The Multiversity

Sans aucun doute, l’endurance sexuelle de Séléné faisait honneur à sa situation. Elle était très endurante, et, petit à petit, ce lit d’indifférence dont elle semblait faire preuve s’effaçait. Alice l’entendait soupirer, elle sentait les contractions de ses muscles, les spasmes musculaires qui la secouaient… Un ensemble de choses que la jeune femme ne pouvait que noter. Ses lèvres se crispaient, ses yeux se plissaient, et, plus le temps passait, et plus le désir était en train d’éclater. Alice se serra contre elle, gémissant, sentant son bassin remuer d’avant en arrière. Elle sentait les mains gantées de Séléné pincer ses fesses, s’y appuyant avec force… Et, face à une telle énergie, Alice ne pouvait que la motiver :

« Jou… Jouissez-moi en moi, Maî-Maîtresse !! »

Juste avant de jouir, Séléné reconnut combien elle aimait lui faire l’amour, et elle se mit ensuite à jouir. Alice se crispa contre elle, et gémit à son tour, laissant l’orgasme l’envahir avec joie. Tout son corps se détendit, et elle laissa l’orgasme l’envahir à son tour. Alice soupira longuement, et sentit le foutre de Séléné la remplir. Fugacement, elle se demanda même si Séléné n’allait pas lui laisser un joli cadeau avec tout ce foutre… Mine de rien, depuis qu’elle avait appris qu’elle était la fille d’Aphrodite, Alice était assez féconde ! Elle soupira donc, et sentit peu à peu Séléné se calmer. Elle refréna son rythme, balançant de puissantes giclées, jusqu’à se calmer progressivement. Alice l’avait vu jouir, elle avait vu ses yeux se fermer, ses lèvres s’ouvrir dans un cri silencieux, et sa peau mate devenir rouge sous l’effet du désir suprême.

Alice se mordilla les lèvres en sentant la pression retomber.

« Tu es si belle quand tu jouis, Séléné… J’adore voir mes partenaires jouir… »

La jeune blonde lui sourit ensuite, et resta lovée contre elle, ne sachant pas trop si Séléné en avait fini maintenant. Et puis, elle n’avait pas encore abattu toutes ses cartes.

« Vous savez, Maîtresse…Je pourrais vous présenter des Princesses à corrompre… Si vous le souhaitez… »

Selene sembla comme figée le temps que son sperme se déversait en Alice. Ce n'est que lorsque, en quelques giclées plus timides, son éjaculation prit fin qu'elle sembla reprendre ses esprits, même si la plénitude post-orgasme lui embrumait encore un peu les pensées. C'est à ce moment là que la reine revint. La mutante commençait à savoir bien la reconnaître, mais ce n'était pas dur, elle la tutoyait et ne l'appelait pas maîtresse. Malgré tout, ça restait perturbant d'avoir droit à ses interventions. C'était un peu comme les inconvénients d'un plan à trois sans les avantages, ou peut-être plus comme avoir quelqu'un qui matte, bien que ce second cas serait moins déroutant. Mais cette interruption fut assez courte, la princesse fut vite de nouveau là, pour elle aussi parler à la sorcière.

Et ces nouvelles paroles firent sourire Selene. Bon, un peu parce que l'idée était tentante, c'était vrai, mais aussi parce que Alice le proposait. Difficile de dire si, en ce moment, si elle proposait à la mutante de lui présenter des princesses à corrompre, c'était parce qu'elle pensait que ça lui plairait, ou parce qu'elle souhaitait rendre certaines de ses homologues moins fades. Au final, ça pouvait être les deux et ce pouvait être une bonne distraction si son séjour se prolongeait. Peut-être moins intéressante que la visite du temple, mais assurément plus que celle de la mine, c'était sûr.

"Ça a l'air de t’obséder, cette histoire."

Si la princesse semblait propre sur elle de prime abord, il était à présent clair qu'elle avait un esprit assez tordu. Encore que son intérêt pour la soumission pouvait être considéré comme normal, celui qu'elle montrait pour l'idée de corrompre des princesses sortait du cadre de l'ordinaire. Selene en oubliait presque qu'elle était toujours debout, avec Alice empalée sur son membre, alors que celle-ci proposait, si elle comprenait bien, de lui offrir d'innocentes princesses, pour la regarder les amener dans la voie de la débauche. Presque, mais elle s'en souvenait quand même.

Selene décida de ne pas rester plantée comme ça, même si c'était plutôt Alice qui était plantée sur son membre. La mutante souleva d'abord la princesse, pour faire sortir son membre de son intimité, avant de la laisser descendre, lui laissant, si elle le voulait, le loisir de se remettre sur ses pieds.

Alice esquissa un léger sourire quand sa « Maîtresse » lui signala une obsession sur le sujet. Alice rougit également, mais elle ne pouvait pas nier l’évidence. Elle aimait bien l’idée de la corruption, et l’idée d’initier des variantes d’elle-même n’était pas pour lui déplaire. Est-ce que cela faisait d’elle une personne bizarre, instable ? Peut-être, mais elle ne le pensait pas. Elle avait juste en elle une énergie divine, forte, qui ne cessait de s’affirmer et de se développer.

Elle laissa Séléné la reposer sur le sol, et lui sourit encore, restant proche d’elle. Alice se hissa même sur la pointe des pieds, et l’embrassa sur les lèvres. Voir la manière dont Alice battait le chaud et le froid, alternait entre le tutoiement et le vouvoiement, cela avait de quoi surprendre. Elle se déplaça alors.

« Je suis la fille de la Déesse Aphrodite, et Mère m’a permis de me relier à mes variants dans d’autres dimensions… J’ai une pièce rien que pour ça. J’ai rencontré un variant masculin de moi-même, et particulièrement pervers. Mais il y en a aussi plusieurs qui sont encore vierges… Comme je l’étais avant. Venant d’une autre femme qu’une variante, une éducation sexuelle fonctionne toujours mieux. On peut dire qu’il s’agit de les corrompre… Mais, personnellement, en assumant ma soif de sexe, j’ai beaucoup gagné en confiance de moi-même et en maturité. Cela ne pourra leur faire que du bien. »

Le raisonnement était original, mais, pour Alice, il se tenait. Elle déplaça sa main, et masturba alors la verge de Séléné.

« Mais, avant ça, j’espère que tu ne pensais pas qu’il suffirait de jouir une seule fois en moi pour me rassasier, hum ? Maîtresse va devoir faire bien plus que ça ! »

Et Alice sourit encore malicieusement…

Selene ne savait pas que la conversation deviendrait aussi longue et presque sérieuse, tout comme elle ne pensait pas ce qu'Alice envisageait quand elle lui proposait de corrompre des princesses. Elle imaginait plus des princesses plus sages, d'autres royaumes, plutôt que d'autres Alice. Il faut dire que, si la sorcière jouait parfois avec les dimensions et les plans d'existence, elle ne touchait pas vraiment aux réalités alternatives. Mais, même si elle-même ne s'y plongeait pas, elle avait une petite expérience de ce qui venait de ces alternatives, et il fallait dire qu'elles n'avaient jamais rien apporté de bon et, pour plus de la moitié, avait un rapport avec le couple Summers/Grey. Bien sûr, ce que proposait Alice était d'un tout autre ordre, pouvait éventuellement mal tourné, mais consistait surtout pour la princesse à mater la mutante pendant qu'elle couchait avec des sosies. Et elle arrivait même à se convaincre que, si elles le feraient, ce serait aussi pour le bien de ces variantes.

Si Selene commençait globalement à identifier à quelle personnalité d'Alice elle avait affaire, elle n'était pas sûre sur le moment. L'idée allait plus dans le sens de la conversation qu'elle avait avec la princesse  mais, l'explication, la manière dont c'était exposé lui rappelait plus la reine. Enfin, ça, ce n'était pas important et, même si ça lui avait quand même traversé l'esprit, ça n'y resta pas longtemps, comme elle ne s'attarda pas sur le fait qu'Alice aie donné un autre nom pour sa mère. Il n'était après tout pas rare que les religions donnent plusieurs noms à une même divinité, ça n'avait au final pas d'importance.

Et de toute manière, Selene avait mieux à penser. Alice ne semblait pas prête à déjà la laisser à ses variantes, elle n'avait pas eu sa dose de sexe, à défaut d'un peu de corruption. Elle attrapa la queue de la mutante pour la stimuler, réclamant clairement la suite.

"Parce que tu trouves que, moi, j'ai l'air satisfaite?"

L'indice qui ne trompait pas était sans doute qu'Alice n'avait pas eu besoin de la masturber pour redresser son membre, il était resté dur et droit, mais ça pouvait être trompeur, une verge créée par magie, dans ce but récréatif, n'avait aucune raison de ramolir, même quand sa créatrice n'en avait plus l'usage. Malgré tout, la mutante non plus n'avait pas l'intention de clôturer la séance, même après que la princesse lui aie laissé à penser. Si la main d'Alice s'était dirigée vers la queue de Selene, celle de la sorcière atterit sur le cul de la princesse, d'abord par une claque qui résonna dans la pièce, puis par une caresse, qui par moment effleurait les fesses et, par d'autres, la tâtait avec plus d'insistance. Alice ne le pensait sans doute pas quand elle suggérait que la sorcière pensait avoir fini, mais il était rare que Selene s'arrête après s'être fait plaisir dans un trou, alors qu'il y en avait un autre à explorer.

"C'est à ton tour de t'appuyer sur mon trône. Mais, bien sûr, hors de question de t'y assoir."

Même si le trône qu'avait formé Selene n'avait rien de permanent, donc de réellement symbolique, Alice devait sans doute comprendre pourquoi elle ne pouvait pas. Dans les royautés, le trône était l'un des symboles de pouvoir et, donc, seul le souverain pouvait s'assoir sur le sien. Y poser ses fesses, c'était risquer sa tête. Et si la princesse avait fait le gros travail la première fois, même si la mutante avait pris la main vers la fin, cette fois, ce serait à elle de s'appuyer pendant que la sorcière s'amuserait. À Alice de voir comment elle comptait s'appuyer sur le trône, sans s'y assoir, après tout, Selene donnait les ordres, mais c'était parfois à la princesse de trouver comment y obéir, même si ce n'était pas toujours dur de deviner.

Au vu de la dureté du sexe de Séléné, Alice n’avait aucun doute sur le fait que sa proposition serait étudiée plus tard. Rien ne pressait, après tout, et faire connaissance, c’était important. Dans l’absolu, Alice espérait bien que Séléné choisirait de rester un peu à Sylvandell. C’était aussi pour ça qu’elle lui avait parlé de ses variants. Quelque chose lui disait que Séléné venait effectivement de très loin, et que cela pourrait l’intéresser. Il était donc légitime qu’Alice souhaite la conserver près d’elle. Difficile de dire is elles allaient continuer leur jeu de rôle ensemble. Alice n’était pas convaincue que, malgré sa tenue érotico-sanglée et axée BDSM, Séléné aimait jouer la dominatrice. Qu’à cela ne tienne, Alice, elle, avait juste envie de se faire prendre, de sentir cette femme la baiser encore et encore ! Séléné lui assura qu’elle n’en avait pas non plus fini avec elle, ce qui fit frémir la jeune tête blonde. Elle se reçut ensuite une belle claque sur les fessées, une fessée sonore qui résonna dans la pièce.

« Haa… ! » s’exclama Alice, agréablement surprise par cette claque.

Le désir, elle le sentait vibrer dans les yeux de Séléné, dans tout son corps. Contre elle, Alice se pressa contre le corps de Séléné, leurs tenues en latex se frottant tendrement. Alice soupirait donc, puis Séléné désigna son trône, en l’invitant à s’installer dessus, mais sans s’asseoir. Alice observa donc le trône.

« Cela ne laisse pas beaucoup de positions… »

Elle se rapprocha lentement, et posa chacune de ses mains sur les accoudoirs du fauteuil. Elle pouvait aussi remonter sa main pour s’agripper au dossier du trône. Alice se pencha ensuite en arrière, courbant son dos, bombant ainsi ses fesses vers Séléné. Une posture idéale pour une pénétration, et ce surtout quand on avait senti l’érection de sa Maîtresse.

« Est-ce comme ça que vous souhaitez me prendre, Maîtresse ? » fit-elle, en remuant légèrement son bassin de droite à gauche, dans une position volontairement aguicheuse.

Tout comme Selene, Alice avait bien laissé le sujet des variantes de coté. La mutante ne doutait pas qu'il reviendrait mais, en attendant, il n'en était plus question. La princesse se contentait de réfléchir à ce que lui avait dit de faire la sorcière, s'appuyer sur le trône sans s'y assoir. Au final, ça ne lui laissait pas grand chose comme possibilité, s'appuyer avec sur le dossier ou les accoudoirs. Et avec les mains, à moins de ne se lancer dans quelque chose d'acrobatique, ce qu'elle ne tenta pas. Par contre, elle tenta Selene, en agitant son bassin, qui était tendu vers elle. Comme ça, elle allait se faire prendre par derrière, après l'avoir été de face juste avant et, il fallait le dire, même si elle avait laissé la liberté de choisir à Alice, la mutante pensait bien qu'il était plus probable qu'elle finisse positionnée comme ça.

"C'est plutôt comme ça que tu souhaites être prise..."

Si les instructions de Selene limitaient les choix d'Alice, pour le moment, c'était elle qui, au final, prenait certaines décisions. Et, là, elle avait pris celle de la facilité, rien de trop compliqué, sans doute ce qui lui était venu naturellement, au moment de s’exécuter. La mutante revint vers son trône, une main se posant sur les fesses de la princesse, glissant dessus comme une caresse, avant de s'en détacher, pour se reposer dessus, dans une claque.

"Et tu fais bien de tendre ton cul, c'était à son tour."

Selene était venue se placer juste derrière Alice et son bassin se rapprochait lentement de celui de la princesse. La mutante avait un peu gâché la surprise en l'annonçant, mais la blonde devait probablement s'en douter. Lors du diner, il avait semblé que l'anal était un peu un point faible d'Alice et, à présent, son gland se présentait à l'entrée du petit trou. Mais il y resta. Plutôt que de pénétrer la princesse, la sorcière lui taquinait la rondelle, frottant le bout de son membre dessus, le poussant parfois un peu, pour la forcer à s'écarter, mais sans aller plus loin, pour le moment.

Les choses étaient désormais plus ou moins claires. Alice n’avait clairement pas le profil de la jeune fille fragile, de la petite Princesse timide et ingénue envers qui le sexe était une grande inconnue effrayante. Non, c’était même, à vrai dire, tout l’inverse ! Et cela, Séléné l’avait compris, alors elle se rapprocha d’Alice. La tête blonde avait opté pour une position simple, en appui sur les accoudoirs, tendant ainsi ses fesses à sa Maîtresse, l’aguichant aussi quelque peu au passage. C’était de bonne guerre, vu que sa Maîtresse l’avait après tout bien fait attendre, elle aussi ! Se mordillant les lèvres, Alice frissonna en sentant la verge tendue de sa Maîtresse heurter ses parois internes, glissant contre sa croupe. Elle sentait son corps, ses mains qui palpèrent son corps, et Alice soupira doucement. Elle se mordilla les lèvres en relevant la tête, ses joues prenant de délicieuses couleurs pourpres à l’idée de ce qui allait suivre, à ce frisson qui traversait son corps, qui se centralisait dans le creux de ses reins… Oh, que c’était bon ! L’appel du désir, un appel irrésistible, irrépressible, qui devenait peu à peu totalitaire, omniprésent !

« Oh, Maîtresse, je sens votre queue… Votre si belle queue… »

Séléné se mit à la titiller, semblant décidée à frustrer un peu son amante, à lui réaffirmer, peut-être, qu’elle était la Maîtresse ici. Alice soupira donc, et s’amusa à déplacer aussi ses fesses, à caresser la verge de Séléné avec ses fesses, et à la conserver contre sa croupe.

« Maîtresse aime me faire languir… Maîtresse est si cruelle ! Mais je sens sa grosse queue, une queue puissante, qui n’a envie que de me prendre… Une verge comme la vôtre, Maîtresse, elle ne doit pas rester à l’air libre trop longtemps quand elle est aussi déployée… »

Elle avait gémi quand Séléné l’avait fessé, sa claque résonnant dans la pièce. Alice attendait donc, impatiente, fébrile…

Alice la provoquait, mais c’était de bonne guerre ! Maintenant, Séléné devait avoir compris qu’Alice n’était pas une soumise totale, qu’elle pouvait jouer le rôle de la soumise, mais qu’elle pouvait aussi facilement changer de figure. C’était assez déstabilisant, mais il fallait bien cela pour rendre cette relation plus attractive ! Et puis, de manière générale, il existait toujours une ambiguïté dans ce type de relation, puisque le soumis devait agir de manière à provoquer son dominant… Dès lors, il était permis de se demander qui dominait vraiment l’autre, entre le soumis qui faisait en sorte d’amener le dominant à le punir, ou le dominant qui pouvait vraiment le punir. Alice jouait donc volontiers avec cette ambivalence, sortant du rôle de la soumise pour devenir une amante plus classique… Elle sentait donc cette belle verge remuer contre ses fesses, et elle déplaçait son postérieur, lentement, comme pour mieux titiller sa Maîtresse, pour mieux l’assoiffer…

…Et elle sentit finalement la verge de sa Maîtresse heurter ses fesses, et s’y enfoncer lentement.

« Haaa… »

La tête blonde gémit lentement, sentant le membre de Séléné s’enfoncer en elle, coulissant progressivement dans son fondement. Ses mains se crispèrent sur les accoudoirs, et elle banda ses muscles, afin de mieux supporter la présence de ce membre, de cette queue assoiffée qui glissait en elle. Alice tremblait sur place, et elle sentit Séléné continuer à remonter, jusqu’à s’enfoncer jusqu’à la garde. Alice hoqueta en sentant le corps de sa Maîtresse s’écraser contre elle. Aurait-elle été une neko qu’elle aurait ronronné de partout ! À défaut, elle frissonnait joyeusement, rougissant en sentant ce vit épais qui s’enfonçait en elle jusqu’à la garde.

« Oh, je vous sens en moi, Maîtresse… Allez-y… Hmmm… Dé-Défoncez le cul de votre petite traînée d’esclave, hmmm… ! »

Alice semblait trembler contre Selene, confirmant un peu qu'elle était sensible à l'anal, comme c'était déjà présumé. Il ne fallut d'ailleurs pas attendre longtemps pour que la princesse commence à réclamer plus qu'une occupation du territoire, avoir son petit trou écarté ne lui suffisant bien sûr pas, elle voulait sentir le membre bouger en elle, ce qu'elle décrivait à juste titre comme lui défoncer le cul.

"Comme tu le souhaites, princesse."

Selene claqua encore une fois sa main sur les fesses d'Alice. Même si c'était parce qu'elle était demandeuse et non pour lui donner des ordres, elle utilisait quand même beaucoup l'impératif pour parler à la mutante. Il ne faudrait pas que ça deviennent une habitude même si, là, les demandes de la princesse allaient dans le sens de ce que la sorcière comptait faire, il y avait peu de chance que, au final, elle se laisse diriger.

Après avoir fessé Alice, Selene agrippa bien son postérieur, et, sans plus attendre, commença à onduler du bassin. Il était temps de voir si elle était aussi sensible du cul que la mutante avait cru le deviner lors du repas. La sorcière commença lentement, presque en douceur, pour habituer de petit trou, qui devait déjà subir sa présence, au passage de son membre. Mais la phase de démarrage ne dura pas trop longtemps, quelques passages pour passer de l'immobilité au mouvement et, déjà, Selene augmentait le rythme. Même sans connaître Alice plus que ça, elle ne doutait pas que son petit trou n'avait pas perdu sa virginité le soir même, il n'y avait donc aucune raison de le ménager plus que ça. La mutante ne l'aurait pas réellement fait si ça n'avait pas été le cas non plus mais la princesse pouvait alors plus vite profiter du plaisir, sans passer par les désagréments quand ce qui n'avait été jusqu'ici qu'une sortie accueillait à présent un passage dans les deux sens.

Alice avait effectivement pris les rênes !  C’était en tout cas elle qui disait quoi faire, et Séléné la suivit. Elle frémit quand la belle sorcière indiqua qu’elle allait la prendre, puis elle sentit Séléné bander ses muscles, prenant son inspiration, avant de commencer à la sodomiser. Alice gémit en sentant le membre épais de sa partenaire s’enfoncer en elle, remonter d’avant en arrière, se faufilant avec appétit dans son fondement. Elle gémit en sentant cette douleur exquise, et ses joues s’empourprèrent. Son corps bascula en avant, et elle s’agrippa aux accoudoirs du fauteuil, puis sentit la magicienne reculer, puis repartir en avant. Ses genoux heurtèrent le rebord du trône, et elle posa finalement ses mains sur le rebord du dossier, en hauteur. Ses doigts s’appuyèrent dessus, et elle gémit encore, soupirant quand la verge se retirait, et couinait quand elle revenait. Dans son dos, la magicienne en latex commençait à avoir un bon rythme.

« Oh, Maî-Maîtresse, haaaa… O-Ouii, comme ça, hmmm… »

La jeune femme se laissait faire, sentant la verge de Séléné remonter en elle, glissant dans son fondement, remontant jusqu’à la garde. Oh, quelle sensation délectable ! Elle gémissait encore, se laissant prendre, encore, oui, encore et encore ! Elle s’appuyait sur le trône, fort heureusement fixé au sol, tandis que, derrière elle, la magicienne amplifiait le rythme, dilatant avec délice ses parois anales. Han, cette douleur, oh, cette douleur exquise ! Alice sentait la douleur éclater en elle, stimulant tous ses sens, la galvanisant comme jamais, l’électrisant !

« Maî-Maîtresse… Hmmm… En-ENCORE !! »

Évidemment, s’enfoncer dans un fessier n’était pas aussi simple que de s’enfoncer dans un vagin… Et, à vrai dire, même s’enfoncer dans un vagin n’était pas si simple que ça ! Mais la porte arrière ne se lubrifiait pas, donc il fallait forcer le passage, encore et encore. Fort heureusement, Alice était habituée à ce genre de choses, alors elle pouvait compter sur son expérience, ainsi que sur ses compétences. La jeune Reine s’appuyait sur son trône, les joues rubicondes, le visage en sueur.  Elle gémit donc, sentant le corps de Séléné continuer à la prendre dans son dos. Elle donnait de solides coups de reins, et Alice filait d’avant en arrière. Elle s’efforçait pour le coup d’éviter de trop heurter le trône avec ses genoux, de manière à ne pas avoir trop mal, et à éviter de perdre son fragile équilibre. Séléné n’y allait pas de main morte, les minutes défilant au rythme de ses coups de reins, de sa queue massive qui s’enfonçait avec appétit en elle. Ce membre assoiffé était impressionnant, et Alice sentait ce vit lui déchirer le cul. Elle se sentait pleine, délicieusement remplie par ce membre, et releva la tête. Un long soupir s’échappa de ses lèvres.

« Hmmmm… Pu-Putain… !! »

Parler n’était plus très simple. Elle mouillait, et remuait sur place.

« Maîtresse… Je vous en prie, hmmm… Caressez-moi, je veux sentir… Vos doigts dans ma petite chatte de salope ♥… »

Ses doux gémissements emplissaient l’air. Alice aurait pu se masturber seule, mais elle aurait alors diminué son appui, et aurait pris le risque de se casser la figure.

« Pi-Pitié, Maîtresse, j’ai si chaud… Entre les cuisses, hmmm… » minauda-t-elle, de sa petite voix sensuelle et assoiffée.

Le cul d'Alice prenait, mais elle devait se concentrer sur ses appuis, pour essayer de rester stable alors que Selene la pilonnait de ses coups de rein. Mais, malgré les efforts que ça lui demandait, la princesse ne s'en plaignait pas, au contraire, elle semblait totalement perdue dans la tourmente des sensations que lui offrait cette sodomie. Elle en arrivait même à sortir des mots qu'on ne s'attendait pas vraiment à entendre de la bouche de la petite blonde, à se demander même comment elle les avait appris, probablement pas dans un cours de maintien et de bonnes manières.

Mais se faire prendre le cul ne suffisait apparemment pas à Alice. Alors qu'elle peinait à rester en place chaque fois que Selene s'enfonçait en elle, elle demandait à présent à se faire doigter la chatte en même temps. La mutante avait peut-être surestimé la sensibilité de son cul, en se fiant à ses réactions lors du repas, ou alors se faire enculer la mettait au contraire dans un tel état qu'elle ne pouvait qu'en demander plus.

"Tu es vraiment insatiable."

Selene mettait sa demande sur le fait qu'Alice se perdait dans son plaisir, mais ça ne changeait pas le fait que, alors que la mutante lui défonçait la rondelle, elle arrivait encore à en demander plus. La sorcière lâcha donc le fessier de la princesse, maintenant qu'elle était bien plantée en elle, et ses mains allèrent explorer le reste de son corps. La première se glissa simplement par devant, rejoignant le trou qui avait déjà reçu la visite de son membre, tandis que l'autre remontait, jusqu'à arriver à la poitrine de la blonde.

"Ne te plains pas... si tu perds la tête."

D'une certaine manière, Alice l'avait déjà un peu perdue, ça se sentait à ses écarts de langage. Ce n'était plus son double discours, comme lorsqu'elle parlait à Selene, mais plutôt de brèves pertes de contrôle, où elle s'exprimait avec spontanéité. Si la mutante la stimulait plus, ça risquait de s’aggraver, mais ce ne serait sans doute que provisoire, la princesse avait de l'expérience, si ça suffisait à affecter sa raison de manière permanente, ça se saurait, ou ça serait déjà fait.

De toute façon, c'était trop tard pour changer d'avis, Alice l'avait demandé, et maintenant elle l'avait. Selene ne se contenta pas d'introduire deux doigts dans la fente de la princesse, lui fouillant la chatte encore pleine de sa mouille et du sperme que la mutante y avait laissé, elle malaxait l'un de ses seins, la stimulant, pour voir si ça pourrait l'aider, concernant cette chaleur qu'elle ressentait.

La relation entre les deux femmes évoluait. Séléné avait pris conscience que, sous ses faux-semblants, Alice était en réalité une amante très expérimentée, et visiblement très perverse. Elle n’avait pas peur de se faire sodomiser, et elle ne demandait même encore plus ! Une sacrée amante, ça oui ! Séléné ne pouvait que suivre le mouvement. Il était désormais trop tard pour faire marche arrière, et Alice n’en avait aucune envie. Cette verge en elle, ce mandrin puissant qui remuait dans le fond de son cul, c’était trop bon ! Douleur et plaisir se mélangeaient, fusionnant ensemble pour donner un résultat explosif et assez jouissif ! Alice se tortillait donc, et avait fait sa demande à sa Maîtresse. Séléné acquiesça donc, et se pencha davantage vers Alice, qui soupira en sentant le corps de sa Maîtresse contre le sien. L’une de ses mains gantées glissa entre ses cuisses, et elle se mit à la masturber, remuant énergiquement en elle. Deux doigts se faufilèrent entre ses cuisses, et Alice soupira donc, sentant sa chatte s’humidifier.

« Hmmm… !! »

Alice se mordilla les lèvres, et remua encore. Elle se pencha en avant, et se redressa ensuite. L’une de ses mains partit en arrière, et elle s’en servit pour la poser sur la nuque de sa Maîtresse. Ce faisant, elle put se redresser, et tourna la tête, venant l’embrasser fougueusement. Leurs langues jouèrent ensemble, et Alice soupira encore. Les crissements de leurs latex respectifs se frottaient ensemble, se synchronisant avec le claquement de chair. Séléné s’était suffisamment enfoncée en Alice, assez pour ne plus avoir à se retirer, et pour pouvoir la pénétrer plus facilement. Elle glissait en elle facilement, maintenant, car, même si les parois anales se refermaient, Séléné pouvait la prendre facilement, ondulant fortement en elle.

« Ja-Jamais je… Je ne me plaindrai… De v-vous, Maîtresse… »

Parler devenait difficile, elle haletait et soupirait beaucoup, bavant même sur elle. Mouillant encore, elle commençait à inonder son trône royal, et sentait encore la magicienne s’enfoncer en elle. Son endurance était incroyable ! Et Alice, à n’en pas douter, adorait se faire baiser comme ça !

Oh, que c’était bon ! La manière dont Séléné la baisait, dont elle la sodomisait avec puissance, ses coups de reins qui lui défonçaient le cul… Cette douleur faisait joyeusement rougir Alice, qui gémissait encore, partant peu à peu, ce mélange intense et indescriptible de douleur et de plaisir la faisant délirer… Oui, elle succombait avec délice à ces sensations, à cette vague de sexe, à cette frénésie de luxure… Et sa Maîtresse réagissait bien, utilisant à bon escient ses mains ! Elle sentait l’une de ses mains peloter ses seins, pinçant et tirant sur le téton, arrachant à la jeune femme de longs soupirs, des mordillements de lèvres. Ses tétons durcis illustraient sa soif de sexe, ce désir furieux qu’elles entretenaient mutuellement… Elle écartait naturellement les jambes, gémissant en mouillant sur les doigts gantés de sa Maîtresse. Il s’agissait évidemment de nouvelles sécrétions, des sécrétions de plaisir. Elle approchait de l’orgasme, sentant la verge de sa Maîtresse remonter jusqu’à la garde, disparaissant dans son corps. Alice était curieuse, curieuse de pousser cette femme dans ses derniers retranchements, de voir jusqu’à quel point elle pouvait se montrer perverse.

Le sexe était une spirale ; plus on y goûtait, et plus on avait envie d’y goûter. C’était une course irrésistible au désir, une course sans fin, qui pouvait parfois vous emporter. Le sexe, c’était un exercice d’équilibriste, se tenir suspendue au-dessus du fil en sentant le désir l’appeler.

« Hmmmm… Oooh, que c’est bon, Maîtresse… Je… Je vous sens partir, hmmm… »

Elle n’était pas magicienne, mais elle était tout de même la fille de Lust ! Alors, elle avait une affinité surnaturelle avec le désir sexuel, et elle sentait que Séléné approchait du point de rupture, qu’elle allait jouir en elle… Serait-ce la fin de leur séance, ou simplement la fin d’une première partie ? Alice continuait à se dandiner sur place, et la belle tête blonde avait déjà pu prouver à Séléné qu’elle n’était pas du genre à jouir si facilement.

« Joui-Jouissez avec moi, Maîtresse… En-Ensemble ♥ ! »

La vague suprême approchait. Alice la sentait venir, imminente, menaçant à chaque instant de l’emporter. Elle se cramponnait sur le fauteuil, soupirant en se pinçant les lèvres, les joues rougies et le visage en sueur. Derrière elle, Séléné approchait du point de non-rupture. Comme la magicienne le subodorait, Alice le percevait. Elle ne se l’expliquait pas, elle le ressentait, tout simplement, comme un sixième sens, une forme d’intuition profonde. Et cette intuition lui soufflait une seule chose en ce moment : l’orgasme approchait !

Les doigts de sa Maîtresse se crispaient plus nerveusement sur sa chatte, appuyant plus fortement sur son clitoris. Tout était fait pour stimuler au plus la jeune Reine, qui poussait de longs soupirs de plaisir.

« Oooh… ! »

En sentant cette grosse verge s’enfoncer avec force dans son cul, Alice se tortillait sur place, soupirant et gémissant longuement. Elle serrait les accoudoirs du fauteuil, et, quand Séléné gémit à son tour, et se mit à jouir, la mouille de la jeune blonde s’accrut sensiblement.

« Je… Haaann… ! »

La vague vint, et elle sentit avec délectation le corps de Séléné se crisper contre elle, tandis que son membre dresse crachait sa semence chaude en elle. Elle se mit à jouir avec force, balançant des chapelets de foutre dans son fondement.

Alice se sentit remplir avec joie, et s’envola dans le plaisir suprême, le bonheur ultime de la jouissance et de l’orgasme… Dieu, que c’était bon !