Ah, les voilà à nouveau, ces mains fortes qui serrent le cou de Lyli, ces mains qui l'asphyxient…C’est bien la première fois qu’elle goûte à ce supplice dont elle est normalement la cause pour autrui. Ces gants en latex qui entravent sa respiration font rougir la sirène, sous l’effet de l’asphyxie et du plaisir. Ah, elle n'aurait jamais pensé prendre du plaisir à être dominée, mais ça, c’est sûrement car ce n’est pas n’importe quelle dominatrice non plus, en face. Pour autant son plan n’est pas de rester sage et docile tout le temps… L’eau approche, laissant miroiter à Lyli un grand espoir dans la marée montante.
Les 30 secondes sont passées, mais l’étranglement ne s’arrête pas. Tiens, elle est un peu plus énervée cette fois-ci ? Lyli grimace, entre l’inconfort du manque d’air, étrangement délicieux, mais surtout de la poigne de latex autour de sa gorge. Ben dis donc, elle a de la force quand même, pour une humaine. Et ce gros mandrin de chaire, qui vas et vient au plus profond de ses parois intime, glissant comme si l’intérieur de son sexe était tapissé d’huile, tellement les écailles “ de latex “ sont glissante. Comme ça va et vient jusqu’au fond, jusqu’au bout, les sensations sont incroyablement excitantes. De plus, après que la minute sans respirer soit passée, Lyli commença à ressentir une étrange mais salvatrice sensation… la tête lui tournait, elle haletait, la langue sortante, mais… elle aimait ça… ça ne faisait que la motiver davantage à se dandiner de droite à gauche pour bien sentir en elle la queue de sa “ maîtresse “.
Ses poumons, avides d’airs, tentaient d’aspirer une denrée désormais absente, provoquant un reflex innée du diaphragme, poussant sur les poumons pour essayer de forcer le corps à respirer. Sous chaque tentative infructueuse de respiration, son torse se cambra, sa poitrine se soulevait, et les mains de Lyli se serraient. Elle se mit alors soudainement à avoir un étrange sourire béat, et à jour tout en convulsant légèrement, étouffant, toussant. Une toux qui se transforme en une myriade de bulles éclatantes.
*Ah…. je… je ne peux vraiment plus respirer…. j’étouffe… mais c’est…. cette adrénaline… c’est…. vraiment le pied… ah ah…*
Les pensées de la sirène ne sont plus très claires, comme court-circuité, par contre, elle se rends compte d’une chose, d’une grave erreur de la dominatrice. L’eau ne va pas empirer la situation, au contraire… cette jolie dame vêtue de latex lui offre là le pire scénario possible pour elle, simple humaine…
Au début, elle fait semblant de ne pas pouvoir respirer sous l’eau, de retenir son souffle, et l’étranglement facilite la comédie. Un étranglement désormais un peu long, les yeux de Lyli commencent à un peu se révulser par moment, à cligner de manière plus sporadique, alors que son corps est soudainement secoué de spasmes, les spasmes d’un orgasme puissant… Ooops, elle a cédé avant l’humaine, c’est déjà son deuxième orgasme, qui en plus d’éclabousser de partout au fond de l’eau, ne fera que lubrifier encore ses parois en écailles.
Quand elle la laisse enfin respirer en lui sortant la tête de l’eau, Lyli prend une longue respiration sifflante et presque orgasmique.
- Uffffffhhhh ! Ah…. AH…. ouf…. pfiou…. ufh… ufh…. c’est si bon…. de res….pirer…. ah ah… tu m’as vraiment faite.. suffoquer…. vilaine …
Ah, plouf ! même pas le temps de bien reprendre son souffle à fond, mais pas grave, Lyli fait juste semblant maintenant, puisque les mains ne l’étranglent plus, elle peut en réalité parfaitement respirer, jouant juste la comédie en prenant un regard de chien battu, qui semblerait lui dire “ pitié, ne me noie pas “ gonflant ses joues… mais riant intérieurement… Car Alisson se jette d’elle même dans la gueule du loup, venant mettre sa tête sous l’eau, embrassant Lyli qui répond avec joie au baiser. Elle l’embrasse sans aucune panique, puisqu’elle peut respirer, répondant à ce baiser d’une façon si gourmande qu’on aurait dit, l’espace d’un instant, un baiser totalement consentant entre deux amantes en osmose.
Son rouge à lèvre, d’un rouge sombre et ténébreux, offre une texture si délicieuse à ses lèvres que Lyli pourrait les dévorer ainsi durant de longues minutes… En parlant de minute, le temps pour la dominatrice est compté, les poumons humains ne pouvant respirer sous l’eau. Alors lorsque Lyli sent la belle humaine ténébreuse vouloir remonter vers la surface, Lyli l’en empêche.
Premièrement, ses cuisses galbées et puissantes s’enroulent autour de la belle, pressant avec fermeté le bas de son dos, lui coupant une retraite classique. Elle pourrait encore à ce stade, user de sa lucidité pour garder son corps sous l’eau mais juste relever sa tête et respirer, mais, Lyli, avec cette étreinte, va faire un mouvement de corps digne d’une murène qui se serait enroulée autours de sa proie, prête à tourner sur elle même comme une torpille pour briser sa proie. Avec ce mouvement de bassin, elle renverse donc Alice, la faisant tourner 2 ou 3 fois sous l’eau, comme dans une machine à laver ! fermement retenue par ses cuisses. Ca aurait été bien plus facile avec les mains libres, mais bon… elle n’est pas forte au point d’exploser des menottes, non plus.
- Bloup… bloup… c’est ce que tu espérais entendre sortir de ma bouche ?
Comme Lyli l’a accompagné sous l’eau, Alisson pourra alors comprendre que Lyli est une créature marine et non une humaine. Elle la laisse ainsi se débattre, si elle le souhaite, en la laissant privée d’oxygène, lui rendant brièvement le baiser. Lyli remonte alors à la surface…. il reste un problème à régler.
- Et toi, la fille totalement effacée, vient par ici !
Lyli fait en sorte, tout en gardant la dominatricfe entre ses cuisses, captives, et en usant de sa différence de force sous l’eau, à tout de même relâcher un peu de pression pour que cette vilaine peste puisse sortir la tête de l’eau et respirer. Bonheur qui sera de courte durée.
- Quant à toi ma belle… tu t’es bien occupée de moi… alors je vais devoir te rendre la monnaie de ta pièce, on va voir combien de temps tu peux retenir ton souffle… Je te laisserais respirer quand tu m'auras offert ton plus beau regard me suppliant.
Puis plouf, Lili qui a inversé la vapeur, est assise sur le ventre de la dominatrice, la regardant à travers la surface, la narguant de son regard désormais hautain, déformé par la surface de l’eau. Son gros mandrin toujours en forte érection, frotte contre le haut des fesses de Lyli.
- Allez du nerf Shi ! C’est bien ça ton nom hein ? Viens ici. Tu vas me retirer ces menottes que j’ai dans le dos, et tu ne vas rien faire de suspect comme appeler de l’aide ni quoi que ce soit ! Si tu fais la moindre chose suspecte… j’appuie de toute mes forces sur le ventre de ta salope de sœur, avec mes jolies fesses, de quoi lui faire boire une sacrée tasse. La noyer ne me dérange pas, vos règles humaines ne sont pas les miennes. Mais je te promets de ne pas la noyer, si tu es obéissante.
Mensonge bien sure, Lyli ne tuerait pas une mouche ! Elle serait incapable de tuer par noyade cette humaine, Par contre, sa soeur de vrait se dépêcher, si elle veut pas que sa soeur ne reste trop longtemps à s’étouffer ! Si Shi vient exécuter l’ordre de Lyli, elle pourra ainsi voir sa pauvre soeur d’habitude si dominatrice, dans une situation bien inconfortable. La sirène se demande déjà si instinct de survie de la belle dominatrice à lunettes sera plus fort que sa fierté, si elle lui offrira ce regard de petite chienne soumise pour respirer, ou si elle gardera jusqu’au bout sa mentalité. Lyli recommence déjà à mouiller en s’imaginant tout ça, tout en continuant d’observer Alisson sous l’eau, comptant dans sa tête pour voir ou sont les limites de cette belle dominatrice. Elle a hâte d’avoir les mains libres, et de parcourir ce corps, cette tenue si érotique…