Nom/Prénom : SeNastrand Nausica
Âge : 18 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Orientation sexuelle : Anciennement hétéro, depuis ma malédiction bisexuelle
Terre de rattachement : Terra
Description physique :
Je suis une très jolie fille de dix-huit ans, aux cheveux droits de couleur rouges feux et tombant sur mes épaules. Je mesure cinq pieds et un peu moins de neuf pouces soit un mètre soixante-quatorze pour un poids de cinquante-neuf kilos (oui, je n’ai pas honte de parler de mon poids). J’ai une poitrine de dimension normale pour ma taille, et non, je ne connais pas mes mensurations… j’ai de magnifiques yeux verts qui surplombent un petit nez normal... du moins, avant d'avoir le pistolet d'Alecto, car maintenant, j'ai les yeux vairons : désormais, un de mes yeux est celui d'un reptile, un œil jaune, et qui est celui d'Alecto. Mes lèvres sont pleines et sensuelles et mon visage est assez anguleux mais harmonieux.
Concernant ma tenue vestimentaire, je porte des vêtements typiquement Ancarléen, c’est-à-dire, des pantalons de cuirs noir, une chemise à jabot féminine, des bottes cuissardes, un manteau pour cacher mes armes et un chapeau à large bord. J’ai aussi sac à dos, un holster pour mon pistolet, deux fourreaux avec une épée et une dague. Sans compter d’autres choses… comme une gourde et une tente.
Caractère :
Je suis une fille au fort caractère de cochon, dans le sens où j’agis plus que je ne parle. Ce qui m’a souvent jouée de mauvais tours, surtout durant mon enfance. Par contre je sais très bien ce que je veux, devenir la meilleur tireuse du continent (ça je sais qu’il y aura, toujours meilleur que moi…), mais aussi concilier magie et technologie. Je sais user de la magie d’une manière spontanée, due à une origine inconnue pour moi, car je suis capable de combiner l’énergie de la foudre à mon arme à feu. Sinon, que dire de mon caractère ? Ben, je suis une fille qui aime prendre du plaisir, même si je n’ai pas une grosse expérience. Je suis aussi curieuse, et Ancarla est l’une des cités les plus merveilleuse qu’il m’ait été donnée de voir (oui, je sais, je n’ai pas beaucoup voyagée non plus…). Cette ville est tout ce que j’ai jamais rêvée de connaitre. Je sens que je vais m’y plaire…
Histoire :
Je suis née le seize avril, il y a dix-huit ans dans une petite citée d'Ancarla, une nuit de tempête, au moment même où un éclair touchait le manoir de mes parents. Malheureusement, ma naissance fut aussi le jour de la disparition de ma mère. Mon père ne m’a jamais pardonnée la mort de ma mère, au point que tout ma famille est partie d'Ancarla plusieurs mois après ma naissance, ne me laissant pas le temps de vraiment connaître Ancarla. Bien que je sois née dans une famille d’aristocrate mineur qui possédait un manoir et quelques personnes à son service, j’ai toujours eut le regard dur de mon père sur moi. C’est Mathilde, ma sœur aînée, qui me nomma Nausica. J’ai donc vécue mon enfance avec une cuillère en argent à défaut d’être en or, élevée plus par ma sœur de douze ans mon aînée.
J’ai cinq frères aînés qui travaillent tous pour mon père. Moi, mon père ne veut pas me voir, je ressemble trop à ma mère pour cela d’après Mathilde. Mon père ne s’est jamais remarié, preuve qu’il aimait vraiment ma mère. Malgré le fait que durant mon enfance, je n’ai que rarement vu mon père, j’ai vécu dans une certaine opulence, Mathilde me donnant des cours pour que je puisse savoir lire et écrire un certain nombre. Outre la langue commune et l’Ancarléen, j’appris aussi l’elfique et le gnome.
Durant mon enfance, j’avais un ami, Bomert Droloc, qui était le fils d’une des femmes de ménage du manoir. Il avait deux ans de plus que moi. Nous étions, tous les deux, inséparables tant et si bien qu’on faisait les quatre cents coups toujours ensemble. Je ne compte plus le nombre de fois où nous avions été punis tous les deux. Je n’étais pas très connue pour ma sagesse mais plutôt pour les bêtises qu’on pouvait faire quand on est jeune. J’étais un vrai garçon manqué.
Quand j’eus douze ans et que je commençais à avoir des formes, Bomert me regardait d’une autre manière. Faut dire aussi, que Mathilde commençait à me prodiguer des conseils pour rester féminine en toute circonstance, même si je n’aimais pas vraiment cela. Evidemment, je commençais à ressentir des émotions contradictoire envers Bomert : par moment, j’adorais être avec lui, et à d’autres, il m’insupportait. Toujours était-il qu’un jour, durant le mois de Mirtul, il m’avoua qu’il m’aimait. Je devais bien l’avouer que moi aussi, je l’aimais bien. Evidemment, et j’ignore comment, mon père l’a su. Deux semaines plus tard, Bomert et sa famille partaient du manoir pour une contrée lointaine. Je n’ai jamais su où.
Mon père ne me quitta plus de ce jour. Il m’entraînait à devenir une bonne noble bien de sa personne, mais pour moi, je n’avais rien à faire d’être considérée comme une noble, ce que je voulais c’était continuer à vivre comme je le faisais jusque-là. Pendant près de trois ans, il me forma aussi aux armes, bien que douée avec nombreuses armes à distance, je savais me servir de pratiquement toutes les armes de guerre. Durant ma treizième année, je m’aperçus que je pouvais réparer de petites choses, sachant que sur l’île, la magie était mal vue, surtout concernant les objets mécaniques, je ne dis rien à personne. Voyant que j’étais une élève assidue pour son apprentissage, mon père commença à me laisser un peu de lestes. Ce fut le jour de mon quinzième anniversaire que je découvris l’utilisation des armes à feux. Et là, ce fut pour moi un déclic, c’était ce que je voulais devenir, une pistolière de renom, peu m’importait mon rang. Je tins deux années de plus, mais les manières de mon père me semblaient de plus en plus oppressantes.
S’ensuivit une altercation entre mon père et moi le jour de mes dix-sept ans. Je n’avais plus que du mépris pour lui et lui voulait que je devienne la femme d’un autre noble. Ce que je ne voulais plus, même si j’avais promis à mon père que je le ferais. Ce jour-là, je quittais définitivement la maison de mon enfance en rajoutant à mon père que j’étais capable d’user de la magie. Furieux, mon père décida que je n’étais plus sa fille. Quand j’arrivais au port principal de Lantan, je fus rattrapée par Mathilde. Elle me donna une bourse remplie de pièce d’or. Je l’embrassais et l’étreignit car je savais que je pourrais jamais ou presque revenir chez moi. Ce que je ne dis pas à ma famille, c'était que j'avais d'autres pouvoirs.
Je pris la première caravane en direction d'Ancarla. Je me suis arrêtée dans une petite cité à mi-chemin de la capitale d'Ancarla. J’y suis restée quelques mois, le temps de me sentir mieux et surtout le temps de rencontrer celui qui fit de moi une femme. J’aurais aimé que cette relation dure plus longtemps mais celle-ci se termina deux mois après. J’eus d’autres aventures, moi toujours sérieuse, mais lui jamais vraiment. Je quittais cette cité, il y a trois mois, pour voyager afin de devenir la meilleure tireuse du continent.
Cependant, un évènement a fait basculer toute ma vie : à Mijak, pendant l'Olympomachie, je fis la rencontre de trois femmes : Princesse Alice, Akira et Vanillia. La Folie avait envahi Mijak, et j'avais aidé les trois personnes dans cette lutte contre les soldats de la Folie. Je finis par affronter une demi-déesse du nom de Kan Hell, qui m'aimait bien suite à ce combat, ou alors suite à mon caractère. En tout cas, une porte s'ouvrit, un sort fut lancé et mon œil gauche fut arraché pour laisser place à un fragment d'Alecto, l'épée de la déesse Mégère. Mon œil gauche est celui d'un reptile, et j'ai un pistolet d'un rouge sanglant avec une multitude d'yeux, les mêmes que mon œil gauche. J'apprends à manier ce pistolet, surtout que j'ai l'impression qu'elle me rapproche de mon but de devenir la meilleure tireuse du continent, mais sa source de munitions, c'est ma santé mentale. Alors, pour tenir, j'ai commencé à faire appel à la dirigeante d'Ancarla : Evangéline, la Maîtresse des Poupées.
Autres :
Talent magique. Le personnage est parvenu à maîtriser un tour de magie grâce à ses talents innés. Sort : Réparation 1 fois par jour
Bâton-éclair (Mag). L’ensorceleur peut toucher une arme et lui accorder la propriété de foudre pendant un certain temps. Il peut utiliser cette capacité 5 par jour.
Sort de niveau 0 : Illimitée
Aspersion acide
Détection de la magie
Illumination
Destruction de mort-vivant
Lumière
Sort de niveau 1 : 5 par jour
Armure de mage
Abondance de munitions
Fabrication de balles
Âge : 18 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Orientation sexuelle : Anciennement hétéro, depuis ma malédiction bisexuelle
Terre de rattachement : Terra
Description physique :
Je suis une très jolie fille de dix-huit ans, aux cheveux droits de couleur rouges feux et tombant sur mes épaules. Je mesure cinq pieds et un peu moins de neuf pouces soit un mètre soixante-quatorze pour un poids de cinquante-neuf kilos (oui, je n’ai pas honte de parler de mon poids). J’ai une poitrine de dimension normale pour ma taille, et non, je ne connais pas mes mensurations… j’ai de magnifiques yeux verts qui surplombent un petit nez normal... du moins, avant d'avoir le pistolet d'Alecto, car maintenant, j'ai les yeux vairons : désormais, un de mes yeux est celui d'un reptile, un œil jaune, et qui est celui d'Alecto. Mes lèvres sont pleines et sensuelles et mon visage est assez anguleux mais harmonieux.
Concernant ma tenue vestimentaire, je porte des vêtements typiquement Ancarléen, c’est-à-dire, des pantalons de cuirs noir, une chemise à jabot féminine, des bottes cuissardes, un manteau pour cacher mes armes et un chapeau à large bord. J’ai aussi sac à dos, un holster pour mon pistolet, deux fourreaux avec une épée et une dague. Sans compter d’autres choses… comme une gourde et une tente.
Caractère :
Je suis une fille au fort caractère de cochon, dans le sens où j’agis plus que je ne parle. Ce qui m’a souvent jouée de mauvais tours, surtout durant mon enfance. Par contre je sais très bien ce que je veux, devenir la meilleur tireuse du continent (ça je sais qu’il y aura, toujours meilleur que moi…), mais aussi concilier magie et technologie. Je sais user de la magie d’une manière spontanée, due à une origine inconnue pour moi, car je suis capable de combiner l’énergie de la foudre à mon arme à feu. Sinon, que dire de mon caractère ? Ben, je suis une fille qui aime prendre du plaisir, même si je n’ai pas une grosse expérience. Je suis aussi curieuse, et Ancarla est l’une des cités les plus merveilleuse qu’il m’ait été donnée de voir (oui, je sais, je n’ai pas beaucoup voyagée non plus…). Cette ville est tout ce que j’ai jamais rêvée de connaitre. Je sens que je vais m’y plaire…
Histoire :
Je suis née le seize avril, il y a dix-huit ans dans une petite citée d'Ancarla, une nuit de tempête, au moment même où un éclair touchait le manoir de mes parents. Malheureusement, ma naissance fut aussi le jour de la disparition de ma mère. Mon père ne m’a jamais pardonnée la mort de ma mère, au point que tout ma famille est partie d'Ancarla plusieurs mois après ma naissance, ne me laissant pas le temps de vraiment connaître Ancarla. Bien que je sois née dans une famille d’aristocrate mineur qui possédait un manoir et quelques personnes à son service, j’ai toujours eut le regard dur de mon père sur moi. C’est Mathilde, ma sœur aînée, qui me nomma Nausica. J’ai donc vécue mon enfance avec une cuillère en argent à défaut d’être en or, élevée plus par ma sœur de douze ans mon aînée.
J’ai cinq frères aînés qui travaillent tous pour mon père. Moi, mon père ne veut pas me voir, je ressemble trop à ma mère pour cela d’après Mathilde. Mon père ne s’est jamais remarié, preuve qu’il aimait vraiment ma mère. Malgré le fait que durant mon enfance, je n’ai que rarement vu mon père, j’ai vécu dans une certaine opulence, Mathilde me donnant des cours pour que je puisse savoir lire et écrire un certain nombre. Outre la langue commune et l’Ancarléen, j’appris aussi l’elfique et le gnome.
Durant mon enfance, j’avais un ami, Bomert Droloc, qui était le fils d’une des femmes de ménage du manoir. Il avait deux ans de plus que moi. Nous étions, tous les deux, inséparables tant et si bien qu’on faisait les quatre cents coups toujours ensemble. Je ne compte plus le nombre de fois où nous avions été punis tous les deux. Je n’étais pas très connue pour ma sagesse mais plutôt pour les bêtises qu’on pouvait faire quand on est jeune. J’étais un vrai garçon manqué.
Quand j’eus douze ans et que je commençais à avoir des formes, Bomert me regardait d’une autre manière. Faut dire aussi, que Mathilde commençait à me prodiguer des conseils pour rester féminine en toute circonstance, même si je n’aimais pas vraiment cela. Evidemment, je commençais à ressentir des émotions contradictoire envers Bomert : par moment, j’adorais être avec lui, et à d’autres, il m’insupportait. Toujours était-il qu’un jour, durant le mois de Mirtul, il m’avoua qu’il m’aimait. Je devais bien l’avouer que moi aussi, je l’aimais bien. Evidemment, et j’ignore comment, mon père l’a su. Deux semaines plus tard, Bomert et sa famille partaient du manoir pour une contrée lointaine. Je n’ai jamais su où.
Mon père ne me quitta plus de ce jour. Il m’entraînait à devenir une bonne noble bien de sa personne, mais pour moi, je n’avais rien à faire d’être considérée comme une noble, ce que je voulais c’était continuer à vivre comme je le faisais jusque-là. Pendant près de trois ans, il me forma aussi aux armes, bien que douée avec nombreuses armes à distance, je savais me servir de pratiquement toutes les armes de guerre. Durant ma treizième année, je m’aperçus que je pouvais réparer de petites choses, sachant que sur l’île, la magie était mal vue, surtout concernant les objets mécaniques, je ne dis rien à personne. Voyant que j’étais une élève assidue pour son apprentissage, mon père commença à me laisser un peu de lestes. Ce fut le jour de mon quinzième anniversaire que je découvris l’utilisation des armes à feux. Et là, ce fut pour moi un déclic, c’était ce que je voulais devenir, une pistolière de renom, peu m’importait mon rang. Je tins deux années de plus, mais les manières de mon père me semblaient de plus en plus oppressantes.
S’ensuivit une altercation entre mon père et moi le jour de mes dix-sept ans. Je n’avais plus que du mépris pour lui et lui voulait que je devienne la femme d’un autre noble. Ce que je ne voulais plus, même si j’avais promis à mon père que je le ferais. Ce jour-là, je quittais définitivement la maison de mon enfance en rajoutant à mon père que j’étais capable d’user de la magie. Furieux, mon père décida que je n’étais plus sa fille. Quand j’arrivais au port principal de Lantan, je fus rattrapée par Mathilde. Elle me donna une bourse remplie de pièce d’or. Je l’embrassais et l’étreignit car je savais que je pourrais jamais ou presque revenir chez moi. Ce que je ne dis pas à ma famille, c'était que j'avais d'autres pouvoirs.
Je pris la première caravane en direction d'Ancarla. Je me suis arrêtée dans une petite cité à mi-chemin de la capitale d'Ancarla. J’y suis restée quelques mois, le temps de me sentir mieux et surtout le temps de rencontrer celui qui fit de moi une femme. J’aurais aimé que cette relation dure plus longtemps mais celle-ci se termina deux mois après. J’eus d’autres aventures, moi toujours sérieuse, mais lui jamais vraiment. Je quittais cette cité, il y a trois mois, pour voyager afin de devenir la meilleure tireuse du continent.
Cependant, un évènement a fait basculer toute ma vie : à Mijak, pendant l'Olympomachie, je fis la rencontre de trois femmes : Princesse Alice, Akira et Vanillia. La Folie avait envahi Mijak, et j'avais aidé les trois personnes dans cette lutte contre les soldats de la Folie. Je finis par affronter une demi-déesse du nom de Kan Hell, qui m'aimait bien suite à ce combat, ou alors suite à mon caractère. En tout cas, une porte s'ouvrit, un sort fut lancé et mon œil gauche fut arraché pour laisser place à un fragment d'Alecto, l'épée de la déesse Mégère. Mon œil gauche est celui d'un reptile, et j'ai un pistolet d'un rouge sanglant avec une multitude d'yeux, les mêmes que mon œil gauche. J'apprends à manier ce pistolet, surtout que j'ai l'impression qu'elle me rapproche de mon but de devenir la meilleure tireuse du continent, mais sa source de munitions, c'est ma santé mentale. Alors, pour tenir, j'ai commencé à faire appel à la dirigeante d'Ancarla : Evangéline, la Maîtresse des Poupées.
Autres :
Talent magique. Le personnage est parvenu à maîtriser un tour de magie grâce à ses talents innés. Sort : Réparation 1 fois par jour
Bâton-éclair (Mag). L’ensorceleur peut toucher une arme et lui accorder la propriété de foudre pendant un certain temps. Il peut utiliser cette capacité 5 par jour.
Sort de niveau 0 : Illimitée
Aspersion acide
Détection de la magie
Illumination
Destruction de mort-vivant
Lumière
Sort de niveau 1 : 5 par jour
Armure de mage
Abondance de munitions
Fabrication de balles
