsette n’aurait jamais cru que son passé revienne la voir. Elle avait été envoyée ici par un Bowser incapable de contrôler les ambitions de sa femme, et qui ne reconnaissait plus en Bowsette la Peach qu’il avait aimé. Une situation d’autant plus ironique que c’était Bowser qui avait transformé la faible Peach en la puissante Bowsette. Sur Terra, Bowsette avait toutefois compris qu’elle disposait toujours de ses pouvoirs, et s’était fait obéir d’un puissant dragon, Zygga, tout en s’accaparant le trésor que Zygga gardait jalousement. Avec cette fortune, Bowsette avait rapidement fait parler d’elle. Des bandits avaient tenté de lui voler son or, et Zygga avait soufflé sur eux. Ensuite, elle avait reçu la visite de compagnies naines désireuses de retourner occuper leur précédente demeure. Bowsette avait accepté leur présence, tant qu’ils reconnaissaient sa souveraineté. Ensuite, elle avait recruté des mercenaires, en avait fait des soldats. Elle était belle, mais fatale, et elle avait rapidement montré qu’elle pouvait se montrer aussi généreuse que cruelle, contraignant les plus renégats, soit à déserter, soit à croupir dans ses geôles.

Quelques mois après son arrivée sur Terra, Bowsette avait donc développer un royaume. Il était bien plus petit que le Royaume champignon, et ridiculement petit comparé à Mijak ou à Lumen. Il s’étalait dans les Terres Centrales, là où, jadis, les différents États bénéficiaient de la protection de l’Eld. Après la chute du Premier royaume humain, de nombreux États avaient également sombré, ou n’étaient plus que virtuels, se livrant à des guerres de succession et à des conflits intestinaux sauvages. Une instabilité politique globale dont Bowsette réfléchissait à la meilleure manière d’en profiter.

Outre le Château, elle disposait également des régions environnantes. Elle avait pacifié celles-ci, elle avait pris le contrôle de villages appauvris en chassant les monstres ou les bandits, offrant aux habitants esseulés un nouveau refuge. Bowsette avait également compris que son domaine se trouvait dans un État préexistant, mais qui n’était plus en mesure de protéger ses provinces les plus éloignées. Plusieurs des nobles locaux s’étaient révoltés contre son autorité, et avaient été brûlés par Zygga. Les autres avaient accepté de lui obéir, et Bowsette était ainsi redevenue la Reine qu’elle aspirait à être.

Elle avait commencé à remettre en état son château, qui était une ancienne forteresse naine, et, ce matin, quand ses gardes lui annoncèrent la venue de Daisy, elle était en salle du conseil, s’entretenant avec ses conseillers. Il y avait des représentants des guildes naines, de ses vassaux, et de ses militaires. Une grande carte de la région s’étalait au milieu de la table, et, ensemble, ses conseillers et elle discutaient de la stratégie à tenir.

« Votre présence a fini par remonter dans le royaume, Votre Majesté… Le Roi des provinces environnantes ne reconnaît pas votre légitimité, et menace d’une invasion prochaine. On dit qu’il a levé un ost. »

Bowsette savait que, même parmi ses vassaux, certains ne lui offraient qu’une loyauté de façade, espérant vite que les comtes et les barons environnants viendraient chasser cette gourgandine qui aurait davantage eu sa place dans un bordel qu’à la tête d’un château. Mais, pour autant, personne n’osait trop distinctement la critiquer, car Bowsette avait su démontrer tout son talent, tout son génie tactique et militaire. Elle avait des années de formation en tant que Princesse, et elle avait ainsi pu déjà triomphé des premiers assauts voisins, et même de quelques bannerets locaux qui avaient cru pouvoir se retourner contre elle. Sa puissance ne se limitait pas qu’à Zygga.

Somme toute, Bowsette s’estimait flattée d’apprendre que le Roi d’un royaume appauvri essayait de reconquérir sa légitimité en réunissant un ost contre elle. Bowsette avait conscience que ce serait sa première véritable bataille, et elle réunissait donc ses troupes.

C’est dans ce contexte que des serviteurs viennent la prévenir qu’une femme venait de se présenter au Château, indiquant s’appeler « Daisy ».

« Daisy ? » s’étonna Bowsette.

Elle ne connaissait qu’une Daisy, une Princesse héritière de sa dimension. C’est quand elle avait envisagé d’envahir son royaume que Bowser avait choisi d’exiler Bowsette. Se pouvait-il que ce soit cette Daisy ? Bowsette, confuse, mit fin à la réunion précipitamment, et ordonna aux gardes d’aller lui amener Daisy, tout en se rendant dans la salle du trône.

Celle-ci se trouvait dans une grande pièce, et, depuis la salle du trône, une verrière donnait accès sur la salle du trésor royal. Plusieurs perrons menaient à la salle, et Daisy arriva ensuite.

*Incroyable…*

Oui, c’était bel et bien elle ! Elle avait troqué sa robe orange pour des tenues de voyage plus simples, sans aucun doute à force d’errer sur Terra. Se déplacer dans la région en robe de Princesse, ce n’était pas idéal… Mais Bowsette avait conçu des robes adaptées pour Daisy… Parce qu’elle espérait la revoir ? Ou parce que confectionner des robes de ce type lui rappelait son ancienne amie ? Difficile à dire… Mais, à vrai dire, c’était sans doute la deuxième hypothèse, car Bowsette n’aurait jamais cru qu’on puisse la suivre jusqu’ici.

Daisy semblait fatiguée, mais, en la voyant, son visage s’illumina. Surprise, Bowsette descendit de son trône. Elle portait son justaucorps noir moulant, et l’observa donc.

« Ainsi, c’est bien toi… Daisy ! »

Bowsette était surprise, voire abasourdie. Daisy se rapprocha encore, et, spontanément, Bowsette la prit dans ses bras, ressentant un frisson de plaisir la traverser. Sa queue caudale remua doucement, se frottant sur le sol, et elle maintint Daisy contre elle, sentant toute sa fatigue, tant physique psychologique.

« Mais qu’est-ce que tu fais là, Daisy ? » demanda-t-elle ensuite, en retrouvant un peu de contenance.

Je reste patiemment devant le nouveau Château de Peach. De toute façon, je peux attendre plusieurs heures pour la princesse que j'aime. La porte s'ouvre et des gardes en sortent, m'ordonnant de les accompagner, ce que je fais. Je suis donc les gardes, qui connaissent mieux le château que moi. A force de voyage, j'ai perdu ma robe de princesse et je l'ai remplacée par une tenue de voyage des plus classiques, comme si j'étais une personne comme les autres. Seule ma couronne permet de faire dire que je fais partie d'une famille royale, mais cette couronne est sale, mais légèrement nettoyée. Chaque jour, avant de dormir, je pleurais car Peach me manque terriblement. Peach plus que Mario et Luigi. Je profitais de mes pleurs pour nettoyer avec ce que je pouvais ma couronne de Sarasaland. Ce n'est pas suffisant, je le sais, mais cela permet à la couronne de ne pas perdre toute brillance. Quand je me réveille, je me motive à partir à la recherche de Peach, en l'appelant toujours par Bowsette.

Les gardes m'emmènent la Salle du Trône, où je vois désormais Bowsette, assise sur son trône. Mes efforts que j'ai fait depuis plusieurs mois ont payé. C'était pour ça que je suis partie des quatre royaumes. En la voyant, mes larmes commencent à couler, mais ce ne sont pas des larmes de tristesse, mais de joie. Je suis heureuse de revoir Peach, après m'être surpassée et avoir survécu. Je la vois descendre de son trône avec un visage illuminé. Je lui ai manquée aussi, il n'y a pas de doute.

"Peach ! Enfin, Bowsette !"

Dans notre ancienne dimension, rares sont ceux qui ont toujours reconnu Peach et Bowsette, et j'en fais partie. La seule autre personne qui sait que c'est toujours Peach est le Professeur K. Tastroff, car bien que sa transformation lui a fait changer, il sait qu'il ne s'agit que de mutation : c'est Peach mutée, mais elle reste Peach. Je marche vers la Reine avant de la laisser me prendre dans ses bras, et je la serre dans les miens à mon tour. La sentir contre moi me fait un très grand bien, j'en avais besoin. Elle m'a énormément manquée. Quand elle me demande ce que je fais là, je relève un peu ma tête avec le sourire, posant mon front contre le sien et la regardant.

"Je suis là pour te retrouver, Peach. J'ai déjà beaucoup perdu depuis la mort de Mario, mais je ne veux pas te perdre. Je sais que c'est un aller simple, mais tout ce que je veux, c'est d'être avec toi, bien que ça nécessite de me séparer de mon royaume."

Bowsette ne peut plus changer aussi drastiquement. Sa douceur et son innocence ne sont plus que de lointains souvenirs, et sa transformation est définitive. Elle a des cornes de Koopa, des dents de carnivore et des oreilles pointues, mais elle garde ses cheveux blonds, ses yeux bleus, sa grande beauté et son parfum. Mais pas que, sa forte tête, son courage... Peach a changé, mais elle reste Peach. Bowser ne l'avait pas vraiment compris tant ce qu'il aimait chez elle, c'était sa douceur et non sa force.

C’était bien elle… Daisy ! Elle était toujours aussi petite… Ou, plutôt, c’était Peach qui avait grandi. En devenant Bowsette, elle avait gagné en musculature, et la tête de Daisy disparaissait à hauteur de ses seins. Daisy lui expliqua, les yeux chargés d’émotions et la voix tremblante, qu’elle l’avait cherché en quittant leur dimension d’origine. Bowsette hocha la tête, comprenant qu’elle avait dû s’adjoindre l’aide de Tastroff. Sa main caressa tendrement les cheveux de Daisy. Elle était très fatiguée, ressemblant davantage à une paysanne qu’à une Princesse, mais Bowsette reconnaissait toujours, dans le firmament de ses yeux, une détermination inébranlable. Daisy avait toujours été une femme avec une forte personnalité, qui s’exprimait bien plus que ne le faisait Peach. Somme toute, Bowsette l’avait toujours respecté, ce qui expliquait sûrement pourquoi elle avait si longtemps à envisager d’envahir Sarasaland. Daisy avait toujours été plus provocante et plus impertinente que Peach, qui prenait secrètement modèle sur elle.

En la regardant, Bowsette lui sourit doucement, et son pouce glissa sur la joue de Daisy, essuyant doucement sa peau.

« Je ne veux pas t’attrister davantage, Daisy, mais j’ai appris bien des choses ici… Nous venons toutes les deux d’une réalité instable, qui était condamnée à disparaître. Autrement dit, tu aurais tout simplement disparu de cette réalité si tu ne m’avais pas suivi. »

Bowsette avait rencontré sur Terra quelques spécialistes, et avait surtout lu des ouvrages sur le Multivers. Étant au cœur de plusieurs mondes parallèles, Terra était traversée par de multiples flux multiversels, par d’autres dimensions.

« Là où il existe une réalité stable, comme celle où nous sommes, il existe aussi autour d’elle des réalités alternatives instables, qui sont les reflets de ces dimensions stables. Ceci signifie qu’il existe sûrement un Royaume champignon où Mario est toujours en vie, et où je suis toujours cette petite Princesse douce et introvertie qui voyait en toi un modèle… Mais là, sur Terra, comme tu as dû le voir, il n’y a pas de Royaume champignon, ni de Sarasaland. »

Bowsette se retourna alors, attrapant Daisy par la main. Jadis, c’était Daisy qui la prenait par la main, qui posait des questions indécentes, qui gloussait doucement avec elle. Bowsette prenait maintenant naturellement les rênes, et se rapprocha d’une porte latérale. La femme se retourna ensuite vers elle, l’observant brièvement des pieds à la taille :

« J’ai conçu des vêtements pour toi, tu sais… Là, tu ne ressembles pas vraiment à la Daisy que je connais, sans vouloir te vexer. Un bon bain s’impose ! »

Bowsette s’avança donc à travers un couloir, et grimpa un escalier en colimaçon. Elle avait depuis ses appartements privés un accès direct à la salle du trône. Elle pénétra ainsi dans une agréable antichambre, assez grande et haute de plafond. Il y avait plusieurs portes, dont une donnant sur sa chambre. Elle en emprunta toutefois une autre, menant à une salle de bains.

« Bien que nous sommes dans un royaume médiéval, la plomberie existe dans les endroits les plus sophistiqués. »

Bowsette disposait ainsi d’une grande baignoire qu’elle remplit à l’aide de deux robinets. Elle se retourna ensuite vers Daisy, attendant que l’eau chaude monte.

« Évidemment que je t’accepte, ma petite Daisy… Tu seras à mes côtés. Mon royaume est encore très naissant, et ton aide ne sera pas de trop. »

La femme se redressa encore, et caressa à nouveau le visage de Daisy… Puis l’embrassa alors doucement, plaquant pendant quelques secondes sa bouche contre la sienne.

« Je vais te faire oublier Luigi, ma Daisy… »

Je continue de regarder la femme que j'aime secrètement, et je la laisse essuyer mes larmes que j'ai besoin d'évacuer. Je la laisse parler, m'apprenant qu'en réalité, nous venons d'une réalité instable vouée à disparaître à plus ou moins long terme. Alors soit j'aurais disparue sans le savoir, soit j'en serais déjà partie, et j'ai bien fait de prendre ma décision d'en partir. Je savais que c'était un aller simple, mais pas que notre dimension allait complètement disparaitre. Je la laisse parler des réalités stables et celles instables. Ce qui veut dire que cette dimension, j'aurais pu le vivre autrement. Si ça se trouve, dans la réalité stable, j'aurais juste été la meilleure amie de Peach sans pour autant être amoureuse d'elle, où j'aurais peut-être été sincèrement amoureuse de Luigi... qui sait ?

"Alors soit je partais, soit je disparaissais..."

Peach se retourne alors et je la laisse me prendre la main. Elle a fait des vêtements exprès pour moi ? J'allais retrouver à nouveaux mes robes orangées ? C'est vrai, je ressemble beaucoup à une paysanne. J'ai même l'impression d'être la version humaine d'une Toad, le champignon sur la tête en moins, en fait.

"Tu as raison. Après plusieurs semaines de recherche, j'en ai vraiment besoin."

Nous allons donc dans un couloir. Je la laisse me guider, elle connaît beaucoup mieux son petit château que moi, après tout. Moi qui ne suis ici que depuis quelques heures. Le château n'est pas aussi grand que le Royaume Champignon, que je connais par cœur à force de m'y promener, que ce soit pour rejoindre Mario ou Peach, ou alors parler à ses Toads qui servent la Princesse et lui obéissent au doigt et à l’œil. Ce Royaume, je dois l'oublier : il aura complètement disparu d'ici là. La réalité arrivera à son terme et les quatre royaumes avec. Maintenant, je dois vivre dans le nouveau château de Peach, et comme d'habitude, elle me fera la visite, et contrairement à lorsque je suis allée au Royaume Champignon, elle ne porte non plus une robe rose avec une grande douceur et une grande délicatesse, mais un justaucorps noir avec une grande ambition.

On arrive finalement dans la salle de bain. Elle commence à remplir la baignoire. J'ai l'impression de retrouver en partie celle de mon Royaume et celle du Royaume Champignon, à la différence près que Mario et Luigi s'occupent de la plomberie quand Peach n'est pas capturée. D'ailleurs, j'aimerais en profiter pour lui demander quelque chose que j'ai au plus profond de moi.

"Peach... est-ce que tu m'accepterais en tant que Princesse de ton royaume ? Enfin, en tant que ta Princesse ?"

Bowsette se retourne et me donne sa réponse. Elle le veut bien ? Mon visage s'illumine encore plus. Bowsette s'approche encore de moi et je commence à entourer ma Peach de mes bras. Je la laisse me caresser le visage et je ferme les yeux quand elle m'embrasse. Elle veut me faire oublier Luigi, mais je suis déjà passée à autre chose.

"Tu n'en as pas besoin, ma Peach. Même quand j'étais en couple avec lui, au fond, ce n'était pas lui que j'aimais, mais toi. Je t'aime, Peach."

Je reprends le baiser. Je l'attendais depuis des années. Je suis trop épuisée pour le faire énergiquement, mais pas assez pour y mettre toute ma passion. Je la serre contre moi, pendant que ma langue se met à franchir la barrière de ses lèvres pour jouer avec la sienne. Je n'ai jamais nié mon amour que j'éprouve pour la Reine, mais je n'ai désormais plus aucune raison de le cacher. Elle m'aime, je n'ai aucun doute là-dessus.

C’était bien Daisy… Le Professeur Tastroff avait réussi quelque chose d’incroyable, à percer le mur des dimensions. Bowsette s’était toutefois renseignée depuis son arrivée sur Terra, et elle savait que, si on dressait une carte du Multivers, Terra serait en plein milieu. Les quelques mages et académiciens travaillant sur le sujet affirmaient que Terra était une véritable singularité, une planète où d’importants confluents magiques se regroupaient, ce qui expliquait sans doute pourquoi Tastroff avait pu envoyer Bowsette ici. Face à elle, Daisy répondit à son baiser, ne demandant qu’une chose : pouvoir rester près d’elle, devenir sa Princesse. Émue, Daisy en était presque aux larmes, ce qui fit sourire Bowsette. Celle-ci répondit néanmoins à son baiser, et un frisson traversa le corps de Bowsette. Malgré la sueur, la crasse, et le poids d’un voyage de plusieurs semaines, les lèvres de Daisy restaient toujours empreintes d’une sorte de douceur naturelle. Leurs langues s’entremêlèrent pendant quelques secondes, et Bowsette raffermit sa prise sur le corps de Daisy, avant de lui sourire.

« Tu as vraiment des lèvres magnifiques, Daisy… Mais tu te trompes sur un point, ma beauté. »

Le doigt ganté de Bowsette se posa sur les lèvres sucrées de Daisy. Elle avait un délicieux goût de pêche, et il tardait déjà à Bowsette d’y revenir.

« Je ne suis plus Peach. Bowser m’a transformé, il m’a libéré. Je ne suis plus cette jeune fille fragile et naïve qui espérait pouvoir raisonner Bowser, et qui attendait la venue de son prince charmant pour retourner me prélasser dans mon royaume. Et je ne souhaite pas le redevenir. Tu as dû voir un peu Terra en me recherchant, non ? C’est un monde sauvage, bien plus cruel que le Royaume Champignon. Une Peach n’aurait aucune chance de survivre ici. Bowsette, en revanche, y trouve sa place. »

Bowsette ne se formaliserait pas que Daisy continue à l’appeler Peach, mais, si Daisy pensait toujours que Bowsette fonctionnait comme Peach, elle risquait d’avoir quelques surprises. Le fonctionnement de Bowsette était bien différent, ce dont Daisy aurait de toute façon l’occasion de se rendre compte bien rapidement.

« Mais oui, pour t’ôter tout doute, tu peux rester ici, à mes côtés. Le château est grand, et je te trouverai une chambre, et un bureau. Enfin, ce sera une chambre officielle, j’espère bien te voir dans la mienne. »

Les allusions sexuelles étaient clairement appuyées. Quant à l’eau, elle continuait à monter, et Bowsette en caressa la surface, sentant la chaleur. Elle prenait toujours des bains assez chauds, mais prit tout de même soin de la refroidir un peu, consciente que Daisy n’avait qu’un corps d’humaine.

« Je me suis renseignée, tu sais. Notre monde d’origine… On l’appelle familièrement le ‘‘Multivers Noir’’. C’est… C’est comme un reflet de réalités plus stables. Ceci ne signifie pas que nous sommes des cauchemars, mais des variantes. Quelque part dans le tissu de l’infinie réalité, il existe une autre Peach, une autre Daisy, peut-être même une autre Bowsette… Moi qui pensais tout savoir au Royaume Champignon, je réalise chaque jour ici, au fur et à mesure que j’apprends, l’étendue de mon ignorance. Moi qui pensais qu’il n’y avait pas plus dangereux que Bowser, je réalise aussi que Terra recèle de dangers terribles. »

D’ici quelques instants, l’eau serait prête, et Bowsette défit son corset devant Daisy. Elle lui tournait le dos avant de se retourner, révélant un corps parfait. La transformation de Peach en Bowsette n’avait nullement enlaidi cette dernière, et c’était même plutôt l’inverse. C’était une femme plantureuse qui se dressait devant elle, qui retira ses gants et ses collants ensuite.

« Je suis donc ravie de te revoir, Daisy, car je crois bien que j’aurai besoin à mes côtés d’une Princesse qui a ton tempérament… »

Toute nue, elle s’appuya contre le rebord de la baignoire.

Difficile d’avoir des doutes, désormais, ce qui allait se passer dans cette baignoire…

Ressentir le baiser de Peach, c'est quelque chose que j'attendais depuis des années, même quand j'étais en couple avec Luigi. Je ne l'avais jamais fait car je savais qu'elle n'était pas amoureuse de moi à ce moment-là. Je pense qu'elle était plutôt amoureuse de Mario. Quand son cœur avait balancé, c'était pour Bowser, bien que c'était par un mutagène dont Bowser parlait. C'est ça qui l'avait fait devenir Bowsette d'après professeur K. Tastroff. Alors quand Peach m'avait embrassée, c'était un pur bonheur pour moi. Je la laisse raffermir son emprise sur moi, la serrant contre moi. Lorsque notre baiser langoureux se rompt, je la laisse parler.

Je sais qu'elle n'est plus Peach, sinon Bowser n'oserait surtout pas l'exiler. Je sais qu'elle est devenue complètement différente que la Princesse que j'ai rencontré quand Mario m'avait sauvée de l'emprise de Tatanga. Elle m'apprend qu'elle ne souhaite surtout pas le redevenir. Je n'ai pas l'intention de la faire redevenir la princesse naïve que j'ai connue, et pour être honnête, je m'en fiche complètement. Pour moi, c'est Peach. Une Peach différente, je ne le nierai jamais, mais une Peach quand même, celle que j'ai toujours aimé depuis notre première rencontre. Je dirais même que si Peach n'était pas devenue Bowsette, je n'aurais aucune chance d'être en couple avec elle, et je continuerais à me contenter de Luigi, que j'aimais beaucoup mais pas autant que Peach.

J'ai remarqué que Terra est un monde complètement différent du nôtre, où se trouvent le Royaume Champignon et le Royaume de Sarasaland. Les monstres y sont dangereux et j'ai pu me défendre comme j'ai pu. J'ai dû me battre contre des monstres que je n'avais jamais vu. Je n'avais pas d'épée, mais j'avais des pouvoirs innés, qui viennent directement de ma mère. Alors que Peach, si elle n'était pas Bowsette, elle se serait contenté de fuir, et si c'était impossible, je ne la reverrais plus jamais, et je me serais battue pour rien. Là, elle est Bowsette, la princesse de Bowser qui était devenue trop ambitieuse pour lui, alors elle n'avait pas fui, elle affrontait les dangers comme j'ai pu le faire pour la retrouver.

"Je sais. Si tu étais restée la Peach que j'ai rencontrée, Bowser n'oserait jamais t'exiler. Cependant, pour moi, tu es toujours Peach, seulement différente de celle que j'ai connue avant la mort de Mario."

Peach n'est plus la princesse douce et fragile que ma mère voulait que je sois, mais une reine ambitieuse qui n'hésite pas à condamner à mort un criminel qui ose lui manquer de respect. Je ne connais pas tous ses changements, mais c'est à moi de le découvrir et d'aimer ses changements en conséquence. Je sais qu'elle fera certains actes que la Peach que j'ai rencontré n'oserait jamais faire devant moi, alors je ne dois pas être surprise de ses faits et gestes.

Au moins, c'est clair comme du cristal : désormais, j'habite dans le château de Peach, et elle me trouvera un bureau de Princesse et une chambre... enfin elle est officielle, car officieusement, moi et Peach, on partagera le même lit, celle où on passera nos nuits. J'accepte sans hésitation cette proposition dont je reconnais les allusions. Quand j'en faisais quand elle était la Peach que j'ai rencontrée, elle rougissait de gêne, mais elle n'en ressent plus du tout, et elle en fait à son tour.

"Je serai dans ta chambre tous les soirs, pour profiter de toi, ma Reine."

Clairement, j'ai envie d'elle. Cela fait longtemps que j'ai accepté le fait que je l'aimais et que j'avais envie d'elle, mais je me retenais car je savais qu'elle me repousserait si je l'embrassais. C'était la Peach que j'avais rencontrée qui ferait ça, pas Bowsette, qui appuie ses allusions, comme je le ferais si la Peach que j'avais rencontrée m'aimait à ce moment-là.

Notre monde d'origine s'appelle le Multivers Noir ? Elle m'a dit que notre monde était instable et que l'on disparaissait tôt ou tard si on y restait. C'est donc un reflet des réalités plus stables ? Des variantes du Royaume Champignon ? Peach pensait tout savoir au Royaume Champignon, mais elle s'est rendue compte qu'elle avait complètement tort. Personnellement, je me dis toujours qu'on a toujours à apprendre de quoi que ce soit, alors je me sais ignorante d'une partie des aspects. Je ne savais ceependant pas que notre réalité était complètement instable. Quand elle parle de dangers terribles, je me suis directement mise à penser au dragon qui protège le château, et autant dire qu'il a l'air bien plus terrifiant que tout ce que Bowser peut faire.

"Comme ton dragon ?"

Devant moi, alors que je la lâche pour lui laisser la liberté de mouvement, elle défait son corset, qui lui sert de seul vêtement à part ses gants et ses collants. Elle me tournait le dos pour que je puisse mieux admirer ensuite, mais rien que m'imaginer ses formes me donne encore plus envie, et j'en mords la lèvre. Lorsqu'elle me retourne, elle laisse place à un corps que je ne peux pas m'empêcher d'admirer. Je ne peux pas rêver mieux. Je ne verrai jamais le corps de la Peach que j'ai connu, mais ce n'est pas un mal pour moi, car le corps de Bowsette m'est suffisante. J'ai encore plus envie d'elle, c'est certain.

Alors, comme les vêtements de voyageuse que je porte actuellement, je ne le porterai plus jamais tant que je suis la Princesse de Peach, tant que je retrouverai ma robe orange que j'ai toujours aimé porter, que Peach m'a conçue avant même que je n'arrive ici... je me mets donc, au lieu de me contenter de les enlever, à les déchirer dans le sens de la hauteur. Ce qui était couvert par mes vêtements étaient un peu sale, mais loin d'être autant que mon visage et mes mains.

"Il faudrait bien une noble énergique proche de la Reine, après tout," lui dis-je en me collant à ma Reine.

Je l'embrasse passionnément en enlevant ma couronne de ma tête et en le mettant au sol. Il sera bien nettoyé à la fin, de toute manière. Pendant mon baiser, je commence à frotter mon corps contre le sien. Sa peau est si douce, je m'en veux légèrement de le salir ainsi, mais je pense qu'elle se baignera avec moi, alors je ne m'en veux pas autant. Mes mains se posent sur les hanches de ma Peach, et se mettent à les caresser. Je ne souhaite pas trop pousser avec mon corps, car Peach est sur le rebord de la baignoire, et je ne veux pas qu'elle tombe alors que je commence à peine à profiter de son corps digne d'une déesse.

Une de mes mains commence à se glisser plus bas, vers la fente de Peach, commençant à la caresser, nos seins se frottant les uns sur les autres, me faisant soupirer dans le baiser. Je sens que le bain va être prête, et on s'y baignera ensemble.

« Comme mon dragon, oui… Mais pas uniquement. Même au niveau des États… Rien n’est comparable à ce que nous avons connu. C’est une raison supplémentaire pour pouvoir bénéficier de ton aide. »

Bowsette pouvait se montrer aussi douce que cruelle, comme si elle avait hérité du tempérament de Peach, doux et calme, et de Bowser, violent et cruel. Bowser, qui n’hésitait pas à enflammer ses propres Goombas sous la colère… Daisy se déshabilla à son tour, en déchirant ses vêtements. Un geste symbolique et clair. La Daisy vagabonde était partie, et c’était désormais une Princesse qui revenait. De fait, Bowsette comptait bien faire brûler ses anciens vêtements, désormais totalement inutiles. Nue, Daisy restait aussi belle que Bowsette. Elle n’avait pas un corps aussi épais que le sien. En devenant Bowsette, la jeune femme avait conservé une silhouette agréable, mais plus athlétique. Elle était aussi plus grand, et sourit quand Daisy la rejoignit.

Leurs corps nus se collèrent l’un à l’autre, et Bowsette pencha la tête vers Daisy, une main se posant sur sa nuque. Son autre main s’appuya sur ses hanches, et descendit rapidement, palpant les délicieuses fesses de Daisy. Elle en pressa même une, la malaxant entre ses doigts, tandis que les deux femmes s’embrassaient tendrement. Entre deux baisers, Bowsette répondit à sa Daisy, un sourire sur le coin des lèvres :

« Tu as intérêt à être énergique, ma chérie, si tu veux suivre la cadence… »

Derrière elles, l’eau continuait à monter, et les doigts de Daisy, visiblement bien curieux, allèrent titiller la lèvre intime de Bowsette. Celle-ci la laissa faire, soupirant brièvement, et sa meilleure réaction, ou tout du moins la plus palpable, fut sans aucun doute quand ses doigts se crispèrent sur sa fesse. Elle pinça cette belle chair, puis rompit le baiser après de longues secondes. Des secondes délicieuses, où elle put goûter aux agréables lèvres sucrées de Daisy. Sa main coupa ensuite l’arrivée d’eau, et elle rejoignit ensuite la baignoire, puis invita la jeune femme à la rejoindre.

Bowsette s’allongea au milieu du bassin, et Daisy se lova ensuite contre elle. La queue caudale de Bowsette glissait dans l’eau, et l’une de ses mains retourna naturellement se poser sur le fessier de Daisy.

« Cette partie-ci de ton corps, je risque de l’explorer très souvent, ma Daisy… »

L’intéressée avait des yeux bleus magnifiques. Bowsette sourit encore, et la serra contre elle. Sa queue caudale se redressa un peu, pour aller caresser les jambes de la jeune femme, glissant tendrement dessus.

« Nous allons faire l’amour dans ce bain, ma Daisy… Mon corps t’est offert, laisse parler ton inspiration… Sache juste que tu pourrais avoir quelques agréables surprises… »

Car Bowsette n’était définitivement plus Peach, et elle pouvait, selon les besoins, se doter d’appendices supplémentaires. Pour l’instant, elle posa son autre main sur la joue de Daisy, et retourna à tout le moins l’embrasser.

« Tes lèvres sont vraiment magnifiques en tout cas… Je risque de me les accaparer très souvent ! »

J'ai su que c'était un monde particulièrement dangereux, rien que les monstres que j'ai croisé et dont je me suis débrouillé pour les affronter. Heureusement, je me suis un minimum préparé, au cas où. Que ce soit avec ma fidèle batte de baseball que j'ai utilisé pour les jeux olympiques ou simplement mes pouvoirs de princesse, simplement, que j'ai utilisé à mon avantage, si j'en suis là, c'est grâce au fait que j'ai simplement refusé d'être une Princesse comme une autre. Là, apparemment, les États sont complètement différents des nôtres, et peuvent être particulièrement hostiles. Alors, on peut dire que je ne peux pas mieux tomber en étant dans le Royaume de Bowsette.

Je déchire donc tous mes vêtements que je porte jusqu'à ce que je sois complètement nue. Tous mes vêtements qui sont indignes d'une Princesse, et je pourrais porter longtemps si je restais une simple vagabonde couronnée qui ne parvient pas encore à retrouver la femme que j'aime, et du coup la Reine que j'aime plus que tout dans le Multivers. Peach ira brûler mes vêtements, de toute façon, et cela confirmera la fin de la période où je n'étais qu'une simple voyageuse à la recherche de celle qu'elle aime. Mon corps ne change pas, si ce n'est le fait qu'il est devenu sale, mais ça, le bain est là pour régler ce problème que j'avais depuis plusieurs mois.

Je laisse ma bien-aimée poser sa main sur ma nuque et son autre main sur mes hanches, puis rapidement une de mes fesses, se mettant à le malaxer ce qui me fait soupirer pendant que je l'embrasse passionnément. Je n'ai plus rien sur ma tête, juste mes boucles d'oreille en forme de marguerite accrochée à mes oreilles. Si je veux suivre la cadence ? Je la suivrai. Pas forcément tout de suite bien qu'on couche ensemble, tout simplement car mon voyage m'a épuisée, mais les jours suivants, je redeviendrai aussi dynamique que quand j'étais Princesse de Sarasaland.

"Je la suivrai, surtout les jours suivants."

Je ne me suis pas empêchée de toucher aux lèvres intimes de Bowsette pour les caresser. Sachant que c'est la première fois que je couche avec une femme. J'ai déjà couché avec un homme en la personne de Luigi, mais bien que j'aie pris mon pied avec lui, je sens qu'il ne va pas autant me satisfaire que Peach, surtout quand elle est Bowsette. Déjà, rien que le moment où ses doigts se crispent sur ma fesse me donne des frissons.

Nous rompons notre baiser. J'ai toujours voulu goûter à ses lèvres, et je n'ai pas été déçue. Le goût de pêche qui lui correspond à son nom d'origine, celle qui ne lui correspond plus à cause de sa mutation, mais qui reste au fond de moi. Peach a pu aussi apprécier le goût de mes lèvres, sucrées. Elle coupe l'eau avec sa main avant d'entrer dans sa baignoire. Je suis surtout là pour prendre mon bain, mais le faire avec elle me fait énormément plaisir. Alors, j'entre dans la baignoire à mon tour, me posant sur ma Reine en l'embrassant à nouveau et me serrant contre elle, pendant que sa main se pose à nouveau sur mes fesses. Elle aime beaucoup le cul, j'ai l'impression. Elle me le confirme.

"Tu peux l'explorer dès maintenant, tant que tu en as envie. Alors que moi, c'est plutôt là."

Je pose une main sur son pubis pour recommencer à lui caresser sa fente, avec deux de mes doigts, pendant qu'on est serrées l'une contre l'autre. Je sais que depuis qu'elle est Bowsette, elle se montre beaucoup moins... coincée, prude. Quand je lui parlais de sexe quand elle était Peach, elle rougissait, quand bien même je me forçais à le rendre le plus digeste possible. Là, en voyant et sentant ce qu'elle fait, sans la moindre gêne ni hésitation, si je lui parle de sexe, elle ne se sentira pas gênée le moins du monde, et elle accepterait sans problème les plans à 4, par exemple. C'est pour ça que je commence à me dire que si je voulais de l'exclusivité avant, aujourd'hui elle pourrait le prendre mal. Quelques agréables surprises ? J'ai hâte des les voir, alors. Est-ce qu'elle est capable de faire apparaître une bite ? En tout cas, on a déjà commencé à coucher ensemble, juste avant de se baigner.

"On a déjà commencé juste avant de prendre le bain, alors pourquoi s'arrêter là ? J'ai hâte d'en savoir plus sur tes surprises, alors."

Je la laisse poser sa main sur ma joue et attirer mon visage sur le sien pour qu'elle m'embrasse. Je ne me laisserai jamais de ses lèvres, et pour rien au monde je me permettrai de les repousser.

"Moi aussi je vais mes les accaparer souvent, ma Bowsette. Ca fait longtemps que je voulais goûter à tes lèvres, et je n'ai pas été déçue, je suis même pas loin d'y être accro."

Je l'embrasse à nouveau, plus longuement et avec grande envie et la main entre ses cuisses la caressent plus rapidement, dans l'eau, et je recommence à frotter mon corps contre le sien, surtout nos seins. Une de mes cuisses se met entre les siennes, commençant à les frotter à son tour, pas si proche de son vagin, mais quand même, alors que mon autre main se met à reprendre le sein pour commencer à les masser, deux de mes doigts en profitent pour s'appuyer sur son téton et par le masser à son tour.

Daisy allait vite constater que Bowsette n’était plus la Peach prude qu’elle avait connu, bien au contraire. Quand Bowser avait fait d’elle Bowsette, les mutations du Professeur Tastroff avaient aussi perturbé l’équilibre hormonal de la jeune Bowsette, la rendant presque nymphomane. Sur ce point, Bowser avait été un amant formidable, exceptionnel, ravageant sexuellement le corps de Bowsette à chaque occasion. Sous Peach, elle avait du mal à tenir face à ses assauts, mais, sous Bowsette, elle était bien plus endurante, jusqu’à perdurer le redoutable Koopa. Daisy allait vite le comprendre, tout comme elle allait réaliser que la monogamie n’intéressait pas Bowsette. Son royaume encore naissant aspirait à grandir, et Bowsette avait de grands projets, notamment s’allier avec d’autres puissances, et fonder un harem. Tout ce qu’elle espérait était que Daisy la suivrait, car, même si elle avait renié son ancienne existence, Bowsette restait encore proche de Daisy, son amie d’enfance, la première qui lui avait parlé de sexe, du sexe des garçons. Peach rougissait comme une pivoine à l’époque.

Maintenant, elles étaient toutes les deux allongées dans l’eau du bain, un grand bain, et Bowsette sourit quand Daisy demanda à voir les « surprises » de Bowsette. Celle-ci sourit en retour, sa main se crispant sur le cul de Daisy.

« Nous verrons cela quand tu auras repris des forces, Daisy… Ne t’inquiète pas, je vais prendre soin comme il faut de ton magnifique corps. »

Daisy retourna l’embrasser, et glissa sa main entre ses cuisses. L’intimité de Bowsette était imberbe, très proprement et intégralement épilée. Celle-ci écarta les cuisses pour faciliter l’accès de la jeune femme, et prolongea son baiser avec elle. Un délicieux soupir s’échappa de ses lèvres, et Daisy enfonça sa langue dans sa bouche, jouant avec elle. Le baiser s’avéra plus long que le premier, pour le grand plaisir mutuel des deux femmes.

« Hmmm… »

Les lèvres de Daisy étaient magnifiques, très sucrées. Leurs langues jouèrent ensemble, et, tandis que Daisy titillait son intimité, les doigts de Bowsette, elles, titillèrent le fondement de la jeune femme. Elle sentit le corps de Daisy se crisper naturellement. Sa queue caudale se redressa au passage, et s’enroula autour de l’une des jambes de Daisy. Bowsette soupira encore, goûtant à la bouche de sa partenaire. Le baiser dura assez longtemps, et elle sentit l’autre main de Daisy titiller son sein.

Le téton se mit à durcir, et Bowsette gémit encore.

« Oui, je te ferai découvrir que je suis une femme nouvelle, Daisy… Des plaisirs infinis et inattendus t’attendent désormais avec moi. C’est amusant, non ? Il a fallu attendre que nous soyons dans une autre dimension pour pouvoir enfin nous rapprocher l’une de l’autre… »

Bowsette l’embrassa à nouveau, plus sauvagement, plus passionnément.

« Je vais aussi t’habituer à tous les types de plaisir, même ceux qui peuvent sembler les plus pervers… »

Est-ce que quelqu’un avait déjà titillé comme Bowsette le fondement de Daisy ? Elle glissait ses doigts contre sa croupe, et avança son autre main. Elle écarta l’une des fesses de Daisy, afin de faciliter l’accès à sa croupe avec son autre main, entourant ainsi Daisy par ses puissants bras. Elles pouvaient bien sûr encore s’embrasser, tant Bowsette raffolait des lèvres de sa partenaire. Elle continuait à titiller son postérieur, et finit par apposer son doigt contre sa porte arrière… Avant de s’y enfoncer lentement, tout en soupirant doucement et profondément.

Oui, ensemble, elles allaient se faire sacrément plaisir…

Entre la Peach qui rougit à chaque fois que je parle de sexe et la Bowsette qui me propose elle-même de coucher avec elle, il y a déjà une sacré différence. De toute manière, je savais parfaitement que Peach et Bowsette sont différentes, car sinon Bowser resterait avec elle. Si Bowser lui-même avait décidé d'exiler Bowsette, je savais que c'est parce que Peach avait complètement changé, et qu'il n'a pas pu être prêt au moindre changement dans son caractère. Alors que moi, si, j'étais prête à m'adapter à son changement. Bowser voyait en Peach sa délicatesse, mais pas ce qu'elle est capable de faire si on la pousse un peu. Au fond, cette mutation l'a poussé, beaucoup, même. D'une princesse délicate, elle est devenue une reine imposante, mais fatale. Une femme fatale pourrait servir de ses charmes, que ce soit physiques ou mentales, et je peux supposer qu'avec une beauté fatale, elle serait incapable de vouloir de l'exclusivité, et c'est pour ça que je mets complètement de côté la monogamie. Pourquoi est-ce que son corps ne devrait appartenir qu'à moi et à moi seule, alors qu'avec sa beauté elle devrait séduire n'importe qui ?

Nous verrons ça quand j'aurais récupéré ? D'accord, j'attends de voir ça, mais en attendant, je profite de l'instant que Peach m'offre. Elle va prendre soin de moi, de sa princesse de son nouveau Royaume Champignon. J'embrasse ma reine à nouveau en continuant de lui caresser sa fente, plus rapidement. Je gémis en sentant ses doigts caresser mon anus, et je laisse la queue de Peach s'enrouler autour de ma jambe. Ça fait partie d'elle depuis sa mutation, alors je ne le refuse jamais. Mon autre main se met à caresser le sein, dont le téton, et je le sens, commence à se pointer.

Peach rompt le baiser pour me dire qu'elle va me faire découvrir qu'elle est une femme nouvelle. Je n'ai jamais eu autant de plaisir qu'avec ma reine. Alors qu'elle rougissait à chaque fois que je lui parlais de sexe, c'est désormais à elle de me faire découvrir les plaisirs que je n'aurais peut-être pas imaginé. En attendant, je remercierais presque Bowser de l'avoir exilée et de m'avoir aidée à franchir le portail qu'elle a traversé.

"Je remercierais presque Bowser de nous avoir donné cette occasion en or. S'il ne t'avait pas fait changer, rien de tout cela ne serait pensable, après tout."

Bowsette m'embrasse plus sauvagement et je lui répond avec cette même fougue et cette même passion. C'est à moi de m'adapter à ce qu'elle est devenue, puisque Bowser en est incapable. Elle veut me faire découvrir de nouveaux plaisirs, et tant mieux car Luigi, lorsqu'il couchait avec moi, c'était plus des coïts, des fellations, des cunni et de la masturbation, alors je sais très bien que les plaisirs charnels ne se résument pas à ça, loin de là. Rien que le fait que Peach s'occupe de mon anus me fait dire que ça allait être différent qu'avec mon ex-petit-ami, la personne dont j'ai été la femme de sa vie.

"De toute manière, je sais que les fantasmes de Luigi sont plutôt classiques, alors j'ai hâte de découvrir ces plaisirs."

Je laisse Peach faire en soupirant, me serrant contre celle qui fait battre mon cœur, et pendant qu'elle me fait tout ça, je l'embrasse à nouveau de manière aussi sauvage qu'elle me l'a fait, avec une grande passion. Mes doigts qui se mettent à lui caresser la fente accélèrent le mouvement et je commence à gémir dans le baiser en sentant son doigt entrer dans mon anus. Je n'ai jamais ressenti ce plaisir à cet endroit, et je ne le regrette pas. Mes doigts commencent à leur tour d'entrer dans sa fente, mais moins délicatement, et je commence à faire coulisser mes doigts en elle. Je rends le baiser de plus en plus fougueux pendant que je continue de gémir.

Bowsette avait retrouvé sa Daisy, et Daisy avait retrouvé celle qui, jadis, était Peach. Et Daisy pouvait maintenant percevoir les différences. Plus forte, plus assumée, plus autoritaire, Bowsette semblait être le reflet inverse de Peach, remplaçant sa douceur et sa timidité par de l’autorité et une forte dose de perversion, ce à quoi Daisy était manifestement loin d’être insensible. Difficile de lutter face à elle, et les deux femmes retournèrent s’embrasser, tout en venant à se caresser de plus en plus intimement. Les doigts de Daisy jouaient dans son intimité, et, réciproquement, Bowsette s’attaquait à son fondement, titillant son délicieux cul. Elle sentait Daisy se dandiner sur place, et esquissa un léger sourire, semblant avoir décelé le point faible de la jeune femme, surtout quand elle évoqua les fantasmes « classiques » de Luigi.

À cette idée, la queue caudale de Bowsette se crispa sur la jambe de Daisy, remontant doucement, tandis que son autre main, celle qui ne s’attaquait pas à son fessier, se posa sur le menton de Daisy, relevant son visage.

« Hum… Dois-je en conclure que feu Luigi ne t’a jamais touché par là ? » demanda-t-elle en enfonçant un peu plus fermement son doigt dans son fondement, faisant hoqueter Daisy.

En retour, Bowsette sourit encore, comprenant qu’elle avait touché un point sensible. Daisy avait visiblement des penchants inavoués pour tout ce qui avait trait à l’anal. Avait-elle déjà pu envisager de proposer cela à Luigi ? Hélas, si l’homme était aussi maladroit et peu réceptif que son frère, la pauvre n’avait jamais dû avoir ce qu’elle voulait ! Bowsette lui sourit encore, et déposa un bref baiser sur ses lèvres, sentant les doigts de Daisy remuer en elle. Elle soupirait lentement, appréciant ce contact.

De son côté, son doigt continuait à glisser, s’enfonçant plus profondément, et elle commença à en aventurer un second lorsqu’elle recula le premier, collant à ce premier doigt le second.

« Oui, c’est bien ça… Je vois la manière dont ton corps se contracte, dont tes muscles se tendent, hum… Voilà bien une chose que je te promets, ma belle. Après ce bain, quand tu seras rétablie, je te sodomiserai. Je défoncerai ton petit cul avec toute ma rage, et ce ne sera là que le début de notre nouvelle relation. J’exaucerai tous mes fantasmes, ma chérie, même les plus pervers… »

Surtout les plus pervers, en fait ! Bowsette était bien décidée à continuer à jouer avec Daisy, mais, pour l’heure, elle se contentait de l’aider à se laver, et à profiter à nouveau du corps d’une femme, de la douceur et de la chaleur, de toutes ces choses dont la pauvre avait dû manquer en explorant Terra seule…

Inconsciemment, je lui ai laissé un indice en lui disant que les fantasmes de Luigi sont plutôt classiques, parce que ça veut clairement dire que ce qu'on faisait n'était pas suffisant pour moi, et je voulais quelque chose de plus exotique. J'avais déjà demandé à Luigi quelque chose d'un peu exotique, mais pas trop pour qu'il ne me traite pas vraiment de perverse, et il me regardait bizarrement. Depuis, je me contentais de positions classiques. Si je ne restais pas sur ma faim, je me disais par contre que j'aurais voulu de quelque chose de plus particulier. Cependant, comme j'étais encore Princesse de Sarasaland, je m'étais juré de ne jamais tromper Luigi, malgré l'amour que je porte en permanence pour Peach. Maintenant, Bowser a exilé Peach, et je m'exilais moi-même pour la revoir en sachant parfaitement que ses mutations l'ont changée. C'est là que je pouvais commencer à espérer être avec la femme que j'ai toujours aimé.

La queue de Bowsette se crispe sur ma jambe, et je la laisse faire. La main libre de ma Reine se pose sur mon menton pour relever ma tête. Elle peut conclure que Luigi n'a jamais touché à mon cul. Il n'oserait pas du tout. Je sens les doigts de Peach dans mon cul s'enfoncent plus fermement dedans et ça me fait hoqueter et mes membres se tendent, me serrant encore plus contre la Reine que j'aime, mes doigts se crispent en elle. Peach me vole un rapide baiser que je ne refuse absolument pas. Le doigt de la mutante commence à entrer dans mon cul, me faisant gémir et me faisant tendre sur elle. Celle-ci recule pour qu'un deuxième doigt le rejoigne, se collant à lui, et ils rentrent dans mon fondement, me faisant plus fortement soupirer.

Elle a bien remarqué que j'aime ce qui est attrait à l'anal. Elle me promets qu'une fois que je serai rétablie, elle me sodomiserait ? Autant ça me ferait très plaisir, autant... je commence à me demander si elle peut faire apparaître une verge pour qu'elle me promette ce genre de choses. Ça me plairait, mais je ne pensais pas que ce soit possible. Peut-être que sa mutation le lui permet et que je reste une humaine qui voulait vraiment entamer une relation avec celle qu'elle a toujours aimée.

"Ta mutation t'a permise de te faire apparaître une verge ?"

Je ne pensais pas que c'était possible. Je ne pensais même pas qu'une femme puisse avoir une verge, pour être honnête. Aucune femme à ma connaissance ne pouvait le faire. Bowsette si ? Ça me plairait beaucoup, et ça me ferait une belle découverte. Après, je peux comprendre qu'elle puisse avoir une rage, après tout, elle est devenue en partie Koopa. C'est normal qu'elle puisse avoir une cadence qui puisse être difficile à suivre, maintenant qu'elle est devenue beaucoup plus affirmée. C'est juste cette révélation qui me surprend en bien.

Bowsette sourit doucement devant les interrogations de Daisy. Son corps se lovait tendrement et sensuellement contre le sien, comme si, inconsciemment, elle guettait cette affection dont on l’avait privé pendant ses semaines d’exploration et d’errance sur Terra. Bowsette avait trouvé une zone sensible, et Daisy allait vite constater que, contrairement à Peach, Bowsette parlait sans vergogne du sexe, et se montrait terriblement perverse. C’était à se demander si ce fond de perversion n’avait pas toujours été là, en elle, prêt à sortir à la moindre secousse. Et cette secousse avait eu lieu quand Bowser et Tastroff l’avaient transformé. Depuis lors, Bowsette n’avait cessé d’évoluer, jusqu’à s’émanciper de Bowser, prendre ses propres ailes, et devenir la puissante Reine qui prenait son bain avec Daisy.

Celle-ci lui demanda alors, avec un minimum d’incrédulité, si elle était capable de faire sortir une verge de son corps. Bowsette ne manqua pas de sourire malicieusement devant cette question, et ne répondit pas immédiatement à Daisy. Sa main était toujours nonchalamment posée sur ses fesses, palpant son postérieur, et elle se pencha vers elle, allant l’embrasser sensuellement. Bowsette semblait vouloir prendre son temps, et sourit ensuite à la jeune femme.

« Je suppose que tu as dû entendre parler d’hermaphrodisme sur Terra, non ? Cette planète est vraiment… Différente de la nôtre. Il n’y a pas de Koopas et des races comme chez nous, mais la magie est très présente. Elle a influé sur mes performances, et je me suis découverte… De nouveaux pouvoirs. Je suppose que le Professeur Tastroff n’avait pas pensé à cela quand il m’a transformé… »

Bowsette frotta doucement son nez contre celui de Daisy, et l’embrassa sur la joue, puis lécha son oreille, avant de confirmer ce que celle-ci souhaitait savoir :

« Oui, Daisy, je peux avoir un phallus. »

Elle se retira ensuite, et esquissa un léger sourire amusé, comme pour laisser à Daisy le soin de comprendre ce qu’elle venait d’avouer. Elle pouvait lire la surprise dans les yeux de la jeune Princesse. Bowsette plaisantait-elle ? Se moquait-elle ? Mais ce n’était pas le genre de la souveraine, qui semblait surtout s’amuser de l’émotion qu’elle suscitait dans l’esprit de sa partenaire.

« Mais je ne te le montrerai pas dans le bain… Ce sera tout à l’heure, quand tu seras propre, prête, et dans ta belle robe de Princesse. C’est là, ma chérie, c’est comme ça, et pas autrement, que je te baiserai de tout mon soûl ! »

C’était presque poétique… Si tant est que Bowsette parlait, en définitive, de sexe intensif avec sa Daisy !

Niveau sexuel, entre Peach et Bowsette, je me rends compte que c'est le jour et la nuit : une coincée et une vraie perverse, c'est vraiment un choc, mais est-ce que c'est si étonnant quand on sait que Peach s'est transformée en Bowsette, la changeant intégralement ? Après, le fait qu'elle est incapable de se faire pousser une verge, je ne pensais pas du tout que c'était possible. Je continue de soupirer en sentant ses doigts continuer de palper mes fesses, et je réponds au baiser de ma reine.

Si j'ai entendu parler d'hermaphrodisme... j'ai entendu ce mot, en fait, mais sans vraiment savoir de quoi il s'agit. Ils semblent savoir ce que c'est, mais je n'ai pas vraiment été curieuse. On a déjà dit d'elle qu'elle était hermaphrodite, mais comme je ne savais pas ce que c'est, c'est difficile pour moi d'avoir une idée de ce que ça veut dire. J'ai bien remarqué que cette planète était très différente, d'ailleurs. Pas de Koopa, pas de Toad, pas de Goomba... mais pour ce qui est de la magie, je comprends tout à fait que ça existe. Elle est devenue encore plus perverse grâce à la magie ? En tout cas, Karl Tastroff ne m'en avait jamais parlé, et je ne suis pas certaine qu'il en ait entendu parler.

Je la laisse me faire ces gestes d'affection, limite je ferme les yeux pour profiter. Bowsette m'avoue donc qu'elle peut faire apparaitre un phallus. Je suis fortement et agréablement surprise. J'ai vraiment hâte de voir cette verge ! Je suis sûre qu'elle est meilleure que celle de Luigi, d'ailleurs. Mais bon, j'espère qu'elle ne plaisante pas du tout, car sinon je risquerai de la bouder un moment. Heureusement, il ne lui semble pas, ça n'a pas du tout l'air d'être son genre. Peach est souvent honnête dans ce qu'elle dit, alors je suppose que c'est toujours son cas quand elle est Bowsette.

Mais elle ne vas pas le montrer dans le bain, ce sera toute à l'heure, quand je serai propre et en pleine forme. J'espère avoir les reins qui supportent le fait qu'elle va me sodomiser de tout son soûl. Dans tous les cas, j'ai hâte. J'ai hâte de voir cette verge dans ma bouche et dans mon anus.

"Alors j'ai hâte d'avoir ce moment, ma Reine. J'ai hâte d'avoir ton phallus dans ma bouche ou dans mon anus."

Je l'embrasse passionnément en continuant de la doigter de plus en plus intensément. Je profite de ce baiser pour caresser sa langue avec la mienne pendant que ma main qui la serrait contre moi commence à glisser pour commencer à prendre un de ses gros seins en main. Avant, la poitrine de Peach était plutôt dans la normale. En fait, nos seins étaient comparables. Plus maintenant, ils sont bien plus gros que les miens, mais est-ce que c'est si étonnant ? Ma main sur le sein commence à le serrer, la paume commençant à se frotter à ce sein. J'ai hâte de l'avoir dans ma bouche, pour être honnête, plus que quand elle était Peach.

Bowsette comptait bien montrer cela à Daisy. Sa verge, ce membre chaud et turgescent. Elles s’embrassèrent encore, et, après avoir appris que Bowsette avait son membre, Daisy semblait encore plus excitée. Bowsette pouvait le comprendre, même si elle ne mentait pas du tout en lui affirmant qu’elle allait la baiser très fort. Mais, pour l’heure, la Reine préférait faire de nouveau connaissance avec son amie. Daisy s’attaqua à ses lèvres, mais surtout à ses seins. Bowsette sourit doucement en la voyant palper sa grosse poitrine avec ses mains. Jadis, Daisy avait une poitrine plus développée que celle de Peach, mais, suite à sa transformation, les proportions s’étaient inversées. Sans s’enlaidir, Bowsette avait gagné en poids. Son corps était plus épais, plus osseux, et ses seins avaient poussé.

La belle Reine soupira lentement, et se mordilla les lèvres en remuant lentement sur place.

« Hmmm… »

C’était très agréable, surtout quand Daisy commença à palper ses seins avec ses lèvres. Elle titilla ses tétons, s’y frottant longuement avec ses doigts. Bowsette ne pouvait que la laisser faire, poussant de longs soupirs en sentant ses tétons durcir. Sa main se crispa sur les cheveux de Daisy, et elle appuya dessus, la forçant ainsi à se rapprocher de sa poitrine. Ses lèvres se retrouvèrent ainsi à hauteur de l’un de ses tétons.

« Là, vas-y, utilise ta bouche, ma belle, vas-y… »

Bowsette soupirait longuement, sentant le désir remonter en elle, et s’imaginait déjà la pénétrer, la faire hurler de plaisir, s’enfoncer longuement et puissamment dans son corps. Mais, pour l’heure, elles continuaient à s’effeuiller doucement, à se titiller tendrement.

« Frotte tes tétons contre les miens, Daisy… Vas-y, tu verras comme c’est agréable… »

Sa voix devenait plus lente, plus profonde, plus passionnelle et plus sensuelle. Elle soupirait lentement, rougissant sur place, et laissa Daisy s’activer. Quand leurs tétons se touchèrent, Bowsette soupira encore, et maintint sa main sur les cheveux de Daisy, puis vint partager avec elle un long baiser, sensuel et appuyé, tandis que son autre main alla se crisper contre le cul de sa partenaire. Elle serra dessus, malaxant sa chair entre ses doigts, et fourra sa langue dans sa bouche. Oui, Bowsette était infiniment plus dirigiste que Peach, et n’hésitait pas à s’emparer du corps de Daisy…

…Et là, en ce moment, il fallait bien avouer qu’il était très tentant de déployer sa verge, et de la pénétrer vigoureusement et avec énergie. Mais Bowsette savait se contenir, et soupira à nouveau. Après ce nouveau baiser, elle enchaîna :

« J’ai personnellement très envie de passer à la suite, Daisy… Pas toi ? »

Bowsette faisait référence à leur sauterie à venir, mais attrapa aussi un savon.

« Je vais m’occuper de te nettoyer, ma belle… »

Aussi envieuse soit-elle de passer à la suite, il ne fallait pas précipiter les choses, et Bowsette voulait faire lentement monter le désir chez Daisy, afin de pouvoir la baiser encore plus fort ensuite…

C'était quelque chose que je m'attendais pas du tout, mais qui me plait beaucoup : Peach a désormais une verge depuis qu'elle est à Terra ? Je me demande est-ce que c'est vraiment sa transformation qui est comme ça ou est-ce que c'est à cause de la magie de Terra. Elle connait beaucoup mieux son corps que moi, surtout que sa transformation est encore récente. Alors, je ne peux que la croire. Évidemment, elle va me sodomiser de manière très forte, ce qui ne m'étonnerait pas. J'ai hâte qu'on le fasse vraiment, mais pour l'instant, je préfère prendre mon temps.

En attendant, j'ai bien envie de mettre ses seins plus volumineux qu'avant dans ma bouche. J'ai beau adorer ses lèvres, ses seins m'attirent beaucoup. De toute manière, le fait de lécher ses seins va lui faire plaisir, je le sais. Alors, après le gémissement de ma reine, je baisse ma tête pendant que je lâche un des seins pour commencer à embrasser ce sein libéré, puis l'autre, changeant de sein quand j'en ai envie, et quand je lâche le sein de la bouche, ma main la plus proche s'occupant à son tour du sein que ma bouche venait de libérer.

Je lèche le sein qui est près de ma bouche pendant que mes doigts commencent à s'occuper de son téton, commençant à le caresser, puis à le frotter longuement. Je commence à sentir ses tétons durcir, ce qui me donne encore plus envie de m'occuper d'eux. Je continue donc avec plus de passion de lécher le sein, et bien sûr je change de sein quand j'en ai envie. C'est là que je commence à sentir la main de Bowsette appuyer sur ma tête, me faisant encore plus approcher de sa poitrine, et en quelque sorte me forçant à rester sur celle qui est déjà en train d'être léchée.

Lorsqu'elle me dit d'utiliser ma bouche, je me mets à la regarder dans les yeux en commençant vraiment à mettre le sein dans ma bouche, le fermant en le léchant, et mon envie fait que le traitement est plus intense. Le téton se fait désormais emprisonner dans ma bouche, et je le lèche avec une grande passion, et mes doigts se frottent encore plus intensément, et la main commence vraiment à malaxer le sein, et à se serrer dessus, la paume se frottant au téton.

Bowsette me dit ensuite de frotter mes tétons contre les siens, de manière plus lente, profonde et sensuelle. Je relève donc ma tête et je me mets à l'enlacer, la faisant approcher un peu plus de moi, regardant nos seins, et je pose mes seins sur les siens. Une fois cela fait, je regarde à nouveau ma reine, posant mon front sur le sien en la regardant, et commençant à bouger mon torse pour que mes seins commencent à se frotter aux siens. Je viens de me rendre compte d'à quel point c'est agréable, me faisant soupirer de plaisir pendant que je me mets à lui masser le dos.

Je me fais embrasser par la femme que j'aime, et on prolonge toutes les deux le baiser long, passionné, sensuel... pendant que ma main qui était de caresser son dos commence à descendre vers ses fesses, commençant à le masser pendant qu'elle prend mon fessier en main, me faisant gémir, et notre baiser devient langoureux, nos langues commençant à faire une danse endiablée. Je ne regrette absolument pas que Peach soit devenue Bowsette, au contraire. J'aurais pu être entreprenante si Peach n'était pas aussi coincée. Elle qui était fortement gênée quand mon visage s'est approché du sien. Mon envie de lui voler un baiser, même petit, était forte, mais comme elle était beaucoup plus amoureuse de Mario que de moi, je m'abstenais. Là, je ne m'abstiens pour rien, car Peach est devenue Bowsette, beaucoup plus affirmée, beaucoup plus forte.

Elle met fin au baiser, me disant qu'elle a très envie de passer à la suite. J'ai hâte aussi, pour être honnête. J'ai hâte de voir son nouveau pénis et de le voir entrer dans mes orifices.

"J'en ai très envie aussi, ma Bowsette."

Mais pour l'instant, on peut le retarder, bien que j'aie hâte de voir ça. Je la vois attraper le savon, commençant à me nettoyer, et je la laisse faire, l'aidant même. De toute manière, elle est allée dans mon bain pour m'accompagner et profiter un peu de mon corps, plus que par nécessité de se laver elle-même. Elle est déjà très propre, alors que moi, je suis salie par mes aventures.

Je me mets debout, ne cachant absolument rien devant elle. De toute manière, on n'a fait que commencer. Je me mets dos à elle afin qu'elle me lave le dos, frissonnant avec ses contacts. J'ai déjà bien envie de continuer avec elle, et elle ne fait qu'intensifier mon envie. Je la laisse faire, soupirant quand elle lave mes parties érogènes.

Bowsette sourit en voyant Daisy se relever. Sa partenaire était ravie d’être ici, très excitée, et Bowsette pouvait le comprendre, car elle partageait volontiers sa position. La belle Daisy se releva donc, pour que Bowsette puisse la nettoyer, mais celle-ci mit quelques secondes avant de se relever. Elle observa en effet le corps parfait de Daisy, ses longues jambes fuselées, son merveilleux cul rebondi, son superbe dos, et ses cheveux qui tombaient au milieu de son dos, une belle cascade de chevelure brune. Bowsette sourit doucement, et se redressa alors à son tour.

Son corps trempé se lova dans le dos de Daisy, ses seins s’enfoncèrent dans son dos, et Bowsette soupira lentement. Elle embrassa la femme dans le creux du cou, et déplaça ses mains. Celle ne tenant pas le savon se déplaça sur le ventre de Daisy, nettoyant sa peau autour de son nombril. Bowsette y allait lentement, mais non moins sensuellement. Elle se pressait contre son corps, soupirant langoureusement, frottant ensuite son nez sur son visage, glissant sur sa joue et sur son oreille.

« Ta peau est vraiment incroyable, Daisy, je me dois de la nettoyer… Partout. »

La puissante verge de Bowsette aurait pu sortir maintenant, mais la jeune souveraine avait aussi envie de faire patienter un peu Daisy, de la titiller, de maintenir sa frustration. Elle sentait Daisy se frotter contre elle, et pinçait son téton. Les seins de Daisy gonflaient et se durcissaient doucement. Elle se cambra contre elle, comme pour épouser la forme de ses reins. Bowsette remonta alors sa main, et récupéra le savon avec son autre main. Elle le frotta alors contre les seins de Daisy, et, avec sa main libre, imbibée de savon, elle alla caresser les lèvres intimes de Daisy, glissant sur ses poils pubiens.

« Il va aussi falloir que je t’épile par là… Tu n’as pas eu l’occasion de prendre soin de ton corps comme celui-ci le mériterait lors de ton voyage… Mais, pour l’heure, je vais aussi nettoyer là… En profondeur. »

Bowsette susurrait ses mots doux, malicieusement, tendrement. Elle glissa deux doigts dans l’intimité de la jeune Princesse, et caressa ainsi son sexe. Ses doigts s’enfoncèrent le long de ses parois intimes, et, peu à peu, Bowsette vint uniquement se concentrer sur ça, sur le mouvement de ses doigts. Elle doigtait Daisy avec talent, avec passion, et sentait un frisson la traverser, se délectant des soupirs de plaisir de la jeune femme. Bowsette s’en pinçait les lèvres, et déposa le savon à côté d’elle, usant de son autre main pour jouer à nouveau avec les seins de Daisy. Sa queue caudale s’enroula autour de l’une de ses jambes, et elle remonta ses doigts, les fourrant dans la bouche de Daisy, comme pour que celle-ci les suce, ou les mordille.

La belle Bowsette soupira à nouveau, et pinça le clitoris de Daisy, titillant son bouton de plaisir.

« Là, là… Je vais purger ton corps de tout ce que tu as vécu. Tu es ma Princesse, Daisy, et je ne te laisserai plus jamais me quitter. »

Daisy allait découvrir plusieurs choses sur son amie d’enfance. Elle était bien plus perverse, oui, et laissait désormais libre cours à des fantasmes dont elle ne se serait jamais crue capable autrefois. La sodomie, bien sûr, mais aussi le fétichisme, ou même le sado-masochisme. Daisy allait ainsi vite remarquer que Bowsette n’avait plus les limites de Peach. Mais, tout comme Peach en revanche, elle avait conservé son affection, mais une affection bien plus marquante. Bowsette pouvait se montrer très possessive, très entreprenante, et elle se pressait donc naturellement contre le corps de sa Daisy, sa Daisy qu’elle avait retrouvée…

…Et qu’elle ne comptait pas laisser partir !

En me levant, je laisse Peach profiter de mon corps, car avant, le plus dénudé qu'elle pouvait voir chez moi, c'est lorsque j'étais au tennis, avec un short et un débardeur. Ça lui donnait une idée de mon corps, bien sûr, bien que je ne fasse pas ça pour elle, mais pour me mettre à l'aise quand je faisais du tennis avec elle. Par contre, c'était tout ce qu'elle pouvait voir, qu'on soit alliées ou adversaires. De toute manière, à ce moment-là, elle était Peach, la princesse douce et facilement gênée, pas Bowsette, la reine d'une grande force et avec une grande perversion. Si on me disait ça quand j'avais rencontré Peach, jamais je ne l'aurais cru.

Je sens le corps de ma reine se lover contre mon dos, et je ferme les yeux pour profiter, tout en levant la tête en souriant pour la laisser profiter de tout mon corps. Justement, Bowsette en profite pour l'embrasser, me faisant gémir doucement, pendant que mes mains se posent sur les hanches de la femme que j'aime, alors que mon corps dandine doucement sur place. Je la laisse complètement faire, me laissant laver mon ventre, autour de mon nombril. Vas-y, nettoie mon corps partout. Tu es dans mon bain surtout pour ça.

J'ai hâte de voir la verge de celle qui allait devenir ma femme. Pendant que je me frotte doucement contre Bowsette, je commence à sentir un sein se faire pincer, me faisant soupirer, et gonflant un peu mes seins tout en durcissant mes tétons. Je me cambre contre ma reine, pendant qu'une main se frotte sur mon sein, me faisant encore gémir, alors que l'autre commence à caresser ma fente, ce qui rend mon gémissement un peu plus fort. Je pense que oui, j'ai besoin d'être épilée, car après plusieurs mois de survie dans ce monde sans pitié, je n'ai pas eu le temps de m'occuper de moi-même, me contentant de nettoyer ma couronne avec mes larmes.

Pour l'heure, elle va nettoyer mon vagin en profondeur, et mes gémissements s'intensifient, pendant que je continue de la laisser faire. J'ai l'impression que Peach a toujours eu ce talent caché malgré qu'elle soit facilement gênée avant de devenir Bowsette. Je m'étais mise à penser ça car tous ces mouvements, tout ce qu'elle me fait en moi... comment est-ce que ça pourrait me laisser indifférente ? Moi-même je n'aurais pas fait autant plaisir à Bowsette avec ces mouvements. On dirait qu'elle a souvent couché avec des femmes, et après plusieurs mois, ça peut se comprendre au vu du fait qu'elle soit devenue complètement... différente.

Pendant qu'elle me doigte avec passion, me faisant gémir d'un grand plaisir, les doigts de la main qui palpait mes seins se mettent dans la bouche, et donc pendant que je gémis, je ferme ma bouche dessus en commençant à les sucer, bougeant doucement ma tête pour que ces doigts coulissent dans la bouche, comme si ces doigts étaient un phallus. Comme si j'allais me préparer à ce que j'attends de la part de la reine que j'ai toujours aimé.

D'un coup, je sens mon clitoris se faire pincer, me faisant couiner de plaisir pendant que je continue de sucer ses doigts. Je l'écoute pendant que je continue de lui sucer les doigts. Je suis sa princesse, et je suis heureuse de l'entendre. J'ai toujours voulu être sa princesse, depuis notre première rencontre. Je n'ai plus aucune intention de la quitter, après tout ce que j'ai fait pour la retrouver. Petit à petit, je retire les doigts de Bowsette de ma bouche pour lui parler.

"Après tout ce que j'ai fait pour te retrouver, pendant tout ce temps... jamais je ne te quitterai. Je serai toute ma vie dans ton Royaume Champignon, et je n'en sortirai que pour mon rôle de Princesse."

Je tourne ma tête pour qu'elle se tourne vers celle de Bowsette. Bowsette que j'aime plus que Peach. C'est une seule et même personne, et peu de gens ici ne le savent. Avec Bowsette, je ne peux qu'être moi-même, complètement au naturel. Avec Peach, je dois mesurer le moindre de mes mots pour éviter de la gêner. Je l'embrasse avec une grande passion et une grande envie, massant ses hanches que mes mains continuent de tenir. J'ai envie d'avoir plus de la part de la Reine. Nos corps se serrent entre eux, surtout avec les bras puissantes de Bowsette, qui font que je ne peux plus me décoller... et j'aime ça. Notre baiser devient rapidement ardent, pendant que ma langue se met à jouer avec celle de Bowsette.

Peu importe combien de maris et de femmes Bowsette aura, tant que je suis toujours aussi proche de la Reine, c'est tout ce qui compte pour moi. Je sais que j'aurai de l'importance pour son Royaume... ou notre Royaume, car je sais que Bowsette partagera son Royaume avec moi. J'ai toujours été la confidente de Peach, et donc je sais que je peux conseiller la Reine. Mais je ne suis pas ici pour le partage de son Royaume, mais pour elle.

Les deux femmes s’embrassèrent à nouveau, après s’être promises l’une à l’autre. Bowsette ne voulait plus se séparer de Daisy. C’était aussi simple que ça. Elle aimait sa Daisy, elle l’aimait profondément, et cet amour ne datait pas d’hier. Elle l’aimait depuis qu’elle était Peach, et, parmi toutes les choses que Bowsette avait hérité de Peach, il y avait cet amour. Une forme initiale d’adoration pour une Princesse aussi forte, qui ne mâchait pas ses mots, et qui avait peu à peu évolué. Sous Bowsette, cette adoration était devenue une forme de respect, et… De désir latent, profond. Elles s’embrassèrent donc, longuement, la langue de Bowsette s’enfonçant dans la bouche de Daisy, jouant avec la sienne.

« Hmmmm… »

C’était un baiser fameux, savoureux. Bowsette pinça les seins de Daisy, et celle-ci put alors sentir la queue caudale de Bowsette remonter sur sa jambe, s’enroulant sur sa peau, gagnant petit à petit de l’espace, jusqu’à ce que la pointe titille son antre intime. Bowsette rompit alors le baiser, un filet de salive reliant leurs lèvres. Elle la balaya de la langue, puis sourit à son amoureuse.

« Laisse-moi t’offrir un avant-goût… »

Sa queue caudale remonta encore. C’était une belle queue, hérissée de quelques picots, des pointes rondes qui vinrent se frotter contre les parois intimes de Daisy. La queue s’enfonça sur quelques centimètres, et Bowsette se délecta des soupirs de sa dulcinée. Elle pinça ses seins, tirant sur les tétons avec ses deux mains, et resta dans son dos, se lovant contre elle. Se mordillant encore les lèvres, Bowsette s’occupait bien d’elle. Sa queue caudale s’enfonça donc, et remua en elle.

C’était une belle pénétration, quoique différente de la sensation d’une verge, vu que la queue n’avait pas vraiment une forme phallique. Frissonnant lentement, Bowsette continuait à pétrit son corps, remuant son bassin dans son dos, tapant contre ses fesses.

« Tu as vraiment un délicieux cul… Sache que je vais m’en occuper très souvent, ma belle… Han, je vais tellement adorer t’enculer, ma belle ! »

Des mots délicieusement crus, témoignant de la perversité de Bowsette, de son excitation profonde. Elle écarta chaque sein l’une de l’autre, et se pressa à nouveau contre elle, léchant son cou, mordillant sa chair.

« J’en suis sûre, ma Daisy… Je veux que tu m’épouses… Que tu sois ma femme, unie à moi jusqu’à la mort ! »

Bowsette se frotta encore contre elle, continuant à faire mouiller Daisy. Elle pinça de nouveau ses tétons, tirant dessus, continuant à malaxer amoureusement ses seins.

« Jouis contre ma queue, mon amour… Jouis, et sache que je ne reviens jamais sur une décision… Je vais t’épouser, mon amour ! » répéta-t-elle alors.

The Multiversity

Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesse [PV Bowsette]

Re: Plus de princesse [PV Bowsette]

Re: Plus de princesse [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]

Re: Plus de princesses [PV Bowsette]