The Multiversity

[Fönn Verrières]

Lissandre disposait d’un symbiote sur elle, depuis que Mélona et elle avaient copieusement fait l’amour, et que Mélona avait fusionné avec sa combinaison. La Slime avait « accouché » d’un bébé symbiotique qui s’était uni à la combinaison de Lissandre. Ce symbiote était en train de mûrir, de grandir progressivement, devenant petit à petit capable de réfléchir, d’interagir, et considérant Lissandre comme sa mère. Un bébé très particulier qui se nourrissait de sexe, et qui encourageait donc sa mère à multiplier les aventures. En sentant donc la belle Fönn sucer sa queue, le symbiote était très heureux, et avait naturellement étiré ses tentacules pour empêcher la bouche de Fönn de partir. Il serrait parfois, faisant gémir la gynécologue, mais sans jamais trop insister. Relâchant ensuite la pression, le symbiote commençait à apprécier cela. Et, quand sa maman relâcha les cheveux de Fönn pour caresser ses seins, le symbiote réagit encore.

Il refusait que Lissandre cesse d’appuyer sur la tête de Fönn, et voulait aussi faire plaisir à sa mère. Deux mains blanches jaillirent alors dans le dos de Lissandre. Des tentacules jaillirent de son dos avec les mains à leur extrémité, rappelant les propres mains symbiotiques de Mélona. Les deux mains se posèrent sur chacun des seins de Lissandre, et commencèrent à les masturber, tandis qu’une voix sucrée résonna dans sa tête. On aurait dit celle de Mélona, sauf que ce n’était pas vraiment Mélona, mais leur symbiote… Qu’on aurait pu considérer comme une Mélona-bis.

« C’est à moi de m’occuper de toi, Maman Lissandre… Toi, assure-toi que Fönn ne se retire pas trop vite, c’est si bon de sentir sa bouche sur moi ! Je sens en elle la magie rose de cet incube qui va nous remplir, si tu savais comme c’est bon ! »

Fönn avait été marquée par Alastar. Elle portait après tout son deuxième enfant, et les êtres magiques comme Mélona ou Mélona-bis n’y étaient pas insensibles. Le symbiote s’enflammait doucement, tandis que Fönn, elle, enchaînait les gorges profondes. Elle relevait parfois les yeux, et nota les mains blanches jaillissant du dos de Lissandre, et trembla d’excitation. Quand elle tenta de se masturber, décollant donc sa main du cul de Lissandre, un tentacule jaillit pour s’enrouler autour de son poignet, la retenant. Le symbiote voulait qu’on le palpe, il voulait qu’on s’occupe de son adorable cul. Les doigts de Fönn se crispèrent donc sur place, et elle malaxa ce postérieur avidement, ondulant sur place.

Une queue caudale sortit alors du corps de Lissandre, fila entre ses jambes. L’extrémité prit une apparence plus phallique, et pénétra finalement Fönn. La doctoresse gémit sur place, peinant à conserver son calme. La verge slimesque vibra doucement contre sa chatte, avant de s’enfoncer brusquement en elle, arrachant à Fönn un léger soupir. Ses yeux se voilèrent pendant quelques instants, puis elle continua à remuer.

« Hmmm... » gémit-elle.

Il n’y avait rien d’autre à dire, après tout, et elle continuait donc son office, gémissant longuement, salivant sur cette verge magnifique. C’était tout simplement trop bon ! Elle continuait donc à agir, impatiente de sentir le sperme de Lissandre jaillir dans sa gorge !

[Lissandre Verrières]

Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°11

Surprise. C’est le moins que l’on puisse dire lorsqu’on sent se multiplier plusieurs appendices et qu’une voix s’éveille dans sa propre tête. Mais, étrangement, Lissandre s’y était très vite fait. C’est qu’elle en rêvait tellement de cette relation unique et extraordinaire !

*Bien entendu, mon Bébé. Tout pour te faire plaisir ! Maman Lissandre va faire en sorte que la belle bouche de Fönn continue à te donner de l’amour. *

Elle en frétillait d’excitation ! Lissandre avait eu de la peine à ne plus entendre la voix de Mélona. Elle en avait toujours, certes. Mais savoir qu’elle portait la « vie ». Savoir que cette vie était en partie Mélona lui donnait une sorte de chaleur. Pas quelque chose de sexuel. Plutôt quelque chose de maternel. Mais c’était à la fois sexuel et en même temps c’était comme être habillé d’un vêtement high-tech. C’était compliqué à définir.

Fönn continuait sa magnifique fellation. Les mains de Lissandre l’empêchant de toute manière de faire autre chose. Et… faire quoi d’autre de ses deux mains de toute façon ? Le Bébé Mélissandre ( ? Mélona+Lissandre ?) avait usé de son pouvoir créateur pour s’occuper des deux petits seins de la bourgeoise française. Mais il avait également fait appel à son pouvoir pour donner du plaisir pénétrant à la psychologue. Que restait-il en possibilité ?

Lissandre sentit quelque chose dans son bas-ventre. Elle sentait qu’elle allait venir. Ses mains donnèrent l’ordre à Fönn de se retirer.

« Tu as failli obtenir ce que tu désirais, Fönn. »

Un sourire malicieux sur le visage, Fönn pouvait penser que Lissandre jouait tout simplement avec elle pour la frustrer. Il y avait de ça. Mais il y avait aussi cette flaque sur le sol. Cette flaque qui hypnotisait Lissandre. Pourquoi avait-elle cette fascination pour les liquides ? Elle papillona des yeux pour briser le sortilège. De nouveau, ses yeux regardaient la belle rousse. Un filet de bave la reliait encore à son pénis barbe à papa.

Ses doigts pénétrèrent la bouche de Fönn pour y entortiller entre ses doigts la salive.

« Lèches-moi les doigts. »

Elle préparait également la salive de sa propre bouche. Elle voulait mélanger ses fluides.

« Ouvre la bouche, jolie Fönn. »

Elle laissa couler sa salive dans la bouche de la gynécologue. Puis, de nouveau, ses doigts pénétrèrent sa bouche.

« Nettoie ma main et ensuite, tu auras le droit de goûter à mon sperme goût barbe à papa ! »

[Fönn Verrières]

Fönn ne comprenait plus vraiment ce qui lui arrivait. Elle savait que cette Française avait visiblement développé des capacités surnaturelles, et elle en avait la démonstration. Mais, après avoir eu deux enfants avec un incube, Fönn n'allait pas bondir au plafond de terreur. Sa combinaison réagissait étrangement, poussant une queue caudale qui vint titiller son sexe. La jeune gynécologue gémissait de plaisir, sa salive humidifiant la verge de Lissandre. La Française approchait de l'orgasme, et ses mains se crispaient sur les cheveux de sa partenaire. Elle s'attendait à la sentir répandre sa sauce, tant son corps se crispait... Mais, soudain, à la grande surprise de Fönn, Lissandre se retira brusquement. Sa verge jaillit hors de sa bouche, trempée, inondée de salive. Elle tapa contre le visage de la gynécologue, puis Lissandre s'écarta un peu, et reprit lentement ses esprits.

Son membre pulsait chaudement devant elle, et Fönn l'observa, une lueur d'assoiffée sur le visage, comme une sorte de droguée qu'on priverait de sa nécessaire et vitale sucrerie.

« Li... Lissandre ? »

Pour seule réponse, Lissandre la repoussa, et la força à se coucher sur le sol .Elle avait une force phénoménale, écrasant sans difficulté Fönn. Mélissandre aidait évidemment sa mère en ce sens, mais la Française devait aussi lutter contre son enfant symbiotique, qui avait désormais terriblement envie de baiser la femme. C'est sans doute ce qui expliqua la fascination de Lissandre pour le nectar intime de Fönn, ce doux liquide qui avait fuité de son bassin. Elle en attrapa entre ses doigts, et s'allongea sur le corps de Fönn, le fourrant dans sa bouche. La gynécologue soupira doucement tout en déplaçant ses mains. Elle les posa sur les fesses de Lissandre, serrant les deux avec ses deux mains, crispant ses doigts dessus, les remuant profondément.

Lui obéissant lentement, Fönn ouvrit ensuite la bouche, et Lissandre laissa couler sa salive en elle, ce qui amena l'une des mains de Fönn à se poser fortement sur ses cheveux. Elle serra dessus, et gémit à nouveau, la verge de Fönn allant remuer contre ses cuisses. Le contact était électrique, et la gynécologue tremblait furieusement. Cette sensation lui rappelait les tortures sexuelles du Diablotin, qui la titillait jusqu'à ce qu'elle en devienne folle, qu'elle s'insulte et renonce à toute dignité pour qu'il lui accorde enfin le droit de jouir. Mais Lissandre semblait aussi impatiente qu'elle, Fönn sentait les tremblements nerveux qui parcouraient et agitaient son corps de poupée.

« Hmmmm... !! »

Elle fit tout ce que Lissandre exigea, et frotta son vagin contre sa queue.

« En moi... Je veux te sentir en moi, Lissandre. Tu n'as qu'à... Haaaann... Utiliser ta queue caudale pour jouir dans ma bouche, mais je veux que tu te relâches en moi, ma chérie... »

Qui sait jusqu'où cette sulfureuse relation allait les conduire toutes les deux ?

[Lissandre Verrières]

Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°12

Lissandre savait qu’elle avait plusieurs appendices. Mais à ce moment-là de sa « consultation », elle ne pensait plus qu’à une seule chose : son pénis de latex rose. Il fallait qu’elle l’utilise. Il fallait qu’elle pénètre Fönn. Elle voulait se libérer de ce désir, de tout ce sperme qui ne demandait qu’à sortir.

« Tu es bien trop jolie et excitante, ma belle Fönn ! Je ne vais plus pouvoir tenir longtemps. »

D’un seul coup, elle pénétra le con de la gynécologue !

« Excuse-moi si je viens rapidement. Mais je n’en peux plus. »

Elle accéléra très vite le mouvement. Elle ne pouvait plus parler. Elle ne faisait qu’ahaner et mettre toute son énergie dans ses coups de butoirs. Elle voulait jouir en Fönn. Elle voulait ressentir le plaisir à éjaculer ! Le plaisir d’être dans l’intimité chaude. Le plaisir à remplir.

*Le plaisir à goûter ! Hi hi ! *

« Ça vient ! Ça vient !! »

Le corps tendu et cambré, le plaisir la ravagea de l’intérieur et Fönn reçu son cadeau comme elle l’avait ardemment demandé. Lissandre éjaculait au sein de Fönn.

« Han ! C’est bon ! C’est trop bon ! »

Elle se laissa retomber sur Fönn et lui lèche le bas du visage avant de l’embrasser. Puis elle se laissa glisser le long du corps recouvert en partie d’un tatouage magnifique. Les lèvres de Lissandre déposant des bisous sur ses seins, son ventre, son Mont de Vénus puis son clitoris.

Sa langue décida alors d’aller chercher une partie de sa semence. Elle voulait y goûter. Le partager peut-être ?

[Fönn Verrières]

Lissandre pénétra joyeusement Fönn, et c’était délicieux ! Oh oui ! Elle adorait ça ! La gynécologue gémit fortement, et serra ses mains sur le corps de Lissandre, la laissant la prendre à même le sol. Elle n’aurait jamais cru que les évènements auraient pu dériver à ce point, et cela ne la dérangeait nullement. C’était même tout le contraire ! Elle était vraiment excitée, et fortement heureuse de vivre tout ça. Sa main se serra sur les cheveux de Lissandre, et elle l’embrassa donc, ses lèvres sucrées se pressant contre les siennes.

« Hmmm… Haaaaann… !! »

Dieu, que c’était bon ! La verge de Lissandre continuait à la prendre, et, même si elle était faite d’une sorte de matière très particulière, ce n’était pas douloureux. La femme aurait pu craindre que cette verge slimesque ne colle, mais, au contraire, elle coulissait très bien. Elle s’enfonçait profondément en elle, provoquant une série de claquements spongieux. Fönn soupirait donc, les baisers se rompant pour que leurs visages se frottent ensemble. C’était si agréable, si doux, et si pervers en même temps. La femme à la combinaison rose continuait son office, et les minutes défilaient avec appétit entre elles.

C’était délicieux, tout simplement. Fönn soupira encore, et la laissa faire, jusqu’à ce que sa partenaire ne jouisse en elle. Lissandre n’était visiblement pas habituée à manipuler cette verge, et sa jouissance était exquise. Elle se relâcha dans l’intimité ruisselante de Fönn, qui la laissa faire, en souriant. La Norvégienne sentit ensuite la Française l’embrasser le long de son corps, descendant lentement jusqu’à ses cuisses.

« Là, là… Tu as attisé le feu qui brûle en moi, Lissandre, mais… Tu dois finir le travail… »

Son orgasme ! Fönn le méritait ! Elle le voulait, et elle comptait bien insister en ce sens. Sa main s’appuya donc sur les cheveux de Lissandre, et elle les pressa, tout en gémissant encore, se pinçant les lèvres.

« Il va falloir former ta verge, ma belle Lissandre… Qu’elle soit plus endurante… Pour une fois que je tombe enfin sur une hermaphrodite, je compte bien te former comme il faut… »

Leur relation ne faisait tout simplement que commencer.

[Lissandre Verrières]

Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°13

Est-ce que c’était le fruit de son imagination ? Lissandre avait sa langue entre les lèvres intimes de Fönn. Et elle jurerait que sa semence était sucrée ! D’ailleurs, elle lapait l’intérieur comme une chatte en chaleur. Comme une assoiffée voire comme une junkie à un nouveau produit.

Ses deux mains faisaient des allers-retours sur le ventre de la gynéco. Des caresses. Parfois des actions comme si elle voulait griffer. Elle aimait beaucoup le corps de Fönn. Elle était en train de se rendre folle elle-même par la situation. D’un côté par ce qu’elle avalait. D’un autre côté par le fait qu’elle venait de pénétrer une femme de sa propre presque-verge. Et d’un dernier côté parce qu’elle imaginait des situations, des concepts pour des épisodes de sa propre création de porno-fantasy.

Enfin, elle décida de relâcher le sexe de Fönn pris en otage par son appétit impulsif.

« Donc j’ai quelque chose qui ne va pas, Doctoresse ? J’ai une malformation physique et il va falloir opérer ? »

Elle remonta avec la grâce d’un félin vers le visage de Fönn. Elle l’embrasse une nouvelle fois et poussa une partie de sa semence qu’elle avait stocké avec sa salive à l’intérieur de la bouche de la gynéco.

« Tu trouves qu’on a bon goût ? Moi je trouve que oui. Beaucoup même ! On pourrait devenir riche si on en mettait en bouteilles : hi hi ! »

Le pire ? C’est qu’elles étaient au Japon et que ce genre de choses pouvaient se concrétiser. Ça existait peut-être même déjà. Il y avait bien des gens pour acheter des culottes souillées…

Elle retourna l’embrasser. Et, étant donné que ça carburait toujours à fond dans sa tête, quand elle quitta les lèvres de sa jolie Fönn, elle parla encore :

« Tu disais que tu voulais me former et augmenter mon endurance ? Tu veux dire comme dans un jeu de rôle ? Ca veut dire que je peux surement débloquer de nouvelles compétences et de nouveaux pouvoirs si tu es une bonne professeure ! Hi hi ! »

Son esprit s’enflammait. Son désir s’accroissait. La verge qu’elle partageait avec Mélissandre était déjà de nouveau prête au service ! Mais elle avait tellement d’idées, elle anticipait déjà tellement la rencontre avec l’incube, qu’elle ne s’en était même pas encore rendu compte.

[Fönn Verrières]

Oui, Alastar allait fortement l’apprécier ! Cette Lissandre était assez incroyable, et Fönn ne regrettait clairement pas d’avoir été gourmande en la soumettant à ce test préalable. Elles risquaient fort de s’envoyer en l’air une bonne partie de la journée. Mais, en même temps, comment ne pas succomber ? Fönn avait devant elle son fantasme en chair et en latex : une femme hermaphrodite ! Elle ne pouvait évidemment qu’être fortement emballée ! Cette femme était tout simplement parfaite ! Elle l’embrassa encore, tandis que Lissandre l’invitait à lui montrer comment l’améliorer.

Un sourire traversa les lèvres de la gynécologue. Une fois la surprise initiale passée, elle reprenait du poil de la bête, et retourna alors Lissandre. Les seins de Fönn s’enfoncèrent dans son dos, et elle la tourna vers un miroir. Ensemble, elles formaient un très beau couple, et, très rapidement, la main de Fönn alla masturber sa verge. Elle la caressa lentement, et frémit en sentant le contact du latex. C’était un contact vraiment très particulier, chaud, collant, mais loin d’être désagréable.

« Regarde comme tu es belle, Lissandre… Alastar va t’adorer, tu sais… »

Délaissant la verge de Lissandre, la main de Fönn caressa alors son ventre, glissant sur son estomac, tout autour de son nombril. Les mouvements étaient lents, appuyés, témoignant d’un profond désir, d’une soif latente qui remontait doucement dans le corps de la jeune femme. Bien sûr, elle avait encore envie de Lissandre, mais la doctoresse avait aussi de tout simplement profiter d’elle. Elle l’embrassa donc dans le creux du cou, continuant à se frotter contre elle.

« Comment vais-je donc pouvoir te former ? réfléchit-elle longuement. Déjà, je vais prendre ma journée pour m’occuper de toi… Ensuite, puisqu’on doit invoquer Alastar chez toi, il faudra aussi que tu me présentes ta maison, que je trouve la meilleure pièce où l’invoquer, et qu’on prépare quand même le rituel. Un incube, ça ne s’invoque pas non plus en se contentant de claquer des doigts ! »

Il y avait même tout un processus à respecter avant que Le Diablotin ne daigne pointer le bout de sa queue… Mais, après tout, quel incube refuserait de passer une soirée avec deux femmes aussi belles ?

[Lissandre Verrières]

Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°14

C’est vrai qu’elle était belle dans le miroir. Surtout avec une verge rose et une magnifique gynécologue à ses côtés. Impulsive, elle avait envie de la porter dans ses bras et de l’emmener de suite chez elle ! Elle était comme ça Lissandre : passionnée ! Impulsive !

« Alastar… »

La main gauche de Lissandre monta pour venir caresser la tête de Fönn qui se trouvait derrière elle. Cet incube qui était déjà revenu plusieurs fois dans la conversation. Elle ne connaissait presque rien de lui. Est-ce que ça l’inquiétait ? Absolument pas. Par contre, elle devenait soudain très curieuse. Sans se retourner, elle commença alors à poser des questions.

« Il ressemble à quoi ? Je veux dire, physiquement. Il ressemble à un démon ? Un humain à la peau rouge ? Quelque chose de bien plus monstrueux ? »

Son autre main se posa sur celle de Fönn qui lui caressait le ventre. Les signaux étaient difficilement compréhensibles pour elle. Quand il s’agissait de son ventre, c’était toujours contradictoire. Il y avait à la fois ce désir maternel mais également cette pulsion sexuelle. Qu’en était-il pour Fönn ? Seulement une envie sexuelle ? Ou quelque chose de difficilement compliqué à mettre en mots mais qui reliait deux mamans ?

« Et d’ailleurs, comment on fait pour invoquer Alastar ? Tu as besoin d’une pièce particulière ? Tu as besoin que je donne un coup de téléphone pour que je demande à ce qu’on nous achète des choses ? Ne t’en fais pas pour le prix, mes parents sont riches et je peux me permettre tellement de choses ! »

Elle se regarda à nouveau dans le miroir. Elle était belle. Non, elles étaient belles toutes les trois : Lissandre, Fönn et Mélissandre. Vraiment belles ! Une photographie. Lissandre se dit que collectionner de tels souvenirs ferait un bon livre à consulter quelques années plus tard. Le livre de sa vie ? Non, plutôt l’aventure totalement excitante de son existence ! Mais elle devait se concentrer. Fönn lui parlait.

[Fönn Verrières]

Fönn sourit doucement en continuant à masturber tendrement Lissandre. Elle remonta sa main pour caresser son ventre en latex, et l’embrassa dans le creux du cou. Elle se blottit dans son dos, et Lissandre s’intéressa alors à Alastar… Le Diablotin. Elle resta silencieuse pendant un temps, et lui répondit :

« Tu as couché avec son fils, non ? Il doit sûrement ressembler à son père… Alastar est très beau, Lissandre. C’est un amant magnifique, le plus bel homme qui soit. Il a la peau rouge, et peut avoir une apparence plus humaine, mais nous le verrons sous sa forme démoniaque. Un corps d’athlète au torse glabre, avec une longue queue caudale, des muscles magnifiques… Et une endurance sexuelle indescriptible. Crois-moi, Lissandre, quand cet homme te baise, c’est comme si une armée entière te marchait dessus. Alastar t’envoie tout ce qu’il a, des régiments de cavalerie, d’infanterie, des canonnières… Et il fait durer le plaisir, au point que tu en oublies même ton nom, et que tu ne penses plus qu’au sexe. »

On pouvait sentir l’admiration dans la voix de Fönn. C’était un désir profond et très grand, celui d’une femme qui avait sincèrement aimé se faire baiser par lui. Alastar avait réduit la gynécologue à l’état de légume, de simple animal, elle avait renoncé à tout tandis qu’il l’avait baisé avec une vigueur incroyable. Elle ne mentait pas à Lissandre, elle n’exagérait pas les faits, elle était sincère, et elle sentit l’érection de Lissandre durcir.

La Française lui demanda ensuite comment l’invoquer, en lui rappelant qu’elle était riche. Tout en recommençant à la masturber, Fönn pinça l’un de ses seins. Elle tira dessus, et se délecta des gémissements de la jeune femme.

« Tu crois que je fais ça pour l’argent, Lissandre ? Tu crois que l’argent va l’intéresser ? Ne commence pas à être insolente… Pour l’invoquer, il faudra faire un rituel, tout simplement. Un pentacle, comme dans les films. En utilisant une formule, nous invoquerons Alastar, et nous passerons ensuite un contrat. Il faut être très vigilante, Lissandre, car les démons sont de redoutables avocats, et aiment interpréter les clauses du contrat. Mais, rassure-toi, si on se trompe, Alastar ne dévorera pas nos âmes. À vrai dire, la première fois que je l’ai invoqué, j’avais complètement foiré mon pacte. Il aurait pu m’emmener chez lui et m’asservir, mais il a préféré me garder ici… Et il m’a même offert un second enfant. Alors, quand il a proposé que je t’invite… J’ai su que tu étais quelqu’un de spécial, et tu ne fais que le confirmer. »

La gynécologue la masturba encore, sentant la verge de Lissandre grossir à nouveau.

« On peut l’invoquer chez toi, si tu veux… On a juste besoin d’une pièce, que je récupère mon grimoire, d’une craie blanche, et de bougies… Ainsi que des pétales de rose rouge, Alastar aime bien ça… Le mieux est de l’invoquer directement dans une chambre, et… Je crois qu’il ne serait pas contre un bon champagne quand on l’invoquera. Tu sais, c’est un incube très distingué… »

Elle cessa enfin de caresser la verge de Lissandre, et l’embrassa à nouveau dans le creux du cou, tout en retournant caresser le ventre de Lissandre.

« Et, bien sûr, il faudra qu’on baise énergiquement avant, afin de l’accueillir dans une bonne odeur de sexe et de stupre… Bref, on va le mettre dans de bonnes dispositions, afin que tu portes son bébé… »

Car c’était bien là la finalité de cette rencontre, que Lissandre puisse enfin ressentir le bonheur d’être enceinte !

[Lissandre Verrières]

Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°15

« Aie ! »

*Pourquoi est-ce qu’elle m’a pincé le téton ?! *

Sa bouche s’ouvrit dans un « O » de surprise. Non, non non. Ce n’était pas ça qu’elle entendait par dire qu’elle était riche. Il fallait qu’elle corrige. Mais il fallait aussi attendre que Fönn lui laisse la parole. Entre ses explications et ses masturbations, ça devenait compliqué de suivre le fil de ses propres pensées. De conserver la liste de ses questions.

La main de gynécologue venait de lâcher sa verge slimesque. Elle ressentait comme un vide. Presque comme si le froid entourait sa canne à sucre. Sa canne à stupre ?

« Attends, attends ! Tu t’es trompé sur ses mes intentions, Fönn. Je n’ai jamais voulu dire que mon argent allait intéresser le démon. Je disais simplement que l’argent pouvait nous permettre d’accueillir Alastar dans les meilleures conditions. Comme les idées de champagne et de pétales de rose que tu as proposé. Je peux acheter tout ça et bien plus pour lui faire plaisir ! »

*Mais, qu’est-ce qu’un incube pourrait souhaiter de notre vie sur Terre ? Qu’est-ce que je pourrais lui acheter pour lui faire plaisir ? *

La main de Lissandre glissa dans son dos et chercha le contact de la peau de Fönn. Elle voulait la caresser. Peu importe où. Le ventre lui allait bien. Son bas-ventre aussi ! Simplement, elle était en manque de toucher. Elle voulait qu’elle la touche. Elle voulait la toucher. Mais elle ne voulait pas que ça s’arrête !

« J’ai une employée chez moi que je pourrais inviter à notre petite soirée à thème. Elle est jeune et encore très inculte sur tous ce qui concerne l’amour et le sexe. En fait, je l’ai initié en compagnie de Mélona. Et… elle a adoré ça ! Hi hi ! Elle en redemandait encore et encore. En fait, elle en redemande encore aujourd’hui. Je crois que… Oui ! Je crois que nous en avons fait une nymphomane : hi hi ! »

Lissandre fit tomber sa tête en arrière. La laissant reposer sur l’épaule de Fönn. Puis elle tourna le visage, à la recherche des yeux qui devaient pétiller d’une lueur excitée. A la recherche de lèvres humides à embrasser.

Elle se laissa finalement glisser contre le corps de Fönn. Elle s’allongea sur le dos, sa tête en appui contre le miroir. De sorte que Fönn puisse se voir la chevaucher sur son sexe fièrement érigé. Sa langue sortit et se coinça dans la commissure de ses lèvres. Les yeux de Lissandre étaient un appel à l’aide : il fallait qu’on la guérisse de ses choses qui frétillaient dans son bas-ventre.

« Baise-moi ! Je n’en peux plus d’avoir ce sexe si dur. C’est tellement triste qu’il ne soit pas à l’intérieur de toi. Il a si froid, le pauvre ! Hi hi ! »

[Fönn Verrières]

Fönn avait bien compris ce à quoi Lissandre faisait allusion en parlant de son argent, mais elle voulait aussi s’amuser un peu avec elle. Mine de rien, la gynécologue était joueuse, et sourit donc doucement en sentant Lissandre se frotter contre elle. La jeune Française commençait à avoir chaud au cul, et avait fortement envie de se faire baiser… Ou, plutôt, qu’on s’occupe de sa verge. Fönn avait pu sentir sa belle verge grossir, enfler. Elle était bien tendue, très dure, et visiblement impatiente de s’enfoncer dans des corps. La gynécologue sourit donc longuement, et mordilla le creux du cou de Lissandre… Puis la poussa alors.

Lissandre tomba au sol, et, le temps qu’elle se retourne, Fönn la dominait déjà, debout au-dessus d’elle, ses jambes à gauche et à droite d’elle. Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres, et elle fléchit ensuite les genoux, venant s’empaler sur la verge de la Française.

« Han… Oh bordel, ouais ! »

La gynécologue se pinça tendrement les lèvres en la regardant. Elle couina ensuite quand le membre enfla en elle, et se pinça les lèvres. Fermant les yeux pendant quelques secondes, Fönn dut se faire à la présence de ce membre épais en elle, et commença à remuer, pensant juste à s’empaler sur elle, et, quand la verge de Lissandre s’enfonça plus profondément, Fönn se mit à crier. La magnifique doctoresse dansait sur son membre, s’empalant joyeusement sur le vit de la riche bourgeoise.

Tout en dansant, elle sentit les mains de Lissandre sur ses hanches, et baissa alors les yeux, l’observant en souriant, et se pencha en avant. Elle posa ses mains sur les épaules de Lissandre, et l’embrassa sur les lèvres, avant de se relever encore, et continua à danser, s’empalant sur sa verge, sentant celle-ci s’enfoncer très profondément. Tout le corps de Fönn se tendait alors, ses muscles se crispant sur place, et un nouveau soupir s’échappa de ses lèvres.

« Han putain… Tu es si bonne, Lissandre ! Bordel, mais quel pied, haaa… !! »

Oh oui, comme elle aimait ça !

[Lissandre Verrières]

Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°16

Cette position allongée et celle de Fönn la chevauchant était extraordinaire ! La vue du corps de la gynécologue remuant au rythme de ses allers-retours sur sa verge de latex était délicieuse. Tant que ses mains ne pouvaient pas rester à rien faire. Déjà elles revenaient glisser sur le ventre de Fönn.

« Tu es vraiment magnifique, Fönn ! Hmm… »

Etrangement, Lissandre se sentait plus endurante. Est-ce que c’était parce qu’elle avait déjà éjaculé une fois ? Est-ce qu’elle avait déjà gagné en expérience comme dans un jeu vidéo ? A moins que ce soit les effets de la slime magique qui réagisse à ses pensées et ses désirs ? Peu importait l’explication au final car, bien que Fönn excitait toujours autant Lissandre. Peut-être même davantage à ce moment et dans cette position ! Donc, peu importait l’explication, Lissandre se sentait bien plus endurante !

« Je crois que tu vas être frustrée. »

Elle donnait des coups de bassin. Elle ne voulait pas que Fönn fasse tout le travail. Elle ne pouvait tout simplement pas rester inactive !

« Je crois que tu vas être frustrée parce que tu ne sentiras pas mon sperme chaud. Hi hi ! »

Ses mains quittèrent le ventre de Fönn pour venir caresser le dessous de ses seins. Puis remonter, faire des mouvements du bout de ses doigts autour de ses tétons durs. Prendre son temps, faire durer le plaisir, avant de finalement venir les titiller et jouer avec eux.

« Je me sens bien plus endurante ! Tu ne me feras pas craquer aussi facilement que la première fois ! Hi hi ! »

*Je ne veux pas décevoir, Alastar ! Je dois être plus endurante pour ce soir. Mais… est-ce que c’est bête ? Je veux dire, je ne pense pas que le démon voudra se faire pénétrer par une humaine ? Hum… Peu importe ! On verra ça ce soir ! *

« Sans compter que tu devrais pas chercher à trop faire d’efforts. Après tout, tu as dit qu’il faudrait qu’on refasse l’amour ce soir pour Alastar. Et j’ai peur que tu sois tant fatiguée que tu t’endormes à la première rencontre avec mon lit. Hi hi ! »

Elle avait un grand sourire malicieux. Bien entendu que c’était une provocation gratuite !

[Fönn Verrières]

Fönn sourit devant les attouchements et les douces provocations de la Française. Celle-ci s’enhardissait, assurément ! Et elle put rapidement sentir les tétons de Fönn se durcir, gonflant sous ses pincements. Les mains de Fönn se posèrent sur ses hanches, caressant et se crispant sur son latex. Elle les déplaça ensuite, et termina sa course en palpant les délicieuses fesses de la jeune femme.

« Hmmm, tu as vraiment la langue bien pendue, ma Lissandre… Oser me dire ça, alors que j’ai couché avec un Incube… Et qu’il a tellement aimé qu’il m’a enfanté deux fois ! »

Elle se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres, venant mordiller sa lèvre inférieure. Fönn tira doucement dessus, restant lovée contre le corps de sa partenaire, et sentit sa verge remuer encore. Lissandre accélérait progressivement, son membre tendu enflant en elle. Ah, ce que Fönn aimait ça ! Les hermaphrodites… C’était un fantasme qui devenait réalité pour elle, un fantasme délicieusement exquis.

« Hmmmm… En-Encore, haaaa… Plus fort, Lissandre, hmmm… Je… Je te ferai ravaler cette arrogance française, haaaa… »

Fönn se pinça les lèvres. Elle rougit sous l’effet du plaisir, ce qui était assez magnifique à voir sur elle, avec ses cheveux roux. Lissandre continuait à la prendre, s’enfonçant en elle, et le corps de Fönn se parcourut de tremblements nerveux, tandis que sa partenaire poursuivait son office. La séance se poursuivait avec délice, et c’était tout simplement incroyable, très excitant ! Fönn adorait ça, et se retrouva finalement plaquée contre le mur, sentant le latex de Lissandre adhérer à son corps, tandis que son amante la prenait désormais debout, faisant rebondir son corps, la plaquant avec envie et énergie.

Une chose était sûre, elles risquaient d’être bien chaudes quand Le Diablotin viendra enfin les voir ce soir !

[Lissandre Verrières]

Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°17

Fönn était sous son charme : c’était une évidence ! Elle répondait aux provocations de Lissandre. Elle répondait à ses coups de reins ! Et un grand sourire venait illuminer le visage de la française.

« C’est bien ce que je pensais… Si ce démon t’a pris par deux fois, c’est tout simplement parce que tu es un animal facilement en rut avec très probablement de très grandes chances d’enfanter. Il ne t’a pas fait l’amour. Tu as du lui servir de… »

Elle donna trois coups de rein très fort alors qu’elle s’efforçait de garder le contrôle de son propre corps.

« matrice ambulante, voilà tout. »

Et elle s’arrêta soudainement de bouger à l’intérieur de la gynécologue. Elle afficha un grand sourire de victorieuse.

« Moui, c’est ça. Le démon a du se lasser de toi. Te délaisser en oubliant à coup sur qu’il t’était passé dessus. »

Elle s’amusait toujours de ce petit jeu de rôle. Elle devait jouer à la perfection son rôle malgré ses expressions d’animal en chaleur !

Lissandre se retira donc de Fönn. Laissant la femme avec un vide entre ses cuisses et une poitrine encore en proie aux efforts couplés de l’excitation qui grandissait encore et encore.

« Je pense que je vais me débrouiller toute seule… »

La bourgeoise s’en alla d’un pas mesuré vers la chaise de la gynécologue. Elle s’assit dedans comme si l’endroit lui appartenait. Elle regarda avec beaucoup d’intensité Fönn. Quelques longues secondes passèrent puis elle décroisa les jambes pour laisser un espace béant.

Une invitation à venir jouer de cette hampe dressée !

[Fönn Verrières]

La jeune Norvégienne était en train de se lâcher. Elle qui semblait si calme en apparence, était en réalité extrêmement perverse, ce que Lissandre était en train de constater. Toutefois, cette perversité faisait écho à celle de Lissandre. La jeune Française était aussi très perverse, et pénétrait Fönn tout en la narguant, lui indiquant que Le Diablotin n’avait pas dû prendre son pied avec elle. FGönn se pinça les lèvres en grognant, et posa sa main sur la nuque de Lissandre. La Française collait à elle, et donna des coups de reins supplémentaires.

« Hmmmm… Je te rappelle… Qu’il m’a engrossé deux fois ! »

N’était-elle pas une chanceuse ? Elle savait qu’Alastar avait beaucoup d’amantes différentes, y compris des femmes mariées. Elle était donc très heureuse d’en initier une autre ! Lissandre grogna encore, et Fönn l’embrassa longuement, puis la Française se retira alors. Surprise, Fönn sentit sa chatte se dessécher, et tomba au sol, déstabilisée. Lissandre s’assit alors sur la chaise, et écarta les jambes, libérant sa grosse queue trempée. Fönn s’avança alors, à quatre pattes, laissant des traînées de mouille derrière elle. Elle rejoignit assez rapidement Lissandre, et se redressa alors, sa bouche près de sa queue, et commença à la pomper alors.

Assoiffée, Fönn était en train de se libérer totalement, de se désinhiber. À ce stade, la priver de sexe serait dangereux, car elle était capable de sauter sur le premier mec venu pour qu’il la pénètre. Coucher avec un incube avait toujours des effets secondaires latents, notamment en stimulant l’excitation sexuelle comme jamais. C’était aussi une stratégie du Diablotin pour fidéliser ses amantes, car, quand elles couchaient avec leurs maris, elles en finissaient toujours frustrées, car leur corps désirait désormais ce sexe très intense que seul Alastar pouvait leur procurer.

« Alastar est mon Maître, Lissandre, et il sera aussi le tien… Tu crois que tu pourras l’honorer mieux que moi ? Il nous épuisera toutes les deux, mais il fera de toi sa chienne… »

Comme pour mieux la narguer, Lissandre commençait à se masturber, mais Fönn écarta sa main, et s’attaqua à sa verge, qu’elle pompa donc, tout en se masturbant. Toutefois, elle ne comptait pas le jouir, elle voulait que Lissandre termine son travail. Sa queue enfla rapidement, très dure. Queue slimesque, elle ne fonctionnait pas comme les verges normales, et, quand Fönn commença à le mordiller, elle le constata, et sourit malicieusement.

« Hmmm… Tu es sur le point de jouir, ma chérie. Je crois surtout que, si tu t’es retirée si précipitamment de moi, c’est parce que tu ne voulais pas perdre la face… Mais ne t’inquiète pas, notre Maître te formera… Quand il te baisera, il ravagera tout ton corps, et il balaiera en toi tout doute… Tu seras sa chienne autant que je le suis à chaque fois qu’il me fait l’honneur de me baiser. »

La doctoresse parlait comme une redoutable catin, bien décidée à emballer Lissandre sur la venue prochaine du Diablotin, mais aussi à lui offrir un peu de répartie ! Car il fallait tout de même bien ramener cette insolente Française à la réalité…

[Lissandre Verrières]

Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°18

Un sourire amusé ne put être retenu. Lissandre aimait voir le masque tombé. En pensant à Fönn exposant sa vraie nature d’amoureuse du sexe, Lissandre ne put s’empêcher de penser à sa grande sœur. Tant de fois elle avait tenté de voler à son secours. Mais l’endoctrinement de leurs parents avait toujours été le plus fort…

*Arrête de penser à elle ! Concentre-toi sur cette petite merveille qui t’ait offerte, Lissandre ! Hi hi ! *

Assis comme une reine dans le fauteuil de la gynécologue, les jambes ouvertes comme un vaurien d’une taverne moyenâgeuse, la bourgeoise contemplait la femelle qui se jetait sur sa hampe surnaturelle. Si elle cherchait encore parfois à comprendre comment c’était possible, elle réalisait à chacune de ces fois-là à quel point c’était réel. Ces sensations qui montaient en elle. Ce plaisir anticipé au moment où elle se libérerait pour accueillit le pic de jouissance. Et pourtant, pourtant elle se retenait. Il fallait qu’elle soit plus endurante.

*Derrière ces provocations, elle n’a pas tort. Je manque d’endurance et j’aurai surement craché entre ces jolies lèvres si je ne m’étais pas levé pour obtenir un temps mort. *

« COUCHÉE ! »

L’ordre avait fusé avec toute l’autorité bourgeoise qui coulait dans ses veines.

« Méchante chienne ! Couchée ! »

Lissandre se relève. Elle pense fort à sa grande sœur. Elle qui est crainte rien que par sa posture et son expression faciale. Ce n’est pas son genre et elle préfère bien plus s’amuser que dominer. Mais, elle doit l’admettre, le pouvoir peut-être grisant.

Si Fönn obtempère, Lissandre va venir donner une caresse dans les cheveux. Puis elle s’accroupira à côté de la chienne en chaleur et dira qu’il est temps de faire une promenade. Mais qu’avant ça, il faudrait qu’elle aille faire ses besoins. Cette impulsion subite permettra à Lissandre de savoir jusqu’à quel point Fönn était perverse. Jusqu’à quelle point la rencontre avec un démon pouvait transformer une femme.

Et si Fönn refuse d’obtempérer ? Lissandre aura un bug de quelques secondes avant d’afficher un nouveau sourire malicieux. C’est elle qui se mettre à quatre pattes, se prenant pour une chienne et venant lécher le visage de Fönn en ajoutant des « Wouf ! ».

[Fönn Verrières]

Fönn était en train de se laisser aller, de disparaître dans les méandres du sexe. C’était là le pouvoir terrifiant, obnubilant, du sexe, sa capacité à vous aliéner totalement, à vous faire oublier tout ce que vous étiez, toute contenance, toute retenue. Face à l’appel insatiable du sexe, la gynécologue disparaissait progressivement, cessait d’être une doctoresse pour revenir à son statut préhistorique de femelle. Mais c’était aussi ça qu’elle aimait dans le sexe, ce déchaînement de passion, de violence primitive qui faisait sauter tous les carcans moraux, tous les degrés de civilisation. C’était comme un flamboyant et foudroyant retour en arrière, une force irrésistible qui vous ramenait à un statut néanderthalien. Comment ne pas apprécier ça ? Comment ne pas apprécier cette bouffée de liberté pure, cette parenthèse sociale où plus rien n’existait, où votre être intelligent et conscient s’étiolait progressivement ? Fönn adorait ça !

Elle suçait donc la queue de Lissandre, tout en la provoquant. C’était sans doute le début d’une grande amitié, car Fönn se sentait rapidement très proche de sa belle patiente. Elles semblaient partagées un goût commun pour la dépravation, qui était d’autant plus axé qu’elles étaient toutes les deux socialement aisées. Fönn se pinça doucement les lèvres quand Lissandre commença à lui ordonner de se « coucher ». Elle embrassa encore sa queue, et la renifla pleinement. Mine de rien, elle était en train de se droguer à cette queue tendue en latex. C’était… C’était si inattendu, si rare ! Rougissant joyeusement, elle finit par relever les yeux, et, après avoir repris sa fellation… S’arrêta alors.

Docile ? Indocile ? Elle hésita un peu, mais choisit de laisser la Française conserver sa confiance. Elle se recula donc, et baissa nerveusement la tête, sentant une forte chaleur croître en elle, se concentrant à hauteur de ses reins et de son sexe.

« O-Oui, Maîtresse… »

Lissandre et elle coucheraient ce soir avec Alastar, et elle fantasmait fortement à cette idée, heureuse de voir comment son Maître réagirait en voyant qu’elle lui apportait une nouvelle adepte, une nouvelle concubine ! Mais, pour l’heure, son esprit se focalisait beaucoup sur Lissandre, qui se redressa alors, et indiqua, la verge tendue, qu’elle comptait faire une promenade… Mais qu’elle avait besoin, avant tout, de se soulager. Fönn écarquilla brièvement les yeux, et hésita un peu. La promenade, en pleine journée, c’était tout de même compliqué ! Mais, pour le reste… Elle sourit alors.

« Dans ce cas, Fönn doit reprendre la queue de Maîtresse en bouche, non ? »

Sauf qu’elle goûterait à un autre liquide que son sperme… Mais, en l’état, cela semblait l’exciter aussi ! La gynécologue perdait toute contenance, et, dans ce genre de situations, quand le désir sexuel l’envahissait, elle était effectivement capable de tout faire !

[Lissandre Verrières]

Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°19

Le pouvoir pouvait être une émotion incroyable d’intensité. Elle en avait abusé à mauvais escient lorsqu’elle était adolescente. Evidemment. Fille de parents bourgeois, fille de caractère : elle avait forcément utilisé le pouvoir dû à sa classe et à ses richesses. Mais elle s’en était vite lassée. La période de révolte était passée. Elle avait muri et décidée de concentrer ses efforts ailleurs. Notamment dans celui de réaliser des films révolutionnaires X : des formats hybrides mêlant autant le film que la série, que la fantasy au porno. Bref, elle n’en était pas là aujourd’hui. Aujourd’hui, elle avait du pouvoir sur cette « chienne » a ses pieds.

« Reprendre la queue de ? Quoi ? »

Incompréhension. Lissandre était perdue. Pourquoi Fönn voulait-elle la sucer de nouveau alors qu’elle venait de lui dire qu’elles allaient sortir au-dehors pour faire une promenade ?

Toujours accroupie près de Fönn, elle la gratouillera sous le menton de ses doigts.

« On perd la tête, ma belle ? On ne sait plus ce que sortir dehors signifie ? »

Elle se releva. Elle cherchait des yeux dans la pièce un collier et une laisse. Mais c’était idiot. Ou alors ce serait une coïncidence trop belle pour y croire. Mais Lissandre cherchait tout de même. Après tout, elle n’avait même pas besoin de trouver un vrai collier. Si elle trouvait une écharpe, de la corde ou tout autre chose qu’elle pourrait transformer : ce serait parfait. Car ça ne devait pas être joli. Ça devait être fonctionnel à ce moment-là.

Elle s’accroupie de nouveau. Elle la regarde dans les yeux et ajoute :

« Je crois qu’on va aller faire des courses. L’idée que tu te promènes nues sous un manteau me plaît beaucoup. On ira seulement pour acheter un collier et une laisse. Ton collier et ma laisse. Et tu- Oh ! »

Ses yeux s’agrandissent de surprise. Elle a compris ce que voulait dire Fönn.

« Tu pensais que c’était moi qui avait besoin de me soulager ? Et tu étais déjà excitée à l’idée d’une golden shower ? »

[Fönn Verrières]

Fönn et Lissandre ne s’étaient visiblement pas comprises ! Car Fönn avait effectivement compris que Lissandre parlait d’une golden shower… Ce qui amena la jeune Française à la reprendre, tout en restant sur son idée de sortir la promener. Oh, Fönn ne serait sûrement pas contre ce genre de sorties, mais cela semblait un peu précipité. Elles étaient dans son cabinet, et Fönn ne comptait pas encore gâcher toute sa vie professionnelle pour les beaux yeux de Lissandre ! La jeune Norvégienne allait donc préciser ce qu’elle entendait, quand Lissandre sembla réaliser d’elle-même son erreur. Les deux femmes restèrent silencieuses, et Fönn, toujours agenouillée, pencha la tête sur le côté, et se rapprocha de la verge de Lissandre, déposant un baiser dessus.

« Tu ne peux pas me promener ici, Lissandre, mais, si tu veux qu’on fasse des sorties, on pourra les faire depuis chez toi. Je te rappelle que nous sommes dans mon cabinet, je n’ai pas spécialement envie que ma secrétaire ou les collègues du cabinet me voient avec une laisse autour du cou… »

La discrétion était le maître-mot du voyeurisme. C’était en réalité un subtil jeu d’équilibriste, car il fallait se livrer à de l’exhibitionnisme en espérant ne pas se faire voir ! Oui, cette idée emballait clairement Fönn, mais elle restait encore lucide. Toutefois, elle se disait aussi que, face à Alastar, Lissandre risquait vite de devenir folle ! La magie rose de l’incube, très puissante, vous faisait perdre la raison, et Lissandre s’emballait déjà fortement ! Fort heureusement, la séduisante Norvégienne restait encore suffisamment lucide pour refréner légèrement ses ardeurs.

Mais, pour l’heure, l’idée d’une douche dorée avait fait son chemin, et Fönn léchait encore la queue de Lissandre, comme pour accueillir ce jet doré.

« Allez, Maîtresse, soulagez-vous dans ma belle bouche… Je suis sûre que vous en avez envie, et vous ne pouvez pas aller aux toilettes dans cette tenue, les gens vous reconnaîtront ! »

Lissandre n’avait pas d’autres options ! La perversité de Fönn était savamment entraînée, mais elle était immense, suffisamment profonde pour qu’elle propose sans aucune hésitation à Lissandre d’uriner dans sa bouche ! Mais Lissandre allait-elle se laisser tenter ? Allait-elle franchir un pas supplémentaire dans leur relation perverse ? Très impatiente, Fönn avait sincèrement hâte de voir comment Lissandre allait réagir à tout ça !

[Lissandre Verrières]

Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°20

L’argument de la gynécologue était bon. Effectivement, elle ne pouvait pas prendre le risque que Fönn perde son travail pour une lubie qui l’avait pris sous l’effervescence de la passion. Elle fit une moue boudeuse comme on pourrait le voir sur le visage d’enfant. Ça faisait partie de son charme. Ce côté enfant avec cette psyché de délurée.

Impossible pour Lissandre de rester totalement maîtresse d’elle-même. Fönn n’arrêtait pas de déposer de petites attentions sur sa verge rose. C’était trop kawaii pour qu’elle garde longtemps sa moue boudeuse ou une expression sévère de dominatrice. Un sourire malicieux se dessina donc sur son visage.

« Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. »

Lissandre se mit à faire quelques pas dans la pièce. L’idée étant que Fönn la suive partout à quatre pattes.

« Pour reprendre tes craintes, si je devais faire pleurer mon beau colosse, tu aurais à nouveau le même problème, non ? »

Elle continuait à marcher, faisant des pauses de temps à autre. A la fois pour s’assurer qu’elle suivait. A la fois pour profiter du spectacle et possiblement de nouvelles petites attentions de sa chienne.

« Je sais que nous sommes dans un cabinet de gynécologue, mais si tes collègues découvraient une flaque sur le tapis d’accueil au niveau de la porte ? Ou encore que tes collègues consultent tes dossiers papiers et découvrent des feuilles souillées ? Que diraient-ils ? »

Elle continua à faire le tour de la pièce. Elle était sure qu’il devait y avoir une bouteille d’eau quelque part. Et si ce n’était pas le cas, un robinet auquel elle boirait directement. Et que ça soit la bouteille ou le robinet : Lissandre allait boire comme si elle ressortait d’une très longue expédition dans le désert.

*Attends que je remplisse ma vessie, ma jolie Fönn. Et enfin je pourrais jouer avec toi comme tu le désires. *