The Multiversity

[Aphrodite]

Aphrodite avait récemment eu un nouveau lieu de culte, ainsi qu’une nouvelle fille… Soit Lustoria, et la reine Ruby. Cette rencontre avait été très agréable, et Ruby avait tellement apprécié la présence d’Aphrodite qu’elle avait souhaité se faire adopter par elle. La Déesse avait accepté. Il avait pour cela fallu l’accord des divinités de Lustoria, ce qui avait permis à Aphrodite de retrouver le dieu Evaldril, un de ses amants, avec qui elle avait eu un enfant. Aphrodite avait donc agrandi sa famille. Elle comptait aujourd’hui recevoir les faveurs des prêtresses qui allaient la servir. Evaldril et elle avaient convenu de confier ce rôle à la Prêtresse Naamah. Évidemment, elle n’allait pas renier les dieux qu’elle servait, mais devenir également la prêtresse d’Aphrodite. Ce n’était pas un rôle à prendre à la légère, et, pour cela, Aphrodite devait s’entretenir avec Naamah, C’était un moment important, qui aurait lieu dans le temple central de Lustoria, et plus précisément dans la nouvelle chambre allouée à Aphrodite.

La Déesse rejoignit la chambre en empruntant un Portail. Elle avait souhaité un moment intimiste avec Naamah, et, quand elle arriva, la prêtresse était là, seule. Aphrodite lui sourit doucement.

« Bonjour, Naamah. Je suis heureuse de te voir. »

Elle invita la prêtresse à se redresser. Aphrodite nota sa confortable poitrine. Evaldril lui en avait parlé en des termes très explicites, comme on pouvait s’y attendre de sa part. La Déesse sourit à la belle Naamah, et sa main glissa sur sa joue, la caressant doucement.

« Je m’appelle Aphrodite. Evaldril m’a dit que tu es une prêtresse très dévouée. Comme tu le sais sans doute, je fais partie des nouvelles divinités protectrices de Lustoria. À ce titre, je dois développer mon culte. Evaldril m’a dit que tu serais une parfaite prêtresse. Vois-tu, j’ai besoin d’une grande-prêtresse, qui serait en charge de mon temple à Lustoria. J’aimerai voir si cette responsabilité te convient, et si je peux te la confier. Qu’en penses-tu ? »

[Naamah]

Naamah avait reçu comme consigne d’avoir un entretient avec la Déesse Aphrodite qui avait eu un enfant avec le Dieu du Crépuscule Evaldir. Mais elle avait entendu que la Déesse avait aussi installé son culte au sein de Lustoria. Pour le moment Naamah était la seule prêtresse pour les deux Dieux, maintenant elle allait sûrement aussi servir une troisième personne. Ce qui on fond d’elle ne la dérangea pas, une de plus ou une e moins ne jouait pas sur sa façon d’être et de servir ceux qui avaient besoin d’elle .

Afin « d’accueillir » ou plutôt avoir un entretien avec la Déesse, elle s’était rendu dans ses appartements. Alors qu’elle attendait son arrivé, la prêtresse était incliné la tête baissé par politesse. Tant qu’on ne lui ordonnait pas de se relever, elle ne bougerai pas de sa place. En etendant la voix mélodieuse de la Déesse qui venait d’arriver, qui la saluait et disait être heureuse de la voir.

-Bienvenue Déesse Aphrodite, je suis heureuse de vous rencontrer.

La blonde avait gardé sa posture, avant que l’autre femme la fasse se redresser. Elle regarda celle-ci, qu’elle trouvait magnifique. Pour sa part Naamah portait une simple tenue qui cachait tout juste ce qu’il fallait comme d’habitude. Lorsqu’elle sentit sa main sur sa joue, elle ferma les yeux pour prendre le temps d’apprécier cette caresse. Quand elle eut fini, la prêtresse ré-ouvrit les yeux pour la regarder, ainsi l’écouter parler. Elle se montrait le plus attentive de ce qu’on lui disait.

Aphrodite se présenta, disant que le Dieu du Crépuscule avait qu’elle était une prêtresse très dévoué. Cela lui réchauffa le coeur, tout ce qu’elle faisait pour eux, était enfin reconnu, du moins elle l’entendait de la part de quelqu’un. Par la suite, elle lui expliqua qu’elle était une des nouvelles divinités de Lustoria. Elle lui expliqua qu’elle avait besoin de quelqu’un pour développer le sien. C’était le Dieu du Crépuscule qui avait dit qu’elle serait parfaite comme prêtresse pour cela. La Déesse avait besoin d’une grande prêtresse qui serait en charge de son temple à Lustoria. Cela voulait dire que Naamah devait s’occuper de deux temples à la fois. Ça lui donnerait une charge de travail supplémentaire, mais cela ne lui faisait pas peur. Au contraire si le Dieu du Crépuscule avait parlé d’elle à la Déesse, c’était qu’il croyait en elle, pour accomplir cette tâche. Alors quand elle l’entendu lui dire qu’elle en pensait, d’une voix douce et calme, elle répondit.

-J’en serai honoré Déesse d’être une grande-prêtresse pour vous. Je serai m’occuper des deux temples à la fois. Répondre votre parole en plus des deux autres Dieux que je sers. Je serai me montrer digne de vous.

Cela faisait déjà six ans qu’elle était devenue prêtresse, alors elle savait ce qu’il y avait à faire. Donc répondre en plus la parole de la Déesse Aphrodite, ne lui posait aucun problème. Elle lui sera dévoué autant qu’elle l’ait avec les autres. Elle sera dévoué à trois Dieux et Déesse maintenant au sein de Lustoria. Elle y arriverait sans aucun problème, rien ne pouvait l’arrêter quand elle s’y mettait. Mais il fallait maintenant que la Déesse soit aussi d’accord pour qu’elle lui soua dévoué.

[Aphrodite]

Aphrodite pouvait sentir la dévotion dans les yeux de Naamah, dans son expression corporelle. Quand elle lui avait dit qu’Evaldril la trouvait talentueuse, elle aurait presque pu la voir rougir. Lustoria était un archipel agréable, mais la population restait encore assez réduite, il n’y avait donc pas beaucoup de prêtres ou de prêtresses. Cela allait changer, car Aphrodite comptait bien mélanger sérieusement son culte à celui de Lustoria. Elle s’était renseignée auprès d’Evaldril. Héra avait donné son autorisation. Il arrivait parfois que des Dieux soient dans plusieurs panthéons, et les Olympiens l’avaient à vrai dire déjà fait à l’époque antique de la Terre. Ils avaient fondé un panthéon grec et romain, changeant juste de nom. Aphrodite, quant à elle, était une Déesse qui appartenait aussi au panthéon infernal, où elle était la Déesse Lust, et était liée à d’autres cultes. Sa main continuait à caresser la joue de Naamah, qui indiqua être honorée à l’idée de diriger deux temples.

La Déesse sourit alors, et posa un doigt sur les lèvres de Naamah.

« Non, non… Je ne compte pas vraiment ouvrir un deuxième temple, juste… Une salle de prière au sein du temple qui existe déjà. »

Cela allégerait déjà la charge de travail de Naamah. Aphrodite déplaça son autre main de la bouche de Naamah pour caresser l’un des seins de la femme à travers sa courte tunique blanche. Elle avait une poitrine bien développée, grosse… Parfaite pour porter des enfants. Un léger sourire orna les lèvres de la Déesse, qui continua son pelotage.

« Mes deux fonctions divines sont simples, ma chérie… Je suis la Déesse de l’amour et de la procréation, une divinité maternelle. Pour devenir ma prêtresse, tu dois donc correspondre à ces deux fonctions, répandre l’amour… Et porter la vie. Quand tes sens et tes talents seront améliorés, tu pourras sentir les femmes enceintes autour de toi. Tu vois, par exemple, je porte en ce moment le bébé d’Evaldril. »

Une preuve supplémentaire, s’il en fallait encore, que Naamah allait servir des dieux qui ne se détestaient pas. Aucun conflit d’intérêt n’était donc à craindre. Aphrodite se rapprocha encore d’elle, et caressa les deux joues de Naamah.

« Je ne souhaite pas vraiment que tu sois digne de moi, je ne te demande pas de remporter une quête ou un trophée. Je veux que tu m’aimes… Et que tu portes notre enfant. »

[Naamah]

Naamah laissait la Déesse Aphrodite caressait sa joue comme si elle cherchait à l’apaiser de tout ce qui se passait. Après la prêtresse avait dit être honoré de dirigé deux temple à la fois. Mais elle fut couper par la suite par un doigt qui se posa sur ses lèvres. La femme lui disait non, lui expliquant qu’elle ne voulait pas un temple, juste une salle de prière au sein du temps qui existait déjà. Cela n’était pas un problème pour la fille au cheveux blancs de trouver la meilleure salle pour la Déesse. Juste elle se demandait comment elle la décorerait, les couleurs ou les offrandes qu’elle devait mettre dedans. Alors qu’elle réfléchissait à ce qu’elle devrait installer et où. Elle sentit la main d’Aphrodite descendre sur un de ses seins qu’elle caressait. Elle aurait put se sentir gêner, elle qui n’avait goûter au plaisir charnel une seule fois. Mais la main qui caressait son sein la fit tout de même rougir et son corps fut prit de léger frisson.

Alors qu’elle se laissait tripoter sans gêne, la Déesse reprit la parole pour lui expliquer ses deux fonctions divines, tout en utilisant un surnom pour Naamah. L’amour et la procréation, qui donnait d’elle une divinité maternelle. Elle lui expliquait que pour devenir sa prêtresse, elle devait correspondre à ces deux fonctions, rependre l’amour ainsi que d’enfanter, du moins porter la vie d’un enfant dans son corps. Et qu’avec cela Naamah améliora ses sens ainsi que ses talents. Par la suite elle apprit qu’Evaldril et Aphrodite avaient eux plusieurs relations et qu’elle attendait leur enfant à présent. Cela était une bénédiction aux yeux de la prêtresse. Un Dieu et un Déesse allait bientôt arrivé, ce qui fera agrandir la famille divine du temple qu’elle servait.

-Je suis heureuse que vous portiez l’enfant de Dieu Evaldril. J’espère que cela ne vous cause pas de soucis d’attendre un enfant, si vous avez besoin de la moindre chose. Je suis prête à tout faire pour vous soulager et que vous vous reposiez autant que possible.

Même si Naamah n’avait jamais eu d’enfant, elle avait vue des femmes enceintes fatigués, ou bien souffrir de porter un ventre qui abriter la vie d’un être vivant. A ses yeux il fallait absolument que la Déesse soit le mieux installé pour ne pas avoir ou ressentir la moindre fatigue. Alors qu’elle réfléchissait à tout ce qui pourrait avoir besoin une femme enceinte. Surtout une Déesse, comment cela se déroulait, elle en savait rien, elle était dans l’inconnue totalement. Chose qu’elle n’appréciait pas du tout, elle qui aimait pouvoir tout prévoir à l’avance. Là, elle était prit de court et dans sa tête tout se bousculait.

La prêtresse revenue à elle, lorsqu’elle sentit deux mains se posaient sur ses joues. Elle regarda alors Aphrodite qui lui parlait. Lui expliquant qu’elle n’avait pas à être digne d’elle, qu’elle n’avait pas besoin de remporter une quête ou un trophée. Elle lui demandait juste de l’aimer, ça se n’était pas quelque chose de difficile. A peine qu’elle l’avait vu et parlé avec la Déesse qu’elle avait déjà commencé à l’aimer, et encore plus en sachant sa grossesse. Cela était un sentiment qui avait commencé à entrée en elle. Mais la dernière chose qu’elle lui dit la fit… Bloqué ? Surprise ? Il n’y avait pas de mot. Elle portait l’enfant des Dieux qu’elle servait avec amour, comment elle pourrait le faire ?

-Vous aimez , ça a déjà commencé juste en vous parlant, cela ne sera pas un soucis mais… Porter votre enfant, je ne suis pas digne de cela, je suis une mortelle, alors que vous êtes une Déesse. De plus je n’ai jamais porter d’enfant, je ne sais pas comment se passe une grossesse, même si j’ai déjà vue des femmes enceintes. Je ne remets pas votre décision, mais est ce que je suis digne de porter votre enfant? J’ai peur de ne pas être à la hauteur. Même si l’idée ne me déplaît pas, c’est juste que je ne veux pas vous décevoir.

Naamah laissait ses sentiments s’exprimer, porter l’enfant d’un Dieu et d’une Déesse, est ce que cela était possible vu qu’elle était humaine ? Puis si il arrivait malheur à l’enfant qui serait dans son ventre, comment ils réagiraient. Elle avait peur, peur de les décevoir, décevoir le Dieu du Crépuscule ainsi que la Déesse de l’amour et de la protection. Sans, sans rendre compte des larmes coulaient les longs de ses joues, tellement elle avait peur de la réaction d’Aphrodite après lui avoir tout dit. Elle ne voulait décevoir personne, donc ses sentiments se mélangeaient entre eux, sans qu’elle puisse les contrôler.

[Aphrodite]

Le doute fut perceptible dans le regard et dans la voix de Naamah quand Aphrodite suggéra qu’elle porte leur enfant. La prêtresse n’en crut pas ses oreilles, et la crainte de ne pas être à la hauteur revint, plus forte encore qu’avant. La Déesse sourit, comme pour la rassurer, mais fut surprise de voir que l’émotion alla jusqu’à faire pleurer la prêtresse.

Clignant des yeux, Aphrodite se rapprocha alors, et lécha les joues de Naamah, avalant ses langues.

« Là, là, ne pleure pas, ma belle… »

Elle resta proche d’elle, et lui sourit.

« Comment pourrais-tu ne pas être à la hauteur, hum ? Tout ce dont un enfant a besoin, c’est d’amour. Tout le reste est secondaire. Et cet enfant, je sais que tu l’aimeras. »

La Déesse voulait-elle vraiment que Naamah soit enceinte d’elle ? Bien sûr ! C’était même une condition indispensable pour être l’une de ses grandes prêtresses ! Aphrodite caressa doucement le ventre de Naamah, et lui fit un nouveau sourire réconfortant.

« Devenir ma prêtresse, c’est aider les femmes à accoucher, et à élever leurs enfants. Pour ça, il faut être une mère, ma chérie… Comment pourrais-tu ne pas être à la hauteur, alors que tout en toi n’est qu’amour ? »

Un léger sourire orna les lèvres d’Aphrodite, qui embrassa Naamah sur les lèvres. On disait qu’un baiser d’Aphrodite pouvait vous faire orgasmer. La prêtresse était habituée au contact des Dieux, mais elle dut sentir le désir croître en elle. Aphrodite prolongea le baiser, et se pressa davantage contre Naamah. Leurs seins se heurtèrent sensuellement. Sa poitrine était chaude, moelleuse, et Aphrodite posa une main sur la nuque de Naamah, l’autre venant caresser le bas de son dos. Elle pressa l’une de ses fesses. Avec ses formes onctueuses et sa tenue très courte, Naamah était un appel au sexe débridé. Son manque d’expérience sexuelle ne faisait que rendre la situation encore plus surprenante, et sa partenaire encore plus exquise.

Aphrodite sourit doucement après ce pelotage, ses seins s’appuyant contre les siens.

« Tu as le choix, ma belle… Si tu acceptes ou non ma proposition. Je ne veux pas que tu acceptes juste parce que cela vient de moi. Un enfant, cela doit se désirer… Mais je compte bien user de tous mes talents pour te convaincre, ma belle. »

La Déesse lui dit cela en souriant, et l’embrassa à nouveau, bien décidée à lui montrer que l’amour, c’était quelque chose qui se montrait avant tout…

[Naamah]

Alors que les larmes coulaient sur ses joues, Naamah sentit une langue passer dessus pour qu’elle arrête de pleurer. La voix de la Déesse disait la même chose, elle n’avait pas à pleurer. S’arrêtant, on pouvait entendre quelques hoquets, alors qu’elle se calmait. Elle regarda Aphrodite lui dire ou plutôt lui expliquer le fait qu’elle ne pouvait qu’être à la hauteur pour porter l’enfant. Elle lui expliquait qu’un enfant avait avant tout besoin d’amour, ce que donnerait la prêtresse. Ca elle le savait, même si ce n’était pas son enfant et qu’elle ne l’avait pas porté, elle lui aurait donné tout l’amour qu’il lui fallait.

Par la suite la Déesse lui expliqua que pour devenir sa prêtresse, elle devait aider les femmes a accoucher et a élever leurs enfants. C’était donc pour ça qu’il fallait que l’humaine passe aussi par ça. Ce n’était que de la logique sur le fait qu’elle doive porter un enfant. Mais dans sa tête, elle aurait plus demandé à ce qu’elle ait un enfant avec un humain et non porter l’enfant de Divinité. Mais si les deux avaient prit cette décision c’est qu’ils avaient confiance en elle et qu’elle ferait tout pour cette enfant à venir.

Perdu dans ses pensées, Naamah n’en ressortit lorsqu’elle sentit les lèvres de la Déesse sur les siennes. Juste ce baiser réveillé quelque chose en elle qui chauffé son corps. Alors que le baisé se prolongé, elle sentit son corps être collé encore plus à l’autre femme. Elle avait chaud, pourtant elle portait sa tenue la plus légère comme tous les jours. C’était les effets du baisé avec Aphrodite qui la rendait toute chose. Leurs poitrines étaient collé entre elles et se frottaient avec leurs mouvements. Sentant la main sur sa nuque et l’autre qui caressait le bas de son dos. Docile, la blonde se laissait faire. Le pressement sur l’une de ses fesses l’a fit soupirer de plaisir. Dans sa tête toutes les craintes qu’elle avait, avait disparut pour laisser place à d’autres images. Celle d’elle et de la Déesse entrain de partager un plaisir charnel et encore cela n’était rien.

La Déesse lui disait avoir le choix, qu’elle pouvait refuser sa proposition. Car le fait d’avoir un enfant devait se désirer, pour lui donner tout l’amour qu’il avait besoin. Sauf qu’Aphrodite allait user de tous ses talents pour convaincre Naamah. Ma sa décision était prise, elle allait accepter cet enfant et lui donner tout l’amour qu’il aurait besoin. Même si il n’était pas de son sang, elle l’élèverait comme si il ou elle venait d’elle, de son sang. Elle le chérirait autant que possible et l’élèverait comme il se doit.

-Vous n’avez pas besoin d’utiliser tous les talents que vous possédez. J’accepte de porter votre enfant. A une condition.

Naamah acceptait de porter l’enfant des deux Dieux, juste à une condition. Ce n’était pas quelque chose de compliquer, mais est-ce que la Déesse allait lui accordait sa condition. Là où était le doute.