Re: Odieux chantage [PV Suki Tetsuhiko]
Posté : 01 sept. 2024 18:57
Les deux Celkhanes pouvaient au moins avoir le mérite d’avoir largement rehaussé aux yeux de Mélinda ses impressions sur cet archipel volant. Honnêtement, avant cette soirée, elle voyait en Caelestis une espèce de paradis d’illuminées lesbiennes frigides idéalistes. Maintenant qu’elle avait vu en chair et en os deux échantillons de ce peuple, elle pouvait voir qu’elles étaient loin d’être frigides, et bien loin de ressembler à de ferventes femmes luttant contre l’esclavage. A dire vrai, le contact des hommes semblait plus les répugner que celui des esclavagistes. Des femmes curieuses...
Elles avaient réussi à épuiser Mélinda. Pourtant, Suki en voulait encore, et tenta de faire une double fellation, tandis que Mélinda embrassa Kairi, la prenant entre ses bras. Elle lui titilla les seins, les palpant en lui souriant. Mélinda offrit au bout de plusieurs minutes à Suki la dernière jouissance de sa soirée, et cette dernière alla ensuite se reporter sur Kairi. La subordonnée de Suki ne tarda pas également à jouir, et ce fut dans cette chaude absence que les deux Celkhanes furent conduites au milieu du lit trempé. Mélinda les amena à s’allonger l’une contre l’autre, et les embrassa dans le cou, caressant leurs épaules avec tendresse.
« Mes petites chéries... Reposez-vous bien, dormez paisiblement, vous avez été formidables... les complimentait-elle en les embrassant. Rassurez-vous, je ne viendrais pas troubler votre sommeil. Restez entre Celkhanes... »
Mélinda ne dit pas grand-chose, se retenant de leur dire que cette nuit-là resterait marquée dans leurs mémoires, et que, même si elles se diraient ensuite qu’elles n’avaient jamais fait aussi follement l’amour avec une esclavagiste, la vampire serait là pour le leur rappeler. Elle les embrassa encore un peu, grattant leurs dos, jusqu’à ce que les deux femmes commencent, épuisées, à fermer leurs yeux. Mélinda continua à leur offrir de tendres baisers, veillant avec une tendresse insoupçonnée sur elles, puis se redressa. Trop trempée pour porter des vêtements, elle se contenta tout de même d’une longue robe ample et transparente, avec une culotte, n’ayant pas envie de paraître nue devant ses hommes.
Elle éteignit les lumières en sortant dans le salon. Ses hommes étaient assis, observant une télé à écran plat géante contre le mur, et elle comprit que ces derniers s’étaient soulagés.
« L’enregistrement a bien fonctionné, à ce que je vois...
- Tout à fait, Maîtresse, confirma une voix derrière elle. Comme vous pouvez... Le constater, vos hommes ont particulièrement apprécié la vidéo. Il nous faut encore synchroniser le montage avec les différents plans des caméras, et la vidéo sera prête.
- Allons donc faire ça... »
La surprise de Mélinda était tout simplement une sorte de souvenir : un DVD qui contiendrait leurs ébats. La chambre à coucher comprenait en effet de discrètes caméras dispersées dans le coin, qui avaient filmé l’intégralité de la scène, la retransmettant dans le salon. Mélinda se rendit dans la salle où elle avait kidnappé Kairi, la torturant légèrement, et travailla à faire un film complet. Elle était sûre que, si elle le diffusait sur le Net uatéen, il ferait des merveilles. Mais elle ne comptait pas le faire... Elle se contenta de laisser une copie dans le salon, avec un petit mot écrit par ses soins :
Mélinda était ensuite partie de l’appartement, ne laissant rien derrière elle. Rien, sauf la vidéo, son mot, et une carte indiquant jusqu’à quand la réservation se terminait. Elle partit avec ses hommes, quittant cette chambre pour quitter Uatis, et revenir à Mijak. Mélinda aura fait chou blanc. Elle n’aura pas eu d’esclaves, mais elle aura eu, dans le fond, bien mieux.
Deux belles Celkhanes qui seront disponibles à chaque fois que Mélinda le désirera, si elles ne voulaient pas que tout un chacun apprenne que deux Celkhanes avaient fait l’amour comme des folles à une esclavagiste en l’appelant « Maîtresse ».
*A bien y réfléchir, c’est un bilan qui est plutôt positif !*
Elles avaient réussi à épuiser Mélinda. Pourtant, Suki en voulait encore, et tenta de faire une double fellation, tandis que Mélinda embrassa Kairi, la prenant entre ses bras. Elle lui titilla les seins, les palpant en lui souriant. Mélinda offrit au bout de plusieurs minutes à Suki la dernière jouissance de sa soirée, et cette dernière alla ensuite se reporter sur Kairi. La subordonnée de Suki ne tarda pas également à jouir, et ce fut dans cette chaude absence que les deux Celkhanes furent conduites au milieu du lit trempé. Mélinda les amena à s’allonger l’une contre l’autre, et les embrassa dans le cou, caressant leurs épaules avec tendresse.
« Mes petites chéries... Reposez-vous bien, dormez paisiblement, vous avez été formidables... les complimentait-elle en les embrassant. Rassurez-vous, je ne viendrais pas troubler votre sommeil. Restez entre Celkhanes... »
Mélinda ne dit pas grand-chose, se retenant de leur dire que cette nuit-là resterait marquée dans leurs mémoires, et que, même si elles se diraient ensuite qu’elles n’avaient jamais fait aussi follement l’amour avec une esclavagiste, la vampire serait là pour le leur rappeler. Elle les embrassa encore un peu, grattant leurs dos, jusqu’à ce que les deux femmes commencent, épuisées, à fermer leurs yeux. Mélinda continua à leur offrir de tendres baisers, veillant avec une tendresse insoupçonnée sur elles, puis se redressa. Trop trempée pour porter des vêtements, elle se contenta tout de même d’une longue robe ample et transparente, avec une culotte, n’ayant pas envie de paraître nue devant ses hommes.
Elle éteignit les lumières en sortant dans le salon. Ses hommes étaient assis, observant une télé à écran plat géante contre le mur, et elle comprit que ces derniers s’étaient soulagés.
« L’enregistrement a bien fonctionné, à ce que je vois...
- Tout à fait, Maîtresse, confirma une voix derrière elle. Comme vous pouvez... Le constater, vos hommes ont particulièrement apprécié la vidéo. Il nous faut encore synchroniser le montage avec les différents plans des caméras, et la vidéo sera prête.
- Allons donc faire ça... »
La surprise de Mélinda était tout simplement une sorte de souvenir : un DVD qui contiendrait leurs ébats. La chambre à coucher comprenait en effet de discrètes caméras dispersées dans le coin, qui avaient filmé l’intégralité de la scène, la retransmettant dans le salon. Mélinda se rendit dans la salle où elle avait kidnappé Kairi, la torturant légèrement, et travailla à faire un film complet. Elle était sûre que, si elle le diffusait sur le Net uatéen, il ferait des merveilles. Mais elle ne comptait pas le faire... Elle se contenta de laisser une copie dans le salon, avec un petit mot écrit par ses soins :
« Chères Celkhanes,
J’espère que vous avez passé une reposante nuit ! Comme vous le voyez, je me suis permise de vous offrir un petit-déjeuner et cette chambre. Il est inutile de faire des fouilles, tout ce qui est compromettant pour moi est dans mes bagages.
Pour vous remercier de votre hospitalité, je vous ai laissé une copie d’un film qui devrait vous plaire. Lorsque je reviendrais à Uatis, je tiens à pouvoir à nouveau profiter de vos corps. Autrement, c’est tout Uatis qui profitera de la vue de votre plastique.
A bientôt ♥ ! »
J’espère que vous avez passé une reposante nuit ! Comme vous le voyez, je me suis permise de vous offrir un petit-déjeuner et cette chambre. Il est inutile de faire des fouilles, tout ce qui est compromettant pour moi est dans mes bagages.
Pour vous remercier de votre hospitalité, je vous ai laissé une copie d’un film qui devrait vous plaire. Lorsque je reviendrais à Uatis, je tiens à pouvoir à nouveau profiter de vos corps. Autrement, c’est tout Uatis qui profitera de la vue de votre plastique.
A bientôt ♥ ! »
Mélinda était ensuite partie de l’appartement, ne laissant rien derrière elle. Rien, sauf la vidéo, son mot, et une carte indiquant jusqu’à quand la réservation se terminait. Elle partit avec ses hommes, quittant cette chambre pour quitter Uatis, et revenir à Mijak. Mélinda aura fait chou blanc. Elle n’aura pas eu d’esclaves, mais elle aura eu, dans le fond, bien mieux.
Deux belles Celkhanes qui seront disponibles à chaque fois que Mélinda le désirera, si elles ne voulaient pas que tout un chacun apprenne que deux Celkhanes avaient fait l’amour comme des folles à une esclavagiste en l’appelant « Maîtresse ».
*A bien y réfléchir, c’est un bilan qui est plutôt positif !*