La Déesse de l'Amour ! [Valiyurisée]
Posté : 23 oct. 2024 12:59
On l’appelait initialement « La Céleste ». Sur elle, beaucoup de légendes ont circulé, et, même à ce jour, les historiens et les théologiens débattent encore sur l’origine d’Aphrodite. Est-elle une simple fille naturelle de Zeus ? Ou autre chose ? Elle est en tout cas la Déesse de l’Amour, dans son acception la plus large, dans tout ce que « l’amour » signifie. Ceci tendrait à faire d’elle une Déesse entièrement positive, entièrement généreuse… Mais croire cela, c’est aussi présupposer que l’amour est par définition positif. Or, les pires actes du monde ont souvent été faits au nom de l’amour. On dit généralement d’Aphrodite qu’elle est la fille de Zeus et de Dioné, et c’est cette version qui recueille généralement l’approbation de la majeure partie des théologiens olympiens.
La vérité est toutefois toute autre, et Aphrodite a des origines plus sombres, directement liées à la Guerre des Grands Anciens. Son culte est aujourd’hui l’un des plus vibrants, et, en soi, Aphrodite a un pouvoir équivalent à celui de Zeus et d’Héra. Attardons-nous un peu sur celle qui a connu bien des noms : Vénus, La Céleste, Ishtar, Lust…
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LES ORIGINES D’APHRODITE
1°) Ishtar
Aphrodite a vu le jour dans des tribus sauvages. Elle était alors vénérée sous un autre nom, celui d’Ishtar, Déesse de l’amour et de la sexualité, associée à la planète Vénus. Ishtar était une Déesse ancestrale très puissante, symbole de la féminité, symbole de femmes n’ayant pas besoin d’hommes pour exister. Ishtar était ainsi une Déesse majeure en Mésopotamie, ayant connu beaucoup de mythes, comme celui de son amour légendaire avec Dumuzi. Véritable Déesse sexuelle, elle était représentée par des gravures très explicites. Gardienne et patronne des prostituées, ses temples étaient des lieux de débauche et de désir, et on appelait ainsi la cité d’Uruk la « cité des prostituées ».
Une phrase grivoise sur Ishtar est très claire sur les prouesses sexuelles d’Ishtar :
« Réunis pour moi les jeunes hommes de ta ville, et allons à l'ombre du mur de la ville. » Sept à son devant, sept à ses hanches, soixante et soixante sont satisfaits par son sexe. Les jeunes hommes s'épuisent, mais pas Ishtar : « Venez, jeunes hommes, sur ma plaisante vulve ! »
Les sanctuaires d’Ishtar étaient ainsi des lieux sacrés, des zones de pouvoir, où les prêtresses formaient les femmes, les entraînaient à être de superbes amantes, et contribuaient aussi à guérir les hommes de leur impuissance sexuelle en offrant des plantes et des baumes.Mais Ishtar était autant une Déesse protectrice que guerrière. Citons encore L’Exaltation d’Ishtar, qui consacre cette force guerrière chez Ishtar :
Ô Ishtar, fais l'assaut et le corps à corps
se ployer comme la corde à sauter !
Comme le tambour et la baguette, ô Dame du combat,
fais s'entrechoquer l'affrontement (des troupes) !
Ô déesse des joutes guerrières, conduis la bataille
comme un jeu de marionnettes !
Ô Innin, là où sont le choc des armes et le massacre,
joue, comme aux osselets, avec le chaos !
Ô Ishtar, lorsque, comme un violent ouragan,
tu maintiens le dur nœud du combat,
lorsque, par la masse, la hache, le glaive et l'épieu,
tu rivalises par la force,
lorsque tu revêts la cuirasse furieuse,
que fasse rage le Déluge !
se ployer comme la corde à sauter !
Comme le tambour et la baguette, ô Dame du combat,
fais s'entrechoquer l'affrontement (des troupes) !
Ô déesse des joutes guerrières, conduis la bataille
comme un jeu de marionnettes !
Ô Innin, là où sont le choc des armes et le massacre,
joue, comme aux osselets, avec le chaos !
Ô Ishtar, lorsque, comme un violent ouragan,
tu maintiens le dur nœud du combat,
lorsque, par la masse, la hache, le glaive et l'épieu,
tu rivalises par la force,
lorsque tu revêts la cuirasse furieuse,
que fasse rage le Déluge !
Femme paradoxale et contradictoire, elle était autant une Déesse punitive qu’aimante, une Déesse capable de défendre l’ordre social, ou de semer le désordre. Son histoire connut néanmoins un dénouement tragique lorsque les Dieux se heurtèrent aux Grands Anciens. Aussi puissante soit-elle, Ishtar se sacrifia pour sauver les siens. Pour elle, il ne faisait aucun doute que les siens étaient perdus. Alors que les Grands Anciens envahissaient la Terre, Ishtar réunit ses fidèles dans son sanctuaire principal, à Uruk. Elle généra avec son pouvoir un monde-parallèle afin de les protéger, une sorte de sphère flottant hors de l’espace-temps de la Terre, une autre dimension.
Ishtar défia ensuite les Grands Anciens. Aujourd’hui encore, certains se souviennent d’une Uruk ravagée, en cendres, les tentacules immenses des Grands Anciens jaillissant des nuages noirâtres pour pulvériser le monde. Les maisons s’envolaient, les éclairs noirs tombaient du ciel, et Ishtar affronta les hordes de monstres… Et disparut.
2°) Dioné et la Céleste
Parfois considérée comme la première épouse de Zeus, Dioné était une Olympienne puissante, qui disposait d’un sanctuaire floral, construit sur Terra autour d’un grand chêne. En lien avec les elfes, c’est elle qui recueillit un jour une jeune fille que des réfugiés elfiques emmenèrent. En touchant son front, Dioné sentit en elle son pouvoir immense. La jeune fille aux cheveux blonds abritait en elle un pouvoir divin, et Dioné prit sur elle de l’adopter. Difficile de dire qui furent ses parents. Dioné pensa souvent à une aventure amoureuse de Zeus, qui était connu à cette époque pour ses nombreuses amantes. Mais l’heure n’était alors pas à la joie, à la beuverie, ou aux orgies. Les Grands Anciens envahissaient Terra, et le sanctuaire du Chêne de Dioné se heurta à eux.
Face aux monstres, Dioné elle-même commençait à faiblir, à s’atténuer, voyant ses défenses magiques sombrer les unes après les autres. Dioné allait elle-même périr face aux tentacules quand la jeune fille qui l’accompagnait hurla… Et déclencha un pouvoir magique immense, surpuissant, qui fit fondre les tentacules. Il n’y eut pas là de quoi vaincre les Grands Anciens, mais l’action de la jeune fille, qu’on appelait « la Céleste », offrit quelques précieux moments de répit. Zeus intervint ensuite depuis le ciel, lançant des éclairs étincelants qui détruisirent les tentacules nauséeux des Grands Anciens.
Le Roi Zeus venait d’arriver, et se rapprocha de Dioné, de cette femme qu’il avait jadis aimé. Elle avait sacrifié sa vie pour protéger la Céleste, et fit jurer à Zeus, sur sa dépouille, de veiller sur elle, de l’aimer et de la chérir comme ses propres enfants, mais aussi de la tenir éloignée autant que possible des querelles olympiennes. Et Zeus accepta.
3°) La Grande Aphrodite
Aphrodite est devenue progressivement une Déesse centrale au sein de l’Olympe. Déesse pacifique, elle laissait la guerre à d’autres Olympiens, et ne participa guère aux conflits incessants entre Arès et Athéna. De fait, on connait assez peu de cultes spécifiques liés à Aphrodite. Zeus veilla à respecter la parole de Dioné, et la protégea continuellement. Il la couva longuement, et Aphrodite devint rapidement une Olympienne très appréciée des autres Olympiens. Volage et indépendante, elle donna naissance à plusieurs autres divinités, parmi lesquelles :
- Le Dieu Priape, fils de Dionysos et d’Aphrodite. Ce Dieu est aisément reconnaissable au fait qu’il est continuellement en érection. D’après certains sources, les sex toys sont à l’origine des offrandes et des sculptures dédiées au Dieu Priape, dont on le symbolisait sous la forme d’un phallus monté sur des jambes,
- Le Dieu Hymen, également fils de Dionysos et d’Aphrodite. Jeune éphèbe à la beauté renversante, il était connu pour défendre les jeunes filles enlevées par des pirates et par des esclavagistes, préservant leur pureté pour leur mariage… Ou pour sa mère, selon certains mythes anciens censurés par l’Ordre Divin.
Aphrodite n’épousa qu’Héphaïstos au cours de son existence, un amour difficile et très libertin. Comme Aphrodite se plaisait à le dire, le seul moyen pour permettre à Héphaïstos de la conserver à son lit était de l’épuiser sexuellement… Ce que le Dieu ne parvint jamais à faire.
4°) Le culte de Lust
Alors que les pouvoirs d’Aphrodite se développaient au sein de l’Olympe, la Céleste fut assaillie par d’étranges rêves, où elle se réveillait dans un monde étrange, onirique, entourée de silhouettes implorant son retour. Les visions furent si troubles qu’Aphrodite en parla à l’Oracle de Delphes, et à d’autres Dieux. Finalement, c’est auprès de Perséphone qu’elle apprit que ses visions venaient de l’Enfer. L’Olympe, qui disposait toujours d’un ancrage sur place, accorda une escorte à Aphrodite. Même si la Déesse était puissante, Aphrodite était encore couvée par Zeus, au titre de son ancien amour envers Dioné.
En Enfer, Aphrodite fut de nouveau assaillie par ses visions, qui devinrent plus clairs. Elle se souvint ainsi de son passé, des Grands Anciens, d’Ishtar, de la cité légendaire d’Uruk, et surtout d’Ishtar, de son culte, de sa puissance… Son pèlerinage la conduisit au Cercle de la Luxure, où Aphrodite fut attaquée par des succubes et des incubes. Mais ceux-ci, au lieu de la capturer, s’inclinèrent respectueusement devant elle. De plus en plus confuse, Aphrodite fut conduite à un sanctuaire, et apprit que, en Enfer, elle était vénérée sous un autre nom, sous celui de la Déesse Lust.
C’est comme ça qu’Aphrodite finit par comprendre, quand une femme se matérialisa à elle… Une ancienne Ange répondant au nom de Vaadhiel. Elle était une ancienne Ange tombée jadis, qui avait été soignée par Ishtar, et qui était devenue amoureuse d’elle, au point d’en renier les Cieux.
« Et c’est moi qui ai guidé tes prêtresses dans le monde astral que tu as conçu pour nous, ce plan où tu n’as pas pu nous rejoindre. »
Le plan astral, sans la présence de la puissante Ishtar, avait progressivement dérivé, surtout quand, pour mettre fin à la Guerre des Grands Anciens, les Dieux avaient façonné des prisons astrales, des bulles qui étaient, somme toute, similaires à ce monde magique. Le monde magique avait ainsi dérivé, pour se rapprocher des Enfers, et plus précisément du Cercle de la Luxure. Vaadhiel avait continué à protéger les siens, et s’était rapprochée de démons. Elle avait alors adapté la personnalité d’Ishtar aux démons. Ceux-ci étaient capables de croire en des Dieux infernaux, notamment les Dieux Noirs, et Vaadhiel avait conçu un culte dédié à l’image d’Aphrodite, à Lust, Déesse de la Luxure.
« Mais personne ne doit le savoir, à part les personnes de confiance, Déesse. Si les démons venaient à apprendre que Lust est Aphrodite, une Olympienne, ceux-là mêmes contre qui les démons se sont rebellés… »
Aphrodite comprenait la position de Vaadhiel. Face aux démons et aux Mijakiens, elle serait donc Lust, femme aux cheveux rouges, et se dota même d’une redoutable et sensuelle forme démoniaque.
Sous le culte de Lust, Aphrodite renforça son influence dans le Cercle de la Luxure, ainsi qu’à Mijak. Si, face aux succubes, elle a l’habitude de prendre sa forme démoniaque, face aux Mijakiens, elle adopte sa forme humaine. À travers Lust, Aphrodite fait ainsi renaître le sensuel culte d’Ishtar, et, depuis lors, elle reste la Grande Aphrodite, Déesse olympienne hors normes, qui pourrait un jour également se rappeler qu’elle est une guerrière d’exception…
LE CULTE D’APHRODITE
Le culte d’Aphrodite est hâtivement résumé à la sexualité. S’il est exact que la sexualité fait partie du culte, ce n’en est toutefois qu’une composante. Athéna l’associe davantage à la fécondité, et, en réalité, Aphrodite s’implique dans le sexe sous bien des manières. Car le sexe, au-delà du plaisir, est avant tout le seul moyen de donner la vie. Elle est donc proche des femmes enceintes, des nourrices, des sages-femmes, et encourage l’amour sous toutes ses formes. Elle est ainsi assez sceptique à l’encontre des institutions religieuses voulant sacraliser le mariage, et dissocier l’amour entre le sexe impur, hors mariage, et le sexe pur, en mariage. Pour Aphrodite, seul compte le consentement. Elle est Déesse de l’amour et de la sexualité, mais pas du viol. Elle déteste d’ailleurs le sexe forcé, même si elle a une acceptation assez souple de cela. Elle peut ainsi tolérer qu’on « force » le sexe, mais s’oppose à certaines formes de pratique sexuelle. La pédophilie l’a ainsi toujours repoussé, tout comme le viol pur et dur. En revanche, il lui est elle-même souvent arrivé, avec ses amants, de s’amuser à susciter le désir chez eux.
À force de voir le mariage, Aphrodite s’est faite un malin plaisir de détourner les vœux des amants, ce qu’elle faisait déjà quand elle était l’épouse d’Héphaïstos. Aphrodite se montre ainsi insolente, provocante, elle aime jouer avec les gens.
Au-delà du sexe, elle protège également les femmes. De manière générale, Aphrodite a toujours préféré les femmes aux hommes, sans être lesbienne. La beauté féminine est un attrait du culte d’Aphrodite, car elle est consubstantielle de son culte.
Sous la forme de Lust, son culte est bien plus pervers, et les frontières sont plus difficiles à établir entre ce qu’elle proscrit et ce qu’elle autorise. Mais elle reste toujours attachée à ce que le consentement, d’une manière ou d’une autre, finisse par jaillir.
Aphrodite est une Déesse jalouse et revancharde, mais qui sait aussi qu’elle a failli face aux Grands Anciens. Elle n’est pas hostile aux alliances cultuelles, a fortiori quand ses alliés sont capables de la séduire, de l’honorer au lit, et apprécient peu les personnes qu’elle-même n’aime guère, au premier rang desquels on trouve Héra et Perséphone.
MEMBRES DU CULTE
Cette liste n’est évidemment pas exhaustive.
LA FAMILLE DE LUST
La Déesse de l’Amour a de nombreux enfants. En voici une liste, évidemment non-exhaustive :
- Alice Korvander. La Reine de Sylvandell a découvert lors de son mariage qu’elle était la fille d’un Avatar d’Aphrodite. Aphrodite a aussi découvert par ce biais qu’Alice était sa fille. Depuis lors, les deux femmes se sont fortement rapprochées, comme pour faire passer le temps perdu,
- Erotica & Sluty. Les deux sœurs jumelles vivent régulièrement sur Lusst’ghaa. Erotica est la Déesse de l’érotisme, tandis que Sluty est la Déesse de la nymphomanie. Ensemble, les deux sœurs sont exquises.
- Lydia Ramses. Conçue entre un avatar d’Aphrodite et un Égyptien aristocrate datant de l’Antiquité, Lydia Ramses est à ce jour chargée de la direction et de la gouvernance de Luxia.
- Weldenela. Fille d’Aphrodite et de Pan, Weldenela est une Alraune puissante, qui se considère comme la Déesse des Alraunes. Elle sommeille potentiellement dans chaque forêt, mais le siège de son pouvoir se trouve au royaume de sa mère, à Lusst’ghaa, où elle contrôle sa propre forêt.
Les Anges de Lust sont généralement des Anges issus du Royaume des Cieux qui ont choisi de soutenir la cause de la Déesse. Ces Anges ont été initiés à la magie rose, et se composent, soit d’Anges dominateurs et guerriers qui sont issus des corps guerriers des Anges, que ce soit la Milice Céleste ou d’autres corps comme les Valkyries, soit d’Anges soumis qui répandent la bonne parole de Lust, et qui émanent dans ce cas des corps angéliques non-guerriers.
- Vaadhiel. Ange renégate, Vaadhiel a renoncé aux Cieux, et est devenue la Première Ange de Luxure d’Aphrodite. Elle est très importante au sein du culte, et Aphrodite la considère autant comme sa fille adoptive que comme son épouse. C’est elle qui a créé le culte de Lust, et qui continue régulièrement à le gérer.
- Angewomon. Sous ce sobriquet original, Angewomon est une autre Ange proche d’Aphrodite. Elle oscille entre les deux cultes, mais reste essentiellement proche d’Aphrodite, et ce dans la mesure où elle représente Aphrodite auprès des instances religieuses luméennes, et des Cieux. Cette puissante Ange est le fruit de l’union entre Aphrodite et une personne inconnue, que tout le monde soupçonne d’être un Archange. Angewomon est une Ange puissante, à l’âme généreuse,
- Sya. L’Ange de la Luxure est l’une des prêtresses préférées de Lust, car elle manie les deux éléments du culte de la Déesse. Elle est aussi perverse que Lust le voudrait, mais est aussi très aimante comme Aphrodite le souhaite. Pour ces deux raisons, Lust apprécie fortement la jeune femme.
- Isidora. Isidora est une Ange de la Luxure très proche de Sya. Elle est autant sa rivale que son amante. Contrairement à Sya, Isidora n’a pas de traumatisme lié au sexe masculin. Comme elle, elle est très soumise, et aussi perverse que soumise.
LES MEMBRES DU CULTE
Les membres du culte sont assez variés. Prêtresses, sorcières, ou simple résident du Monde Érotique de Lust, ils forment une vaste faune sauvage et sensuelle.
- Mélinda Warren. Mélinda a récemment rejoint le culte de Lust, après avoir eu la bénédiction de la Déesse. Suite à un rituel magique, le sang de Mélinda a été infusé avec celui d’Aphrodite, faisant d’elle une nouvelle espèce de vampire, capable de procréer et de donner la vie. Suite à cela, Mélinda a décidé de servir le culte de Lust, et son harem situé à Mijak est ainsi devenu un temple dédié à la Luxure,
- Mirco Cabbia. Mirco est une sorcière humaine, qui symbolise une alliance qui s’est développée entre Aphrodite et Sha. Cette sorcière est une riche comtesse mijakienne qui organise des orgies chez elle, et vénère la Déesse Lust. C’est une puissante mécène qui entretient et finance plusieurs temples et sanctuaires dédiés à Lust,
- Red Claw. Claw, ou Red Claw, est une guerrière itinérante. Elle est une allégorie moderne du Petit Chaperon Rouge, si ce n’est que Claw a ici tué le Loup. Cette femme assez particulière est, à sa manière, un souvenir du passé guerrier d’Aphrodite, quand celle-ci était Ishtar. Elle est en effet capable de se battre, et protège les femmes. À sa manière, Red Claw augure peut-être d’une nouvelle dimension dans le vaste et riche culte d’Aphrodite,
- Chelsea. Nymphe olympienne, Chelsea partage avec sa mère son goût prononcé du sexe. Le père de Chelsea est un simple mortel qui a eu la chance inouïe, aux termes d’un concours sexuel organisé par Aphrodite, de l’enfanter. L’homme était un simple bûcheron, honnête et sincère, qui a éduqué sa fille avec amour. Il est mort de vieillesse, mais avec la satisfaction d’avoir vu sa fille rejoindre les hauts cieux olympiens,
- Onralia Magoa. Onralia est une succube assez puissante, qui a juré de server de Lust. Membre du clan Magoa, elle cherche à développer le culte au sein du clan, et à encourager sa grande sœur, Onyxian Magoa, Matriarche du clan, à accepter de la servir. Onralia fait souvent office de passeuse entre le Monde Érotique de Lust et le Cercle des Enfers.
Aphrodite a créé, quand elle était Ishtar, son plan astral, une zone de refuge pour protéger les siens des Grands Anciens. Ce monde a dérivé pendant des millénaires, et a développé ses propres règles. Proche du Cercle de la Luxure, le Monde Érotique est un plan astral entièrement dédié au sexe, et où Aphrodite se présente sous les traits de Lust. Le Monde Érotique ressemble en somme à un pays, avec un ciel généralement rosâtre, et où tout est prétexte au sexe. Ici, il n’y a pas de fatigue physique, mais simplement une fatigue mentale. Les forêts sont remplies d’arbres tentaculaires et de plantes sexuelles.
Le Monde Érotique comprend également une ville étrange, onirique, divisée en quartiers de technologie différentes : technologie contemporaine, futuriste, médiévale… Chaque quartier est propice au sexe, sous toutes ses formes. Les femmes sont très présentes, même si le Monde Érotique est ouvert aux hommes. Les créatures des forêts n’hésitent pas à se rendre dans la ville, où elles se présentent sous la forme de séduisantes Lamias.
Plusieurs portes permettent de rejoindre le Monde Érotique. Si Lust peut y inviter n’importe qui, le Monde Érotique dispose aussi de certains sanctuaires faisant office de portails. Citons par exemple le Lux’s Bar, un bar très spécial situé à Yoake, et où la tenancière a tendance à fournir dans ses cocktails un breuvage spécial, transformant les femmes en hermaphrodites, donnant lieu à de somptueuses orgies bestiales et délurées.
Riche et varié, le culte d’Aphrodite et de Lust n’attend plus que d’autres prêcheurs…
RPs
1°) Lust fait du Poney [La Cavalerie de Lust]
2°) Aux côtés de Lust [Sya]
3°) Une épée au service des divins [Lucina]
4°) La Cathédrale de l'Aurore [Sally Whitemane]
5°) La Nouvelle-Olympe [Palutena]
6°) Le réveil de l'Élephant [Sophitia Alexandra]
7°) La Saga d'Equinoa [La Cavalerie de Lust]
8°) Le Festival de Lust [Korë Grémorya]
9°) A Child of Prophecy [Serenos Aeslingr]
10°) La Main de Lust [Daëlnia]
11°) Visite divine à Lustoria [Queen Ruby & Slave Bunny]
12°) Retrouvailles au Sommet [Le Panthéon de Lustoria]
13°) Panser les plaies [Bellone]
14°) Servir Aphrodite [Naamah]