The Multiversity

Jouir en Kiriko, encore et encore, avait été, pour Daphnée, un plaisir immense. Elle la libérait donc, car elle savait que Kiriko était une sorcière fidèle, une cultiste obéissante et aimant sa Déesse. Il fallait donc qu’elle soit près d’elle, qu’elle dorme contre elle. Daphnée le comprenait, car elle ressentait la même chose les rares fois où la Déesse Lust honorait ce temple par sa présence. Sans surprise, Sya en avait profité, espérant obtenir une nuit intense avec Kiriko, mais la Celkhane, têtue et fière, avait d’autres impératifs. Elle délaissa donc les deux femmes, retrouvant son chemin le long du temple de Lust, afin de retrouver son amour. Restée seule avec Sya, Daphnée regarda brièvement le miroir, en caressant le reflet. Non… Ce n’était pas encore fini avec Kiriko. Elle comptait bien profiter encore un peu de cette Celkhane, surtout si elle et sa Déesse étaient appelées à séjourner ici durant la durée des Épreuves. Kiriko était forte, et, même si ses adversaires étaient forts, Daphnée était confiante en elle. Il était peut-être bien possible que cette femme finisse par réussir, et par vaincre tous ses adversaires.

*Oui, c’est une hypothèse qui m’apparaît comme étant de plus en plus sérieuse… Elle a réchappé à Rose Red, après tout.*

Daphnée reporta alors son attention sur Sya, et un sourire vicieux éclaira les lèvres de Daphnée. Sa verge, trempée, était toujours dressée.

« Ne t’inquiète pas, Sya, je pense que je saurais faire un lot de consolation tout à fait satisfaisant pour la petite pute que tu es… »

La nuit était peut-être finie pour Kiriko… Mais elle ne l’était pas encore pour Daphnée. Loin de là, même.

« Elle a réussi… Elle a survécu à Rose Red !
- Nous avons sous-estimé la puissance de cette femme. Une erreur qu’il ne faudra pas renouveler. »

Dans les sinistres catacombes de Wallündrill, sous les profondeurs de la montagne, les deux hommes avançaient. Rien ne semblait pouvoir stopper cette maudite Celkhane, cette arrogante sorcière. Jiphiera avait échoué, et leur nouvel élu venait également de subir la juste rétribution pour son incompétence. Nurgle ne tolérait pas la faiblesse. Il était incompréhensible que la sorcière ait réussi à s’enfuir, qu’elle ait réussi à vaincre le sortilège pesant sur Rose Red. Les choses avaient échappé à leur contrôle. Tzezakyël, leur champion, avait été influencé par l’aura néfaste de Rose Red, et, plutôt que de s’allier avec Ulkair pour vaincre la Sorcière, il avait choisi de se heurter à lui, de remplacer le Gardien de Rose Red, de s’accaparer ce pouvoir.

Nurgle était mécontent. Ses deux champions s’étaient battus entre eux, offrant à la Succube l’opportunité de sauver la Sorcière, et à Sha l’occasion d’intervenir en personne, profitant du tumulte pour affronter Ulkair. Un affrontement colossal. Tzezakyël avait réussi à s’enfuir, mortellement blessé, et l’Ombre avait vaincu Ulkair, puis libéré April. Rose Red avait été détruite, et Nurgle avait fait souffrir ses prêtres. Tzezakyël avait été tué, et son âme était maintenant entre les grasses mains de Nurgle, tandis que les prêtres avaient également souffert. Le fait qu’ils soient encore en vie signifiait toutefois que Nurgle n’en avait pas encore fini avec eux, et qu’il comptait sur eux, malgré leur incompétence chronique, pour accomplir une tâche relativement simple : tuer la Sorcière.

« Il est impératif que la Sorcière ne gagne pas… Le pouvoir de tous ses croyants pourrait permettre à l’Ombre de retrouver son ancienne puissance, et ses souvenirs !
- Elle aurait dû mourir ! Quelle Épreuve lui mettre, si elle a survécu à Rose Red ?! Elle a survécu à notre Dieu ! »

Le prêtre se retourna vers son collègue, fronçant les sourcils… Était-ce de l’insubordination envers Nurgle qu’il devinait dans ses propos ? Cependant, il pouvait comprendre ses hésitations… Rose Red était marquée de l’empreinte de leur Maître, de leur Dieu. Or, Hattori en avait réchappé. Sha était soutenue par d’autres divinités, comme Lust, ce qui faisait que l’attaquer serait difficile. Le temple de Lust était bien protégé, mais les prêtres réfléchissaient très sérieusement à la perspective d’une attaque dans le temple.

Leurs pas cadencés résonnaient le long des sinistres et étroits boyaux et corridors faisant office de couloirs. Ils avançaient le long de tranchées bétonnées, êtres nimbés de noir dans une atmosphère sombre et putride. Les cadavres de Wallündrill s’empilaient ici, ainsi que les ruines de l’ancienne cité. L’histoire de cette cité libre et souveraine était riche, et la ville, par sa position de carrefour commercial, avait déjà engrangé bien des épidémies, ou bien des révoltes, des tentatives de putsch menées par des familles contre d’autres familles. Les sous-sols de la ville illustraient cet état de fait. Les cadavres avaient été balancés dans de profonds puits, et avaient rebondi contre les murs pour atterrir dans ces lointaines et poussiéreuses grottes, où peu de gens se rendaient. Là, les monstres se nourrissaient de leurs cadavres : goules, graveirs, noyeurs… Un écosystème pullulait ici, un écosystème fait de souffrance, de misère, et de puanteurs asphyxiantes. À leur approche, les goules fuyaient, les noctules restaient dans l’ombre, et les noyeurs grognaient en partant.

« Pour l’heure, il nous faut un nouveau Prophète… Et, dans son immense générosité, Nurgle a consenti à nous offrir un nouveau candidat.
- Nurgle en personne ?
- Après l’échec de Jiphiera et de Tzezakyël, Nurgle pense que l’Orbe sera mieux entre les mains d’un champion qu’il a sélectionné lui-même. »

L’autre ne répondit pas, mais le prêtre sentit les doutes peser dans son esprit, ce qui l’énerva. Remettre en doute la justesse de Nurgle était une faute grave, un péché. Dans leurs prières, dans leurs rêves et leurs délires enfiévrés résultant des scarifications et des mutilations qu’ils s’étaient infligés pour pouvoir se racheter auprès de Nurgle, ils avaient entendu la voix courroucée de ce dernier, leur disant où trouver leur nouveau guide. Les deux prêtres allaient donc le voir, afin de lui transmettre l’Orbe.

Ils descendirent d’étroites marches en colimaçon, et commencèrent à voir les cadavres. Le Champion était là depuis plusieurs heures, et s’amusait avec les monstres. Il avait massacré de multiples noyeurs, ainsi que de redoutables goules… Le tout sans aucune arme. Des traces de sang éclaboussaient les murs, le sol, le plafond… Un être puissant, fait de rage,e t, alors qu’ils marchaient, ils purent entendre des bruits, des sons diffus venant de loin. Des chocs sourds.

« Il est par là… »

Les deux hommes s’avancèrent un peu plus, et entendirent un choc violent. Un homme passa au travers d’un mur, atterrissant dans une salle devant eux. Il était nu, ensanglanté, son corps traversé de son sang et de celui de ses ennemis. Un massif graveir apparut par le mur défoncé, et son poing fila vers la tête du Champion, qui l’évita en roulant sur le côté. Le graveir, massif, faisant deux mètres de haut, se retourna, et tenta de fracasser le crâne de l’homme. Le Champion, vif comme un serpent, bondit entre ses jambes, puis se releva dans son dos. Il tenait entre ses doigts ensanglantés un silex tranchant, et frappa avec la jambe du graveir, le forçant à plier le genou en hurlant.

Sans attendre plus longtemps, le Champion tenta de contourner son ennemi, mais ce dernier réussit à attraper son cou entre ses deux mains, et le plaqua violemment contre le mur, l’étouffant. Les deux prêtres, prudents, choisirent de ne pas intervenir, afin de voir si cet homme était aussi doué que ce que Nurgle prétendait. Ils le virent se tortiller contre le monstre, et ses deux mains se posèrent sur le visage de la bête… Puis ses pouces s’enfoncèrent dans ses yeux. Le graveir hurla en se reculant, portant sa main à ses yeux. Le Champion tomba sur le sol, n’attendit pas plus longtemps, et bondit en hauteur, puis enfonça son silex dans l’un des yeux du monstre. On put entendre un bruit visqueux d’éclatement quand la pierre polie s’enfonça dans l’orbite du monstre, et ce dernier hurla à la mort, avant de s’enfuir. L’homme aurait pu le poursuivre, mais il tourna sa tête vers les deux prêtres.

« Champion de Nurgle, entama l’un des prêtres, je te prie de bien vouloir récupérer cette Orbe… »

Le prêtre sortit de ses longs doigts salis et griffus un orbe noir. Si l’homme était un usurpateur, l’Orbe le détruirait. Après quelques secondes d’observation, l’individu, au visage méconnaissable, maculé par le sang, tendit sa main, et attrapa l’Orbe… Qui se mit alors à luire, des volutes noires se mettant alors à danser autour de l’homme, avant de le frapper de plein fouet.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! »

Il se mit à hurler de douleur, mais l’orbe s’enfonçait dans sa paume. Ses veines furent traversées par un liquide noir, visqueux et dangereux, et ses pupilles se mirent alors à luire, se recouvrant pendant quelques secondes d’un noir immaculé… Puis la transformation fut achevée, et celui que les compétiteurs appelaient l’Étranger se reforma sous les yeux ravis des prêtres.

« Parfait…
- Il est temps pour toi d’accomplir la Volonté de Nurgle, ô Champion…
- Oui… Tu as raison, Prêtre. Nurgle a un message pour vous. »

Mirmirion tendit alors sa main, et le bâton magique, au sommet duquel se trouvait l’orbe de magie noire, s’illumina, puis répandit dans la pièce d’intenses flammes noires aveuglantes. Les prêtres poussèrent des hurlements de douleur en sentant leur chair se ratatiner sur place, leurs yeux fondre dans leurs orbites, leurs vêtements disparaître… Puis il ne resta plus d’eux que des os brisés. Mirmirion les regarda sans rien dire, puis s’avança. La mort aidait à changer de perspective, et la possibilité de se venger de Kiriko, de cette salope de sorcière, était suffisamment tentante pour que Mirmirion voue son âme à Nurgle.

Il tenait enfin sa vengeance, et il comptait bien briser en mille morceaux cette maudite femme qui avait osé le tuer.

« …Quant aux sorcières, toutes les punitions que l’on peut leur infliger en les brûlant à petit feu ne sont pas grand-chose, et moins douloureuses que les tourments que Satan leur a fait endurer sur cette terre, sans même parler de l’agonie éternelle qui les attend en Enfer…
- Brûlez la Catin ! Brûlez les Salopes !
- Sorcières ! Sorcières ! »

Par-delà les clameurs et les vivats de la foule en furie, la voix de l’Inquisiteur résonnait, une voix de stentor, forte et audible, tandis que les flammes du bûcher commençaient à s’animer.

« Cette phrase vient de Jean Bodin lui-même ! Un jurisconsulte, chargé de faire respecter la loi ! Le jugement de Dieu rejoint celui de l’Homme, ainsi que le préconise les Saintes Écritures ! Aucun mot n’est assez fort pour décrire la corruption qui hante les cœurs de ces pécheresses.
- L’Église a les mains propres, ce bûcher est du ressort des autorités séculières » intervint, assis sur sa chaise, le prêtre, gras et ventripotent.

Le comte, qui avait présidé lui-même la séance du jugement, hocha lentement la tête. L’Inquisition avait désigné les coupables, trois femmes qui avaient été accusées de sorcellerie. Le procès avait eu lieu séance tenante, attirant la foule de ce pauvre village marqué par des hivers rugueux et par des attaques de loups. Les témoignages des fermiers sur leurs enfants déchiquetés par les loups venant de la forêt avaient achevé de sceller le procès. Ces trois femmes vivaient comme herboristes dans la forêt, prétendant guérir les gens, tout en appliquant des médecines païennes et proscrites. Elles vendaient leurs corps aux démons, elles commandaient aux loups et aux rats. L’Inquisiteur les avait capturés, et il se chargeait maintenant de l’exécution de la peine. Le comte restait relativement silencieux. Trois femmes pour sauver tout un troupeau, ce n’était pas cher payé… De plus, l’une de ces femmes était l’héritière d’un marchand qui avait été tué par la grippe… Un autre élément à charge dans le dossier. Les médecins faisant office d’expert avaient attesté de la nocivité des potions utilisées par ces femmes. La fille avait empoisonné son père, et elle mourrait sans héritier. Le bébé en gestation dans son ventre n’était pas encore né, et mourrait avec elle. Le comte était donc heureux : faute d’un héritier légal, les biens de la femme deviendraient rex nullius, et entreraient alors dans le patrimoine du seigneur.

« Menteur ! hurla l’une des femmes, en larmes, en s’adressant au prêtre.. Vous aviez promis de m’épargner, de plaider en ma faveur, si je couchais avec vous !
- Grotesque accusation, pécheresse ! Je n’ai examiné ton corps que pour y trouver les traces de l’Infâmie, les traces de la Souillure !
- Vous avez été reconnue coupable par la Très Sainte Église, par le Comte d’Ambroisie, du péché de fornication, du péché d’empoisonnement, du péché de malice, d’association avec le Malin ! Votre attitude est une offense aux enseignements du Christ, une atteinte à son Sacrifice ! La colère de Dieu s’est abattue sur cette communauté faite de bons croyants ! Vous recevrez votre juste châtiment ! Le feu purifiera vos âmes éternelles de la putréfaction et de la moisissure de vos corps ! Car mes enfants, je vous le dis : l’âme éternelle, fournie par Notre Seigneur, éternellement blanche, sera ! Mais le corps… Le corps vieillit, le corps se fane ! Voyez ces femmes ! Voyez leur Haine ! »

L’Inquisiteur brandissait sa croix de marbre et de dorures dorées vers elles. L’une des trois sorcières, la plus véhémente, cracha dessus. Une pomme pourrie s’abattit sur le visage de l’une des trois femmes.

« Tu parles avec la langue fourchue du Serpent, Démon ! Ton œuvre infâme ne sert que tes propres intérêts ! Et vous, pauvres crédules, vous vous damnez en suivant les ordres de ce dément qui vous ment !
- Pute !
- À mort la Traînée ! À mort les Salopes et les Sodomites !
- Le royaume de France n’est pas le royaume de Gomorrhe !
- Brûlez les catins ! offrez-leur la Rédemption ! »

Les flammes se mirent à danser, et les femmes commencèrent à hurler. Le comte restait silencieux, le prêtre souriait, et le bourreau restait placide derrière son masque noir. Le feu ratatinait le corps, les léchait, les faisait souffrir comme jamais elle n’avait souffert. Dans la nuit noire, dans les flammes grimaçantes dissimulant des sourires hideux, le peuple hurlait, balançant ses fruits pourris. Au milieu de cela, une femme encapuchonnée retenait à grand-peine ses larmes, sa rage annihilée derrière sa souffrance et son impuissance.

« Sha ! hurlèrent-elles alors. Sha ! Sha ! Sha ! À jamais nous te resterons fidèles !
- Même dans la Mort, elles continuent à vénérer les Idoles ! éructait l’Inquisiteur.
- La Mort ?! rugit l’une des femmes. Démon ! Haaaa !! Elle n’a pas le pouvoir de détruire l’âme immortelle, créature aux dents pointues ! Sha ! Pardonne-nous pour notre faiblesse !
- Silence, Catin ! Silence, Salope ! Souffre pour tes péchés ! »

Les flammes dansaient sur son corps, mais la sorcière se contenta de secouer la tête. Son corps était en train de se calciner, tandis que les hurlements de souffrance de ses deux sœurs se transformaient en borborygmes.

« La Mort n’a pas le pouvoir de détruire l’âme immortelle, qui, lorsque son corps du moment retourne à la terre, cherche un nouveau domicile… Et, avec une force inchangée, offre à une autre enveloppe vie et lumière. »

Le comte reconnut les vers d’Ovide, et l’Inquisiteur continuait à hurler, comme un fanatique possédé, ses yeux illuminés de folie. Et Sha, elle, se recula prudemment, le cœur percé de mille flèches, impuissante face à ce spectacle horrible, et convaincue que les hurlements de douleur de ses sorcières la traqueraient à jamais.

*
* *

Les yeux de Sha s’ouvrirent brusquement, et elle se redressa de même, repoussant sans le vouloir Kiriko. Sha cligna des yeux à plusieurs reprises. Le souffle des flammes, la braise sur ses cheveux… Tout avait semblé si réel, si perceptible, si… Si vrai. Elle tremblait, et vit que sa main s’agitait dans tous les sens. Elle secoua la tête, et passa sa main sur son front, laissant à son esprit le temps de se reconstituer, de revenir à lui. Elle n’était pas dans le royaume de France, elle n’était pas à l’aube du 17^ème siècle, mais sur Terra, à Wallündrill…

*Ce souvenir… Je ne l’avais jamais vu auparavant. Est-ce que ma mémoire serait en train de revenir ?*

Sha avait été bannie à cette époque… Mais elle avait oublié les raisons précises de son bannissement. Pourquoi ce souvenir ? Pourquoi maintenant ? Elle se retourna lentement, et vit le corps de Kiriko, niché à côté du sien, et celui de Luxuria, qui dormait dans un coin du vaste lit.

« Kiriko… » soupira faiblement Sha.

Elle sentait le bonheur irradier à travers tout le corps de la Celkhane, ainsi qu’une virulente magie… Celle de Lust. Sha se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres.

« Je crois… Je crois que, grâce à toi, ma mémoire est en train de revenir. »

Après sa petite aventure dans la nuit, Kiriko comptait bien aller rejoindre sa Déesse en lui offrant son corps pour dormir. Ce qui fit le cas et elle profita d'être la première réveiller pour offrir un autre petit quelque chose à sa Déesse. Entre ses jambes, elle se faisait plaisir à embrasser ses délicieuses lèvres. Elle s'attendait à plusieurs genres de réveil, en douceur où elle laisserait faire Kiriko jusqu'à l'orgasme, elle viendra la prendre doucement pour lui faire l'amour où même se réveiller et la prendre violemment sur le lit car elle l'avait excitée. Mais la voir se réveiller en sursaut avec un tel traitement entre les jambes étaient assez étonnant mais en soi, Sha aussi avait le droit de faire de mauvais rêves? Même si avec sa langue, elle espérait ne pas lui filer la moindre mauvaise pensée. Sha semblait rapidement faire le point sur sa position actuelle avant de venir vers Kiriko l'embrasser en lui avouant qu'elle pensait retrouver la mémoire, grâce à elle! Kiriko avait un petit sourire entre la joie et la tristesse. Oui, elle savait que Sha avait certaines zones d'ombre dans ses souvenirs mais que cela voulait surement dire de mauvais souvenirs... Du moins, c'est comme ça que Kiriko voyait la chose. Cette zone d'ombre venait de la partie où son culte à le plus souffert. Volontaire ou non, son cerveau ne devait pas aimer cette partie-là.

Kiriko se rapprocha d'elle pour l'enlacer, posant sa tête sur sa poitrine en lui caressant les cheveux doucement. Elle ne savait pas tellement si elle devait prendre cela pour une bonne ou une mauvaise nouvelle? Apparemment bonne mais ne sait-on jamais? Elle l'avait peut-être embrassé pour se sentir rassuré?

« J'espère que ce n'était pas de mauvais souvenirs alors... Je ne souhaite que votre bonheur ma Déesse mais si je vous fais remonter à la surface ou non, de mauvais souvenirs, j'en suis désolé... »

Elle venait l'embrasser une nouvelle fois, doucement en caressant sa joue en relâchant son étreinte. Cependant, elle tentait de rassurer un tant soit peu sa Déesse pour ne pas qu'elle se sente coupable – ou non? – de lui avoir parlé de la remontée de ses souvenirs.

« Mais que ce soit le cas où non, je ferais tout pour remplacer ses mauvais souvenirs par des meilleurs. Bientôt. »

Elle prit l'une de ses mains pour la placer sur son ventre. Il n'y avait pas encore de vie dedans mais dans quelques mois, son ventre ne fera que grossir. Sha avait beau être une Déesse noire, avouant ou non ses petites joies naturelles, tenir son bébé dans ses bras pour la première fois n'était pas un souvenir qui pouvait disparaître comme ça. Arya aura vraiment de la chance d'avoir une si grande maman. Sha ne lui avait pas dit puisque cela était récent mais quand elle a passé du moment avec Nausicaa et Jasmine, bien que son rôle de soit pas la déesse de la joie et la bonne humeur, elle avait dû être heureuse de passer du temps avec ses filles.

« Je ferais en sorte de remplacer vos mauvais souvenirs par de plus beaux mais je ne serais pas la seule à travailler là-dessus. Arya aussi fera tout pour que sa maman soit heureuse. »

Kiriko penchait doucement sa tête sur le côté en lui souriant tendrement. La douceur gnian gnian n'était pas quelque chose de commun entre elles, c'est vrai qu'avant cette histoire de bébé en guise de récompense, c'était encore plus rare. Mais depuis, Kiriko devenait un peu plus féminin, oubliant son rôle de simple épée pour Sha, devenant plus femme. Misha y était pour quelque chose? Peut-être ou non? En tout cas, la surprise attendra un peu, pour le moment, Kiriko tenait à réconforter sa future femme? Peut-être... La future mère de sa fille, c'est sûr!

Ambroisie… Ce nom évoquait vaguement quelque chose en elle, quelque chose de terrifiant et de redoutable… Comme une menace lointaine et ancestrale. Tandis que Kiriko se blottissait contre elle, Sha répondait présente, mais son esprit était ailleurs. Les flammes, l’odeur insoutenable de la chair en train de calciner… Ses sorcières, en train d’être traquées et massacrées, en même temps que quantité d’autres femmes, lors de la fameuse chasse aux sorcières. Une période qui, sur Terre, avait duré plusieurs siècles, et pendant laquelle des milliers de femmes avaient été brûlées, généralement pour des prétextes fallacieux. Un ensemble de carnages et de massacres dont le véritable objectif avait été de détruire Sha, de briser son culte. Les souvenirs lui revenaient partiellement, et elle pensait que les succès de Kiriko dans cette arène y étaient liés. Plus Kiriko gagnait, et plus le pouvoir de Sha augmentait, lui offrant ainsi la perspective de retrouver, un jour ou l’autre, ses souvenirs, son ancienne existence, sa mémoire… Et découvrir qui avait ainsi choisi de détruire son culte, et qui l’avait scellé. Ambroisie… Le comte d’Ambroisie… Sha ne saurait dire en quoi, mais elle était convaincue que ce comte avait participé à son bannissement. Il fallait qu’elle en apprenne le plus, et le meilleur moyen de le faire était encore d’aider Kiriko à réussir avec brio toutes ses épreuves.

La sorcière celkhane, nerveuse à l’idée d’avoir pu heurter sa Déesse, lui rappela qu’elle lui offrirait bientôt un enfant. Sha sortit alors de ses pensées en la regardant. Avant de se réveiller, elle avait le minou léché par Kiriko… Une bien délicieuse attention, témoignant, non seulement de tout l’amour que la Celkhane lui vouait, mais aussi de l’atmosphère du temple de Lust, qui influait sur les pensées de Kiriko, la rendant beaucoup plus perverse… Ce qui n’était pas peu dire, connaissant déjà son haut niveau de perversion. La pensée de Lust irradiait dans ses lieux de culte, et c’était une pensée très perverse, très vicieuse, qui ne demandait que du sexe, et rien de plus que du sexe.

« Oui… Arya… Tu as raison, Kiriko… Il faut penser à notre futur, à ton bébé… À notre bébé. Arya sera une grande sorcière… »

Une raison supplémentaire de la protéger. Elle ne pouvait pas mentir à Kiriko. Sha se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres, puis resta dans le lit, la Celkhane devant elle, Luxuria à côté, en train de dormir paisiblement. Kiriko avait visiblement peu dormi, et Sha pouvait sentir la Luxure sur son corps… Ainsi que la magie de Lust. Elle avait probablement dû passer une partie de la nuit ailleurs, occupée à faire on ne sait quoi… Même si Sha avait une petite idée. Sa main vint caresser la joue de Kiriko, et elle l’avança, venant agripper ses cheveux, amenant Kiriko contre elle. Les deux femmes tombèrent à la renverse, s’allongeant ensemble dans le lit. L’intimité de l’Ombre était ruisselante de cyprine, une conséquence du léchage de Kiriko. Elle retourna Kiriko, l’installant contre son corps, dos au matelas, et l’embrassa tendrement, généreusement.

Du baiser, Sha passa à un réveil un peu plus musclé. Kiriko l’avait excité doucement, et ce plaisir était en train de refaire surface. Autrement dit, une verge pointa rapidement, et Sha s’élança dans un coït, pénétrant sa Celkhane adorée, enfonçant sa verge en elle, et se mettant à remuer son corps d’avant en arrière, longuement, profondément. Son corps remuait d’avant en arrière, longuement, et l’Ombre soupirait, lentement, gémissant.

« Hunnn… Hmmmm… »

Elle continuait à la prendre, longuement, passionnément, soulevant et abaissant son corps contre elle, se délectant de ce corps tendre, chaud, doux, de ces formes langoureux et magiques. Cette femme était d’une grande beauté. La prendre ainsi avait quelque chose de magique, et l’Ombre se faisait plaisir, remuant d’avant en arrière, profondément. Il s’écoula ainsi quelques minutes, quelques rapides minutes, jusqu’à ce que Sha finisse par jouir, s’abandonnant en elle.

« Haaaa… Kiriko, hummmm… !! »

Oh, que c’était bon ! Sha soupira longuement, puis resta contre le corps de la femme, embrassant sa peau, alternant entre ses lèvres et son cou, mordillant doucement sa peau.

« J’ai revu le passé, Kiriko… Ceux qui m’ont scellé… Plus tu réussiras tes Épreuves, et plus je serais en mesure de me rappeler ce qui m’est arrivé… Et pouvoir enfin me venger de ceux qui m’ont détruit, et qui ont brisé ma culte. Et tout ça, Kiriko, ce sera grâce à toi… Grâce à toi, mon amour… »

C’était bien la preuve que Kiriko, même si elle ne servait pas de ses pouvoirs magiques, restait fondamentalement une sorcière.

Elle s'en voulait. Elle présentait que c'était sa faute, cette histoire de passer retrouver. Si encore ce serait de beaux souvenirs comme des instants passé avec Misha et leurs filles, ce serait des souvenir nostalgiques qui, tôt ou tard, Kiriko parviendra à recréer ici mais si c'était des souvenirs de son passé oublié, de douloureux souvenir... Elle n'aime pas cela. Mais heureusement, ses mots avaient su tirer Sha de ses pensées et l'idée de leur future petite sorcière réveilla bien des choses en sa Déesse qui venait embrasser Kiriko et à nouveau lui prouver combien elle l'aimait tant. Allongée sur elle, sa verge ne tardait pas à pointer le bout de son nez pour la pénétrer, oubliant peu à peu cette drôle d'atmosphère pour lui montrer combien elle était heureuse. Kiriko aussi se sentait revivre par ce simple fait de refaire l'amour avec sa Déesse, elle s'abandonnait bien rapidement à elle, venant enlacer sa Déesse en gémissant doucement. Ses assauts devenaient de plus en plus normaux – c'est-à-dire plutôt sauvages – et la sorcière se sentait si bien, Kiriko savait apaisé sa Déesse mais l'inverse était aussi possible.

« Haaan ouiii Shaaaa... plus fort... haaa... »

Terminant leur petite aventure, Sha déversa en elle cette semence qui savait apaiser la sorcière, laissant le plaisir l'emporter avec leur orgasme, se laissant embrasser par la Déesse des sorcières. La Celkhane restait contre elle, amoureuse transie de sa sauveuse. Une union retrouver après tant de siècles. Elle l'écoutait parler de son passé, voulant se venger de ceux ou celles qui l'ont fait souffrir de bien des façons. C'est fou ça mais Sha était toujours aussi belle quand elle se faisait menaçante. Restant contre elle, elle caressait son corps si délicieux en l'écoutant avant de relever la tête vers elle.

« Je t'ai toujours trouvé si ravissante et excitante quand tu te fais menaçante. Reste allongé Sha, laisse-moi m'occuper de toi... »

Se redressant, Kiriko restait sur le lit en allant chevaucher sa Déesse, elle s'inséra une fois encore sur elle en gardant ce grand sourire, poussant un petit soupir de plaisir en venant plaquer ses mains près de ses hanches de rêves. Tenant bien ses hanches entre ses mains, elle allait faire atteindre l'orgasme à Sha, sans qu'elle n'ait besoin de se fatiguer. Ses bras le long du corps ne faisaient que grossir sa poitrine, même légèrement alors qu'elle commençait ses vas et vient.

« Haaa, détends-toi Sha... Laisse-moi faire... »

Petit à petit, la Celkhane chevauchait sa Déesse de plus en plus rapidement, ne faisant qu’augmenter son plaisir ainsi que celui de Sha. Sa poitrine remuant de plus en plus à ses assauts, la jolie sorcière se dandinait sur sa queue, espérant l'emmener bien rapidement aux portes de l'orgasme.

« Humm... jamais je pourrais mh, me lasser de ta si belle queue ! »

Kiriko ne faisait que gémir, réveillant doucement Luxuria en même temps, elle savourait cette union, elles étaient liées, elle et sa Déesse que par sa queue, elles ne faisaient qu'une pour le moment. La bouche ouverte, elle sortait un peu sa langue pour donner une ravissante vision à sa Déesse. Plus tard dans la journée, elle lui montrera ses deux belles tenues, peut-être d'abord la marier ? Ou la tenue de cuir ? Elle verra selon l'humeur de Sha et l'ambiance autour d'elles.

Sha n’avait pas peur des visions du passé, et, même si elle comprenait que Kiriko puisse se sentir coupable à l’idée de faire revivre à l’Ombre des moments douloureux de son passé, il n’en était en réalité rien. Sha le lui avait prouvé en la pénétrant. C’était même tout le contraire. Les souvenirs bienheureux ne l’aideraient pas à comprendre quel antique sortilège avait été utilisé auparavant pour la sceller, et qui avait fait ça. Or, ces souvenirs étaient d’actualité, car Sha avait l’intime conviction que le passé n’était pas enterré. Oui, elle était convaincue que les anciens adversaires allaient, un jour ou l’autre, refaire surface, et que la menace n’en serait que plus vive encore. Il était donc important de se souvenir du passé, et, si Kiriko pouvait l’aider, alors c’était clairement le signe que les deux femmes étaient liées. Un lien étrange, mais, après tout, le lien divin était lui-même étrange. Toutes les hypothèses se multipliaient en ce moment dans la tête de Sha, des plus rationnelles aux plus farfelues, mais ces idées disparurent peu à peu quand Kiriko, baignant dans l’atmosphère de Lust, s’évertua à lui faire plaisir.

Elle retourna Sha, la mettant sur le dos, et s’empala alors sur elle. Sha soupira en sentant sa verge disparaître dans le corps de la Celkhane. La femme se mit à remuer sur elle, tendrement, longuement, soupirant et gémissant, encourageant sa Déesse à se laisser faire, à laisser la femme lui faire plaisir. Les minutes passèrent ainsi, les mains de Sha caressant les hanches de la femme. Elle-même se laissa plonger dans les vapeurs du charme divin et sensuel de Lust. Kiriko était une femme magnifique, une femme au corps parfait, envoûtant et magique. Ses formes parfaites, la manière dont elle dansait sur elle... C’était un spectacle féérique, un spectacle rappelant à Sha à quel point le sexe était une chose importante. Il y avait tant de choses et tant de points positifs à dire sur le sexe... Les sorcières avaient toujours eu une vue positive sur les rapports sexuels, ce que les sabbats expliquaient très bien. Outre le simple plaisir charnel, le sexe dégageait aussi une intense énergie, qui servait de base à la magie rose, et qui, en soi, constituait une impressionnante réserve magique. Trop souvent, on négligeait la magie rose, la rabaissant au statut de simple tour visant à rendre les relations sexuelles plus importantes, mais la magie rose était tellement plus que ça... Et la magie rose pulsait dans ce temple, et excitait Kiriko, la rendant beaucoup plus perverse, et beaucoup plus difficile à fatiguer... Ce qui n’était pas peu dire, au vu des résistances exceptionnelles dont Kiriko faisait déjà preuve.

« Kiriko, haaan... Tu es si belle, si belle... Continue, ma belle, continue ! Oh ouii ! »

Sha exultait, et ses mains se crispèrent sur les fesses de la femme, les empoignant tendrement. Elle les malaxa ensuite fermement, écartant chacune de ses fesses, les pétrissant. Leurs ébats achevèrent de réveiller Luxuria, qui était couchée sur le flanc, et arqua un sourire mielleux sur ses lèvres, avant de se pourlécher les babines.

« Et bien... Quel fabuleux réveil est-ce que vous m’offrez, mes chéries... »

Elle sourit, sentant sur le corps de Kiriko l’odeur de la Grande Prêtresse. Kiriko avait visiblement été voir Daphnée cette nuit, et il y avait toujours des effets secondaires après une rencontre avec Daphnée. Une vieille légende, qui faisait office de rumeur, prétendait que les Grandes Prêtresses des temples recevaient une partie du sang de Lust, ce qui leur conférait des capacités partiellement divines. Oh, la rumeur disait qu’elles ne devenaient pas des Déesses, loin de là, mais qu’elles dégageaient une sorte d’aura sexuelle, devenant alors des transmetteurs de Luxure, étant ainsi l’âme et le cœur de chaque temple. Bien entendu, ce n’était qu’une théorie, sans aucun fondement scientifique, mais Luxuria l’aimait bien.

L’Homoncule se redressa lentement, ses cheveux se coiffant tout seuls, et elle embrassa le beau ventre de Kiriko, avant de remonter, se collant contre son flanc, sa propre main venant se glisser entre ses fesses, un doigt s’enfonçant rapidement dans le fondement de Kiriko.

« Tu as bien raison, ma Maman... Rien ne vaut mieux qu’une petite partie de jambes en l’air pour se réveiller du bon pied... »

Elle lui mordilla le cou, puis son autre main attrapa la joue de Kiriko, l’amenant à tourner la tête, et permettant aux deux femmes de s’embrasser tendrement. Sa langue s’enfonça rapidement dans la bouche de Kiriko, et Luxuria soupira de plaisir, gémissant tout contre son corps, griffant ensuite son ventre, avec une tendresse infinie... Et un zeste de perversion.

Quel réveil, elle avait été tenter par lécher la belle fente entre ses jambes avant que sa divine queue n'apparaisse et la voilà maintenant enfourché dessus. Comme bien souvent oui mais là c'était différent. Kiriko n'était pas prise, elle voulait que Sha se détende et qu'elle, elle fasse tout le travail. Chevauchant sa Déesse, elle laissait pétrir son corps comme elle voulait, Kiriko était autant une femme forte et autoritaire avec n'importe qui, mais Sha était la seule femme au monde qui lui était supérieure, et qu'elle l'acceptait bien entendu. Ses mains sur ses hanches ou sur ses fesses, elle adorait le toucher de sa grande Déesse. Mais leur petit ébat du matin venait à réveiller leur fille déjà en forme en ouvrant à peine les yeux. Il faut la comprendre aussi, voir ses deux-là se faire l'amour de si bien matin, ça ne peut que donner envie.

Luxuria se rapprochait de Kiriko, venant embrasser son ventre pour commencer. Celle-là fantasmait vraiment sur l'idée de la prendre quand elle sera enceinte ou à l'idée d'avoir une petite sœur. Kiriko ne lui en voulait pas, dans un sens, elle était sa fille après tout. Remontant sa bouche plus haut pour venir cueillir un petit baiser, elle le partageait sans honte sous les yeux de Sha. Petite coquine qu'elle était – c'était leur fille après tout – elle glissa un doigt entre ses fesses pour lui arracher un petit soupire de plaisir. Même là, elle ne lâchait pas l'affaire, caressant son ventre du bout des ongles. Nombre de gens jetaient des fleurs sur son cul mais pour Luxuria, son fétichisme devait être clairement son ventre. Voilà qui la changeait un peu. Partageant ce baiser en soupirant doucement, elle ne lâchait pas Sha pour autant, lorsque son baiser se rompit, elle lui adressa un joli sourire à sa fille.

« Retiens-toi... quelques instants, ma fille... » Kiriko se rapprocha de son oreille pour murmurer la suite. « Après, tu pourras te placer dans mon dos et profiter de moi. »

Pour le plus grand plaisir de Sha par la même occasion. S'allongeant sur elle, elle offrait une super vue à sa fille mais ce n'était pas à ça qu'elle pensait après avoir prononcé ses quelques mots. Ses seins tombaient sur ceux de sa Déesse, Kiriko venait l'embrasser langoureusement, profitant de ce baiser au maximum, comme toujours. Elle aimait Sha pour tout ce qu'elle était, de ses orteils à ses cheveux, elle était vraiment la plus belle et la plus excitante de toutes les femmes.

« Hum tu aimes ça hein ? Moi j'adore la façon... dont ta queue se sent si bien, haaaf, en moi... Baise-moi, Sha... fais-toi plaisir. »

Cette pointe de perversion en plus était offerte par le temple de Lust. Bien entendu, Kiriko pouvait naturellement dire ce genre de chose en temps normal avec Sha ou, non pas une autre, pas dans ce sens-là du moins. Mais le fait est, que dans ce temple, elle avait la langue bien pendue. Kiriko est souvent, très souvent soumise à Sha mais d’ordinaire quand les choses sont assez douces, elle aime laisser le temps couler et là... va pour la sauvagerie ! Bien que d'origine, elle voulait profiter un peu de sa Déesse avant de se redresser et laisser Luxuria jouer avec sa poitrine, son petit trou secret ou même son clitoris. Kiriko caressé par Luxuria pendant que Sha la prenait, un spectacle qui donne envie pourtant ! Mais bon, une fois n'est pas coutume, Sha avait les cartes en mains, un mot, un geste et Kiriko s'occupe du reste.

Luxuria était effectivement attirée par le ventre de Kiriko, ce qui se comprenait tout à fait. Elle n’avait jamais eu de mère. Elle était née entre les mains de scientifiques fous qui avaient voulu créer, par le biais de l’alchimie et de la magie, un être humain. Elle avait été construite à partir de l’ancienne fille de l’ancienne incarnation de Kiriko, Misha, et, dans sa tête, cette nouvelle Kiriko pouvait très bien être sa mère. Luxuria caressait et embrassait son ventre, non seulement parce qu’il était beau, mais aussi parce que, dans sa tête, elle s’imaginait sortir de cette partie-ci du corps de Kiriko. La sorcière, du reste, était vraiment une femme magnifique. La voir se dandiner sur le corps de Sha était un régal immense, un plaisir particulièrement jouissif, très agréable pour les yeux. Luxuria s’écarta un peu, simplement pour l’observer. Kiriko se dandinait sur le corps de Sha, poussant de longs et profonds soupirs, les mains de Sha griffant ses hanches et ses cuisses. L’Homoncule avait enfoncé son doigt dans ses fesses, mais elle le retira toutefois rapidement, venant suçoter son doigt, une lueur de désir dans les yeux. Curieusement, ses cheveux décoiffés s’étaient rapidement recoiffés, et son corps sentait toujours aussi bon qu’hier soir, comme si les miasmes de la nuit avaient rebondi sur son corps. C’était dans la nature de l’Homoncule... Ou dans sa maîtrise naturelle de la magie rose. Même quand elle dormait, elle était magnifique, tellement belle qu’il était fréquent que ses amantes viennent lui faire l’amour dans son sommeil.

Kiriko se pencha finalement vers Sha. L’Ombre était excitée, sa queue tendue remuant dans son corps, glissant à chacun des soubresauts de la femme. Même en se courbant, Kiriko continuait à remuer son bassin. Oh, qu’est-ce qu’elle pouvait l’aimer, sa belle ! L’une des mains de Sha agrippa ses beaux cheveux bruns, et elle répondit à son baiser, jouant avec sa langue, tout en sentant leurs seins remuer entre eux. Leurs poitrines s’enfonçaient mutuellement, et la Celkhane continuait à remuer contre elle, tout en lui parlant, encore et encore. Chacun de ses mots glissait sur la bouche de Sha, qui tira sur la lèvre supérieur de Kiriko, avant d’avancer sa langue, jouant avec celle de son amante.

« Oh, ma belle petite Kiriko... Évidemment que j’aime ça, ma chérie... »

Son autre main alla palper le cul de Kiriko, dont Sha peinait à se lasser. Elle l’embrassa à nouveau, et se servit également de sa main pour aider Kiriko à onduler sur sa verge. Luxuria s’allongea alors à côté d’elles, se couchant sur le flanc, une main posée sur sa tête. Son autre main alla caresser le dos de Kiriko, glissant dessus, griffant son corps. Elle se rapprocha ensuite, et embrassa le dos de la femme, léchant sa belle peau. Luxuria partait du principe qu’un corps ne se limitait pas qu’à ses parties génitales, mais était tout un ensemble, tout un ensemble qu’il fallait apprécier, embrasser, lécher, et savourer pour ce qu’il était.

Luxuria remonta un peu, et, tandis que les deux femmes s’embrassaient, elle lécha et mordilla le cou de Kiriko, ses seins glissant contre son dos.

« Vous êtes si belles, toutes les deux... Oh oui, Kiriko, tu es vraiment magnifique... »

L’Homoncule n’avait pas offert sa place dans ce tournoi pour rien. Elle se redressa un peu, puis rejoignit l’arrière de leurs corps, et posa ses deux mains sur les fesses de Kiriko. Comme pour Sha, Luxuria raffolait de ce magnifique cul. Kiriko avait vraiment un corps magnifique, et, tandis qu’elle palpait ses magnifiques fesses rondes, son regard se porta vers le placard verrouillé. Un léger sourire éclaira ses lèvres. L’attitude délurée de Kiriko ne pouvait être que le signe que sa nuit n’avait pas été aussi apaisée que la sienne, et Luxuria savait ce que ce temple renfermait... Et elle savait que Daphnée appréciait cette femme, et Daphnée avait souvent ce qu’elle voulait. Luxuria était bien placée pour le savoir.

Ses mains palpaient donc le cul de Kiriko, appuyant dessus, le malaxant, remuant son corps d’avant en arrière, l’aidant ainsi à se faire prendre par Sha. L’Ombre griffait parfois son dos, tout en poursuivant son baiser.

« Humm..., gémissait-elle. Je t’aime, ma belle Kiriko, oh je t’aime tellement, ma chérie... »

Leur amour avait survécu à la mort. Il semblait être éternel, marqué de l’empreinte du divin. On disait que la passion se consumait au bout de quelques années, mais, avec Sha, cette dernière ne semblait jamais devoir s’éteindre, comme un insatiable feu... Le feu d’une Déesse.

Leur amour était toujours le même qu'au début. À la différence que Kiriko était un peu moins soumise à Sha, elle était parfois plus familière avec elle mais c'est normal, un temps, elle a été sa femme et elle le deviendra à nouveau, avec ou sans mariage. Porter son enfant, c'était comme avoir une alliance, la preuve qu'un jour, elles se sont aimé même si dans leur cas, cet amour durait depuis bien des siècles. La flamme de Misha avait diminué petit à petit jusqu'en étant sauvé par Sha où cette flamme, proche de cette flamme sombre avait su retrouver des forces pour devenir aussi chaude que le noyau du soleil. Kiriko et Sha, c'était une preuve unique que l'amour, le vrai, dur à travers les âges. Allongé sur ce corps magnifique, Kiriko se laissait palper par sa femme comme par sa « fille ». Elle n'avait rien contre tout ça, du moment que Sha était auprès d'elle, les mains de Luxuria sur ses fesses, avec la main de sa Déesse, elle l'aidait à prendre son pied, comme celui de Sha par la même occasion.

Elle avait un sourire niais sur le visage, elle adorait entendre Sha lui répéter qu'elle l'aimait, c'était encore une chose dont elle n'était pas capable de se lasser, comme bien des choses chez cette femme. Relevant une de ses mains pour lui caresser le visage comme ses beaux cheveux, elle l'embrassait encore, sans jamais se lasser d'elle.

« Han, je t'aime Sha... Encore et toujours. »

Si ce qui se passait en haut était toujours un baiser passionné et langoureux, plus bas, Kiriko faisait travailler son bassin en le remuant un peu plus vite, faisant en sorte de s'enfoncer en elle, de mieux la sentir en elle, de leur provoquer plus de plaisir encore. Que ce soit le simple fait de monter et de descendre ou bien de faire des petits cercles avec, tout était un bon prétexte pour lui donner le plus de plaisir possible. Embrassant sa Déesse avec autant d'entrain, elle était presque déchaînée ! Sha l'avait connu bien plus sauvage que ça en faisant l'amour mais là, c'était sauvage avec une pointe de romantisme quand même. Rompant le baiser entre vouloir la lâcher et ne pas vouloir la lâcher, elle se redressa doucement, libérant leur poitrine de ce doux contact mutuel. Étant de nouveau assis sur elle, elle tendait ses doigts pour caresser Luxuria du bout de ses doigts.

« Ma chérie, caresse maman s'il te plaît. Il faut bien que tu aides aussi ta maman à jouir, hein ? »

Sa maman Sha avait besoin de se vider un peu et depuis tout à l'heure, elle caressait Kiriko. Sa tâche ne va pas changer mais Sha en aura plein les yeux de cette façon. Sentant sa poitrine se presser contre son dos, ses mains venaient caresser sa poitrine délicatement, ainsi que son ventre alors que ses lèvres se perdaient dans son cou. Quel beau spectacle Sha avait le droit ! Remuant doucement son bassin contre la queue de sa Déesse, elle se mordait la lèvre inférieure en gémissant. Kiriko amena une de ses mains sur celle de sa fille, l'aidant à se malaxer le sein alors que sa seconde main venait se caresser le clitoris, s’excitant de plus en plus grâce à la belle femme sur laquelle elle couchait. Elle voyait bien dans le regard de Sha, qu'elle aimait ça et remarquer ce détail rendait les choses encore mieux ! Bien plus excitant, bien plus jouissif !

« Allez Sha... Montre moi, haaan... c-comment tu vas me foutre Arya dans le ventre ! »

Le romantisme semblait doucement laisser place à la luxure pure et simple. L'endroit où elles se trouvaient n'y était pas pour rien après tout. Le romantisme, dans le temple de Lust ? Possible mais à quatre-vingt-dix-neuf pour cent, c'est le sexe, dans sa forme la plus bestiale et originale, voilà tout.

Allongée sous Kiriko, Sha était, pour ainsi dire, au Paradis. Sa belle sorcière, toute nue, se dandinait sur elle, l’embrassant chaudement, se faisant câline, séductrice, et assoiffée. C’était une terrible mécanique, un cercle vicieux... Dans ce temple, plus on faisait l’amour, et plus on avait envie de le faire. Le pouvoir de Lust se faisait sentir, même chez Sha, qui le sentait remuer dans ses entrailles. Si elle était capable d’y résister, de dresser des barrières magiques qui pourraient protéger sa personne, elle ne le faisait pas, accueillant volontiers cette perversion qui s’installait en elle. Kiriko finit par se redresser. Ce matin, elle était le centre de toutes les attentions. Sha aurait pu s’en sentir jalouse, mais c’était en réalité normal. L’héroïne, c’était elle. C’était elle qui avait réussi à sortir de Rose Red, elle qui avait traversé la carrière infestée de koshcheys, réussi à traverser le royaume abandonné d’Ellëndrill, ou à sortir de la prison Fort-Sauveur. Elle couvrait Sha de fierté, et il était bien normal que, pendant ses moments de pause, on la félicite comme il se doit.

Luxuria obéit à Kiriko, suivant le même raisonnement que la Déesse. Elle avait laissé Kiriko à Fort-Sauveur, car elle avait compris que ce n’était pas dans son intérêt de se dresser face à elle. À Fort-Sauveur, elle avait compris que son attirance envers Kiriko n’était pas que sexuelle, mais il avait fallu que Sha lui explique pour que Luxuria comprenne. L’Homoncule n’avait jamais eu de parents, et avait, pendant des décennies, essayé de se convaincre qu’elle était humaine. Elle était capable de réfléchir, de penser, de ressentir des émotions... Mais elle n’avait jamais eu de famille. Les prêtresses de Lust l’avaient recueilli, mais Kiriko... La Celkhane était la réincarnation de sa défunte mère, et c’était l’âme de Misha qui pulsait dans l’esprit de Kiriko.

« Haaannn... »

Dans le dos de sa mère, Luxuria soupesait et pressait ses magnifiques seins, enfonçant les siens contre sa peau douce et tendre. Pour une simple humaine, Kiriko avait une endurance sexuelle impressionnante. Oui, elle comprenait mieux pourquoi Daphnée s’intéressait à elle. Cette femme aurait fait une magnifique prêtresse pour Lust. Elle aurait pu devenir l’une de ses Grandes Prêtresses. Malheureusement pour le culte, Kiriko était dévouée, corps et âme, à Sha. Cette dévotion, Luxuria l’avait senti dès le début, et elle savait qu’elle était la force de Kiriko, la force qui lui avait permis de réussir la première partie des Épreuves de Wallündrill. C’était une femme forte, pleine de volonté, autoritaire, et dévote. Elle n’allait pas jusque dans le fanatisme de l’Inquisition, mais Luxuria sentait très bien que Kiriko n’hésiterait pas à occire quiconque dirait du mal de Sha. Kiriko en profita pour remuer ses mains, venant se toucher avec ses deux mains. Ces deux femmes offraient à l’Ombre un spectacle magnifique, et les mains de la Déesse palpaient les cuisses de la Celkhane, les serrant et les griffant tendrement.

Kiriko, entre soupirs et gémissements, se mit à parler, demandant à voir comment Sha comptait la prendre quand elle l’engrosserait. L’Ombre esquissa un sourire amusé. Elle ne dit rien, mais elle avait bien remarqué que la promesse de l’engrosser n’était pas tombée dans l’oreille d’une sourde. Kiriko enceinte... Sans pouvoir se l’expliquer, l’Ombre sentait une profonde envie de bonheur la saisir à l’idée de l’engrosser. Elle se redressa subitement, renversant Kiriko, et posa une main sur sa nuque. Leurs corps se pressèrent l’un contre l’autre, leurs seins venant se heurter, et Sha se releva, se tenant debout, hors du lit.

« Comment je vais faire, hum... ? Pour une pute comme toi, Kiriko, ce n’est... Guère compliqué ! »

D’un coup sec, elle alla contre le mur, plaquant Kiriko contre ce dernier, juste à côté de la fenêtre. Le corps de la Celkhane rebondit brièvement entre elle et le mur. Sha lui vola un sauvage baiser, et ondula des hanches, pénétrant lourdement Kiriko, faisant rebondir son beau corps en sueur contre le mur. Son réveil était accompli. C’était le plus intense et le plus magnifique des réveils, après tout.

« Comme ça, hum... Je te baiserai dans tous les sens, dans toutes les positions, pendant des heures, des heures, et des heures... je m’abattrais sur toi comme si un million de femmes voulaient te faire l’amour en même temps. Quand j’en finirais avec toi, ma belle, tu seras dans le coma, baignant dans une montagne de foutre... Hummm !! »

Elle donna un nouveau coup de reins, et continua à remuer en elle, abaissant et renfonçant sa queue en elle, sous le regard amusé et envieux de Luxuria.

Kiriko était si heureuse d'être auprès de sa Déesse, lui offrant une superbe partie de jambe en l'air à son réveil, ne voulant pas que cette dernière se fatigue déjà, elle s'occupait de tout ! Luxuria était là pour lui donner un coup de main afin de mieux satisfaire Sha. Mais bien vite, Kiriko posa la question qui réveillait vraiment Sha. Elle aimait cette belle apparence de jeune femme, douce ou sauvage, elle avait le plus souvent cette apparence de femme. Mais quand elle prend sa forme sombre, elle est tout aussi belle et excitante. Chaque fois que les choses passaient de romantique ou doux à sauvage et hard, elle avait l'impression que sa forme noire prenait le dessus, ce qui ne déplaisait pas à Kiriko. Dès le premier petit nom de « pute », elle la tenait entre ses mains et se relevait avec la Celkhane, laissant Luxuria sur le banc de touche mais elle pouvait profiter du spectacle au moins.

Prise contre le mur, Kiriko couina de surprise comme de plaisir, c'était une chose qu'elle avait toujours aimée. Dos au mur, seule, face à sa Déesse en manque, elle était incapable de lui résister. Drôle de goût pour une femme forte qui ne se laisse pas faire face aux autres demoiselles mais Sha, c'est sa vie. Elle enroula ses jambes autour de la taille de la divinité, ses bras autour de son cou, l'observant dans les yeux. Ses paroles semblaient si belles, sorties de sa bouche. La Celkhane remuait un peu sous cette queue qui avait fait, apparemment elle aussi, bien plus de vitalité depuis cette demande. Kiriko était résistante tant avec une épée à la main qu'au lit mais elle avait été formé avec Sha, que demander de plus ?

« Haan ouiii... Sans les épreuves... je vous aurais demandé de suite de me baiser et, hum, de vider vos belles couilles en moi. »

L'avantage de sa Déesse, c'est qu'elle pouvait passer par tous les stades, femmes, futa, shemale, il y en avait pour tous les goûts. Et encore, elle parlait que sous la ceinture là. Elle pouvait faire bien plus. Kiriko en profitait pour venir l'embrasser un peu plus alors qu'elle continuait de gémir sous les puissants coups de queue de sa si belle Sha.

« Vous pourrez me prendre, hmph... me prendre avec autant de, belles Sha que vous voulez... » Elle l'embrassa à nouveau en se frottant un peu plus contre elle et sa queue avant de rompre ce baiser en reprenant son souffle. « Je me reposerais pas... avant de vous avoir pleinement comblé, Sha. »

Gardant bien ses jambes fermées autour de sa taille, elle laissait une de ses mains dans ses cheveux, la seconde caressait son dos, faisant quelques cercles sur sa peau avec le bout de ses doigts. Sa main jusque-là perdue dans ses cheveux venait lui caresser la joue en l'embrassant du bout des lèvres.

« Prenez-moi... avec votre forme astrale ! »

Certaines personnes la préféraient sous son apparence humaine, d'autres astrales, Kiriko aimait les deux mais pour elle, ça faisait longtemps que sa vraie forme de Déesse n'avait pas profité de son corps. Il fallait bien faire attention à ce que Sha soit le plus comblé possible, peu importe sa forme. Dans sa position, elle pouvait voir Luxuria qui n'en perdait pas une miette et son sourire s’élargit un peu plus. Elle n'oubliait pas sa chère fille pour autant. Ce n'est pas parce qu'elle partage un moment avec Sha qu'elle oublie définitivement Nausicaa. Elle jouera avec elle dans peu de temps après tout.

Prise entre le mur et Sha, Kiriko était remuée dans tous les sens. Ses jambes s’étaient relevées, venant s’enrouler autour de la taille de l’Ombre, qui s’amusait à la prendre avec force et avec une passion brutale. Le cul de Kiriko rebondissait contre le mur, et leurs chairs claquaient entre elles. La Déesse continuait à la prendre, avec une vigueur et une force qui tenaient du divin. Cette femme était rapide et entreprenante, forte et passionnée, et ne cherchait aucunement à ménager la belle Kiriko. L’Ombre la prenait avec force et passion, remuant profondément sa verge tendue en elle. Elle était grosse et tendue, l’esprit de Sha embrumé par toutes les pensées perverses animant son esprit. Elle imaginait la manière dont Kiriko serait enfantée, lui refaisant à chaque fois l’amour avec la même passion. Sha l’avait tellement prise ces dernières années que, même aux yeux des succubes, son odeur était partout sur le corps de Kiriko. La Celkhane était l’une de ses amantes privilégiées, une sorcière que Sha prenait sans relâche, la vue de son corps magnifique dans sa combinaison violette moulante suffisant à chaque fois à l’exciter. L’amour incroyable que Kiriko ressentait pour elle était aussi un ajout supplémentaire à la passion violente et vibrante que Sha lui vouait. Entre plusieurs soupirs, Kiriko lui disait qu’elle la comblerait, qu’elle ne s’écroulerait pas avant que la Déesse soit pleinement satisfaite. Sha lui souriait, répondant à ses baisers, se plaquant contre elle, ses mains s’appuyant contre le mur.

Elles s’embrassaient tendrement, entre plusieurs et solides coups de reins. L’intimité de Kiriko était déflorée, et la femme ne jouissait pas facilement. Il fallait bien dire qu’elle avait de l’endurance, maintenant, mais, loin de frustrer Sha, cette situation l’encourageait à la prendre en étant davantage plus forte, en la prenant avec plus de force. Les halètements et les gémissements de Kiriko étaient particulièrement agréables à entendre. La belle femme se tortillait contre elle, le choc de son dos contre le mur produisant des bruits sourds. Fort heureusement, le temple était solide. Luxuria, elle, observait cela avec un grand sourire ravi, et légèrement envieux. Sha avait un corps musclé et athlétique, qui était pleinement mis à profit ici, défonçant ainsi Kiriko pendant de longues minutes. Au bout d’un long moment, et de plusieurs baisers entrecoupés, Kiriko demanda alors à être prise par la forme astrale de Sha.

*Voilà qui ne m’étonne pas…*

Sha faisait plutôt l’amour avec sa forme physique. Sa forme astrale étant une sorte d’esprit, le sexe était un peu moins fort chez elle. En effet, ce corps astral n’avait pas d’hormones, ce n’était qu’un amas de magie, et, pour ressentir le plaisir, Sha reliait son corps à son esprit. Une idée germa toutefois assez rapidement dans son esprit, et, dans un énième coup de reins, elle alla mordre le cou de Kiriko, laissant une belle marque rouge sur sa peau, s’écrasant lourdement contre elle, enfonçant sa verge si profondément qu’on put sentir ses bourses taper contre les cuisses de Kiriko.

« Si tu veux… »

Sha se redressa alors, mais, avant de se retirer, elle continua à bourrer Kiriko, jusqu’à avoir un orgasme, car elle le sentait imminent. Elle se vida en elle, déchargeant de multiples litres de foutre dans son corps, son sperme jaillissant par de multiples à-coups dans son ventre. Dans un long soupir, Sha la relâcha alors, et laissa Kiriko tomber sur le sol. Elle se retourna alors, son sexe dégoulinant de foutre, et elle se masturba en s’approchant de Luxuria. Avec sa main recouverte d emouille et de foutre, elle la posa sur la bouche de Luxuria, caressant son visage en laissant sur sa peau des traînées blanchâtres et luisantes.

« Tu vas te rendre utile, Luxuria… Fais-moi l’amour pendant que je défoncerai ta petite catin de mère… »

Sha s’allongea sur le dos, se couchant, et des volutes noires jaillirent hors de son corps. Il y eut comme des bourrasques de vent, ses yeux se fermèrent… Et Sha apparut dans sa forme divine. Belle et sensuelle, ses longs cheveux tournoyaient autour d’elle, et elle tendit sa main vers Kiriko, la posant sur son menton, l’amenant ainsi à la regarder.

« Ne t’endors pas si vite, Kiriko, je viens à peine de commencer… »

La voix astrale de Sha ressemblait à sa voix humaine… En plus profonde, s’exprimant de manière magique. Entre-temps, Luxuria vit la verge magique de Sha se retirer, et en profita pour embrasser ses seins. C’était comme si le corps de Sha était plongé dans un sommeil artificiel, et Luxuria entreprit donc de lui faire l’amour, jouant avec l’un de ses gros seins, tout en déplaçant sa main pour la doigter, enfonçant ses doigts dans son intimité.

Sha, quant à elle, embrassa Kiriko.

« Mets-toi à quatre pattes, Kiriko… Je vais te défoncer comme une chienne… Mais tu sais que, sous cette forme, le désir sexuel ne s’exprime pas aussi bien, alors… Tâche de me motiver à ce que je te traite comme la chienne salope que tu es. »

Lui faire l'amour était toujours un plaisir, un régal où Kiriko ne saurait lui dire non. Elle avait commencé par lui offrir un réveil royal, Sha ne devait rien faire et laisser sa sorcière faire tout le boulot. Mais au final, la voilà que d'une simple question, elle venait la prendre contre le mur. C'était bien sa Déesse, même pour une petite gâterie, elle veut avoir le dessus. Sur la fin, elle n'y allait pas avec le dos de la cuillère ! Kiriko sentait ses bourses se cogner contre sa peau alors qu'elle allait de plus en plus, allant même la mordre avant de laisser jaillir toute cette belle foutre en elle. Plusieurs litres au moins ? Eh bien, elle avait bien eu le temps de recharger ses batteries entre temps. Pour ce qui était de sa forme astrale, elle laissait Kiriko seule un instant en allant voir leur fille à qui elle offrait son corps humain.

Puis en un instant, voilà la belle Déesse qui l'avait tant séduite, la première fois qu'elle était venue la tirer de ce mauvais pas. Elle était si belle et cruelle, elle avait retrouvé la nouvelle Misha et en un coup d’œil, Kiriko avait retrouvé sa Sha. Embrassant sa sorcière, elle venait lui rappeler que sous cette forme, il fallait y mettre un peu plus pour la faire bander. Kiriko se déroula du mur en roulant des fesses, ses longs cheveux masquant son dos et son regard par-dessus l'épaule.

« Vous ai-je déjà déçu ma Déesse ? Venez profiter de mon petit cul après, je vous offrirais une autre chose. »

Une chose où elle ne pourra pas dire non. Bien qu'avec son assurance, elle était toute confiante, Sha pouvait se demander ce qu'était cette autre chose ? Car avec tout ce qu'elles ont fait et que Sha a savouré, trouver la bonne réponse ne sera pas si simple. Posant ses genoux et ses mains à terre, Kiriko continuait de garder un œil par-dessus son épaule en venant se caresser une fesse. Rien que ça, suffisait déjà à affluer son sang divin entre ses jambes. Sous cette forme, elle avait toujours l'impression de retrouver la véritable Sha, cruelle, froide, autoritaire. Autant sous sa forme humaine elle pouvait avoir de petits moments de tendresse et de douceur mais sous cette forme, c'était bien plus rare. Après, ce n'était que l'avis de Kiriko, elle se faisait peut-être des films.

« Venez ma Déesse, défoulez-vous sur mon cul... je sais que vous adorer ça... »

Cet endroit rendait vraiment Kiriko nympho. Certes, elle pourrait très bien dire ce genre de chose à sa Déesse pour stimuler mais elle semblait avoir un peu plus de confiance en elle, moins soumise à sa divinité. Elle qui d'habitude est aussi docile qu'une esclave, venant simplement plus se lâcher sur la fin, elle faisait preuve de bien plus d'envie. Remuant doucement ses fesses si belles et si douces, son regard n'avait d'yeux que pour cette superbe Déesse qui s'avançait vers elle. Venant mettre son index à la bouche, elle venait l'essuyer autour de son petit trou entre ses fesses en souriant de plus belle à Sha.

« Comme vous allez me défoncer le cul, je préfère prendre un minimum de précaution pour accueillir votre si grosse queue. »

Mais plutôt que retourner sur sa fesse, sa main se logeait ente ses jambes, la sorcière se touchait face à une Sha qui avait ce membre qui se réveillait de plus en plus. Elle le voyait se lever de plus en plus et quand il aura atteint le point le plus haut, c'était le cas de le dire, elle va en prendre plein le cul ! Son index et son majeur se collaient ensemble pour remuer de bas en haut afin de se caresser, récoltant le nectar que sa Déesse avait laissé lors de son dernier passage. Mélangée à sa mouille, elle amena ses deux doigts à la bouche pour reprendre un peu de force, continuant d'aguicher sa si belle Déesse en mastiquant ses doigts, jouant les aguicheuses de première classe. Sha risquait peut-être de prendre goût à cette Kiriko qui sentait bon la luxure. Dommage pour Lust, Kiriko ne quittera jamais sa Déesse des malédictions.

Sous sa forme astrale, Sha était différente. Elle était bien plus intimidante, car cette forme noire et sombre irradiait de la plus pure des magies, confirmant que Sha était une Ancienne Déesse, une force divine qui avait existé avant les Olympiens, comme une sorte de force naturelle cosmique qui, peu à peu, avait réussi à s’assembler, afin de devenir la Déesse des Sorcières. Sous cette forme, elle était intimidante, mais aussi empreinte d’une étonnante et sombre beauté. Elle couchait toutefois rarement avec cette forme, pour les raisons invoquées : le sexe était moins fort ici, car ce corps magique n’était qu’une projection astrale. Cependant, Kirikos avait aussi qu’il était possible de stimuler ce corps, car il était, techniquement, l’incarnation de l’esprit de Sha. Or, le sexe, s’il avait une forte dimension physique, avait aussi une dimension spirituelle… Comment expliquer, autrement, les fantasmes, et toute l’inventivité dont les humains faisaient preuve quand il s’agissait de relations sexuelles ? C’était cette dimension spirituelle qu’il fallait stimuler. Fort heureusement, Kiriko était aidée par Luxuria. L’Homoncule tripotait et embrassait le corps de Sha, suçant ses seins, sentant ce corps soupirer et gémir, des spasmes nerveux… Et l’excitation de ce corps servait de base sexuelle à Sha.

La Déesse regarda Kiriko se mettre à genoux. Même elle peinait à repousser les émanations du Temple de Lust, et l’excitation latente de Kiriko en était l’expression. L’influence magique de Lust se faisait instinctivement ressentir chez elle, inconsciemment, et Kiriko était un sujet d’autant plus facile à avoir qu’elle était une grande perverse. Elle se dandinait devant elle, en lui offrant la vue de cette partie de son corps qui faisait toujours fantasmer l’Ombre : son cul, sa belle croupe. Elle se doigta, enfonçant un doigt dans son fondement, avant de se toucher, perverse et coquine… Bien plus que ce dont Sha avait l’habitude.

L’Ombre, sous sa forme astrale, ferma les yeux quelques secondes, puis les rouvrit… Et vit alors la scène sous une autre vision. Elle voyait les ondes magiques, formant comme des nuages et des filaments roses tournoyant en l’air, et qui se concentraient dans le corps de Kiriko. C’était la force divine de Lust, luisant dans cette pièce, et qui s’exprimait dans le corps de la Celkhane, qui avait succombé à ce charme. Sha rompit cette vision en souriant. Une verge était en train de se former à hauteur de ses cuisses, se redressant. Ses poings se serrèrent sous l’effet du plaisir.

« Hummm… » gémit alors Sha, sous sa forme humaine.

Sha se rapprocha d’elle, et tendit ses mains, venant alors caresser les fesses de Kiriko. Ses mains étaient solides, fermes, ses doigts griffus, et les ombres dansaient autour de son corps, notamment à hauteur de ses cheveux. Ses mains malaxèrent le postérieur de Kiriko pendant de longues secondes, appuyant fermement dessus, les pinçant, les griffant, afin de la faire couiner.

« Lust te possède, Kiriko… Sans que tu t’en rendes compte, son influence est en toi. Tu as couché avec Daphnée cette nuit, petite traînée… Je n’en suis même pas surprise. »

Est-ce que sa surprise était liée à ça ? Dans tous les cas, Sha ne pouvait guère prétendre lui en vouloir… Elle tenait trop à Kiriko à ça, et, après tout, Lust n’était pas une rivale… Loin de là. La Luxure était au cœur des sorcières, l’une des raisons de leurs somptueux shabbats, des fêtes forestières où les sorcières invoquaient succubes et incubes pour faire joyeusement l’amour, pour copuler dans la joie et dans la bonne humeur.

Sha continua à peloter les fesses de Kiriko, puis sa verge se rapprocha alors. Des tentacules jaillirent de cette dernière, et se posèrent sur le corps de Kiriko, autour de sa croupe, et guidèrent ainsi sa verge. Cette dernière s’enfonça alors dans le corps de Kiriko, et Sha soupira. La forme astrale soupira aussi, en se crispant sur ce corps, puis commença à remuer d’avant en arrière. Dans son dos, des fouets noirâtres jaillissaient, comme des tentacules, ondulant sur eux-mêmes, puis entreprirent de s’abattre régulièrement sur le dos de Kiriko, afin de la faire hurler et gémir.

« Ah, Kiriko !! Ah, ma salope !! Petite… Traînée… Hummm !! Au lieu de… Haaaannn… De te reposer, tu… Tu préfères te faire sauter le cul tout le temps !! Haaaa !! Salope !! »

Sha étant l’une des rares personnes au monde susceptible de pouvoir insulter Kiriko, il allait de soi qu’elle comptait se faire plaisir. Entre-temps, Luxuria, elle, masturbait la Déesse, dont sa verge était, sous l’effet du plaisir qu’elle ressentait, ressortit.

La pauvre n'avait que peu de défenses face aux ondes de Lust qui émanait de ce temple. Il était logique que dans ce fief, sa magie soit plus forte qu'en dehors. Mais demander la forme astrale de Sha, qui n'était faite que de magie était peut-être aussi une demande inconsciente de Kiriko ? Une sorcière qui ne fait pas manipuler ses pouvoirs face à une magie vivante, en masse, devant elle, qui allait la prendre ? Une façon de se familiariser à la magie ? Allez savoir, aucun bouquin ne faisait mention de ce genre de chose après tout. Doucement mais sûrement la sorcière arrivait à lui procurer de l'effet, faisant naître sa verge magique qui savait tant faire frémir la sorcière. Sans perdre une seconde, le temps d'employer ses filaments noires autour d'elle, Sha venait la pénétrer avec tout son amour, la faisant couiner avant de lui parler comme une chienne, même si cela avait fait une sorte de déclic en elle...

Oui, elle se laissait trop faire par Lust en ce moment. Jouer les catins de Sha, ça ne la dérangeait pas mais pour un tel niveau de perversion, il faut aux moins qu'elle soit partie en mission plusieurs jours sans le moindre contact avec sa Déesse chérie. Alors que là, ça faisait quelques jours qu'elle dormait à ses côtés. À part une nuit où elle en a appris autant sur elle que sur Sha mais ça reste un épisode à part.

« Mhhh non ! Je vous suis, humph, fidèle Sha ! Je ne.... vénérais personne... d'autres, haaaa !!! »

Puis ça partait d'un bon sentiment car elle avait fait cela pour faire une surprise à sa Déesse, rien de plus. Elle devait encore ignorer les deux tenues dans l’armoire de leur chambre et c'est tant mieux, là, ce n'était que le réveil, elle ne comptait pas employer tout cela avant de passer quelques heures plus tard, sans baiser si possible. Bavardant tant de la suite que du passé, elle comptait garder le meilleur pour la fin. La Déesse des sorcières y allait de tout son cœur, venant défoncer son petit cul sans ménagement, la faisait couiner de plus belle devant leur fille qui devait se régaler des oreilles.

« Haaa ! Haaaa ! Non ! M-Mon cul... est rien qu'à vous, Shaaaaaa-haaaan ! »

Face à une telle présence, une telle grande, le haut de son corps s'abaissa sur le sol, sa joue venant se coller contre le sol, de même que ses seins, se frottant face aux assauts d'une telle divinité. C'était si bon ! Doucement, elle tentait de se redresser, au moins pour rester convenablement à quatre pattes sous l'effet des coups de reins de sa Déesse. Jamais elle n'oserait avoir le dessus sur elle, un seul instant. Même pour une forme plus enfantine, elle ne pourra jamais faire quoi que ce soit. Sa Déesse avait plein pouvoir sur cette femme qui ne se laisse pas marcher sur les pieds avec une autre. Kiriko tentait comme elle pouvait se coller ses fesses à son bassin pour mieux recevoir sa punition sous forme de barreau de chair magique en elle, gémissant, allant même à avoir un peu de bave au bord des lèvres.

« HAAAAAAAN SHAAAA ! JE.... SUIS TOUTE A VOUS !!!! BAISER-MOI !!!! »

Kiriko pouvait être ainsi naturellement évidemment, elle n'était pas une sainte en dehors de ce temple mais elle faisait tout pour extraire de son corps la magie de Lust et rester aussi perverses envers Sha et seulement elle par sa simple volonté. Pas besoin de viagra magique pour être attiré par la plus belle des créatures de ce monde. Sha était tout simplement sa vie. Tenant sur une main – en plus de ses genoux évidemment – Kiriko venait se caresser car ce simple fait de la prendre par-derrière ne lui suffisait pas, gourmande comme elle était avec sa divinité, elle en voulait toujours plus mais elle n'osait pas le réclamer alors elle se caressait purement et simplement. Ses doigts s’enfonçaient avec une telle facilité en elle, preuve qu'elle mouillait énormément rien que pour Sha, c'était la seule femme au monde à voir autant profiter de son corps et Kirko ne se lassait jamais de cette créature divine.

Sha était en train de la prendre, et, même sous sa forme astrale, défoncer le cul de Kiriko était toujours aussi plaisant. Ce qu’il y avait de fascinant dans ce temple, et qui s’expliquait assurément par la présence magique de Lust, c’était que, malgré tout l’effort physique donné, malgré la physique qu’elles ressentaient à chaque fois, au bout de quelques instants, elles allaient tout de suite mieux, et trouvaient la force nécessaire pour copuler à nouveau. Kiriko enchaînait ainsi depuis hier soir les relations sexuelles, pratiquement sans interruption, et c’était bien parti pour durer ainsi. La magie rose de Lust vibrait en elles, et Sha l’accueillait pleinement, admonestant avec précision et lourdeur ses coups de reins dans le corps de la belle Kiriko. Se dandinant à quatre pattes, la Celkhane était parfois tellement excitée, tellement assommée par cette verge impériale, qu’elle en finissait étalée sur le sol, incapable de se retenir, en sentant les puissants coups de reins de la femme. La Déesse la voyait ensuite tenter de se relever, et, en souriant, elle enfonçait plus profondément sa verge dans son cul, usant de sa magie pour grossir sa queue, afin qu’elle soit aussi épaisse et aussi longue que possible.

« Haaaaannn... Hooo, ma belle !!! Hummm... Quel cul... Haaaaa... Quel cul magnifique !! »

L’Ombre continuait à la prendre, d’avant en arrière, ses mains se crispant sur ses fesses. Elle vit alors que Kiriko était en train de se toucher, et sourit lentement.

« Tu n’en peux plus, ma chérie, hum... ?! Laisse... Laisse-moi... Haaaan... F-Faire !! »

Un tentacule jaillit du corps de Sha, et s’enfonça dans son vagin, remplaçant ses doigts, un tentacule en forme de verge. La Déesse continuait à la prendre, et, pendant ce temps, son corps humain se dandinait sur le lit, follement excité, notamment sous les doigts magiques et les baisers de Luxuria, qui la branlait généreusement, ravie de coucher avec cette Déesse. Sha, elle, continuait à se faire plaisir, et d’autres tentacules jaillirent. L’un d’entre eux s’enroula autour de la nuque de Kiriko, un autre autour de son ventre, et son corps fut promptement soulevé. Sha la maintenait en position, et continuait à la prendre... Puis, devant les yeux de Kiriko, une autre Sha apparut, une autre forme astrale, qui caressa ses hanches, et remplaça par sa verge le tentacule planté dans le vagin de la femme.

Kiriko se retrouva ainsi entre deux formes astrales de Sha.

« Haaaan... Salope !
- Traaaîîîînnnéééééeeee... »

Les deux Sha la prenaient mutuellement, en sandwich, profondément et violemment. Les griffes de ses mains labouraient sa peau, et elles se pressaient en elles, d’avant en arrière, s’enfonçant parfois profondément.

Y avait-il une façon meilleure que celle-ci de faire plaisir à Kiriko ? Actuellement, aucune. Surtout dans ce temple. En dehors, ça pourrait lui arriver d'être un peu plus féminine et simplement désirer se blottir dans ses bras en se sentant rassuré et apaisé. Il y avait aussi ce vieux fantasme de voir sa Sha sous une forme plus jeune, un aperçut de ce que pourrait ressembler Arya en partie. Elle ne voulait rien de sexuel avec une Sha enfant, elle voulait juste la trouver encore plus adorable, tellement mignonne qu'elle ne pourrait pas cesser de la câliner. Mais connaissant Sha, ça risquait vite de déraper et Kiriko n'est pas du genre à dire non à sa Déesse... Mais dans le temple de la luxure, aux chiottes le romantisme, elle voulait juste se faire défoncer le fion et le tout le reste par Sha. Au diable la robe de marier ou la tenue en cuir, vu comment elle était partie, Kiriko ne souhaitait rien d'autre que du sexe à l'état pur. Elle verra un peu plus tard pour les tenues. Ce n'était pas son genre de faire l'amour habillé, à part avec sa tenue de Celkhane mais elle ne l'avait plus depuis hier et c'était tout aussi bien pour le moment.

Sha lui labourait joyeusement ses fesses et elle ne pouvait que se sentir fière et heureuse de lui être utile de cette façon. Ses mains se cramponnaient à ses fesses mais elle continuait de sourire bêtement en se sentant si honorée. Même si elle se touchait un peu, Sha venait remplacer ses doigts par une autre verge tentaculaire, c'est pour dire à quel point cette Déesse était aussi gentille. Cette chose remuait entre ses jambes, venant explorer les lieux en remuant comme un serpent alors que celle dans son colon ne faisait que grossir et grandir, pour mieux faire gémir la Celkhane sorcière qui n'avait aucune honte à être aussi soumise et amoureuse de sa Déesse.

« HAAAAAN OUIIII, JE.... JE... HAAAAAaaaannnnn.... »

Même parler était difficile, surtout que la situation était toujours plus exquise en voyant Sha sous sa forme humaine se faire branler par une Luxuria visiblement contente. Pas étonnant, c'est normal. Sha est si belle... Mais voilà que la belle Déesse vint à lui faire un double, remplaçant ce tentacule par une autre Sha tout aussi belle, vulgaire et incroyablement sexy !

« OOOoohhh OUIIII ! Je... je suis votre trainée !!! Votre putain à vous, ShaaaAAAAAHHHH !!! »

Oui, la belle déesse sombre semblait aimer la faire crier et si cela la rend heureuse, alors Kiriko aussi. Elle profita de cette nouvelle forme devant elle pour se blottir contre elle en venant l'embrasser, fourrant sa langue dans sa bouche, remuant joyeusement leur langue, ensemble. Kiriko était au septième ciel ! Elle n'avait peur de rien, elle pouvait gérer plus de Sha encore mais elle voulait s'offrir pleinement à ses deux-là déjà. Quand on pense au nombre de chose qu'elle pouvait faire avec deux Sha... ça faisait rêver. Pour l'instant, être prise en sandwich était bien suffisant pour elle. La Celkhane caressait ce corps si doux, si délicieux alors que devant comme derrière, elle suivait le rythme fou imposé par sa divinité. Une balle de ping-pong supportant le choix de ses partenaires, pousser par l'une puis l'autre, parfois elles se claquait contre elle en même temps, sentant ses bourses divines se cogner contre elle, elle aimait vraiment tout chez elles.

Le plaisir était plus qu'au rendez-vous puisque l'orgasme ne tardait pas à arriver, mais en présence d'une double beauté... c'était plus que logique ! Romptant le baiser, elle continuait de se serrer contre sa Déesse en sentant son cœur battre de plus en plus fort !

« SHAAAAA, JE, JE.... JOUIIIIIIIIIIITTTTTT !!!!! Haaaa, haaaa, haaaa-aaaah... »

Sa mouille produisait un bruit bien excitant, expulsé et aspergeant cette verge qui continuait son travail. Kiriko n'était plus qu'une femme heureuse, si heureuse que sa langue pendait hors de sa bouche, elle était si... heureuse ! Dire que cela n'était qu'un début. Car elle voulait offrir une cravate de notaire à sa Déesse mais avec deux Sha à présent... c'est plus compliqué... Kiriko reprenait doucement ses esprits et sa respiration mais rien ne finira aussi vite...

L’avantage quand on couchait avec une forme astrale, c’est qu’il était bien plus facile de la multiplier, la forme astrale de l’Ombre n’étant, en fin de compte, qu’une projection de son esprit... Plus ou moins. Il était difficile de l’expliquer, et ce encore plus quand, après tout, elle pouvait aussi cloner son corps humain, mais... Disons que l’autre Sha n’était pas, à proprement parler, un clone. En effet, pour que la seconde Sha soit un clone, il aurait fallu que la première soit une sorte de version originelle... Or, ce n’était pas le cas. Les deux Sha n’étaient qu’une seule Sha, juste une manifestation en double, une projection double... Dans les faits, ça ne changeait toutefois rien, ou quasiment pas grand-chose. C’était juste que le plaisir des deux Sha astrales était réciproque. Chacune jouirait automatiquement en même temps que l’autre, par exemple, contrairement à un clone. Ainsi, les deux Sha prenaient vigoureusement Kiriko. Oh oui, c’était violent ! Oh oui, c’était intense ! Les deux verges magiques s’enfonçaient ausis profondément et aussi durement que possible, usant de la magie et de cette espèce de lien unissant depuis des millénaires Sha à Kiriko pour perfectionner au millimètre près la taille et l’épaisseur de ce sexe magique. L’avantage de la magie, c’était qu’on pouvait tout customiser. Sha était en train de le faire, afin d’offrir à sa diablesse de sorcière, décidément bien excitée ce soir, un plaisir du tonnerre... Quelque chose d’inoubliable, de violent, d’intense... Comme Kiriko l’aimait, parfois. Dans ce temple, la luxure de sa petite Celkhane était poussée à son paroxysme, et les deux Sha la prenaient donc avec brutalité et sauvagerie, se pressant contre elle.

La Sha prenant son vagin l’embrassait parfois, avant de retirer ses lèvres, pour le simple plaisir de l’entendre hurler. Nue, avec sa combinaison violette, ou même avec d’autres habits, Kiriko était toujours aussi belle. Elle avait un corps solide, des hanches agréables, une silhouette fine et délicate, une poitrine ample et généreuse... La prendre était un continuel bonheur. Prise en sandwich, tenaillée entre les deux, Kiriko n’était plus qu’un corps se dandinant entre les deux femmes. Kiriko hurlait et gémissait, semblant parfois s’envoler au loin tant les deux Sha la défonçaient, remuant rapidement, furieusement, griffant sa peau, mordillant sa chair, meurtrissant son organisme... C’est dans ces circonstances que les trois femmes jouirent, Sha se rythmant pour jouir en même temps que Kiriko. Le sperme qu’elle largua était un sperme magique, qui émanait du corps de Sha... La formule humaine jouit ainsi à son tour, éclaboussant le corps de Luxuria. Le sperme afflua pendant de longues minutes, par le biais de multiples giclées de foutre.

« Haaa... »

Sha soupirait longuement. Kiriko était bouillonnante contre elle, et des tentacules d’Ombre caressaient régulièrement les jambes de la Celkhane, s’enroulant également autour de son torse. Les mains de la Sha remuant dans son cul se déplacèrent pour pincer ses seins, les tirant à gauche et à droite, tandis que sa bouche s’approcha, léchant son oreille, glissant amoureusement sur sa peau. L’autre Sha posa un doigt sur les lèvres de Kiriko, caressant sa bouche.

« Nous n’en avons pas encore fini avec toi, Kiriko...
- Nous allons encore te baiser longuement...
- ...Expulser toute la Luxure dans ton corps magnifique... »

Tout cela n’était qu’un début, un prologue. Kiriko avait plusieurs jours de repos avant la poursuite des Épreuves, et, si elle comptait se reposer pleinement, elle allait vite déchanter. Le sexe était récurrent et omniprésent dans ce temple, et Kiriko, avec sa beauté, et sa Luxure, allait concentrer et cristalliser tous les appétits et toutes les soifs. Clairement, la belle n’était pas encore sur le point de se reposer.

Les deux Sha agirent donc, sentant ce que Kiriko voulait faire. Celle dans son dos, se retira de ses fesses, et, amena Kiriko à se mettre à genoux, tout en se déplaçant, venant s’allonger sous elle.

« Empale-toi sur moi, Kiriko, que ton vagin soit toujours rempli, que ta petite chatte de salope ne s’ennuie pas... »

Tandis que Kiriko obtempérait, et s’empalait donc sur ce pieu, l’autre Sha se positionna face à elle, et présenta son sexe vers ses seins.

« Là, ma belle... Tu es toute à moi, Kiriko... Tout ton corps, tout ton être, tout ce que tu représentes... En ce moment, mon amour, seul compte notre amour... »

Et rien d’autre.

Ce plaisir ne sera jamais lassant, le sexe avec Sha pouvait parfois être répétitif mais pour la Celkhane, il est toujours aussi bon ! C'est comme si son cerveau et son corps oubliaient volontairement toutes ses sensations de plaisir pour qu'il soit toujours nouveau et parfait. Comment s'en lasser ? Cette femme était magnifique sous sa forme humaine ou astrale, à elle seule, elle était une véritable liste de fantasme sexuel qu'elle pouvait réaliser en un clin d’œil. L'amour tendre, sauvage, violent, tentaculaire, orgie, tout y était rien qu'avec cette déesse. Bien entendu, bon nombre des dieux pourraient rivaliser en capacités mais pas pour Kiriko, Sha, elle était la meilleure dans son domaine. Lust représentait la luxure et pouvait sûrement détrôner Sha avec un petit quelque chose en plus au moins mais pour Kiriko, non, c'est impossible. Quand bien même ça pourrait être vrai, le fait qu'elle aime Sha rend tout beaucoup mieux, de la simple caresse à l'amour sauvage qu'elles partageaient bien souvent, rien ni personne ne peut égaler cette divinité. Ayant joui entre elles, les deux Sha en firent de même, plus ou moins en même temps...

Classique venant de sa Déesse... mais bon sang, la sensation était toujours aussi parfaite ! Kiriko savourait chaque giclée qui arrivait en elle, peu importe son trou, c'était magnifique ! L'osmose parfaite ! Même une fois retirer, la pause n’était pas prêtre d'arrivée car Sha venait se placer sous elle, voulant encore faire l'amour et lui bourrer son vagin de sa divine semence. La Celkhane ne se faisait pas prier pour aller dessus, savourant une fois de plus cette sensation. Ce n'était pas sans compter sur sa curieuse Déesse qui avait vu ses intentions et se présenta face à elle. Tant qu'elle ne savait pas ce qui se cachait dans son armoire, ça ira. Même sous sa forme astrale, Sha pouvait faire preuve d'un peu de romantisme. Kiriko venait baiser son gland encore humide avant de lever les yeux vers elle, soupirant de plaisir grâce à sa seconde Déesse sous elle.

« Hum, tu sais que je peux rien... te refuser. »

La Celkhane approcha sa poitrine de son sexe en érection, faisant glisser ce membre entre ses deux seins, ses mains venaient tendrement presser sa belle tige. Soutenue par le rythme de celle qui profitait de ses lèvres intimes, Kiriko remuait doucement ses mains, venant caresser et couvrir sa queue. Elle disparaissait entre ses deux seins avant de laisser le bout réapparaître entre ses deux seins. Kiriko ne commençait pas tout de suite à la lécher, non, il fallait faire durer le plaisir. C'est pour ça qu'elle restait souriante en observant Sha, si sévère, si belle et si tendre à la fois. Aucune femme au monde ne pourrait rivaliser avec tant de beauté. Pourtant avant ce tournoi, elle se savait corps et âme dédiée à Sha mais elle pensait pouvoir trouver une femme qui pourrait partager sa vie et accepter Sha à la fois – sûrement Açoka ? – mais non, elle se voilait la face, personne ne pourrait avoir autant de place dans son cœur que sa Déesse. Ses longs cheveux venaient parfois caresser son gland qui sortait sa petite tête de sa poitrine avant de s'enfouir à nouveau dedans. Plus bas, ses hanches faisaient des rotations sur la seconde Sha, lui faisant plaisir en se dandinant de la sorte, laissant tout son amour venir se concentrer entre leurs jambes.

« Vos bites... hmm... elles sont parfaites... où qu'elles soiiiiiiiiiiiient-haaaan... »

Kiriko se mordait la lèvre inférieure, ses deux beautés honoraient son corps, comme elle en faisait de même avec le leur. Elle ajouta sa langue qui venait caresser sa belle queue quand cette dernière ressortait sa poitrine. De léger coup de langue discret afin de suivre le rythme de sa Déesse et de ses propres mains. Inutile d'insister à la lécher, ça couperait le rythme. Alors que là, il y avait fort à parier que Sha préférait la laisser bien au chaud entre ses seins plutôt que laisser cela à sa langue, non ?

« Je suis sûr et certaine que tu voudra, haa, m'arroser avec ta belle queue, non ? Humm ? »

Tentation, quand tu nous tiens !

La perversion de Kiriko était rafraîchissante, enivrante. Est-ce que son absence de fatigue venait de l’atmosphère de ce temple ? Sha ne pouvait que le subodorer. Conquise, Sha, sous sa forme astrale, avait surtout veillé à développer sa verge, à la rendre la plus réaliste possible. Sa queue était ainsi extrêmement bien faite et bien détaillée, presque similaire à un phallus normal... Sha était fière de son travail, et elle savait aussi que, inconsciemment, l’atmosphère de Lust l’influençait. En tant que Déesse, elle y était un peu moins sensible... Mais seulement un peu. Et ce « un peu » était entièrement suffisant pour l’inciter à plonger, tête la première, dans les méandres du sexe et de la luxure. Sha se laissait aller, et ses deux clones s’occupaient ainsi de Kiriko. Une Sha sous elle, qui caressait ses hanches, laissant le corps ample, bien formé, magnifique, de Kiriko, danser sur elle.

Face à Kiriko, l’autre Sha se tenait face à elle, et la laissait jouer avec ses seins. L’Ombre n’avait pas l’habitude que Kiriko lui fasse ce genre de choses. En fait, et de manière générale, Kiriko était extrêmement soumise face à Sha, comme si l’amour irrationnel qu’elle lui portait l’empêchait de réfléchir à ses propres fantasmes. Elle ne se laissait porter que par ceux de Sha, et il était rare de la voir prendre l’initiative, comme elle le faisait en ce moment même. Inutile d’en chercher les raisons, Sha avait suffisamment eu le temps d’analyser la présence désinhibitrice de Lust en ces murs. Pour avoir une Kiriko dominatrice, elle devait parfois prendre l’apparence d’une simple servante, et masquait son aura magique par le biais de rites et de sorts. Elle provoquait alors suffisamment Kiriko pour se faire fouetter, et même sodomiser. Oh oui, Sha aimait tous les aspects de sa Kiriko ! Ce n’était pas rationnel, c’était un point de vue totalement subjectif, mais qui y avait-il de plus subjectif que l’amour ? Même les débordements fanatiques de Kiriko étaient tolérés. La Celkhane n’avait encore jamais véritablement franchi la ligne grise, elle n’avait encore jamais tué de gens juste parce qu’ils croyaient en une autre divinité qu’elle... Ce risque était néanmoins possible, car un amour compulsif conduit aisément à une obsession morbide, et il nécessitait, de la part de Sha, une vigilance particulière, accrue... Que ferait-elle le jour où cela arriverait ? Alors qu’elle voyait Kiriko se dandiner devant elle, en masturbant sa verge avec ses seins, qu’elle l’entendait gémir et soupirer, que ses propres mains caressaient ses joues et ses cheveux, serait-elle en mesure de l’arrêter ? Sha ne lisait plus le futur depuis longtemps, car elle savait ô combien ces visions étaient trompeuses, mais que verrait-elle si elle le faisait ? Une Kiriko souriante et heureuse, portant fièrement l’étendard de sa Déesse, avec de multiples filles (et peut-être même un garçon ?), ou une Kirkko cruelle, portant l’épée, incendiant et ravageant des villes et des nations au nom de Sha ? Kiriko était les deux à la fois, porteuse d’espoir et d’inquiétudes, et Sha ne pouvait pas se fier à des tentatives de prophétie, car ces visions seraient forcément influencées par ses propres craintes.

« Hum-hum... »

Sous les deux femmes, l’autre Sha caressait et griffait les hanches de Kiriko, l’aidant à se relever, à danser sur sa verge. Kiriko s’empalait magnifiquement dessus, et les mains de Sha ne tardèrent pas à retourner caresser les fesses de Kiriko, ce magnifique cul que la Déesse aimait tant... Et pas que la Déesse. Combien de fois avait-elle pu le prendre, ce cul ? Sûrement pas autant de fois qu’elle comptait encore le lui prendre... Avec Kiriko, si tout était un fantasme sexuel, la sodomie était quelque chose d’autre. Son cul avait été pris tellement de fois qu’il semblait avoir évolué pour s’adapter parfaitement aux envies et aux aspirations de l’Ombre.

C’était magnifique... Kiriko était magnifique, tout simplement. Le sexe de Sha disparaissait entre ses deux mamelons, et elle ne faisait évidemment rien pour l’en empêcher, rien pour la retenir ou la repousser. Elle la laissait agir comme elle l’entendait, et Kiriko alla jusqu’à titiller son sexe, caressant l’extrémité de sa queue avec sa langue, donnant de brefs coups dessus, avant d’y concentrer à nouveau ses seins. Elle tenait chacun de ces derniers, et les remuait admirablement bien, masturbant ainsi Sha.

Kiriko se mit alors à la provoquer, et Sha lui sourit, baissant la tête vers elle, venant glisser ses doigts dans les longs cheveux trempés de la femme.

« Oh, ma belle... J’ai envie de recouvrir tout ton corps de foutre, des pieds à la tête, et d’utiliser un sort qui collerait ce sperme à ta peau le temps que je te défonce joyeusement... Tu... Hum... Tu serais comme une grosse glace de foutre qu’il faudrait lécher intégralement pour qu’elle retrouve sa splendeur naturelle... »

Les fantasmes d’une Déesse de la Sorcellerie étaient souvent... Magiques.

Que demander de plus ? Kiriko était heureuse si sa Déesse l'était et même si elle était divisée en deux, elle était donc deux fois plus heureuse ! Heureuse de prendre le cul de Kiriko, heureuse de sentir son sexe entre ses seins confortable et moelleux. La belle Celkhane se laissait bercer par la puissance de Lust, certes, face à la remarque de sa Déesse, elle avait un peu repoussée cette magie plus ou moins efficacement mais c'est comme taper dans l'eau. L'eau va s'agiter autour du point de choc avant de retrouver son calme. La sorcière se plaisait à plaire à sa Déesse, même si la seule chose qu'elle lui ait toujours refusé était de devenir hermaphrodite, même temporairement. Avec un jouet, passe encore mais avec la magie ? Non. Sur les autres, elle s'en fichait de voir des sexes se tendre face à elles, cela rendait certaines femmes plus sexy. Mais elle ? Hors de question ! Elle hait ses hommes en qui, lors de sa jeunesse elle avait placer quelques espoirs. C'était son ancienne patrie qui avait raison, les hommes sont inutiles ! Et depuis sa rencontre avec Sha, aucun homme n'a eu sa pitié. À part les jeunes enfants mais Kiriko savait qu'une bonne mise en garde envers les petits garçons pourrait leur éviter de devenir de vrais cons avec les femmes. De plus, Kiriko est certes une tueuse, mais pas une tueuse d'enfant.

Elle s'était toujours dit que si elle avait une vraie verge, elle perdait ce peu de féminité qu'elle avait. Oui, ses formes bien moulées par sa combinaison montraient bien qu'elle était femme et très belle même. Mais voilà, si elle franchit ce cap... ça ne va pas lui plaire. Qui sait, elle loupait sûrement quelque chose et elle en deviendrait peut-être même accroc mais... non. Un jour peut-être, elle pourrait dire oui sous certaines conditions ou raison mais là, même la magie de Lust ne l'aide pas à accepter ce morceau de chair entre ses jambes. Mais entre celles de Sha, oh bon sang oui ! Dix fois oui ! Face à cette Sha qui annonçait un fantasme bien original mais bien loin de dégoûté Kiriko. Sha avait sa touche d’originalité et ressembler à une grande crème glacée... pourquoi pas ? Si c'est ce que Sha veut, Kiriko le fera. Mais cela dit, elle avait aussi certaines moyen d'éviter ma noyade de foutre.

« Hum, vraiment ? Je dis pas non... hm à une bonne douche et, han, sentir ta langue sur la peau mais... Tu préfères pas mon goût naturel, haaAAANNNnnn ! » Oui, les Sha, ça s'agitent souvent, surtout en sodomie. Kiriko se collait plus à celle qui lui faisait face, plaquant sa verge contre elle et contre Sha, ses mains enlaçaient ses cuisses alors que son visage faisait face à son ventre, venant lécher son nombril. « Moi je t'aime... naturellement. J'aime te lécher partout. Ta bouche, ta Bite ! Ta chatte, ton petit cuuuuuuuul ! Tes seins, tes mains, tes pieds... Haaan, je t'adore Sha alors Oui ! Je... mmmh... je ferais tout pour toi. »

Gardant ses mains bien serrer autour de ses cuisses, elle se frottait contre elle, remontant ses seins le long de son sexe, la masturbant en frottant sa poitrine contre sa peau par la même occasion, léchant son ventre si beau et si délicieux même sous cette forme. Elle gardait bien ses fesses sur la seconde Sha qui, de toute façon, la maintenait bien. Que ce soit la magie de Lust qui la rendait plus docile ou bien qu'elle s'ouvre plus naturellement à sa grande Déesse, Kiriko assumait tout ce qu'elle disait. Tout n'était que vérité face à sa Déesse. Sauf pour la cachotterie de cette nuit mais elle le saura sûrement dans la journée de quoi il s'agit.

« Allez Shaaaa, mmmh... Déverse ton lait onctueux, dans ma bouuuche... Je veux détrôner la plus grosse pute de tes prêtresses, je veux être ta meilleure pute, rien qu'à toi et à personne d'autre, mmmh-hhhan ! Jouit moi dessus ! Jouis avec moi ! »

Kiriko continua de plus belle, actif aussi en haut qu'en bas, remuant son bassin comme elle pouvait et quant à trois, elles atteignaient l'orgasme à l’unisson, Kiriko plaquait son visage contre son ventre pour en récolter la semence même si une partie venait arroser le corps de Sha à la fois aussi. Kiriko reprenait son souffle, sans décrocher ses bras autour d'elle, venant récolter comme un chaton, le lait sur le corps de sa superbe Déesse. Doucement, tendrement. Malgré sa joie, elle récoltait le tout sur le ventre de Sha, gémissant doucement avant de se décoller d'elle en jouant avec toute cette foutre dans sa bouche en observant sa Déesse avec un grand sourire. Elle ne voulait pas vraiment passer pour la plus grande traînée de Sha... mais Lust aide un peu à ce résultat. Tant qu'elle à une place spéciale dans le cœur de l'Ombre, elle n'en demande pas plus après tout. Tout son corps était apaisé avec cette foutre, elle n'avait rien de plus à demander... pour l'instant.

The Multiversity

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]

Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]