Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]
Posté : 12 oct. 2024 23:40
Velma était un peu perdue, elle avait peur, de ce qui pourrait lui arrivée ici. Car pour le moment, même si la route semblait moins sombre, rien ne garantissait qu'elle fuit cet endroit ? Si ça se trouve, c'était un coup monté du SHIELD ou de l'ARGUS pour voir si, dans une telle situation, elle vendrait des infos top secrète – bien qu'elle n'en connaisse pas vraiment – contre sa libération ? Elle n'était même pas une vraie agente de ses agences, elle donnait juste un coup de main à sa façon sur les affaires paranormales surtout, même si elle avait un travail de détective dans le civil, on l'appelait surtout pour ça. Donc, mis à part qu'elle a aider sur certains dossiers, qu'elle a parfois cotoyer John Constantine, Zatana ou encore, aider de loin, le docteur Strange, elle ne pourrait rien dire de plus que donner leur description. Leurs pouvoirs, leurs façons de faire, des infos secrètes ? Elle n'en avait aucune. Rien de bien utile en dehors de leur apparence physique... Donc mauvaise pioche si cette femme comptait lui tirer les vers du nez. Même si ce décor était très détendu, que Widowmaker semblait prête à plus aller sur la route du sexe que de la mort, elle avait toujours peur du coup en traître. Elle la retourna d'ailleurs, allongeant la jeune femme sur le lit, la chevauchant en lui parlant d'une possible suite. Selon elle, elle avait vu son regard et connaissait son côté masochiste ? C'est faux, elle ne l'était pas ! Mais avec ce pouce dans la bouche, elle ne pouvait pas parler.
Velma était effectivement une masochiste, qui adorait se faire humilier, mais elle s'ignorait. Ses relations sexuelles jusqu'ici, bien que torride et très amusant n'ont jamais vraiment explorer cette voie. Après tout, parfois, les fétiches s'ignorent, on croit que c'est faux alors que c'est tout le contraire. Combien de couple se sont dissous, car du jour au lendemain, le mari s'est rendue compte qu'il aimait les hommes ? Pas forcément un gay qui s'ignore, mais une personne bi par exemple. Il en était de même pour Velma, elle portait ce genre de dessous, car elle aimait ça, pas pour qu'on la surprenne en fâcheuse posture, qu'on profite de son corps dans un train bondé ou qu'une folle souhaite jouer avec son corps en la menaçant. Un mensonge qui se lisait facilement sur son visage donc. Même si elle n'avait aucune garantie qu'elle tiendra parole, elle mordilla son doigt dans sa bouche, pas fort, mais assez pour qu'elle ressente la pression. Si elle tenait parole, elle aura la vie sauve après tout.
Widowmaker lui avoua qu'elle pourrait emprunter trois routes, l'une était la mort si elle ne jouait pas le jeu, la seconde, elle usera d'une machine pour totalement effacer cette rencontre, ce qui était une bonne chose. Et la troisième option, elle gardera ses souvenirs charnels, mais pas dans ce décor. Ce genre de machine ou méthode devait bien exister, mais elle n'en avait jamais vu. Dans un sens, elle préférait tout oublier pour être sûr d'être en sécurité avec soi-même, mais les choses pourraient bien évoluer. La jeune femme la prenait déjà pour une chienne, et même si une petite part d'elle-même en était heureuse, elle ne le montrait pas encore. Sa tortionnaire était partie près de son armoire et y piocha son martinet qu'elle agitait doucement. Velma sentait une petite flamme de plaisir grandir en elle, même si son visage affichait une certaine forme de peur pour le moment. Mais si elle voulait la vie sauve... Pas le choix donc. Elle se redressa pour se mettre à quatre pattes, présentant ses fesses rondes vers Widowmaker, bien moulé dans cette jolie pièce de lingerie, ne regardant pas la jeune femme pour le moment. Par honte ? Par plaisir secret ? Peut-être un peu les deux même si elle le nierait.
« Je... Pu-punissez-moi... Maî... Maîtresse... »
Ses dessous se mouillaient doucement, tant entre ses cuisses que son corps qui recevait une certaine bouffé de chaleur. Son visage était toujours effrayé et son corps tremblait, certes, il y avait de la peur et de la nervosité, mais surtout une pointe d'excitation à titiller ses fantasmes de la sorte. Velma n'allait rien avouer comme ça, à la moindre petite douleur, peut-être même qu'elle niera aimer cela jusqu'au bout, mais au fond d'elle, elle saurait la vérité.
Velma était effectivement une masochiste, qui adorait se faire humilier, mais elle s'ignorait. Ses relations sexuelles jusqu'ici, bien que torride et très amusant n'ont jamais vraiment explorer cette voie. Après tout, parfois, les fétiches s'ignorent, on croit que c'est faux alors que c'est tout le contraire. Combien de couple se sont dissous, car du jour au lendemain, le mari s'est rendue compte qu'il aimait les hommes ? Pas forcément un gay qui s'ignore, mais une personne bi par exemple. Il en était de même pour Velma, elle portait ce genre de dessous, car elle aimait ça, pas pour qu'on la surprenne en fâcheuse posture, qu'on profite de son corps dans un train bondé ou qu'une folle souhaite jouer avec son corps en la menaçant. Un mensonge qui se lisait facilement sur son visage donc. Même si elle n'avait aucune garantie qu'elle tiendra parole, elle mordilla son doigt dans sa bouche, pas fort, mais assez pour qu'elle ressente la pression. Si elle tenait parole, elle aura la vie sauve après tout.
Widowmaker lui avoua qu'elle pourrait emprunter trois routes, l'une était la mort si elle ne jouait pas le jeu, la seconde, elle usera d'une machine pour totalement effacer cette rencontre, ce qui était une bonne chose. Et la troisième option, elle gardera ses souvenirs charnels, mais pas dans ce décor. Ce genre de machine ou méthode devait bien exister, mais elle n'en avait jamais vu. Dans un sens, elle préférait tout oublier pour être sûr d'être en sécurité avec soi-même, mais les choses pourraient bien évoluer. La jeune femme la prenait déjà pour une chienne, et même si une petite part d'elle-même en était heureuse, elle ne le montrait pas encore. Sa tortionnaire était partie près de son armoire et y piocha son martinet qu'elle agitait doucement. Velma sentait une petite flamme de plaisir grandir en elle, même si son visage affichait une certaine forme de peur pour le moment. Mais si elle voulait la vie sauve... Pas le choix donc. Elle se redressa pour se mettre à quatre pattes, présentant ses fesses rondes vers Widowmaker, bien moulé dans cette jolie pièce de lingerie, ne regardant pas la jeune femme pour le moment. Par honte ? Par plaisir secret ? Peut-être un peu les deux même si elle le nierait.
« Je... Pu-punissez-moi... Maî... Maîtresse... »
Ses dessous se mouillaient doucement, tant entre ses cuisses que son corps qui recevait une certaine bouffé de chaleur. Son visage était toujours effrayé et son corps tremblait, certes, il y avait de la peur et de la nervosité, mais surtout une pointe d'excitation à titiller ses fantasmes de la sorte. Velma n'allait rien avouer comme ça, à la moindre petite douleur, peut-être même qu'elle niera aimer cela jusqu'au bout, mais au fond d'elle, elle saurait la vérité.