Page 5 sur 5

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Posté : 13 oct. 2024 00:16
par Velma Dinkley
Velma ignorait totalement ce qui allait se produire. Sans ses lunettes, elle ne voyait même pas le bout de son nez ! De vagues couleurs, des formes très floue, difficile à dire si elle parlait avec Amélie ou une veste posé près d'un mur. Par chance, elle ne comptait pas l'abandonner comme ça mais elle n'allait pas lui redonner la vue tout de suite. La maîtresse en profitait pour finir de la nettoyer et de la trainer par sa laisse dans son bunker. Velma ne pouvait même pas s'imaginer le chemin, déjà que la déco était loin d'être original, des murs blancs à perte de vue, ou gris, comment savoir ? Elle put apprécier son petit geste pour elle, sentir cette chose se glisser entre ses fesses, ça lui faisait plaisir, au moins pour patienter. Même une fois arrivée à destination – sans savoir laquelle – Velma était obéissante, savourant comme elle pouvait le maigre plaisir que sa maîtresse lui avait laissé. Mais justement, elle venait à préparer quelque chose pour sa fidèle chienne, la badigeonnant d'un liquide froid, c'est tout ce qu'elle pouvait déduire, avant qu'elle ne commence à doucement l'habiller. Ça ne prenait pas deux minutes, elle sentait la matière coller à sa peau, comprenant mieux qu'on l'avait huilée en quelque sorte.

Velma n'était pas une grande fan de latex, sans avoir honte de son corps, elle n'était pas un top modèle alors si elle assumait ses légères rondeurs, dedans, ça pourrait sauter aux yeux. Mais elle se laissait faire, ne voulant pas contrarier sa maîtresse. Puis ne sait-on jamais, si ça se trouve, c'était dans sa tête en réalité, elle était très bien ? Après plusieurs minutes, elle put enfin sentir la fin de cette essayage et retrouver la vue. Au final, la tenue lui allait plutôt bien. Il va falloir qu'elle s'habitue à bouger dedans, à se voir ainsi, mais ce qui la motivait surtout, c'était ce qu'elle sentait dans son dos, cette chose si dure qui se heurtait à elle !

« Mh, je ne sais pas maîtresse... je n'en ai jamais porté et... je suis plus du genre à me plaire nue mais... Mmmh, je dois avouer que votre solide argument... me donne envie d'essayer de la garder un peu plus longtemps... »

Même si elle était habillée, son anus était occupé par le plug, elle n'allait pas squatter cette zone, elle pouvait bien passer par devant, se contenter d'une fellation ? Après, Amélie aimait peut-être jouir sur ses partenaires quand elles étaient si bien moulé ? Velma remuait doucement, son fessier bien rond se frottait sur la lance de chair de sa belle Maîtresse qui la dévorait du regard dans le miroir.

« Est-ce que vous aimer... sentir votre queue se frotter contre moi ? »

Surtout contre cette matière, mais ça, ça allait de suite. Velma remuait doucement, se déplaçant de sorte à ce que sa verge soit le plus possible au milieux de ses fesses. L'idée de se masturber entre ses fesses pourrait la tenter, sauf si sa maîtresse savait depuis le début ce qu'elle voulait ?

« Maîtresse, je suis si serrée... j'ai l'impression que... ha, je n'arriverais jamais à toucher mes pieds, regarder. »

Elle surjouait un peu, évidemment, mais voir Velma se pencher dans cette tenue était déjà une belle vue, de voir son jolie cul bien moulé crissé mais surtout, de voir sa puissante verge dominer son cul, le sentir glisser le long de son membre viril. Velma n'était pas habituée au latex mais elle risquait d'être une puissante tentation pour sa maîtresse. Elle lui avait donner une arme redoutable contre elle-même. La nymphomanie de Velma alliée au latex qui envoutait Amélie... Une chance que Velma ne souhaite que se faire dominer et humiliée, sinon, avec un peu d'entrainement, ça aurait été Amélie qui aurait été la petite chienne de Velma en latex.

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Posté : 13 oct. 2024 00:16
par Widowmaker
Les rondeurs de Velma ne gênaient en rien l’ensemble. Au contraire, elle était parfaite dedans ! Un joli paquet cadeau ! Amélie restait dans son dos, embrassant le creux du cou de Velma, léchant sa peau puis le latex. La combinaison était intégrale, mais elle avait laissé un décolleté. Velma lui avoua qu’elle n’était pas habituée au port du latex, et Amélie gloussa, déplaçant ses mains pour pincer les seins de Velma, qui ressortaient de la combinaison, ses tétons étant joyeusement moulés. Amélie la tripotait, et Velma en profitait aussi, frottant ses fesses contre sa verge, feignant d’avoir du mal à s’adapter à la combinaison pour mieux titiller sa Maîtresse. Elle en profita d’ailleurs, en s’étirant en avant d’une fausse voix plaintive, pour mieux bomber ses fesses. Son cul ressortait très bien, et, quand elle se penchait comme ça, même le plug était moulé ! Amélie sourit donc, sentant sa verge croître, durcir joyeusement. Une belle érection, qui la rendait nerveuse.

« Hum… Je crois que je commence à comprendre tes messages, ma chérie… Moi, je trouve que la tenue te va très bien, comme si elle t’était destinée… »

Un jour, peut-être, Velma pourrait dominer Amélie… Mais pas ce jour ! Les deux mains d’Amélie caressèrent sa croupe, malaxant ses fesses, faisant crisser le latex. Elle poussa sur les fesses de Velma, la forçant à se mettre à quatre pattes. La combinaison disposait d’une fermeture Éclair à l’arrière, et elle l’ouvrit à hauteur du bassin. Le joli cul de Velma apparaissait. Amélie lui retira son plug.

« Une tenue bien rouge, pour une salope en chaleur… J’aime aussi te voir à poil, mais nous sommes des gens civilisés, il faut bien te vêtir un peu ! »

Amélie donna une première gifle sur le cul moulé de Velma, faisant claquer le latex.

« J’adore le son de tes insolentes fesses quand je les claque… Tu es vraiment la plus grande des salopes que je connaisse… »

Et, suivant cela, Amélie déplaaça le plug, qu’elle mit dans la chatte de Velma, puis enfonça sa verge dans son cul, la pénétrant brutalement, avec sa verge assoiffée et bien dure !

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Posté : 13 oct. 2024 00:16
par Velma Dinkley
Velma était bien belle comme ça, selon les dires de sa maîtresse. Elle n'a jamais été très tenté par le port du latex, peut-être à cause de ses formes, loin d'être aussi fine qu'Amélie ou simplement que ce n'était pas son truc ? Mais maintenant, c'était chose faite. Elle allait peut-être aimer ça par la suite ? Au début quand Scooby, le chien de son groupe d'ami, lui avait grimpé dessus, elle avait un peu regretté d'avoir essayer la chose mais une fois bien en elle, elle avait adorer devenir la chienne de ce chien. Leur histoire débutait tout juste mais elle avait hâte que sa maîtresse la cerne mieux pour lui faire subir tout un tas de choses ! Mais pour le moment, évidemment, Amélie pensait d'abord à elle en ayant ainsi habillée Velma. Elle se dandinait contre elle tandis que sa Maîtresse caressait son corps qui crissait, la belle queue de cette dernière se frottait contre elle, elle la sentait plus durement encore que toutes les autres fois où elle avait bandé pour elle ce soir. Nul doute, sauf preuve du contraire, le latex était le point faible de cette femme pâle. Elle l'aguichait en se penchant, se demandant même pourquoi elle n'était pas déjà en train de la prendre ? Juste le temps pour sa Maîtresse d'ouvrir l'arrière de sa tenue pour changer le jouet de place avant que sa solide lance ne se plante en elle.

« Haaaaan ! Maîtresse~ »

Son cul était bien dilaté maintenant, elle n'avait pas de réels soucis pour la prendre ainsi. Peut-être même Amélie pourrait faire grandir ou grossir sa queue, Velma avait assez de place pour supporter ce genre de choses. Mais elle va vite le savoir. Bien cramponnée à ses fesses, elle rebondissait sur sa queue, le tout sous l'effet musical des claques sur son cul. Oui, le son était plaisant, surtout pour sa maîtresse qui savait savourer la chose. Velma se plaisait à sentir sa bite ramoner son fondement, elle semblait prête à repartir de plus belle pour s'amuser.

« Haaaaa ouiiiii ! Je suis une belle salope~ Une grosse chieeeeeeenne, bien salooooope~ »

Velma avait vraiment un penchant pour la soumission, elle ne se voyait pas dominer, ou alors il faudrait la personne idéale pour ça, ou le scénario idéal ? Mais oui, quoi qu'il en soit, ce ne sera pas pour ce soir de toute façon. Pour le moment, elle voulait juste recevoir. Elle ne voulait pas donner d'ordre, pour ne pas frustrer Amélie dans son rôle, mais elle voulait vraiment être dominé, être tiré par les cheveux, traitée comme une pute, baiser comme une chienne, il fallait que sa maîtresse la traîne plus bas que terre mais si tout va bien, elles seront amener à passer plus de temps ensemble, elle aura tout le loisir de se faire traitée comme un vulgaire jouet sexuel.

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Posté : 13 oct. 2024 00:16
par Widowmaker
Dans sa catsuit rouge, Velma était magnifique ! Un pur régal pour Amélie, qui s’amusait à la sodomiser avec passion. Elle l’avait ramené à quatre pattes, satisfaisant la soif de la jeune femme. Plus le temps passait, et plus Amélie s’absorbait en elle. Elle puisait dans ses propres ressources, intensifiant son inmon, ce qui eut pour effet de durcir sa verge dans le cul de Velma. Les pupilles d’Amélie virèrent au rose, et elle soupira, continuant à la besogner, palpant ses fesses, déplaçant ses mains pour soupeser ses seins. Elle les comprima, et la redressa ensuite. Elle entendait Velma gémir, soupirer, crier même !

Velma se tortillait sur place, s’insultant généreusement. Amélie sourit, frémit aussi. Ses iris brillaient d’une lueur violette, et elle releva encore Velma en pinçant ses seins. Elle la releva donc, malaxant sa poitrine.

« Tu as… Vraiment… Des gros nichons de salope, hummm… »

Amélie les malaxa avec force, les pinçant sans hésitation. Elle mordillait le creux du cou de Velma, remuant encore en elle, usant de toute sa force et de tout son désir. Elle pouvait entendre la catsuit crisser sous l’effet du latex. Amélie glissa ensuite ses mains sous les aisselles de sa partenaire, et releva ses bras, enfermant les siennes dans une sorte de clef improvisée. Ses mains se posèrent sur la nuque de Velma, et elle la prit ainsi. Velma était debout, mais avec la tête penchée vers le bas, sentant les coups de reins s’accentuer dans son cul.

La verge d’Amélie continuait à croître, s’étirant et durcissant. Elle atteignait à ce stade des proportions surhumaines. Amélie soupirait encore, sentant le corps de Velma glisser d’avant en arrière, s’empalant sur sa queue.

« Tu… Tu aimes ma g-grosse bite, pe-Petite pute…. ? »

Sa respiration était lourde et profonde. Amélie grognait encore, serrant ses doigts sur la nuque de sa partenaire… Jusqu’à finalement jouir en elle avec force ! Un orgasme intense, très puissant, qui remplit le cul de Velma, qu’Amélie plaqua contre le mur en jouissant. Elle se reculait, puis la plaquait à nouveau, jouissant encore.

Amélie jouit ainsi pendant une bonne minute, et, quand elle relâcha la pression, Velma tomba au sol. Elle glissa contre le mur, et s’étala sur ses jambes, son ventre ayant gonflé sous le sperme accumulé. Amélie sourit malicieusement en la regardant.

« Je t’ai rempli de mon foutre, ma salope… »

Elle se masturbait lentement, louchant sur les seins de Velma, comme pour annoncer la suite…

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Posté : 27 oct. 2024 09:05
par Velma Dinkley
Inutile de faire dans la dentelle et dans l'eau de rose, Velma avait un côté sombre, et ce côté sombre laissait parler ses plus bas instincts, ne cherchant aucunement la tendresse, elle voulait du cul, que l'instant faire rougir les plus grands films pornos, qu'ils se remettent en question face à elle ! Velma avait des envies, consciente que ses pulsions pouvaient virer au cauchemar pour certaines, comme être prise dans les transports en communs ou par plusieurs au détour d'une ruelle, mais une chose était sûre, elle était une salope ! La zoophilie ? Ça ne lui faisait pas peur, elle avait même hâte qu'Amélie lui montre ce qu'elle savait faire dans ce domaine. Elle a aimé se faire baiser par un chien, reste à voir ce qu'il en sera, sous les yeux de sa maîtresse ? Pour le moment, elle restait obnubilée par elle, la prenant par-derrière, avec force, comme si chaque coup de reins serait le dernier, elle y allait de plus en plus fort, faisant couiner sa chose de plus en plus. Tandis que le bruit du crissement se faisait parfois entendre, Amélie usait aussi de ses mains sur son corps, pressant, pinçant, elle lui était tout entière dévouée.

« Haaaaaaaa ! Haaaaaa ouiiiiiiii !!!! »

Même si elle venait à la coincer dans une drôle de position, elle sentait bien que sa maîtresse en avait encore sous le capot, et de plus en plus fort, elle continuait de la baiser, chaque coup faisait remuer la surface de son corps, tant le choc était parfois si fort, la pauvre en bavait un peu mais par chance, ses lunettes ne glissaient pas de son nez. Velma était presque écrasée contre le mur, mais ça ne saurait tarder, car lors du final, Amélie la prenait contre ce dernier, chaque coup venait l'encastrer contre le mur, pendant que sa bite s'encastrait dans son cul, aussi loin qu'elle le pouvait. Velma tremblait, sa voix en était presque cassé tant elle avait crié, mais, au sol, elle voyait que sa maîtresse avait loin d'avoir fini avec elle, son regard semblait insisté sur sa poitrine. Elle remontait ses mains, se malaxant les seins, en repensant à tout ce qu'elle avait dit, alors qu'elle ne répondait pas, autrement qu'avec ses cris et couinements.

« Mon cul est bien rempli, Maîtresse, mais il y ma bouche qui est encore libre... et ma chatte... Et après, il reste tout mon corps... Je rêve d'une baignoire de foutre, Maîtresse... J'y serais et je me toucherais dedans, pendant que vous en ferrez de même~ »

Dedans ou dehors, ce n'était que détails, mais Velma était loin d'avoir dévoilé toute sa perversion à sa maîtresse. Elle restait assise sur ses fesses, reprenant des forces en se touchant sous les yeux d'Amélie qui devait avoir mille et une envie face à une personne comme Velma.

« Votre grosse bite... vous la voulez sur moi, ou bien au chaud ? »

Il n'y avait pas de trou apparent entre ses seins, mais elle devait pouvoir en faire un avec un petit truc pointu ? Après, elle ne savait pas si ce genre de combinaison coûtait cher ou non, si c'était une broutille pour sa maîtresse ou pas ? Une chose est sûre, quand elle allait la retirer, elle allait être couverte de sueur, elle allait plus glisser qu'une anguille hors de l'eau ! À moins qu'elle n'y rajoute son foutre à sa sueur ? Velma approchait à quatre pattes, sa tête se glissant sous sa queue à demi-mol, elle venait lécher ses belles couilles qui pendaient, comme un bébé chat irait téter sa mère, Velma allait téter la zone qui allait produire ce dont sa maîtresse allait avoir besoin pour la suite. À quatre pattes, dans sa tenue de latex rouge, son cul débordant doucement de foutre, que pouvait-elle rajouter pour encore faire fondre Amélie plus qu'elle ne l'était déjà ? Il faudrait la connaître sur le bout des doigts pour avoir la bonne réponse et là, ça ne faisait que, quoi, quelques heures qu'elles se sont rencontré ? Et elles en étaient déjà là ? Mais qu'est-ce que ce sera dans un mois, si leur liaison se poursuivait ?!

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Posté : 28 oct. 2024 18:50
par Widowmaker
Amélie reprenait son souffle, consciente que Velma était exceptionnelle. Elle jeta un œil vers l’une des horloges numériques de son repaire, et constata que la nuit était bien avancée. Pour autant, Velma n’en avait toujours pas fini, et avait encore beaucoup de fantasmes. Widowmaker sourit alors, tout en étant en sueur. Rares étaient les personnes pouvant se targuer d’épuiser une Widow ! Velma se déplaça à quatre pattes vers Amélie. Elle s’était assise sur un fauteuil, et frémit en sentant sa chienne lécher son sexe, glissant sa langue sur ses testicules, puis sur sa verge trempée. D’agréables frissons traversèrent le corps d’Amélie, qui sentait le désir renaître. Sa main caressa les cheveux de Velma, la caressant comme on le ferait d’une bonne chienne.

« Pour tout ce que tu désires, il va me falloir plus d’une queue, ma chienne insatiable… Mais j’ai peut-être de quoi te satisfaire. »

Widowmaker se redressa alors, et tira sur sa laisse, invitant Velma à la suivre. Elles retournèrent dans le laboratoire de Widowmaker, son antre futuriste. Velma avait déjà goûté aux tentacules de ce lieu, mais le duo se dirigea vers une autre pièce. Elles avancèrent dans un couloir aseptisé et froid, et Amélie ouvrit une porte sur le côté. Elles rejoignirent une pièce. Des lumières s’illuminèrent, éclairant des tables de recherche. La femme se dirigea vers un ordinateur, et pianota sur des touches.

Au centre de la pièce, il y avait un cylindre qui s’ouvrit alors lentement, révélant dessous un harnais avec des tentacules reliés à ce dernier.

« Ce prototype a été conçu à partir du harnais d’un super-vilain dont tu as dû entendre parler, Docteur Octopus. Je l’ai conçu moi-même, en utilisant aussi un morceau d’ADN du symbiote de Venom. »

Widowmaker s’en approcha.

« L’un de mes hobbys, comme tu peux t’en douter, est d’avoir des amantes. Je récupère des toxicomanes, des droguées, des paumées, que je sèvre ici, avant d’en faire mes amantes, et mes cobayes. Toi, tu es vraiment très spéciale, donc il est logique que je passe aux stades supérieures avec toi. »

Le harnais était une sorte de collier qu’Amélie glissa à l’intérieur de son casque de visée. Elle remit ensuite son casque, et frémit lentement quand le casque diffusa ses lignes de commande. Dans le dos de Widowmaker, des tentacules ne tardèrent pas à émerger, des tentacules violets et phalliques.

Amélie se concentra également, et se masturba dans la foulée, vigoureusement… Jusqu’à ce que sa queue grossisse et durcisse suffisamment pour qu’elle se déploie davantage. Une deuxième verge se forma.

« Je vais te baiser de partout, ma chérie… Cette combinaison que tu portes, tu vas voir qu’elle est très endurante ! »

Amélie se rapprocha encore du bassin de Velma, et orienta ses deux verges vers sa chatte et vers son cul. L’un des tentacules s’enroula autour du cou de Velma, et deux autres filèrent à travers les ouvertures dans son dos, et filèrent comme des serpents entre la combinaison de Velma et le corps de Velma, jusqu’à atteindre ses seins. Et, enfin, devant elle, deux autres tentacules se rapprochèrent à droite et à gauche de son visage. Si Velma touchait les tentacules, elle pourrait sentir Amélie gémir.

« Je n’avais encore jamais déployé autant de tentacules… Je vais te remplir de partout, ma salope ! »

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Posté : 22 déc. 2024 18:08
par Velma Dinkley
Velma était une chienne, quand elle était libérée de ses questions, qu'elle n'avait rien pour la freiner, elle était pire qu'une salope. Amélie allait pouvoir longuement s'amuser avec elle et pas seulement ce soir, un mot d'elle et Velma sera là. Sauf si une mission urgente la retient, ça ne sera qu'une excuse de plus pour mieux la punir à leur prochaine rencontre. La tueuse n'avait pas peur de ce que sa chienne voulait, mais face à tant de souhaits, impossible de tout faire ce soir. Déjà que la soirée était bien avancée, mais si ça semblait aller de soi pour elle, mais ça pouvait se faire en plusieurs soirées... ça devait se faire en plusieurs soirées. Elle n'était pas là pour tout rayer de sa liste au plus vite. Mais en bonne chienne, elle suivait Amélie qui tirait sa laisse, retournant dans un endroit qui faisait très laboratoire du futur, sa maîtresse pianota sur un clavier, préparant quelque chose qui lui inspirait peu confiance de prime abord... Mais quand elle décrivait que cela sera évidemment utilisé pour du sexe, ça l'enchantait un peu mieux déjà.

« Oh oui, Maîtresse... Sauter les étapes... Sautez-moi... »

Velma l'écoutait comme si elle était le Messie, la belle Amélie avait plus ou moins fusionné avec sa chose, se masturbant en la regardant alors qu'une seconde verge apparaissait sous la première, les autres tentacules remuaient doucement tout autour d'elles, l'une s'entourant autour de son cou, les autres se glissant sous sa combinaison pourtant bien serrée, et deux autres restaient près d'elle. Elle en embrassait un, son instinct lui dictait que c'était la bonne chose à faire et Amélie eut comme un léger sursaut. Oh... Intéressant.

« J'existe que pour vider vos grosses couilles, Maitresse. »

Elle était la proie entre les griffes du prédateur, et elle aimait ça. Ce qu'elle venait de dire, elle aurait pu le dire sincèrement, mais elle avait une vie civile a mener, tant pour les organismes gouvernementale que pour les gens qui lui ont confié des soucis qu'elle pouvait régler. Qu'elle ne se soucie pas de ses envies, du moment qu'elle la laissait en vie, sans briser ses os ou lui faire très mal, elle pouvait presque la gaver comme une oie pour la remplir de foutre, jamais ô grand jamais elle ne lui en voudrait. Ce serait sûrement même le contraire. Ses énormes verges étaient prêtes à forcer le passage, elle ignorait si elle allait passer à travers la combinaison ou trouver un passage, mais elle n'attendait que ça.

« Je suis la soumise... et vous êtes la femelle dominante... Faites votre devoir, Maîtresse... »

Face à la femelle dominante, elle se devait de toujours montrer son cul en offrande, bon là, elle avait les deux dans le viseur, c'était déjà bon signe. L'impatience de Velma était plus que palpable, elle remuait, de sorte à ce que sa verge haute touche son entrejambe, elle avait si hâte de se faire baiser. Elle rougissait en se mordant les lèvres du bas. Qu'elle oublie ses autres jouets, celui-ci allait lui demander beaucoup de son temps.

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Posté : 26 déc. 2024 13:12
par Widowmaker
Avec Velma, Amélie était encore loin d’avoir épuisé cette dernière, et de se lasser elle-même ! Qui aurait pu croire qu’une telle perverse puisse exister, et, surtout, qu’elle débarquerait sans prévenir chez elle ? Car, en soi, des femmes nymphomanes, Atarashï Yoake en abritait une proportion non négligeable. Velma se trémoussait sur place, tandis qu’Amélie utilisait les instruments multiples de son laboratoire. Velma était impatiente, frissonnant et se trémoussant en sentant les deux verges d’Amélie. Dans son dos, ses tentacules violets et luisants s’étaient étirés, comme des pattes d’une araignée très érotique. Ensuite, le rodéo put commencer. Amélie, dans un soupir langoureux, s’enfonça dans le corps de Velma, et se mit à gémir, sa verge supérieure se nichant dans son cul, puis sa verge inférieure dans sa chatte. Ses mains gantées se crispèrent sur les hanches de Velma, et Widowmaker soupira, sentant une explosion de plaisir en elle.

« La sou-soumise, ouiii… M-Ma petite pute… Rien qu’à moi, haaaa… »

Pendant quelques secondes, le visage si calme d’Amélie se fendilla d’un sourire pervers, puis elle donna une belle claque sur le cul de Velma, sa main rebondissant sur son postérieur moelleux. Bandant ses muscles, Amélie continua ses coups de reins, filant dans le corps de Velma d’avant en arrière, remuant ses deux verges à l’unisson. Elle en soupirait longuement, sentant la vague exploser en elle. Oh, c’était si… Si intense, si fort ! Amélie n’était pas habituée à devoir tout gérer, et les tentacules la stimulaient également. Velma s’amusa d’ailleurs à embrasser un tentacule, ce qui donna lieu à une nouvelle fessée. Un tentacule se déplaça ensuite, et fouetta le cul de Velma. Le but était de la faire gémir, de l’entendre même hurler, tandis que les queues de Widowmaker continuaient à remuer en elle. Elle était prise dans une danse frénétique, exigeante. Ses queues coulissaient furieusement en elle, faisant durer le plaisir, l’étirant au gré des coups de reins.

Sur les seins de Velma, les tentacules se frottaient. Ils pompaient ses tétons, et Velma put ensuite sentir un autre tentacule piquer la jeune femme à hauteur de son cou. La belle put alors sentir ses seins gonfler, se durcir, tout en sécrétant un lait aphrodisiaque que les tentacules absorbaient. Elle se faisait traire ! En réponse, les tentacules et la combinaison d’Amélie luisaient, émettant de douces lueurs phosphorescentes. C’était un magnifique spectacle, tandis qu’un tentacule s’était enroulé autour du cou de Velma, l’étranglant, serrant régulièrement sur place, un autre s’enfonçant ensuite dans sa bouche, remuant et vibrant entre ses lèvres.

Prise littéralement de partout, Velma n’était plus qu’une poupée de chair et de sexe, une poupée qu’Amélie allait baiser encore très longtemps, et qui allait vivre ce moment au rythme de ses orgasmes frénétiques !

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Posté : 30 mars 2025 16:43
par Velma Dinkley
Ce n'est pas sûr que Velma passe à autre chose après ça. Amélie lui sortait le grand jeu, la faisant prisonnière, l'habillant en latex – certes, ce n'était pas le plus évident à enfiler et à supporter – et supportant bien des avantages à côté, ses tentacules, sa « Maîtresse » qui était doublement membrée et qui la baisait sans sommation. Elle aura du mal à se dire que ce ne serait que le coup d'un soir. Elle voulait prolonger l'expérience bien plus loin, même si pour le moment, elle subissait les envies d'Amélie, elle voulait partager les siennes. Elle voulait voir son visage en la voyant se faire grimper dessus par un gros chien, devoir la sortir dehors pour qu'elle fasse ses besoins, devant soulager aussi les autres chiens en rutes, voir même leurs maîtres et maîtresses par la même occasion, devant aussi subir mille et une envie rien que pour voir si Amélie entrait dans cet univers ou non. Ne serait-ce qu'essayer. Velma était une sacrée dépravée, mais elle n'avait pas essayé un dixième de ce qui lui faisait envie, elle devait trouver avec qui le faire, et parfois, ce n'était pas si simple... Mais avec Amélie, ce serait peut-être l'occasion de passer à la pratique !

« Haaaaan !!!! EncOOOOOOORRRRE Maîtresse !!!! »

Elle était prise de partout, une poupée de chiffon pendant que sa maîtresse la baisait avec ses deux verges, qu'elle la fessait à l'occasion, laissant les tentacules faire le reste. Elle fut surprise de cette piqûre dans le cou, tout comme de la sensation sur ses seins, de cette impression qui ne laissait plus de place au doute. Pour une raison ou une autre, elle avait du lait. C'était bizarre et excitant à ressentir mais elle avait à présent qu'une hâte, c'est de voir sa maîtresse boire à la source et venir se régaler. D'imaginer sa tête sur son seins, se régalant d'elle, plus elle y pensait, plus elle en avait envie ! Mais elle ne pouvait pas le dire, non pas par honte, mais car elle était en partie étrangler et fellationnée. Son seul regret dans cette situation, c'était que c'était des tentacules et non des personnes. Être la seul dans un gang-bang d'une dizaine, non, vingtaine de personnes, minimum, ça lui faisait envie ! Des personnes comme sa maîtresse mais de plusieurs sortes ! Ça devait être un de ses fantasmes, dans le top trois.

« Huuuuu ! Mmmrrrrrmmmm !!! »

Véritable objet sexuel, elle ne rêvait pas de n'être que ça à longueur de temps, sa vie normale lui plaisait mais une fois le travail fini, elle voulait retrouver cette vie et vivre ainsi, pendant... des années, facile ! Peut-être se calmerait-elle avec l'âge ou une fois ses envies essayer et assouvie mais pour le moment, elle se voyait à la même place dans cinq ans... peut-être même dix ? Elle remuait, comme son corps à chaque assaut de sa maîtresse sur son corps, mais elle aimait tellement ça... Son paradis, c'était ça. Elle ignorait dans quel état elle sera au réveil, mais elle y pensera qu'au réveil, pas maintenant.

Re: L’horreur à la française [PV Widowmaker]

Posté : 03 avr. 2025 08:52
par Widowmaker
Était-ce le dernier acte ? Velma était très énergique, au point d’avoir amené Amélie à déployer tout ce dont elle était capable. Elle lui avait donné sa catsuit, et elle comptait bien faire d’elle une prostituée hors concours ! Certes, elle aurait pu obtenir des informations de la part de Velma, mais elle ne le faisait même pas pour ça. Amélie le faisait tout simplement parce qu’elle en avait envie, parce qu’il était tout simplement jouissif de la baiser, de l’humilier, de la rabaisser, de l’imprimer de son pouvoir et de sa stature…

« Haaa, salope insatiable… Sache bien que tout ça, hmmm… N’est qu’un avant-goût, haaaa… Toi et moi, on mettra en place ton planning. Journaliste de jour, et… Hmmm… Su… Super salope la nuit, haaaa… »

Certes, Amélie penserait aux fois où il faudrait bien que Velma se repose, mais rien ne lui interdisait d’en profiter, encore et encore. Elle déployait sur elle l’étendue de son talent, usant de sa double verge et des tentacules jaillissant de sa combinaison pour renforcer le désir sexuel de Velma. Amélie la prenait de partout, comme une sorte de bouquet final, le clos du spectacle. Amélie la besognait avec force, giflant le cul de Velma, continuant à la prendre sans relâche. Amélie se laissait à ce stade pleinement aller. Même pour elle, les sensations étaient si fortes qu’elle n’arrivait plus à se contrôler, et qu’elle aurait été incapable de s’arrêter. Elle prenait Velma, elle la baisait de partout, ressentant le contact des tentacules comme une excroissance de son propre corps.

L’orgasme finit par la saisir. Après de longues minutes à prendre Velma, Amélie la retourna. Elle la coucha sur le dos, et se pencha sur elle. Elle l’embrassa fiévreusement, s’allongeant contre elle, et ses deux queues se mirent à réagir, atteignant le point culminant.

« Pe-Petite pute, haaaaa… »

Widowmaker se mit ensuite à jouir joyeusement, inondant la chatte et le cul de Velma. Elle la remplit joyeusement, orgasmant pour la énième fois de cette longue soirée, puis continua à la prendre.

« J-Je vais te baiser… Jusqu’à l’aube, ma belle… »