-En effet, nous ne sommes pas les citadins coincé de la capitale. Répondit Maxime avec un petit rire.
Avec une révérence, il invita la Reine à la suivre et refis le chemin inverse, Jhorne les suivant, ses pas lourds faisant trembler le sol derrière eux. La descente se fit sans accroc, croisant des gardes et les différents serviteurs de la forteresse. Par ailleurs, Maxime croisa quelque messager qui lui apportèrent quelque nouvelle, notamment de l'infirmerie, un rapport sur l'infirmerie, que le plus gros était passé, la majorité des hommes sauvés, détaillant les morts et les blessés. Le bilan était plus optimiste que ce qu'il avait escompté. Par ailleurs il donna quelque ordre.
Au bout de quelque minute, ils rejoignirent le hall, tandis que les portes s'ouvrirent sous un signe de Maxime, et qu'une garde d'honneur, plus présente pour l’occasion que la protection, vinrent les rejoindre.
« Très bien, je vous suis, Commandant ! »
-Avec plaisir. All....
PPPOOOOOOOOWWWWWWMMMMMM PPOOOOOWWWMMM PPOOOOOWWWMMM
Le son d'un puissant cor résonna longuement à travers la forteresse, puis tout Alserac. Ce cor, était celui de l'imminence d'une attaque. Mais le son semblait frénétique, car il se répéta plusieurs fois. Et avant que quiconque puisse faire quoi que ce soit, des soldats entrèrent en trombe dans le hall par les grande portes.
-LA BARRIERE D'ARCANE EST TOMBÉE !
Maxime fit les gros yeux. La barrière d'arcane était la principale défense contre les intrusions magique. Elle bloquait toute les tentatives de téléportation ou de création de portail ainsi que les sorts visant à détruire les murailles. C'était la clés de voûte de la défense de Alserac. Maxime fit volt face.
-TROUVEZ HENRY ET ALLEZ DANS LA SALLE DU DISPOSITIF ARCANIQUE ! FAITE SONNEZ LES CORS DE D'URGENCE !
La pagaille régna un moment. C'était une situation d'urgence extrême, et Alserac était pris au dépourvue. Un serviteur arriva en sueur, livide et tremblant, et faillit tombé devant Maxime.
-Le... aahh... le... le mage Henry...
-Qu'es qu'il à ? Brailla Maxime.
-Il... il a été assassiné dans ses appartements !
Maxime blêmit. Henry était le mage principale de Alserac, le garant de sa protection magique et surtout, l'expert du dispositif arcanique. L'attaque venait de l'intérieur. Alserac était infiltré. Au même moment, le capitaine HIDAS arrivèrent de l'aile gauche.
-Le.... le... dispositif à été détruit ! Annonça le capitaine. Et les mages en factions sont.... morts...
-NOUS SOMMES INFILTRÉS ! Hurla Maxime. Que les mages en réserve déploie les contre-mesures !
-TROUPE MIJAKIENNE A NOS PORTES ! Hurla quelqu'un depuis une balustrade. ET LES PORTES SONT OUVERTE !
La situation était critique, mais Maxime ne paniqua pas.
-JHORNE ! Fonce aux portes et fait une percée avec les troupes sur place !
-Avec plaisir ! Annonça Jhorne, partant en grande enjambé.
-Hidas ! Escortez la Reine à ses appartements et assurez sa sécurité avec son escorte !
-Bien.
Et alors que Hidas invita la Reine à le suivre, ses hommes se rapprochant, Maxime envoya plusieurs soldats porter ses ordres. De nouveaux cors résonnèrent, tandis qu'a l'extérieur, les troupes se mettaient en ordre rapidement. Et alors que Maxime allait partir, et que Hidas, guida la Reine dans l'escalier, des soldates débarquèrent, ceux qui était partie sous ordres plus tôt.
-Commandant ! Le... le dispositif à été brisé et les mages en faction sont mort !
-On m'a déjà...
Mais brusquement, Maxime se tourna vers Hidas. Il connaissait chacun de ses capitaines, leur routine, habitude et leur poste. Et Hidas n'a jamais été charge de la sécurité intérieur du château, et encore moins de la salle du dispositif, qui relevait des compétence du mage Henry. Leur regards se croisèrent, et il comprit.
-STOPPEZ HIDAS !!!!
Et les hommes de Hidas se retournèrent fonçant sur les hommes de Maxime. Ce dernier fonça dans les escaliers, décapitant un homme d'une puissant mouvement au passage, risquant de ce briser le poignet au passage. Hidas saisit le bras de la bras, la tirant vers lui, levant un poignard. Mais une flèche se planta dans sa mains, lui faisant lâcher le poignard. Orion se tenait non loin, dans un des balustrades surbplombant le halle, faisant face à Hidas, et encocha une nouvelle flèche, qui atteignit ce dernier dans l’œil, le balança pardessus la rampe de l'escalier. Non sans mal, Maxime parvint à atteindre la Reine, perçant la défense des hommes de Hidas, avant de la tirer de l'escalier.
-Je suis sincèrement désolé majesté je...
Il tira sur son bras et la jeta derrière lui, tandis qu'un portail s'ouvrait devant lui, juste derrière la Reine juste avant. Un homme massif en sortie, bien plus grand que Maxime de 2 tête et bien plus large, ainsi que des soldats Mijakien, qui foncèrent sur les hommes de Maxime en faction, tandis que Loria arrivaient avec les chevaliers d'Alserac, suivit de Luria et de sa garde.
-Bonjour. Dit il en levant son immense épée.
-FUYEZ !! Hurla Maxime, levant la sienne.
Un éclair aveuglant jaillit de Maxime, droit vers adversaire, qui recula, renversant un de ses hommes, une main sur ses yeux. Maxime tenta le tout pour le tout, et visa la tête de son adversaire, son épée fendant les airs dans un sifflement meurtrier. Mais le guerrier Esquiva habilement l'épée, se montrant plus agile qui le laisser paraître, en se penchant en arrière. Et il se montra plus réactif que Maxime. Son épée fendit les airs, dans une arrière gauche, manipulant son épée d'une main. Bien qu'il n'y eu pas assez d'amplitude, ce fut suffisant pour tranché à moitié Maxime.
L'épée enfonça son armure, trancha entrailles et os, depuis la hanche côté droite, en remontant vers le cœur avant d'être stoppé. Le guerrier retira son épée. Maxime vomit du sang et tituba sous le choc et quand l'épée fut retirer, et ne cria pas, restant de marbre, restant debout, face à son adversaire qui rigola, alors que le sang inonda le sol, dégoulinant de sa plaie béant, des entrailles glissant.
-Fu... yez... lâcha Maxime, levant à nouveaux son épée.
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Jhorne courrait en direction des portes, et c'était un spectacle unique. Ses pieds massifs long comme comme un temps, frappait le sol comme le tonnerre, qu'on pouvait entendre de loin, faisant trembler le sol, le fissurant même par moment. Autour de lui, c'était plus ou moins le chaos, car femmes et enfants fonçaient vers la forteresse dans la pagaille et la panique la plus total, tandis que les hommes, des plus vieux encore valide au plus jeune en age de porter une arme, tentait de s'organiser pour établir des défenses, sortant lance, épée, bouclier et casque.Jhorne parvint rapidement au porte, grande ouverte, et au delà, des troupes qui s'avançait, abordant les couleurs de Mijak. Mais il vit des trolls et des berserks. Et qui chargeaient.
-QU'ES QUI CE PASSE ? Hurla Jhorne, en colère de voir qu'aucune action n'était en faite. Sa voix puissante pouvait s'entendre de loin. POURQUOI LES PORTES SONT OUVERTE !?
Jhorne était un peu plus petit que la moitié de la muraille, haute de 12m. Depuis des meurtrières à sa hauteur, des hommes se présentèrent, se tenant les oreilles.
-Les mécanises ont été détruit ! On ne peut plus abaisser la grille ni fermer les portes ! Et ils sont sortie depuis des portails !
-Et merde.
Déjà, des archers étaient sur les murailles faisaient feu, tandis que les ingénieurs actionnèrent scorpions, catapulte et balistes. Des troupes se regroupèrent au niveau de Jhorne, se préparant au choc, tandis qu'on installa en hâte des balistes légère et des défenses. Jhorne dégaina sa lame, se craqua le cou... et fonça droit sur l'ennemie.
-OOORRRYYYAAAAAAAA !