Re: Punition câline [Kamiye Goupile]
Posté : 31 juil. 2025 18:08
Alors que Ashka gémit avec sa petite voix toute fluette, non pas par plaisir, mais en réponse aux nombreux coups de paluches qu'il prend dans la tête à répétition, ses deux "amis" on étés clairs avec lui avant de se mettre le violer. Il devait se montrer bien gentil avec eux. Agir comme la dernière des filles de joie à leurs égards, sous peine de reprendre encore davantage de violence dans la figure. Mais ce n'était pas ce qui inquiétait le plus Ashka, alors qu'il s'était mis au travail pour faire plaisir à ses bourreaux aussi pervers que sadiques. Le jeune dragon à la peau grise écailleuse, avait surtout peur que l'on fasse du mal à toi Kamiye, son ami plus qu'affectif. Qu'ils détruisent l'hybride renard à la peau de bébé. Petit protégé du jeune héros en devenir et que tu deviendras peut-être un jour, à force de traverser des épreuves bien plus souvent turbulentes et mouvementées, que tu ne peux encore imaginer à ce jour.
Lorsque les deux orcs ont terminé de se mettre à l'aise, ils ont forcé le dragon à leur faire chacun une fellation commune. Le dragonnet alors nu comme un vers. Avec la carrure à la fois élégante, mais teintée d'une forme de douceur étincelante. De relents athlétiques, qui laissent dessiner une fine couche de muscles sur ce corps naturellement souple et agile. Ashka a été forcé d'obtempérer et de se mettre à genoux. Tandis que sa longue chevelure dorée, parfois presque étincelante sous un soleil levant, reste maintenue par la lourde poigne vigoureuse appartenant à l'une des peaux vertes qui le brutalisent, le jeune dragon s'est doucement mis au travail. Avec une hampe d'orc dans chacune dans ses douce petites paluches grisonnantes, Ashka a commencé par approcher sa bouche autour de l'une d'elle. Infecte. Rebutante pour son museau draconien sensible et délicat, le dragon a alors enserré celle-ci directement le creux de sa bouche. Pinçant les yeux pour tenter de supporter l'odeur franchement peu appétissante. Utilisant les vas et vient traditionnels qu'il connait parfaitement, au vu des nombreuses expériences qu'il possède dans ce domaine, le dragonnet a tenté de faire la chose du mieux qu'il pouvait, sous les regards amusés de ses tortionnaires à la carrure imposante.
Pendant que le frère de l'orc se faisait branler la queue avec la main gracile de Ashka, c'est sous des ordres injurieux et toujours plus menaçants, que le chevalier errant dans l'humiliation a dut entreprendre d'accélérer ses mouvements de tête. Incapable de prendre cet énorme manche en entier tout à l'intérieur de son gosier, Ashka a dut faire une gorge profonde à l'orc, avec les moyens du bord. Tandis qu'un bruit particulièrement obscène et reconnaissable en émanait directement de celle-ci, les orcs se mirent à jubiler à travers leurs moult insultes répétées et qui concernait principalement le travail détaillé des filles de joie. En déploiement sur les deux côtés du furry, Ashka a fini par être contraint de devoir alterner ses "langoureux et généreux baisers" distribués sur les manches lourds et à l'odeur peu appétissante, de part et d'autre.
Tandis que leurs rires, gras et saturés d'insultes se firent entendre à travers la petite étable, l'orc qui s'occupait de son précieux ami. Celui que Ashka considérait comme son nouvel amoureux, était lui aussi en train de se faire violer sans la moindre compassion. Le chef des orcs qui avait d'abord eu une demi-molle, a vite trouvé le passage à travers le canal fessier intime de Kamiye. Comme un jouet avec lequel il s'amusait pour tenter de le broyer, ses coups de reins étaient bruts. Répétitifs. Directs. Crus et sans aucun ménagements. Ils étaient tout, sauf tendres. Face à cet assaut brutal où tu te retrouves à encaisser son énorme bite dans tes entrailles encore si jeunes, tu peux légitimement être en droit de pleurer ou de crier de douleur. Mais sache que plus tu laisseras le désespoir et la douleur t’envahir. Que plus tu la laisseras s'exprimer depuis ta voix qui fera inévitablement écho à travers les tympans de l'orc qui te prend le derrière avec violence, plus il jubilera de ton sort de pauvre esclave enchainé dans ta tête.
Mais malgré leur cruauté certaine, une froideur cruelle incomparable émanait la bande des peaux vertes. Ressenti certainement dut, après de nombreuses années de vagabondage. Des années à errer sur les routes à travers des chapitres de vie barbares et cruelles, bien trop souvent écrites à l'encre de sang. Des pages aux écrits graveleux et contenant un nombre beaucoup trop conséquent d'histoires jouissives à sens unique. Des cris éperdus au plus fin fond de l'oubli. Des larmes de souffrances perpétrées à travers les yeux des victimes, avant que ne s'abattent le glaive du trépas. Des châtiments moraux et corporels de toutes sortes, infligés avec une cruauté gratuite et sans précédent . Mais aussi des supplices infligés à répétition, notamment à travers leurs impitoyables gourdins reproducteurs. Ceux qui marquent actuellement les chaires chaudes et sensibles du jeune Ashka et de toi Kamiye, l'esclave enchaîné et en quête de réponses nouvelles, depuis que tu t'es libéré de tes jougs qui te retenaient prisonnier, il y a encore si peu de temps.
Lorsque les deux orcs ont terminé de se mettre à l'aise, ils ont forcé le dragon à leur faire chacun une fellation commune. Le dragonnet alors nu comme un vers. Avec la carrure à la fois élégante, mais teintée d'une forme de douceur étincelante. De relents athlétiques, qui laissent dessiner une fine couche de muscles sur ce corps naturellement souple et agile. Ashka a été forcé d'obtempérer et de se mettre à genoux. Tandis que sa longue chevelure dorée, parfois presque étincelante sous un soleil levant, reste maintenue par la lourde poigne vigoureuse appartenant à l'une des peaux vertes qui le brutalisent, le jeune dragon s'est doucement mis au travail. Avec une hampe d'orc dans chacune dans ses douce petites paluches grisonnantes, Ashka a commencé par approcher sa bouche autour de l'une d'elle. Infecte. Rebutante pour son museau draconien sensible et délicat, le dragon a alors enserré celle-ci directement le creux de sa bouche. Pinçant les yeux pour tenter de supporter l'odeur franchement peu appétissante. Utilisant les vas et vient traditionnels qu'il connait parfaitement, au vu des nombreuses expériences qu'il possède dans ce domaine, le dragonnet a tenté de faire la chose du mieux qu'il pouvait, sous les regards amusés de ses tortionnaires à la carrure imposante.
Pendant que le frère de l'orc se faisait branler la queue avec la main gracile de Ashka, c'est sous des ordres injurieux et toujours plus menaçants, que le chevalier errant dans l'humiliation a dut entreprendre d'accélérer ses mouvements de tête. Incapable de prendre cet énorme manche en entier tout à l'intérieur de son gosier, Ashka a dut faire une gorge profonde à l'orc, avec les moyens du bord. Tandis qu'un bruit particulièrement obscène et reconnaissable en émanait directement de celle-ci, les orcs se mirent à jubiler à travers leurs moult insultes répétées et qui concernait principalement le travail détaillé des filles de joie. En déploiement sur les deux côtés du furry, Ashka a fini par être contraint de devoir alterner ses "langoureux et généreux baisers" distribués sur les manches lourds et à l'odeur peu appétissante, de part et d'autre.
Tandis que leurs rires, gras et saturés d'insultes se firent entendre à travers la petite étable, l'orc qui s'occupait de son précieux ami. Celui que Ashka considérait comme son nouvel amoureux, était lui aussi en train de se faire violer sans la moindre compassion. Le chef des orcs qui avait d'abord eu une demi-molle, a vite trouvé le passage à travers le canal fessier intime de Kamiye. Comme un jouet avec lequel il s'amusait pour tenter de le broyer, ses coups de reins étaient bruts. Répétitifs. Directs. Crus et sans aucun ménagements. Ils étaient tout, sauf tendres. Face à cet assaut brutal où tu te retrouves à encaisser son énorme bite dans tes entrailles encore si jeunes, tu peux légitimement être en droit de pleurer ou de crier de douleur. Mais sache que plus tu laisseras le désespoir et la douleur t’envahir. Que plus tu la laisseras s'exprimer depuis ta voix qui fera inévitablement écho à travers les tympans de l'orc qui te prend le derrière avec violence, plus il jubilera de ton sort de pauvre esclave enchainé dans ta tête.
Mais malgré leur cruauté certaine, une froideur cruelle incomparable émanait la bande des peaux vertes. Ressenti certainement dut, après de nombreuses années de vagabondage. Des années à errer sur les routes à travers des chapitres de vie barbares et cruelles, bien trop souvent écrites à l'encre de sang. Des pages aux écrits graveleux et contenant un nombre beaucoup trop conséquent d'histoires jouissives à sens unique. Des cris éperdus au plus fin fond de l'oubli. Des larmes de souffrances perpétrées à travers les yeux des victimes, avant que ne s'abattent le glaive du trépas. Des châtiments moraux et corporels de toutes sortes, infligés avec une cruauté gratuite et sans précédent . Mais aussi des supplices infligés à répétition, notamment à travers leurs impitoyables gourdins reproducteurs. Ceux qui marquent actuellement les chaires chaudes et sensibles du jeune Ashka et de toi Kamiye, l'esclave enchaîné et en quête de réponses nouvelles, depuis que tu t'es libéré de tes jougs qui te retenaient prisonnier, il y a encore si peu de temps.