The Multiversity

Mélinda planta ses dents dans le cou de Dina, et but lentement son sang, sentant cette dernière gémir. Ses mains se posaient sur ses hanches, et elle avalait son sang, l’aspirant tendrement, prenant tout son temps. Lilmma, de son côté, ne tarda pas à les rejoindre, et choisit l’une de ses positions préférées : entre les deux femmes. Elle réussit à glisser sa tête, Dina devant s’écarter un peu, se courbant légèrement, tandis que Mélinda continuait à boire, ses jambes emprisonnant Limma, dont la tête était coincée entre les cuisses chaudes et tendres des deux femmes. Dina avait un délicieux sang, de bonne qualité. Après tout, la jeune esclave n’avait jamais fumé, et était une femme douce et réservée. Son corps s’emballait, ce qui se ressentait dans la morsure. Yeux clos, Mélinda buvait avec appétit, et Dina gémissait, posant ses mains sur les hanches de sa Maîtresse, avant de les faire glisser sur la tête de Limma. Elle devait sentir cette langue si particulière qui se faufilait en vous, et qui la faisait gémir. Dina surprit Mélinda, dans le sens où elle eut très rapidement un orgasme. Elle ne poussa aucun cri sauvage, se contentant de quelques discrets soupirs. La jeune femme était encore en formation, et n’avait donc toujours pas été offerte aux clients. Sa timidité forte faisait toutefois qu’il était peu probable qu’elle soit un jour une prostituée de luxe. Mélinda risquait plutôt de l’assigner à des tâches subalternes.

Tout en y songeant, et en mouillant sur la tête de Limma, elle perçut un groupe sanguin très particulier et très bon se rapprocher. Sya revenait. En la voyant, plusieurs filles discutèrent entre elles, certains tendant la main pour venir la caresser, mais elle ne s’arrêta pas, revenant voir sa Maîtresse. Ses pulsions furent les plus fortes, car Sya ne put attendre en se tournant les pouces, et se glissa dans le dos de Dina, afin de s’occuper d’elle. La petite, qui venait d’avoir un orgasme, poussa un nouveau soupir, se contorsionnant entre les trois femmes qui s’occupaient d’elle. Elle était toute rouge, s’estimant probablement très veinarde de ce qu’elle vivait... Et, à vrai dire, elle avait tout à fait le droit de s’estimer chanceuse, car ce qu’on lui offrait était tout simplement divin. Sya et Dina s’embrassèrent tendrement, et Mélinda finit par retirer ses crocs de la nuque de Dina, léchant ses deux trous pour éviter d’autres traces de sang.

Le câlin avec Dina se termina, et cette dernière s’écarta pudiquement, croisant les mains devant elle en baissant la tête, ses cuisses recouvertes de cyprine. Mélinda écarta les jambes, restant toute nue, et fit craquer son dos en se dressant, poussant un soupir de plaisir.

« Hum... Je crois que tu as répondu toi-même à ta propre question... »

Mélinda regarda Sya avec un léger sourire. Elle regardait Limma avec envie, et Mélinda replia ses jambes, libérant pour de bon Limma.

« Toi et Limma devez avoir des choses à vous dire, non ? »

Une semi-démone et une Ange de la luxure... Quel couple atypique ! Comme quoi, dans la vie, tout était possible. La vampire esquissa un léger sourire en croisant les jambes.

« Et bien, ne soyez pas timides, embrassez-vous... » lâcha-t-elle alors.

En tournant la tête, elle fit signe à Lizzie de retourner la masser. La neko obtempéra silencieusement, se mettant sur la table de massage, et frotta ses mains contre le dos de Mélinda, à hauteur des épaules, remontant vers sa nuque, frottant vigoureusement, avec un indéniable talent. Mélinda se surprit encore à soupirer de plaisir. Lizzie était vraiment douée... Et la présence d’une ange ne ferait rien pour arranger cette situation.

Ce mois allait être très intéressant chez Mélinda! Oh bien sur malheureusement, elle ne pouvait pas emmener Iinari et encore moins Saikai pour l'accompagner mais elle savait qu'Iinari aussi s'amusait et puis elle aura plein de choses à lui raconter. De même avec Saikai, elle savait que ce qui lui faisait plaisir l'était aussi pour la neko. Mais pour une telle absence, elle fera l'effort de rester avec elle un certain moment en commençant à se mettre d'ailleurs au travail si elles voulaient avoir une fille. Après un très petit échantillon des filles au service de la vampire, l'Ange de la luxure allait pouvoir retrouver sa seule disciple actuellement, Limma! La mignonne petite démone partageant le corps d'une ancienne esclave. Elle lui avait tant appris quand elles étaient ensemble, voyageant sur Terra, formant son élève avec elle ou d'autres Maîtresses. Sya n'hésitait jamais à lui donner un coup de main pour lui apprendre comment faire plaisir à leur maîtresses. C'était dommage que son élève était contre le SM et les hermaphrodites mais bon, tout le monde à ses petits défauts! L'on disait souvent que Sya était infatigable, parfois, elle fatiguait trop ses maîtresses alors qu'elle était encore en pleine forme! Il faut bien cela pour servir Lust dans ses orgies phénoménales! Son élève n'avait pas attendu pour venir l'embrasser, l'Ange lui rendant la pareille avec joie en laissant ses mains caresser ses petites hanches délicieuses à croquer. Sya demanda déjà à Mélinda de pouvoir jouer avec elle. Bien évidemment, elle accepta et retourna à son délicieux massage et l'ange et la semi-démone allaient pouvoir jouer!

Déjà Limma voulait de l'Ange quand Mélinda ne l'aura pas comme doudou, évidemment, elle n'était pas contre! Tant qu'elle passait sa nuit avec une femme, elle n'avait rien à demander de plus. C'est passer la nuit seule qu'elle n'aime pas. Après, une, deux, dix, vingt, peu importe le nombre de femmes dans le lit ou la pièce. Pétrissant ses petites fesses, Sya gloussa en reconnaissant là bien Limma et sa passion pour son petit cul. Sa queue se frottait déjà à elle et Sya l'imita en faisant pousser une queue démoniaque – cadeau de sa divine Maîtresse Sanguila – qui se frotta aussi à la cuisse de sa camarade. Tout sourire, l'Ange observait sa copine en penchant la tête sur le côté. Elle était toujours si mignonne!

« Sya aussi à plein de chose à te raconter mais tu pourras commencer. Mais tu sais, la petite esclave n'est pas contre passer la nuit avec Limma et la Maîtresse en même temps? Le lit de la Maîtresse est assez grand pour ça en plus, hihi! D'ailleurs Maîtresse, Limma vous a bien servi depuis qu'elle est avec vous? »

Après tout, c'était son élève, la seule pour le moment mais pour en revenir au lit de la belle vampire... C'est vrai en plus! Depuis le temps, la neko dedans avait dû se réveiller? Pour ne pas que ses cris ne la réveillent et si elle dort toujours, la neko avait dû être beaucoup, beaucoup utilisé la veille! Elle avait dû en prendre pour son grade! Sa queue se frottant toujours sur sa cuisse en remontant un peu plus, elle venait renifler son cou, elle sentait toujours si bon, une odeur agréable mais surtout sexuelle. Sya avait le nez pour cela!

« Sya est pressée de voir à quel point tu as aussi appris avec Maîtresse Mélinda. Mais avant, si nous montrons à notre Maîtresse et nos copines comment une ange et une démone peuvent jouer ensemble? Hum? Si la Maîtresse le veut bien, Sya sera ravi de faire l'amour avec Limma au milieu de toutes ses jolies futures partenaires! »

Au moins, les autres avaient la preuve que tôt ou tard, Sya sera avec elles, dans leur lit ou ailleurs? Remontant ses mains dans son dos, elle fixait sa camarade en frottant son petit nez contre le sien en attendant la réponse de Mélinda. La pauvre devait se reposer mais n'y avait-il pas plus doux que des ébats amoureux entre deux femmes pour être bercé dans le sommeil? Cela était aussi à double tranchant, ça pouvait aussi empêcher de dormir et surtout exciter mais ce n'était pas l'esclave de la luxure qui allait se plaindre de ce petit détail.

Le monde, parfois, était petit. Ceci semblait se confirmer actuellement. Mélinda n’avait rien calculé, et voilà que deux de ses récentes esclaves, qui, a priori, n’avaient rien en commun, se révélaient être de grandes copines. D’un côté, une démone prisonnière dans le corps d’une esclave, Limma Darts ; de l’autre, une Ange de la Luxure qui n’hésitait pas à se faire fouetter avec des démons, Sya. Un couple curieux et atypique, qui, dans sa folie, brisait tous les tabous et toutes les rivalités qui existaient entre les Anges et les Démons. En les voyant, les Archanges et les Princes infernaux se retourneraient dans leurs tombes, tandis que, légèrement sceptique, surprise, Mélinda voyait ces deux femmes se serrer tendrement l’une contre l’autre, comme deux vieilles copines.

*Il y a manifestement un épisode que j’ai raté dans cette série... Mais lequel ?*

La pauvre Mélinda était un peu déboussolée, et clignait à plusieurs reprises des yeux, ayant clairement l’impression qu’elle ne risquait pas d’être au bout de ses surprises, avec ces deux-là. Elle désirait surtout savoir comment, par quel coup du sort, une démone et une ange avaient été amenées à se rapprocher, alors que, en théorie, ces deux espèces se détestaient cordialement, se haïssaient même. Jadis, anges et démons s’étaient affrontés pour le contrôle des plans intermédiaires, dans une longue guerre fratricide dont on en ressentait encore les échos. Oui, la vampire était surprise, étonnée, mais il y avait de quoi. N’importe quel observateur l’aurait été, et le serait encore plus en voyant Sya faire sortir de son derrière une sorte de queue reptilienne évoquant clairement les queues démoniaques. Qu’est-ce que cette fille avait donc d’angélique ? Même ses ailes étaient inexistantes, extrêmement petites, presque transparentes, comme pour souligner le fait qu’elle n’avait d’angélique que le nom.

*Le nom... Et le sang. N’oublie pas ça, Mélinda. Toi et moi, nous le savons. L’identité première d’un individu, c’est son liquide de vie, ce nectar écarlate qui circule entre les veines. En définitive, il n’est pas de meilleure empreinte d’un être que celle qui coule dans notre corps.*

Réalisant que Limma lui avait posé une question, Mélinda n’eut pas vraiment le temps d’y répondre que Sya intervint à son tour, pour suggérer de dormir dans son lit. A plusieurs reprises, Mélinda avait contesté chez Sya une certaine propension à répondre à sa place, à imposer ses idées. Certes, ceci témoignait de son engouement naturel, mais ce n’était pas ce qu’on attendait d’une esclave. Son dirigisme constituait une sorte d’opposition à l’autorité de la vampire, qui en était d’autant plus énervée qu’elle commençait à la percevoir comme une hypothétique rivale, susceptible de ravir dans le cœur de ses esclaves l’attention qu’elles devaient lui porter. Il suffisait de voir le regard coulant de Limma et la hausse de son rythme sanguin pour s’en persuader. La vampire allait devoir se méfier de cette femme, qui pouvait tout à fait devenir un cadeau empoisonné.

S’éclaircissant la gorge, elle finit par répondre, avec une légère nuance dans la voix :

« Maîtresse est la seule à décider qui dort dans son lit, Sya, rappela-t-elle. Mais oui, Limma me sert... Plutôt bien. Je dois encore parachever son éducation, mais elle est très prometteuse. »

La révulsion de Limma à l’égard du sexe masculin était le cheval de bataille de Mélinda, une lutte qu’elle organisait pour tenter de surmonter cette espèce d’irritante phobie. Sya fit une autre proposition, et Mélinda haussa les épaules. Elle regarda autour d’elle, voyant que les autres esclaves regardaient effectivement les deux femmes avec un certain intérêt, palpable dans leurs regards. Un léger sourire sur les lèvres, Mélinda croisa langoureusement ses jambes. En théorie, elle aurait du refuser, afin de rappeler à Sya qui commandait. « Maîtresse », ce n’était pas qu’une simple formulation creuse, ça avait aussi toute une signification théorique.

*L’esclave sexuelle est loin d’être aussi soumise que ça... Ou plutôt, elle voue une telle passion à la soumission qu’elle en oublie que la soumission n’est pas du plaisir, mais avant tout de la contrainte et de l’obéissance.*

Il serait difficile de faire quelque chose contre cela, malheureusement.

« Et bien... Très bien... Vous avez l’air de bien vous connaître, les filles, alors... Si vous voulez rester ensemble, vous allez nous offrir un superbe spectacle. Il va de soi que mes filles pourront participer, si elles n’arrivent pas à se retenir à l’idée de vous voir vous déhancher. »

Après tout, autant faire participer le plus de monde possible.

Sya était très contente aujourd'hui. Sa journée avait très bien commencé et de plus, elle avait retrouvé son élève après tant de temps séparé. Il ne manquait plus qu'Iinari débarque pour jouer avec elle ou Saikai qui la rejoint en privée ce soir et elle sera aux anges! Collée contre la petite démone, elle laissait ses mains caressaient ce corps aussi chétif que le sien, ses fesses douces comme une peau de bébé et son visage tout mignon. Si elle n'aurait pas connu Iinari et Saikai, elle aurait pu craquer pour elle, comme pour d'autres aussi. Le fait que l'Ange de la luxure soit si libéré et propose souvent des choses n'était pas tellement pour plaire à leur maîtresse mais Sya était ainsi. Elle voulait toujours exposer ses idées, elle voulait que sa ou ses maîtresses soient toujours heureuses de ses idées. La soumission et Sya, elles étaient très amies. Soumise, c'était ce que l'Ange préférait dans le sexe alors même si elle ne paraît pas si soumise, il suffit juste de l'avoir dans un lit pour le comprendre. Au pire, Mélinda pouvait très bien lui ordonner d'être plus soumise que ça, c'était simple pour elle, simple comme bonjour. Pour le moment, elle n'avait aucune réponse sur la soirée à venir, que ce soit avec elle ou Limma mais elle pouvait bien patienter et avoir sa surprise ce soir? Au moins, Limma était une bonne élève même si elle devait finir son entrainement? C'est vrai que Sya n'avait pas voulu aller au-delà des limites de la démone. D'entrée de jeu, elle ne voulait aucun rapport entre hermaphrodite et même si elle avait essayé, elle n'était pas très fan des rapport un peu violents, une pointe de SM n'était pas son truc. Au moins elle avait essayé. Mais Lust, dans sa grande bonté ne l'avait jamais forcé à coucher avec un homme à cause de son traumatisme alors Sya ne force aucune de ses élèves, enfin, son élève.

Au moins, Mélinda avait accepté de les laisser s'amuser ici, quitte à laisser les filles venir les rejoindre. Comme si c'était dérangeant pour Sya? Si elle voudrait un moment d'intimité avec Limma, elle n'aurait pas accepté puis Sya serait bien la dernière à refuser une invitation. Sauf peut-être avec Sai-chan mais ça c'est différent, ce n'est pas seulement du sexe, c'est aussi de l'amour. Acquiesçant à la remarque de la petite démone, Sya attrapait la laisse de Limma et trouvait dommage qu'elle retire ses mains. Mais au moins, elle n'avait pas oublié ses leçons, agir que quand la maîtresse ne l'ordonne. Rapprochant son visage du sien, elle y déposa un petit baiser du bout des lèvres avant de coller la pointe de son nez sur le sien en parlant d'une voix douce.

« Tu peux caresser Sya, elle n'attend que ça. »

Sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit, elle colla ses lèvres aux siennes et débuta un petit baiser langoureux en passant ses mains sur ses hanches, remontant de haut en bas avant de remonter plus haut dans son dos en chutant vers son adorable fessier qu'elle prenait à deux mains, malaxant bien cette tendre chair si douce et agréable. Penchant sa tête sur le côté, elle continua de tourner sa langue dans sa bouche en fermant les yeux, frottant sa langue contre la sienne, gémissant doucement aux caresses de la belle petite esclave, la « sienne ». Sa poitrine se comprimait sur la sienne, elles étaient loin d'avoir une belle paire de seins comme Mélinda ou l'une de ses esclaves mais ça avait son charme aussi de voir ses petits seins se coller l'un contre l'autre. Sa petite queue démoniaque remuait doucement comme la queue d'une chatte dans son dos. Ses bras cessaient de bouger pour enlacer Limma contre elle, ses bras joint dans le bas de son dos. Sya ouvrait de nouveau les yeux en retirant doucement ses lèvres, laissant la bave les retenir encore un peu. Sa petite langue lécha sa lèvre supérieure avant de lui donner un nouvel ordre.

« Il est temps de passer à des caresses plus intimes ensemble, Limma. Quand Sya aura fini de t'embrasser, ça sera à toi de l'embrasser où tu veux. »

Sya s'écartait un peu de son corps de façon à ce que les deux esclaves aient une forme de V en les regardant au-dessus. Elle sentait l'excitation des esclaves dans son dos, même autour d'elle mais elle préférait attendre de savoir quand la première allait vouloir venir plutôt que de les provoquer. Mélinda les avaient autorisé à les rejoindre, pas de les provoquer volontairement sinon ça serait facile. Sya tortille son derrière, écarte les jambes et les appellent pour venir la prendre et la voilà avec plusieurs femmes autour d'elle. Néanmoins, elle avait un petit faible pour l'humaine qu'elle avait embrassée quand elle était prise avec Limma et Mélinda. Elle était encore si peu expérimentée et presque innocente, c'était charmant! Sa main caressa dans un premier temps sa petite fente, délicatement, comme l'on caresserait la tête d'un bébé et petit à petit, ses doigts insistaient sur la fente de la demoiselle pour la pénétrer en douceur. Quant à sa bouche, elle la laissait lécher son cou, sa peau était douce et délicieuse et le collier qu'elle ressentait sur son menton ne la gênait pas. Faut dire que le sien est plus encombrant même s'il est large.

Jambes croisées, Mélinda observait la curieuse scène se déroulant devant ses yeux. Ses deux esclaves étaient en train de se faire l’amour, tandis qu’elle les observait, silencieusement, elle, ainsi que les autres filles. A voir Sya de loin, elle réalisa à quel point elle ressemblait à une gamine. Mélinda aussi savait qu’elle faisait aussi gamine, mais il y avait tout de même une différence. Le regard de Mélinda était nettement plus mature que celui de Sya. Tout, dans son comportement, faisait penser à une gamine angélique. Une gamine tournée vers le sexe, la débauche, et la luxure. Elle les observait sans rien dire, ne voulant pas les déranger, tandis que Limma confiait à Sya sa chaîne, une manière symbolique de lui dire que Sya allait désormais s’occuper des choses. Les deux femmes se serrèrent contre elles, et Mélinda cambra légèrement son dos, les regardant, un léger sourire évasif sur les lèvres. Les deux se débrouillaient plutôt bien, à vrai dire. C’était encore assez doux et sensuel, mais, venant de la part d’une femme qui n’aimait pas les rapports sexuels brutaux, ce n’était, fondamentalement, guère étonnant. Encore une fois, Mélinda se mit à réfléchir à la manière d’éduquer Limma, et de l’amener à accepter le fait de sentir une verge en elle. De ce qu’elle avait compris, le traumatisme était particulièrement fort, formant un blocage imperméable, face auquel Mélinda avait d’autant plus de mal à trouver une solution qu’elle devait compter avec la présence d’une démone, un sérieux adversaire. Elle réfléchissait silencieusement, tout en les regardant s’embrasser, Sya glissant deux doigts dans la fente de Limma.

Il n’y avait pas vraiment de doute à avoir, elles se faisaient plaisir. C’était un spectacle assez intrigant. Mélinda pencha la tête sur le côté, continuant à les observer, et observa ses filles. Elles parlaient entre elles, observant cette scène, probablement avec plus d’intérêt que la vampire, qui en était légèrement détachée. Elle avait eu une forte matinée, après tout, et elle avait pas mal de soucis à se faire. Gérer un harem, en plein cœur du territoire ashnardien, ce n’était clairement pas une mince affaire, et elle devait donc réfléchir à ses problèmes, et aux remèdes à apporter. L’une de ses filles finit par se lever, et Mélinda ne fut pas surprise de voir de qui il s’agissait.

C’était Arame, une femme qui était née au harem, et qui faisait donc partie des esclaves endurcies de Mélinda, les prostituées professionnelles. Arame avait un air assez jeune, qui lui allait à ravir, et elle portait, en ce moment, un maillot de bain bleu sombre une pièce qui se composait de bandes remontant sur ses parties intimes. En se relevant, elle laissa tomber l’espèce de fin manteau blanc qui la recouvrait, et elle alla gifler l’une des fesses de Sya, qui était la plus avancée, tout en regardant sa Maîtresse, avec un léger sourire sur les lèvres. Son tatouage noir se mit à brûler sur sa peau, très légèrement, signe qu’Arame utilisait un sortilège de magie rose. Mélinda et elle discutèrent avec le regard, se connaissant très bien.

*Puis-je ? semblait-elle demander.
Offre-moi un bon spectacle* lui répondait Mélinda.

Arame sourit, et gifla à nouveau les fesses de Sya.

« Deux belles salopes rien que pour nous, quel heureux spectacle ! Il va falloir y faire honneur comme il se doit ! »

Et, joignant le geste à la parole, Arame fit apparaître entre ses jambes un sexe, résultant de la magie rose, et l’enfonça dans le fondement de Sya, un long soupir de plaisir s’échappant de ses lèvres, alors qu’elle se cambrait en arrière. Elle avait pour cela du écarter le bout de sa tenue, et donna une troisième fessée sur le derrière de l’Ange.

Cette journée était faite pour être géniale! Une maîtresse bien dominante à souhait, dirigeante d'un harem, lui laissait le loisir de jouer avec ses nouvelles camarades, Limma et des tas de choses dont elle en ignorait l'existence pour le moment. Elle avait tout pour adorer cet endroit. Collée à sa petite élève, elle continuait de lui caresser les lèvres intimes en cherchant peu à peu à la pénétrer en continuant de l'embrasser délicatement. C'était sa petite démone à elle! Mélinda pouvait se vanter de l'avoir comme employée, Sya elle, fut sa tutrice! Son élève en profitait pour lui lécher le sein, allant placer ses lèvres autour pour la téter bien comme il faut. Faire ça ici, devant tant de belles femmes qui profitaient du spectacle, hésitaient à venir rejoindre les deux esclaves, c'était une chose si amusante et excitante! Qui allait craquer la première et venir jouer avec elles? Tout le jeu était là? La petite humaine dont s'occupaient Limma et Mélinda? Une terranide? Une humaine? Une soumise? Une dominante? Une futanari? C'était si amusant et toute leur réservait une surprise! Sya ne connaissait personne pour ainsi dire ici. Mélinda, la neko endormi dans son lit, les deux esclaves, Lizzie, Mizuki, Carla, Natalya, un grain de poussière dans ce somptueux harem! Retournant sur Limma, cette dernière avait réussi à saisir sa queue pour la caresser. C'était agréable et doux, comme une neko aimerait se faire caresser la tête. Si elle pensait voir la même que la petite démone, grossière erreur. Sa queue était normale et un simple outil pour ajouter du charme à cette drôle d'Ange.

L'une des esclaves de Mélinda se présenta en claquant les fesses de l'Ange de Lust qui fut surprise sur le coup mais n'avait rien contre ce signe de bienvenue. Une deuxième claque avant qu'elle ne s'extasie devant son « cadeau » qu'était les deux esclaves. Faux, Sya était le cadeau de toutes les femmes sur Terre comme sur Terra mais elle restait surtout le cadeau privilégié de deux certaines nekos. En seule réponse, elle gloussa en levant la tête vers Arame avant de sentir quelque chose de chaud derrière elle, elle écarquilla les yeux en sentant un pénis s'enfoncer en elle avant de se sentir si bien, gémissant de plaisir même si Limma était moins actif. Ha oui, sa phobie des sexes masculins. Bien la seule chose que Sya accepte de leur part sur une femme. Durant toute sa formation, l'Ange de la luxure ne lui avait proposé qu'une seule fois mais elle avait refusé. Point final. Lust n'avait jamais forcé son apprentie à subir ce qu'elle voulait voir ou vivre avec elle. Sya refusait tout contact avec les hommes, Lust l'avait accepté – pas forcément comprise. Sya agissait comme sa déesse, Limma ne voulait pas, d'accord, étape suivante. Mais si Mélinda voulait effacer cette phobie, plutôt qu'user de potion, de menace ou de sort de magie rose, Sya pourrait bien tenter de calme Limma. Il y a peu de temps, elle avait vécu la même chose, refusant tout contacte de ses choses, même en jouet. La simple vue d'un gode suffisait à la faire trembler en lui mettant les larmes aux yeux. Mais Sya avait outrepassé ce stade grâce à l'amour. Elle ne promettait pas son cœur déjà promis à Saikai et Iinari mais elle pouvait lui parler de son expérience et tenter de gommer cette peur en elle?

Quoi qu'il en soit, l'Ange passait sa main sur la joue de Limma pour venir l'embrasser de nouveau pour lui retirer cette peur. Effacer la peur par le plaisir, voilà une solution plutôt efficace. Elle transmettait ses petits gémissements par la baiser avec sa petite démone préférée. Rompant le baiser un instant, elle se voulait plus rassurante que prévue. Il s'agissait de sa seule élève après tout – pour le moment.

« Je suis là, Limma... »

Elle était là. Personne ne lui fera de mal avec « ça ». Sya ne l'autoriserait pas et pas seulement à cause de la démone en elle. Même Mélinda savait qu'il serait dangereux de jeter de l'huile sur le feu. Sa main descendait plus bas pour venir caresser son corps si similaire au sien. Qui des deux avaient le plus de poitrine? Difficile à dire? Les plus belles fesses? Le choix était rude! Mais n'oublions pas une demoiselle qui se faisait une joie de prendre l'Ange par-derrière pour leur plus grand plaisir à toutes les deux. Sa queue démoniaque se frottait à la cuisse de la jeune femme alors qu'elle se cambra un peu en avant.

« Haaa! Ouii, voilà... N'ayez pas peur de prendre Sya comme vous voulez. »

Dans cette position, c'était l'Ange qui pouvait renvoyer la balle à la démone en léchant ses petits seins. Si doux et agréables, ils lui avaient manqué ses deux-là!

Il était normal qu’Arame cherche à intervenir, et ce n’était pas Mélinda qui l’en empêcherait. Il n’y avait pas de clients à satisfaire dans cette pièce. Les filles étaient entre elles, et jouissaient d’une plus grande liberté que s’il fallait satisfaire un client, dont la volonté était maîtresse. La vampire était détendue et sereine, ce qui impliquait une plus forte liberté d’action. Et Arame ne resta pas spécialement de marbre au spectacle de deux femmes se faisant l’amour sous leurs pieds, et ce d’autant plus qu’elle avait toujours été une fonceuse, ce que son corps athlétique traduisait. Loin d’être une timide, il était fréquemment arrivé à Arame de coucher avec des esclaves en sautant presque totalement la case des préliminaires. Personne n’arrivait vraiment à lui dire « Non », tant elle était belle. Elle était l’une des (nombreuses) perles du harem de Mélinda, et avoir l’opportunité de coucher avec elle gratuitement relevait, pour ainsi dire, d’une chance phénoménale. L’établissement de Mélinda étant un établissement de luxe, chaque fille avait une cote particulière, et celle d’Arame était assez élevée.

Naturellement, et de manière assez ironique, ce fut la démone qui se rétracta, et l’ange qui fut heureuse d’avoir une nouvelle partenaire. Il allait de soi que, dans son tempérament de fonceuse, pour ainsi dire, de dominante, Arame avait reçu une greffe masculine à hauteur du bassin. Elle n’hésitait pas à sortir sa lance, et cette vue, logiquement, provoqua un blocage chez Limma. Il était vrai que Mélinda cherchait à inciter cette dernière à dépasser sa phobie (ridicule, à son sens) des sexes masculins., mais, pour autant, elle ne comptait pas la « piéger » en la forçant à avoir un rapport avec une verge, alors qu’elle s’amusait avec une autre. Et Arame savait bien que Limma n’aimait pas ça. C’était une démone vraiment très curieuse, fondée sur une série de paradoxes. Mélinda ne savait pas encore comment l’amener à dépasser sa peur des sexes masculins, et, pour l’heure, elle préférait donc l’occulter.

« Oh, tu n’as pas à avoir peur, Limma, glissa alors Mélinda. Arame est énergique, mais elle n’enfoncera rien dans ton corps. »

L’intéressée émit un léger sourire, et gifla à nouveau Sya.

« Même si... Hurmpff... Elle ne sait pas ce qu’elle rate... »

Sya était en train de lécher les seins de Limma, qui se retrouvait devant elle, tandis qu’Arame, dans son dos, avait ses mains posées sur ses hanches, enfonçant fermement son sexe dans son fondement. Elle avait clairement compris que les parois de Sya étaient très dilatées, ce qui rendait la sodomie facile, tout en restant agréable. Son sexe se frottait contre des parois légèrement visqueuses, signe qu’elle avait du avoir, dans la journée, une belle sodomie ici. Arame sourit.

« Ça, c’est ce que j’appelle un bon cul de salope » commenta-t-elle.

Mélinda ne pouvait qu’être d’accord. Elle ignorait qu’il existait des anges orientées vers un péché capital : la Luxure. Pour elle, c’était légèrement paradoxal, et elle se demandait ce que les Anges des Cieux en penseraient. Mais, après tout, le fait qu’on ne voit pas les ailes de Sya semblait signifier, pour Mélinda, qu’elle n’était pas une ange au sens classique du terme, mais plutôt une ange, dans la mesure où elle représentait une divinité quelconque. Arame donnait de puissants coups de reins, qui faisaient remuer le frêle corps de Sya. Elle était bien plus énergique que sa Maîtresse, mais, si Mélinda avait certes une constitution physique renforcée, du fait de ses capacités vampiriques, Arame, elle, était une sportive endurante. Une femme qui faisait du jogging chaque matin, que ce soit à Ashnard, ou dans le manoir de Mélinda sur Terre.

« Hum... Je pourrais te baiser pendant des heures, ma petite pute ! »

Difficile de dire jusqu'où ira ce petit show pour leur maîtresse Mélinda? Elles avaient débuté à deux et sous l'ordre de la belle vampire, n'importe qui était apte à venir les rejoindre sans pour autant aller au-delà de leur consigne. Limma refusait les pénis, soit, personne ne lui fera quoi que ce soit mais ça n'empêchait pas ses demoiselles de venir lécher son corps, le caresser, se frotter contre ce dernier si appétissant. Limma était vraiment mignonne après tout et avec Sya, elles formaient un duo de choc. Avec presque les mêmes idées et les mêmes goûts, la vampire pourrait se faire une grosse quantité d'argent pour une simple séance auprès d'une ange et d'une démone à la fois. Bien sur, c'était loin de l'idée de la grande démone à la forte poitrine et au caractère bien sadique avec l'ange toute timide dans son coin qui rougissait en montrant à peine son mollet à la vue des autres. C'était même le contraire. Limma était très docile et Sya était très libertine, pouvant facilement jouer les timides ou les dominantes avec les demandes des femmes. Son petit séjour comme hôtesse risquait d'attirer plus de monde pour Mélinda, pour sur! Continuant leur petit ébat, Sya léchait les petits seins de son élève, sa langue mouillée glissait sur sa peau, caressant son mamelon qui durcissait, sa peau douce. Il n'y avait que les coups de reins d'Arame qui la faisait bouger contre elle, glissant parfois sa langue bien plus haut tant la futa était énergique.

Pour seules réponses, Sya ne faisait que gémir, parfois elle gloussait ou tentait de pousser ses petits rires sans pour autant y arriver pleinement tant le plaisir la tourmentait. Limma laissait ses doigts dans sa bouche pour goutté le jus de sa tutrice et amie avant de reprendre son petit jeu en elle. Quelle chance, une futa dans son dos, une gentille servante devant elle, elle était bien entourée. Les doigts de son élève changeaient de volume, de grandeur, ha, sa spécialité! Si bien entourée, Sya commençait à se tordre de plaisir sous leur assaut, elle voulait plus de partenaires encore, servir de seul défouloir, sac à foutre dans une immense orgie féminine mais patience, ce sera bientôt le cas grâce à Mélinda. Rien ne l'empêchait d'avoir un petit échantillon maintenant? Quoi que non, toute seule, elle ne dit pas non. Mais risquer de choquer ou réveiller la démone en Limma à cause d'un sexe, hors de question. Elle refusait de faire du mal à une femme, quitte à faire ceinture sur ses envies, Sya ne fera aucun mal à une femme puis c'est tout! La joue plaqué sur la poitrine de son élève, elle laissait sa langue lécher le même mamelon si dur depuis tout à l'heure, remuant à cause d'Arame qui savait la prendre bien comme il faut, son pénis bien au chaud dans son antre, savourant cette chose qui lui procurait un bien fou. Ses gémissements de faisaient de plus en plus longs et excitant alors que Limma venait de toucher son point sensible et ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase! Sya se redressa en posant ses mains sur les épaules de son amie, ouvrant la bouche en grand, sa langue pendait alors qu'elle gémissait comme une vraie petite salope pour reprendre les propos d'Arame.

« HaaaaaAAAAAAAAAAaaaannnnnn... »

Essoufflée, elle venait embrasser Limma pour l'avoir fait jouir une première fois depuis longtemps entre elles. Malgré les coups de bassin dans son dos, le baiser avec Limma était toujours si délicieux, plus encore maintenant qu'elle avait joui une nouvelle fois grâce à la démone. Mais biee vite, son visage se crispa de plaisir alors qu'elle cessait de remuer sa langue dans sa petite bouche. La futa venait de déverser ses premières giclées en elle et ça faisait un bien fou! Elle en tremblait de joie contre son élève. Elle décolla sa bouche de la sienne avant de jeter un regard en arrière vers Arame.

« Il est temps de passer à la suite~ Limma, met toi à genoux s'il te plaît. »

Les cheveux de l'Ange redevenaient vivants, bougeant lentement autour d'elle, ils grimpaient vers Limma pour former une sorte de bandeau autour de ses yeux pour lui cacher la vue du sexe de la futa ou des prochaines filles qui viendront vers elles – ou profiteraient juste du spectacle en se masturbant – et elle s'allongea sur le sol, plaçant sa bouche juste en dessous de Limma. Ses cheveux caressaient le dos de son élève en ondulant, ils étaient comme une plante sur un mur, grimpant toujours plus haut pour cacher la vue de la concernée. Avant de s'occuper de Limma qui n'avait pas encore joui – la pauvre – l'Ange écartait les jambes en posant les pieds bien à plat par terre, ses genoux remonter, elle laissait son vagin bien en offre à Arame ou n'importe quelle esclave qui voudrait venir jouer avec elle? Il ne faudrait pas négliger non plus Limma, la pauvre n'avait que Sya pour le moment de partenaire. Mais avec la vue bloquée, ça faisait un bon petit jeu sexuel pour elle. Bien sur, toujours cette interdiction d'en profiter pour jouer avec sa barre de chair, ça, c'était pour Sya! Mais les doigts, les langues ou autres pouvaient très bien se promener sur le corps de son élève! Avant qu'Arame ou autres ne vienne prendre Sya, elle leva la tête pour lécher les lèvres intimes de Limma, l'orgasme était pour bientôt!

Les trois filles devant elle se faisaient langoureusement plaisir, offrant à Mélinda un fascinant spectacle. Oh, elle ne se plaignait pas, et elle ne pouvait pas se plaindre. Une Ange perverse et une démone timide... Comme quoi, la Nature aimait bien les paradoxes, et celui-ci, pour le coup, en était un bon ! Dans le dos des femmes, Arame perforait les fesses de Sya, tandis que Limma, nerveuse, se détendait progressivement. Mélinda, bien sûr, savait que Limma avait peur des sexes masculins, et, s’il n’y avait pas eu une démone avec elle, une démone sadique et anthropophage, il y a bien longtemps que la vampire aurait contraint Limma à un coït avec un sexe masculin, certainement le sien. Cependant, la présence de Xia contraignait Mélinda à plus de retenue. Chaque fois par semaine, Mélinda conduisait Limma dans les prisons ashnardiennes. Ayant de l’influence auprès des autorités ashnardiennes, elle obtenait chaque semaine un prisonnier, ce qui n’était pas très difficile à trouver, tant les prisons impériales en regorgeaient. Le prisonnier était conduit dans une sorte de salle de torture, où on le libérait, avant que Xia ne le dévore. Et, à chaque fois, elle s’acharnait sur le sexe de l’homme, le déchiquetant, l’épluchant, l’avalant entièrement, comme pour envoyer, à Mélinda, un message subliminal : ne commets pas l’erreur de m’en mettre un sous le nez. Un message limpide et particulièrement explicite, qui plaçait Mélinda dans une impasse. A chaque fois qu’elle avait tenté d’aborder le sujet, elle avait senti le contrôle de Limma s’effacer, la rage de Xia menaçant de refaire surface. La vampire ne désespérait pas, mais il y aurait encore du chemin.

Pour l’heure, les deux petites se faisaient plaisir, et Arame aussi. Donnant des claques sur les fesses douces et pures de Sya, elle ne tarda pas à se vider en elle, poussant de longs soupirs de plaisir, tout son corps musclé se contractant, avant d’expulser des giclées de sperme qui s’enfoncèrent dans le corps chaud de l’Ange. De la sueur coulait le long du front de la femme, signe d’une activité physique intense, mais elle était loin d’avoir eu son compte. Arame était une sportive, après tout, et il ne fallait pas oublier ce détail. Elle retira son sexe trempé du derrière de Sya, qui eut à son tour un orgasme, puis changea de position. Mélinda la vit s’allonger sous le corps de Limma, tandis que plusieurs de ses mèches de cheveux s’allongèrent, devenant des espèces de tentacules bleuâtres qui s’enroulèrent autour des yeux de Limma, obstruant sa vue. Tout le corps de Sya était visible, nu, s’offrant à Arame, qui esquissa un léger sourire.

« C’est trop d’honneur... »

Arame tenait son sexe, et se masturbait un peu. Elle frotta ses doigts, recueillant le dépôt de mouille, puis suça ses doigts. Arame se pencha ensuite vers Sya, et l’attrapa par les cuisses, soulevant ses jambes, afin d’avoir accès à son intimité. Elle y enfonça son sexe, donnant un grand coup de bassin pour y accéder. Limma, quant à elle, avait la bouche accessible. Il aurait été tentant d’y fourrer un sexe, mais Mélinda préféra se déplacer. Elle se mit à genoux, devant les jeunes femmes, et embrassa Limma, fourrant sa langue dans sa bouche, savourant cette dernière.

« Hum... Tu n’as pas à t’inquiéter, Limma... Il ne t’arrivera jamais rien de mal avec moi, ma belle... » lui promit la vampire, tout en glissant une main sur l’un de ses seins, le pressant tendrement, en insistant sur le téton.

Sya était aux anges! Entouré de femmes, de futanari, de belles copines ou maîtresses et avec son élève en plus! Décidément, il ne manquait qu'Iinari pour être entourée d'esclaves et de grosses perverses! Sinon, si Saikai aurait plus tendance à ressembler à sa jumelle, elle aurait aimé être avec elle aussi. Mais installé ici ses deux nékos d'amour risquaient de lui faire oublier ses devoirs d'esclave à un moment ou à un autre. L'amour rend fou, fou au point d'en oublier ses devoirs! C'est possible! Mais pour le moment, même s'il y avait des nekos, ce n'était aucune neko qu'elle pouvait connaître. Allongée sur le sol, les jambes écartées, elle accueillait de nouveau et avec joie le pénis d'Arama qui appréciait son cadeau, quoi de mieux pour une esclave que savoir les autres content grâce à elle! Et pour son élève, un petit cunnilingus! Le nez entre ses fesses, sa langue entre les jambes, elle s'en donnait à cœur joie de pouvoir lécher sa petite mouille qui coulait de sa fente pour mieux nourrir sa maîtresse. Rajoutons à cela une autre maîtresse qui lui donnait du plaisir et Sya avait tout pour être heureuse. Enfin, presque tout. Perverse comme pas deux, elle aurait aimé voir toutes ses femmes, ses futas se bousculer pour profiter d'elle de tant de manière, n'avoir pas une seconde de répit mais c'était beaucoup trop demander. Avec de la magie rose, ça serait facile. Mais Sya refusait de forcer les autres femmes, elles étaient libres de lui obéir ou non. Après tout, qui était la maîtresse ici? Et l'esclave? Donc, elle n'avait pas offert ses services à Mélinda pour mieux profiter d'elle et ses esclaves.

Arame n'y allait pas de mainmorte en bousculant Sya à chaque coup de rein mais ça ne la dérangeait pas. Qu'on soit douce ou brutale, elle s'adaptait à ses partenaires pour leur plus grand plaisir. Mais pour le coup, ce fut Limma qui lui avait fait plaisir en sentant son jus intime couler dans sa bouche comme sur son corps. Être arrosé de cyprine, quel délice! C'est aussi bon comme ça que le revoir sur le visage, fille ou futa. Lust pouvait être fière de ce qu'elle avait fait à son Ange personnel, elle et ses servantes car elle n'oublie en rien ses sœurs qui l'ont formée jour et nuit pour devenir celle qu'elle était aujourd'hui, Sya. L'ange ne pouvait pas dire grand-chose à part gémir pendant que la petite démone était sur elle mais des gémissements parlent mieux que des mots dans ce genre de cas. Pour s'occuper de son élève, il n'y avait pas une des esclaves du harem, non, il y avait Mélinda! Quelle chance! La belle vampire se tenait près d'elle, embrassant Limma et caressant son corps si doux. Ha, elle aussi aimerait bien en profiter avec sa Maîtresse. Mais elle avait déjà eu Mélinda un certain moment ce matin alors autant partagé, surtout que beaucoup de filles ici avaient besoin des services angéliques de Sya. Tendre partenaire, maîtresse vulgaire, esclave enchainée, esclave perverse, timide, Sya pouvait avoir n'importe quel rôle pour satisfaire tant de ravissante créature. Inutile de dire que la vampire voulait elle aussi profiter de l'intimité ou la bouche – ou même son petit trou arrière – avec son pénis mais promis, Sya tentera de régler ce problème quand elle aura un instant de libre avec Limma, seule.

Plutôt que laisser sa partenaire la maintenir, Sya enroula ses jambes autour de la taille d'Arame, ainsi, elle pourra mieux la prendre sans avoir à la tenir! Elle se chargeait de tout! EN plus, elle pourra sentir sa verge venir au plus profond de son antre, voilà que le programme va être intéressant! Mais pour ne pas oublier Limma et Mélinda, elle laissait sa main caresser la cuisse de son adorable démone et une autre sur sa fesse de Mélinda, sans pour autant la caresser car après tout, est-ce qu'elle avait le droit? Si Mélinda lui demande de la retirer, d'accord, si elle ne dit rien, elle pourra tâter de sa jolie fesse tendre et moelleuse!

Sya était dans une curieuse position. Tout son corps était relevé à hauteur du bassin, afin d’accepter la présence imposante du membre d’Arame, qui la défonçait avec une certaine vigueur. Après déjà éjaculé une fois ne semblait nullement restreindre le désir d’Arame, qui continuait à la prendre, à la baiser, à la défoncer. C’était un spectacle particulièrement riche, comme à chaque fois. Arame s’y mettait toujours avec passion, au point de vous exploser douloureusement la chatte. Mélinda adorait se faire sodomiser par elle. Arame était violente, passionnée, et se faire prendre dans le fondement par elle, c’était divin. Pour l’heure, elle se défoulait sur Sya, qui finit par enrouler ses jambes autour du bassin de sa partenaire. Arame laissa pour autant ses mains sur les jambes de Sya, continuant à donner des coups de reins, ainsi que quelques légères claques, tout en soupirant et en grognant. Elle aimait ça, et ça se sentait. Mélinda percevait les vibrations des pénétrations fortes de la femme en embrassant Limma.

Elle avait décidé d’intervenir en personne pour calmer Limma, sachant très bien que la jeune femme avait tendance à paniquer dès qu’un sexe masculin s’approchait d’elle. Pour le coup, il y eut comme un baiser magique, car, quand Mélinda vint embrasser Limma, elle sentit le sang de cette dernière exploser à hauteur de son entrejambes, amenant la jeune femme à jouir... Autant dire que ça ne dérangeait pas vraiment Mélinda, qui en fut plutôt amusée. Assise sur ses genoux, elle l’embrassait tendrement, fourrant sa langue dans la bouche de la jeune fille. Une main était posée sur sa nuque, la serrant, et une autre caressait délicatement l’un de ses seins, avant de glisser sur la hanche de Limma, pour se poser sur l’une de ses fesses, la pressant tendrement. Limma avait, comme pour le reste de son corps, un joli petit cul. Il était donc normal que Mélinda s’y intéresse. Yeux clos, elle se concentrait presque exclusivement à son baiser, qui dura un certain temps... Jusqu’à ce que Limma rompe le baiser pour lui faire un câlin très affectueux. Mélinda sentit quelque chose bondir dans son cœur, comme une sorte de tressautement, de frisson électrique, avant de cligner les yeux, surprise... Limma se blottissait contre elle, se lovait contre ses seins, dans un câlin qui, pour le coup, tenait clairement plus de l’affect que du sexe. Mélinda en fut un peu surprise, car ce câlin était très inattendu.

Réalisant probablement que ce câlin était inattendu, Limma se rétracta d’un bloc, se mettant à rougir, et s’excusa. Mélinda se mit alors à sourire, un léger et doux sourire, et glissa sa main sous le menton de Limma, l’amenant à lentement relever son visage.

« Moi, je sais ce qui t’a pris, ma belle... » glissa alors Mélinda.

Elle était habituée aux gestes d’affection de la part de ses esclaves, notamment celles qui étaient nées, et avaient grandi, au harem. Elles voyaient naturellement Mélinda, non pas comme une Maîtresse, mais comme une espèce de mère, une mère avec laquelle elles avaient une relation fusionnelle, mais qui les avaient éduquées et protégées. La différence, c’était qu’elle n’avait pas éduqué Limma, et qu’elle voyait toujours en elle Xia la démone... Et un démon se familiarisait difficilement avec les autres. A dire vrai, Mélinda n’avait d’ailleurs aucun esclave de démon étant un jour tombé amoureux, ou ayant un jour fait confiance à quelqu’un d’autre qu’à lui-même.

« ...Et tu n’as pas à t’excuser de m’aimer, Limma, rajouta Mélinda. Après tout, c’est précisément le genre de relations que je souhaite entretenir avec mes petites protégées, non ? »

La question n’appelait pas vraiment à une réponse. La vampire avait beau être une esclavagiste sadique et perverse, elle n’était pas une tortionnaire, ni une femme qui suppliciait ses protégées. Elle les traitait avec le respect, de ce respect qui vous amenait à vous sentir redevables, à vous sentir dans le besoin. La manipulation était tout un art, et ceux qui le réduisaient à la peur étaient des imbéciles patentés... Ce que Mélinda estimait évidemment ne pas être.

Pour Sya, on ne pouvait pas dire que ça bougeait beaucoup, enfin, le bas de son corps remuait bien mais c'est tout. Elle était accrochée à Arame qui savait lui faire plaisir comme beaucoup d'autres femmes avant elle. Puis elle était aussi bloquée entre les jambes de son élève esclave, elle avait tout pour être heureuse. Son entrejambe était offert à une futa et sa langue s'occupait de lécher la cyprine de son unique élève. Il ne restait plus que sa maîtresse et autres camarades à prendre du plaisir sur ce petit ébat et elle sera heureuse de plaire avec Limma et Arame à tant de femmes. Elle écoutait attentivement les paroles entre Mélinda et Limma, elle trouvait cela mignon. Limma serait amoureuse de leur maîtresse? Sya avait parfois connu cela, elle aimait Lust après tout en plus de ses nekos. Mais bon, Lust était sa vie, sans elle, elle ne serait pas Sya et n'aurait jamais rencontré Iinari et Saikai donc c'est compréhensible qu'elle aime tant sa déesse. Mais Limma était amoureuse, elle ne pouvait que l'encourager dans cette voie. C'est sur qu'une vampire, directrice d'un harem avec tant d'amantes, ça serait bizarre mais pourquoi pas? Sur ses deux petites amies, Sya en avait une qui était comme elle, une véritable nymphomane qui couchait avec tout ce qui lui passait sous la main alors il y avait pas beaucoup de différences avec Mélinda. La queue surement? Mais si elle aime vraiment la vampire, elle saura aimer aussi cette partie d'elle. Que ce soit toute seule ou avec de l'aide, sa tutrice sera fière de lui montrer la marche à suivre pour son amour.

Sa main continuait de caresser la cuisse de son élève, une cuisse douce, tout son corps était aussi doux que celui d'un bébé. Elle pourrait s'endormir auprès d'elle en caressant sa peau, ça serait si doux. De l'autre côté, elle continuait de caresser la jambe de Mélinda, remontant doucement vers sa fesse, puisqu'il n'y avait aucun mot, aucune remarque physique sur ce qu'elle faisait, elle continuait à la caresser et elle ne tardait pas à sentir entre quelques coups de reins de sa partenaire une seconde main la caresser. Limma? Oui, sa main était plus petite que celle de leur Maîtresse. Elle y joignait ses doigts dans sa main et ensemble elles caressaient leur propriétaire. Et l'idée de la petite démone eut de quoi faire gémir Sya pour dire qu'elle aimerait bien elle aussi jouer avec elles. Difficile de dire cela dans un gémissement mais vu son intonation, elle était d'accord! Mais elle ne voulait pas quitter Arame non plus, il faudrait juste trouver une position plus adapter pour que Sya et Limma profitent de leur maîtresse et que la futa profite du petit cul de Sya, ou de continuer à visiter son entrejambe, libre à elle de choisir! Elle pouvait très bien rester ainsi et continuer de la caresser mais ce n'était pas très passionnant, n'est-ce pas?

Les coups de langue de l'Ange se faisaient de plus en plus présents suite à cette proposition, continuaient de lécher son élève, que ce soit ses lèvres ou à l'intérieur, la prêtresse de Lust continuait de lécher et se nourrir du jus intime de Limma. Ce n'est pas ça qui allait la dégouter. Elle avait passé des nuits et des nuits à avaler la cyprine d'Iinari pour se nourrir comme elle alors celle de Limma n'avait aucune différence, un goût délicieux! De plus, elle avait aussi bien gouter et avaler la semence de la vampire ce matin, et tout cela n'était qu'un petit bout de ses capacités, elle était capable de bien plus! Pour Arame, elle tentait de remuer un peu son bassin pour lui faire sentir de meilleures sensations, laisser son membre se loger bien au fond de utérus si elle le voulait. Elle était sa chose, elle était aussi la chose de Mélinda et de tout le monde. Sauf Limma, la démone était sa chose à elle pour le moment.

L’amour... Un bien curieux sentiment, du point de vue de Mélinda. Beaucoup de gens affirmaient que celui qui n’avait jamais connu l’amour en étant enfant serait incapable de le connaître par la suite. C’était un point de vue implicitement partagé par bien des gens, et qui amenait toujours à ne pas être surpris quand on apprenait que tel ou tel forcené ayant commis un acte inimaginable n’avait pas eu une bonne enfance. Et Mélinda, a priori, ne semblait pas faire exception. Dans sa jeunesse, elle n’avait jamais connu l’amour. Elle avait tué sa mère en naissant au monde, et son père, voyant en Mélinda une tueuse, la femme qui lui avait ravi sa bien-aimée, avait déferlé toute sa frustration sur elle. Elle avait été torturée, humiliée, et brisée, avant d’être vendue comme esclave à des Mijakiens, qui l’avaient transformé en vampire. Comment quelque chose qu’on a jamais connu peut vous manquer ? Voilà une question intéressante. La logique, en théorie, amènerait à considérer que l’amour est quelque chose dont Mélinda n’a pas besoin, mais, si l’être humain était logique, le monde ne serait peuplé que d’ordinateurs et de machines, et chacun raisonnerait sur la base d’algorithmes. Mélinda était pourtant une femme qui avait besoin de l’amour, et la manière dont elle traitait ses esclaves en témoignait. Paradoxalement, si elle avait connu l’amour de ses parents, il était probable qu’elle aurait été une esclavagiste bien plus cruelle, car elle n’aurait pas eu aussi besoin que ça d’amour. Elle entretenait ainsi une relation ambivalente avec ses esclaves, fondée sur l’obéissance, la souffrance, mais aussi sur une sorte d’amour filial intense. Elle n’appelait pas ses esclaves « filles » pour rien. Le câlin spontané de Limma, ainsi que sa gêne, témoignaient d’une chose simple : Limma commençait à ressentir ça... Cette attirance pour sa Maîtresse, une attirance qui n’était plus désormais fondée que sur la nécessité, ou sur la peur, mais sur autre chose... Il était normal qu’elle en soit perturbée, car Limma n’avait jamais vraiment connu l’amour. Elle avait été dressée par des esclavagistes sévères et sans scrupules, et était un mélange entre une sorte d’esclave informatique et une démone. Elle avait été programmée et formatée pour être une esclave parfaite et servile, jusqu’à ce qu’une démone rentre en fusion avec son esprit.

Mélinda replongeait dans ses pensées, avant de sentir des mains explorer ses fesses. Sya, pour commencer, puis Limma. La vampire sursauta légèrement en soupirant, comprenant que ses deux chéries voulaient lui faire plaisir. Limma et Sya joignirent leur main, chacune essayant de lui faire plaisir. Mélinda soupira, et glissa ses mains le long des hanches de Limma, frottant sa belle peau douce, avant de gémir.

« Oh oui, Limma...”

La vampire remontant l’une de ses mains pour caresser les cheveux de Limma, à hauteur de sa joue et de son oreille, glissant au passage sur les cheveux de Sya, qui faisaient office de bandeau. Les griffes de Mélinda titillèrent légèrement la peau de Limma, et, avec son autre main, elle vint, à son tour, jouer avec le petit cul de Limma. Sya s’occupait de l’intimité de la démone, et Mélinda choisit donc d’enfoncer un doigt dans sa croupe, le glissant dans son fondement, en le remuant de haut en bas, tout en allant embrasser Limma dans le cou, mordillant très légèrement sa peau. Elle remonta vers son oreille, et la lécha tendrement, pendant quelques secondes, sentant de nombreux frissons la traverser.

« Ta Maîtresse ne sera jamais contre l’idée de recevoir du plaisir de la part de ses petites protégées... »

Elle retourna ensuite poser ses lèvres sur son cou, et embrassa cette partie de sa peau. Ses filles, à force, finissaient par la connaître, et par savoir que la sodomie était un petit plaisir de Mélinda. Ce plaisir trouvait essentiellement son origine dans son passé. Ses fesses avaient été la première chose que son père et son frère avaient maltraité, son frère la sodomisant violemment. Elle en avait eu le cul en sang, et n’arrivait même plus à se redresser, tant elle était cassée. Elle avait pleuré bien des fois, dans sa cellule, avec un collier en fer autour du cou, qui lui lacérait la peau, avant qu’on ne lui jette de la nourriture sur le visage, comme une chienne. Quand elle avait repris le pouvoir, et qu’elle avait tué son père, puis enfermé son frère dans cette cellule où elle avait grandi, le torturant pendant des années, elle avait affronté ses vieux démons, et s’était forcée à accepter la sodomie. En un sens, elle comprenait donc les hésitations de Limma, car elle les avait elle-même éprouvés jadis.

Mélinda fit pointer ses canines, n’arrivant plus à résister à la tentation, et, tout en sodomisant Limma, elle planta ses dents dans sa peau, commençant à aspirer son sang, prenant de petites gorgées.

Arame, quant à elle, jouit dans le vagin de Sya, donnant de grands coups, ainsi que d’énormes soupirs de plaisir. Elle relâcha le corps de la femme, un filet de sperme reliant encore son sexe à celui de l’Ange. Elle poussa un léger soupir de plaisir.

« Baiser cette salope, c’est magnifique ! » commenta Arame, en plaquant ses cheveux en arrière.

Son sexe masculin disparut dans son corps, et elle s’assit à son tour sur Sya, posant ses mains sur les hanches de Limma, puis embrassa l’intéressée dans le dos, tout en décalant l’une de ses mains pour caresser l’une des fesses de Limma.

« Nous, on aime bien les belles fesses... » lui souffla-t-elle dans le creux de l’oreille.