Re: L'étrange soirée d'Harigato-senseï [Nanami Seikyo]
Posté : 13 sept. 2024 15:28
Plusieurs jours après...
« Nanami, j’aimerai te parler à la fin du cours. »
Ça y est, elle l’avait dit. Elle avait réussi à le dire sans faillir, et avec un ton suffisamment professionnel pour que les quelques élèves l’ayant entendu à la rentrée des cours ne puisse pas relever plus que ça. Comme elle l’avait promise, pour ce prochain cours, qui avait lieu quelques jours après l’autre, Nanami avait enfilé un uniforme d’écolière, qui lui allait bien... Mais pas autant que ses tenues blanches de bad girl. Enfin, la tenue d’écolière lui donnait un air sérieux, un peu gothique avec ses longs cheveux, mais ce n’était pas vraiment comme ça qu’Hikari visualisait Nanami. Néanmoins, outre cela, elle était ravie de voir que la femme avait accepté sa promesse, et qu’elle s’était habillée ainsi.
Plusieurs jours s’étaient passés depuis leur séance commune, et, quand Hikari était rentrée chez elle le soir, elle n’avait pas dormir de la nuit. Dans l’intimité de son appartement, elle pouvait volontiers l’admettre. Ce moment... Oh... Elle avait adoré ça. Elle avait honte d’admettre qu’on puisse éprouver du plaisir à l’idée de coucher avec une élève, mais c’était pourtant bien le cas. Du début à la fin, elle avait adoré chaque instant de cette séance, chaque seconde, et, quand Nanami l’avait laissé, Hikari était encore dans un état où elle peinait à croire à tout ce qui venait de lui arriver.
Et, maintenant, elle était à nouveau face à Nanami, à laquelle elle n’avait cessé de penser toute la semaine, redoutant et anticipant cette rencontre. Nanami l’avait ignoré pendant ces quelques jours, une ignorance terrible, car, chaque nuit, Hikari se masturbait en pensant à elle, et, même hier, elle avait mouillé en plein cours, et avait profité de le pause pour se soulager de nouveau dans les toilettes, espérant presque tomber sur la belle Hikari. Au lieu de ça, il n’y avait rien eu, et, maintenant, Hikari était là, face à elle. Dans ses rêves, elle s’imaginait lui faire l’amour, mais les rêves devenaient de plus en plus osés, dans lesquelles Maki n’hésitait pas à les rejoindre, et où elle devenait l’esclave de Nanami.
*Comme un ensorcèlement...*
Elle voulait revoir Nanami.
Elle voulait l’ignorer.
Elle voulait de nouveau faire l’amour avec elle.
Elle voulait la rejeter et la sanctionner.
Elle était perdue.
Et, alors que le cours approchait, elle avait pris la décision d’en parler à Nanami, et de trouver une solution. Hikari ne pouvait pas faire son métier comme ça, en songeant à Nanami, et en devenant de plus en plus perverse. Ce n’était pas sain, ce n’était pas ainsi qu’une professeur des écoles devait se comporter. Hikari était le stéréotype de la femme japonaise, coincée, timide, qui se dévouait à fond pour son boulot, faute d’avoir trouvé un mari. Elle luttait contre ces visions passéistes de la femme japonaise, dont le rôle sociétal était de trouver le meilleur parti, ce qui faisait qu’elle avait toujours été très indépendante, sous-estimant les pulsions de son corps, ce désir sexuel... Un désir que Nanami avait réveillé, et il agissait maintenant comme l’éruption d’un volcan, la consumant.
Pendant tout le cours, elle ne cessait de regarder Nanami, observant ses lèvres, son corps, ayant la furieuse impression que cette dernière la narguait, mettait en avant sa poitrine, ou pensait à elle. Le cours finit par se terminer, fort heureusement, et Nanami resta donc seule avec Hikari.
Les joues légèrement rouges, cette dernière veilla à fermer la porte, et se retourna vers elle, debout, en se mordillant vers elle.
« Nanami, je... »
Et soudain, toute sa résolution chancela. Tout explosa en elle, comme si une bombe venait d’exploser dans son estomac. Elle finit à genoux, et attrapa l’une des mains de Nanami, venant l’embrasser.
« Je t’aime, Nanami, je... Je veux encore te faire l’amour, je veux que tu me fasses à nouveau du plaisir, comme tu l’as fait la dernière fois ! »
« Nanami, j’aimerai te parler à la fin du cours. »
Ça y est, elle l’avait dit. Elle avait réussi à le dire sans faillir, et avec un ton suffisamment professionnel pour que les quelques élèves l’ayant entendu à la rentrée des cours ne puisse pas relever plus que ça. Comme elle l’avait promise, pour ce prochain cours, qui avait lieu quelques jours après l’autre, Nanami avait enfilé un uniforme d’écolière, qui lui allait bien... Mais pas autant que ses tenues blanches de bad girl. Enfin, la tenue d’écolière lui donnait un air sérieux, un peu gothique avec ses longs cheveux, mais ce n’était pas vraiment comme ça qu’Hikari visualisait Nanami. Néanmoins, outre cela, elle était ravie de voir que la femme avait accepté sa promesse, et qu’elle s’était habillée ainsi.
Plusieurs jours s’étaient passés depuis leur séance commune, et, quand Hikari était rentrée chez elle le soir, elle n’avait pas dormir de la nuit. Dans l’intimité de son appartement, elle pouvait volontiers l’admettre. Ce moment... Oh... Elle avait adoré ça. Elle avait honte d’admettre qu’on puisse éprouver du plaisir à l’idée de coucher avec une élève, mais c’était pourtant bien le cas. Du début à la fin, elle avait adoré chaque instant de cette séance, chaque seconde, et, quand Nanami l’avait laissé, Hikari était encore dans un état où elle peinait à croire à tout ce qui venait de lui arriver.
Et, maintenant, elle était à nouveau face à Nanami, à laquelle elle n’avait cessé de penser toute la semaine, redoutant et anticipant cette rencontre. Nanami l’avait ignoré pendant ces quelques jours, une ignorance terrible, car, chaque nuit, Hikari se masturbait en pensant à elle, et, même hier, elle avait mouillé en plein cours, et avait profité de le pause pour se soulager de nouveau dans les toilettes, espérant presque tomber sur la belle Hikari. Au lieu de ça, il n’y avait rien eu, et, maintenant, Hikari était là, face à elle. Dans ses rêves, elle s’imaginait lui faire l’amour, mais les rêves devenaient de plus en plus osés, dans lesquelles Maki n’hésitait pas à les rejoindre, et où elle devenait l’esclave de Nanami.
*Comme un ensorcèlement...*
Elle voulait revoir Nanami.
Elle voulait l’ignorer.
Elle voulait de nouveau faire l’amour avec elle.
Elle voulait la rejeter et la sanctionner.
Elle était perdue.
Et, alors que le cours approchait, elle avait pris la décision d’en parler à Nanami, et de trouver une solution. Hikari ne pouvait pas faire son métier comme ça, en songeant à Nanami, et en devenant de plus en plus perverse. Ce n’était pas sain, ce n’était pas ainsi qu’une professeur des écoles devait se comporter. Hikari était le stéréotype de la femme japonaise, coincée, timide, qui se dévouait à fond pour son boulot, faute d’avoir trouvé un mari. Elle luttait contre ces visions passéistes de la femme japonaise, dont le rôle sociétal était de trouver le meilleur parti, ce qui faisait qu’elle avait toujours été très indépendante, sous-estimant les pulsions de son corps, ce désir sexuel... Un désir que Nanami avait réveillé, et il agissait maintenant comme l’éruption d’un volcan, la consumant.
Pendant tout le cours, elle ne cessait de regarder Nanami, observant ses lèvres, son corps, ayant la furieuse impression que cette dernière la narguait, mettait en avant sa poitrine, ou pensait à elle. Le cours finit par se terminer, fort heureusement, et Nanami resta donc seule avec Hikari.
Les joues légèrement rouges, cette dernière veilla à fermer la porte, et se retourna vers elle, debout, en se mordillant vers elle.
« Nanami, je... »
Et soudain, toute sa résolution chancela. Tout explosa en elle, comme si une bombe venait d’exploser dans son estomac. Elle finit à genoux, et attrapa l’une des mains de Nanami, venant l’embrasser.
« Je t’aime, Nanami, je... Je veux encore te faire l’amour, je veux que tu me fasses à nouveau du plaisir, comme tu l’as fait la dernière fois ! »