Yoake est "La Nouvelle Aube" du Japon. Symbole du renouveau économique nippon, Yoake est une commune maritime de premier plan dans la politique du Japon.

L’horreur à la française [PV Widowmaker]

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Velma Dinkley
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Depuis son arrivée au pays du soleil levant, Velma n'avait encore rien eu de vraiment palpitant nécessitant son intervention. On l'avait demandé une fois ou deux au commissariat du coin afin de donner son avis sur certaines enquête afin que les gens du coin sachent au moins qu'elle existait et qu'elle pouvait avoir son utilité. Elle avait même obtenue une demande d'enquête secrète de la part d'une des policières du coin. Elle lui avait demandé d'enquêter sur la mort/disparition d'une tueuse en série qui se faisait surnommer la Duchesse... C'était dans ses cordes, la réponse n'arrivera pas dans deux jours, mais au moins, on lui faisait assez confiance pour tenter de trouver une réponse à ce mystère. Pendant ses recherches, elle eut une drôle de lettre dans son courrier, outre la pub et les lettres inutiles, il y avait une lettre, sans adresse, ni timbre. Juste à l'intérieur, la photo d'un manoir avec écrit au dos, « La Mort » en français, sans maîtriser aussi bien le Japonais que le français, elle savait au moins ce que ça voulait dire. Velma maîtrisait plusieurs langues et si elle se débrouillait bien avec la langue de Victor Hugo, elle pouvait tenir une conversation facile, là où en japonais, elle était très à l'aise.

Sans adresse ou indice, elle dut chercher sur le net, les manoirs à Yoake ou ses alentours afin de déjà le localiser. Si ça se trouve, c'était une blague d'un concurrent ou de petits plaisantin qui ont dû croire qu'elle était française ? Elle ne le saura pas sans avoir trouvé ce manoir et y avoir mené son enquête. Elle avait fini par le retrouver, il se trouvait légèrement éloigné de la ville, un manoir abandonné depuis quelques décennies où ses derniers occupants étaient toujours en train de se disputer pour un héritage afin de le vendre, détruire, rénover... Ce genre d'histoire était si banal ! Mais pourquoi la mort ? Elle se pencha un peu plus sur son historie, regroupant les sources, les versions pour tirer le vrai du faux... Un manoir construit au milieu des années 1800 par un riche marchand d'origine française, Gustave Vermond. Un gaijin comme on dit ici, mais apprécier par la ville, car il avait semble-t-il apporté bien de l'aider. Les années passent, rien de surnaturel, puis, une mort mystérieuse de ce cher Gustave. Les articles de l'époque évoquent juste un accident en 1877, un lustre mal accroché qui a fini par céder et, manque de chance, l'a écrasé... L'endroit est repris par un des fils, l'ainée, Victor qui semblait reprendre le commerce de son père.

Il fut plus discret, mais vite accepté par la ville tant il semblait marché sur les traces de son père... Peut-être un peu trop. Yoake a connu bien des disparition d'enfant, mais surtout de jeunes filles. Un lien entre les disparitions et la famille ? Il semble que oui, au début des années 1900, des hommes de main travaillant pour lui fut surpris à enlever une jeune fille qui rentrait chez elle après avoir fait une course pour ses parents. Malgré les témoins, Victor niait le tout, allant même à réfuter connaître les hommes qu'on décrivait. Les disparitions semblaient se tasser et on ne revit les deux hommes que quelques jours plus tard, mort en haut d'une colline, près d'une cabane abandonnée avec le corps de la victime. Victor pensait que le maquillage serait parfait, mais le peuple de Yoake n'était pas stupide ! Ils étaient montés en force au manoir, voulant connaître la vérité, retenant Victor, sa famille et les gens travaillant ici alors que tout le monde fouillait le manoir comme si sa vie en dépendait. Ils n'avaient rien trouvé... du moins, jusqu'à ce qu'ils mettent la main sur une trappe secrète sous son bureau, menant à une petite cave éclairé à la bougie, quelques enfants, presque mort mais encore en vie pour la plupart. Inutile de décrire les sévices que ces pauvres gamins ont subit, pour le peuple de Yoake, pas de procès, les parents en colères eurent la priorité venant le roué de coup devant femmes et enfants, outré par un tel secret !

Ils laissèrent partir les Vermond restant, jurant ne plus revenir ici, mais selon les jeunes victimes, il y avait d'autres enfants qui, eux, n'ont pas eux de chance et ont péris. Ils étaient enterrés, sous le manoir, dans le jardin, malgré les fouilles, ils ne retrouvaient que trois petits corps à l'état de squelette, là où toutes les disparitions comptabilisait une trentaine d'enfants... Ils étaient loin du compte. Abandonner, le manoir fut racheter à la ville et rénover, espérant ne pas trouver de nouveaux fous ? Yoake avait laissé ce manoir pour que l'âme des enfants puisse trouver la paix mais un richissime Anglais l'avait racheté avant la première guerre mondiale, les citoyens étaient septiques mais les enfants étaient toujours là, et cet homme se mêlait peu à eux, étant presque normal bien qu'ils restaient méfiant. Car le malheur résidait dans ce manoir. Peu de temps avoir fini la rénovation, le propriétaire avait fait une crise, laissant femme et enfant reprendre la maison, mais là aussi, la mère fut retrouvé pendue à un arbre et le majordome s'était ouvert les veines... Les enfants n'avaient rien eux, mais, trop jeune, ils furent renvoyés en Angleterre. Après la guerre, ce fut un autre couple d'Anglais, cette fois, la femme s'était défenestrer et le mari avait chuter dans les escaliers, se brisant la nuque.

Au fil des années et jusqu'au début des années soixante, les propriétaires se succèdaient, mais à force, plus personne ne voulait y habiter... on disait que les enfants se vengeaient des adultes... Pour Velma, ça méritait une inspection ! Après tant de recherche, elle se reposa d'abord et consacra le lendemain à quelques questions au voisinage, visant les personnes âgées, mais peu de gens déliait la langue concernant cette maison des horreurs... Il est vrai que partie seule en pleine nuit serait assez risqué... Elle pourrait demander à un magicien ou un exorciste de l'épauler, mais elle va déjà voir ce qui se passe en journée, si ça vire au cauchemar, elle fera appel au SHIELD ou l'ARGUS. Munie de lampe, d'eau, croix, nourriture, tout ce qu'il fallait pour une expédition... Face à la maison Vermond, elle put entrer sans difficulté, l'entrée n'était pas verrouillée. Derrière la porte d'entrée, un grand hall, de grand escaliers menant aux étages, c'est ici que le second propriétaire anglais à chuter... l'aile gauche menait à un salon, suivi d'une salle de réception, l'aile droite contenait une partie plus privée, hors réception... L'enquête commençait !

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Le manoir des Vermond était une attractivité locale, un manoir hanté sur lequel beaucoup de rumeurs circulaient. Gustave Vermond était un marchand français qui avait profité de l’ouverture du Japon lors de l’ère Meiji pour se développer sur place. Son fils, Victor Vermond, avait défrayé la chronique locale en séquestrant de nombreux enfants de la région et en leur faisant subir de multiples sévices dans son manoir. Suite à ce drame, les Vermond s’étaient exilés, et, depuis lors, chaque propriétaire successif avait connu une fin tragique. Suite à cela, le manoir n’avait plus retrouvé aucun propriétaire, et il appartenait maintenant au service des domaines du Japon. L’État ne savait pas encore quoi en faire, et le bien était depuis lors abandonné. Une aubaine pour Velma, qui se rapprocha donc. Un panneau public indiquait que l’entrée était interdite, mais elle le contourna, et rejoignit le hall d’entrée.

Alors qu’elle se déplaçait lentement, un sifflement se fit entendre, et les portes claquèrent lentement… Puis, brusquement, toutes les bougies sur les candélabres des statues s’allumèrent, avant de se refermer. Un courant d’air glacial fit remuer les cheveux de la jeune femme, et les bougies s’éteignirent ensuite. Velma n’avait plus qu’à choisir où aller, et la lampe-torche éclaira la porte de la salle de réception. Une grande table de banquet se trouvait là, avec d’énormes lustres au plafond, des mezzanines en hauteur, et une énorme cheminée au fond. Elle n’eut plus qu’à avancer, voyant de multiples toiles d’araignée. Le manoir était sinistre, profondément sombre, et elle continua donc, se rapprochant d’une cuisine aménagée datant des années 1960’s.

Depuis la cuisine, une porte en verre donnait sur une cour intérieure, un patio avec un puits au centre. Des herbes sauvages et des friches se trouvaient là, et des feuilles remuaient encore. Dans la petite cour, Velma put entendre un mugissement venant d’un étage. Des volets claquèrent, et une silhouette fantomatique émergea alors à travers une fenêtre. Et, à l’intérieur de la maison, Velma entendit des craquements au-dessus, comme si des individus couraient à l’étage. Un escalier apparut finalement, avec une grande peinture poussiéreuse au milieu. La jeune femme rejoignit l’étage, où elle put entendre un gloussement d’enfant. Une porte s’entrouvrit alors, donnant sur une sorte de salle de détente, avec de grandes bibliothèques poussiéreuses, un piano… Et une marelle tracée à la craie sur le sol. Sur une table, il y avait une étrange poupée enfantine, tandis que des voix d’enfants se mirent alors à chanter, et que la porte se refermait brusquement derrière elle :

« Bonze brillant, brillant, bonze brillant,
Fais qu’il fasse beau pour moi demain
Comme parfois un ciel de rêve.
S’il fait beau, je te donnerai une cloche d’or.
»

La poupée blanche était une teru-teru-bōzu, en référence à une comptine japonaise traditionnelle. Les enfants répétaient traditionnellement cette chanson après plusieurs jours de pluie pour que le beau temps revienne. Alors que la comptine se diffusait, la table trembla alors. La poupée tomba sur le sol, devant les pieds de Velma, et les fenêtres claquèrent alors régulièrement, de plus en plus dangereusement. Impossible de sortir par la porte ! Toutefois, il y avait une porte dans un angle permettant de sortir, mais la serrure avait du mal à fonctionner. Toutefois, sortir de cette pièce semblait être très urgent, car une substance noire mal odorante était en train de couler des murs, descendant depuis le plafond.

« Viens jouer avec nous… Ici, ici…
Tu joueras pour l’éternité ! »
DC de l'Observateur !

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Velma Dinkley
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Velma en avait connu des pires que ça comme histoire ! Que ce soit de tueur en série actuel bien enfermé entre quatre murs ou des histoires plus paranormal nécessitant des personnes manipulant la magie comme le Doctor Strange, John Constantine ou Zatana, elle avait déjà eut son lot ! Mais bon, le boulot de Velma, était de faire son possible, elle n'avait aucune réelle formation contre les forces du mal, d'exorciste ou autre donc bien qu'elle avait deux ou trois accessoires pouvant servir, si l'endroit était trop dangereux, elle devait faire envoyer une autre équipe plutôt qu'elle. Mais bon, cela pourrait arriver qu'elle épaule les équipes, ne serait-ce que pour guider. Donc sa venue ici ne lui faisait pas peur pour le moment. Même la porte qui claque, les bougies qui s'éclairent et s'éteignent, elle en avait déjà connue. Le possible esprit était la thèse la plus possible, mais il y avait aussi la possibilité que quelqu'un cherche à faire le petit malin. Qui lui aurait envoyé la lettre après tout ? Un des esprits ? Il a pris la photo, poster sa lettre tout seul et plus, aurait écrit en français ? Peu probable. Ce manoir était peut-être hanté, mais il y avait quelqu'un derrière sa venue.

« Je ne pensais pas trouver ce genre de manoir en venant au Japon. »

Calme, stoïque, Velma n'avait pas encore les genoux qui tremble, elle observait les alentours, sa lampe à la main, une mini6caméra accrocher à ses lunettes car on ne sait jamais. Il y aura peut-être un gaz hallucinogène qui lui ferait voir des choses qui ne seront pas sur les images. Elle avançait doucement, à son rythme, en examinant ce qui se trouvait tout autour d'elle. Des bruits ici et là, mais rien n'indiquait pour le moment qu'elle était en danger. Si l'on se fit aux rumeurs et aux derniers habitants, les enfants n'avaient rien à craindre, sauf que Velma était une adulte. Sous son pull à col-roulé, se trouvait une petite croix chrétienne, offerte par Constantine, ce n'était qu'un petit bibelot renforcé magiquement afin d'assurer une plus grande sécurité.

Chaque salle qu'elle visitait semblait montrée que du bruit venait d'ailleurs, à l'étage le plus souvent. Même dehors, quand les volets n'étaient pas fermé, ça restait glauque et inquiétant. Mais ce serait mal connaître la jeune femme de croire qu'elle va déjà s'enfuir. Elle grimpa à l'étage où les bruits de pas et bruit d'enfants venait. Entrant dans une nouvelle pièce, piano et bibliothèque, ça semblait peu probable que des enfants aiment jouer ici et pourtant, une marelle était dessiner sur le sol, un teru-teru-bozu sur la table tandis que de jeunes voix chantaient une comtine. Velma aurait bien remis la poupée suspendue à sa fenêtre, mais ça pouvait être dangereux de déplacer un objet sans savoir si le ou les esprits étaient d'accord. D'autant plus que les volets semblaient battre furieusement dehors, la table tremblait, comme si elle n'était pas la bienvenue. Bien que cela soit un tantinet effrayant, la jeune femme gardait son calme en remontant doucement ses lunettes en les poussant du bout des doigts.

« Ne vous inquiétez pas, je ne vous veux aucun mal. »

Malgré une certaine assurance, le danger était quand même présent, il ne fallait pas l'oublier. Repérant une étrange substance noire couler des murs, elle n'avait hélas pas le temps de faire un prélèvement, elle se dirigea d'un pas rapide, venant ouvrir une porte, avec un peu de mal avant de la passer. Restant sur le pas de la porte, elle se tourna vers elle, une main, dessus, venant quand même leur laisser un mot.

« Pardon, si je vous ai déranger dans cette pièce... »

Toujours se montrer polie avec des esprits, ça semblait idiot, mais ça pouvait avoir son importance. Bien, derrière cette nouvelle porte, il y avait une salle de musique, blanche, malgré la poussière, il y avait de nouveaux instrument, surtout à corde et à vent. Elle avançait doucement entre les instruments, les observaient sans les toucher. Vu leur état et leur ancienneté, ils pourraient valoir un beau petit pactole mine de rien. Au milieu des violons, des violoncelles, et même un biwa, un instrument typique du Japon, Velma eut un léger sourire dans cette pièce plus calme.

« Vous aimez la musique ? J'ai toujours adoré écouter quelqu'un jouer du piano, mais je n'ai jamais été doué pour en pratiquer. »

Tenter le dialogue, Velma n'avait pas peur, elle tentait de faire le premier pas, de changer les choses en positif. Elle marchait doucement dans la pièce, si personne ne veut communiquer avec elle ici, elle ira dans la pièce suivante, mais elle devait y passer quelques minutes, poser certaines questions, mais ne toucher qu'avec les yeux.

« Je suis sûre que vous êtes doué avec au moins un instrument. »

La voix presque guillerette, la jeune femme prenait son temps, doucement.

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La détective du paranormal avançait dans le manoir hanté. Après avoir croisé une première manifestation surnaturelle, elle quitta la pièce, et rejoignit une autre pièce, toute aussi énigmatique, et où de nombreux instruments de musique s’étalaient sur le sol. Intriguée, elle parla d’une voix douce, incitant les esprits errants à se confier à elle, à se rapprocher, à s’exprimer par tout moyen approprié. L’endroit était vraiment énigmatique. Que se passait-il donc ? Qui étaient ces enfants ? Que cherchaient ces fantômes ? Ils n’avaient pas encore vraiment attaqué Velma, de sorte qu’on pouvait légitimement s’interroger sur leur dangerosité. Velma parla de piano, ce qui tombait bien, car un piano se trouvait justement dans la pièce, et s’enclencha alors.

Des notes de musique égrenèrent le silence. L’un des plus célèbres morceaux de piano résonna alors dans la pièce : « Clair de Lune », de Debussy. Les touches du piano remuaient toutes seules, et, parfois, une jeune fille apparaissait en surbrillance, fantôme d’une jeune enfant jouant du piano. Selon les rapports et les éléments que Velma avait réunie, la cache secrète de Victor Vermond se trouvait sous son bureau, quelque part dans le manoir.

« Jeune fille, vous avez raté votre composition !
Monsieur, je fais du mieux que je peux !
Et c’est insuffisant, comme toujours ! »


Le dialogue que surprit Velma se conclut par un coup sonore, violent, le son d’une gifle qui claquait sèchement, et par le hurlement de la jeune fille. Les notes de piano se terminèrent alors sur une fausse note, et le sol commença à trembler dangereusement. Des vibrations violentes indiquant une silhouette dangereuse dans le couloir. Un vent de panique souffla alors dans la salle. Les instruments tremblèrent sur place, tandis que Velma sentit l’air s’emballer autour d’elle.

Puis les pas se rapprochèrent de la porte, et une vive lueur rouge apparut sous celle-ci, remontant progressivement dans la salle de musique. Une forte respiration pouvait se faire entendre de l’autre côté, et des coups sourds s’abattirent alors contre la porte, répétés et violents, faisant trembler celle-ci.

« Il est ici !
Ici ! Ici ! Ici !
Mais nous n’avons pas fait nos devoirs ! »

Était-ce le fantôme de Victor Vermond ? Il continua encore à taper, avant de se calmer, et un rugissement d’outre-tombe s’échappa alors de l’apparition, qui s’éloigna alors, retournant vraisemblablement vers son bureau…
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Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

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Velma Dinkley
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Velma avait beau être une jeune femme, elle en avait déjà vu d'autres dans sa courte vie. Alors oui, ici, on était loin de l'esprit farceur qui s'amuse à faire bouger une porter ouverte ou tapoter dans un mur parfois, c'était clairement le niveau au-dessus. Sans pour autant être rassuré, Velma savait que la peur était un bon moyen pour ce genre d'esprit de gagner en puissance alors elle avait appris à ne pas trop la montrer. Au moins cette salle de musique était loin d'être rassurante, mais beaucoup plus que la pièce précédente. Elle aurait pu tester des gadgets de « chercheur de paranormal » comme ces petites radios pour communiqué avec des esprits, pas très fiable selon elle, un peu hasardeux surtout si ça capte une radio et puis qualité son, ce n'était pas top. Elle préférait se fier à son instinct, ses habitudes. Doucement, elle parlait, cherchant à rassurer, à prouver qu'elle n'était pas ici pour s'amuser, mais pour aider quelque part.

Cela aurait pu le faire, le piano se mettait à jouer tout seul et une silhouette lumineuse, apparaissait, sûrement une scène du passé tant ce bruit de gifle était fort ! Étais-ce Velmond ? Une autre famille ? Ce salaud retenait des enfants prisonniers pour leur faire bien des actes ignobles, à l'abri des regards de sa propre famille, pas possible qu'une de ses victimes joue de la musique comme ça ? Une de ses filles ? Nièce ou autre ? Difficile à dire, mais la scène se coupa alors que la porte qu'elle venait de passer se mettait à être martelé de coup, une lueur rouge sous la porte. Velma venait saisir la petite croix offerte par Constantine à sa poitrine, observant la porte, redoutant qu'elle s'ouvre ou explose ! Malgré l'intonation mauvaise, cela se calmait pour ne plus être... Quoi qu'il en soit, elle repassera par cette porte que pour la fuite, pas avant. Elle continua donc, quittant doucement la salle de musique. Quelle sera la prochaine salle, après une sorte de petit bureau, la salle de musique, quelle sera le prochain mystère ? Poussant doucement la porte, la pièce offrait de grands rouleaux de fil ici et là, que ce soit la femme Velmond où une autre famille, ici, on tissait ! Les appareils étaient un peu datés, mais peut-être que les propriétaires cherchaient à garder une certaine authenticité ?

Velma se rapprocha, touchant doucement certains fils tendue, prêt à continuer d'être utilisé pour tisser tapis, rideau ou dieu sait quoi ? Velma n'était pas très couture et mode, certes, elle savait réparer ses vêtements quand il y avait un petit trou, mais ne lui demander pas une écharpe, elle en serait incapable d'en faire une ! Toujours doucement, sans se presser pour ne pas paraître agressif ou autre, elle continua de parler doucement, contenant sa peur, maintenant la silhouette derrière la porte calmer.

« Je me demande ce que vous pouviez bien tisser ? Y a t-il certaines de vos œuvres ici ? Étais-ce pour vous, votre famille ou, peut-être les vendiez-vous ? Étiez-vous célèbre pour cela ? »

La jeune femme en demandait peut-être un peu trop d'un coup, mais elle préférait poser plusieurs questions plutôt que faire une longue pause entre chaque supposition. Elle observait la salle sous tous ses angles, cherchant la bonne réponse par elle-même aussi.

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Message par Widowmaker »

Widowmaker
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Le manoir n’avait pas encore révélé tous ses secrets, et, plus Velma avançait, et plus il semblait que l’endroit soit hanté par une force puissante, qui cherchait à l’effrayer, mais sans que cela ne la repousse. Elle était donc, soit très courageuse, soit téméraire. L’un ou l’autre. En tout cas, la silhouette rouge sous la porte ne l’amena pas à fuir, mais à poursuivre au contraire son exploration, tandis que les fantômes semblaient s’être éloignés. Velma rejoignit une nouvelle pièce, plongée dans la pénombre, abritant de multiples fils à tisser. Le tout formait une sorte de toile d’araignée confuse et complexe, s’étirant dans toute la pièce. Silencieuse, Velma observa les lieux, se demandant visiblement ce qui se passait…

…Et, soudain, les fils s’enclenchèrent. Une grande toile blanche se trouvait sur le mur en face de la porte, et les fils de laine se mirent à peindre sur la tapisserie. Ce n’était pas du Van Gogh, mais un message, qui se dessinait progressivement, au fur et à mesure que les fils travaillaient ensemble, les rouleaux de laine tournoyant eux-mêmes, comme si une force invisible était en train de les manipuler à distance.

Et, peu à peu, plusieurs mots vinrent se former, se tissant sur la tapisserie :
« TU VAS MOURIR »
Trois mots clairs, et, soudain, un rire gras se fit entendre. Le rire semblait venir des profondeurs du manoir. Les murs se mirent à trembler dangereusement, vibrant furieusement, et la porte derrière Velma se referma sèchement, se verrouillant. Un profond grondement s’échappa dans la pièce, suivie d’un antique grincement, comme si les articulations de la maison étaient en train de souffrir, ou qu’un géant se serait amusé à attraper la maison pour la soulever. Le sol trembla dangereusement, comme à l’annonce d’un tremblement de terre.

Les vibrations finirent par déstabiliser Velma, qui tomba sur le sol, heurtant celui-ci avec ses fesses. Le plafond se mit alors à vibrer à nouveau, et… Commença à descendre ! Le plafond tremblait lentement, mais amorçait une lente descente vers le sol, dans le but manifeste d’écrabouiller la pauvre Velma !
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Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

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Velma Dinkley
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Velma continuait d'observer ce manoir, cette pièce dans laquelle elle se trouvait. Il n'y avait rien de bien spécial ici, des machines pour tisser, un travail long et rigoureux, mais elle serait incapable de s'en servir. Elle en avait déjà vu dans des films ou série, mais de là à savoir comment ces engins fonctionnent, c'était vite dit ! Velma tentait toujours d'entrer en contact avec les fantômes ici, prouver qu'elle ne leur voulait aucun mal, ni même les déranger, juste, en apprendre plus sur eux, les aider. Elle n'était pas de ses jeunes ou ses youtubeur chasseurs de fantôme amateur ou pure guignols, non. Elle, elle était sérieuse dans ses démarches et elle ne se permettrait jamais de se moquer des esprits ou autres présences fantomatique. La pièce restait silencieuse, mais elle ne tardait pas à lui délivrer un message, un message des plus inquiétait qui se tissait. Sans paniquer, elle cherchait à voir ce qu'elle pourrait faire, mais la porte se refermait, et inutile de se dire qu'il suffisait d'ouvrir. Avec ou sans verrou, quand un esprit décidait de fermer une porte, elle était bien fermée.

Tremblant, la pièce vibrait assez fort pour que Velma en perde l'équilibre alors qu'il lui semblait voir la pièce rétrécir. C'était peut-être juste dû aux vibrations, mais elle avait quand même cette impression. Ce n'étaient pas les murs qui se rapprochaient, juste le plafond ! Elle pourrait s'abriter sous une table, quelque chose, mais il suffisait que cette dernière ai le moindre défaut au niveau d'un des pieds pas droit que ça ne serve à rien ! Et puis ce serait assez idiot de rester à se cacher. Observant le plafond, elle ne devait pas rester inactive ! Bien qu'elle avait jugé ça inutile, elle tentait d'ouvrir la porte, la tirant, la poussant, frappant dessus, mais rien à faire. Même si elle était loin d'être forte, il n'y avait pas de hache pour briser la porte ici. Un peu à court de solution, elle donnait des coups d'épaules et de poings dans la porte, faisant travailler ses cordes vocales. Autant, elle n'avait pas vraiment peur des fantômes, autant ce genre de coup, d'ordinaire, on ne voit ça que dans les films d'épouvante.

« Au secours !!! Aidez-moi, s'il vous plaît ! Je ne vous veux aucun mal, pourquoi me vouloir ça !!! »

Elle était un peu au pied du mur ici. Si elle aurait pu passer la porte, tout simplement, elle aurait pu juste continuer, mais étant bloqué dans cette pièce qui devenait de plus en plus petite... difficile de garder son calme. Et pourtant, la jeune femme était la dernière personne qui aurait voulu du mal aux habitants de cette maison.

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Message par Widowmaker »

Widowmaker
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Pour Velma, c’était visiblement un cauchemar éveillé ! Le plafond était en train de descendre, décidée à l’écrabouiller sur place. C’était en réalité un faux-plafond, avec de légères ouvertures pour permettre le passage des meubles. Un piège, tout simplement ! Quel fantôme pouvait faire ça ? Velma s’énerva en vain sur la porte, et s’écarta ensuite. Paniquée, elle tourna autour d’elle, et chercha une autre ouverture près d’une bibliothèque. Elle constata alors que les livres étaient collées, sauf un… Qu’elle tira alors. Un déclic se fit entendre, et le plancher s’ouvrit alors sous les pieds de Velma, qui tomba dans un conduit.

Elle termina sa course sous la maison, et le conduit la relâcha dans la cave. Velma se coucha sur le sol. Elle avait atterri dans une ancienne cave à vins poussiéreuse. La jeune femme allait pouvoir reprendre sa curieuse progression. Il n’y avait aucun escalier permettant de remonter, ni aucun fantôme qui ne vint l’accueillir. Une porte donnait sur une ancienne chaufferie, avec une chaudière poussiéreuse, ancienne. Du charbon était là, ainsi que quelques tags, émanant probablement de jeunes qui avaient squatté les lits, laissant également des capotes usagées sur le sol. Mais pas de porte de sortie.

Velma s’aventura donc dans la cave, remontant un couloir. Toujours aucun escalier, et elle croisa quelques portes fermées. Une porte semblait plus faible que les autres, et, quand elle poussa dessus, la porte grinça, avant de brusquement s’ouvrir.

La surprise fut de taille, car, derrière, il y avait… Une pièce aux murs immaculées ! Elle venait d’entrer dans une sorte de bunker souterrain, de complexe militaire comme dans les films ! Quel était donc cet endroit ? Alors qu’elle s’avançait, une porte métallique s’abattit brusquement derrière elle, l’enfermant à l’intérieur. Une alarme résonna alors, et, le temps que Velma comprenne ce qui se passe, une araignée métallique se rapprocha. Avançant sur le mur, elle bondit soudain sur Velma, et, faisant fi de ses hurlements, diffusa un gaz anesthésiant qui ne tarda pas à la faire sombrer.
*
*  *
« Debout, étrangère… »

Une main la gifla sèchement à la joue, et Velma rouvrit brusquement les yeux. Elle était attachée par les poignets et par les chevilles à une sorte de table, dans un laboratoire qui semblait assez futuriste, et une étonnante femme en combinaison violette se tenait face à  elle. Amélie avait un visage très pâle, et observa les yeux de Velma.

« Je savais bien que cette serrure fermait mal, mais, généralement, les squatteurs s’enfuient très rapidement… Mais toi, Velma, tu as voulu être curieuse, hein ? Tu vois où la curiosité peut conduire… »

Que se passait-il donc ? Amélie pouvait deviner le désarroi de Velma, qui ne devait rien comprendre à ce qui était en train de lui arriver.
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Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Message par Velma Dinkley »

Velma Dinkley
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Jamais elle n'avait connu pareil danger ! Elle avait déjà croisé des fantômes violent ou dangereux, mais le Docteur Strange, Constantine ou encore Zatana savaient les combattre et tout allait pour le mieux. Mais jamais elle n'avait vue de fantôme capable d'une telle chose ! Après, elle n'avait pas croisé énormément de fantôme pour le moment donc elle ne pouvait pas tout savoir. Un peu dans la panique, elle cherchait un moyen de fuir, mais aucune issue ne semblait pointer le bout de son nez ! Elle vidait la bibliothèque, un peu sans savoir vraiment où chercher ou quoi faire, mais cela avait payé, car une trappe s'ouvrait, laissant juste son hurlement se faire entendre dans la pièce avant d'arrivée dans une cave à vin. Bon, au moins, elle était en un seul morceau... Elle remit en place ses lunettes, se demandant pourquoi ce système était en place ? Ce n'était clairement pas paranormal, mais... à quoi servait cette trappe, jadis ? Une question sans réponse. Velma continua sa recherche, passant plusieurs pièces, même si certaines portes étaient fermé, pour la plupart même. Elle finissait par trouver des lits usée, des graffitis et ce qui semblait être des préservatif usagés... Beurk ! Enfin, au moins les jeunes se protègent, en espérant que leurs partenaires soient consentants ?

Passant une porte récalcitrante, Velma fut plus qu'étonné de voir que derrière ce manoir abandonné, il y ait une salle si moderne et propre ! Ça contrastait totalement avec tout le reste. Elle fit quelques pas avant d'entendre un bruit de porte métallique se fermant derrière elle, puis une alarme et avant de bien comprendre ce qui se passait – bien qu'elle avait sa petite idée – une bête métallique la forçait à faire un petit somme, la rendant donc totalement vulnérable, assoupie, ignorant totalement ce qui allait se passer ensuite. À dire vrai, elle ne se souvenait même pas de son rêve, ou de son cauchemar, elle avait juste cette impression d'avoir fermé les yeux quelques instants avant un réveil quelque peu brutale ! Une gifle la réveilla, bougeant un peu ses lunettes alors qu'elle se réveillait, cherchant où elle était, qu'est-ce qui se passait, bref, elle voulait elle aussi des réponses !

« Aie ! »

Un mur blanc, un plafond blanc, elle était attachée... Attachée ?! Et qui était cette femme si... bleu ? Pourquoi elle était bleue ? Une extraterrestre ? Elle était au courant de certaines choses, mais elle n'avait pas tous les détails comme elle travaillait un peu avec le SHIELD, mais bon, son rayon, c'était plus les fantômes que les petits hommes verts. Cette femme connaissait au moins son nom, était-ce elle qui avait envoyé la carte postale ? Avait-elle fouillé dans son passé, dans ses affaires ? Elle n'avait pas grand-chose sur elle, son portable et deux ou trois petits bidules pour repousser les fantômes. Mais... avait-elle entièrement fouillé Velma ? La jeune femme était loin d'être à la mode vu son look old school, elle se fichait pas mal d'être coquette, elle avait cependant une amie comme ça auparavant, son premier amour de jeunesse... mais passons. Là où Velma avait un peu peur, ce n'est pas qu'elle cachait une arme sur elle... c'est que depuis toujours, la jeune femme avait un fétichisme particulier... non pas qu'elle aimait l'humiliation mais elle adorait porter des sous-vêtements sexy, mais elle ne voulait pas que les gens voient ça. Ou au contraire, qu'ils la voient porter ce genre de chose. Des dessous noir, sexy, en dentelle, qui lui rendrait grâce si elle ôtait ce pull à col roulé et sa jupe, mais elle n'était pas là pour ça. L'idée lui avait traversé l'esprit, mais face à cette femme qui l'a attaché, le fantasme était loin derrière.

« Qui-qui êtes-vous ?! Pourquoi vous m'avez attachée et... et... que me voulez-vous ?! »

On ne pouvait pas dire que Velma soient une espionne comme la célèbre Black Widow, elle la connaissait de nom, jamais elle ne l'avait croisé. Elle était ici pour une mission seule, aucun ordre du SHIELD, pour chercher des fantômes, pas tomber dans ce genre d'endroit ! Elle était toujours au manoir d'ailleurs ? Elle avait beau chercher avec son regard un quelconque indice, mais la salle ne lui disait rien, la femme non plus. Sa peau était bleu pâle, sa tenue moulante, mais sinon ? Pas de signe d'organisation, pas de badge ou quoi que ce soit. Pourquoi la retenir, pourquoi l'attacher ?! Velma tirait doucement dessus mais évidemment, aucun des liens n'allait céder. Si elle n'aurait pas si peur, son esprit aurait pu la rassurer un peu, se disant que dans cette position, elle pourrait très bien soulever sa jupe et voir que sous sa carapace, il y avait de belles choses à découvrir ! Mais vu la situation, elle n'était pas si perverse pour y penser maintenant. Après tout, elle était dans de beaux draps, non ? Qui sait si elle allait ressortir en vie...

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Grâce aux données biométriques de la jeune intruse, Amélie eut bientôt tout ce qu’elle voulait savoir sur elle. Velma Dinkley… Une détective dans le paranormal qui était plutôt connue dans son milieu, et qui avait rempli certains contrats avec le SHIELD ou avec l’ARGUS. Cependant, elle n’était pas une agente du SHIELD, et avait de toute évidence surtout mené des enquêtes paranormales destinées à dissimuler d’autres enquêtes en profondeur. Est-ce qu’elle avait été missionnée par quelqu’un pour enquêter sur ce manoir ? Amélie avait installé un vaste dispositif visant à dissuader tous les curieux de venir. Le faux-plafond coulissant dans la salle était souvent le dernier obstacle, mais Amélie ne s’était pas attendue à ce que Velma rejoigne la cave, qui était l’accès direct à son bunker !

Quand la jeune femme émergea, elle ne tarda pas à exiger des explications. Amélie croisa les bras en la regardant, et pencha la tête sur le côté.

« Ce serait plutôt à moi de te demander ça, Velma, c’est toi qui as fait irruption chez moi ! La propriété privée, tu comprends ce que ça signifie ? »

Il était très difficile de percevoir l’accent français d’Amélie, car l’espionne était polyglotte depuis de nombreuses années, et pouvait par conséquent moduler sa voix.

« Je suis Widowmaker, et, si j’ai créé ces hologrammes et ces effets sonores dans cette maison, ce n’est pas pour rien ! Alors, que vient faire une jeune femme comme toi ici, hum ? Tu es une espionne ? Une agente double ? Qui t’emploie ? J’ai lu que tu travaillais avec le SHIELD… Ce sont eux qui t’ont envoyé en éclaireuse ici ? »

Amélie la mitraillait de questions en tout genre. Elle se pencha encore, l’observant silencieusement en fronçant les sourcils, et posa ses mains sur ses hanches, appuyant dessus.

« Je suis sûre que tu dois avoir une puce quelque part, un outil pour te tracer en cas de difficulté… Tu vas regretter d’avoir voulu m’espionner, Velma ! » la menaça-t-elle ensuite.

Elle avait évidemment déjà examiné soigneusement le corps de Velma, mais elle n’avait encore aucune raison de le dire, voulant aussi faire mariner sa prisonnière…
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Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

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Velma Dinkley
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Elle se souvenait vaguement de ce qui lui était arrivé avant d'en être là. Le plafond qui se rapprochait, les portes bloqués puis cette trappe mystère qui l'avait amener au sous-sol. Peu de réel mystère là, ça aurait pu être là auparavant. Un système inventif et bien fichu mais plausible. Mais passé du vieux manoir « hanté » avec des sales poussiéreuses à des salles d'un blanc immaculé qu'on croirait tout droit sortie d'un film de science-fiction, ça faisait un peu beaucoup. Après un léger black-out après avoir fait sonné l'alarme, la voilà attachée face à cette femme à la peau bleuâtre qui la questionnait et semblait au moins la connaître. Velma avait certes pris ses papiers pour venir, au cas où en cas de contrôle, mais quelque chose lui sifflait que ce n'était pas de cette façon qu'elle avait su son identité. Un peu paniqué, Velma demandait elle aussi des réponses, vu sa situation, on pouvait comprendre que c'était moins dans le calme qu'elle demandait ça. Même si la jeune femme lui parlait de propriété privée, mais, même en faisant ses recherches auparavant, Velma n'avait pas vu de nom de propriétaire actuel. Donc, même si ce n'était pas à l'abandon total, impossible de demander l'autorisation, surtout qu'au vu de sa réputation, ça semblait abandonnée légalement. Et Velma n'était pas ici pour taguer des murs, elle était sérieuse !

Cette Widowmaker parlait d'hologramme et voix sonore, quoi ?! Tout cela était faux ?! Faux ! Elle refusait de croire cette version, pour elle, c'était réel, il y avait des esprits ici ! Et même si au pire cette histoire est fausse et inventé de toute pièce, les esprits existes, elle était bien placé pour le savoir après tout. Elle la noyait de question, semblant bien savoir son sujet la concernant, mais bien que toujours paniqué, légèrement tortillée, pour tenter une libération, elle n'y arrivait toujours pas, mais elle tentait au moins de se libérer en répondant à ses questions bien que dans sa pauvre tête, ce ne soit toujours pas très clair encore après un réveil si brutal.

« Mais non ! On m'a envoyé une lettre il y a quelques jours, avec une photo de cet endroit ! J'ai mené mes recherches, découvert son histoire et ses possibles cas de maison hanté, j'ai voulu voir ça par moi-même ! Je pensais qu'une personne tentait de me tester ou de me piéger ! On se moque parfois de moi, on croit que je fais un faux travail comme ses andouilles sur le net ou à la télé, mais je suis sérieuse ! Le SHIELD ignore que je suis ici, ou alors ils m'espionnent aussi. »

Oui, le SHIELD, ARGUS ou autre pouvait l'appelé sur de petites missions, mais s'ils auraient su que cet endroit était habité, jamais Velma n'aurait pu y mettre les pieds seule après tout, il y aurait eu quelques agents avec elle, voir même un super à ses côtés. Mais la jeune femme semblait ne pas la croire, croyant même qu'elle avait un micro, une puce ou autre et entamait de la fouiller au travers de ses vêtements.

« Qu-quoi ?! Non, je n'ai rien de tel sur moi, arrêter ça !!! »

Déjà, elle disait la vérité. Après, elle n'avait pas besoin d'être fouillé ou quoi, alors elle était contre ! Puis, consciente ou non, elle ne voulait pas que cette femme découvre que sous ses vêtements, une lingerie chic et raffinée couvrait son corps, un total opposé à son look actuel, que l'on dirait démodé ou même, moche pour les plus cruels. Elle continuait de se tortiller en disant non, si elle ne risquait pas sa vie sur cette table, elle aurait pu aimer cette situation, mais ce n'était pas le cas. Était-ce vraiment ce qu'elle pensait ou bien malgré tout, une petite voix en elle appréciait cela ? Les situations honteuses, dites de viol ou d'attouchement, c'était dans ses fantasmes secrets, ce genre de chose qui pouvait rester secret, même avec sa moitié, pendant toute une vie. Une envie honteuse ou immorale ou interdite, mais qui résonnait doucement en elle. Le genre de chose qui, au Japon, pouvait ressembler au fait de se faire peloter dans un train bondé, ou pire... violer. Cela l'excitait secrètement. Évidemment, jamais elle n'en parlerait. Velma a eut des relations bien plus simple, comme avec sa camarade à la fac, Daphné, sa première relation lesbienne, tout était on ne peux plus normale si ce n'est qu'elle jonglait entre Velma et son petit ami, mais ça, c'était Daphné que ça regardait, pas elle.

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

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Amélie sourit doucement quand la journaliste lui expliqua que tout cela était un simple malentendu, qu’elle avait été envoyée ici en lisant une lettre. Widowmaker croisa les bras, faisant crisser sa combinaison. Elle pouvait être sincère…  Mais on ne pouvait pas non plus reprocher à Widowmaker de se montrer prudente. Elle était donc prête à examiner très attentivement le corps de Velma, qui s’offusqua de cette idée. Les liens métalliques qui la retenaient se déplacèrent alors, et Velma finit suspendue devant elle, bras et jambes écartés.

« Inutile de rouspéter, tu préfères que je fasse ça, ou que je te tue par mesure de précaution ? »

Velma n’avait pas vraiment d’alternative ! Amélie glissa ses mains sur les hanches de Velma, et, en remontant son polo jaune, elle sentit une lanière en dentelle à hauteur de ses côtes. Amélie fronça lentement les sourcils, et poursuivit lentement son office. Elle releva encore le polo, et sourit doucement en voyant le sous-vêtement dessus. La minijupe rouge partit ensuite, tandis que le pull avait été relevé de manière à révéler le bas-ventre de Velma. La jeune femme avait un séduisant porte-jarretelles et une culotte noire en dentelle, légèrement transparente et plutôt courte, permettant de voir, outre les généreuses cuisses de Velma, une absence de poils pubiens.

Amélie se redressa alors, dépliant ses genoux, caressa d’une main le visage de Velma. Mortifiée, celle-ci n’osait même plus regarder sa tortionnaire, qui approcha son autre main de son sexe… Et commença alors à masturber Velma à travers sa culotte. Elle gloussa doucement en voyant celle-ci se tortiller sur place, et déplaça rapidement sa main pour déchirer d’un coup sec la minijupe, qui tomba au sol.

« Tu n’auras plus besoin de ça ici, Velma… » glissa Amélie d’une voix envoûtante.

Le pull était un peu plus résistant, et, avec les chaînes, Amélie ne pouvait pas le retirer simplement. Elle se glissa dans le dos de Velma, observant ses magnifiques fesses, un cul parfaitement rebondi, extrêmement attirant. Souriant à nouveau, Amélie récupéra un ciseau, et commença à découper le pull, sifflotant doucement au passage. Elle coupa dans la couture, et tira ensuite, arrachant le pull, qui tomba au sol. Velma était désormais dans de magnifiques sous-vêtements bruns et légèrement transparents.

Amélie se glissa dans son dos, frottant ses seins sur son corps, et l’embrassa dans le creux du cou, mordillant sa chair. Ses mains se déplacèrent encore. L’une alla se poster entre les cuisses de Velma, retournant la masturber à travers sa culotte, et l’autre alla palper ses seins.

« Vois ça comme un dédommagement pour ton intrusion, Velma… Tu n’avais aucun droit de venir chez moi, de fouiller dans mes affaires… Alors, je vais m’indemniser en nature sur le préjudice subi. Surtout que, vu comment tu es habillée, je me demande bien ce que tu attendais en venant ici… »

Widowmaker n’était pas dupe, et se frottait contre le corps de Velma, faisant ainsi doucement crisser son agréable combinaison, tout en poursuivant :

« …Te faire tringler le cul comme une grosse salope en manque ? » susurra-t-elle alors contre l’oreille de la jeune femme.
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Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

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Velma Dinkley
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Velma avait du mal à croire que ce qui lui arrivait était vrai ! Elle avait juste voulue percer le mystère de cette maison, après les recherches qu'elle avait fait, tout portait à croire qu'elle était hanté ! Elle ne s'était pas renseigné sur le premier blog d'une personne un peu trop imaginative, elle avait de bonnes sources et le site était l'un d'eux, pas le genre à poster des canular pour faire frémir les amateurs du genre ! Alors pourquoi se retrouvait-elle dans cette situation alors ? Cette femme la menaçait et pourtant, elle disait la vérité ! Si elle aurait su que c'était un mensonge et que cet endroit abritait une sorte de laboratoire ou peu importe ce que c'était, c'était d'autres personnes du SHIELD qu'il fallait envoyer, pas une spécialiste du paranormal ! Mais si elle était dans la mouise, qui l'y avait mise ? Qui lui avait envoyé cette lettre, ce « défi » ? Une personne lui voulant du mal ? Un concurrent qui n'aimait pas voir un nouveau détective débarqué dans le coin ? Dans ce cas, c'est lui qui devrait être à sa place, c'est lui qui savait – ou non ? – pour cet endroit. Velma avait beau se tortiller alors que la jeune femme passait ses mains sous son pull, sans la moindre gêne, ce qui la faisait rougir, mais quoi de plus normal après tout. Même si entre ça et la mort, elle préférait évidemment cela, mais bon...

Sa tortionnaire la caressait doucement, alors que Velma fermait les yeux, cherchant toujours à croire qu'un coup sec pour se dégager allait la libérer, mais non, hélas. Les mains de la jeune femme se faisaient plus intrusives en la caressant intimement, ce qui lui faisait un peu peur pour la suite... ou que cela l'excitait, mais ce genre de fantasme était difficile à avoir, elle risquait sa vie pour un peu de bon temps, ça pouvait mal finir après tout. Cette sensation de viol, car ça commençait à le devenir, ça l'excitait, mais la peur l'empêchait de vraiment apprécier cela, de plus, elle n'oserait jamais avouer un tel fantasme. Le savait-elle elle-même qu'elle adorait ça ? Elle aimait bien coucher, surtout avec des femmes, mais de là à avoir un couteau sous la gorge pour prendre son pied, d'habitude, pas besoin. Sa jupe fut arrachée, lui arrachant un léger cri de surprise, ayant peur de la suite. Car elle continua de la déshabiller en arrachant aussi son pull par la suite, la laissant en petite tenue ! Pas le genre de chose que l'on portait simplement sous ses vêtements sans raison, mais Velma aimait porter de ce genre de chose, ce n'était pas un crime quand même ! Certes, au fond d'elle, elle aimait l'idée qu'on voit sa culotte ou autre, de façon discrète, mais elle ne l'approuvait pas pour autant. Ce n'était pas une perverse... qu'elle se disait. Widowmaker venait se blottir dans son dos, caressant son corps en mordillant la peau de son cou, ce qui la faisait gémir, continuant de se débattre en vain. Velma ne se laissait pas faire pour autant, sa seule réelle défense actuellement serait de lui mettre un bon coup de tête, mais elle risquait sa vie...

« Mmmmhhh a-arrêtez çaaaaaaa ! Je... j-j'ai le d-droit de m'haaaaaaaabiller c-comme je veux ! »

C'était vrai, c'était son choix à elle de porter ce genre de sous-vêtement comme c'était son droit à l'autre de porter une tenue si près du corps. Velma continuait de se débattre, se demandant bien ce qui pourrait lui arrivé ensuite, même si elle avait une petite idée qui se trouvait plus dans la peur que dans l'excitation. Elle s'agitait, remuait, sans pouvoir retirer ses mains baladeuses sur son corps, mais même en le pouvant, l'aurait-elle fait ?

« J-j'ai rien v-vue ici ! Rien vue, rien entendue, haaaaa ! Libérer-moi, pitié... »

C'était vrai, elle avait fini par tomber dans ce qui semblait être un espace bien plus récent que la maison en elle-même, mais qu'est-ce qui se passait ici ? Ce n'est pas comme si elle avait vu un dossier avec écrit en gros « Plan de domination mondial en trois étapes », non, elle n'avait rien eu le temps de voir qu'un couloir blanc et cette pièce. Donc, cette histoire de torture aurait déjà suffi en guise de paiement, non ? Pauvre Velma, elle qui aimait en réalité ce genre de situation, elle ne savait pas en profiter, même si son corps en profitait lui. Être en position de faiblesse, dominée, honteuse, des fantasmes pas simples à vivre... Et pourtant, elle allait prendre son pied.

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

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« Oh, mais tu as le droit de t’habiller comme tu veux, voyons, Velma… Mais j’ai tout aussi le droit de tirer des conséquences de tes vêtements sur ta psychologie… » gloussa lentement Amélie.

Véritable prédatrice, Widowmaker semblait revivre quand elle était placée dans ce genre de situations, ces moments où elle avait tout contrôle sur une autre personne, où elle avait droit de vie et de mort. C’était un moment exquis, savoureux, à partager et à entretenir savamment. Elle n’avait pas prévu de se dépêcher, car, il fallait bien le dire, Velma était une femme magnifique ! Certes, ses rondeurs auraient pu déplaire aux obsédés du fitness, mais, pour Amélie, cela ne la rendait que plus attirante encore ! Elle la sentait se tortiller sur place, tandis que les mains gantées d’Amélie remontèrent pour palper ses seins à travers son soutien-gorge. Deux beaux gros obus qui se pressèrent contre ses doigts, et elle sentit avec plaisir, sous les bonnets du soutien-gorge, la pointe des tétons se durcir, trahissant le plaisir féroce qu’elle était en train de ressentir en ce moment… Un plaisir que Velma cherchait à nier, en indiquant à Amélie qu’elle n’avait rien vu ici, rien qui ne justifiait qu’elle la retienne, et qu’elle pouvait la laisser partir !

Pour réponse, Amélie pinça encore les tétons de Velma, et l’embrassa dans le creux du cou, venant mordiller sa peau.

« Je ne crois pas, non… Tu as vu mon visage, et c’est déjà bien trop… En fait, la prudence impose que je doive te tuer, et faire disparaître ton cadavre. Il ne tiendra qu’à toi de me convaincre que te tuer est un gâchis. »

Cette révélation glaciale allait sûrement faire paniquer Velma, mais il fallait aussi lui rappeler que sa situation était loin d’être idyllique, et que sa vie ne tenait qu’à un fil, pour la rendre plus docile. Ou alors, elle pourrait tenter de commettre la folie de chercher à triompher de Widowmaker, mais, dans ce cas, elle allait vite déchanter. À ce stade, Amélie ignorait qui avait pu l’envoyer ici. Peut-être quelqu’un qui croyait vraiment que la maison était hantée ? Amélie s’amusait parfois à déclencher les pièges, cela évitait qu’il y ait trop de curieux qui viennent squatter ce manoir. C’était sa maison, après tout, son refuge ici, à Yoake, dans cette ville étrange qu’elle se devait de surveiller pour le compte de Talon.

Amélie alla donc se positionner devant Velma, et lui sourit encore, malicieusement. Oui, la petite curieuse avait bien compris ! Widowmaker caressa son visage avec sa main, glissant sur sa joue, puis, avec son autre main, appuya sur un bouton d’une télécommande. Les liens retenant Velma se défirent alors, et elle tomba au sol.

« Tu as deux solutions devant toi, Velma… Soit agir comme mon ennemie, soit comme mon amie. »

C’était un dilemme plutôt simple à comprendre, dans l’absolu. Amélie alla s’asseoir sur un fauteuil face à Velma, et se mit à croiser sensuellement les jambes.

« Alors, à toi de te montrer intelligente… Viens à quatre pattes, mes pieds ont besoin qu’une langue les lèche… »
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Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Message par Velma Dinkley »

Velma Dinkley
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Velma était dans une drôle de situation, jamais elle n'avait vécu de chose pareil ! C'était arrivé que ses missions avec le SHIELD ou autre ne se passe pas comme prévue, mais les autres savaient gérer cela et ce fut plus de peur que de mal, mais là... jamais elle n'avait été capturée et torturée. Enfin, torturé... c'était vite dit... Mais elle n'était pas consentante pour autant donc oui, ça restait de la torture en quelque sorte. La jeune femme profitait de la situation, la caressant, sans se gêner de passer ses mains sur sa poitrine, ce qui lui faisait de plus en plus peur ! Certes, dans un tout petit coin de son esprit, elle aimait ça... Mais il y avait quand même une différence entre une relation de soumise et dominante, de faire ça dans des endroits pas prévue pour et être prisonnière et y jouer sa vie. Car Widowmaker lui faisait bien comprendre qu'en ayant vue son visage, la prudence imposait le trépas... Une chose qui lui glaçait le sang ! Car si cette maison n'avait rien de hanter en vérité, qui lui avait envoyé la lettre pour la piéger ? Qui voulait l'envoyer à la mort ? Qui voulait, peut-être, piéger Widowmaker ? Tant mieux pour elle si elle se régalait, mais Velma ne mentait pas donc, soit quelqu'un croyait cette maison hanté et voulait lui jouer un tour, soit quelqu'un en voulait à la jeune femme au teint bleu pâle ?

« Qu-Non ! Je ne veux pas ! »

Elle tentait de nouveau de tirer sur ses liens, mais cela ne changeait rien. On disait qu'en situation de stress, de crise, l'être humain pouvait dévoiler une forcer insoupsçonner, mais ce n'était pas le cas ici... Sa tortionnaire continuait de s'amuser de cette situation, caressant son visage en la libérant de ses liens, ce qui la fit tomber au sol, lui laissant deux choix. L'un signifiant la mort, l'autre, d'oublier sa fierté, au prix de sa vie si toutefois elle disait la vérité. Mal aux poignets comme à la cheville à cause des liens, se tenir debout serait pénible, mais sa tortionnaire lui laissait comme option, pour garantir sa vie, lui lécher les pieds ? Chacun avait ses fétiches, mais Velma n'a jamais compris celui des pieds, comme des aisselles. C'étaient deux zones où l'odeur était parfois forte, peu ragoûtante à lécher, mais bon, il faut de tout pour faire un monde. Derrière ses lunettes, ses yeux restaient affolés, cette folle pourrait vraiment la tuer ou bien elle jouait avec ses nerfs ? Était-ce un test d'une des organisations qui l'embauchaient parfois pour voir si en cas de capture, elle ne dévoilerais rien ? Non... ils n'iraient pas jusque-là ?

Velma se rapprochait doucement, restant à quatre pattes mais lentement, tenir sur ses bras n'étaient pas simple, un mélange d'engourdissement et de douleur jonglait dans ses avant-bras. Sa tortionnaire avait déjà les pieds nus, à croire qu'elle avait vraiment tout perdue. Dans sa petite tenue, elle avait honte, car en plus, elle ne pouvait pas se cacher. Ses vêtements étaient déchirés ou coup, derrière elle, ça ne servait à rien pour le moment. Arrivant à ses pieds, elle observait doucement la jeune femme depuis son point de vue, avait-elle une idée précise en tête ou non ? Difficile à dire... mais pour le moment, Velma se pencha doucement dessus, peinant à sortir sa langue et à franchir le cap. Elle n'avait rien contre les femmes, elle préférait même leur compagnie aux hommes, bien qu'elle n'avait rien contre eux, mais voilà... là, c'était une situation différente. Même si elle a fait beaucoup de chose à la fac avec son amie Daphnée, se lécher les pieds n'avaient pas fait partie de leurs essais. Velma fermait ses yeux, venant enfin faire passer sa langue sur la peau froide de Widowmaker. Le pire étant que vu les penchants étranges de Velma, elle pourrait aimer cela, mais le fait d'être prisonnière, de jouer sa vie, ça rendait la chose moins délicieuse pour elle.

Velma était étrange depuis longtemps, son goût pour résoudre des mystères n'avait rien d'étrange, celui de découvrir les mystères de toujours comme, qui était Jack l'éventreur, de s'intéresser aux sérial killer et au paranormal... c'était pas étrange mais moins banal. Et si ses fantasmes restaient privés, elle savait que oui, si jamais elle serait en condition pour se faire caresser voir plus dans un train bondé, elle le ferait, de son propre choix. Si cela vient d'un pervers alors qu'elle n'a pas envie, alors non. Le consentement était important, il y a une différence entre dire oui et un viol. Et là, c'était un peu ça, car elle ne voulait pas, elle avait peur. Mais dans une autre situation, dans un cas où elles se seraient rencontrées et séduites... Elle aurait pu laisser cette drôle de femme faire d'elle sa chose, car oui, Velma avait aussi une certaine passion pour le rôle de soumise, être humiliée, mais voilà. Les cartes étaient dans le désordre donc même si une partie de son corps pouvait apprécier, une grosse partie disait le contraire, l'alchimie ne se faisait pas.

Jouant sa vie, elle léchait son pied, à quatre pattes, sa tortionnaire appréciait peut-être la vue, espérant maintenir cette peur ou bien régler le souci, ça n'en tenait qu'à elle. Peut-être savait-elle mieux qu'elle, ce que Velma aimait et voulait ressentir ? Car oui, même infime, une petite partie d'elle aimait tout ça, faisant doucement mouiller la jeune femme et vu la couleur de ses sous-vêtements, ça allait se voir quand elle allait mouiller, mais il était peut-être un peu tôt pour ça. Pue à peu, les coups de langue étaient plus confiant, cela voulait-il dire qu'elle aimait ça ? Ou bien qu'elle s'y habituait ? Velma se risquait cependant à poser une question qui, elle le savait, risquait d'apporter que peu de réponse.

« P-pourquoi me faire ça ? »

La scène, sa position, sa petite tenue, pourquoi tout ça ?

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Message par Widowmaker »

Widowmaker
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Souriant doucement, Widowmaker s’amusait beaucoup de la situation. Cette jeune rôdeuse était paniquée, ne comprenant pas ce qui se passe, mais visiblement consciente qu’Amélie tenait sa vie entre ses mains. Pouvait-elle la tuer ? Sur le principe, Amélie n’aurait aucune objection morale à le faire. Cette Velma était dangereuse, elle avait vu son bunker, elle connaissait donc son emplacement. Il était donc à craindre qu’elle ne finisse par mourir, car Amélie ne pouvait pas prendre le risque que son abri soit découvert. Elle réfléchissait donc, tandis que Velma léchait ses pieds. Elle léchait plutôt son collant rose, cette combinaison moulante et très sensible, qui moulait même ses orteils. La tête appuyée sur son poing, Amélie l’observait, et, après quelques instants, la tremblotante Velma daigna l’interroger.

Widowmaker se pinça les lèvres doucement. Velma lui demanda pourquoi elle faisait ça, et la Française sourit alors.

« Pourquoi je fais quoi ? Pourquoi je t’épargne la vie ? Tu es intelligente, Velma, tu as vu suffisamment de films d’espionnage pour savoir comment ça marche, non ? Tu es entrée ici, et tu as passé mes pièges, des illusions que je déploie pour faire fuir les curieux. Normalement, je devrais te tuer, tu sais… Mais je me dis que, dans un sens, ta curiosité mérite aussi d’être récompensée. Tu veux vivre ? Alors, fais ce que je te dis. Lèche encore, remonte sur ma jambe. »

Velma n’avait pas vraiment le choix, et continua donc. Amélie devait peut-être se montrer plus douce ? Elle n’était pas vraiment habituée aux interactions sociales, et laissa donc Velma agir. Sa langue filait sur la combinaison, la faisant doucement crisser. Fétichiste, Amélie se pinça doucement les lèvres, tout en constatant que Velma continuait à manquer de rythme, craignant toujours pour sa vie. Elle aurait voulu que celle-ci remonte jusqu’à sa chatte, mais…

Finalement, Amélie grogna, et se redressa brusquement.

« Bon, faisons-ça différemment ! Suis-moi ! »

La mercenaire traversa le bunker. C’était une zone assez petite, et elles passèrent à travers un couloir. Il y avait plusieurs pièces fermées à droite et à gauche, mais Amélie alla au fond du couloir. Tout en marchant, elle s’arrêta brusquement, et se retourna vers Velma… Puis lui prit la main. Un geste doux et affectueux.

« N’aie pas peur, ma belle, vois ça comme… Une opportunité. »

Elle se retourna alors, et déplaça son autre main pour caresser la joue de Velma, et l’embrassa alors. Un geste rapide et explicite, puis Widowmaker s’éloigna, tenant toujours la belle Française par la main. Au fond du couloir, il y avait une agréable chambre avec des couleurs plus vives, et un grand lit aux couvertures violettes en satin.

« Si tu deviens mon amante, Velma, tu pourras survivre. Tu vois, c’est simple… Offre-moi un orgasme. Plus tu me feras jouir, et plus tu jouiras, et plus je serai encline à me dire qu’il peut y avoir quelque chose entre toi et moi. »

C’était ses conditions !
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Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Message par Velma Dinkley »

Velma Dinkley
Velma Dinkley
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Enregistré le : 31 août 2024 17:00
Velma avait peur, forcément, elle risquait sa vie actuellement. Elle était tenue prisonnière par une folle à la peau bleuté qui pouvait la tuer à tout moment. Même si pour le moment, elle était « sauvée » par sa soif de luxure, elle n'était pas à l'abri que ça finisse mal. Dans d'autres circonstances, elle aurait pu se plaire à lécher les pieds d'une belle femme en petite tenue, voir plus, mais là, c'est comme si on lui disait de s'amuser avec une arme pointée sur elle, la balle pouvant partir à tout moment. Impossible d'alliée les deux ensemble. Widowmaker avait de drôle de goûts pour aimer cela et s'en amuser. Cela faisait très cliché de grand méchant comme dans tout bon film, mais quand même. Peut-être avait-elle senti qu'il serait difficoile de continuer sur ce chemin ou bien, elle voulait changer d'ambiance, elle se leva d'un coup, la faisant quelque peu sursauté. Avait-elle échoué ? Allait-elle mourir ? Pas forcément. Widowmaker la traînait hors de la pièce, dans un couloir très blanc, à l'image de tout ce qu'elle avait pu voir jusqu'ici. Se balader dans cette tenue était un mélange de peur d'être surprise par une autre personne et une certaine excitation aussi. Mais pour le moment, rien ne disait qu'il y avait du monde derrière ses autres pièces ? Ça pouvait être grand pour une seule personne, mais comment savoir ?

Velma fut coupé dans ses pensées quand elle s'arrêta en chemin, la main prise par la jeune femme qui venait doucement l'embrasser, quoi que rapidement en se montrant sur un ton plus doux et moins froide, tout en lui caressant la joue. Ça aurait presque pu être agréable... ça l'était déjà plus que le coup du léchage de pied en sachant qu'elle jouait sa vie, même si cette partie n'était pas encore finie. Pssant la porte au fond, elles étaient dans une chambre au ton violet même si Velma voyait surtout le lit. Même paniqué, elle savait ce que ça voulait dire vu tout ce qu'elle a vécu depuis son réveil. À entendre sa ravisseuse, elle devait devenir son amante ?! Comment passer de l’enlèvement à la demande intime ? Ça devenait difficile de réfléchir calmement avec tout ce qui se passait en ce moment ! Toujours en petite tenue, elle avait posé ses conditions, mais Velma n'était pas encore prête à faire ça, pas après avoir vécu ça ! Ses bras sur son corps cherchaient à cacher sa semi-nudité alors que son regard était posé sur Widowmaker, toujours un peu paniqué, même si elle pouvait remarquer que la peur était moins présente. Après tout, elle lui avait présenté une porte de sortie, reste à savoir si elle était réelle ou fausse ?

« Co-comment vous pouvez me dire ça après m'avoir menacer, je... C'est pas logique ! Si je vous plaît, il y a d'autres façon de me faire des avances !!! Vous ne pouvez pas me mettre sous la guillotine puis ensuite dire que je vous plaît ! »

Velma cherchait à rester logique, peut-être que cela l'aidait à ne pas craquer, mais après cette séance de léchage de pied et de jambe, puis ce baiser et ce peu de douceur dont elle avait et allait faire preuve ici, la culotte de la demoiselle abordait une petite tâche humide. Rien qui allait inondé ses cuisses, mais la mèche était allumé. Sa ravisseuse devait s'en douter, mais face à Velma, il fallait faire preuve de domination pour faire avancer les choses, si elle laissait Velma décidé, elles y étaient encore demain à débattre sur la logique de la situation. Toujours à se cacher inutilement, elle osa lever les yeux vers elle, toujours peur de lancer un mot de trop...

« Pourquoi me faire peur... et me donner un espoir ensuite ? »

Juste l’espoir aura suffi, non ?

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Message par Widowmaker »

Widowmaker
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Velma était confuse. Dans la chambre d'Amélie, elle ne savait plus où donner de la tête. Est-ce qu'Amélie comptait la tuer, ou non ? Elle fit remarquer qu'Amélie aurait pu se contenter de la séduire sans menacer de la tuer, et l'intéressée sourit doucement. Amélie s'était assise sur le rebord du lit, et fit face à Velma.

« Tu demandes à une fille qui vit dans un bunker sous une maison hantée d'être logique, Velma ? Rien n'est logique ici, pourtant... »

Vu sous cet angle... Amélie se releva alors, et rejoignit Velma. Nerveuse, elle restait à l'entrée de la chambre. La porte s'était refermée dans son dos, et Amélie sourit alors, retournant caresser l'une des joues de Velma.

« Ou peut-être que je veux juste voir si tu es débrouillarde... Ou alors, peut-être que j'envisageai initialement de te tuer, avant de me dire que mettre fin à un aussi joli lot, ce serait dommage... Ou peut-être que j'envisage de te corrompre pour faire de toi l'une de mes espionnes, un agent dormant qui ne se rappellera plus de notre conversation, mais qui, inconsciemment, continuera à agir pour moi... »

Tant d'hypothèses possibles ! Amélie n'offrait aucune réponse certaine à Velma, préférant la laisser dans le doute. Et puis, elle-même n'était pas encore totalement fixée. Si on suivait à la lettre le protocole de Talon, elle devrait la tuer, mais elle trouvait ça dommage... Car elle était vraiment jolie ! Et Amélie savait qu'elle était en lien avec des organisations, et que ces liens pourraient lui être utiles. Il y avait donc un intérêt réel à la laisser vivre, au-delà de sa seule plastique.

Velma était encore confuse, et Amélie attrapa chacune de ses joues, l'embrassant à nouveau sur les lèvres. Un baiser un peu plus appuyé que le précédent, plus long, destiné à rassurer la jeune femme face à ses angoisses. Amélie prolongea le plaisir, collant son corps contre celui de Velma, faisant ainsi doucement crisser la combinaison. Un contact très agréable, destiné à rassurer Velma.

« Je verrais quoi faire de toi, Velma... Sois agréable, montre-moi que tu es une bonne amante... »

Elle frotta tendrement son nez contre le sien, puis s'écarta alors, et retourna s'asseoir sur le lit, écartant brièvement les jambes. Amélie récupéra une télécommande, et ouvrit un placard mural, révélant une série de sex toys, mais aussi de menottes, de fouets, de martinets...

« Tu vois, ma belle, il y a largement de quoi nous occuper, non ? »
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Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Message par Velma Dinkley »

Velma Dinkley
Velma Dinkley
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Widowmaker avait beau lui laisser la vie sauve pour le moment, il y avait toujours un petit risque que cela se termine mal pour elle aussi. Vu son état, elle avait beau dire que tout irait bien, qui lui dit qu'au dernier moment, elle n'aurait pas une lame plantée dans le dos ? La jeune femme à la peau bleue se rapprocha, lui caressant les joues, sûrement pour tenter de la rassurer, mais elle n'était pas douer pour la rassurer... Pourquoi est-ce qu'elle serait rassurée de trahir le SHIELD et l'ARGUS ? Elle ne voudrait pas ! Elle voulait bien se taire sur ça, vu que ce n'était pas eux qui l'avait envoyé ici, mais elle ne voulait pas trahir ses organisations. C'était même hors de question ! Mais avant même de céder à la panique, elle l'embrassait, plus tendrement en se collant à elle. Le contact avec sa tenue était plus chaud qu'elle ne le pensait et un délicieux bruit se fit entendre. Dans un sens, cela la calmait un peu, mais elle savait que le couteau était toujours très proche de sa gorge. Elle acquiesça doucement après le baiser, tandis que la jeune femme regagnait son lit, ouvrant mécaniquement un placard qui montrait bien des choses la faisait rougir. Velma observa cela avec une certaine envie refoulé, la vision de ce martinet en particulier lui fit un sacré effet ! Mais une fois encore, elle était encore trop stressé pour ne serait-ce qu'y voir le côté positif à tout cela.

Cependant, elle s'approchait doucement de la jeune femme, venant doucement poser ses fesses sur sa cuisse, une main sur elle. Elle était toujours stressée, intimidée, ne sachant pas si tout cela aurait une bonne ou une mauvaise conclusion, elle n'allait pas revenir sur son idée d'agent dormant... elle tenterait de la convaincre un peu plus tard car pour Velma, c'est sûr, elle ne voudrait pas de ça ! Après, est-ce que Widowmaker attirait l'attention de ce genre d'agence ? Velma s'occupait que du coin paranormal donc même si ce serait le cas, elle n'avait jamais entendu ou vu la moindre chose sur cette femme sur place. Toujours en petite tenue, ses joues restaient bien rouges aux côtés de la jeune femme, elle se demandait pourquoi sa peau était bleue ? Soit c'était une extra-terrestre, soit c'était autre chose ?

« Je... pardon, je suis pas encore à l'aise... »

Elle devait rentrer dans son jeu, mais pour ça, elle devait faire des efforts, ça n'allait pas être des plus simples dans un premier temps. Doucement, mais sûrement, la jeune femme à lunette se pencha vers sa ravisseuse et pressa ses lèvres contre les siennes. Elle laissait doucement son poids se porter sur elle, soit pour la faire basculer, soit pour mieux se blottir contre elle, au choix. Mais son baiser restait dans la même lignée que les autres, il était doux et très sensuel. Dans le silence ambiant de la pièce, on pouvait entendre de très légers gémissements émaner d'elle, entre deux bruits de langues humides. Pressées de son côté, ses mains s'étaient posé sur ses épaules, elle rompit le baiser très doucement, si bien qu'un petit filet de bave les reliaient encore pendant de courtes secondes avant qu'elle n'ouvre à nouveau les yeux.

« Qu'est-ce que... je dois faire, pour te rendre heureuse ? »

Velma jouait sa vie donc elle devait bien allez dans son sens pour que ce soit le plus profitable. Les joues rouges, les yeux mi-clos, elle l'observait, n'écoutant que sa voix en espérant qu'au final, elle la laissera filer, sans contrepartie étrange... Velma avait des goûts étranges, qu'elle refusait d'admettre, surtout face à une inconnue donc, elle ne pensait pas que cette femme pourrait vraiment la surprendre.

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Message par Widowmaker »

Widowmaker
Widowmaker
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Amélie avait sans doute vaguement conscience que ses techniques de drague mériteraient d'être améliorées. Mais, après tout, elle avait tué son mari, alors il y avait sans aucun doute une importante marge de progression à réaliser. Quoi qu'il en soit, s'enhardissant un peu, Velma finit par se pencher vers elle, et l'embrassa tendrement, ou timidement. Elle manquait encore un peu d'assurance, mais semblait avoir compris qu'Amélie lui laissait une chance. En faire une agente dormante semblait pour l'heure être un objectif assez inatteignable, mais Amélie n'était pas sûre de respecter le protocole de Talon avec elle. Et, de fait, elle ne le respectait déjà pas. À aucun moment, le protocole prévoyait de s'envoyer en l'air avec les petites curieuses qui découvraient son existence. Fort heureusement, Amélie disposait d'autres méthodes pour s'occuper de la curiosité de Velma, mais, pour le moment, elle se contenta juste de savourer ce baiser. Velma se pressa contre elle, et mit ensuite fin au baiser. Elle avait beaucoup salivé, signe de sa nervosité, et Amélie sourit à sa question... Un sourire léger.

Sa main gantée caressa la joue de Velma, et son pouce frotta ses lèvres... Puis elle la renversa soudain. Velma se retrouva couchée sur le lit, et Amélie se mit à califourchon sur elle, maintenant son pouce entre ses lèvres.

« Ce que tu dois faire n'a rien de compliqué, Velma... C'est même tout l'inverse. Tu crois sans doute que je ne t'ai pas vu ? Que je n'ai pas vu ton regard lorsque je t'ai montré mes jouets ? Tu vois, j'ai beau être une tueuse, je n'en reste pas moins une femme... Et toi, ma belle, avec tes formes généreuses et ton masochisme qui se voit sur ton visage comme le nez au milieu de la figure, tu vas me donner l'occasion de m'amuser un peu. Alors, sois une bonne petite chienne, obéis à ta Maîtresse, et tu pourras survivre. »

Elle le lui dit clairement... Survivre. Un espoir, la possibilité mince pour elle de sortir d'ici. Non pas comme agente dormante, mais Amélie pourrait lui faire oublier ses souvenirs. Elle disposait de produits pour ça. Velma ne se souviendrait de rien, elle se réveillerait dans sa voiture, et son cerveau remodèlerait ensuite ses souvenirs. C'était risqué, bien sûr, et non-conforme au protocole... Mais Amélie pouvait aussi varier les souvenirs, amener par exemple Velma à se réveiller chez elle, et à lui faire croire qu'elle avait couché avec Amélie ailleurs que dans ce bunker. Tout allait surtout dépendre de Velma. Amélie n'avait pas pour habitude de mentir.

Velma allait devoir mériter de survivre. La belle espionne lui laissa un peu de temps pour comprendre ça.

« Donc, ce n'est pas compliqué... Tu obéis à ce que ta Maîtresse t'ordonne, Velma, et tu auras la vie sauve. Tu penses pouvoir faire ça ? Mordille mon doigt pour me montrer que tu as bien compris... »

Elle sourit alors plus franchement quand elle sentit une fine pression s'exercer sur son doigt. Bien ! Elle semblait avoir compris la leçon. Amélie se redressa alors, et retourna près de ses jouets.

« Je dispose d'un appareil qui me permettra de remodeler tes souvenirs... Trois hypothèses sont donc possibles. Si tu te rebelles, je devrais te tuer. Si tu m'obéis, j'utiliserai la machine pour remodeler tes souvenirs, et tu ne te souviendras plus de notre rencontre... Ou, et c'est la troisième option, si tu t'en sors très bien, je modifierai légèrement tes souvenirs pour que tu te souviennes de moi, mais pas de ce bunker. Comme ça, je resterai encore ta Maîtresse. Donc, en définitive, tout va dépendre de toi... Sois une bonne petite chienne obéissante à ta Maîtresse, et tu vivras. »

Elle attrapa alors le martinet, et se retourna vers Velma, faisant lentement tournoyer l'objet.

« Maintenant, si tu as bien compris ce que je t'ai dit, mets-toi à quatre pattes sur le lit, et demande à ta Maîtresse de te fesser pour te punir... »
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