The Multiversity

[Kiriko Hattori]

Un corps tendre, un corps jeune, un corps innocent – enfin, pas tant que ça – voilà ce que la sorcière avait sous les yeux. Elle savourait la première fois de sa fille, elle avait l'honneur et le devoir d'enseigner le sexe à sa douce petite Sha, alors elle se devait de faire ça correctement. Caressant sa peau, elle remuait doucement en elle, venant augmenter peu à peu son plaisir, le repoussant toujours un peu plus loin pour mieux lui apprendre les choses. Elle devait penser que le plaisir était déjà à son paroxysme, mais non, il y avait toujours mieux à proposer. Sha le savait très bien, mais elle jouait son rôle de petite fille encore à côté de cela. Kiriko aussi durant ses premières fois avec la déesse pendait atteindre le septième ciel, mais Sha repoussait les limites toujours plus loin !

La sorcière profitait de sa fille comme elle ne le ferait jamais. Quoique ? Seront-elles incestueuses avec leurs enfants ou bien elles seront dans la norme et n'iront pas plus loin que de gros câlins et de tendre baiser – pas sur la bouche - pour réconforter leurs enfants ? Elles n'en étaient encore loin, pas la peine de s'en faire pour ça, pour le moment, elle avait sa petite Sha pour profiter de tout cela sans se sentir honteuse ou autre. Mais bien vite, Sha venait à jouir, chose rare vu qu'elles commençaient tout juste, mais la déesse devait jouer son rôle sérieusement en se faisant passer pour une fille loin d'avoir de l'expérience ? Son fluide coulait le long de sa queue, son corps tremblait de plaisir, c'était presque mignon.

« Bien des choses, ma chérie... Mais tu verras bien, Maman ne va pas tout te dire. Mais je peux déjà te dire ce qui va se passer ensuite. Maman va continuer de te faire l'amour, en étant un peu plus rapide, et elle va jouir en toi. Tu auras ma semence ma chérie, toute chaude, délicieuse, tu te sentiras encore mieux que maintenant. »

Pleine de douceur, Kiriko caressait les joues de sa fille chérie, la laissant reprendre son souffle avant de reprendre là où elle s'était arrêtée. Elle devait continuer de lui faire l'amour jusqu'à jouir en elle. Vu sa taille, est-ce qu'elle va déborder de sa semence ? Ce sera la surprise. Toujours en elle, la sorcière mettait juste un peu plus d'entrain dans ses mouvements, continuant de lui faire tendrement l'amour en y mettait juste un peu plus de vitesse, de passion, de baiser. Dans cette situation, elle était la dominante, mais pas le genre à être une sadique, non, tout en douceur. Car c'était Sha ? Car c'était sa « fille » ? Ou bien en réalité elle était aussi douce avec les autres filles gentilles ? Pas vraiment, de base elle n'aimait pas beaucoup qu'une fille soit trop soumise et douce. Rem, c'était différent, ça restait une servante au temple de Sha, mais cette petite voulait juste se rendre utile. Que ce soit à cause de son passé d'esclave ou que Kiriko l'ait sauvé durant une mission, allez savoir. Mais elle n'était pas méchante et elle ne pouvait pas virer cette petite. Bon, certes, quand elle venait trop vanter les mérites d'Açoka, elle ne pouvait pas non plus se montrer trop gentille avec elle, mais... elle le cherchait aussi.

Mais elle n'était pas ici pour penser à Rem, mais à sa chère petite Sha. Douce petite déesse aimée par sa sorcière. Son corps enroulé autour du sien, il avait beau être encore bien habillée, elle profitait à fond de cela. Inutile de la mettre à nue trop vite, c'était bien trop rare d'avoir sa déesse habillée pour de suites la vouloir dans le plus simple appareil. De temps à autre, sans trop insister, elle allait lui donner de petits coup de reins plus fort que la moyenne qu'elle avait installer pour lui montrer combien il était bon aussi d'aller encore un peu plus vite. Mais il faut bien avouer une chose, c'est que Kiriko aimait bien écraser le corps de sa fille, sentir ses formes écraser les siennes, son entrejambe venir en elle, plus loin encore, tout était plus délicieux. Mais toute bonne chose ayant une fin, elle venait jouir en elle, déversant sa crème dans son petit utérus, la sorcière la laissait profiter de chaque instant.

« C'est bon, ma petite Sha d'amour ? Maman va te laisser choisir la suite. On peut faire quelque chose qui fait aussi un peu mal, mais qui est délicieux en jouant avec tes petites fesses... Ou bien, tu peux venir faire du bien à maman avec ta petite bouche, sur ma belle queue. Choisi ce que tu voudrais faire en premier, ma petite déesse d'amour. »

Il n'y avait pas le feu, Sha pouvait choisir ce que son petit cœur encore innocent pouvait supporter, l'anale ou la fellation. Qui sait, avec un peu de courage, elle pourrait avoir une gorge profonde ? Non, pour une première fois, ce serait placé la barre un peu haut tout de même...

[Sha]

Sha, sous cette forme, prenait son rôle à fond, tout en se disant qu’elle s’amuserait sans doute, par la suite, à réitérer l’expérience... Au moins jusqu’à ce que leurs filles grandissent. C’est ce qu’elle voulait : fonder une famille avec Kiriko. Voir leurs multiples enfants grandir dans leur domaine épanoui, en ayant l’assurance qu’il ne leur arrivera rien de mal. Sha était revenue à la vie percluse de haine et de colère, mais là, sous cette forme, elle n’était clairement que bonté, amour, gentillesse, et tendresse. Prendrait-elle ensuite l’habitude d’enfiler des culottes ? De belles robes ? De s’habiller de manière plus complète qu’avec son manteau et sans sous-vêtements ? En soi, ce n’était pas impossible. L’amour pouvait vous amener à faire bien des choses, y compris se faire belle pour sa femme. Et, contre elle, Kiriko continuait à la prendre, accélérant progressivement le rythme, sa verge enflant dans le corps de Sha, grossissant doucement, au fur et à mesure que le temps passait, et qu’elle s’enfonçait plus profondément en elle.

« Hmmm... Ma-Maman, haaaa... »

Elle fermait parfois les yeux, avant de les rouvrir rapidement, afin de croiser son regard avec celui de sa Maman. Entre elles, le fantasme prenait corps, devenant indiscernable de la réalité. La magie de Sha aidait intuitivement, car elle avait modifié son corps en fonction, se dotant ainsi du corps d’une vierge... Tout en prenant aussi l’apparence qu’elle avait réellement eu il y a quelques années. Sha laissait également s’exprimer une personnalité plus humaine, celle de l’âme avec qui elle avait fusionné pour devenir Sha. Peut-être bien que c’était la bonté de cette âme qui avait, progressivement, réussi à changer Sha ? À lui donner envie de fonder une famille avant de partir guerroyer contre ses anciens ennemis ? Si cela était vrai, ceci expliquait aussi pourquoi ce fantasme marchait si bien, car Sha n’avait pas, sous cette forme, avec ce corps, donné à l’âme qu’elle avait prise une mère. Alors, inconsciemment, ce morceau d’elle-même cherchait peut-être à combler en ce moment un manque...

Quoi qu’il en soit, Sha savourait le plaisir qu’elle ressentait, embrassant régulièrement sa mère, sentant son corps s’écraser contre le sien. Oh, comme elle aimait ça ! Cette sensation d’étouffement, ce sentiment d’écrasement contre son corps, le désir qui montait graduellement, cette bouffée de chaleur qui transparaissait dans tout son corps, remontant furieusement en elle.

« Maman, haaaaann... »

Elle gémit encore, et un nouvel orgasme ne tarda pas à la traverser. Elle s’y abandonna avec plaisir, tandis que la séance se poursuivait. Kiriko ne pressait en rien, et les doigts de Sha se crispaient sur sa nuque, tandis qu’elle se forçait à regarder, s’évertuant autant que possible de ne pas quitter ses yeux... Mais, quand elle jouissait, elle fermait les yeux en se pinçant les lèvres, laissant alors la vague la submerger. Elle eut donc au moins deux orgasmes pendant ce coït, avant d’en avoir un quand sa mère se mit à jouir en elle. Un magnifique orgasme, et elle ne put que jouir en sentant le sperme chaud de sa Mère éclater dans son corps.

La relation incestueuse ne risquait toutefois pas de se terminer si facilement. Kiriko proposa en effet de passer à la suite, et Sha se mordilla doucement les lèvres.

« Je... Je veux sentir le... Le sexe de Maman... Contre mes lèvres... » déclara-t-elle, d’une voix assez faible.

Kiriko se redressa donc, et Sha se déplaça, finissant à genoux devant elle. Elle plia les jambes en s’installant sur le sol, et contempla le sexe de Kiriko. La magie était telle que Sha avait, non seulement effacé de son corps ses souvenirs sexuels, mais également de son esprit. Elle se présentait donc sous toute sa candeur à Kiriko, et commença à palper le sexe.

« Il est mou... Et chaud... Et gluant aussi... »

Mais, tandis qu’elle le caressait, elle vit le sexe se redresser, se durcissant rapidement sur place pour se redresser. Sha écarquilla les yeux en constatant l’épaisseur de ce membre, et appuya encore dessus, le pinçant brièvement.

« Ce... Ça ne te fait pas mal, Ma-Maman... ? » demanda-t-elle, un peu craintive.

En tout cas, la bouffée de chaleur continuait à remonter dans sa poitrine...

[Kiriko Hattori]

Kiriko ignorait que sa déesse avait effacé tout souvenir de sexe sous cette forme. De façon temporaire, certes, mais elle se disait juste qu'elle jouait là très bien son rôle, elle était parfaite en fille découvrant le sexe. La pénétrer, elle et son petit trou bien étroit, c'était un pur bonheur. Elle y allait doucement pour ne pas la brusquer, et même après, elle continuait de la prendre en allant un peu plus vite, mais elle était loin d'égaler ce que valaient vraiment leurs séances d'amour torride. Là, c'était bien trop gentil pour une personne comme Sha. Mais à force de la prendre et de mener cette petite au plaisir par deux fois, la troisième fois fut la bonne, elle venait jouir dans sa petite Sha, remplissant son petit utérus de tout son amour blanc et gluant, la faisant couiner de plaisir.

Pour la suite, elle lui laissa le choix, quelque chose de doux comme la fellation ou de plus piquant comme la sodomie ? Elle avait déjà une idée de sa réponse et elle avait eut raison. Sinon, c'est que sa fille aurait été pus perverse que curieuse en voulant de suite la sodomie. Soit, elle se retira en aidant sa fille à se relever avant de l'inviter à se mettre à genoux. Elle lui caressa doucement la tête en se rapprochant d'elle, lui laissant carte blanche pour expérimenter tout cela. Elle le toucha et peu à peu, il se redressait fierement, prenant plus de volume que sa forme initiale.

« Ce n'est rien, ma chérie... Maman est juste très excitée par toi. Fait ce que tu as envie avec, tant que tu ne me fait pas mal. »

C'est-à-dire éviter de le serrer trop fort ou encore le mordre, là, ce ne serait pas agréable à ressentir. Sa main passait doucement sur sa tête, la caressant avec douceur. Elle préférait tout de même lui donner deux trois conseils pour ne pas la jeter de suite dans cet univers.

« Ne vas pas trop vite, Sha. Habitue-toi à mon sexe. Caresse-le... Lèche-le... Prends en un petit bout en bouche... Fait ce que tu veux et vas à ton rythme. Tu pourras même choisir si je dois jouir dans ta petite bouche ou sur ta petite bouille... Du moment que c'est ta bouche qui fait le plus gros du travail, tu peux choisir ce qui te fait le plus envie, ma chérie. »

Elle n'imposait pas sa façon de jouir, Sha devait certes expérimenté des choses, mais aussi choisir ce qui lui semblait le plus tentant. Qui sait quand Kiriko aura droit de câliner sa petite Sha ? Autant lui laisser le choix, même enfant, ça reste sa magnifique déesse.

« Et quand tu seras assez expérimentée... Ce sera peut-être toi qui viendras faire l'amour à Maman ? »

Une mini-Sha futa ? Pourquoi pas, l'idée la tentait pas mal, de voir sa fille venir la baiser, avec son inexpérience, ça pourrait être très mignon à voir ça chez elle.

[Sha]

Sha se pinça doucement les lèvres devant ce membre. Le rendu était vraiment parfait, et elle releva la tête en écoutant sa mère, tandis que ses petites mains caressaient cette masse. C’était vraiment un organe curieux ! Il était mou, et se durcissait sous ses doigts, se redressant fièrement devant elle. Sha se pinça encore les lèvres, tout en écoutant les consignes de sa mère, mais, avant de prendre le membre en bouche, elle donna quelques baisers dessus. La surface était chaude, étonnante, un peu sale, et elle reniflait une drôle d’odeur. En réalité, ce sexe avait plutôt tendance à ne pas sentir bon, une odeur inattendue pour la jeune Sha, mais elle ne comptait pas le dire à sa mère. Elle soupirait en sentant sa main gantée sur ses cheveux, et se pinça doucement les lèvres. Si sa mère était une guerrière, ce n’était pas le cas de Sha, ce qui expliquait pourquoi elle ne portait pas une combinaison de combat.

« Je... Je dois le prendre en bouche, alors... ? »

Elle était en effet totalement inexpérimentée. Kiriko pouvait encore croire à un jeu, à une simulation de sa part, mais ce n’était clairement pas le cas. Se pinçant doucement les lèvres, elle regarda encore sa Maman, qui l’encouragea à nouveau, puis elle appuya sur son chibre, le rapprochant de ses lèvres.

« Il est si gros, je ne sais pas si je vais y arriver, Maman... »

Oh, elle n’avait rien à craindre, mais il fallait bien la rassurer ! Sha souffla encore sur ce sexe, puis ouvrit bien grand la bouche, et s’avança en avant. Elle écarta ensuite ses doigts, et posa ses lèvres sur l’extrémité de son sexe. Un frémissement la traversa, tandis qu’elle avançait involontairement ses dents... Mais, quand Kiriko sentit les dents s’approcher, elle ne manqua pas d’avertir sa fille, qui hocha doucement la tête, et suivit ses conseils. Elle s’avança en avant, poussant sa tête vers le corps de Kiriko, et couina doucement. Le membre s’enfonça dans sa bouche sur quelques centimètres, et elle pensa ensuite à respirer par le nez, à retrouver son souffle, et recommença ensuite.

Avant, arrière, avant, arrière... Elle avançait lentement, sa langue remontant depuis son palais pour titiller ce membre, toujours aussi dur. C’était comme avaler une sorte de saucisse qu’elle ne pouvait pas mordre. Du moins, c’était la seule comparaison que Sha se faisait en ce moment dans son esprit.

Sha gémit encore, avant de poursuivre, essayant de faire plaisir à sa mère, tout en sentant elle-même une certaine chaleur se mettre à pointer dans son corps, notamment entre ses cuisses. Elle relevait souvent le regard, afin de voir le plaisir sur le visage de sa Maman. Sha tremblait nerveusement, craignant de lui faire mal, ou de ne pas être à la hauteur... Pour elle, tout cela était après tout totalement inédit ! Alors, elle espérait sincèrement que sa Maman appréciait tout ce qu’elle était en train de lui faire... Ne pouvant rien dire, Sha observait donc, attentive aux instructions de sa Maman pour continuer à être une fille admirable, et pour lui prodiguer tout le plaisir possible !

[Kiriko Hattori]

Faire l'amour à Sha, c'était délicieux. Faire l'amour à Sha, qui jouait les jeunes demoiselles inexpérimentés, c'était encore mieux ! Bon, la sorcière n'irait pas lui demander de rester comme ça à vie, mais ça changeait un peu de d'habitude, surtout que mine de rien, elle était une bonne actrice. Elle s'amusait devant sa réaction face à son pénis, la voir le toucher doucement, le sentir avant de poser quelques baisers dessus qui, évidemment, la faisait réagir.

« Fait ce que tu veux, ma chérie... Tu t'y habitueras à ton rythme. Et puis ne t'en fait pas, je ne te demande pas de l'avaler, juste de faire ton maximum. Petit à petit, tu repousseras toi-même tes limites. »

Rien ne sert de la presser. Car si elle arrive à lui faire une gorge profonde dés le début, soit sa fille cachait bien son jeu, soit Sha ne résistait pas à cette envie de lui pomper le dard au plus profond de sa gorge. Gardant sa main sur sa tête, la sorcière lui caressait les cheveux doucement, laissant sa fille maîtresse de son rythme et de ses mouvements, elle lui précisa juste qu'elle lui dire si jamais elle commence à lui faire mal, sans ça, elle avait carte blanche. Bien que ce fut doux, délicat, lent, Kiriko appréciait cette « première » fellation de sa fille, c'était délicieux.

« Mhh, tu te débrouilles bien, ma petite Sha... Maman est fière de toi. »

Autant la félicité, elle le méritait après tout. Doucement, sa main venait se placer derrière sa tête, elle n'allait pas la forcer à augmenter son rythme, mais disons plutôt que c'était une petite aide pour sa chère petite déesse.

« Maman va un peu t'aider. Si tu n'y arrives pas, tapote ma cuisse, d'accord mon trésor ? »

Doucement donc, sa main venait pousser un peu plus sa tête sur sa queue, la rapprochant un peu plus de son bassin, tentant de lui faire maintenir cette petite progression pendant quelques longueurs avant d'augmenter un petit peu à chaque fois son record. Quand ses lèvres arriveront à englober la totalité de sa queue, sa chérie aura gagné. Mais Kiriko savait qu'il y avait peu de chance que cela se produise si facilement pour cette « première » fois. Maintenant qu'elle avait guidé sa fille, elle redéposa sa main sur sa tête, caressant ses cheveux, comme une gentille fille le méritait.

« Mmmhhhhh... Continue, ma petite Sha... »

Sa main de libre venait se poser sur son sein, se caressant la poitrine pendant que sa fille suçait sa queue. D'ailleurs, elle ne voyait pas ce qui se passait entre ses jambes à elle, mais au cas où, elle préférait préciser une chose...

« Si tu veux te toucher, ma chérie... Fait donc... ça excitera Maman de le savoir. »

Elle allait en profiter de sa petite Sha chérie.

[Sha]

C’était, techniquement, une première fois, vu que Sha avait réécrit tout son corps. Elle se livrait ainsi à une simulation très crédible, car reposant en grande partie sur la magie, et sur les transformations physiques et mémorielles qu’elle avait infligés à son corps. Quitte à prendre ce rôle, autant le rendre le plus crédible possible ! Et puis, voir Kiriko heureuse, si accomplie, qui se dévouait tant dans ce rôle... C’était très agréable ! Sha avait là l’ultime confirmation que Kiriko était prête, prête à porter leurs multiples enfants, à les voir grandir, et à leur offrir tout l’amour dont elle serait capable... Sauf à ce qu’ils soient de sexe masculin ! Dans ce cas de figure, les choses promettaient d’être un peu plus compliquées, mais les deux femmes n’y étaient pas encore. Pour l’heure, Sha et Kiriko profitaient joyeusement l’une de l’autre, et Sha s’enfonçait contre le membre tendu de Kiriko. Sa queue était grosse, si grosse ! Rapidement, elle eut une étonnante sensation d’étouffement, d’étranglement, et ferma les yeux, sursautant en sentant la main de sa mère sur sa tête, et soupira longuement.

« Hmmm... !! »

Cette sensation était particulièrement étonnante. Elle sentit la main de sa mère se crisper sur ses cheveux, et s’enfonça alors, gagnant quelques centimètres, avant de couiner encore, et crispa ses propres mains sur les cuisses de Kiriko. Sa mère gémit alors, sa queue semblant encore gonfler. Dans sa bouche, Sha, tout en soupirant, s’efforça de relever sa langue, la décollant de son palais, et s’en servit pour lécher ce membre. Elle glissa délicatement dessus, poussant avec sa langue, redressant ainsi le membre de sa mère, tout en essayant de se faire à l’idée qu’elle avait bel et bien un phallus dans la bouche ! L’idée était des plus saisissantes, et Sha releva doucement les yeux.

Elle put ainsi voir que sa mère était en train de masser l’un de ses seins, son visage se recouvrant de délicieuses rougeurs, ce qui était sans aucun doute le signe que Sha était en train de lui faire plaisir ! Cette idée suffit à stimuler encore l’Ombre, qui soupira à nouveau, frottant son visage. Elle se concentra encore, et sa mère lui donna une nouvelle instruction... Qui tombait d’autant bien que, effectivement, Sha commençait à avoir chaud entre les cuisses !

« Mmmhmm... »

Incapable de parler, Sha obtempéra donc, et aventura sa main gauche entre ses cuisses. Elle alla sous sa culotte, et se caressa donc intimement, comme sa Maman lui avait appris à le faire quand elle avait commencé à avoir ses premières floraisons. Ses doigts se recouvrirent de cyprine, et elle continua son office, gonflant et creusant ses joues. Elle fermait les yeux en sentant ce membre s’enfoncer en elle, mais elle n’arrivait pas à tenir très longtemps, car, quand la verge de sa mère s’approchait du fond de sa bouche, une sensation d’écœurement se juxtaposait à l’étouffement qu’elle ressentait.

Se concentrant encore, la jeune Déesse réussissait toutefois à offrir une belle performance, même si son inexpérience formait une barrière infranchissable. Au moins, elle réussissait à ne pas se retirer, voulant que sa mère jute en elle. Oh oui, elle avait envie de sentir son sperme, même si elle craignait que ce ne soit pas très bon... Mais il s’agissait de sa mère, après tout, et Sha se devait de lui montrer qu’elle était une bonne fille, et qu’elle aimait profondément sa mère !

Et elle ne voyait pas de meilleurs moyens que de lui montrer ainsi...

[Kiriko Hattori]

C'était un moment très bon qu'elle partageait avec sa fille, après avoir pris sa virginité vaginale, la voilà en train d'en faire de même avec sa délicieuse petite bouche. Bien entendu, sa queue comptait bien finaliser ensuite cette trinité du sexe mais inutile d'aller trop vite. La sorcière laissait sa fille agir comme bon lui semble, venant tout de même, imposer plus ou moins certaines petites choses. Augmentant doucement le rythme, elle venait donner deux ou trois directives comme l'autorisé aussi à se faire plaisir. Pourquoi priverait-elle sa fille de se faire plaisir ? Elle en faisait autant donc pourquoi interdire une telle chose ? Sha était si gentille, c'était donc inutile de la priver de cela.

« Bien, ma chérie... continue, Maman est contente de toi... »

Oui, très. Elle se débrouillait bien, sans être une déesse de la pipe, elle faisait ça bien, sans lui faire mal, sans avoir fait preuve de maladresse non plus. Peut-être qu'elle irait se concentrer sur un plaisir plus personnel de Sha avant de passer à son petit trou inexploré ? Afin d'équilibrer un peu plus la balance. Sa main avait souvent tendance à passer de ses cheveux à sa joue, elle état si mignonne, une vraie petite beauté. En plus, elle ne mentait pas, elle savait à quoi ressemblerait sa « fille » plus tard, autant dire qu'être belle, ce sera le moins que l'on puisse dire. Peut-être qu'après elle la laissera venir se blottir contre elle et profiter de son corps ? De sa poitrine ? En étant nue, bien entendus, ce sera bien mieux comme ça.

« Mhh... tu ne sera pas obligé... de tout avaler... mais tu devras au moins... mhh, en goûter un petit peu... »

La petite Sha arrivait à doucement repousser ses limites, venant sans cesse prendre cette queue de plus en plus loin en bouche, c'était une brave fille qui n'avait pas peur d'aller au-delà de ce qu'elle ne connaissait pas. Mais après quelques minutes, la sorcière venait à enfin répandre en elle sa semence, venant déverser dans sa bouche sa semence blanche. Remplissant sa petite bouche, elle ne la forçait pas à avaler ou à tout garder en bouche, mais comme elle l'a dit, au moins à goûter. Doucement, elle retira sa queue de sa bouche, la tenant encore d'une main en observant les réactions de sa petite Sha.

« Alors ma chérie ? Tu aimes ? »

Le temps pour elle de s'y faire - ou non – elle venait appuyer sur son col, venant enclencher la commande vocale qui venait élargir sa tenue, si moulante et parfaite en une taille dix fois trop large pour elle. Tombant au sol, Kiriko se retrouva dans le plus simple appareil. Sa main de libre venait caresser le visage de sa fille, un visage si doux...

« Viens te blottir contre Maman, Sha, je veux te faire un gros câlin. »

L'occasion aussi pour elle de la récompenser avec son propre corps.

[Sha]

Sous cette apparence plus juvénile, Sha avait sacrifié sa redoutable expérience au profit de l’innocence. Elle avait pris une forme adolescente, celle du désir naissant, quand le corps de fillette s’effaçait au profit de l’adulte qu’elle escomptait devenir. Une étape intermédiaire, comme une manière de satisfaire les pulsions maternelles de Kiriko en attendant leur progéniture. L’inceste était mal vu dans la quasi-totalité des sociétés modernes, mais certaines traditions ancestrales avaient la vie dure, notamment chez les sorcières. Sha ne voyait donc aucune objection à ce qu’une sorcière s’occupe de l’éducation sexuelle de ses propres enfants. Cette position pouvait s’expliquer, outre par la perversité elle-même, peut-être par l’importance cruciale qu’avait le sexe dans le domaine de la sorcellerie. Les sorcières se devaient d’être compétentes dans ce domaine, car le sexe était un vecteur énergétique puissant, et la magie rose était un classique de la sorcellerie... Surtout sur Terra. Il était donc dans la tradition des sorcières que d’initier soi-même ses enfants aux joies du sexe.

La jeune Sha s’attaquait donc au membre tendu de sa mère, fermant les yeux, continuant à soupirer. Bien sûr, Sha pourrait reprendre son apparence normale, avec ses souvenirs, mais elle pourrait sans doute encore offrir cette forme à Kiriko de temps en temps... Du moins, jusqu’à ce que Sha soit également enceinte. Il serait difficile de jouer une Sha adolescente et ingénue en ayant un ventre rond ! D’autant que, sous cette forme, Sha effaçait aussi ses souvenirs. Oh, il n’y avait aucun risque pour qu’elle « efface » sa grossesse, mais... La magie était une force puissante, qui pouvait influencer la réalité à des degrés inimaginables ! Autrement dit, Kiriko avait tout intérêt à profiter de Sha dans cet état.

« Hmmm... »

En l’occurrence, Sha goûtait à l’épais membre de sa mère, sentant sa main se crisper sur ses cheveux. Elle tremblait à l’idée de ce qui allait venir. Aussi naïve soit-elle, la jeune Sha n’en restait pas ignare en la matière. Comme dit, le sexe n’était pas un tabou chez les sorcières, et il était normal, dans leur culture, que la mère parle à sa fille du sexe, des pulsions de son corps, la regarde se masturber, ou lui enseigne comment le faire. La Sha adolescente connaissait donc tout cela, mais uniquement en théorie... Et exerçait maintenant ses connaissances théoriques en pratique ! Elle léchait donc ce membre... Jusqu’à écarquiller les yeux quand Kiriko jouit en elle.

Un bel orgasme, la queue de Kiriko tressautant dans la bouche de Sha en libérant des filaments de foutre. Sha couina sur place, sentant ce liquide amer, poisseux... Et en réalité très amer ! Beurk, avait-elle envie de dire... Mais elle ne pouvait pas faire ça à sa mère ! Sha était comme face à un nouveau dentifrice efficace, mais très mauvais. Il allait lui falloir l’utiliser à de nombreuses reprises pour s’y habituer ! En attendant, elle fit la seule chose qui lui semblait utile, et que sa mère l’invitait d’ailleurs à faire. La bouche pleine de son foutre, elle se lova dans ses bras, posa une main sur ses cheveux... Et l’embrassa rapidement.

Ses lèvres se plaquèrent aux siennes, et elle déversa son foutre dans sa bouche, essayant de faire passer ce goût amer avec la salive de sa Maman, se pressant contre elle.

« Hmmmmmmmmm... !! » gémissait-elle longuement.

Là, oui... Oui, comme ça, c’était infiniment mieux, bien plus agréable ! La langue de sa mère jaillissait dans sa bouche, et ses puissants bras serraient sa fille fort, s’appuyant sur ses fesses. Sha, elle, continuait à mouiller le long du ventre de sa mère, sa cyprine tombant sur sa queue, tandis qu’elle goûtait avec plaisir à ses lèvres, encore et encore.

Oui, ce bain de bouche était clairement tout ce dont Sha avait besoin, et elle faisait volontiers durer le plaisir, prolongeant le baiser aussi longtemps que possible !

[Kiriko Hattori]

Faire l'amour avec sa fille était une chose que Kiriko adorait déjà. Certes, en évoquant une petite Sha, elle avait surtout pensé à une forme plus jeune encore, où l'idée de sexe ne lui viendrait même pas l’esprit et seule une noyade de câlin entre ses bras étaient envisageable. Mais la voir sous sa forme de jeune demoiselle, bientôt femme, c'était aussi une bonne idée afin de continuer la soirée. De plus, dans moins d'un an, elle aura sa petite Arya donc, c'est juste une question d'attente. Après ce tournoi, il lui suffira de savourer tout l'amour de sa Déesse lors de leur nuit de noces et le tour sera joué. Après avoir rempli l'utérus de sa fille, Kiriko lui apprenait à savourer sa semence, même si Sha s'en sortait bien en pratique, une fois l'orgasme atteint, elle faisait là une drôle de tête mine de rien. Il est vrai que chacun avait ses goûts, même la sorcière ne se souvenait pas de son premier ressentit vis-à-vis de cela ? Elle a aimé ? Ou pas ?

Elle la fit se relever pour l'embrasser, afin de partager un peu, la réconforter et e profiter un peu aussi. Elle avait beau être encore habillée, sa fille était encore plus belle ainsi. Il était si rare de voir Sha habillée que ça la rendait plus mignonne encore. Ce n'est pas une raison pour qu'elle reste habillée très longtemps encore, mais, Kiriko voulait tout de même en profiter un peu. Sa main serrait l'une de ses petites fesses pendant qu'elle faisait durer le plaisir avec sa fille. Un plaisir qu'elle ne dissimulait pas. Mais comme elle l'avait promis, après l'avoir sucé, Sha aurait droit de lui demander une chose. Une chose qu'elle aimerait lui faire, sans que Kiriko lui impose. Caresses, baisers, mots doux, elle pouvait être dans le soft comme dans le trash, mais étant encore « jeune », sa petite Sha ne semblait pas avoir les goûts habituel de la Sha que Kiriko connaissait sur le bout des doigts.

« Je te laisse choisir ce que tu veux faire ensuite, ma chérie, Maman te laisse décidé et l'on fera ce que tu as envie de faire. N'ai pas honte et demande moi ce que tu veux faire. »

Même en restant gentille, elle pouvait trouver une bonne idée. De toute façon en amour, surtout dans le leur, il n'y avait pas de mauvaises idées. À la fois douce et amante, elle caressait ses doux cheveux, pendant que sa main profitait de ses petites fesses encore innocentes et vierges. Pas la moindre fessées, pas la moindre pénétration, pas la moindre marque de morsure. Sa petite et innocente Sha deviendra la Sha qu'elle aimait tant en la formant minutieusement... Sauf qu'elle n'avait pas une si longue vie devant elle, la jeune Sha, ce n'était que temporaire.

[Sha]

Sha avait déjà pris une forme enfantine devant Kiriko, pour recevoir de sa part un câlin. Dès lors, on aurait pu croire que cette nouvelle transformation-ci ressemblait  à ça... Mais ce ne serait pas exact. Pour se réincarner dans le monde des mortels, Sha avait pris possession d’un corps humain. C’était comme ça que l’Ombre fonctionnait, et elle choisissait ses hôtes parmi les enfants de son culte, la famille voyant cela comme un immense honneur. Mais Sha ne détruisait pas l’âme de l’hôte qu’elle incorporait, elle fusionnait avec, et, à sa manière, était influencée par cet hôte. Et, là, tandis que « Sha » embrassait Kiriko, la réalité devait s’imposer : Kiriko faisait l’amour avec Sha, mais aussi avec Lisa, et, tandis qu’elles s’embrassaient, et que Kiriko caressait tendrement les fesses de Sha, celle-ci put lui en faire la précision.

« Kiriko... Hmmm... »

Sha l’embrassa encore, et la repoussa doucement. Kiriko se retrouva couchée sur le dos, et Sha se redressa sur elle. À califourchon, elle sentait le renflement de la verge de son amoureuse contre ses fesses, et sourit encore, les joues rougissant, et caressa les épaules de Kiriko. Sha papillonna des yeux, avant de lui expliquer davantage :

« Je... J’ai toujours eu peur de prendre cette forme, Kiriko, car... Tu me vois telle que mon hôte aurait dû être si... Si Lisa avait grandi normalement. Et... Sous cette forme, je ne sais pas si je suis Sha, ou si je suis Lisa. »

C’était pour ça que Sha hésitait à prendre cette forme, car on ne pouvait pas exclure que Lisa soit en colère, une âme frustrée d’avoir été partagée avec une Déesse sans pouvoir donner son avis. Mais le choix stratégique de choisir des bébés s’expliquait par le fait que leur âme venait juste d’éclore, et qu’il était plus facile de s’y associer. Lisa sourit alors, et caressa le visage de Kiriko.

« Sha t’aime profondément, Kiriko... Et moi, je crois que tu es la mère que j’aurai toujours rêvé d’avoir... »

Lisa était née dans un orphelinat mal famé de Mijak. Elle était destinée de base à une enfance malheureuse, et Sha l’avait choisi au vu du potentiel magique qu’elle avait perçu en elle. Elle n’avait jamais retrouvé les parents de Lisa, et avait accepté cette situation. Le fait que Sha fasse rejaillir Lisa ici était une preuve indéniable de l’harmonie qui régnait en elle, et du fait que Kiriko arrivait à plaire également à son hôte. Lisa se pencha en avant, et embrassa Kiriko sur les lèvres, assez longuement, tout en continuant à mouiller sur la queue de Kiriko.

La jeune femme sourit une nouvelle fois, en rompant le baiser, et frotta son nez contre celui de Kiriko. Que voulait-elle, maintenant ? Le choix était plutôt évident.

« Mais je crois que je t’aime aussi, Kiriko... Ton amour, ta foi, ton courage... Tout cela m’a aidé à accepter ma situation, et je crois que j’ai aidé Sha à... À aller mieux. »

Après tout, quand Sha avait réussi à sortir de sa prison, elle était aigrie, colérique, en proie à une rage sourde contre le monde. Elle avait progressivement évolué, et, à sa manière, Lisa pensait l’avoir aidé, même si elle n’en avait aucune certitude. Elle se pinça ensuite doucement les lèvres, baisant une nouvelle fois les lèvres de la Celkhane, avant de poursuivre :

« Je... J’aimerai que... Que tu me sodomises, Maman... » déclara-t-elle ensuite, en rougissant timidement.

[Kiriko Hattori]

Auprès de sa « fille », Kiriko était fière de pouvoir lui faire l'amour de bien des façons, mais tout cela n'était qu'un début. Elle allait pouvoir lui apprendre bien des choses même si en soi, Sha connaissait déjà bien tout cela mais ce n'était pas grave, ce n'était que des détails. Elles s'amusaient, c'est tout ce qui comptait. Mais après avoir joui, Sha parlait plus franchement, évoquant le fait que son hôte aurait dû être ainsi si Sha ne serait pas venue pour prendre possession de son corps. Dans sa psyché, Sha – ou Lisa ? – ignorait qui elle était vraiment ? Mais cela n'empêchait pas Kiriko de lui sourire tendrement en caressant sa tête.

« Ne t'inquiète pas, je serais ravie de jouer les mamans attentionnées avec toi, ma chérie, autant de fois que tu le voudras. »

S'adressait-elle à Lisa ou bien à une Sha qui jouait la comédie ? Qu'importe, elle disait la vérité, voilà tout. Embrassant cette petite bouche, la sorcière savait aussi se montrer très câline, le prouvant en serrant affectueusement sa fille contre elle.

« Si tu as aussi aidé Sha à aller mieux, alors il faut que je te récompense encore plus, ma chérie. »

Elle pouvait demander bien des choses, la sorcière ferait tout son possible pour rendre son envie réalité. Si cela concerne une forme de magie, elle était mal placée pour aider, elle avait beau être une sorcière, elle était loin d'être la plus douée des sorcières du culte de Sha. De sa petite voix, elle lui annonça ce qu'elle voulait, et ça, c'était une chose facile à réaliser. Kiriko venait lui baiser le front en gloussant.

« Allonge-toi sur le ventre, ma chérie, je vais, disons, préparer le terrain. »

Kiriko la laissait se préparer avant de la rejoindre, venant soulever sa petite jupe tout en abaissant sa petite culotte. Sans la lui retirer, juste de quelques centimètres plus bas pour avoir accès à ce petit trou ô combien étroit et délicieux, certainement. Kiriko venait lui écarter ses petites fesses pour lécher le trou secret. Doucement, prenant son temps, la sorcière venait lécher son antre, forçant doucement le passage avec sa langue, elle devait lubrifier au maximum tout cela, le moins de douleur possible, le plus de plaisir encaissé. Certes, une sodomie se faisait avec un minimum de douleur, mais pour une première fois, autant ne pas être trop brusque. Terminant son office après deux bonnes minutes à lécher sa petite rondelle, elle lui remonta sa culotte, elle allait la lui écarter pour la sodomiser, mais autant profiter de ce petit fessier couvert, c'était une occasion si rare.

« Ne t’inquiète pas, ma chérie, maman va y aller doucement. »

La sorcière venait à cracher dans sa main afin de rendre sa queue plus glissante elle aussi. Se plaçant dans son dos, au-dessus d'elle, elle baisa sa joue une dernière fois, une main sur sa queue qu'elle guida vers ce petit cul. Son gland placé pile sur l'entrée, elle allait tenir parole, y aller doucement.

« Surtout, tu me dis si tu veux que je ralentisse ou si tu veux qu'on arrête. »

Doucement, suivant ses indications, elle commença à enfoncer sa queue en elle d'abord le gland, petite pause, puis doucement, presque centimètres par centimètres, elle faisait coulisser sa queue en elle, alternant entre avancer et pause, jusqu'à enfin atteindre le bout. Son bassin était contre ses délicieuses petites fesses et Kiriko venait s'allonger contre sa fille. Une sorte de câlin sans en être un.

« Chuuuuuuuuuuut.... Là, ma chérie, tu vois ? On y est arrivée... Et maintenant... Maman va doucement bouger pour que la douleur se transforme en plaisir, d'accord. »

Pas de précipitation, elle irait vite quand sa fille sera prête, pas avant. Toujours en restant collée à elle, ses hanches remuaient, faisaient sortir sa queue de ce petit corps chaud avant de doucement y retourner, installant un certain rythme. Il fallait bien l'y habituer avant d'aller plus loin.

[Sha]

Sha avait souvent expliqué à Kiriko que, quand elle était sortie de sa prison divine, elle n’avait pas de corps. Comme tous les Dieux, elle pouvait survivre à la propre déchéance de son corps, mais, pour se réincarner, elle avait besoin d’un nouveau corps. Sha en choisissait généralement un parmi ses adeptes, souvent l’une de ses propres filles. Habituellement, elle fusionnait avec cet esprit, dont elle était souvent la propre mère... Ou Kiriko. Mais, cette fois, Sha avait dû opter pour autre chose. Elle était revenue à la vie, mais sans aucun « hôte » potentiel. C’est comme ça qu’elle avait trouvé Lisa, un bébé-orphelin, victime des affres de la guerre. Une jeune fille élevée dans un orphelinat mijakien. Sha avait grandi, avait prospéré à travers elle, mais elle n’avait pas effacé Lisa. La personnalité de la jeune fille avait subsisté en elle, assouplissant la colère de Sha, jusqu’à ce qu’elle retrouve Kiriko, l’amour de sa vie. Et l’amour de Kiriko était aussi celui de Lisa, qui admirait cette femme forte, indépendante, autonome, et en même temps aimante, généreuse, et très protectrice des autres. Lisa rêvait d’être comme Kiriko, et elle ne pouvait donc que s’abreuver de l’amour existant entre elle et Sha.

Kiriko avait donc une importance particulière pour Lisa, qui que Lisa puisse réellement être. En tout cas, après les révélations de la jeune femme, la sorcière passa aux choses sérieuses, et demanda à Lisa de se coucher sur le ventre. Celle-ci hocha rapidement la tête, acquiesçant à cette demande, et se coucha sur le ventre. Elle avait demandé à sa mère de la sodomiser, et il était donc normal que la Celkhane s’exécute. Kiriko allait toutefois y aller par étapes, et elle commença par retirer la culotte de Sha, l’abaissant à mi-hauteur de ses cuisses.

« Hmmm... Ma-Maman... »

Sha se pinça doucement les lèvres en se tortillant sur place, sentant les mains de Kiriko caresser ses fesses. Elle s’appuya doucement sur le lit, enfonçant ses doigts contre les couvertures, se pinçant les lèvres. Le visage de Kiriko se rapprocha ensuite de son corps, et elle commença à lécher son fondement, écartant avec ses doigts ses fesses, dévoilant ainsi l’accès à sa rondelle, qu’elle se mit à lécher tendrement, appuyant dessus. Sha gémit à plusieurs reprises, tout en se tortillant sur place. Bien sûr, elle avait un peu peur, car elle savait que cette zone était sensible, mais... En même temps, elle en avait aussi très envie, et l’idée d’être prise par là provoquait en elle des fourmillements d’excitation.

Pendant quelques instants, Kiriko la lubrifia ainsi, léchant sa rondelle, sentant son petit trou, sa délicate porte arrière, une partie de son corps qui n’attendait qu’à se dilater, même si Sha n’y était pas habituée. La jeune femme rougissait sur place, avant que Kiriko ne finisse par se relever, et ne remplace sa langue par... Un doigt. Et, à ce contact, en sentant ce doigt titiller son fondement, Sha soupira doucement, se pinçant encore les lèvres.

« Ma-Maman, hmmm... »

C’était bon... Et, en même temps, un peu effrayant ! Allait-elle avoir mal ? Oui, assurément ! Mais, au-delà de la douleur, elle espérait bien recevoir du plaisir ! Kiriko se redressa encore, et posa une main sur ses cheveux, plaquant encore Sha contre le lit. Celle-ci serra les poings, et frémit, fermant les yeux en sentant l’épaisse verge de sa « Mère » caresser son corps. Si grosse, si dure ! Comment un tel organe pouvait-il rentrer en elle ? Sha se pinça furieusement les lèvres, bien consciente que Kiriko attendait un geste d’elle, un signe quelconque... Et répondit doucement, le cœur battant la chamade :

« Vas... Vas-y, Maman... »

Sha était prête ! Et elle couina en sentant le membre taper contre sa rondelle. La jeune femme ferma encore les yeux, et se mordilla très fort les lèvres, retenant ses cris. Une vive pointe de douleur remonta en elle, une pointe qui embrasa son corps. Elle frémissait sur place, et claqua nerveusement des dents, sentant son fondement se dilater, sa rondelle s’élargir, alors que la queue massive de sa mère rentrait en elle. Et, même si Sha essayait de ne pas hurler pour ne pas paniquer sa mère, la vague remonta malgré tout.

Ses lèvres s’ouvrirent en un hurlement, autant de douleur que de plaisir :

« Hnnnnnnnn-Haaaaaaaaaaaa... !! »

C’était une vive douleur qui s’emparait d’elle, et Kiriko s’écrasa encore contre son corps, comme pour la calmer, comme pour la détendre. Les mains de Sha remuaient nerveusement sur le lit, cherchant à se saisir de tout ce dont elle pouvait se saisir, tandis que des gouttes de sueur glissaient le long de son front, maculant sa peau, lui arrachant de nouveaux soupirs, de nouveaux frissons. Kiriko la rassura alors, en lui disant qu’elle venait de s’enfoncer, et Sha hocha la tête.

« O-Oui, Ma-Mamaaaaannn-haaaaaannn.... !! »

Toute rouge, Sha était en sueur, et espérait que le sexe de sa mère se redresse encore. La douleur était tout simplement terrible... Terrible ! Elle se retenait de ne pas pleurer, mais quelques larmes coulèrent malgré tout, tandis qu’elle soupirait longuement, laissant sa mère continuer... Car, malgré la douleur, Sha avait toujours en sa mère adorée une confiance indéfectible et inébranlable !

[Kiriko Hattori]

Kiriko comptait bien savourer chaque instant de ce délicieux moment. Avoir une Sha plus jeune et surtout inexpérimenté – et qu'importe ce petit mensonge qui n'en était pas tout à fait un – c'était bien assez rare pour en profiter pleinement. La sorcière avait beau y aller doucement, une première fois restait toujours assez douloureux mine de rien. Bien qu'elle ai lubrifié son anus, bien qu'elle y allait doucement pour ne pas la brusquer, la douleur était bien au rendez-vous. Kiriko écrasait Sha en veillant à ne pas trop reposer sur elle tout de même. Sa poitrine écrasait son dos, ce qui déjà devait faire un petit plus à tout cela. Mais elle n'était pas sourde, elle entendait bien à sa voix qu'il y avait du plaisir, mais aussi un peu de douleur. Sa queue n'était pourtant pas énorme ? Elle ne pouvait pas modifier sa taille, sa corpulence. Elle avait un pénis qui était normal, ni trop gros ou petit ou trop grand ? Ce fut si douloureux la première fois ? Il faut aussi prendre en compte l'âge, Kiriko a été assez tardif sur le sujet du sexe, surtout en ce qui concerne les futas, ce fut une première pour elle qu'il n'y a environ deux ans donc elle avait déjà plus de vingt ans quand cela lui était arrivé.

« Chuuuuuuuuuuut, ma chérie... Maman est là... Tout va bien. »

Lente, douce, caressant ses cheveux, Kiriko y allait tout en douceur avec elle, il fallait que le rapport douleur et plaisir soit remporté par le plaisir, sans ça, la sodomie restera quelque chose qui ne rentrait pas dans la case plaisir. Hélas, Kiriko ne savait pas user de magie rose pour rendre cela plus agréable, une de ses anciennes vies savaient sûrement le faire, mais cela se déclenchait en combat, pas pendant qu'elle faisait l'amour avec Sha. Puis elle n'allait pas faire venir Sya ou une autre prêtresse, c'était leur moment intime. Déplaçant ses cheveux, elle venait lui embrasser le cou, continuant de remuer doucement en elle, elle espérait vraiment que Sha allait s'habituer et adorer, car si de sa première fois elle ne retenait que la douleur... quelle piètre femme et mère elle ferait. Ce fut un peu brusque, mais Kiriko remuait un peu, soulevant son bassin et se retirant partiellement d'elle pour hélas, arracher sa petite culotte. L'erreur venait peut-être de là ?

« Écarte tes jambes au maximum, ma chérie... ça sera moins douloureux comme ça. »

Dommage pour sa petite culotte, elle en remettra une par la suite, mais pour le moment, c'était son plaisir à elle qui comptait, pas le plaisir de voir sa petite Sha trémousser ses petites fesses avec sa petite culotte. La sorcière reprenait ses baisers dans le cou, laissant son adorable petite Sha reprendre peu à peu ses aises, sa queue était toujours en elle, Kiriko faisait tout pour y aller doucement et qu'elle trouve le bon coté de la chose. Mais ça serait peut-être long...

« Si cela est trop insoutenable, ma chérie, Maman arrêtera, et on passera à autre chose, d'accord ? »

Rien ne sert d'aller trop vite, le plaisir avant tout. Il y a bien des façons de soulager sa queue après tout...

[Sha]

La jeune Sha n’était pas habituée à ça. La sodomie... Un sport très difficile, particulièrement éprouvant, qui la faisait couiner sur place. Elle avait mal, oui, extrêmement mal, et pleurait donc, tout en se retenant, sachant que, tôt ou tard, le plaisir allait venir. Mais, mais...  Diable, cette verge ! Si grosse, monstrueuse ! Sha n’avait jamais ressenti ça auparavant, c’était comme si quelque chose était coincé dans ses fesses, écartelant son postérieur sans ménagement. Elle avait mal, bien sûr, mais elle faisait confiance à sa mère, qui l’embrassait, qui la câlinait, qui se pressait contre elle. Sha inspira longuement, les joues toutes rouges, écrasée sous le corps de sa Maman, et reprit son calme.

Il fallait qu’elle lui explique, qu’elle lui parle. Sa mère avait peur de mal faire, de sorte qu’elle faisait mal. Ce n’était pas comme ça qu’elle devait agir ! Sha se pinça donc les lèvres, et banda ses muscles.

« P-Plus... Plus f-fort, Ma-Maman... »

Elle gémit à nouveau, et se redressa à nouveau, crispant ses doigts sur les plis du lit.

« Re-Redresse-toi, Maman, et... Prends-moi plus fort, haaaa... Plus fort, plus fort !! »

C’est ce qu’il fallait, c’est ce dont elle avait besoin. En y allant lentement, Kiriko ne faisait que prolonger la douleur. Il fallait battre le fer tant qu’il était encore chaud, et remuer encore plus. C’était aussi simple que ça ! Et il n’y avait que comme ça que Sha pourrait apprécier le traitement de sa mère ! Semblant le comprendre, Kiriko se redressa, ce qui libéra un peu Sha. Elle dut néanmoins se redresser, afin de se mettre à quatre pattes, tout en tremblant sur place, et se mordilla les lèvres, le corps tremblant nerveusement.

Kiriko était désormais en bonne position pour accélérer, mais Sha, en sueur, n’en avait pas encore fini. C’était peut-être à ce moment que la Déesse trichait, car Sha se mit à faire de nouvelles réclamations :

« Mo-Motivez-moi, Mère... Insultez-moi, haaaaa... Et... Fessez-moi aussi ! C’est... C’est comme ça que ça passera, M-Mère... »

Il n’y avait pas beaucoup d’alternatives avec une sodomie, une pratique sexuelle qui, par nature, était très violente. Il fallait donc motiver Sha, il fallait rendre tout ça bien plus énergique ! C’était comme ça que le plaisir allait venir, et c’était ça que la jeune Sha avait essayé d’expliquer à sa mère. Quand on en était arrivé au stade d’une sodomie, on ne se faisait pas de tendres câlins ou de caresses, on y allait fort !

Sha soupira encore, et couina, pour lâcher ensuite :

« A-Allez, Maman ! Fais-moi hurler ! Fais hurler ta VILAINE FILLE !! »

[Kiriko Hattori]

Kiriko avait beau tenter de ne pas aller trop vite pour ne pas la heurter, pour ne pas que cette « première fois » lui laisse un drôle de souvenir, au final, c'était peut-être en y allant d'un coup sec que ça pourras se régler ? C'est du moins ce que semblait lui faire comprendre sa fille, car elle venait à doucement prendre sur elle avant de venir lui demander d'y aller sans faire de cadeau. On ne pouvait pas dire que la sorcière n'y faisait attention, elle veillait sur elle, mais elle allait suivre son conseil, après tout si ça empire, elle pourra toujours lui dire d'y aller plus doucement ensuite. Elle se redressa, soulevant Sha par les hanches pour la redresser elle aussi un peu, sans faire attention aux « ordres » donnés. Après tout, ce n'était que pour rendre cela plus sympa pour elle donc, elle n'y faisait pas spécialement attention. Mais quand durant leur petite danse, elle venait à l'appeler « Mère »... Ne lui avait-elle pas dit de l'appeler Maman ?

« Ne soit pas... une Méchante fille ! Appelle-moi Maman ! »

Pas besoin de lui tirer les cheveux ou autre, une voix plus autoritaire, des coups de bassins bien prononcer, et en agrippant bien ses hanches. L'insulter, la fesser, la motiver donc. En soit, la fesser ferait l'affaire, non ? L'insulter, elle n'était pas assez désobéissante pour cela, du moins pour le moment. Et une bonne fessée n'a jamais fait de mal, techniquement parlé. Sa main venait tomber sur sa fesse droite, laissant plâner un bruit fort agréable pendant que la sorcière faisait en sorte de mettre plus de cœur à l'ouvrage. Cela ne la dérangeait pas d'adopter une façon plus calme, mais s'il fallait ça pour que sa petite Sha puisse se sentir bien quand il s'agit de sodomie, alors soit.

« Alors ? Hum tu préfère ça, ma chérie ? Quand Maman te baise bien fort ?! »

C'est sûr que de suite, c'était moins mielleux et lent, c'était tout de suite plus animé. Maintenant, il suffisait de suivre la cadence et de jouir, idéalement après que Sha ait au moins pris son pied une fois avec la sodomie, qu'ensuite elle aussi puisse jouir. Après, elle verra comment sa fille a ressentie tout cela, mais pour le moment, l'orgasme devait être atteint par elle en priorité, c'était sa « première fois » après tout.

[Sha]

C’était une forme de psychologie inversée. Mais n’était-ce pas à ça, finalement, qu’une sodomie appelait ? C’était un plaisir contre-nature, reposant sur la seule douleur, quelque chose de bestial et de très animal. Sha soupira encore, crispant ses mains sur le lit, et poussa même un petit cri quand sa mère la fessa... Se rappelant au passage qu’elle l’avait appelé « Mère », et non « Maman », comme Kiriko le lui avait demandé préalablement... Un oubli volontaire ? Ou un moyen inconscient d’offrir à sa mère de quoi la punir ? L’amour à travers la punition... C’était illogique, déraisonnable, ça allait contre le bon sens, mais... C’est aussi ce qui faisait le sel de l’être humain, non ? Sha soupirait sur place, sentant sa mère accélérer le rythme, crispant ses mains gantées sur ses hanches, tout en parlant également d’une voix plus forte, plus autoritaire, la douce et aimante mère attentionnée laissant parler la courageuse et intrépide guerrière, celle qui ne craignait rien ni personne, et qui pouvait se permettre de haranguer ainsi sa fille.

« Hmmmm... Haaaa... »

Il fallait un bon motif pour se faire punir, mais Sha ne voulait pas non plus trop choquer sa mère. Fort heureusement, celle-ci lui avait ouvert une porte, lui avait tendu une perche, que l’espiègle jeune sorcière s’empressa de saisir. Sha avait campé une fille de bonne famille, une petite Sha bien éduquée, qui avait sans aucun doute été surprotégée par sa mère. Une jeune Sha qui avait toutefois envie, comme toutes les bonnes petites filles de carte postale, de sortir de cette image de douce porcelaine qu’on lui attribuait. Se pinçant les lèvres, sentant la verge de sa mère en elle, Sha enchaîna, en tournant la tête :

« En-Encore, Ma-Mère ! »

C’était un choix délibéré, comme pour provoquer Kiriko, et pour justifier les fessées, et cette douce punition... Cette douce punition, qui la fit furieusement rougir, tout en l’excitant aussi. Elle couina encore quand la main de Kiriko s’abattit sur son cul. Cette punition ne la dérangeait pas en soi, car elle savait que sa mère ne pouvait que l’adorer. Elle était sa fille, après tout... Et sentir sa main la punir était... Étrangement excitant. Incompréhensible, mais excitant. Que demander de plus ? Sha savourait longuement, mouillant de plus en plus.

Kiriko la battait encore, et chaque fessée lui arrachait un soupir, l’emmenant au loin. Oui, là, comme ça... Petit à petit, son corps s’habituait à cette sensation. Oh, la douleur était toujours là, présente, intense, remuant furieusement en elle, mais... Elle s’accompagnait désormais d’autre chose, d’une vague de plaisir, une vague qui remontait en elle par couches successives.

« Mè-Ma-Maman, haaaaa... !! Haaaaaannnn... !! »

Sha ferma les yeux... Et, après plusieurs minutes de ce traitement intense, un énième frisson la traversa.

Et un nouvel orgasme jaillit d’entre ses cuisses humides, se déversant joyeusement sur le lit.

[Kiriko Hattori]

L'éducation était une chose importante, c'est aussi pour cela que Kiriko prenait grand soin de sa fille en lui apprenant les bonnes choses et non pour faire d'elle une sale petite peste. Non, sa Sha était une gentille petite, douce et gentille comme tout, c'est comme ça que Kiriko l'aimait, comme ça que sa petite Sha méritait autant de câlin auprès d'elle. Bon, évidemment, elle n'a pas eut autant de câlin que ça en vérité, mais c'était un jeu. Puis nul doute que dans un futur proche, il en sera de même pour ses petites sorcières, bien élevée, des câlins à foison et des bisous aussi. Bref, elle veillera bien précieusement sur leurs enfants. Kiriko fit attention à ce que sa fille l'appelle simplement par son titre en quelque sorte, elle tenait à cela, Maman, c'était important. Mère, elle trouvait que cela créait une distance entre elles, ce n'était pas beau en quelque sorte. Jamais de sa vie, elle n'avait vu d'enfant appeler sa mère comme ça.

Mais il ne fallait pas oublier que sa fille n'était pas n'importe qui et donc, sa petite Sha cherchait à jouer avec le feu, appelant ainsi Kiriko, juste pour le plaisir de l'enquiquiner... afin d'obtenir un certain type de punition qui semblait lui faire un sacré effet. Effectivement, elle semblait facilement oublier cette petite douleur qui était pourtant bien présente il y a peu. Comme quoi, un peu de violence ne faisait pas de mal, juste un peu évidemment. Sa main venait une fois de plus fesser ce joli petit cul si tendre et encore bien trop innocent en un sens. Ce petit cul n'avait pas connu tant de fesser que ça. Quoique même en temps normal, Sha pouvait fesser Kiriko quand bon lui semble, quand la Celkhane lui renvoyait la pareille... c'était rare au final.

« Hum, tu m'obliges... à revoir mon jugement... Ma petite Sha... Hummm, soit la gentille petite... Fille, à sa maman, hein ? »

Certes, de son côté, la sorcière donnait encore quelques coups sur ses fesses, un doux bruit, tant celui de la chair qui claque que des gémissements qui sortaient de la bouche de sa petite chérie. Mais le mieux dans tout cela se rapprochait, au fil des coups de reins, elle la sentait, elle n'allait plus tenir très longtemps et pour cette occasion, surtout en cette première fois, elle devait donner un grand coup dedans. Solidement accroché à ses hanches, Kiriko venait donner de puissant coups de reins. Si elle ne s'accrochait pas à elle, pour sûr qu'elle aurait été déloger de sa queue ! Car quand elle venait à jouir, Kiriko en fit autant. Elle aurait pu tenir plus longtemps, mais son petit anus était si étroit. Ce n'était pas un reproche, loin de là. Elle reprenait son souffle en lui caressant le dos avant de doucement se sortir de là, reprenant place en s'allongeant sur le dos. Doucement, elle prit le bras de sa petite Sha pour la faire venir à elle, allongée sur son corps nue, elle caressait sa fille. Même habillée, elle était sa fille chérie. Doucement, elle la cajolait contre elle, caressant sa tête, son dos, son petit cul pouvait doucement se reposer.

« Ma petite chérie... Tu es la petite déesse à moi, ma petite Sha d'amour. »

Sexe ou non, elle pourrait la cajoler ainsi durant des heures. Il fallait bien laisser sa queue se reposer même si elle pouvait aussi avoir le don de lui redonner un petit coup de fouet en un instant. On parle de Sha après tout.

[Sha]

La jeune Déesse Sha commençait à sentir un plaisir vorace et tonitruant l’envahir. Une vague exquise remuait furieusement en elle, une tempête qui remuait fortement dans son corps. Elle hurla encore, au gré des coups de reins de sa Maman, au gré des gifles et des fessées que celle-ci lui infligeait. Le contact était absolument délicieux, et elle hurla encore quand Kiriko donna une fessée plus forte. Oui, oui ! Tout cela était absolument jouissif, merveilleux, incroyable ! Transcendée de plaisir, Sha ne se retenait plus, elle se lâchait même pleinement, savourant les coups de reins de sa mère, qui se transformaient en véritables coups de butoir, en coups de pilon impressionnants. Elle la sentit soudain se crisper sur elle, serrant ses mains, enfonçant ses doigts dans sa chair, se retirant presque à l’extrémité, arrachant un long soupir ténu à la jeune Déesse... Avant de s’y enfoncer brusquement, revenant d’un coup sec.

« Haaaaaaaa... !! »

Sha sentit l’orgasme la traverser, et se relâcha joyeusement, tandis qu’elle sentait sa Maman la remplir. Kiriko se répandit en elle, crachant des filaments de sperme, et la jeune Sha se sentit basculer en avant. Elle tomba sur le lit, et reprit progressivement son souffle, avant de sentir Kiriko s’allonger à côté d’elle. Sha se déplaça alors un peu, et posa sa tête contre les seins de sa mère, se lovant contre elle, reniflant sa chaleur son odeur, caressant sa peau, cette peau si bien moulée dans sa combinaison violette, les jambes de Sha glissant le long de celles de Kiriko, s’y entremêlant.

Elle respirait doucement, tandis que, dans un coin, les flammes de cheminée craquaient doucement, comme pour les accompagner dans la nuit.

« Oh, Maman... »

Et Sha s’endormit donc...

*
*  *

Quelques heures après...

Le feu de cheminée avait fini par s’éteindre, et, quand Kiriko se réveilla, elle sentit d’abord sur ses lèvres le contact des lèvres de Sha. Mais ce n’était plus le tendre baiser de sa « fille ». C’était un baiser plus mâture, plus sûr, plus appuyé... Celui de Sha ! De sa future femme ! De sa Déesse ! Une Sha qui avait retrouvé son apparence normale... Mais, tandis que le corps de Sha s’appuyait sur celui de Kiriko, comme un marquage des désirs inconscients de la belle Celkhane, celle-ci, en ouvrant les yeux, devrait voir quelque chose de particulier.

Elle portait un sous-vêtement très élégant fait d’une dentelle fine et de lacets recouvrant son torse, et son sexe, le corset de dentelle comprenant une culotte très courte avec des lacets.

« Tu trouves qu’elle me va bien, Kiriko, mon aimée ? » lui sourit doucement Sha, en se frottant toujours contre elle.

Comme quoi, même si Kiriko avait couché avec une version plus jeune de Sha, l’Ombre semblait en avoir retiré quelque chose...

[Kiriko Hattori]

Bien que ce soit une première pour elle que de faire ça avec sa fille, elle aimait déjà. Oui, elle n'était pas bien difficile à satisfaire, il s'agissait de Sha, elle pouvait venir lui proposer quelque chose de dégoûtant qu'elle pourrait au moins essayer pour lui faire plaisir. Alors coucher avec sa « fille », une partie de plaisir ! Tenant cette dernière entre ses bras, la sorcière la caressait doucement en se laissant bercer par le silence. Elle pouvait continuer, mais avec sa petite Sha était déjà un vrai plaisir alors l'avoir habillée en plus, c'était doublement rare ! Surtout que cela lui allait bien ! Après, elle était libre de faire ce qu'elle voulait, mais à défaut de l'avoir toujours habillée de la sorte, Kiriko ne cracherait pas sur une Sha avec des dessous sexy. Le fait de l'avoir toujours nue sous son manteau rendait cette possibilité encore plus exquise !

Kiriko avait déjà la fibre maternelle, le jour où elle accouchera de sa petite Arya, elle sera aux anges, elle portera ce bébé le plus possible en le chouchoutant tout autant. Elle n'oubliera pas sa merveilleuse déesse pour autant, mais il faut la comprendre, elle pourra tenir le fruit de leur amour entre ses bras ! Bon, elle n'y était pas encore, il fallait déjà terminer les épreuves avant d'avoir la récompense alors, un peu de patience.

« Repose-toi, ma chérie... »

Kiriko pouvait encore continuer, mais elle ne se voyait pas la bousculer, elle était si sage entre ses seins, si docile et toutes mignonne en s'endormant... La sorcière en fit tout autant sans s'en rendre compte. Pas un corps nu... Pas un corps nu... mais pas tout à fait habillée non plus. Sha la réveillait d'une façon encore inédite, en lui posant pourtant une question toute bête, avec une réponse évidente et facile.

« Hmmm... quel doux rêve... Sha dans cette tenue... Il n'y a qu'en rêve que je peux voir ça. »

Elle se savait réveillée, mais elle la taquinait en venant réclamer un nouveau baiser, cette fois-ci en laissant ses mains parcourir son corps, ses doigts glissant le long de certaines coutures. Même si elle avait aimé sentir sa petite Sha contre elle, là, il s'agissait de la femme de sa vie, elle ne pouvait qu'être heureuse de l'avoir à ses côtés. Les caresses le long de ce corps de rêve se transformait doucement en une étreinte de plus en plus soudée.

« Hum, te voir comme ça... hum, ça m'excite... »

Et elle rêvait donc, elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait ? Du moins, ce serait une excuse. Mais bon, son corps parlait pour elle, car sa queue venait déjà à pousser. Le cadeau de sa petite Nausicaa fut étrange à maîtriser, mais la voilà déjà apte à s'en servir simplement, sans se dire de devoir le faire sortir ou non, son envie se précisait par une envie de faire l'amour à Sha, avec quelque chose de solide entre ses jambes, qu'il en soit ainsi !

« Ma chérie... laisse-moi me mettre à nue... je veux sentir ton corps contre le mien... ressentir cette sublime chose sur ma peau... »

Car sa queue, elle n'était pas si polie en demandant la permission, elle se tendait déjà en trouvant une place chaude et confortable entre ses cuisses. Pas encore de pénétration, mais ce n'était qu'une question de secondes, tout au plus.

« Je veux te montrer... hum, combien tu m'inspires comme ça ! »

Leur petite séance, avait-elle un poil changer sa déesse ? En mieux ? Il faut croire que oui.

[Sha]

Sha n’avait effectivement pas l’habitude de porter des sous-vêtements si raffinés. Elle avait toujours opté pour al simplicité, mais... Et bien, même une Déesse pouvait changer. Sha avait donc décidé de satisfaire le fantasme de sa femme, par amour, mais aussi parce que... Il fallait en effet admettre que porter des vêtements de ce type était plutôt agréable. Tandis que Kiriko émergeait, se demandant si elle rêvait ou non, Sha perfectionna encore son apparence, se dotant de gants longs et finement brodés qui parcouraient ses avant-bras, ainsi que des jarretelles, toujours finement brodées. Elle avait usé la magie pour les amener sur elle, et sourit en sentant, entre ses cuisses, la verge de Kiriko se redresser. Elle aurait pu danser sur elle, tout simplement, mais Kiriko formula le désir d’être nue avec elle. La main de Sha glissa sur sa joue, caressant tendrement sa femme, et son autre main se rapprocha de ses lèvres. Elle enfonça un doigt entre ses lèvres, ce qui devrait permettre à Kiriko de sentir le contact tendre et agréable du tissu, et ainsi de prendre conscience de ce que Sha portait pour elle.

À califourchon sur elle, Sha se pencha doucement, frottant ainsi la queue de Kiriko contre sa culotte, la masturbant légèrement, et enfonça son doigt légèrement, tout en le retirant ensuite. Là, l’Ombre embrassa la jeune femme, déposant sur ses lèvres un tendre baiser, baiser qui gagna progressivement en intensité, notamment quand sa langue titilla les lèvres de Kiriko, et s’enfonça en elle. La déshabiller... C’était une chose d’importance que Kiriko lui demandait, surtout quand on savait à quel point Sha raffolait de sa femme dans sa combinaison violette moulante.

« Hmmm... Te déshabiller, ma belle... »

Tout en souriant et en continuant son baiser, Sha posa sa main sur le sein droit de Kiriko, le pinçant à travers la combinaison, puis se redressa encore.

« C’est entendu, laisse-moi faire... »

Elle usa alors de ses mains pour la déshabiller, lentement, calmement, tirant sur les fermetures Éclair. Elle défit ainsi le devant, et glissa ses mains sur les pans, écartant ainsi la combinaison, en profitant pour palper les seins de Kiriko, réveillant davantage à chaque caresse le corps endormi de sa partenaire. Ce faisant, Sha la retourna ensuite, et tira sur la combinaison dans son dos. Elle libéra ses bras, et tira encore, jusqu’à la dénuder, puis caressa ses fesses. Elle les pressa doucement, les malaxant sensuellement, puis aventura ensuite sa main sur le devant. Là, Sha masturba Kiriko, permettant ainsi à sa femme de sentir contre sa queue les doigts gantés de l’Ombre, qui continua doucement à la masturber, tout en défaisant encore la combinaison.

Il lui fallut finalement plusieurs minutes pour la tirer à hauteur des pieds, et ainsi déshabiller totalement Kiriko. Celle-ci offrait à sa femme un corps parfait. Elle avait pourtant connu son lot de combats, de blessures, et, sans la magie curative des sorcières, aurait eu un corps bardé de sacrifices. Si cela ne déplaisait pas en soi à Sha, elle aimait aussi voir ce corps propre, parfait, qui s’offrait à elle. Elle sourit doucement en voyant sa peau, avec son chibre dressé, et caressa à nouveau son sexe, glissant ses doigts dessus, jouant tendrement avec.

Kiriko était ainsi toute nue, et Sha se remit à califourchon sur elle, frottant donc de nouveau sa culotte contre son sexe, et palpa ses deux seins avec ses mains, les malaxant avec toute la vigueur qu’on lui connaissait.

« Ce n’est pas un rêve, ma Kiriko... Tu dois le réaliser maintenant, non ? Viens... Viens t’occuper du corps de ta Déesse ! » lui ordonna-t-elle.