The Multiversity

Ainsi positionnée, Velma lui était tout offerte, il ne manquait plus que quelques écarteurs pour lui ouvrir les portes de ses orifices avec plus de facilités, mais ce serait moins drôle comme ça. Velma observait sa belle maîtresse à la peau légèrement bleutée, elle attendait fébrilement de commencer à jouer avec elle après lui avoir dit de quoi aguicher cette dernière. Widowmaker se redressa en la qualifiant de bonne chienne, de quoi la ravir ! Velma ne cherchait pour le moment pas le grand amour, mais devenir littéralement une chienne de luxure pour elle, ou une autre, ça oui. Elle voulait une personne qui baignerait avec elle dans ses lubies et ses envies. Elle voulait amener Widowmaker à la suivre dans ses envies, et suivre celles de sa maîtresse aussi, il fallait bien lui renvoyer la balle. Velma avait envie de bien des choses, pas forcément de sexe pur et simple même si la majorité des cas n'était que des prémices à cela. Elle voulait être tenue en laisse, promener par sa maîtresse, pisser dehors pour faire ses besoins, en observant sa maîtresse qui sera sûrement ravie de voir ça. Mais attention, sa lubie de jouer les chiennes à ses limites. Coucher avec un chien, elle l'a déjà fait, mais autant l'urine, ça restait drôle en partie, autant faire sa grosse commission... ni excitant, ni pratique...

Sous ses yeux ébahis, Amélie fit pousser une queue entre ses cuisses, de même que les testicules qui allaient avec. Elle a partager du temps avec des êtres capables de ce genre de choses, quand John Constantine ou Zatana évoquent leur passé commun, parfois intime, ce genre de dossier refait surface. Mais le voir en vrai, c'était beau... et si tentant. Elle était vraie, une vraie queue entre les cuisses de sa maîtresse, une bite qui ne demandait qu'à disparaître en elle !

« Oh oui, Maîtresse, je vous regarderais toujours ! »

Sauf si sa paire de lunettes glisse pendant leur petit jeu, là, elle ne peux pas garantir, mais sinon... oui, elle la regarderait toujours ! La tueuse attendait, faisant languir la belle Velma en frottant sa verge, fessant son cul, lui arrachant un petit gémissement de sa part, la qualifiant de journaliste fouineuse ! Fouineuse, oui, mais pas journaliste. Elle était détective privé, spécialisé dans le paranormal, on lui a vendu sa maison comme étant un lieu hanté. Et accessoirement, elle bossait parfois avec le SHIELD ou l'ARGUS, mais ça, c'était secret. Elle n'a pas menti à la belle femme, elle était venue ici pour chasser du fantôme, au moins découvrir la vérité qu'on lui avait vendue. Mais ce n'était pas grave, Widowmaker commençait à enfoncer sa verge en elle, ses yeux s'ouvraient en grand devant cette intrusion qui lui faisait le plus grand bien ! Quand sa queue était bien plantée entre ses fesses, elle soupira sans quitter sa maîtresse des yeux.

« Mmmmh haaaaan, Maîtresse. Prenez-moi fort... je veux sentir vos belles couilles fesser mon cul~ »

Obtenir des hématomes à cause de multiples coups répété avec ses couilles serait trop demander, mais au moins les sentir rebondir sur son cul bien rebondi, c'était déjà quelque chose dans ses cordes. Enfin, tant qu'Amélie lui fait l'amour, elle en sera heureuse, mais si leurs envies peuvent se mélanger un peu, pourquoi pas en profiter ? Sa maîtresse avait avec elle une porte ouverte vers une large partie de fantasmes, ce n'était que le début, mais Velma pouvait lui montrer un aperçu et lui faire voir que sa limite restait lointaine et assez logique... Personne n'avait envie de mourir pendant l'orgasme... de vraiment mourir. Donc en dehors de ce genre de limite logique, les coups, les insultes, l'urine, l'humiliation dans un plus vaste exemple, ça oui, ça lui plaisait... Amélie avait une pierre précieuse entre les mains, il fallait juste la polir.

Velma devait bien admettre sa surprise. La perversité de cette femme était telle qu’elle avait même dû aller jusqu’à utiliser son hermaphrodisme ! Elle avait reçu un mutagène en ce sens, mais Amélie déployait rarement sa verge. Cependant, avec une femme comme Velma, il était nécessaire de passer aux choses sérieuses. En voyant ce membre se dresser, les yeux de Velma s’illuminèrent sur place. Visiblement, cette queue était loin de l’effrayer ! Elle l’observait au contraire avec envie, une envie féroce et palpable. Widowmaker sourit doucement, et sentit sa verge se durcir. Elle se masturbait lentement, relevant sa queue, la rapprochant du fessier de Velma, qui remua ses fesses, frottant son cul dessus. Amélie posa sa main sur l’une des fesses de Velma, qu’elle pressa avec force, pinçant sa chair. Elle serra ses doigts dessus, et malaxa son cul, remuant sa fesse en la pressant. Velma implora de se faire sodomiser par elle, et Amélie grogna lentement, sa verge glissant contre sa croupe, se fourrant entre ses fesses.

« Oh, ma chérie… »

Sa main se releva, et gifla son cul, une bonne claque qui résonna sur son postérieur.

« Depuis quand les chiennes quémandent, hein ? Tu m’as l’air… Très indisciplinée ! »

C’était un motif parfait pour punir sa chienne… Mais, après tout, ce n’était pas comme si Amélie avait besoin d’une excuse pour la punir, l’humilier, la baiser, ou la battre… Sexuellement parlant ! Elle s’amusait de la situation, et s’empressa d’enfoncer sa trique dans son fondement. Amélie soupira doucement à ce contact, et commença à remuer en elle. Elle la pénétra donc, et sa grogna en sentant l’étroitesse du cul de Velma. Ses mains se crispèrent sur elle, et elle commença à remuer, d’avant en arrière, donnant des coups de reins supplémentaires, grognant et gémissant avec force.

« Oh… Tu es très serrée… Ma petite chienne ! »

Délicieusement et magnifiquement serrée ! Ah, quel régal ! Velma prenait joyeusement son pied en ce moment, continuant à la prendre avec force, accélérant et amplifiant progressivement le rythme, afin d’offrir à Velma une sodomie digne de ce nom !

Tout cela n'était pas une stratégie pour endormir la confiance d'Amélie pour fuir quand l'opportunité se présentera, Velma était ainsi. Une fille sérieuse et plutôt réservée. Mais ce n'était qu'en apparence, car quand on gratte un peu cette couche, ce qui s'y cache était cette Velma, libérée et dévergonde à souhait. Elle n'avait certes pas beaucoup d'expérience très sérieuse dans ce domaine – même si elle s'était déjà fait monter dessus par le chien de l'un de ses amis en secret – mais là, elle laissait couler tout cela, car elle sentait que cette femme ne pourrait peut-être pas tout réaliser, mais une bonne partie en tout cas ! La belle et dangereuse femme l'aguichait de bien des façons et elle ne tenait plus en place ! Mais Widowmaker gardait bien les choses en mains, commençant à s'insérer en elle, elle gifla son cul, soulignant son indiscipline, nul besoin de dire qu'elle avait envie de se faire dresser par elle, d'être traitée comme une chienne par cette femme. Tout les pores de sa peau suintait la luxure, elle en voulait plus, elle en voulait toujours plus !

Sa queue s'enfonçait de plus en plus, sa maîtresse cherchait à bien s'installer avant d’instaurer son rythme, du moins, pour commencer. Son cul lui était offert, comme tout le reste et c'était à sa maîtresse de savoir comment elle allait en profiter, mais Velma allait lui donner bien des raison de la punir. Elle le méritait tant, après tout.

« Haaaan~ Maîtresse, hum, dressez-moi... Je suis vilaine... une siiiiiii vilaine chienne en chaleur~ »

Ce n'était que le début, il fallait bien lui montrer que quelques mots de Widowmaker n'allaient pas suffire à la remettre dans le droit chemin. Son étroit fondement se resserrait un peu plus, Velma serrant ses fesses en se redressant. Certes, cela mettait bien en valeur sa poitrine, mais sa maîtresse n'était pas face à elle pour en profiter. Même si certaines personnes ont déjà joué avec elle, cela restait assez classique au final, si sa maîtresse voulait se montrer spéciale, elle allait devoir s'en donner les moyens.

« De toutes vos forces, Maîtresse... Dominez-moi de toutes vos forces ~ ! »

Dit-elle en jetant un regard par-dessus son épaule en sortant le bout de sa langue hors de sa bouche.

Amélie était une femme très endurante, et elle se demandait si Velma n’était pas encore plus perverse qu’elle ! Car, vicieuse et sensuelle, Amélie l’était. Derrière son statut d’espionne et de combattante aguerrie, la femme aimait le sexe, au point d’avoir transformé son bunker en utilisant des programmes sexuels, comme Velma avait pu le voir, et le sentir de très près. Pour l’heure, Amélie se contentait de la sodomiser, mais elle comptait bien s’imposer à cette jeune femme comme sa Maîtresse naturelle et légitime ! Amélie était curieuse de voir jusqu’où elle pouvait faire sombrer cette petite fouineuse, cette jeune curieuse qui avait décidé d’investiguer dans cette maison hantée, de faire fi des hologrammes et des pièges implantés par Amélie, pour finalement ouvrir la porte interdire. Ce rebondissement était en tout cas inattendu, car le protocole de sécurité de Talon exigeait qu’Amélie tue cette poupée. Mais comment pourrait-elle s’y résoudre ? Velma était tellement délicieuse ! Elle se laissait volontiers aller, et, tandis que la verge de Widowmaker coulissait dans son cul, Velma tourna la tête, et lui implora d’y aller plus fort.

« Hmmm… Petite pute… Tu n’as aucune idée… De ce que je te réserve ! »

La main de Widowmaker fouetta encore le cul de Velma, tapant l’une de ses fesses, et, avec son autre main, elle tirait sur la laisse qui retenait Velma, soulevant sa tête, faisant carillonner son collier. Amélie soupira ensuite, et commença à amplifier ses coups de reins, se reculant pour mieux repartir en avant, dilatant à chaque coup de reins les parois anales de sa proie, sa délicieuse partenaire. Amélie continuait à la prendre, s’enfonçant en elle. Elle la prenait en levrette, et fit durer le plaisir.

« Oublie ton ancienne vie, Velma… Tu m’appartiens, maintenant ! Ma pute… Tu seras ma pute, ma chienne, mon esclave… Ma salope ! »

Pour Velma, il n’y avait aucune autre alternative ! Amélie continuait à la prendre, amplifiant le rythme, allant de plus en plus fort. Elle avait encore bien des surprises à montrer à sa proie, mais, pour l’heure, elle voulait la faire jouir, tout en l’insultant copieusement.

« Sois une bonne chienne, aboie bien fort ! Hmmm… Tu as un cul si serré… Pour une chienne comme toi, on s’attendrait à ce que ton cul se dilate plus facilement ! Il y a bien longtemps que tu rêves de te faire prendre comme une chienne, hein ? Haaaa… Couine, sale truie !! »

Et, rythmant les coups de reins et les insultes, la main d’Amélie retournait régulièrement la fesser, faisant rougeoyer le cul insolent de Velma…

Pour Velma, enfin lâchée de sa propre laisse, elle était si heureuse ainsi, il était rare qu'elle se lâche autant. La libération, le frisson de l'interdit, la dernière fois qu'elle a vécus ça, Scooby, le chien de son groupe d'amis était en train de lui grimper dessus, jupe relever, culotte aux chevilles et elle le sentait, faisant d'elle sa chienne. Le plaisir de l'interdit, le risque de se faire surprendre, rare ont été les fois où le sexe a été si passionnant pour elle. Amélie semblait lui vendre monts et merveillse et elle la croyait, voyait là que la surface de l'iceberg, se demandant bien ce que la jeune femme avait encore à dévoiler pour la rendre heureuse ? Pouvait-elle lui faire confiance ? Pour ça, à n'en point douter. Elle se faisait prendre, le cul marteler par de belles claques, tout en étant maintenue en laisse, ce n'était pas un simple détail pour elle. La jeune femme sentait chaque coup de reins, les claques autant que les coups de butoir, ça frappait la chair, faisant remuer ses fesses bien rondes par la même occasion, car quand Velma ne couinait pas son plaisir, elle se maintenait, se mordant la lèvre inférieure en savourant chaque chose qu'elle ressentait, ce n'était pas rien.

« Haaaaan ! Ouiiiiii ! Je vous a-ppartIENT !!!! »

Montrant sa joie avec un visage qui ne pouvait pas montrer de joie plus sexuelle – sauf peut-être avec le visage couvert de foutre – son large sourire, sa bouche ouverte laissant pendre sa langue, les yeux presque fermés tant elle frôlait le bonheur, Velma était si heureuse de vivre cela, et d'en découvrir plus par la suite aussi. Amélie y allait de plus en plus fort, dressant sa chienne qui prenait toujours autant son pied dans l'action.

« Haaaa wouuuuuuuuuf ! Awooooooo woooooo haaaaaaaaa ! Longtemps, siiiiii longtemps haaaaan ! Je suis a vouuuus~ je réaliserais haaaan, toutes vos envies les plus haaaaa... lubrique et humiliante, Maî-maitresse !!!!! »

Une promesse qu'Amélie se fera une joie de lui faire tenir, à n'en point douter. La jeune femme était toujours prise par sa maîtresse, toujours plus heureuse que jamais, et cela, elle le prouvait aussi assez rapidement, car son plaisir à elle grimpait vite en flèche ce soir et elle gigotait un peu plus alors que son orgasme venait à se déclencher, aspergeant ses cuisses et en partie sa maîtresse alors qu'elle montrait aussi vocalement combien elle était si heureuse !

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa Maîtreeeeeeeeeeeeeeeeeeeesse !!!!!! »

Elle vibrait de plaisir, mais elle n'avait pas fini de rendre heureuse sa maîtresse non plus. Elle avait encore tant de travail à faire devant elle.

Petit à petit, Amélie se laissait elle aussi aller. La fièvre sexuelle l’envahissait avec joie. Widowmaker ne se retenait plus, et, plus le temps passait, et plus elle se débridait, atteignant des sommets de luxure. Plongeant pleinement dans le stupre, Amélie prenait avec force sa partenaire. Velma poussait de longs hurlements de plaisir, rythmés par les claques et les fessées furieuses qui s’abattaient sur sa croupe. Sa belle pute se tortillait sur place, couinant et gémissant bien comme il le fallait ! Heureuse, et destinée à lui montrer son affection, Amlélie tira sur la laisse, relevant le buste de Velma, et la fessa encore tandis que sa belle partenaire jouissait. Un orgasme puissant et savoureux, qu’Amélie perçut. Elle la laissa jouir, et, dans un grognement, Amélier se vida dans le cul de sa traînée, ponctuant ce plaisir suprême d’une délicieuse insulte, qui fusa dans l’air comme une signature finale :

« Han… Foutue salope… »

Amélie jouit ensuite, copieusement, inondant le fondement de Velma, et lâcha la laisse. Velma tomba sur le lit, s’affalant sur le ventre, et Amélie l’observa lentement, le corps en sueur, sa combinaison luisant dans la nuit. Elle suait atrocement, et Amélie déglutit, la chaleur l’étouffant sur place. Devant elle, Velma était sonnée, mais avec un sourire épanoui sur ses lèvres. Assise à califourchon au-dessus d’elle, Widowmaker se pencha vers elle, et soupira doucement. Elle croisa les bras sur son buste, et l’observa lentement, en position assumée et sensuelle de dominatrice.

« Reprends tes esprits, ma belle… Tu es ma chienne, maintenant. »

La langue d’Amélie sortit de sa bouche, et frotta le nez de Velma, dans une posture qui n’était pas sans rappeler le coup de langue de Batwoman à Batman dans le film de Burton. Amélie assumait tranquillement sa position de dominatrice, et elle sourit donc.

« Je suis curieuse de voir jusqu’à quel point je vais pouvoir m’amuser avec toi, ma chérie… »

Amélie lui sourit doucement.

« Pendant que tu es encore consciente, dis-moi donc… Qui est ta Maîtresse ? »

Velma n'en avait pas honte. Pas dans cet état du moins. Elle était une véritable chienne, elle aimait qu'on la soumette, qu'on l'humilie, qu'on la baise purement et simplement, qu'on oublie qu'elle était une personne, elle était qu'un simple objet de luxure, tout simplement. Alors Amelie allait pouvoir s'en donner à cœur joie, car elle ne faisait qu'effleurer le sommet de l'iceberg, il y avait tant de choses qu'elle pouvait lui faire subir sans jamais dépasser les limites. La jeune femme réagissait comme le commun des mortels au début, mais une fois cette petite barrière abaisser, rien ne l'arrêtait. La belle tueuse jouis à son tour en elle, remplissant son fondement de son foutre bien épais, laissant Velma dans un état d'extase tandis qu'elle relâchait la pression, son corps s'écrasant sur le lit, laissant à sa maîtresse tout le plaisir d'admirer son œuvre. Belle, soumise, obéissante, si elle s'y prenait bien, elle aurait entre les mains un petit diamant à l'état pur ! Elle avait quand même un minimum d'éthique, elle ne vendrait aucune information liée au SHIELD, l'ARGUS et autres personnel avec qui elle travaillait, mais elle allait en faire autant vis à vis de la jeune femme. Elle ne demanderait rien concernant son vrai métier. Elle se doutait bien que ce n'était pas une bonne sœur qui aidait les orphelins de la ville, mais... C'était son jardin secret.

Widowmaker savourait sa victoire, se penchant sur elle, lui léchant le nez en espérant ne pas l'avoir trop secoué, mais, aussi douée soit cette femme, il va en falloir plus pour que Velma soit assommer par le plaisir. Face à sa dernière question, elle gloussait légèrement en reprenant le sourire, observant la jeune femme par-dessus son épaule.

« C'est vous, Maîtresse~ »

Dit-elle avait un sourires des plus ravis, cette dernière tentait doucement de se retourner pour ne pas gêner sa maîtresse. Sa peau luisait doucement sous l'effort et elle contemplait sa maîtresse, si belle et dominante, elle ne voyait aucun danger, juste l'amour de servir une telle femme et être sa chose. Elle comptait rester Velma, avoir sa vie, son travail, mais le soir, surtout si elle avait besoin d'elle, elle viendrait la rejoindre pour obéir à la moindre de ses envies, que ce soit pour servir de sex-toys et être rempli de foutre ou simplement lui lécher les pieds jusqu'à trouver sommeil, elle sera ravie de lui obéir. Une fois sur le dos, sa belle poitrine ronde et généreuse – sans l'être trop – était prête à servir si besoin.

« Donnez-moi un ordre, Maîtresse. N'ayez pas peur et humiliez moi, profiter de moi, je vous appartiens. »

Velma aurait sans doute une légère hésitation face à certains ordres comme faire le trottoir, ce serait une grande première pour elle, mais par amour, elle le ferait et elle adorerais ça ! Il lui fallait juste un peu de temps pour accepter certains ordres de sa maîtresse et passer cette petite frontière, mais après coup, rien n'arrêtera sa foi envers Widowmaker. De son point de vue, elle avait une belle vue sur sa maîtresse, assise sur elle, le corps suintant. Ce n'était pas dégoûtant, c'était la preuve qu'elle fournissait bien des efforts pour leur plaisir commun.

« Oh, maîtresse... Laissez-moi vous nettoyer avec ma langue ou alors, asseyez-vous sur mon visage si vous en avez marre de m'entendre parler~ »

Dans les deux cas, elle sera heureuse, reste à voir sous quelle forme elle voulait la dominer ? Passer de longues minutes a lécher son corps en long et en large, ou se sentir écrasé par ce cul, manquer parfois d'air à cause de ce cul si moulant. Même Velma avait du mal à savoir ce qu'elle voulait ! Surtout que quoi qu'il arrive, Amelie avait le dernier mot et pouvait partir sur autre chose de totalement différent.

Velma faisait preuve d’une perversité qui semblait défier le commun des mortels ! Amélie en était surprise, elle-même qui n’hésitait pas à droguer des amants pour coucher avec eux, ou éduquer des animaux à cette fin ! Plus le temps passait, et plus elle commençait à imaginer de grands plans pour Velma. Amélie sourit donc quand celle-ci lui avoua qu’elle était sa Maîtresse, tout en lui demandant de la faire taire. Amélie soupira lentement, et se déplaça. Elle se retourna, et, joignant le geste à la parole, s’assit sur le visage de Velma, l’étouffant avec ses fesses. Amélie appuya avec son cul, entendant Velma couiner sous elle, et elle récupéra sur la table de chevet une petite tablette graphique, puis désactiva l’ensemble des pièges et des artifices qui se trouvaient dans la « maison hantée ». Les bruitages que Velma avait entendus, tous ces cons et ces apparitions, disparurent, et la maison prit alors une autre couleur, ressemblant à une maison propre. Amélie maintint le contact pendant un certain temps, étouffant à moitié sa partenaire.

Amélie se releva alors, et se retourna vers sa partenaire.

« Je vais te baiser à l’étage, petite catin. »

Widowmaker était encore bien décidée à tester les dernières limites de Velma, et avait justement une petite idée en tête à cette fin. Elle lui tendit un collier qu’elle attacha autour de son cou.

« Je vais pisser dans ta bouche. Je veux que tu conserves mon urine dans ta petite bouche de salope jusqu’à ce que je te baise dans la chambre royale. Cela t’apprendra à croire pouvoir me donner des ordres. »

Amélie sourit encore, un sourire pervers et extrêmement malicieux. C’était un sacré défi, et elle plia les jambes, approchant son membre de la bouche de Velma, et le fourra en elle. C’était aussi une manière de voir jusqu’où Velma était prête à aller dans l’humiliation. Plus tard, Amélie impliquerait des activités publiques, mais, pour l’heure, elle voulait marquer le coup. Velma était sa première esclave, et, si Amélie ne comptait pas l’utiliser à des fins professionnelles, elle comptait bien savourer et épuiser avec elle toutes ses frustrations… Alors, dans un soupir, elle commença à uriner, et répandit son jet doré dans la bouche de la belle Velma…

Dans son état actuel, Velma n'était plus grand-chose. De la part de sa maîtresse, elle voulait tout, ressentir toutes ses envies, les subir et savourer chaque instant ! De voir Amelie se rapprocher, de placer au-dessus d'elle, observant son cul qui approchait, tout doucement de son visage pour l'écraser. Oh, quel pied ! Velma savourait ce contact moelleux et précieux, même si elle manquait un peu d'air, elle était si heureuse, passant sa langue dessus, respirant son odeur. Rien de nauséabond, Amélie sentait si bon et dans le pire des cas, elle était parfumée par la luxure. Elle profitait de ce petit instant autant que possible, avant que la belle tueuse ne lui parle de la suite, voulant pisser dans sa bouche, lui faire retenir ça le plus longtemps possible, et ce, jusqu'à qu'elles arrivent dans sa chambre. Velma avait des penchants étranges, boire de l'urine, ce n'était pas son favoris. Mais elle pouvait le faire. Une golden shower, c'était parfait pour elle ! Mais contenir et sûrement après, boire sa pisse, ha, c'était autre chose, mais Amélie devait bien imposer sa nature. Docile, elle restait à quatre pattes en voyant sa bite approcher, la bouche bien ouverte pour l'attraper. Elle glissait dedans, sans soucis, juste le bout avant que Widowmaker ne se relâche.

« Mmmmmh... »

Voyant sa maîtresse se détendre, elle sentait le liquide chaud arriver, mais quand bien même elle voulait faire des efforts, il y en avait trop pour sa bouche et elle risquait d'en avaler une partie ou d'en laisser échappée. Vu sa grimace, la première option était arrivée. Mais elle allait tenir bon, à quatre pattes, elle allait suivre sa maîtresse jusqu'à sa précieuse chambre où, elle l’espère, elle lui fera subir bien plus excitant, mais pour ça, elle lui faisait confiance. Les joues gonflées, ayant avalé plus ou moins de son contenue malgré elle, elle en avait encore une bonne partie, alors qu'elle venait frotter sa tête le long des jambes de sa maîtresse, ne pouvant rien dire pour le moment, elle méritait bien des punitions mais elle était aussi très obéissante comme fille. Les deux faces d'une même pièce. Mais dorénavant, c'était à sa maîtresse de la modeler selon son envie, mais de toute évidence, Velma sera loin d'être chaste. Sage ? Peut-être, mais vulgaire et perverse, ça, c'était sûrement prévu.

Si Amélie était observatrice, elle remarquerait sûrement que sa chienne mouillait, très envieuse de ce qui pourrait se passer ensuite...

Amélie continuait à jouer avec Velma, à l’humilier, et à aller au fond des choses avec elle. Elle venait donc d’uriner, et même de joyeusement relâcher ses sphincters. Velma ne put d’ailleurs pas tout prendre sans avaler, mais cette humiliation supplémentaire, teintée d’une extrême perversité, ne pouvait que plaire à Amélie. Widowmaker se pinça donc les lèvres en lâchant son jet doré, mouillant un peu les lèvres de Velma, qui l’observa avec de grands yeux, la bouche pleine. Amélie l’observa doucement, en souriant. Sa verge avait retrouvé sa dureté en se vidant ainsi, et était désormais prête à cracher autre chose.

« Ma parole, tu conserves vraiment autant que tu peux en bouche ! Tu es vraiment une traînée hors concours, toi ! »

La Française aussi commençait à se laisser aller. Amélie laissait tomber le masque, afin d’exprimer sa perversité, sa soif du désir, son envie de sexe et de perversion. Amélie sourit, et se pencha vers elle. Elle posa ses deux mains sur les belles joues rondes de Velma, et lécha ses lèvres, avalant les quelques gouttes d’urine qui se trouvaient là.

« J’ai un peu débordé.. »

Amélie se releva alors, et tira sur sa laisse, invitant Velma à la suivre à quatre pattes. La démarche d’Amélie était un peu raide, maladroite, car sa queue l’élançait furieusement. Elles rejoignirent le lit, et Amélie tira encore sur la laisse, amenant Velma à grimper dessus.

« Puisque tu as ma pisse comme une bonne petite chienne, je vais te baiser comme telle ! »

Widowmaker était curieuse de voir jusqu’à combien de temps Velma allait tenir avant de recracher ce liquide doré. Amélie observa son délicieux postérieur en se mordillant les lèvres avec appétit, et elle frotta sa verge contre le cul de Velma.

« Et les chiennes… On les prend par derrière ! »

Cela faisait déjà un certain temps qu’Amélie la baisait, mais elle n’arrivait pas à se lasser de cette femme ! Sa verge s’enfonça avec force dans le cul étroit de Velma, et elle eut droit à une bonne gifle. Avec la bouche de Velma pleine, Amélie se privait de ses hurlements… Jusqu’à ce qu’elle la fasse lâcher prise, et que Velma puisse à nouveau la régaler avec ses hurlements ! Pour l’heure, son membre durci s’enfonça avec force dans le cul de Velma, remuant puissamment et douloureusement en elle…

Obéissante, ça, elle l'était ! Elle était tombée sur une femme prête à la suivre dans ses délires, elle avait envie de tout faire pour que ça marche donc ! Même si ce n'était pas ce qu'elle préférait, elle conservait malgré tout la pisse d'Amélie dans sa bouche pour lui faire plaisir, suivant sa maîtresse là où elle le désirait. Amélie venait même lui lécher les lèvres, montrant qu'elle était prête à faire un petit pas dans son monde ? Oh oui, elle imaginait déjà sa maîtresse caresser ses fantasmes, pourquoi pas se faire monter dessus, ensemble, par un chien bien gros et bien membré ? Oh, cela la faisait frissonner de désir ! Elle était si heureuse d'avoir une telle chienne, autant la rendre fière ! Velma la suivait tant bien que mal, arrivant enfin sur le lit de sa maîtresse, avec sa bite si dur et bien dressée, elle lui offrait volontiers son cul, même si contenir tout cela en bouche sera une tâche très compliquée. Sa Maîtresse était bien claire dessus, elle allait la prendre comme une chienne ! S'enfonçant dans son cul, elle se retenait de couiner, même si un petit jet doré avait réussi à s'échapper de sa bouche, coulant sur son menton, tombant sur le lit de sa maitresse.

« Mmmmmhhhhh ! Mmmmmmmmhhhhh~ »

Les joues bien rondes, elle était secouée, il était difficile de contenir tout cela, de ne pas crier son plaisir, mais elle tentait malgré tout. Sa poitrine comme son corps remuait, sa maîtresse la gratifiait de quelques fessées, pour la punir ou la faire craquer, elle ne savait pas trop, mais elle avait de plus en plus de fuite le long de sa bouche, mais elle tenait bien ! Mais forcément, au bout d'un moment, elle recrachait le tout, même si elle avait tenté d'en avaler une partie, force est de constater, qu'elle avait plus recracher que d'avaler.

« HAAAAAAAAAN MAÎTREEEEEEEESSE~ »

Elle se cramponnait aux draps en pouvant enfin s’exprimer de tout cela, elle risquait la punition, mais dieu que c'était bon de pouvoir enfin se lâcher.

« DEFONCER MOI LE CUL !!! HAAAAA, DE VOTRE VILAINE CHIEEEEEEENNE !!!! »

Ne pas pouvoir s'exprimer, ça l'avait frustrer et elle se lâchait enfin, pour leur plus grand plaisir ! Qu'il lui tardait de subir les récompenses et les punitions de sa Maîtresse. Elle la connaissait à peine, mais elle avait du mal à imaginer ne plus la revoir après un tel début de soirée. C'était sûrement le début d'une très longue amitié, voir plus ?

Qui aurait cru que cette petite fouineuse lui plairait autant ? Amélie était en train de la besogner depuis plus d’une heure, maintenant. Elle avait perdu le compte, à vrai dire, mais il lui semblait bien que beaucoup de temps avait passé ! Amélie faisait preuve d’une endurance assez exceptionnelle en la matière, et elle était assez admirative et impressionnée par la perversité de Velma. Quelle femme ! Elle se tortillait sous le lit, prise par l’arrière. La verge d’Amélie s’enfonçait avec délectation dans son fondement, la ramonant à nouveau. Ce n’était pas la première fois qu’elle passait par là, et ce ne serait pas la dernière non plus. Elle entendait Velma gémir devant elle, sa bouche remplie par son urine, incapable de pouvoir gémir, ou couiner. Et, dans le fond, quelque chose lui disait que Velma préférait se faire entendre. Tout en la sodomisant, en grognant et en gémissant, Amélie déplaça sa main, donnant une tape sur les fesses de Velma, une première gifle qui s’accompagna d’une seconde fessée, plus forte que la première.

« Sale chienne, tu as vraiment… Un cul très serré, haaa… Comment une pute comme toi peut avoir… Hnnn… Un cul si serré, haaaa... »

Sa main gifla encore son cul, pinçant sa chair, et Velma finit par tout recracher. Amélie attrapa alors ses cheveux d’une main, et tira dessus, relevant le buste de Velma, la faisant de nouveau gémir. Elle couina encore contre elle, réclamant d’en prendre davantage dans le cul. Amélie soupira encore, crachant sa salive en reprenant son souffle. Elle haletait entre chaque coup de reins, son endurance mise à rude épreuve. Ceci étant dit, faire proprement l’amour à Velma était fondamental ! Amélie se devait de marquer des points vis-à-vis d’elle, et d’en faire définitivement son esclave. À ce stade, elle envisageait naturellement de la revoir, de la conserver près d’elle. Comment aurait-elle pu envisager de se séparer d’une fille aussi perverse ?

La verge nichée dans son cul, Amélie tira sur les cheveux de Velma, la redressant ainsi, et posa sa son autre main sur son cou. Elle souleva ainsi la jeune femme, qui se retrouva assise sur les genoux. Une main sur son cou, Amélie glissa l’autre entre les cuisses de Velma, et la masturba avec deux doigts. Elle sentit rapidement ses doigts s’humidifier au contact de la mouille de Velma, et elle se rapprocha ensuite de l’une des oreilles de Velma… Qu’elle mordilla. Elle commença par lécher son lobe de l’oreille, puis tira délicatement dessus avec ses dents.

« Tu m’appartiens, Velma, hmmm… Ma petite chienne à moi, rien qu’à moi… Maintenant et pour toujours… Au fond, c’était… Ton destin, haaaa… Les petites salopes comme toi ont besoin d’une Maîtresse pour s’occuper d’elles bien comme il faut ! Et tu seras la bonne petite salope de ta Maîtresse, hein ? » soupira Amélie, tout en remuant encore en elle, donnant des coups de reins profonds dans son fondement.

Velma aimait tant ce qui lui arrivait, si ce n'était que pour un soir, elle comprendrait vu que la femme avait l'air de trempée dans des affaires qui n'étaient pas ses oignons. Mais si elle pouvait la revoir, plus souvent pour recommencer ce genre de soirée, elle était totalement favorable pour ça. Velma était une femme qui cherchait inconsciemment à réaliser ses fantasmes les plus enfouis, avec des inconnus, c'était beaucoup plus simple que des connaissances. Elle avait juste à ne jamais revoir les dites personnes si quelque chose a mal tourné. Après tout, elle était venue ici pour cette histoire de manoir hanté, rien ne lui disait qu'une femme ferait d'elle sa chose. Une heureuse coïncidence donc ! La bouche pleine de pisse, elle se faisait prendre le cul, secoué, mais adorant tout ce qu'elle ressentait, la violence de cette femme, la passion qui émanait d'elle, elle aurait peu de défaut à souligner chez cette femme, mais après, elle ne la connaissait pas vraiment. Ses fessées ont eu raison d'elle, lui faisant recracher la pisse qu'elle avait en bouche, elle pouvait enfin respirer à pleins poumons et surtout, parler !

« Haaaaaaaaaa !!!! »

Tirant sur ses cheveux pour la redresser, elle continuant de la besogner en soulignant le fait que pour une pute, elle était serrée. Tant mieux, dans un sens, mais Velma ne pouvait pas vraiment parler, toujours à reprendre son souffle en s'habituant à tout cela. Tirant un peu plus, elle atterrissait sur ses cuisses, sautillant d'elle-même sur sa verge pour mieux la sentir en elle, toujours plus loin dans son petit cou. Sa maîtresse venait cependant lécher son oreille, venant susurrer de belles paroles à son oreille. Devenir sa chose, elle rêvait d'un tel rôle ! Elle ignorait si elle aurait vraiment voulu Widowmaker pour ça mais la situation semblait propice. Si elle pouvait accepter ses penchants et en réaliser certains, elle était prête à lui obéir ! Toute soumise, qu'elle était, le travail resterait le travail, elle ne vendrait pas les informations du SHIELD ou de l'ARGUS, même si elle ne savait pas grand-chose d'important à leur sujet, elle avait un minimum de respect pour ses employeurs.

« Haaaaan~ Oh ouiiiii, ma Maîtreeeeeeeeeeesse !!! Je suis tout à vouuuuus~ donnez moi hum, plus de foutre... d'amour... de pisse... et plus encore... Et haaaa mmmmh... je serais heureuse de m'offrir à vous et haaaaaa... être vôtre... »

Velma imaginait sa relation idéal de soumise et de maîtresse, de chienne et de maîtresse serait plus parlant. Elle ne s'imaginait pas maman en tout cas, pas avant d'avoir exploré bon nombre de fantasmes, car après, ce serait dégradant ou... étrange ? Donc, de ce côté, Amélie pouvait se rassurer, son regard pouvait avoir bon nombre d'étoiles, elle n'attendait d'elle que d'être sa maîtresse pour le moment, pas son amante. Donc si elle voulait inviter des ami/es pour jouer avec Velma, elle en sera que plus heureuse. Sa main glissa sur la sienne entre ses cuisses, appuyant avec elle sur ses doigts, toujours plus vite, toujours plus loin, c'était là le vrai plaisir. Viendras un moment où elles parlerons plus calmement du futur, de que sa maîtresse lui réservait ou pouvait lui faire. Amélie a intérêt à avoir une bonne mémoire ou une longue liste, car Velma avait beaucoup, Beaucoup de fantasmes à assouvir. Pour l'heure, elle était bien assez servis comme ça.

Amélie allait faire subir à Velma une sacrée séance. Mais quelle amante, en même temps ! Amélie était pourtant endurante, mais cette inconnue, cette Velma, était en train de battre tous les records ! Elle plaçait la barre haute, trop haut pour qu’Amélie se contente de la libérer ou de la tuer. Oh non, Velma était trop précieuse pour ça ! En soi, il ne s’agissait même pas pour Amélie d’en faire une sorte d’agent double, d’espionne qui utiliserait ses connaissances pour la renseigner sur le SHIELD. Non, elle voulait juste en faire une perverse, une salope hors concours qu’elle pourrait utiliser par la suite pour assouvir ses fantasmes. À ce stade, l’idée d’enfanter Velma ne caressait même pas l’esprit d’Amélie, qui s’amusait juste d’avoir une telle perverse, qu’elle sodomisait avec force. Sa puissante verge s’enfonçait dans le délicat fondement de Velma, un trou qui était déjà bien dilaté. Vu comment Amélie la prenait, l’inverse aurait été surprenant ! Prise en levrette, Velma haletait et couinait, les gifles se multipliant sur sa croupe. Oui, Amélie ne lui épargnait rien, mais c’était ce qu’elle voulait, après tout !

La sodomie se poursuivait donc, intense, assoiffée. Tandis qu’elle la prenait, Velma soupirait, et indiquait qu’elle était sienne, qu’elle lui appartenait totalement. Tremblant doucement, Amélie continuait son office, sa combinaison continuant à crisser. De sa main gauche, elle attrapait les cheveux de Velma pour tirer sa tête en arrière, et, avec l’autre main, elle la fessait joyeusement. Sa main claquait son cul avec appétit, et Amélie continuait à la prendre, sans relâche. Les minutes défilaient, rythmées par ses coups de reins, jusqu’à ce qu’elle s’abandonne encore dans le fondement de Velma.

« Haaaa… Petite pute… »

Amélie l’avait joyeusement insulté tout le long de cette sodomie, et elle jouit donc en elle, crachant sa chaude semence. Dans un long soupir, Amélie enchaîna ensuite. Elle laissa le corps de Velma glisser en avant, mais maintint ses hanches en suspens. Elle la releva vers l’arrière, et opta pour une position plus exigeante. Sa verge venait de se vider, mais elle retrouva rapidement de sa dureté, tandis qu’elle se mit à opter pour une autre position, la position de la brouette. Velma avait les mains moites, mais, fort heureusement, comme elle portait toujours sa combinaison, elle pouvait adhérer sans difficulté en serrant les jambes de Velma. Elle les maintint contre ses bras, enroulant ses cuisses entre eux, puis s’enfonça dans sa chatte trempée, grognant. Elle était en sueur, mais toujours aussi excitée, la besognant avec force, laissant Velma baver sur son lit.

« Une.. Une vraie chienne, hmmm… »

Au bout d’un moment, les jurons devenaient difficiles, car Amélie respirait fort, donc elle préférait se concentrer sur l’essentiel : faire parler les corps, et baiser Velma. La baiser. Encore et encore. La chair parlait, les corps s’exprimaient. Il n’en fallait finalement pas plus.

Et voilà, Velma était enfin traitée comme une pute, le respect en moins et bon sang qu'elle adorait ça ! Sentir Amélie qui la prenait avec force, sans se soucier de son confort ou ses envies, elle mouillait plus que nécessaire tant elle était en extase ! On pourrait presque appeler ça un viol mais Velma était consentante pour presque tout. Du moment que l'on ne parle pas de la blesser, de l'empoisonner ou de matière fécal, elle était pour. La tueuse la prenait par derrière, balançant ses mains tour à tour sur son cul, giflant sa chair rebondie, humide, elle suait un peu face à ses efforts mais quoi de plus normal ? Même Amélie devait avoir le corps glissant sous sa combinaison si près du corps, Velma pourrait la lécher ou user de son corps comme d'une serviette. Faire ça en étant huilée, toutes les deux, ça faisait parti de ses fantasmes mais faut bien avouer qu'elle n'était pas très haut dans sa liste. C'était plutôt gentil de faire l'amour en étant huileuse. Elle avait hâte d'exposer ses fantasmes à Amélie, de voir ses réactions, d'être prise comme une chienne, par un chien, de devenir une vraie traînée dans la rue, juste pour le plaisir de rapporter un peu d'argent à sa maîtresse. Elle ne voulait pas devenir une prostituée secrètement, juste prouver combien elle pouvait être une véritable traînée, juste pour que sa maîtresse soit heureuse.

« Haaaaaan ! Ouiiiii ! Une pute !!! Une grosse pute à vouuuus~ »

Même après avoir jouis en elle, Amélie en voulait encore plus mais qu'elle se rassure, c'était réciproque. Même si sa Maîtresse venait la soulever par les hanches, elle venait la prendre encore, tout en continuant de la besogner, comme elle le méritait.

« Oh oui, Maîtresse, je serais haaaaa, votre chienne ! Ordonner, j'o-j'obéiraiiiiiiiiiisssss !!!! »

Velma mouillait de nouveau, elle adorait qu'on s'occupe ainsi d'elle et encore, elle avait un peu pris Amélie au dépourvu, lors des prochains soirs, quand elle aura besoin de sa chienne, elle pourra mieux s'occuper d'elle. Sentir la bite de cette dernière dans son corps et surtout, jouir en, ou sur elle, quel plaisir immense ! Velma se laissait tomber, du moins l'avant de son corps, sur le lit, posant sa tête dessus, bavant légèrement en étant sécoué par sa Maîtresse alors qu'elle refermait ses jambes autour d'elle comme elle pouvait.

« Haaaaaa, haaaaa, Encore !!! Je veux... déborder de fouuuuttre, haaaaaan ! »

Amélie comptait la baiser fort. C’était son seul objectif, et la seule chose qu’elle envisageait de faire en l’état. Velma était une sacrée salope ! Amélie avait peu à peu perdu toutes ses barrières, vu s’effacer toutes ses retenues. Elle prenait sa partenaire avec force, haletant et gémissant au fur et à mesure qu’elle la besognait sans ménagement. Sa combinaison crissait, tandis que la tête de Velma remuait sur le lit, s’y enfonçant. Elle tournait la tête pour voir sa belle Maîtresse, dont le corps était en sueur sous sa combinaison. Sa combinaison en devenait luisante, mais Amélie avait de plus en plus envie de la retirer. Sa peau très pâle rougissait tandis que sa verge, inlassable, continuait à besogner Velma. Par ses cris et par ses soupirs, Velma ne pouvait que motiver Amélie, qui s’imaginait déjà la suite du traitement qu’elle allait lui faire subir. Tout cela n’était en effet qu’un prélude, un commencement onctueux et intense, mais qui serait appelé à se réitérer par la suite !

Widowmaker continuait donc à la prendre, ses oreilles résonnant sous les délicieux jurons de Velma. Elle lui promit d’être sa grosse pute, sa chienne obéissante. Amélie se pinça les lèvres, et donna une grosse gifle sur le cul de Velma. Elle tendit son autre main, griffant son dos, et attrapa les cheveux de Velma. Elle tira dessus, puis se redressa, et déplaça sa jambe. Elle posa son pied sur la tête de Velma, qui était penchée sur le côté. Elle appuya dessus, et soupira, sentant sa verge durcir dans la chatte trempée de Velma.

« Hmmm…Tu es… Tu es vraiment incroyable, haaa… »

Elle voulait « déborder de foutre »… Simple, basique ! Cet aveu acheva Amélie, qui écrasa le visage de Velma sous sa botte, et se mit à jouir. Elle inonda la chatte de Velma, et soupira longuement en se déversant en elle. Un orgasme puissant et éruptif, délicieux et salvateur. Elle s’abandonna pleinement en elle, jouissant longuement, puis sourit ensuite, apaisée.

Amélie soupira lentement, et relâcha la pression. Elle défit alors sa combinaison, et se déshabilla intégralement. Sa parfaite peau pâle prenait une teinte violette quand elle se déshabillait ainsi. Elle soupira doucement en regardant Velma, la sueur maculant son corps.

« Viens me sucer… J’ai envie de pisser dans ta petite bouche de salope… »

La nuit n’était pas encore terminée, Amélie comptait donc bien s’amuser encore avec elle…

Aucune hésitation possible, toutes les barrières de Velma étaient abaissées, elle était celle qu'elle cachait à tout le monde, une véritable salope. Disons que ce genre de comportement serait mal vu en société, mais là, elles étaient en privé et Amélie la comprenait. Il y a encore quelques zones d'ombres qu'elle ignorait sur sa maîtresse, si elle accepterait un tel jeu, mais ça semblait bien partie. Elle se faisait baiser sans la moindre gêne, sans le moindre respect et elle aimait ça. Elle était même pire qu'une pute, elle ne se faisait pas payer, elle faisait ça gratuitement et elle aimait le regard que lui lançait. Ce regard disait, je te domine, tu es à moi. Il n'y avait pas l'ombre d'une petite touche d'égalité ou d'amour comme le ferait un couple qui joue, non, elle était plus grande et plus forte qu'elle, elle le montrait ouvertement. Et le pied qui écrasait son visage l'achevait ? Oui ! C'était ça qu'elle voulait, une Maîtresse avec un grand M ! Bien sûr, elle voulait sa liberté, elle avait un travail à faire dans le civil comme dans le privé, mais sur son temps libre, voilà ce qu'elle voulait, être traitée comme une moins que rien, une chienne ! Non pas qu'elle voulait être privée de nourriture et faire le ménage, mais privée de son consentement sur le plan du sexe ! Tous ses désirs appartenaient à Amélie, elle seule pouvait les réaliser ou non. Bien entendue, une salope pareille, elle ira lui tendre des perches, qu'elle dise oui ou qu'elle frappe son cul bien moelleux pour lui dire non.

« Haaaaaaan~ EncooooOOOOORRRE MAÎTRESSE !!!!!! »

Elle remuait ses petits pieds sous l'effet si agréable de tout ça et l'ultime coup de rein provoquait un double orgasme, un pour chacune d'elles. Sa mouille aspergeait Amélie, le foutre venait remplir son utérus. Ce foutre si chaud et agréable en elle, oh oui c'était tellement, tellement bon ! Elle couinait, bavait, les yeux dans le vide, elle a rarement été aussi heureuse de se faire remplir. Elle reprenait doucement ses esprits, voyant Amélie retirer sa tenue, elle voyait surtout son corps luisant, si beau, si savoureux, si parfait ! Elle s'attendait à une autre demande que celle précisé par sa maîtresse, mais en bonne salope qu'elle était, elle allait obéir, non sans lui demander quand même un petit service.

« A vos ordres, Maîtresse~ Mais est-ce qu'après ça, on pourrait se câliner ? »

Vu son sourire et son regard, ce n'était pas un câlin pour former un cœur autour d'elle en se regardant les yeux dans les yeux. Non, c'était pour la sentir, son corps chaud et glissant sur le sien qui l'était tout autant. Elle pouvait le parcourir avec sa langue, mais là, le sentir contre le sien serait sûrement meilleur à ses yeux. Velma se redressait, face à cette queue qui en faisait tout autant, elle voulait impressionner Amélie, qu'elle soit fière d'elle, favorable à sa demande donc après l'avoir titiller du bout du nez, elle ouvrait en grande sa bouche pour l'avaler ! Elle plaquait sa tête contre elle, son nez écrasé au-dessus de sa queue, elle remettait juste en place ses lunettes avant de reprendre, donnant de longue sessions pour la sucer en profondeur, la retirant parfois de sa bouche pour mieux reprendre son souffle et attaquer de nouveau. Velma ceinturait sa maîtresse, ses mains bien plaquées sur le superbe cul de sa maîtresse, un cul parfait et musclée comme il faut, elle était conquise !

« Maîtresse... Vous pouvez aussi me pisser dessus simplement... Je Vous appartiens. »

Elle n'était pas obligée de boire, après elle pouvait comprendre que sa maîtresse n'avait pas envie d'avoir sa propre pisse sur son corps si jamais elles se rapprochaient, mais quand même, elle serait heureuse que ça lui arrive tôt ou tard. Velma retournait la sucer en profondeur comme elle le faisait si bien, elle attendait cette récompense, cette possible double récompense... Pisse et foutre. En tout cas, c'était une occasion de montrer à Amélie combien elle était faite pour être une bonne chienne.

Amélie se déshabillait rarement totalement face à d’autres personnes. En ce sens, et même si Velma n’en avait pas encore totalement conscience, cela faisait d’elle une privilégiée… Et assurément quelqu’un qui, finalement, allait survivre à cette nuit. Sans sa combinaison, Amélie exhibait un corps à la peau grise, qui présentait deux tatouages. Sur son dos, elle portait un gros tatouage en forme de veuve noire, un tatouage qu’on pouvait voir quand elle ne portait pas de combinaison intégrale. Mais, surtout, sur le devant, au-dessus de son sexe, sur son pubis, et donc sous son nombril, un autre tatouage était présent. Un cœur lumineux, violet, un inmon qui brillait joyeusement, et qui semblait être à l’origine de l’endurance sexuelle intense d’Amélie. Devant Velma, elle sourit quand celle-ci, tout en rehaussant ses lunettes, alla lécher sa queue, suçant son membre en posant ses mains sur ses fesses, ceinturant avec ses bras le bassin d’Amélie.

D’une main, Widowmaker agrippait les cheveux de la femme. Elle était arrivée à un point de rupture. Si elle voulait la tuer, Amélie savait que ce serait maintenant. C’était ce que la prudence nécessitait. Amélie était après tout une agente secrète, elle n’était pas supposée avoir des proches, et Velma avait après tout vu son bunker. Pour autant, la voir ainsi la sucer, et la passion avec laquelle elle l’avait baisé… Elle avait posé son pied sur sa tête en la fourrant, et quelque chose lui disait que, malgré sa curiosité de journaliste, Velma ne la trahirait pas. De plus, elle pourrait peut-être lui être utile. L’organisation Talon avait envoyé Widowmaker à Yoake pour enquêter sur les Portails qui s’y trouvaient. Si Velma était proche du SHIELD, elle pourrait lui fournir des éléments importants. Amélie ne comptait évidemment pas faire d’elle une espionne, mais il aurait été idiot de se passer de ses talents.

*Après tout, elle a quand même réussi à trouver mon repaire…*

Velma acvait envie d’un câlin, et elle lui fit savoir que la femme pouvait aussi lui pisser dessus.

« Contente-toi d’ouvrir bien la bouche, ma chérie… Et assieds-toi sur tes cuisses, mets-toi en position ! »

Le ton d’Amélie s’était légèrement radouci. Ceci dit, elle voulait une Velma assise devant elle, en position de soumise, avec la langue pendante ! Elle se rapprocha ensuite, et posa sa main sur sa queue, afin de viser au mieux. Elle commença néanmoins par lui prendre ses lunettes, car celles-ci risquaient d’être éclaboussées. Puis, ensuite, Amélie se concentra, contracta ses sphincters… Et le jet doré fusa. Elle le déplaça en remuant sa queue afin de cibler la bouche de Velma. L’objectif était de bien viser, mais elle allait en foutre partout ! Le visage de Velma se retrouva ainsi marqué par l’urine d’Amélie, qui soupira ensuite, sentant son corps frémir et se relâcher en urinant sur elle. C’était délicieusement dégradant, incroyablement humiliant, furieusement excitant ! Mais, mine de rien, uriner en ayant une érection, ce n’était pas simple ! Amélie sentait néanmoins sa queue se dégonfler au fur et à mesure qu’elle salissait Velma. Le jet doré heurtait régulièrement ses lèvres, l’amenant à boire son urine, mais le reste dégoulinait de sa tête au reste de son corps.

Quand Amélie en eut terminée, elle sourit lentement.

« Maintenant, tu es officiellement mienne ! C’est comme ça que les chiennes comme toi fonctionnent, non ? Pour marquer ton territoire, tu pisses dessus. Eh bien, voilà un langage que tu dois pouvoir comprendre ! »

Amélie était heureuse. Elle se déplaça ensuite, et attrapa la laisse de Velma.

« Je ne compte pas te câliner, tu es pleine de pisse ! D’abord, je vais te laver ! »

Elle retourna dans la salle de bains, puis attrapa le pommeau de douche.

« Couche-toi sur le dos, allez ! »

La douceur allait devoir attendre encore un peu… Car, quand Velma se positionna, Amélie posa son pied sur son pubis, et appuya dessus, tout en l’arrosant avec le pommeau de douche. Elles n’étaient même pas dans la cabine ou dans la baignoire, mais à même le sol, sur un tapis de bain. Un joli arrosage avant un câlin de douceur et de tendresse… Pour ça, il fallait bien que sa chienne soit toute propre !

Velma n'avait plus de point de retour, à ce niveau-là, il fallait l'épuiser et attendre qu'elle retrouve un peu de jugeote et de dignité. Pour l'instant, elle voulait le pire, le plus extrême. Ce serait dommage de sortir de suite le plus imposant, mais même face au plus ignoble et dégradant piège d'Amélie, elle serait heureuse ! Tant que ce n'était pas de la mutilation ou du vraiment très crade. Se faire pisser dessus ? C'était la base de l'humiliation, après avoir passé le stade d'être nue. Pour elle, ce n'était pas forcément une broutille – elle ne faisait pas ça chaque week-end – mais c'était dans ses cordes. La sublime tueuse bandait si fort, même au repos, elle avait encore en tête cette image de cette verge vigoureuse et cet étrange tatouage, elle n'a pas souvenir d'avoir vue ça dans ses précédentes missions en tout cas ? Rien qu'elle se souvenait avoir vu en compagnie de Constantine, Zatana ou Strange. Amélie lui retirait quand même ses lunettes, faisant d'elle une taupe qui ne voyait pas le bout de son nez. Elle était donc obligée d'écouter ses ordres, sans savoir ce qui allait vraiment se passer ? Heureusement, c'était bien ça, elle lui pissait dessus, le jet allant parfois en bouche ou sur son corps. C'était plaisant, chaud, elle avait hâte de la voir faire pareil au moment de jouir. La quantité était moins énorme, mais le foutre sur la peau, sur son visage, c'était un plaisir sans nom.

« Aaaaaaaah~ »

Velma profitait de ce plaisir, même sans la vision de sa maîtresse qui lui pissait dessus, même après coup, elle ne voulait pas la toucher ainsi, tant, elle était sale. Elle comprenait et se faire rabaisser, ça l'excitait. Elle la suivait de force, tirée par la laisse en s'allongeant sur ce qui semblait être un tapis. Elle fut surprise bien qu'elle eût compris, en sentant l'eau lui passer dessus, tout en sentant cette pression entre ses cuisses. Elle le sentait, la forme de ses pieds sur elle. Elle n'était pas fétichiste des pieds, mais savoir sa peau nue, appuyée dessus.

« Han, Maîtresse... Merci de m'aider à me laver. »

Elle sentait le jet d'eau sur son corps, elle ne le voyait pas arrivé, elle le sentait juste passer ici et là, un simple jet d'eau suffisait à nettoyer la pisse sur son corps, après tout, elle venait tout juste de se faire arroser, ce n'est pas comme si elle avait passé des jours avec, sans se laver. Lorsque tout cela s'était arrêté, elle restait sur le dos, observant la silhouette qui était devant elle, ça ne pouvait être que sa Maîtresse.

« Maîtresse... pouvez-vous me rendre mes lunettes, je voudrais vous revoir. »

Toujours allongée, elle se dandinait en sentant son pied entre ses cuisses, c'était plaisant, mais elle était sûre d'une chose bien qu'elle ne voyait rien, Amélie devait sûrement bander de nouveau, à la vue de Velma, toute mouillée et excitée. Elle serait prête à tirer sa langue, comme la chienne qu'elle était. Maintenant bien propre, elle avait hâte que sa maîtresse prenne soin d'elle, ou qu'elle la dresse ? Cela dépendra de son humeur, sûrement ?

Amélie sourit doucement quand Velma réclama ses lunettes. Elle venait de la nettoyer, mais Amélie avait d’autres idées derrière la tête.

« Pas encore, ma chérie… Maîtresse Amélie a une petite surprise pour sa grosse pute en chaleur… »

Le ton malicieux de sa voix en disait beaucoup sur ce qu’elle préparait. Faute de recevoir ses lunettes, Velma reçut un bandeau noir autour des yeux, et Amélie la nettoya encore. Elle la frotta bien, puis tira sur la laisse reliée au collier de Velma.

« Mets-toi à quatre pattes, et suis-moi ! »

Dans le noir, Velma devait se faire aux instructions de sa Maîtresse. Toutefois, avant qu’elles ne partent, lorsqu’elle se releva, Amélie commença par lui enfoncer un plug anal rose dans les fesses, avec à l’extrémité une sorte de pierre précieuse violette. Elle sourit ensuite, puis sortit de la salle de bains. Velma soupirait lentement en sentant le plug vibrer dans ses fesses. Elles n’eurent cependant pas à aller très loin, Amélie ouvrit une porte, et Velma put la suivre. Elle lui ordonna ensuite de se coucher sur un tapis, puis d’attendre, tout en lui interdisant de parler. Amélie ouvrit ensuite une penderie, et on put entendre le raclement de tringles sur une barre, signe qu’elle cherchait… Des vêtements !

Après quelques instants, elle revint vers Velma, et la déplaça encore. Elle lui ordonna de se relever, et Velma se tint debout, puis finit assise sur un fauteuil, ce qui renfonça le plug anal dans ses fesses. Amélie appliqua alors sur ses jambes et sur ses bras une lotion, un liquide frais et huileux qui fit frissonner Velma. Elle fut ensuite déplacée sur un lit, et se retrouva assise sur les cuisses de sa Maîtresse, qui l’habilla patiemment, lui ordonnant de lever une jambe, puis l’autre. Velma put sentir sur elle une texture collante, longue… Elle fila sur ses jambes, puis Velma dut se relever, et sentit les mains d’Amélie glisser ses bras dans des manches. L’habillage prit bien plusieurs minutes, et Amélie referma la combinaison dans le dos de Velma. Alors, seulement, le bandeau lui fut retiré.

Dans le dos de sa petite esclave, Amélie la caressa, faisant crisser sa combinaison, puis lui mit sur la tête sers lunettes.

« Observe-toi, ma chérie… Regarde comment Maman Amélie t’a habillé… »

Face à un miroir, Velma pouvait s’observer. Elle portait une magnifique catsuit rouge en latex.

« Comment tu te trouves, ma belle ? »

Contre ses fesses, Velma pouvait sentir la furieuse érection de sa Maîtresse. Elles étaient dans une autre chambre, une autre pièce de ce bunker abritant bien des surprises…