The Multiversity

« C’est l’heure, Princesse » dit-elle avant de l’embrasser, et de la rejoindre dans le lit.

C’est de cette façon que Kleeah réveillait la Princesse de Papua depuis bien des années. La redoutable femme à la peau noire était beaucoup de choses à la fois, mais elle était avant tout une sorcière. Et la sorcière était la perceptrice magique de Rhian Thoris, apprenant à la Princesse héritière à résister aux sortilèges magiques. Femme pleine de passion, Kleeah avait emménagé au Palais il y a de cela quelques années. On la disait très proche de la mère de Rhian, la Reine Khaora. Les rumeurs disaient que Kleeah l’avait jadis sauvé d’une malédiction. La sorcière avait un statut très particulier, et ses appartements personnels étaient très spéciaux. Ils étaient dans une aile un peu isolée du Palais, et, comme preuve de son statut particulier, Kleeah avait un accès illimité au harem, où elle officiait généralement comme guérisseuse, aidant les courtisanes à accoucher. Elle disposait dans ses quartiers d’un petit autel dédié à la Déesse Sha, et, comme toute sorcière digne de ce nom, manipulait aussi bien la magie blanche que la magie noire.

Kleeah n’était toutefois pas venue seule, mais, pendant longtemps, sa fille n’avait pas osé trop se rapprocher des autres. Elle était le fruit d’une union intense entre Kleeah et une démone, Lazrah, qui semblait aussi être une aïeule de Kleeah… Voire sa mère directe, une femme démonisée. Lazrah aimait beaucoup coucher avec sa propre fille, et elle avait, dans la plus pure tradition de cette famille, mis Kleeah enceinte. La fille de Kleeah avait toutefois hérité de la particularité génétique de Lazrah, et avait du mal à l’admettre… Car Kazima était une hermaphrodite née, et avait toujours eu honte de cela.

Aujourd’hui était donc un jour particulier, car Kazima fêtait sa majorité, et Kleeah était bien décidée à régler ce problème. Sa fille était depuis toujours secrètement amoureuse de la Princesse. Elles se voyaient quand elles étaient plus petites, mais, depuis quelques mois, Kazima s’éloignait d’elle, car elle avait presque toujours des érections en la voyant. Le fait est que la queue de Kazima était spéciale, car elle était un héritage direct de Lazrah. Ses érections étaient de plus en plus fortes, mais sa fille avait une volonté en acier.

« Tu es sûre qu’elle va accepter ma présence ? »

Rhian et Kleeah venaient encore de faire l’amour. L’amour avec Kleeah était toujours à la fois doux, sensuel, passionné et sauvage. Elle griffait Rhian, la mordillait, et la faisait toujours jouir. Le corps humain ne semblait avoir aucun secret pour elle. Plus qu’une sorcière, elle était une véritable chamane pour Rhian, et lui sourit doucement.

« Je connais ma fille, jeune Princesse. Mais n’oublie pas qu’il est impératif qu’elle jouisse en moi la première fois. »

Le premier orgasme de Kazima serait chargé de magie rose. C’était aussi cela qui avait amené Kazima à rester très pudique, car elle savait que la personne qui recevrait son premier orgasme serait éternellement lié à elle, et elle ne pouvait pas infliger cela à Rhian. Mais Kleeah ne lui avait pas tout dit. Car, si Kazima restait vierge après être devenue majeure, elle deviendrait une démone. Ainsi allait le sang de Lazrah, le sang de sa famille, sautant chaque fois une génération, de manière à ce que la mère guide la fille.

« Je ne veux pas qu’elle rejoigne si rapidement le monde des démons… Quand je lui dirai cela, elle acceptera. »

Rhian acquiesça. Kleeah l’embrassa encore, puis se redressa. Enfilant un simple voile violet, elle invita Rhian à la rejoindre chez elle d’ici un quart d’heure, puis se retira. Elle rejoignit ensuite ses quartiers. Ils étaient accessibles notamment depuis un petit jardin intérieur, donnant l’impression de rentrer dans une petite maison accolée aux remparts du château. C’est dans ce petit jardin que sa fille jouait beaucoup avec Rhian, jadis.

Kleeah entra donc.

*Je ne sais pas si ma fille a vu cette partie du sang de ma famille…*

Kleeah n’avait jamais rien caché à sa fille, et lui avait donné un accès intégral à sa bibliothèque, comprenant les mémoires de leurs ancêtres. C’est dans ces chroniques que Kleeah avait appris que le gène hermaphrodite magique sautait toujours une génération, et qu’il était d’origine démoniaque, visiblement liée à une ancienne promesse que son aïeule avait faite, et qui se transmettait à travers le sang. Depuis lors, chaque mère scellait la malédiction en développant avec sa fille une relation incestueuse.

« Kazima, ma chérie ? Où es-tu ?! »

Kleeah était, à l’image de Sha, une adepte de l’exhibitionnisme. Elle s’habillait très peu, ce qui passait plutôt bien à Papua, et c’était comme ça qu’elle avait éduqué sa fille. Dans ses appartements, elle était souvent nue, ce qui avait commencé à gêner Kazima, surtout quand elle avait commencé à grandir, et que sa verge avait aussi commencé à se développer. Kleeah avait toutefois hâte de s’offrir à elle, d’accueillir sa semence chaude dans son corps. Cette idée l’émoustillait de plus en plus, et si elle était venue cette nuit coucher avec Rhian, c’était d’ailleurs à cause de ça. Elle s’était réveillée en pensant à sa fille, à sa belle verge, et elle était venue la voir dormir. Elle avait constaté que Kazima avait une belle érection, et s’était ensuite rendue dans la chambre de Rhian, soulageant sa frustration sur elle. Elle n’avait même pas prononcé un seul mot avant de coucher avec Rhian, reprenant ensuite ses esprits.

Sa fille ne vint pas la voir, mais Kleeah ressentait sa présence. Elle quitta donc le salon, et monta l’escalier menant à sa bibliothèque. La sorcellerie était une tradition orale, mais, pour autant, Kleeah avait beaucoup de grimoires et de livres. Et sa fille pouvait passer des heures à les lire. Kleeah avait l’intime conviction que Kazima serait une très grande sorcière, mais elle devait, pour l’heure, s’occuper de son bien-être.

En se rapprochant, Kleeah ne tarda pas à sentir des émanations de désir. Elle sourit en comprenant pourquoi sa fille ne lui répondait pas. Kleeah rejoignit l’entrée de la bibliothèque, et vit sa fille, de dos. Elle était assise sur un fauteuil, et se masturbait frénétiquement, caressant sa belle queue tendue. Elle gémissait, plongée dans son monde, un grimoire entrouvert posé à proximité. Kleeah se rapprocha doucement, et, entre plusieurs soupirs, entendit distinctement sa fille prononcer le nom de l’élue de son cœur : « Rhian ». Difficile de se tromper sur le sens de ce mot, et Kleeah continua à se rapprocher… Souriant ensuite en entendant un long « Maman » jaillir de ses belles lèvres fluettes.

Elle se retrouva finalement dos au fauteuil, voyant la belle verge de sa fille remuer sous ses doigts, et s’imaginant déjà l’avoir en elle.

*Oh, ma belle, si tu savais comme ta mère t’aime…*

Le Don de Lazrah lui appartenait, et elle posa alors brusquement ses mains sur ses épaules, surprenant évidemment sa fille, qui se redressa sur place. Kleeah lui sourit doucement, et caressa sa joue.

« Je suis désolée de te surprendre en pleine intimité, Kazima… »

Elle regarda le grimoire posé sur la table. Kazima avait arrêté sa lecture sur une double-page concernant un philtre spécial, conçu à partir du sperme d’une hermaphrodite, et permettant de réguler l’appétit sexuel. Elle sourit alors, et déposa un léger baiser sur les lèvres de sa fille.

« …Et je ne peux pas te laisser comme ça non plus. »

Elle retourna doucement Kazima, et, face à son dos, descendit sa main pour se saisir de son vit. Kleeah commença ainsi à masturber son vit, sa main glissant énergiquement dessus, la masturbant avec appétit, tandis que son autre main s’appuyait sur les hanches de Kazima. Sa jeune fille se tortilla devant elle, la main ferme de sa mère continuant à glisser sur sa belle queue. Elle déposa parallèlement plusieurs baisers biens appuyés dans le creux du cou de la jeune femme, sentant Kazima gémir doucement.

Kleeah avait depuis longtemps pris l’habitude de masturber sa fille, de la caresser jusqu’à la faire jouir. C’était pour ainsi dire leur petit rituel.

« Tu as encore pensé à Rhian, hein ? Ma petite chérie… Je suis sûre que tu la prenais bien fort… Mais je crois aussi avoir entendu mon nom. Laquelle des deux tu prenais la plus fort, ma puce, hein ? »

Sa voix était douce, mélodieuse, tandis qu’elle continuait à la caresser, le livre ouvert juste devant elles.

« C’est aujourd’hui, ma belle… C’est aujourd’hui que tu vas devenir une femme accomplie, Kazima… Je veux que tu penses très fort à tout ce que tu as imaginé faire avec moi et Rhian, car, ce soir, tu vas enfin pouvoir accomplir tout ça en vrai ! »

Et, tout en disant cela, Kleeah continua son office, bien décidée à la faire jouir !

Plus le temps passait, et plus Kazima devenait endurante. Le Don de Lazrah pouvait aussi se transformer en malédiction, et Kazima en voyait les premiers effets. Elle ne pouvait plus jouir par elle-même, comme si sa propre queue refusait cela. Elle ne pourrait que s’offrir aux autres, et ne pourrait jouir qu’en eux. Bientôt, même leurs séances masturbatoires seraient insuffisantes, car la queue de Kazima, générée par la magie de Lazrah, appellerait à davantage de sexe, davantage de plaisir. Kleeah sourit donc quand Kazima lui expliqua qu’elle s’était imaginée la sodomiser. Si proche d’elle, en phase avec sa fille, Kleeah fermait les yeux, et s’immergea dans les pensées de sa fille. Elle trembla en voyant le fantasme de sa fille, et l’intensifia encore, l’embrassant dans le creux du cou, mordillant sa tendre peau.

« Ma pauvre petite, j’oublie de plus en plus que tu as maintenant de gros besoins affectifs… »

La main ferme de Kleeah n’épargnait rien. C’était une habitude qu’elles avaient prise, que Kleeah la masturbe ainsi, et l’amène à jouir copieusement. Et, à chaque fois, sa fille jouissait de plus en plus fort, signe que le don de Lazrah s’affirmait en elle. Kleeah en était de plus en plus ravie, même si elle savait que cela inquiétait Kazima de plus en plus. Elle la masturbait donc assez fortement, branlant sa queue avec appétit, tout en la redressant. Sa jeune fille était déjà proche de l’orgasme, et, quand ses douces mains se crispèrent sur ses hanches, Kleeah sut que le moment était arrivé.

Elle se pinça les lèvres, sentant une saine chaleur monter en elle, quand la belle queue de Kazima se relâcha sous ses doigts. Elle sentit ce membre pulser entre ses doigts, et, dans de grands soupirs, Kazima s’abandonna au plaisir suprême. Sa queue se mit à jouir copieusement, éclaboussant son visage, puis ses cheveux, et se relâchant ensuite copieusement sur sa poitrine, sur son ventre. Kazima se crispa sur place, ses ongles s’enfonçant dans la chair de sa mère, faisant doucement soupirer celle-ci. Kleeah se pinça les lèvres en la laissant s’abandonner devant elle, la laissant jouir de toute son énergie. C’était un véritable régal, et elle continua à la masturber, secouant sa queue pour la faire jouir encore.

*Quelle énergie, elle est définitivement prête !*

Avec les générations, les gènes s’affinaient. Tout laissait à penser que Kazima serait une magnifique porteuse du Don de Lazrah ! Kleeah avait tellement hâte de la voir copuler avec Rhian… Et avec elle-même, bien entendu ! Elle la laissa donc jouir de toute son énergie, ce qui prit bien une bonne minute, la queue de Kazima se relâchant encore à chaque fois dans de nouveaux soubresauts. Le sperme fusa finalement sur les doigts de Kleeah, qui relâcha finalement la verge de sa fille, et la laissa se retourner. Un sourire sur les lèvres, Kleeah contemplait sa belle, qui ne tarda pas à signaler que sa mère lui en avait « mis partout ».

Le résultat final était effectivement assez impressionnant, confirmant l’énergie de sa fille. Kleeah rigola brièvement, et caressa la joue de Kazima, puis se rapprocha encore d’elle, et l’embrassa sur ses lèvres, des lèvres blanchâtres.

« Si je comprends bien, c’est de ma faute si ma fille est une perverse et en fout partout, hum ? »

Simple question rhétorique, car elle poussa brusquement sa fille, qui s’étala sur la table, repoussant les livres au passage. D’un claquement de doigts, Kleeah généra des tentacules, qui jaillirent de l’obscurité, et s’enroulèrent autour des poignets de sa fille, la plaquant sur le bureau. Ses jambes basculaient dehors, et d’autres tentacules vinrent s’enrouler autour de ses chevilles, les plaquant contre les pieds de la table. Ainsi attachée, Kazima s’offrait littéralement à sa mère. Bras croisés, celle-ci semblait réfléchir, la tête penchée sur le côté.

« C’est aujourd’hui que Rhian vient, Kazima. C’est aujourd’hui que le Don en toi va pleinement s’exprimer. Je ne peux décemment pas laisser la Princesse te voir ainsi. Il va falloir que je me dévoue… »

Kleeah savait que sa fille serait aussi excitée que nerveuse à l’idée de voir la Princesse. Elle avait des pensées très paradoxales au sujet de sa verge, mais Kleeah l’avait formé depuis plusieurs mois, voire des années, pour que l’idée d’une relation incestueuse ne la choque pas. Et puis, Rhian couchait aussi régulièrement avec sa mère, la Reine Khaora. Les mœurs sexuelles papuannes étaient très libres, et tout cela formait un contexte qui faisait que Kazima était sans aucun doute plus à même d’accepter ce qui, jadis, l’avait choqué, à savoir s’offrir à sa mère, jouir dans sa délicieuse chatte, et lui offrir sa virginité.

La sorcière se rapprocha donc, et caressa la cuisse de sa fille, remontant jusqu’à sa verge. Elle lécha ensuite ses propres doigts, avalant le sperme de sa fille, et commença par le haut. Un premier baiser sur le front de Kazima, puis sa langue partit à l’assaut. Elle fila sur le nez de sa fille, tandis que les tentacules continuaient à immobiliser les mains de sa fille. Elle lécha ses joues, ses yeux, ses lèvres, l’embrassant encore, longuement et sensuellement, sentant pendant ce temps la verge de sa fille se redresser, et venir taper contre son propre corps. Un membre chaud, turgescent, un vit qui avait encore envie de se perdre dans un corps.

« Hmmm, quel appétit… Ta queue se redresse encore, mais j’ai à peine commencé à te nettoyer, mon amour… »

Kleeah lécha son cou, puis s’attaqua ensuite à ses seins. Baisers et coups de langues ornaient le corps de Kazima, et Kleeah suçota avec appétit chacun de ses seins. Elle titillait le téton, tirant dessus, le coinçant entre ses dents, et s’attaqua à l’autre, poussant de grands bruits de succion. Elle lécha ensuite l’espace entre les seins, relevant à chaque fois son regard vénéneux vers sa fille, tout en caressant la queue de sa fille avec son corps. Kleeah redescendait ainsi progressivement, se rapprochant petit à petit de cette verge.

« Je crois bien que tu ne pourras pas attendre jusqu’à l’arrivée de la Princesse, ma chérie… Et le goût de ton sperme me donne furieusement envie d’aller le prendre à la source ! »

Elle comptait bel et bien lui offrir une belle fellation !

La queue de Kazima avait expulsé d’épaisses quantités de foutre il y a quelques minutes. Un mâle normal serait apaisé, mais, chez Kazima, le Don de Lazrah s’enflammait dans ses sens. Chaque baiser de Kleeah était comme un coup d’épée, chaque glissement de sa langue un coup de hache sur sa peau frêle et douce. Oh, qu’elle était belle ! Kleeah appréciait beaucoup le corps de Kazima, et glissa encore, entendant la jeune femme gémir longuement. Elle se tortillait sur place, et supplia sa mère, tant elle avait « mal » à son sexe. Kleeah était alors autour de son nombril, léchant longuement ce dernier, rappant chaque centimètre, chaque millimètre carré, de sa peau. Elle déposa ensuite un baiser, et son menton se frotta contre la verge de Kazima.

« Ma pauvre chérie, tu bandes si fort… Je peux deviner ton impatience rien qu’à voir la manière dont ta queue est si dure, si grosse… Ma pauvre petite… »

Kleeah déposa un premier baiser dessus, et frotta son visage, soulevant cette verge, la redressant avec son nez. C’était un solide bracquemart, un vit assoiffé qui la faisait saliver. Elle déposa plusieurs baisers supplémentaires sur la base de sa verge, et lécha ses testicules, déposant ensuite deux gros baisers dessus, sur chaque testicule. Kazima était en train de souffrir lentement, victime d’un véritable priapisme magique. Le Don de Lazrah pulsait délicieusement en elle, et Kleeah lécha ensuite sa verge.

Elle la faisait délicieusement souffrir, pour entendre sa fille supplier, gémir longuement, y trouvant là un plaisir vicieux et exquis. Ce n’était pas très sain, de la part d’une mère, de faire souffrir son enfant, mais c’était tout simplement délicieux !

« Supplie-moi, ma chérie… Supplie ta mère de pomper ta grosse queue comme la chienne en rut que tu es ! »

La sorcière caressa encore la belle queue de sa fille, ce dard veineux qui se redressait fièrement. Elle l’attrapa finalement dans le creux de sa main, et l’orienta vers sa bouche. Elle jeta un bref regard vers sa fille, qui était en train de prendre pied, et le prit finalement en bouche. Les lèvres de Kleeah s’enroulèrent autour de ce gros mandrin, et elle soupira doucement. Elle avait le sentiment de goûter de nouveau à la queue de l’autre mère de Kazima, la puissante Lazrah. C’était le même mandrin solide, intense, qui lui remplissait la bouche. Quand Kazima serait plus expérimentée, elle pourrait, comme Lazrah, lui baiser furieusement la bouche avant de jouir copieusement en elle. Cette idée ne manquait pas d’émoustiller la jeune femme, et la sorcière alla donc pomper sa queue.

Elle opta très rapidement pour une longue et puissante gorge profonde, le membre de Kazima allant taper contre sa gorge. Elle continua ainsi, tout en commençant à s’exprimer à sa fille par message télépathique.

*[MT] Je sais que tu as envie de jouir, ma chérie, mais tu dois aussi apprendre à te retenir… Même quand tu auras accepté le Don, cette soif de sexe reviendra toujours en toi. Et tu veux offrir une belle prestation à Rhian, n’est-ce pas ? La Princesse serait déçue si tu te mettais à jouir avant elle… [/MT]*

Même si cela ne changerait pas grand-chose, car, vu son endurance, Kazima banderait de nouveau bien vite… Mais c’était après tout le rôle d’une mère que de former son enfant aux choses de la vie !

Kleeah essayait d’entraîner sa fille, mais constatait surtout que l’heure était enfin venue. Kazima était prête, et le don de Lazrah pulsait en elle. Vu l’impatience et la puissance de sa fille, Kleeah doutait de pouvoir tenir jusqu’à demain encore. Ce serait donc bel et bien ce soir… Kazima devait perdre sa virginité, elle devait enfoncer sa belle verge dans le corps d’une femme, ou ce priapisme magique la consumerait, et ferait d’elle une démone. Car le don de Lazrah avait un prix. On l’appelait « don », mais, dans l’absolu, il ressemblait davantage à une malédiction. Une force qui était en train de la consumer, car, si elle ne satisfaisait pas aux conditions, la lignée de Lazrah se terminerait. Kleeah la sentit donc jouir abondamment en elle… Et adora tout simplement cette sensation. Elle la laissa jouir goulûment, se relâchant copieusement et puissamment en elle, gémissant de plaisir. Une déferlante de stupre.

En réalité, Kazima n’avait que trois solutions : soit ne rien faire, et ainsi devenir une démone ; soit faire l’amour avec la personne qu’elle aimait et qui n’était pas de son sang, pour faire définitivement disparaître l’énergie de Lazrah ; soit faire l’amour avec sa propre mère, et ainsi perpétuer le don de Lazrah. Ce soir, le choix appartiendrait à Kazima. Soit conserver sa belle verge et sa terrible vigueur sexuelle en perpétuant la lignée de Lazrah, soit y renoncer, tout en sachant qu’elle ne pourrait jamais marier l’élue de son cœur, Rhian.

Kleeah avala avec appétit son foutre épais et chaud. Kazima se calma progressivement, et les tentacules la retenant se dissipèrent. Kazima reprenait doucement ses esprits, même si sa queue restait encore bien tendue, et Kleeah, elle, prit soigneusement le temps d’avaler tout son sperme. Il y en avait beaucoup, et un léger filet de sperme s’échappa de ses lèvres… Que sa fille alla lécher, la nettoyant proprement, tout en se lovant ensuite contre elle. Les bras de Kleeah l’enlacèrent tendrement, et elle se blottit contre elle, soupirant doucement.

« Oh, Kazima, tu es si belle, ma chérie, si forte… »

Kleeah l’embrassa ensuite sur les lèvres, assez longuement, rompit le baiser, et le reprit encore.

« Il est l’heure, Kazima… Ce soir, tu feras enfin ton choix… »

Elles en avaient longuement parlé, et, si le souhait de Kleeah était évidemment de perpétuer la lignée de Lazrah, elle laissait le choix définitif à Kazima. Rhian connaissait également les enjeux, et le choix de Kazima serait le sien. Kleeah se redressa avec Kazima, sourit doucement à sa fille, et la retourna alors. Elle se lova tendrement dans son dos, et caressa l’un des seins de Kazima d’une main, l’autre allant doucement la masturber. Ses lèvres, quant à elles, se posèrent sur son cou, embrassant et mordillant délicatement sa peau.

Un sourire sur les lèvres, Kleeah se frottait contre sa fille.

« Tu es si belle, Kazima, si forte… Si tu savais comme je t’aime… Et je t’aimerai toujours, quel que soit ton choix ce soir… Sache-le bien. Tu es libre de ta décision, mais, dans tous les cas, je serai toujours près de toi, et je veillerai toujours sur toi… »

C’était le rôle d’une mère, d’une mère aimante, ce que Kleeah était à tous les égards. Pour sa fille, elle était prête à tout, et ne vivait que pour elle. Elle l’embrassa encore.

« Dans tous les cas, tu nous pénétreras toutes les deux ce soir, Kazima… Rhian sera là, et a très envie de te faire l’amour, elle aussi… »

Et, pendant qu’elle parlait, elle continuait à doucement la masturber. Même si Kleeah ne souhaitait pas l’influencer, sa mère espérait clairement que sa fille choisirait de perpétuer la lignée de Lazrah ce soir…

Dans le dos de Kazima, Kleeah frissonnait en la masturbant. C’était sa fille, sa délicieuse fille, et Kleeah avait, aussi longtemps qu’elle s’en rappelle, toujours pris soin d’elle, de ses talents, et de son don. Embrassant sa fille dans le creux du cou, elle se frottait contre elle, ses seins s’enfonçant doucement contre son dos. Se lovant contre elle, Kazima soupira doucement, sa verge grossissant sous les doigts de Kleeah. Imperturbable, celle-ci continuait à la masturber, filant de bas en haut, puis de haut en bas, glissant sur cette surface dure et humide, lubrifiée par sa bouche. Kazima, tout en se tortillant sur place, demanda à sa mère si Rhian l’accepterait ainsi. Un léger sourire orna les lèvres de Kleeah.

« Oh, je ne me fais aucun souci, ma chérie… Cette verge t’a toujours perturbé. Tu refusais de prendre tes bains avec la Princesse par peur qu’elle se moque de toi… »

Kazima avait hérité du Don de Lazrah, mais avait toujours eu des émotions contradictoires au sujet de ce membre, l’appréciant et l’aimant autant qu’elle le redoutait. Kleeah, de son côté, était là pour la rassurer, et, avec sa main libre, tourna lentement la tête de Kazima, puis déposa un tendre baiser sur ses lèvres. Leurs lèvres se frottèrent doucement les unes aux autres. Kleeah sourit encore, et déposa ensuite un baiser sur le nez de Kazima.

La Chamane aimait profondément sa fille, et lui offrait toujours ce genre de délicates attentions, ces moments de tendresse entre la mère et la fille.

« Mais elle adore ça, tu sais… Les femmes hermaphrodites comme toi. Tout ce que notre chère Princesse rêve, c’est que tu la pénètres vigoureusement avec ton chibre. Elle a bien grandi, tu sais… Sa mère et moi avons veillé à égayer ses goûts sexuels, ses performances en la matière… »

Un travail de longue haleine, qui avait surtout eu lieu dans le harem. Un harem où Kazima avait toujours refusé d’entrer, alors que, en tant que guérisseuse, Kleeah y avait un accès privilégié. Mais Kleeah savait combien Kazima appréciait la Princesse. Rhian avait été une amie d’enfance, elles jouaient ensemble à la poupée, ou dans le jardin. Kazima avait vu les trois tigres de Rhian quand ils étaient touts petits, et Kleeah se souvenait encore de ses rires joyeux quand les petits bébés tigres lui léchaient le visage. Kazima faisait d’ailleurs partie des rares personnes qui, à l’exception de Rhian, pouvaient approcher les tigres sans crainte.

Kleeah continuait à la masturber, repensant fugacement à tous ces heureux souvenirs.

« Rhian est au courant pour toi et ton pouvoir, tu sais… D’un côté, je suis partagée entre l’envie de soulager tes pulsions maintenant, mais, de l’autre, je crains que tu ne sois plus en forme ce soir. Rhian est très énergique, tu sais, et il serait regrettable que tu ne la fasses pas jouir toute la nuit, non, ma chérie ? »

Certes, Kleeah lui laissait le choix, mais elle avait très envie que Kazima perpétue la lignée, et conserve le Don… Et elle savait que la personne déterminante allait être Rhian. Difficile de dire si sa fille en était amoureuse, Kleeah voyait plutôt une sorte de profond respect pour la Princesse.

« Rhian sera folle de toi, Kazima… Autant que je le suis de toi, ma belle… »

Et elle se frotta encore contre lui, son nez glissant sur sa joue…

Kleeah était prête à tout pour sa fille. Elle était prête à mourir sans la moindre hésitation, car rien n’était plus précieux, à ses yeux, que sa fille. Elle avait éduqué celle-ci, et elle avait dû donner à cette éducation un rôle incestueux, en raison du Don de Lazrah. Si elle ne l’avait pas fait, Kazima aurait été dépassée par ses pulsions. Kleeah avait donc longuement veillé sur elle. Kazima se retourna finalement, et les deux femmes s’embrassèrent longuement. Kazima était de nouveau bien excitée, place face à un choix cornélien… Mais Kleeah savait déjà ce qu’elle allait choisir. Elle soupira tendrement, les lèvres de Kazima se collant au sien. La main de Kleeah caressa ses cheveux, s’appuyant sur la longue chevelure soyeuse de Kazima. Leurs langues se mélangèrent l’une à l’autre, et Kazima avança encore, déplaçant Kleeah, jusqu’à ce que ses fesses heurtent le mur.

« Oh, Kazima… » soupira Kleeah.

Sa belle Kazima s’attaqua à son sein, tout en lui annonçant être prête, être bel et bien prête à recevoir le Don de Lazrah. De tels mots étaient du pur délice aux oreilles de Kleeah. Rien ne pouvait lui faire plus plaisir que d’entendre ça ! Se dandinant sur place, Kleeah se mit à gémir longuement, sa main se crispant sur les cheveux de sa fille. Elle écarta les jambes, facilitant les doigts de sa fille. Oui, celle-ci était sûre, et Kleeah, même si elle était très heureuse de ce choix, n’en était pas forcément surprise. Après tout, elle avait tout fait pour que Kazima accepte ce magnifique don ! Elle avait toutefois toujours cru que Rhian serait la dernière étape.

C’est avec délice qu’elle laissa Kazima s’attaquer à ses seins. Tout comme Kleeah lui avait appris à se masturber, Kazima avait toujours aimé téter les seins de Kleeah, un rituel qui ne s’était jamais vraiment perdu, et qui n’avait cessé de se perpétuer au cours des années.

« Oh, Kazima, je suis si fière de toi, ma belle, si heureuse de ce que tu es… Tu es magnifique, ma belle, et, crois-moi, Rhian va t’adorer ce soir… »

Elle lui sourit donc, tout en sentant aussi, contre ses cuisses, le renflement de la verge de Kazima. Kleeah lui avait aussi appris à bien savoir lécher un sexe, et elle s’était exercée sur le sien, fourrant sa langue dans l’intimité de sa mère à la recherche de son point de plaisir. Kleeah lui avait tout simplement tout appris, et elle n’avait jamais ressenti cela comme un fardeau. C’était sa fille, son héritage, la chair de sa chair.

Pourquoi attendre, en effet… Il n’y avait aucune raison à cela, et Kleeah gémit à nouveau, bandant les muscles, et raffermit sa prise sur Kazima.

« Fais ce que tu veux de mon corps, Kazima… Prends-moi avec ta belle queue ici, ou dans le lit, mais, je te préviens, hmmm… Si tu passes par là, si tu déclenches le Don, quand Rhian arrivera ce soir… Nous serons sûrement encore en train de forniquer, ma chérie… »

Ce qui n’avait en soi rien de dérangeant pour Kleeah, mais elle tenait à le préciser à sa fille…

Kleeah et Kazima se retrouvèrent donc dans la chambre à coucher. Kleeah était ravie, et sentait une vive excitation la saisir. Elle pouvait presque sentir la présence heureuse de Lazrah. Kleeah se chargerait sans aucun doute de l’invoquer ce soir, pour qu’elle puisse, elle aussi, célébrer la survivance de son don. Kazima était prête, et Kleeah attendait depuis des années ce moment. Dès qu’elle avait senti l’éveil du Don chez Kazima, dès qu’elle avait senti son priapisme naissant, Kleeah avait patiemment attendu que Kazima grandisse, et qu’elle soit finalement prête de la prendre ici, dans leur chambre nuptiale. Bien que Kazima dispose de sa propre chambre, il était fréquent que les deux femmes dorment ensemble, et ce même quand Kazima avait grandi. Kleeah se prélassait à sentir, à chaque matin, les érections naissantes de sa fille contre ses cuisses, et l’aidait à se réveiller en la masturbant. Kazima se tortillait alors dans le lit, jusqu’à ce que le sperme ne jaillisse de sa magnifique verge.

Il semblait donc naturel que Kazima perde sa virginité ici. Plus les deux femmes montaient les marches et rejoignaient la chambre, et plus l’érection de Kazima grandissait, enflant au fur et à mesure. Kleeah se coucha donc sur le lit, et Kazima la coucha sur le dos. Elle sentit sa verge titiller ses cuisses. Kazima était impatiente, et Kleeah sourit, caressant sa joue d’une main, son autre main s’appuyant sur son épaule.

« Tu es si vigoureuse, Kazima, ma chérie… C’est la fougue de la jeunesse ! »

Kleeah se pinça les lèvres, et écarta les jambes, facilitant l’accès de Kazima. La main de celle-ci se posa sur sa verge, et elle la releva, puis la pénétra alors. Un frisson les traversa mutuellement. Pas d’hésitations, pas de baisers ou de caresses, Kazima avait… Tout simplement trop faim ! Une soif dévorante qui la déchirait de l’intérieur, et qui l’amena à s’enfoncer brutalement en elle. Kleeah soupira, et se mordilla les lèvres, avant qu’un long soupir lascif ne s’échappe de ses lèvres.

« Hmmm… »

Contre elle, Kazima commença à s’allonger progressivement, et la main de Kleeah se saisit de ses cheveux, l’autre main descendant le long du dos de sa fille pour palper ses belles fesses. Elle crispa sa main sur son cul, et partagea avec elle un délicieux baiser. Ses jambes remontèrent ensuite, et s’enroulèrent autour du corps de sa belle, l’immobilisant ainsi, l’emprisonnant tout contre son corps. Aucun geste-barrière, aucun mouvement de refus de la part de Kleeah, si ce n’est une acceptation sans réserves et sans équivoque du corps de sa belle aimée.

Le moment attendu était tant arrivé ! Kleeah en ferma les yeux, sentant ceux-ci s’embuer. Quand elle les rouvrit, si Kazima réussissait à avoir la force de la regarder, elle pourrait ainsi voir les yeux embués de Kleeah, légèrement rougis, avec deux sillons de larmes se creusant sur ses joues.

« Oh, Kazima, tu es si belle, mon amour… »

C’était tout ce qu’elle pouvait dire, tout ce qu’elle avait à dire. Que dire de plus, en même temps ? Elle savourait la puissante queue de Kazima, son énergie, son endurance… Sa fille était pleinement concentrée, et les doigts de Kleeah se crispèrent sur son cul. Elle soupira encore, sentant le désir croître en elle. De fait, Kleeah eut très rapidement un premier orgasme, tant elle avait attendu ce moment avec impatience, tant elle l’avait rêvé… Et tout se déroulait effectivement comme dans ses rêves.

Soupirant lentement, Kleeah ferma les yeux pendant quelques instants, avant de les rouvrir. Elle ne voulait rien perdre de ce moment, rien, car elle savait que cette scène serait à jamais gravée dans sa mémoire…

Kazima n'avait tout simplement pas pu résister à l'envie, et au besoin même de s'enfoncer dans la délicieuse chatte de Kleeah, sa mère. La jeune femme aurait aimée faire preuve d'un peu plus de retenue, pour explorer d'avantage le corps somptueux qui s'offrait sans retenue à elle, mais dès lors que Kazima s'était retrouvée allongée sur Kleeah qui écartait ses cuisses pour l'accueillir en elle, la jeune hermaphrodite avait senti la même poussée de désirs incontrôlables qu'auparavant. Kazima s'enfonca donc vivement dans le vagin de Kleeah, et se mit par la suite à remuer en elle.

Aaaah m-mère...ooooh...

Le plaisir de Kazima ressentait à plonger sa queue dure comme l'acier dans la chatte de sa mère, était proportionnel à toutes les souffrances que le don de Lazrah avait pu lui infliger au cours de ces dernières années. Lovée tout contre elle, Kazima l'embrassait tout en se mettant à remuer de plus en plus vite, au point de faire grincer le lit frénétiquement au rythme de ses coups de bassin. La queue de la jeune hermaphrodite n'avait aucun mal à coulisser dans cette chatte bien chaude, bien humide, au point que d'intenses bruits spongieux s'en échappaient à chaque va et viens.

Hmmmm !!!!!

Kazima etouffait ses propres gémissements en allant embrasser sa mère, soit en allant mordiller la peau de son cou, soit en descendant encore plus bas jusqu'à ses seins. La jeune hermaphrodite se retient d'ailleurs tant bien que mal de jouir précocement lorsque sa mère elle contracta un premier orgasme, les parois de son vagin se crispant alors encore d'avantage contre sa verge, mais elle parvint à tenir bon.

Oh Maman c'est...huuum...c'est si bon en toi...

Kleeah savait combien sa fille était excitée, combien celle-ci avait du mal à se retenir. Le Don de Lazrah était puissant, si puissant, et il prenait progressivement possession du corps jeune et très énergique de sa fille. Elle n’arrivait plus à se retenir, et Kleeah en arriva à la réflexion qu’il était temps. Ce soir, Kazima coucherait avec la Princesse, et satisferait ainsi le Don. Initialement, Kleeah avait plutôt envisagé de faire ça en compagnie de Rhian, car elle savait que sa fille était amoureuse de Rhian. Un amour qui ne pourrait jamais aboutir à un mariage, car Rhian était destinée à se marier avec un puissant Papuan, mais qui pouvait néanmoins faire de Kazima l’amante, la concubine, et la magicienne de Rhian. Quand Kleeah serait trop vieille pour assister la famille royale, Kazima se chargerait de cette mission. Pour l’heure, il appartenait toutefois à Kleeah de recueillir le bébé de Kazima, une fille qui aurait un beau petit vagin, et que Kazima pourrait enfanter ensuite pour perpétuer la lignée.

On aurait pu craindre une dégénérescence liée à la consanguinité de cette famille, mais cela n’arrivait pas, car Kleeah multipliait des rituels pour purifier les fœtus, et s’assurer que les bébés naissent sains et porteurs. Toutefois, des accidents pouvaient toujours arriver, car la vie n’était pas une chose facile à maîtriser. Dans ce cas, d’autres enfants étaient conçus ! Kleeah était impatiente à l’idée de recevoir l’enfant de Kazima, et sa jeune fille la pénétra vigoureusement, s’allongeant sur elle, incapable de se retenir.

« Hmmmm… !! »

Les deux beautés s’embrassèrent, la peau nue claquant contre la peau nue. La main de Kleeah se saisit des cheveux de Kazima, et elle gifla le cul de sa fille, la sentant s’enfoncer lourdement en elle. Un baiser vorace les lia ensemble, et Kleeah se pressa contre le corps de sa fille, très excitée. Comment ne pas l’être ? Elle couchait avec sa fille ! C’était le but de sa vie, et sentir l’énergie furieuse de sa fille sur elle était une sensation incroyable.

Elle soupira doucement, tandis que le baiser dura plusieurs minutes. C’était un moment intense, onctueux. Elles s’unissaient l’une contre l’autre, et Kazima remuait joyeusement, la beauté de son corps nu se crispant au sien. Kleeah maintenait sa main sur son cul, pétrissant ses fesses, rapprochant ses ongles de sa croupe, qu’elle titilla lentement, avec un appétit croissant et féroce.

« Ka-Kazima… ! »

Mouillant frénétiquement, Kleeah se mit à jouir copieusement. Si sa fille bandait ses muscles pour retenir son orgasme, la Chamane n’avait, elle, aucune raison de se retenir. Elle laissa le plaisir l’envahir, et goûta avec une joie profonde et sincère à un orgasme bien mérité. Elle sourit quand Kazima complimenta sur le fait d’être en elle, et répondit à la jeune femme en fourrant un doigt dans le fondement de sa fille. Celle-ci hoqueta sur place, et Kleeah l’embrassa brièvement, si heureuse d’être là… Si heureuse d’être enfin unie avec sa fille !

Souriant doucement, elle s’empressa de lui répondre, tout en enfonçant plus profondément son doigt en elle :

« Et encore, hmmm… Ce… Ce n’est que le début, ma chérie. Remplis mes cuisses, je veux sentir ton foutre en moi, je veux sentir ton magnifique sperme me remplir pleinement, ma Kazima… »