Page 1 sur 1

Noble amour incestueux [PV]

Posté : 23 déc. 2024 12:57
par Reine Alice Korvander
Lucrèce Borgia était morte jeune, à l’âge de 39 ans, lors d’un accouchement à l’occasion de son troisième mariage. Elle fut mariée à Giovanni Sforza au début. Un mariage malheureux, sans amour, Giovanni étant âgé de plus de dix ans qu’elle, et où elle vivait à Rome, et qui fut annulé par le Pape, Alexandre VI, son père, en raison d’un différend diplomatique. Pour faire annuler ce mariage, le Pape fit circuler l’idée que Sforza était impuissant, et ne consomma jamais le mariage.  La fureur de Sforza fut à la hauteur de son humiliation, et il répandit ensuite la légende noire de relations incestueuses entre Lucrèce et son père. Telle se déroula ainsi la réalité historique… Mais, dans les flux infinis du Multivers, il existe une réalité, une version uchronique de l’Histoire telle que nous la connaissons.

Dans cette itération de la réalité, après l’annulation du mariage avec Giovanni Sforza, le Pape Alexandre VI réussit à épouser sa fille au futur Roi de France, Louis XII. Ce dernier avait accompagné le Roi Charles VIII lors de la première guerre d’Italie, et tomba amoureux de Lucrèce Borgia en la voyant au sein du duché de Milan. À la mort du Roi Charles VIII, Louis XII fut sacré Roi, et épousa une femme qui ne l’aimait pas davantage qu’elle avait aimé Giovanni Sforza, mais qui, pour le trône de France, fit bien un peu d’effort.

Dans cette version, Lucrèce n’eut effectivement jamais d’enfants, tant de la part de Giovanni que de Louis XII, qu’elle avait épousé uniquement pour les besoins politiques de son père. Elle aimait en revanche son père, et ce fut d’ailleurs de lui qu’elle obtint ses deux enfants, qu’elle fit passer pour les enfants de Giovanni : sa Princesse, Marie Borgia, et son fils, le Prince Charles Borgia. La réputation sulfureuse de Lucrèce Borgia l’avait poursuivi jusqu’en France. De cela, elle se moquait toutefois. Elle savait que ses enfants allaient devoir se marier. De son mari, elle avait finalement peu de relations, ce qui fit que, à sa mort, Lucrèce versa peu de larmes. Elle vivait alors surtout en Italie, à Ferrare, dans un agréable château isolé. Ici, Lucrèce recevait de nombreux artistes, et assumait son veuvage.

Elle avait laissé Charles participer à l’inhumation royale, tout en s’occupant de sa fille. Lucrèce tenait beaucoup à ses enfants, et elle leur avait souvent dit que, le jour où leur père décèderait, elle ferait ce que son propre père avait fait avec elle.

« Charles revient aujourd’hui, Mère… lui avait confié Marie ce matin.
Alors, c’est ce soir qu’il te mettra enceinte, ma chérie. »

Lucrèce l’avait chaudement embrassé. Malgré l’âge, Lucrèce restait une femme magnifique, qui portait des tenues légères. Elle veillait depuis toujours eux, et, comme son père, sur leur éducation sexuelle.  Ils avaient souvent vu leur mère se faire prendre par leur grand-père. Ils avaient fait le serment de s’unir l’un à l’autre quand le moment serait venu. Chaque matin, Lucrèce leur donnait le sein, et elle avait veillé à ce qu’ils tiennent parole en les mettant à tous les deux une cage de chasteté, qu’elle retirait elle-même, souvent pour les masturber.

C’est ainsi que, quand la calèche qui annonçait Charles arriva dans le domaine du manoir, Marie se jeta sur lui pour l’accueillir, et pour l’embrasser avec énergie…

Re: Noble amour incestueux [PV]

Posté : 23 déc. 2024 13:02
par Chloé Faure
Le jeune et fougueux Charles Borgia était ce qu'on pouvait appeler une étoile montante au sein de l'Italie fracturée de la Renaissance. Préférant la voie des armes à celle de l'habit religieux, il avait pu profiter des grands moyens dont disposait son grand père et Pape, Alexandre Borgia, pour se tailler lui même un morceau de destin. Condotierre de profession, tacticien hors pair qui avait permis à sa famille de défaire nombre de leurs rivaux dans cette lutte de pouvoir, il avait atteint assez de richesse et d'influence pour avoir sous ses ordres sa propre armée de mercenaires. Il voyait toutefois les choses en plus grand, et le mariage de sa mère à feu le roi de France faisait de lui un héritier potentiel au trône. Charles avait beau ne pas avoir un lignage direct, Louis XII l'avait considéré comme faisant partie de sa famille, et ses faits d'armes ainsi que les 15000 hommes sous ses ordres pouvaient peser un poids considérable dans le choix du prochain roi de France. Francois d'Angoulême était son "rival" dans cette lutte, mais il n'avait pas l'intention de la mener, et c'était pour cette raison qu'il avait quitté Rome pour se rendre en France, afin de discuter des termes de son abandon de ses prétentions au trône de France.
Charles n'avait que peu d'intérêt à vouloir gérer un royaume où il serait tant un étranger que ka tâche en serait impossible, passé l'éventuelle conquête et guerre civile qui en aurait résulté. En revanche, lorsque Charles, par missive interposée, avait fait savoir à François qu'il était tout à fait ouvert à lui laisser tout son héritage en échange d'autres faveurs, ce dernier l'avait invité à monter à Paris pour en discuter. Les ambitions de Charles se trouvaient d'avantage en Italie, plus particulièrement dans les riches cités de Milan, Venise ou encore Florence, qu'il avait l'intention d'unifier sous un seul grand duché, ce qui serait possible avec l'aval d'un allié de poids tel que la France.

Mais avant ça, Charles allait faire une halte sur la route, dans les environs de Ferrare, dans un château possédé par sa mère Lucrecia, et où résidait aussi sa délicieuse soeur, Marie. Maintenant que le trône de France allait passer dans une autre paire de mains, Charles prenait sur lui d'assurer l'avenir de sa mère et de sa soeur. Et ce soir, alors qu'il chevauchait à la tête de son escorte personnelle, composée d'une vingtaine d'hommes triés sur le volet, il ne pouvait s'empêcher de songer à quel point sa vie allait de nouveau prendre un tournant différent, et ce pour le meilleur.
Ses hommes se séparèrent de lui à l'entrée des murailles du château, il camperaient et monteraient la garde à l'extérieur, ce fut donc seul qu'il arriva dans la cour principale, monté sur son bel étalon noir, et descendit promptement de sa monture quand il aperçu Marie, dans une délicate robe blanche, l'acceuillir à la façon que seule une Borgia savait faire.

Marie...

Son prénom fut la seule chose que Charles eut le temps de lui dire avant qu'elle ne vienne promptement l'enlacer, et l'embrasser sur la bouche. Charles répondit tout naturellement en posant une de ses mains à l'arrière du crâne de sa soeur, et l'autre dans le bas de son dos pour la lover contre lui, et il fourra sa langue dans sa bouche avec énergie. Il ne pouvait en être autrement, Lucrèce les avait tous les deux élevés de façon à ce que l'inceste ne soit pas un tabou chez eux, et ils étaient amoureux l'un de l'autre pour autant qu'il puisse s'en rappeler. Comment ne pas l'être ? Tabou de l'inceste mis de côté, Marie Borgia était probablement l'une des plus belles femmes d'europe de l'ouest, et Charles avait longuement pris son mal en patience jusqu'à ce que le temps soit décidé comme étant le bon pour pouvoir la déflorer lui même.

Mon aimée, enfin nous allons le faire. Il faudra que je parte en France après, pour nous assurer un futur digne de toi...mais durant cette semaine, je vais avant tout m'assurer que tu devienne une femme...ma femme.

La cage de chasteté qu'il portait sous son armure lui faisait mal, et il n'attendait guère plus que Marie le mène jusqu'à mère, qui en avait la clef.

Re: Noble amour incestueux [PV]

Posté : 23 déc. 2024 13:02
par Reine Alice Korvander
Marie frémit quand elle vit Charles, et sentit son sexe s’humidifier quand il l’embrassa. Oh ! Elle répondit naturellement à ce baiser avec force, se pressant contre lui. Elle savait que son frère était bien instruit, comme elle et comme leur mère, qui avait veillé à ce qu’ils aient une éducation parfaite. Elle savait ainsi que leur mère était suffisamment intelligente pour ne pas se lancer dans la bataille successorale du trône de France. Elle et Charles en avaient discuté, et Charles avait convenu de négocier avec celui qui était appelé à devenir le futur Roi de France, François d’Angoulême. Les jurisconsultes français avaient exhumé un vieil article de l’antique Loi salique il y a des éons pour empêcher les Anglais de s’emparer du trône, et ils feraient de même avec les Italiens. Mais, au-delà même de l’attrait du pouvoir, les Borgia n’avaient aucun intérêt pour le royaume de France, ce pays éloigné et sinistre, où il faisait froid. Lucretia avait toujours détesté son séjour à Rome. Elle était fondamentalement une amoureuse de la nature, une Italienne qui avait trop longtemps servi à des fins politiques, que ce soit par l’intermédiaire de son père ou de son frère, César Borgia, le seul autre homme qu’elle aimait outre que son père. Désormais, elle aspirait à une vie tranquille.

De plus, l’Italie était aujourd’hui en plein éclatement. Les guerres d’Italie avaient été lancées par les Français pour récupérer le royaume de Naples et le duché de Milan. Charles devrait négocier serré pour récupérer le duché de Milan, et promettre au trône de France d’importantes concessions, et une aide active. C’était après tout comme ça que Lucretia avait pu épouser Louis XII. Après l’échec de Charles VIII à conquérir le royaume de Naples, un échec d’autant plus retentissant qu’il avait perdu également plusieurs régions limitrophes prises par les Espagnols, Louis XII avait épousé Lucretia pour asseoir son autorité sur le duché de Milan, et s’en servir comme point-pivot dans la guerre contre les autres provinces.

Cette deuxième guerre avait de fait été un succès, permettant à Louis XII de préparer la conquête du royaume de Naples, dans ce qui fut la troisième guerre d’Italie. Une guerre soutenue par Lucretia, mais qui échoua finalement, Louis XII perdant à l’instar de son prédécesseur à conquérir Naples.

Avec l’arrivée du roi François, Lucretia s’attendait à connaître une possible nouvelle guerre, et elle allait donc devoir, à son tour, sortir de l’ombre. Mais, pour l’heure, Lucretia avait d’autres soucis que la politique.

« Hmmm… »

Maria sourit à Charles, et se lova contre lui.

« Tu m’as tellement manqué, Charles. »

Les yeux de Maria en étaient embués, et elle trembla quand Charles annonça qu’il allait faire d’elle sa femme. Son cœur se mit à battre la chamade. Un aboiement résonna alors. Venant les rejoindre, Fido, le chien des Borgia, se frotta contre Maria, et ne tarda pas à fourrer son museau sous sa robe pour renifler la cyprine. Maria rougit en caressant le chien.

Fido était avant tout le chien de Lucretia, et Maria et Charles avaient déjà assisté à l’une de ses séances avec lui. Fido avait été formé par Lucretia pour être son amant, un chien prédateur sexuel. Maria avait vu sa mère se faire besogner par ce chien sur le lit pendant une nuit, caressant et embrassant leur chien pendant ce temps.

« Lui aussi, tu lui as manqué… »

Elle sourit donc, et attrapa la main de Charles.

« Mère aussi veut  te voir… La cérémonie aura lieu ce soir, elle a tout prévu. »

Maria caressa son ventre lentement.

« Je suis en période d’ovulation, tu sais… Comme si Dieu lui-même voulait que tu me mettes enceinte. J’espère pouvoir t’annoncer ça à ton retour de France, et que notre enfant pourra grandir sans la crainte de la guerre. »

Re: Noble amour incestueux [PV]

Posté : 23 déc. 2024 13:02
par Chloé Faure
Peu étaient autorisés à pénétrer dans l'enceinte de ce château en particulier, qui était la propriété unique de Lucretia Borgia, et seuls quelques serviteurs triés eux aussi sur le volet pouvaient se rendre dedans, ainsi que des gardes de confiance très bien payés pour conserver le secret de ce qui se déroulait ici. Il existait bon nombre de rumeurs sur les Borgia, certaines étaient infondées, mais d'autres en revanche disposaient d'une base de vérité, comme celle leur donnant un caractère de débauchés. Il suffisait de voir Charles et Marie, pourtant frères et soeurs de sang, s'embrasser comme un couple, et se préparer à bientôt coucher ensemble. L'inceste n'était qu'un des nombreux tabous que les Borgia ne considéraient pas comme tels, et si Charles n'avait pas encore lui même passé le cap de commettre ce péché, cela allait être très bientôt le cas. Il ne pouvait honnêtement en être autrement, Charles avait par exemple déjà observé sa mère se faire baiser par ses propres gardes, ou de parfaits inconnus...ou même par des animaux. Le chien qui vint d'ailleurs l'acceuillir faisait partie des...nombreux amants réguliers de Lucretia.

Hola Fido, content de te revoir aussi, bon chien...

Charles était indéniablement un dépravé, qui trouva même excitant que le chien venait tout juste de se glisser sous la robe de Marie pour aller lui flairer l'entrejambe. Dans les coulisses, il était un homme avec bien des vices, mais loyal au delà de toute limite à sa famille, et comme il était désormais le seul homme de cette famille ou l'inceste était la norme pour grossir ses rangs...il avait bien l'intention d'accomplir son devoir. Après de brèves carresses sur la tête de Fido, Marie lui empoigna la main, déclarant que leur mère souhaitait également le voir, mais aussi et surtout, tout en posant sa délicate main sur son ventre, elle annonça qu'elle était en pleine période de fertilité.
Charles l'arrêta alors qu'elle commençait à marcher, et se mit à genoux devant elle pour déposer un baiser à l'endroit où se trouvait son nombril, par dessus sa robe blanche.

Tu as raison, c'est un signe que Dieu approuve notre union, peu importe ce que pourrait en dire l'Église.

Il se redressa alors, un air amoureux, mais aussi taquin, alors qu'il lui empoigna fermement une de ses fesses en le serrant tout contre lui et son armure.

Tu sera enceinte quand je repartirai Marie, je t'en fait autant la promesse que de m'assurer que nos enfants grandiront dans un cadre adapté. Oh oui..."nos" enfants...tu ne penses quand même pas que je pourrais me contenter de t'en faire un seul ? Tu es si belle...

Avec cette promesse, il l'embrassa à nouveau, assez longuement, tandis que Fido de son côté en profitait pour lui lécher les chevilles et les mollets en remuant la queue.

Allez, mène nous à mère.

Re: Noble amour incestueux [PV]

Posté : 23 déc. 2024 13:03
par Reine Alice Korvander
« Il est bien arrivé, Maîtresse. »

Lucretia sourit doucement en se pinçant les lèvres.

« Est-ce du désir que je sens dans ta voix, ma chérie ? »

Surprise, Esmeralda se mit à rougir confusément en se redressant. Elle était occupée à lécher les pieds de sa Maîtresse. Si les mœurs de Lucretia avaient défrayé les chroniques, la jeune femme n’en restait pas moins populaire parmi la population locale. Elle était en effet connue pour être proche du peuple, et pour avoir développé des dispensaires médicaux et des orphelinats. Esmeralda était une jeune enfant des rues, une orpheline que Lucretia avait éduqué. Elle lui avait donné de l’instruction, du savoir, avait veillé à sa beauté, à son langage, pour en faire une véritable courtisane, et aussi l’une de ses esclaves. Elle avait très tôt décidé qu’Esmeralda serait l’une des courtisanes de son fils, alors elle l’avait éduqué sexuellement, mais sans jamais lui prendre sa virginité. Esmeralda était de fait amoureuse du Prince Charles, en grande partie parce qu’elle savait qu’elle lui était promise. Elle ne pouvait donc qu’espérer que, ce soir, elle participerait peut-être aux festivités…

Lucretia sourit donc, puis se redressa. Elle était toute nue, car elle venait de prendre son bain, et Esmeralda avait, avec sa langue, achevé de la nettoyer. La Reine l’embrassa sur les lèvres, en lui promettant une douce surprise ce soir. Elle enfila ensuite sa robe grisâtre, ses sandales, et sortit de la salle de bains. Elle avait mis sur elle un élégant parfum très envoûtant. Elle descendit une volée de marches menant à la salle principale, et sentit son cœur s’emballer en voyant Charles. Elle sourit alors, et l’enlaça avec tendresse.

« Mon chéri, tu es rentré ! »

Elle l’embrassa une seconde fois.

« Et dire que ces maudits Français vont à nouveau t’arracher à moi… Tu as fait bon voyage ? »

Lucretia ne serait pas sa mère si elle ne s’inquiétait pas pour lui. Elle lui prit la main, et se déplaça.

« Le manoir était bien vide sans toi, mon chéri… Sache que je ne t’ai pas oublié ce que je t’ai promis au moment où tu es parti. Toi et ta sœur… Elle est suffisamment âgée, maintenant. Si tu es en forme, on le fera ce soir… »

Elle sourit ensuite, devinant dans son regard le désir brûlant qui l’envahissait.

« D’ici là, je peux te soulager de ta tension, mon aimé… Il te suffit de demander à ta Maman ♥ ! »

Re: Noble amour incestueux [PV]

Posté : 23 déc. 2024 13:05
par Chloé Faure
Charles peinait à contenir son impatience, il était un homme fougueux comme bon nombre de ses ancêtres, et dans bien d'autres circonstances sans doute n'aurait-il pas attendu plus longtemps pour faire l'amour à Marie. En descendant de son cheval, l'idée de la prendre dans les étables lui avait traversé l'esprit, au sol à même la paille, mais il se contenait. Lui tout comme Marie avait préservé sa pureté pour lui, ce qui méritait tout de même un meilleur cadre qu'une étable, mais il bandait fort sous son pantalon de tissu, et le parfum de sa soeur l'envirait. Oh oui, il allait faire une halte de quelques jours dans ce château avant de devoir partir en France, et durant ce laps de temps qui lui était accordé, Charles comptait bien la baiser avec toute la force et la passion que son sang de Borgia lui conférait, même si elle ne serait effectivement pas la seule...

Mère !

L'expression de Charles s'illumina à nouveau quand, une fois rentré avec Marie dans le hall principal, il vit sa mère apparaître et venir à lui. Les liens du sang chez les Borgia étaient très forts, là où d'autres familles aristocratiques pouvaient se déchirer sur des questions de pouvoir, l'une des grandes forces des Borgia avait toujours été leur unité...ce qui s'expliquait aussi en bonne partie par le fait que l'inceste était si commun chez eux. Le peu d'expérience que Charles possédait, notamment le fait de se faire masturber, il le devait à Lucretia qui s'était occupée de son éducation sexuelle dès que la puberté avait fini par se manifester chez lui. Mère et amante en même temps, Lucretia avait tout comme Marie une place prépondérante dans le coeur et l'esprit de Charles, qui enlaça fermement sa mère quand cette dernière se blottit dans ses bras.

Oui les routes étaient sûres, et ne t'inquiète pas mère, je reviendrai de France dès que possible. Mon avenir n'est pas là bas, mais je dois m'y rendre pour assurer le nôtre ici.

Les implications politiques de ses plans étaient nombreuses et complèxes, mais le jeune taureau n'avait guère envie de s'y attarder plus que ça, ou de charger l'esprit de sa mère et de sa soeur avec les incertitudes que ça allait impliquer. Non là, tout ce qui lui importait, c'était de se trouver en présence de sa mère et de sa soeur avec une érection qui à ce stade était douloureuse. Aussi, quand Lucretia mentionna le fait qu'elle pouvait le soulager, il n'hésita pas une seconde à prendre une main de Lucretia dans la sienne, et une main de marie dans l'autre, pour les amener à se poser sur son entrejambe afin...qu'elles puissent sentir.

Je ne pense qu'à ça depuis des jours, à vos douces mains, vos corps sublimes...oui, j'en ai besoin, per favore...

Re: Noble amour incestueux [PV]

Posté : 23 déc. 2024 13:05
par Reine Alice Korvander
Revoir son fils excitait naturellement fortement Lucretia. Mine de rien, elle attendait elle aussi ce moment avec emphase, alors elle avait tout planifié. Il n’y avait pas qu’Esmeralda ce soir, Lucretia avait ordonné à toutes ses servantes de venir. Cela impliquait aussi la belle Meghan. Cette beauté qui devait venir du nord était physiquement assez ressemblante envers Marie, et était naturellement une autre des esclaves des Borgia. Ce soir, Charles allait devoir honorer le nom des Borgia, mais, d’ici à ce soir, Lucretia allait s’occuper de lui. Ils devraient parler de son séjour en France, et, plus tard, Charles rencontrerait aussi les forces locales. Le duc de Milan s’inquiétait d’une reprise de la guerre. Mais la politique pouvait attendre. Lucretia sentit la cage de son fils, et lui sourit.

« Alors, installe-toi, je vais te sucer ici… »

Elle l’invita à rejoindre le trône installé dans cette salle de banquet. Charles se déshabilla alors, et finit tout nu. L’observant, Maria se mordilla les lèvres, ayant elle aussi du mal à se calmer. Sa mère l’avait pourtant masturbé vigoureusement ce matin, la faisant jouir à plusieurs reprises. Il était donc légitime qu’elle en fasse profiter Charles, qui avait dû faire tout le trajet en se retenant. La cage ne lui empêchait pas d’uriner, mais elle le prévenait de jouir. Une cage de chasteté était une chose assez fréquente à cette époque, c’était un excellent moyen de protéger les femmes de toute tentative de viol quand elles prenaient la route. Elle défit donc la cage en plein milieu du hall, tandis que Charles s’était déshabillé. Nu, il pouvait ainsi exhiber son corps parfait aux servantes, les faisant rougir. Charles put ensuite rejoindre le trône, et s’assit donc, avant de laisser l’accès à son sexe.

Monté comme un Borgia, Charles exhibait sa grosse et puissante queue, enflammant immédiatement les sens de Lucretia, qui se frotta les cuisses en s’imaginant recevoir ce membre en elle, bien au chaud dans sa chatte… Oh, si elle s’écoutait, elle le ferait maintenant ! Mais elle se retint, et, tout en se pinçant les lèvres, Lucretia rejoignit rapidement son fils. Elle s’agenouilla devant lui, et fit signe à Maria de venir.

« Viens, Maria ! »

Maria se retrouva à son tour à genoux, et renifla la verge de son frère, avant de la lécher.

« Tu as un si beau sexe, mon frère… »

Charles pouvait sentir sur son sexe le souffle des deux femmes. Lucretia léchait à son tour ce sexe, et incita Maria à descendre jusqu’aux testicules de l’homme. Elles léchèrent donc pendant un certain temps, parcourant son sexe de multiples baisers, s’imprégnant de ce musc, cette odeur délicieuse de sexe, ce liquide pré-séminal qui suintait de la verge bien dressée. Les servantes se massaient autour de ce spectacle, murmurant entre elles, salivant sur place. Elles n’avaient toujours aucun amant à ce jour, c’était les Borgia qui décidaient pour eux, et plus précisément Charles. Il était donc naturel qu’elles regardent le sexe de l’homme avec passion. Puis Lucretia entrouvrit les lèvres, et commença à le pomper, tout en soupirant. Elle se mit à le sucer, sous le regard ravi de Maria.

« Hmmm… !! »