Re: L'étrange soirée d'Harigato-senseï [Nanami Seikyo]
Posté : 14 sept. 2024 00:01
Ce qui se passait entre elles était... Indescriptible. Hikari avait sombré totalement, et pénétrait maintenant sa Maîtresse à même le sol, tout en gémissant et en la léchant. La langue pendante, elle revenait régulièrement embrasser et lécher le visage d’Hikari. Impossible de voir en elle une simple élève, elle était maintenant sa Maîtresse, sans aucun doute possible. Chaque fois qu’Hikari n’allait pas assez vite, ou semblait ralentir le rythme, Nanami tirait sur la laisse, ramenant ainsi le visage d’Hikari contre elle, chaque secousse étant comme un coup de fouet l’incitant à amplifier le rythme. Hikari la pénétrait donc, très excitée, heureuse, follement heureuse, sans pouvoir s’expliquer rationnellement l’origine de tout ce bonheur, qui déferlait en elle. Rien ne semblait devoir l’arrêter tandis qu’elle approchait de l’orgasme à toute allure.
« Haaaaaaaaaa... !! »
Hikari cessa d’aboyer pour hurler, serrant les dents, en sentant le plaisir croître, encore et encore, jusqu’à atteindre le point névralgique... Et sentit sa mouille affluer le long de la culotte. Elle se mit à jouir, et ferma les yeux, les joues rouges, crispant ses mains sur le carrelage. Tout son corps se détendit, parcouru d’immenses et joyeuses sensations de plaisir. Un relâchement total et absolu, une sorte de félicité et de plénitude qu’elle ne pensait pas pouvoir atteindre un jour. Mais... En vrai, ça faisait du bien !
Se reprenant peu à peu, Hikari avait la respiration haletante, et sentit ensuite Nanami la tirer avec la laisse. Elle aussi, elle ne verrait plus ce hall de la même manière, dorénavant. Impossible, en effet, de ne pas regarder l’endroit où elle s’était adonnée à la luxure sans crainte, sans hantise, mais, au contraire, avec un plaisir immense et envahissant. C’était vraiment très perturbant ! Hikari fut donc à nouveau traînée, jusqu’à retourner devant sa salle... Où Nanami lui proposa alors de « marquer son territoire ». Hikari écarquilla les yeux en comprenant ce que la femme voulait, la regardant avec effroi... Avant d’observer la porte, et de rougir.
Nanami lui avait ôté sa culotte-gode, faisant couler sur le sol sa mouille. La jeune prof’ se pinça les lèvres, silencieuse.
*Je n’arrive pas à y croire...*
Elle ferma les yeux lentement, avant de les rouvrir, et se redressa un peu, avant de plier et d’écarter les genoux. Elle posa sa main contre la porte, et se pinça les lèvres.
*Je ne vais pas le faire... Non, je ne vais pas le faire !*
C’est ce qu’une voix dans sa tête lui disait... Mais son corps réagit différemment.
Et elle se mit à uriner sur le sol, juste devant la porte, et sous les yeux de Nanami...
« Haaaaaaaaaa... !! »
Hikari cessa d’aboyer pour hurler, serrant les dents, en sentant le plaisir croître, encore et encore, jusqu’à atteindre le point névralgique... Et sentit sa mouille affluer le long de la culotte. Elle se mit à jouir, et ferma les yeux, les joues rouges, crispant ses mains sur le carrelage. Tout son corps se détendit, parcouru d’immenses et joyeuses sensations de plaisir. Un relâchement total et absolu, une sorte de félicité et de plénitude qu’elle ne pensait pas pouvoir atteindre un jour. Mais... En vrai, ça faisait du bien !
Se reprenant peu à peu, Hikari avait la respiration haletante, et sentit ensuite Nanami la tirer avec la laisse. Elle aussi, elle ne verrait plus ce hall de la même manière, dorénavant. Impossible, en effet, de ne pas regarder l’endroit où elle s’était adonnée à la luxure sans crainte, sans hantise, mais, au contraire, avec un plaisir immense et envahissant. C’était vraiment très perturbant ! Hikari fut donc à nouveau traînée, jusqu’à retourner devant sa salle... Où Nanami lui proposa alors de « marquer son territoire ». Hikari écarquilla les yeux en comprenant ce que la femme voulait, la regardant avec effroi... Avant d’observer la porte, et de rougir.
Nanami lui avait ôté sa culotte-gode, faisant couler sur le sol sa mouille. La jeune prof’ se pinça les lèvres, silencieuse.
*Je n’arrive pas à y croire...*
Elle ferma les yeux lentement, avant de les rouvrir, et se redressa un peu, avant de plier et d’écarter les genoux. Elle posa sa main contre la porte, et se pinça les lèvres.
*Je ne vais pas le faire... Non, je ne vais pas le faire !*
C’est ce qu’une voix dans sa tête lui disait... Mais son corps réagit différemment.
Et elle se mit à uriner sur le sol, juste devant la porte, et sous les yeux de Nanami...